Titus K Posté(e) le 5 septembre Share Posté(e) le 5 septembre Le CAMM-MR pourra bel et bien être Dual-Pack dans les Mk41 Un missile d'une portée <100km occupant 2x moins de place qu'un Aster 15/30 Qui va encore vouloir du Sylver a ce rythme ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 5 septembre Share Posté(e) le 5 septembre (modifié) @Titus K entierement d'accord. toutes ses differentes versions de Sylver c'est un peu myope et contraignant. faudrait vraiment faire un Sylver "universel" qui serait compatible avec plusieurs types de munitions. je ne sais meme pas si le FMAN sera compatible Sylver A70, sans parler des futurs missiles hypersoniques a l'avenir PS qui plus est si on developpe un systeme de ravitaillement en mer, ca serait mieux d'avoir un seul type de VLS. les US sont deja en train de developper un tel systeme (en cours de test). Modifié le 5 septembre par Lordtemplar 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 5 septembre Share Posté(e) le 5 septembre il y a 29 minutes, Lordtemplar a dit : @Titus K entierement d'accord. toutes ses differentes versions de Sylver c'est un peu myope et contraignant. faudrait vraiment faire un Sylver "universel" qui serait compatible avec plusieurs types de munitions. je ne sais meme pas si le FMAN sera compatible Sylver A70, sans parler des futurs missiles hypersoniques a l'avenir PS qui plus est si on developpe un systeme de ravitaillement en mer, ca serait mieux d'avoir un seul type de VLS. les US sont deja en train de developper un tel systeme (en cours de test). Oui ca donne l'impression qu'il y a pas vraiment de stratégie commerciale pour séduire a l'export ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 6 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 septembre il y a une heure, SavoirFer a dit : ... et à l'avenir. https://www.challenges.fr/entreprise/defense/un-site-unique-en-europe-plongee-dans-la-future-usine-high-tech-de-drones-de-naval-group-a-la-londe-dans-le-var_615030 Citation « Un site unique en Europe » : plongée dans la future usine high-tech de drones de Naval Group à La Londe dans le Var Le géant français du naval de défense va ouvrir fin 2027 son centre d’excellence sur les drones navals à La Londe-les-Maures (Var), sur le site d’une ancienne usine de son ancêtre, la DCN, fermée en 1993. Un site ultra-moderne, qui accueillera 550 salariés. Visite guidée exclusive. Des barbelés, une grande bâtisse taguée, un énorme hall au toit en shed (dents de scie) désaffecté, et des hautes herbes grillées par le soleil. C’est le triste spectacle auquel les habitants et estivants de la Londe-les-Maures (Var) s’étaient habitués, depuis la fermeture de l’usine de torpilles de la DCN (désormais Naval Group) en 1993. Un peu plus de 30 ans plus tard, le site des Bormettes, friche industrielle d’une vingtaine d’hectares à quelques mètres de la grande bleue, se prépare à une résurrection spectaculaire. Naval Group, resté propriétaire de l’emprise, va bientôt entamer la construction d’un site ultra-moderne de développement et de fabrication de drones navals (engins sous-marins et drones de surfaces). Après deux ans de travaux préliminaires, l’enquête publique va débuter le 7 juillet, pour une durée d’un mois. Une fois les autorisations administratives obtenues, normalement en fin d’année, les premiers coups de pioche devraient avoir lieu début 2026, pour une livraison de l’usine 15 mois plus tard, soit fin 2027. Ce nouveau centre d’excellence dédié aux drones navals, qui accueillera 550 salariés sur 17.000 m2, intégrera à la fois des bureaux d’étude, des ateliers de prototypage et de fabrication, et des installations de tests en mer. Naval Group estime l’investissement à 140 millions d’euros, un chiffre qui intègre aussi l’agrandissement de son autre site varois d’Ollioules. Suite --> Pourquoi redonner vie à la friche de La Londe ? « Le site jouit d’une situation absolument exceptionnelle, avec un accès direct à la mer, et la proximité de nos clients et partenaires : la Marine nationale à Toulon, la DGA (Toulon, Ile du Levant) mais aussi l’Ifremer (La Seyne-sur-Mer) et d’autres dronistes comme Exail ou SeaOwl », explique Aurore Neuschwander, directrice de l’activité drones, systèmes autonomes et armes sous-marines de Naval Group. Notre objectif est d’en faire une vitrine du savoir-faire français sur les drones navals. Ce sera un site unique en Europe. » Naval Group (4,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 15 300 salariés) rapatriera sur le site les salariés de son usine de torpilles de Gassin, près de Saint-Tropez, ainsi que quelques équipes des sites d’Ollioules et de Toulon-Lagoubran. Le champ d’activité sera large, le groupe fabriquera à La Londe : les torpilles du groupe (MU-90, F-21), les contre-mesures Canto (dispositifs de défense anti-torpilles), toute une gamme de drones sous-marins et de surface, du petit engin de quelques dizaines de centimètres jusqu’au Seagent XL, drone océanique de longue portée de 10 mètres de long et 10 tonnes. « On pourra même aller un peu au-delà de 10 tonnes », assure Aurore Neuschwander. 