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Une information qui n’a rien d’essentielle, mais qui montre combien l’industrie aérospatiale est globalement très qualitative : les satellites Terra et Aqua dédiés à l’observation de la Terre ont été conçus initialement pour une durée opérationnelle de 6 ans… ils sont fidèles au poste depuis respectivement 23 et 21 ans.

 

 

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Le 28/09/2015 à 13:01, Bruno a dit :

Bon, ce n'est pas un engin spatial mais il m'a semblé pertinent de poster cette info ici : le planeur stratosphèrique européen Perlan II a effectué son premier vol >

http://www.air-cosmos.com/le-planeur-stratospherique-pressurise-perlan-2-a-effectue-son-premier-vol-43675

Il devrait à terme pouvoir planer à 28000m d'altitude, à des fins scientifiques (c'est l'altitude de l'avion espion U-2)

http://www.air-cosmos.com/upload/18/pics/2015/09/web/5609056869c4f.jpg 

Actualisation 8 ans plus tard ... Je découvre l'existence de ce planeur d'Airbus dans le Air et Cosmos de la semaine 

perlan-2-airbus.jpg

Prochain vol prévu dans quelques semaines, objectif 27000 m ! 

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Il y a 1 heure, Bechar06 a dit :

Merci de continuer à assurer la vieille de cette revue si tu es abonné .. En effet des articles papiers ne sont pas systématiquement sur le site et réciproquement ... 

C'est ma bibliothèque de quartier qui est abonnée ^^ 

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lopinion, 21/07

Thales planche sur un réseau de centrales solaires en orbite

l’Agence spatiale européenne a choisi le groupe Thales pour tester des centrales solaires en orbite qui alimenteraient la Terre d’une énergie propre et quasi-illimitée

Citation

Bientôt la fin des énergies fossiles ? Alors que la crise climatique s’accentue, aux conséquences de plus en plus désastreuses partout dans le monde, l’Agence spatiale européenne (ESA) planche sur un pari fou. Celui de « l'énergie solaire d’origine spatiale » qui est une « solution prometteuse », indique l’Union européenne (UE). Selon les informations du Figaro, vendredi 21 juillet, Thales vient d'être sélectionné comme chef de file de cette initiative ambitieuse, nommée Solaris.

Thales Alenia Space (TAS) devra mener une étude de faisabilité sur l’exploitation de centrales solaires en orbite afin de fournir à la Terre une énergie propre, quasi-illimitée, disponible partout sur le globe, mais aussi à bas prix. « Les défis technologiques sont énormes mais passionnants, en particulier la question du stockage de l'énergie solaire et de son acheminement sur Terre », confie à nos confrères Patrice Caine, le PDG de Thales.

Projet colossal. L'énergie solaire en orbite serait envoyée sans fil vers la Terre. Ce projet colossal nécessite donc d’imaginer de nouveaux équipements et de nouveaux concepts afin de fournir cette nouvelle énergie aux huit milliards de Terriens, comme des stations relais en orbite et des panneaux solaires révolutionnaires.

Le groupe Thales, qui mène actuellement un projet de data centers dans l’espace, pourra s’appuyer sur l’expertise de plusieurs mastodontes dans le domaine : Dassault Aviation dans l’aéronautique, Engie, Air Liquide et Enel dans l'énergie. En fonction des résultats de l'étude, l’Union européenne prendra la décision ou non de commercialiser l'énergie spatiale d’ici à 2025.

spacer.png

https://www.thechemicalengineer.com/news/solar-farms-in-space-demo-could-be-ready-by-2030/ (25/11/22)

… les récents développements en matière de fusées réutilisables et de concepts SBSP [space based solar pannels] plus modulaires, associés à des avantages tels qu'une énergie de base propre et continue, jour et nuit, quelles que soient les saisons et les conditions météorologiques, et avec une utilisation des sols bien inférieure à celle des énergies renouvelables conventionnelles, aident l'idée à gagner du terrain. Et avec le potentiel de chaque satellite de transmettre environ 2,9 GW d'énergie nette à une antenne de réception située en un point fixe de la Terre, ce concept a même attiré l'attention du gouvernement britannique. En juillet, les ministres ont annoncé qu'un financement de 3 millions d'euros (3,6 millions de dollars américains) serait alloué à des projets d'énergie solaire basée dans l'espace (SBSP) après avoir confirmé la faisabilité technique du concept par le biais d'une étude indépendante.

