Kiriyama Posté(e) le 9 avril 2014 Share Posté(e) le 9 avril 2014 Si l'information est exacte - il ne s'agit pour l'instant que d'un article de journal prévu pour le lendemain - nous avons là un bureau d'études économiques qui prétend pouvoir modéliser les réactions de sociétés et d'économies à une action qui serait sans précédent et impacterait avant tout - en bien ou en mal - la confiance. Nous parlons de charlatans docteurs en science économique qui auraient la stupidité l'orgueil de croire que la psychologie d'un grand nombre de personnes peut être modélisée... Du point de vue épistémologique, ce serait risible si ce n'était pas consternant. Mais est-ce que les traders et dirigeants tiennent compte de ces modélisations ou c'est juste indicatif ? Ou alors on prend vraiment en compte les résultats de ces simulations ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 9 avril 2014 Share Posté(e) le 9 avril 2014 C'est essentiellement de la communication si on t'en parle. C'est meme principe avec l'essentiel de ce qui "sort" de ce genre d’institution dans la presse.Les modélisations on en fait plein chaque jour et on t'en parle surtout pas.L'objectif de cette communication c'est de lancer un ballon d'essai pour voir les réactions a cette anticipation.En gros on vous prépare psychologiquement a un hypothétique QE ...- si vous réagissez bien tant mieux, ça valide notre ballon d'essai, et ca vous prépare a l'acceptation d'un QE ultérieur.- si vous réagissez mal, tant pis, ça invalide notre ballon d'essai, mais c'est pas grave puisque qu'on ne fera rien tout de suite et donc tout rentrera dans l'ordre demain jusqu'au prochain ballon d'essai. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 11 avril 2014 Share Posté(e) le 11 avril 2014 un journaliste qui ne lâche pas l'affaire : Irlande - Mafia bancaire face au peuple Un exemple typique de politiciens indignes trahissant la population, éludant les questions qui dérangent, et soumis au dictat des banques.Anglo Irish Bank n'a plus de clients: impossible d'y déposer de l'argent ou d'obtenir un crédit.Pourtant, l'Etat irlandais continue de rembourser à coup de milliards les créanciers privés de cette banque en faillite.Une injustice que dénoncent les associations, syndicats, et citoyens.Pour la BCE, l'Irlande fera face à l'équivalent "d'une explosion à Dublin" si elle ne remplit pas ses engagements.L'Irlande n'a pas fini de payer le prix de la bulle immobilière qui l'a frappée de plein fouet en 2008.Les banques du pays, coupables et victimes de cette crise, ont du être renflouées à de multiples reprises par le gouvernement irlandais et constituent aujourd'hui une lourde charge pour le budget gouvernemental, et pour les contribuables.Au total près de 47 milliards d'euros ont été débloqués pour recapitaliser et nationaliser les banques... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 16 avril 2014 Share Posté(e) le 16 avril 2014 Le plan de Gattaz pour relancer l'emploi, le salaire inférieur au SMIC. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 17 avril 2014 Auteur Share Posté(e) le 17 avril 2014 J'aurai pu poster celà sur le fil ukraine on en parlait justement, mais ca tirerait un peu vers le HS, alors ca sera ici. Une société de portage belge serait le troisième détenteur au monde de dettes US, mais pour le compte de qui? Les russes? les chinois? La Belgique est devenue le troisième pays détenteur d’obligations du Trésor américain, via la société de services financiers Euroclear. Mais qui se cache derrière les milliards rapatriés ces dernières semaines ? Les regards se sont tournés vers la Russie, mais l’hypothèse chinoise prend de l’ampleur. La Chine boude la Fed de New York Le Trésor américain ne commente pas cette information, mais les chiffres publiés cette semaine montrent une baisse de 4% des volumes de bons du Trésor détenus par la Russie en février - à 126 milliards. Cela n’a en tout cas pas affecté le cours des «treasuries» américains, alors que le taux à 10 ans des emprunts d’Etat a baissé hier de 4,4 points de base à 2,603% (plus le taux baisse, plus le cours des obligations augmente). Mais le journal L’Echo révèle ce soir qu’une autre hypothèse tend à devenir plus crédible : la piste chinoise. C’est du moins ce qu’affirme BOA Merrill Lynch, pour qui le client mystère le plus plausible d’Euroclear serait Pékin, qui n’a pas acheté beaucoup de dette américaine le mois dernier. De là à dire que Pékin passe par Eurcolear plutôt que par la Fed de new York pour acheter des bons du trésor en toute discrétion, il y a un pas que la banque américaine n’a pas encore franchi. La Belgique se classe donc troisième avec 241 milliards, loin tout de même du Japon 1.210 milliards et surtout de la Chine (1.433 milliards de dollars). Pour la petite histoire, elle a pris la place sur le podium d’un groupe de cinq îles des Caraïbes, dont les très capitalistiquement hospitalières Iles Caïmans. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203447120732-ukraine-la-russie-choisit-la-belgique-pour-proteger-ses-avoirs-des-sanctions-americaines-665155.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 17 avril 2014 Auteur Share Posté(e) le 17 avril 2014 Le plan de Gattaz pour relancer l'emploi, le salaire inférieur au SMIC. Pas facile de vivre autonome avec un SMIC, en particulier à cause du coût du logement, alors avec moins qu'un SMIC. Par contre notons que pour les jeunes qui vivent encore chez papa-maman et y en a pas mal ça pourrait être un levier pour intégrer l'entreprise, à décoreller de la problématique immobilière bien sur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 De l'esclavage rémunéré quoi Comme le dit Bayrou, cela ce voit que ce n'est pas leurs enfants O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Pas facile de vivre autonome avec un SMIC, en particulier à cause du coût du logement, alors avec moins qu'un SMIC.Par contre notons que pour les jeunes qui vivent encore chez papa-maman et y en a pas mal ça pourrait être un levier pour intégrer l'entreprise, à décoreller de la problématique immobilière bien sur.Il y a bien la solution Allemande ... sponsoriser les gens pour aller travailler pour rien. C'est l'état qui régal via l'assurance chomage.Si en France on propose un dispositif du meme genre ... comme une super prime a l'emploi ou un super RSA activité, ca peut marcher.A noter qu'en allemagne dans ces cas là l'allocation logement couvre l'entiereté du loyer ... ce qui exclu le cout du logement du probleme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 17 avril 2014 Auteur Share Posté(e) le 17 avril 2014 Si en France on propose un dispositif du meme genre ... comme une super prime a l'emploi ou un super RSA activité, ca peut marcher. En effet, le coût est neutre pour l'employeur, du moins de primabord, et donc incitatif pour l'emploi des peu qualifiés. L'état peut modifier le montant de ce RSA au cout de la vie, même si on butte sur le côté gestion active du dispositif et le courage politique pour baisser de montant de l'allocation quand ce montant n'a plus lieu d'être et éviter les effets de rente. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Atomic man Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Je vais dire une connerie, mais pourquoi ne pas remplacer toutes les prestations sociales et le bordel administratif qui va avec par un revenu universel assuré par un représentant qui mesure la situation de la personne (loyer, enfant, revenue) ? Modifié le 17 avril 2014 par Atomic man Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Parce que les prestations sociales ressortent déjà de cette philosophie pour les plus pauvres et que c'est déjà l'enfer administratif ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Il y a bien la solution Allemande ... sponsoriser les gens pour aller travailler pour rien. C'est l'état qui régal via l'assurance chomage. Si tu parles des jobs a 400 euros, il y en a beaucoup qui trouvent cela pratique et qui n'en demande pas plus car ils ont juste besoin d'un appoint, par ailleurs rien n'empeche d'en cumuler puisque ces jobs sont des contrats equivalent a 1j de travail par semaine (contrairement aux conneries qui circulent en comparant le salaire de ces boulots au SMIC). Par ailleurs, cela evite de laisser les gens s'isoler du monde du travail comme en France et de creer des categories inemployables a terme. --------------------------- A noter qu'en allemagne dans ces cas là l'allocation logement couvre l'entiereté du loyer ... ce qui exclu le cout du logement du probleme. La j'ai un doute, je crois que c'est plafonne s'il s'agit d'autre chose que d'un logement a criteres sociaux. En tout cas si le regime allemand est un peu sec, au moins il est en adequation avec le budget de l'etat, en France cela fait deja 30 ans que l'etat sponsorise un systeme inepte a coups de cheque