Rouletabille Posté(e) le 9 novembre Share Posté(e) le 9 novembre il y a 14 minutes, Banzinou a dit : Vidéo datant de mai 2025 La moitié du parc c'est de l'Irisbus, avec quelques Iveno de la seconde fournée Seul le PC est renouvelé Alors oui on commence à voir les nouveau Iveco mais ils représentent la minorité du parc Et ici avril 2025 Il n'y a pas de VMG et VME en Iveco ? J'avais aussi vu passer des nouveaux Irisbus, ou, en tout cas, des gros cars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 9 novembre Share Posté(e) le 9 novembre il y a 27 minutes, Rouletabille a dit : Il n'y a pas de VMG et VME en Iveco ? J'avais aussi vu passer des nouveaux Irisbus, ou, en tout cas, des gros cars. Si si, j'en vois quelque uns Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 10 novembre Share Posté(e) le 10 novembre Citation Les forces de l’ordre vont se convertir au bioéthanol... que l’État a finalement renoncé à taxer Le bon sens l’a emporté lors de l’examen de la loi de Finances. Les députés se sont opposés à une hausse de la fiscalité sur les biocarburants au moment où la société Flexfuel Energy Développement annonce équiper 40.000 véhicules des forces de sécurité intérieure d’un boîtier E85. https://www.lefigaro.fr/automobile/les-forces-de-l-ordre-vont-rouler-au-bioethanol-20251021 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LetMePickThat Posté(e) le 10 novembre Share Posté(e) le 10 novembre Il y a 14 heures, clem200 a dit : https://www.lefigaro.fr/automobile/les-forces-de-l-ordre-vont-rouler-au-bioethanol-20251021 Ça fera une moyenne avec nous, qui roulons au carburéacteur ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 novembre Share Posté(e) le 10 novembre il y a 8 minutes, LetMePickThat a dit : Ça fera une moyenne avec nous, qui roulons au carburéacteur ! Il est sans taxe en même temps... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Bergerac : un drone a survolé un site produisant des tonnes de poudre pour l’armée française, une enquête ouverte L’engin a survolé deux fois lundi dans la soirée ce site pouvant produire jusqu’à 1 200 tonnes de poudre par an pour l’armée française, sans être identifié ni intercepté. Une enquête a été ouverte après le survol illégal, lundi 10 novembre dans la soirée, à Bergerac d’un site de la société Eurenco, qui produit de la poudre propulsive pour les obus, a appris l’Agence France-Presse (AFP) mardi auprès de la préfecture de Dordogne. Selon une source policière, un drone a survolé à deux reprises vers 19 heures ce site pouvant produire jusqu’à 1 200 tonnes de poudre par an pour l’armée française, sans avoir pu être intercepté ni identifié, et son télépilote est toujours recherché. Une enquête pour « survol volontaire par le pilote d’un aéronef d’une zone interdite » a été ouverte et confiée à la direction interdépartementale de la police nationale de la Dordogne, et la société Eurenco déposera plainte mercredi, a détaillé la préfecture du département par communiqué. « La sécurité du site, classé sensible, reste une priorité absolue » et « les mesures de surveillance et de protection ont été renforcées dès la constatation du survol », a-t-elle ajouté. Un chiffre d’affaires doublé en cinq ans Eurenco, créé en 2004, est le leader européen des poudres et explosifs avec deux sites en France (Bergerac et Sorgues dans le Vaucluse), un autre en Suède et un dernier en Belgique. L’entreprise compte quelque 1 700 employés et a réalisé près de 500 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024 – il a doublé en cinq ans. Ses poudres, propulsives ou explosives, sont utilisées dans l’ensemble des munitions françaises et beaucoup de munitions européennes, bombes, têtes de missiles et de torpilles, obus ou munitions de moyen calibre. Son unité périgourdine de production de poudre a été inaugurée en mars, près de vingt ans après la délocalisation de cette production en Suède en 2007, faute de commandes, actant ainsi une relocalisation stratégique au moment où l’Europe souhaite se réarmer. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/11/11/bergerac-un-drone-a-survole-illegalement-un-site-de-production-de-poudre-de-la-societe-eurenco-une-enquete-ouverte_6653022_3234.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 novembre Share Posté(e) le 13 novembre Des incidents impliquant des drones se multiplient en France : après les survols d’une base militaire et d’un dépôt de poudre, un convoi de chars Leclerc ciblé Des incidents impliquant des drones se sont multipliés ces dernières semaines, aussi bien en France qu’en Europe, où la main de la Russie a été évoquée malgré les démentis de Moscou. Mourmelon, Bergerac puis Mulhouse. Le parquet de Mulhouse a annoncé, mercredi 12 novembre, l’ouverture d’une enquête après le survol la veille d’un drone au-dessus du commissariat de cette ville du Haut-Rhin et d’une gare à proximité où se trouvait un convoi transportant des chars Leclerc. Les investigations se concentrent actuellement sur l’identification du ou des pilotes de cet appareil, a souligné le parquet dans un communiqué. « En l’état, aucun élément ne permet d’indiquer s’il s’agit d’un survol délibéré de ces zones ou d’un simple passage inopiné de l’appareil à l’occasion d’un autre trajet », a-t-il ajouté. L’enquête de flagrance, confiée au commissariat de police de Mulhouse, porte sur des infractions de « survol volontaire par le pilote d’un aéronef d’une zone interdite », de « maintien par le pilote d’un aéronef au-dessus d’une zone interdite » et de « télépilotage d’un aéronef de nuit ». Les faits se sont déroulés mardi à partir de 23 h 45, quand un agent de police a signalé la présence d’un drone au-dessus de la cour du commissariat, détaille le parquet. L’agent n’a pas vu l’appareil, mais une « écoute attentive » a permis « d’identifier au moins deux passages à basse altitude ». Environ cinq minutes plus tard, le Centre d’information et de commandement (CIC) de Mulhouse a été informé « de la présence d’un drone survolant la zone de triage ferroviaire de Mulhouse Nord, qui accueillait depuis 23 h 30 un convoi militaire composé de chars Leclerc », a-t-il ajouté. Selon un agent de sécurité sur place, l’appareil dépourvu d’éclairage a survolé « la zone de stockage du convoi militaire » avant de disparaître dans une direction inconnue. Les chars Leclerc stationnant dans la gare revenaient d’un exercice militaire, a précisé une source de l’armée. Multiplication des survols de drones sur des sites sensibles Des incidents impliquant des drones se sont multipliés ces dernières semaines, aussi bien en France qu’en Europe, où la main de la Russie a été évoquée malgré les démentis de Moscou. Lundi, une enquête a ainsi été ouverte après le survol illégal à Bergerac d’un site de la société Eurenco, qui produit de la poudre à propulsion d’obus, selon la préfecture de Dordogne. Le survol d’Eurenco est dû à « un drone du commerce classique, type DJI, donc de volume raisonnable », a souligné le général Marc Le Bouil, le commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes, mercredi devant les députés. A la fin de septembre, la base militaire de Mourmelon dans la Marne, où ont été formés des soldats ukrainiens, avait aussi fait l’objet de survols de drones. « La difficulté, c’est d’être sûr de ce qu’on a vu », a affirmé le général Le Bouil, à propos des signalements de vols de ces engins à proximité de sites sensibles. « De nuit, j’ai vu un certain nombre de bases où des personnes voyaient des drones et qui correspondaient aux traces radar des avions de ligne qui passent à la verticale de la base », a-t-il dit. Le Monde avec AFP https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/11/12/mulhouse-enquete-ouverte-apres-le-survol-d-un-convoi-de-chars-leclerc_6653159_3224.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 13 novembre Share Posté(e) le 13 novembre Après il y a drone et drone... Et pas mal de petits rigolos qui doivent s'inscrire dans l'emballement médiatique... 