Mais pour récolter une énergie comparable à celle d'une centrale nucléaire, il faut un satellite incroyablement grand. Selon SEI [space energy initiative], un système typique comprend une constellation de satellites massifs, d'une taille d'un kilomètre, situés à 38 000 km au-dessus du sol sur une orbite géostationnaire. À cette distance, les satellites massifs ne devraient pas poser de problèmes de pollution lumineuse, selon SEI. Chaque satellite est équipé de panneaux solaires très légers et d'un système de miroirs qui concentre la lumière du soleil sur les panneaux, générant ainsi environ 3,4 GW d'électricité sur le satellite. Celle-ci est convertie en rayonnement micro-ondes RF, avec une efficacité de 85%. Pour permettre au faisceau de micro-ondes de se verrouiller sur le bon point, un faisceau pilote crypté est transmis du sol au satellite. L'intensité maximale du faisceau est <250 W/m2, soit moins d'un quart de l'intensité maximale du soleil à l'équateur et le système sera conçu de manière à être sûr au cas où des humains, des oiseaux ou des animaux s'égareraient dans le faisceau, a déclaré le SEI.

L'antenne de redressement au sol, ou "rectenna" comme on l'appelle, convertit ensuite l'énergie électromagnétique en courant électrique continu qui passe par un onduleur qui fournit une puissance nette de 2 GW en courant alternatif au réseau.

Si le projet de SEI, baptisé CASSIOPeiA, se concrétise, une analyse de modélisation des coûts réalisée par le cabinet de conseil Frazer-Nash montre que le LCOE (levelised cost of electricity), utilisé pour comparer différentes méthodes de production d'électricité sur une base cohérente, se situe entre 37 et 74 euros/MWh, ce qui est compétitif par rapport aux technologies renouvelables terrestres, a déclaré l'organisation. L'avantage de cette technologie réside dans sa disponibilité. Par rapport aux panneaux solaires au sol, qui ne peuvent généralement transformer que 15 à 22 % de l'énergie solaire en énergie utilisable, car les conditions ne sont jamais parfaites, un satellite solaire en orbite géostationnaire peut voir le soleil pendant plus de 99 % du temps. /deepl

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Il y a 11 heures, clem200 a dit :

C'est ma bibliothèque de quartier qui est abonnée ^^ 

Faut que je demande à ma médiathèque, mais bled de 38000 habitants, communauté de 100.000 sans aucune vocation aéronautique … ce sera pas évident. Tu as de la chance ! 

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https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronautique-latitude-spacex-francais-109525/

Beau projet Français, équipe jeune, ambitieuse et dynamique chez Latitude pour le lanceur Zephir de 17m et 100kg en orbite basse. Coopération avec le CNES. Fonctionne a la façon spaceX de manière itérative et a atteint avec seulement 20 millions d'euros a finaliser son lanceur. Les moteurs Navier conçu en impression 3D fonctionnent et progressent en perf avec 1200kg/p par moteur. Le lanceur aura 9 moteur sur le premier étage et 1 sur le deuxième. 1er vol prévu en 2025 à partir du CSG sur l'ancien pas du lanceur Diamant. A suivre.

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Il y a 3 heures, Ardachès a dit :

Une très belle enquête paru dans le Monde d'hier et éclairant une part d'ombre de l'histoire du spatial français dans l'immédiate après-guerre et qui a vu une centaine d'ingénieurs et de techniciens Allemands - ainsi que leur famille - êtres regroupés dans une "cité" créée de toute pièce et à l'écart d'un petit village normand, pour poursuivre leurs recherches (missile, propulsion, guidage, etc. … )

une des plus grandes et plus puissantes soufflerie du monde avait été "démontée" et "récupérée" en Allemagne, à la fin de la guerre, pour y être installée a Modane

Si c'est connu dans les milieux "spatial"  ( VERNON ) et aussi aéronautique ( Modane )... Mais c'est vrai : pas vraiment publique, ni proclamé ubi & orbi, ni     Là Le Monde ( pas lu l'article ) racle les fonds de mémoire

D'autres pays vainqueurs ont récupéré des contingents de scientifiques

De fait l'état français n'a pas "célébré" ouvertement des gens là.    Plus discrètement ?? j'en sais rien 

D'ailleurs suffit de regarder le wikipedia sur la fusée V2 ... à la fin ... Les Etats-Unis, l'URSS, l' UK et la France ont bénéficié des "retombées" , c'est visible pour tout un chacun. Pour la France :

"La France n'est pas en reste1 et recrute trente spécialistes allemands qui s'installent à Vernon en mai 1946 pour travailler au LRBA, à la base du programme spatial français des fusées Véronique puis ultérieurement Ariane."  