en blanc, en esperant que la conjonture economique va se retablir et permettre d'eponger les dettes... ca fait 40 ans qu'on attend le miracle, et bizarrement cela ne vient pas, pire, depuis 2007 et les premiers effets de la crise des sub-primes en europe, le vivier economique s'est tellement effondre que meme si la reprise venait, le redemarrage economique ne se ferait pas avant loooongtemps, repoussant d'autant plus l'epongement des dettes. Les soit-disants representants des partenaires sociaux feraient bien de reflechir, de faire un "reality-check", avant de pousser a nouveau les manifestants dans la rue, car on a plus guere le choix, il faut reformer les institutions et le systeme en profondeur, si on veut garder un etat viable, lequel est deja dans un equilibre des plus precaires, meme dans les secteurs privilegies. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Je vais dire une connerie, mais pourquoi ne pas remplacer toutes les prestations sociales et le bordel administratif qui va avec par un revenu universel assuré par un représentant qui mesure la situation de la personne (loyer, enfant, revenue) ? C'est à priori une idée intéressante que de remplacer toutes les allocations en faisant basculer les dépenses dédiés vers une seul et unique allocation. sur le plan utilitaire ça aurait le mérite de supprimer toutes une superstructure administrative. les calculs de coins de table font ressortir un revenu universel qui aurait des ordres de grandeurs équivalent aux aides actuels et qu'il devrait remplacer. Mais -et il y a un, et même, des "mais" - c'est du raisonnement sur carte. Déjà, il y a le problème de l’aléa morale lié au fait de disjoindre travail et rémunération. Et ce que m'a appris mon intérêt pour la micro-économie est que souvent n'importe quel travail vaux mieux que de glander (je sais c'est en contradiction avec mon post plus haut, mais c'était juste une vague à l’âme...). Et à la question de savoir est-ce qu'il vaut mieux concentrer les moyens sur des problèmes spécifiques dument identifiés ou bien saupoudrer l'argent ? je vote pour la 1er solution qui me semble plus efficaces. Personnellement je serais pour une solution intermédiaire: un impôt sur le revenus "continument" progressif (c.à.d sans effet de seuil qui font qu'à 90 centimes près vous changez de tranches) et dont on pourrait déduire, par exemple, le loyer-traite du logement principale, y compris quand le calcul donne un impôt négatif ; ce qui reviendrait dans ce cas à recevoir une allocation logement. Je trouve que cela serait plus simple et plus neutre vis-à-vis du marché immobilier. Le problème de cette séduisante idée d'un revenus inconditionnel pour tous, et qui a été mienne à une époque, est qu'il n'y a pas de test grandeur nature possible avec retour en arrière. On est en plein ingénierie social. Il faudrait que je retrouve une étude exhaustive du sujet, sous forme de PDF ; la conclusion, je me souviens, n'était pas favorable. Modifié le 17 avril 2014 par Shorr kan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Ce qui est plus que nécessaire c'est une obligation de travail en échange d'un revenu minimum assuré. Ce que l'état doit assurer c'est le niveau de vie acceptable minimum, en contrepartie le bénéficiaire doit assurer un minimum de travail. On remplace "pôle emploi" par une agence de gestion de contrats de mission en entreprises/associations : ça ne coûte rien aux entreprises et le chômeur doit choisir un emploi parmi les offres proposées, ces dernières étant virtuellement sans limite. - l'entreprise à un travailleur "gratuit", ce qui lui permet une certaine flexibilité et une plus grande productivité. En revanche si l'offre d'emploi n'attire personne elle est contrainte de revenir à une embauche classique. - l'ex-chômeur à un salaire minimum garanti par l'état et une expérience/formation à ajouter sur son CV. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Psychologiquement ce serait également préférable : c'est davantage valorisant de toucher un revenu universel garanti à tous que des indemnité en tous genres qui "classent" la personne dans une catégorie (chômeurs, handicapé...). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Je pense que beaucoup de gens, en particulier les jeunes, sont attirés par un revenu minimum universel. L'interet aussi, c'est que même si il est versé aux riches, ces derniers peuvent moins se plaindre par la suite d'une surtaxe etant donné qu'ils y ont droit. On aurait le même comportement que pour les 35 heures qui se développerait (" non mais stop aux 35 h, retour aux 39 ! par contre, par touche aux contreparties financières de l'époque !"). Ils préfèreront sans doute toucher moins de RMU, même si c'est symbolique, au nom du non-taxage. Pareil pour les plus pauvres, qui seront moins enthousiastes, parce que touchant moins. Les plus grands gagnants d'un RMU seraient en fait les classes moyennes j'ai l'impression. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cadia Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Il y a un système en Suisse où le chômeur reçoit ses indemnités tout en travaillant (limité à 6 mois au maximum) auprès d'un service de la Confédération ou d'un canton. Il se trouve que certaines admninistrations manquent de personnel mais n'ont pas reçu de budjet pour engager des collaborateurs supplémentaires. Durant ce laps de temps, des chômeurs peuvent demander à y travailler. L'avantage est que le chômeur reste actif, ses repas sont payés et s'il donne satisfaction sera probablement engagé quand la situation le permettra ou trouvera plus facilement une place dans le privé. Globalement, ses chances de retrouver un "véritable" emploi rapidement augmentent de près de 50%. Le chômeur est resté actif et a développé des nouvelles connaissances ce qui est un atout non négligeable sur son CV. Pour l'administration, l'avantage est d'avoir du renfort sans augmenter son budjet (le chômeur est payé par l'assurance chômage en totalité) et lui évite des coûteuses procédure de recrutement par la suite. Bien qu'il s'agit de "travail au gris" tout le monde y trouve son compte, y compris l'assurance chômage étant donné que ces personnes retrouveront plus rapidement un emploi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Atomic man Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Mais tout ça condamne le chômeur à rester en bas de l'échelle social puisqu'il n'aura pas le temps de cumuler une formation ou il pourrait retrouver un emploi "désirable" le chômage, c'est aussi de la survie quand une personne veut passer d'un boulot à un autre pour X raisons et doit faire une formation pour cela. Supprimons aussi la nomenclature des niveaux de formation qui ne donne aucune chance a la personne de faire ces preuves. Modifié le 17 avril 2014 par Atomic man Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cadia Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Mais tout ça condamne le chômeur à rester en bas de l'échelle social puisqu'il n'aura pas le temps de cumuler une formation ou il pourrait retrouver un emploi "désirable" le chômage, c'est aussi de la survie quand une personne veut passer d'un boulot à un autre pour X raisons et doit faire une formation pour cela. Supprimons aussi la nomenclature des niveaux de formation qui ne donne aucune chance a la personne de faire ces preuves. Pourquoi cumuler avec une formation externe? La formation se fait par le bias du travail effectué. Les emplois proposés sont adaptés aux compétences du requérant et répondent à un réel besoin (manque de personnel dans certaines administrations). Nous considérons qu'un métier ne s'apprend pas uniquement dans un collège mais surtout en travaillant. En Suisse, l'apprentissage dure en règle générale 3 ans (80-60% du temps en emploi et le reste à l'école) et les jeunes sont parfaitement adaptés au marché du travail lors de la dernière année d'apprentissage. Lors d'un futur entretient d'embauche, un ancien apprenti ne dira JAMAIS dans quel collège il a étudié (tout le monde s'en moque) mais dira auprès de quelle entreprise il a débuté sa carrière. La mesure que j'ai mentionné s'adresse aux chômeurs ayant déjà une expérience professionnelle mais ayant perdu leur emploi pour X raisons. Une personne bénéficiant de cette mesure pouvait travailler dans une fiducière qui a fait faillite et ne pas retrouver rapidement d'emploi par la suite. Pour éviter de la laisser sans activité, on pourrait la placer à l'office des impôts. Le "chômeur" se forme sur des nouveaux programmes et développe ses connaissances. Les résultats de ces mesures sont probants, il est bien plus facile de retrouver un emploi grâce à ces mesures et surtout on peut casser un chômage de longue durée en réintégrant une personne par ce biais. Nous évitons ainsi les trous dans les CV qui sont désatreux auprès des employeurs