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 9 septembre Share Posté(e) le 9 septembre (modifié) En tout cas a DSEI 2025 si MBDA montre toujours un CAMM / CAMM-ER Quad-Pack et un CAMM-MR Twin-Pack dans les lanceurs Sylver, c'est que ca doit être possible... Edit : C'est des Mk41 Modifié le 9 septembre par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GOUPIL Posté(e) le 9 septembre Share Posté(e) le 9 septembre Le 06/09/2025 à 20:24, Titus K a dit : Suite --> Pourquoi redonner vie à la friche de La Londe ? « Le site jouit d’une situation absolument exceptionnelle, avec un accès direct à la mer, et la proximité de nos clients et partenaires : la Marine nationale à Toulon, la DGA (Toulon, Ile du Levant) mais aussi l’Ifremer (La Seyne-sur-Mer) et d’autres dronistes comme Exail ou SeaOwl », explique Aurore Neuschwander, directrice de l’activité drones, systèmes autonomes et armes sous-marines de Naval Group. Notre objectif est d’en faire une vitrine du savoir-faire français sur les drones navals. Ce sera un site unique en Europe. » Naval Group (4,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 15 300 salariés) rapatriera sur le site les salariés de son usine de torpilles de Gassin, près de Saint-Tropez, ainsi que quelques équipes des sites d’Ollioules et de Toulon-Lagoubran. Le champ d’activité sera large, le groupe fabriquera à La Londe : les torpilles du groupe (MU-90, F-21), les contre-mesures Canto (dispositifs de défense anti-torpilles), toute une gamme de drones sous-marins et de surface, du petit engin de quelques dizaines de centimètres jusqu’au Seagent XL, drone océanique de longue portée de 10 mètres de long et 10 tonnes. « On pourra même aller un peu au-delà de 10 tonnes », assure Aurore Neuschwander. une enquête publique ? les riverains sont d'accord ? sinon entre recours et contentieux nous sommes champions du Monde ... pour peu qu'il y a une plante ou une espèce protégée ... nous ne sommes pas sortis de l'auberge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 9 septembre Share Posté(e) le 9 septembre il y a 3 minutes, GOUPIL a dit : une enquête publique ? les riverains sont d'accord ? sinon entre recours et contentieux nous sommes champions du Monde ... pour peu qu'il y a une plante ou une espèce protégée ... nous ne sommes pas sortis de l'auberge L'enquête publique est un préalable réglementaire inévitable - et un gage de démocratie, car même si les conclusions ne sont pas suivies, au moins elles ont été exprimées. Après, avis des riverains, plante ou espèce protégée, recours et contentieux ? Je crois qu'on est relativement à l'abri dans la mesure où il s'agit de reprendre pied dans une friche industrielle. L'alternative, c'est de laisser la friche continuer à se dégrader (ce que les riverains ne souhaitent probablement pas) ou bien laisser des espèces non-autochtones venir coloniser un biotope artificialisé par l'industrialisation précédente. Rien de raisonnable et des arguments de mauvaise foi qu'un décideur réellement motivé saura balayer dans l'intérêt général. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 9 septembre Share Posté(e) le 9 septembre il y a 7 minutes, FATac a dit : L'enquête publique est un préalable réglementaire inévitable - et un gage de démocratie, car même si les conclusions ne sont pas suivies, au moins elles ont été exprimées. Après, avis des riverains, plante ou espèce protégée, recours et contentieux ? Je crois qu'on est relativement à l'abri dans la mesure où il s'agit de reprendre pied dans une friche industrielle. L'alternative, c'est de laisser la friche continuer à se dégrader (ce que les riverains ne souhaitent probablement pas) ou bien laisser des espèces non-autochtones venir coloniser un biotope artificialisé par l'industrialisation précédente. Rien de raisonnable et des arguments de mauvaise foi qu'un décideur réellement motivé saura balayer dans l'intérêt général. J'avais posté le lien c'est tout pourrie le truc refaire du neuf ca va être top. https://www.naval-group.com/fr/projet-la-londe-les-maures 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) hier à 12:28 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 12:28 (modifié) 2-3 Scorpènes pour le Maroc ? --> https://opexnews.fr/maroc-sous-marins-scorpene-naval-group/ Rabat accélère sa modernisation militaire. Après la signature, début septembre, de dix hélicoptères H225M Caracal, le Maroc serait désormais en négociation, selon H24, pour acquérir ses premiers sous-marins. Les offres françaises figureraient