Wiki qui rapporte cette référence qui ne date pas d'hier "Olivier Huwart, Du V2 à Véronique : la naissance des fusées françaises, Rennes, Marines, 2004, 189 p"

Modifié par Bechar06
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Et combien d'ingénieurs français réquisitionnés ont-ils apporté leur contribution à l'effort de guerre allemand, la plupart du temps contre leur gré, et n'ont jamais été reconnus à ce titre? Il y en avait pourtant un certain nombre y-compris à Peenemünde.

Je l'avais déjà mentionné, mais au total, environs 20% de l'effort de guerre du 3eme reich est venu de France occupée, que ce soit sous forme de ressources humaines ou de production industrielle.

Dans ce contexte j'ai toujours trouvé les appels à reconnaître l'apport de tel ou tel à la résurgence française post-45, particulièrement fort de café.

Et c'est sans mentionner les secrets militaires français transmis à la Grande Bretagne en 1940, puis que la Grande Bretagne transmettra aux USA, et qui furent utilisés ensuite, y-compris au sein du projet Manhattan.

Alors bon...

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Il y a 4 heures, Patrick a dit :

Et c'est sans mentionner les secrets militaires français transmis à la Grande Bretagne en 1940, puis que la Grande Bretagne transmettra aux USA, et qui furent utilisés ensuite, y-compris au sein du projet Manhattan.

Alors bon...

… On sera d’accord pour dire que dans ce cas de figure, ces « transmissions », c’était pour la bonne « cause », non ?

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Il y a 2 heures, Ardachès a dit :

… On sera d’accord pour dire que dans ce cas de figure, ces « transmissions », c’était pour la bonne « cause », non ?

Bien entendu. Il n'en reste pas moins que jamais leur impact n'a été quantifié à sa juste valeur par les uns ou les autres.

Ce serait acceptable si dans le même temps il n'y avait pas de campagne pour faire d'un côté passer la France pour un pays de singes capitulards mangeurs de fromage qui n'a servi à rien aux alliés, et qui d'un autre côté doit tout aux allemands pour son développement technologique.

Mais malheureusement c'est bel et bien le cas! Et c'est tout ce que je retiens de ce genre de papiers, bien qu'ils restent informatifs au demeurant.

On le voit encore avec cet article dont c'est le propos sous-jacent, puisqu'il ne mentionne même pas le fait que des ingénieurs français avaient été contraints à bosser pour les nazis au plus haut niveau!

On a même droit à un passage surréaliste:

Son père a décroché un emploi de photographe des essais balistiques au LRBA. Ironie de l’histoire, il a appris son métier en Allemagne, pendant la seconde guerre mondiale, alors qu’il avait été réquisitionné pour le STO, le service du travail obligatoire institué par le régime de Vichy.

Quelle belle histoire!
Le STO lui a "appris un métier"!

Et mon pied au cul, il va apprendre son métier au journaliste aussi?

Au passage le STO était surtout demandé par l'Allemagne nazie, hein. vichy s'est exécuté mais a surtout créé les chantiers de jeunesse pour éviter que tous les petits français soient réquisitionnés par le 3eme reich.

J'ai eu de la famille envoyée au STO et ça n'était pas une sinécure. L'un a fini dans les mines de sel, l'autre a été pris sous son aile par un autre français, cordonnier de profession, qui lui a sauvé la mise en le faisant passer pour son apprenti et lui enseignant son métier sur le tas.

 

Enfin bref, bien sûr personne en France n'a à cœur de dépoussiérer ces vieilles affaires de peur de réveiller les morts, et un certain nombre d'individus en profitent. Alors certes il ne faut pas voir le mal partout. Mais à titre personnel, je ne laisse plus rien passer.

Modifié par Patrick
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  • 1 month later...

La nouvelle fusée Vulcan d’ULA devrait réaliser son 1er vol ce lundi :


La comparaison visuelle avec Atlas V, qu’elle remplace :

 

 


Pas de surenchère quant aux performances du véhicule de la part d’ULA, même si elle n’effectuera pas de tir statique avant sa tentative.

Pour ce 1er vol, la Vulcan a ainsi un premier étage équipé de 2 réacteurs BE-4 de Blue Origin, qui effectueront eux-aussi leur vol inaugural pour l’occasion (et qui équiperont à terme la New Glen), ainsi que 2 propulseurs d’appoint à propergol solide GEM-63 XL, dernière itération des propulseurs à poudre qui équipèrent les Delta II, III et IV ainsi que l’Atlas V.