potentiels. Modifié le 17 avril 2014 par Cadia Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Mais tout ça condamne le chômeur à rester en bas de l'échelle social puisqu'il n'aura pas le temps de cumuler une formation ou il pourrait retrouver un emploi "désirable" le chômage, c'est aussi de la survie quand une personne veut passer d'un boulot à un autre pour X raisons et doit faire une formation pour cela. Supprimons aussi la nomenclature des niveaux de formation qui ne donne aucune chance a la personne de faire ces preuves. En allemagne ca pose un peut moins de probleme, les entreprise forment encore beaucoup en interne, ca plus la capitalisation des "droits" a la formation, il y a des possibilité d'évolution tout en étant travailleur. L'autre chose c'est qu'en allemagne comme de le reste de l'Europe du nord il y a de grosse facilité pour passer du travail au étude et des études au travail etc. et ce tout au long de la vie. Les formations sont généralement acquise par semestre et pour des durée assez longue. On trouve alors beaucoup d'étudiant alternant semestre de boulot semestre d'étude etc. et comme il y a des indemnité pour les étudiants - hors condition de ressource - on peut se remettre a étudier sans trop de souci. Faut ajouter a ca que l'Allemagne est certainement le pays le moins cher pour étudier, prix bas, loyer tres bas, colocation facile. C'est le souci d'essayer de changer un systeme en changeant brutalement un seul morceau sans projet d'ensemble. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 L'avantage est que le chômeur reste actif, ses repas sont payés et s'il donne satisfaction sera probablement engagé quand la situation le permettra ou trouvera plus facilement une place dans le privé. Globalement, ses chances de retrouver un "véritable" emploi rapidement augmentent de près de 50%. Le chômeur est resté actif et a développé des nouvelles connaissances ce qui est un atout non négligeable sur son CV. Je ne sais pas ce qu'il en est en Suisse mais partout ailleurs où ces systèmes ont été employés c'est un fiasco (pour le chômeur en tout cas). Les connaissances développées grâce à cet emploi sont généralement négligeables (vu qu'en général il s'agit de tâches très peu qualifiées), ça ne fait pas spécialement joli sur un CV (les activités exercées étant en général techniquement simples et peu valorisantes) et les retours à l'emploi sont limités. Sauf parfois pour d'autres jobs précaires et sous-payés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Ca me semble tout de même plus souhaitable qu'un chomeur qui à long terme, peut décrocher socialement. Et là, c'est foutu bien souvent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 Peut-être. Le problème est que généralement ces travailleurs décrochent aussi socialement puisque faisant partie d'une sous-catégorie sociale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cadia Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Peut-être. Le problème est que généralement ces travailleurs décrochent aussi socialement puisque faisant partie d'une sous-catégorie sociale. Attention, ils ne font pas partie d'une sous-catégorie sociale. Ils travaillent 42 heures par semaine, sont considérés comme des employés en CDD et bénéficient d'une attestation de travail ne mentionnant pas qu'il s'agissait d'une mesure mise en place par le chômage. Le chômeur profite de cette occasion pour occuper le poste et avec un peu de chance il pourrait obtenir cette place par la suite. Il n'y pas de faire valoir dans cette mesure. A tout point de vue pour un futur employeur (dans le privé), cette personne est en emploi et effectue un CDD tout ce qu'il y a de plus standard. Cette mesure ne s'adresse qu'aux chômeurs motivés à retravailler. La personne placée ne touchera que ses indemnités chômage durant cette période (70-80% de son ancien salaire) c'est-à-dire la même chose qu'un autre chômeur qui passe ses journées devant sa TV. Le seul avantage est que les repas sont payés (15 chf par jour ouvrable). Modifié le 17 avril 2014 par Cadia Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Atomic man Posté(e) le 17 avril 2014 Share Posté(e) le 17 avril 2014 (modifié) Attention, ils ne font pas partie d'une sous-catégorie sociale. Le ressenti est-elle qu'elle. Modifié le 17 avril 2014 par Atomic man Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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