parmi les mieux placées, prolongeant un partenariat défense déjà dense. Côté français, Naval Group met en avant la classe Scorpène, un sous-marin conventionnel réputé pour sa furtivité et sa polyvalence (lutte anti-surface et anti-sous-marine, appui renseignement). Au-delà des performances, l’industriel propose un « paquet » plus large : participation locale, transfert de compétences et gestion potentielle d’un chantier naval à Casablanca. L’argument industriel pèse, d’autant que la coopération navale franco-marocaine est déjà ancrée avec la FREMM livrée en 2014. Modifié hier à 14:32 par Titus K 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. floflo7886 Posté(e) il y a 12 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 12 heures 1ers tirs confirmés en 2026 à terre et en mer pour le lanceur modulaire polyvalent (LMP) de NAVAL GROUP Avec des roquettes de 68 et 70 mm de Thales (des filiales Belgique et France), dont notamment les roquettes guidées laser. C'est la priorité perçue côté client potentiel (MArine nationale) qui a conduit à prioriser le sujet roquettes Partenariats en parallèle qui se poursuivent pour les études d'intégration de missiles, de grenades anti sous-marines (Naval group a relancé le développement et la production de ces grenades depuis quelques mois, pour répondre à des impératifs de high/low-mix, après quelques années de non-production), de munitions télèoperées (notamment de KNDS France), de leurres passifs (Etienne Lacroix), de leurres actifs déportés (notamment de Thales)... Toujours avec charge utile possible de 1T sur le LMP avec 4 modules (comme sur l'illustration), pour un projet de défense du champ proche (0-8 km) d'un navire qui reste pour le moment développé sur fonds propres (soit plusieurs millions d'€ par an depuis plus de 3 ans). Et en attendant un éventuel tuilage avec un programme pour une future installation sur un navire Marine Nationale ou de marines clientes à l'export. Et des essais à la mer qui se poursuivent pour l'embarquement sur le drone Seaquest S (made in Sirehna - filiale de NG et son partenaire Couach) d'un module du LMP (visible ici sur l'avant) crédits FSV/MA 3 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures Intéressant le retour des grenades anti sous marine. On a une idée du modèle du format et des cible ? C'est plutôt contre les plongeurs ? Ou les ROV ? Ou bien c'est vraiment contre les sous marin ? Il s'agirait du même petit modele qui equipe les SDAM? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures il y a 44 minutes, g4lly a dit : Intéressant le retour des grenades anti sous marine. On a une idée du modèle du format et des cible ? C'est plutôt contre les plongeurs ? Ou les ROV ? Ou bien c'est vraiment contre les sous marin ? Il s'agirait du même petit modele qui equipe les SDAM? Contre les AUV peut être ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures il y a 56 minutes, Eau tarie a dit : Contre les AUV peut être ? Pour le SDAM ils parlait d'effaroucher le sous marin qui se traine en dessous. On a pas de détail sur la grenade, sauf qu'elle rentre dans l'encombrement d'une sonobuoy, donc c'est pas très gros ni très lourd, donc pas très puissant. Mais si la petite grenade te tombe pile dessus ca peut etre particulierement désagréable. Et c'est possible via un hélico. Mais lancé depuis un mortier de frégate, et sans guidage tomber pile dessus ca me semble plus "compliqué", sauf à courte distance ... mais si un sous marin est si proche c'est qu'il y a un autre probleme. Donc je supposais que ce n'était pas dédié a cassé les oreilles des sous marinier ... Les russes s'en servent contre les plongeurs, et les drones sous marin effectivement ... il existe un modèle guidé qui est sensé pouvoir attaquer des sous marin voir des torpilles mais j'ai toujours été dubitatif sur l'emploi. C'est la grenade 90SG envoyé par les mortier RPK-8 ... la grenade fait 112kg - le coupe complet avec la propulsion initiale, le grenade elle meme fait seulement 70kg - dispose d'une shape charge, et d'un sonar de guidage, et peut être envoyé à 4500m du navire. A priori les Indiens adhèrent puisqu'ils développent ce genre de solution mais avec des portée plus longue, 8km. An anti-submarine officer of the Indian navy said, “Firing torpedoes to engage the enemy submarine is considered as a deliberate attack and it can be costly if the attack fails. Therefore, the rockets are mainly seen as an ‘urgent attack weapon’, which can be fired as a single or in salvo to disrupt the movement of the submarines. Therefore, the role of the rocket is as crucial as torpedoes.” Plus de détail sur les RPK-8 https://en.topwar.ru/60901-raketnyy-protivolodochnyy-kompleks-rpk-8-zapad.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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