Le GEM-63 a effectué son 1er vol en décembre 2020, le GEM-63 XL est une version rallongée d’1,5m, pour une longueur totale de 21,5m avec sa tuyère.
À terme, la Vulcan est prévue pour pouvoir être configurée avec jusqu’à 6 propulseurs à poudre d’appoint, en fonction des missions à réaliser.

 

 

Live à suivre ici :

 

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La nouvelle fusée Vulcan d’ULA devrait réaliser son 1er vol ce lundi :


La comparaison visuelle avec Atlas V, qu’elle remplace :

 

 


Pas de surenchère quant aux performances du véhicule de la part d’ULA, même si elle n’effectuera pas de tir statique avant sa tentative.

Pour ce 1er vol, la Vulcan a ainsi un premier étage équipé de 2 réacteurs BE-4 de Blue Origin, qui effectueront eux-aussi leur vol inaugural pour l’occasion (et qui équiperont à terme la New Glen), ainsi que 2 propulseurs d’appoint à propergol solide GEM-63 XL, dernière itération des propulseurs à poudre qui équipèrent les Delta II, III et IV ainsi que l’Atlas V.

Le GEM-63 a effectué son 1er vol en décembre 2020, le GEM-63 XL est une version rallongée d’1,5m, pour une longueur totale de 21,5m avec sa tuyère.
À terme, la Vulcan est prévue pour pouvoir être configurée avec jusqu’à 6 propulseurs à poudre d’appoint, en fonction des missions à réaliser.

 

 

Live à suivre ici :

 

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La Vulcan d’ULA - équipée de ses 2 réacteurs au méthane BE-4 de Blue Origin - aura fait le job, et même très bien, et ce dès son premier vol.

Elle est taillée pour mettre jusqu’à 27 tonnes en LEO.

 

Un des prochains passagers, au plus tôt début avril, sera le Dream Chaser. Spectacle garanti.
 

Modifié par TarpTent
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il y a 32 minutes, Ardachès a dit :

… Aïe, il semblerait que "l'alunisseur" ait rencontré un problème d'orientation qui compromettrait la mission … A suivre pour plus de détail

Oui, ils n’arriveraient pas à stabiliser l’orientation des panneaux solaires vers le soleil.
cela peut évidemment poser souci pour recharger les batteries.

 

Pour le moment, Astrobotic pense que cela provient d’une anomalie de propulsion, ce qui compromettrait grandement les chances d’un alunissage en douceur.

 

La dernière commande manuelle d’orientation des panneaux vers le soleil a créé une perte - attendue - de signal.
 

Pour le moment, tout le monde attend son rétablissement.

 

 

Modifié par TarpTent
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Ça semble bien mal engagé.


Si la communication a été rétablie et que les générateurs fonctionnent grâce aux panneaux solaires, Astrobotic précise dans son dernier point que les soucis de propulsion semblent entraîner une “perte critique de carburant“.

Bien qu’ils essayent de limiter la casse, Astrobotic affirme que d’ores et déjà, la société va s’attacher à maximiser la collecte des données scientifiques, et réfléchit à un nouveau profil de mission (sans alunissage, de fait) qui serait raisonnablement faisable compte-tenu des circonstances.

 

Modifié par TarpTent
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Le constat est définitif : il reste environ 40 heures de fonctionnement avant que Peregrine ne soit plus opérationnel.

En cause, une “culbute incontrôlable“ qui oblige les thrusters à sur-compenser le mouvement afin de garder les panneaux solaires dans la bonne orientation, et donc à consommer le carburant à forte dose.

Ce dernier sera épuisé dans une quarantaine d’heures, rendant impossible tout maintien des panneaux solaires vers le soleil, et par conséquent tout semblant de contrôle et toute opération de science.
 

 

Modifié par TarpTent
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… Cette malédiction !

Et c’est reparti pour un tour car mis a part nos amis Chinois, on attend le prochain qui remettra les roues d’un rover sur Séléné.

(Ah, on me souffle dans le casque que personne n’est allé sur la lune … dont acte)

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il y a une heure, Ardachès a dit :

… Cette malédiction !

Et c’est reparti pour un tour car mis a part nos amis Chinois, on attend le prochain qui remettra les roues d’un rover sur Séléné.

(Ah, on me souffle dans le casque que personne n’est allé sur la lune … dont acte)

Es-tu au courant que nos amis indiens y sont allés, avec succes, l’été dernier?

https://edition.cnn.com/2023/08/23/world/chandrayaan-3-lunar-landing-attempt-scn/index.html

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