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 novembre Share Posté(e) le 13 novembre Il y a 9 heures, pascal a dit : Après il y a drone et drone... Et pas mal de petits rigolos qui doivent s'inscrire dans l'emballement médiatique... Des rigolos possiblement payés et entraînés par un acteur extérieur? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 14 novembre Share Posté(e) le 14 novembre Il y a 14 heures, Patrick a dit : Des rigolos possiblement payés et entraînés par un acteur extérieur? Ou pas... Les lasers dans nos hélicos, jusqu'à preuve du contraire ce ne sont pas des Russes. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre « Les vidéos de Sainte-Soline donnent à voir le résultat de la criminalisation des écologistes, telle qu’elle est portée au plus haut niveau de l’Etat » Légitimée par la parole politique, la criminalisation des mouvements écologistes infuse dans toutes les strates de la société et n’épargne ni les forces de l’ordre ni la magistrature, déplore dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ». Les vidéos tournées par les caméras-piétons des gendarmes mobilisés le 25 mars 2023 autour de la mégabassine de Sainte-Soline (Deux-Sèvres), révélées début novembre par Libération et Mediapart, constituent une documentation exceptionnelle. D’abord pour ce qu’elles montrent de la doctrine française de maintien de l’ordre et de son application, mais aussi pour ce qu’elles donnent à voir des effets, sur le comportement des gendarmes, de la criminalisation des mouvements environnementalistes. Bien sûr, les images montrent sans détour que la violence n’a pas été le seul fait des forces de l’ordre. Quarante-cinq gendarmes mobiles ont été blessés du fait d’une petite minorité des manifestants rassemblés – moins de 1 000 personnes sur les 8 000 (selon les autorités) à 30 000 (selon les associations) présentes dans les différents cortèges. Plus de 200 militants ont été blessés, dont au moins une quarantaine gravement. Les vidéos indiquent que l’action des forces de l’ordre a été conduite sans souci de proportionnalité ou de légalité. A de nombreuses reprises, des tirs tendus de grenades (dites « GM2L ») – pourtant strictement interdits – sont pratiqués sur ordre explicite de gradés. Ces images n’ont en outre capté, à l’évidence, que les scènes considérées comme les plus bénignes par les forces de l’ordre elles-mêmes, chaque gendarme étant libre d’activer ou non sa caméra-piéton, à tout moment. Le plus accablant n’est cependant pas tant les actes en eux-mêmes que la bande-son qui les accompagne. Le flot d’insultes proférées, y compris dans les moments de calme, est saisissant : « fils de pute » et « ta mère la pute » sont éructés à foison, accompagnés de nombreux propos qui transpirent un vif plaisir d’en découdre et, surtout, la joie de blesser, de mutiler, voire le désir de tuer les gens d’en face. « Je compte plus les mecs qu’on a éborgnés ! », jubile l’un. « J’espère bien que t’en as éborgné, hein », lui répond un autre. « Un vrai kif ! », « faut qu’on les tue ! », « t’en crèves deux-trois, ça calme les autres, hein », « j’ai cru que le mec il allait jamais se relever ! (…) Il a dû la [une grenade GM2L] prendre pleine gueule ! »… « Là, précise un jeune gendarme, ce serait bien de faire une nasse et de les massacrer. » Un autre abonde : « Des merdes comme ça, il faut les brûler. » Le plus souvent, ces propos sont articulés calmement, hors des moments de tension ou d’affrontement. Et s’ils ne sont pas le fait de tous les gendarmes mobilisés, au moins sont-ils considérés comme suffisamment acceptables pour être lancés à la cantonade. Des enfants sont dans l’un des cortèges ? « Bah, c’est le jeu, fallait pas les emmener. » Des urgences vitales sont signalées à quelques dizaines de mètres ? « Ça leur fait la bite », dit un gradé. La violence de l’affrontement explique sans doute une part des agissements des forces de l’ordre. Mais une part seulement : les propos tenus dénotent une stigmatisation de l’engagement des manifestants, indépendamment des agissements de quelques-uns. Des militants pacifiques s’approchent pour ramasser les débris de l’affrontement et ces « écolos » sont immédiatement raillés pour leur volonté de nettoyer le champ de bataille. L’un d’eux, isolé, est assis à quelques dizaines de mètres : « Il a fait quelque chose celui-là ? », demande un gendarme. « Il communie avec la nature, lui répond son interlocuteur. C’est vrai que je lui enverrai bien une grenade dans la gueule, mais bon. » « Ecoterrorisme » Les vidéos de Sainte-Soline donnent aussi, et peut-être surtout, à voir le résultat de la criminalisation d’un groupe social – les « écolos », autrement qualifiés de « pue-la-pisse » – portée depuis peu au plus haut niveau de l’Etat. Les forces de l’ordre déploient des moyens considérables pour empêcher des manifestants de s’approcher du chantier d’une réserve d’eau (« un putain de trou qui n’appartient même pas à l’Etat », comme l’observe un gendarme), tandis que les dégradations, voire la destruction de bâtiments publics, par d’autres groupes sociaux comme certains agriculteurs, n’appellent aucune réaction. « Ecoterrorisme » d’un côté – pour reprendre la terminologie de Gérald Darmanin –, justes revendications de l’autre. Légitimée par la parole politique et une conversation publique qui penche de plus en plus à l’extrême droite, la criminalisation des militants écologistes ruisselle sur toute la société. Elle infuse dans toutes ses strates et n’épargne ni les forces de l’ordre ni la magistrature. Elle transforme complètement la perception du moindre acte de protestation, indépendamment du bien-fondé de ses motivations ou de son caractère pacifique. Un jet de peinture sur la façade de Matignon ? Six mois de prison ferme en septembre pour une militante de Dernière Rénovation. Deux mots (« Stocamine contamine ») tagués début novembre sur un pont à Dorlisheim (Bas-Rhin) pour dénoncer le stockage de 40 000 tonnes de déchets ultimes dans une mine désaffectée, au-dessus de la plus grande nappe phréatique d’Europe ? Huit membres d’Extinction Rebellion sont gardés à vue pendant près de cinquante heures, dénonce l’association. Depuis plus de deux ans, le rapporteur spécial des Nations unies pour les défenseurs de l’environnement, Michel Forst, n’a de cesse de dénoncer cette criminalisation rampante des mouvements écologistes par l’Etat français, au point de mettre en cause celui-ci pour de possibles violations de la convention d’Aarhus portant sur l’accès à l’information et à la justice en matière d’environnement. Avec le recul, tout cela paraîtra bien étrange et il n’est pas toujours nécessaire d’attendre très longtemps pour que le cours des choses s’inverse. En décembre 2024, dix-huit mois après la bataille de Sainte-Soline, la fameuse bassine était déclarée illégale par la justice administrative. Les « pue-la-pisse » avaient raison. https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/11/16/les-videos-de-sainte-soline-donnent-a-voir-le-resultat-de-la-criminalisation-des-ecologistes-telle-qu-elle-est-portee-au-plus-haut-niveau-de-l-etat_6653612_3232.html 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) samedi à 19:30 Share Posté(e) samedi à 19:30 Des policiers provoquent des manifestants féministes et antiracistes en s’affichant avec leur banderole, une enquête administrative ouverte Selon le média en ligne « Blast », qui a publié la photographie en question, « s’afficher encagoulés avec le matériel ennemi retourné » est « une pratique très connue des milieux hooligans ». Une enquête administrative a été ouverte, après la publication par le média en ligne Blast d’une photographie montrant des policiers cagoulés posant derrière une banderole féministe et antifasciste, tenue à l’envers, a déclaré samedi 29 novembre la Préfecture de police (PP) de Paris. Selon Blast, qui affirme que le cliché a été pris dans un commissariat, « s’afficher encagoulés avec le matériel ennemi retourné » est « une pratique très connue des milieux hooligans ». « En reprenant ouvertement les codes hooligans, ces policiers affichent clairement – et fièrement, en uniforme – leur posture d’ennemis des mouvements féministes et antiracistes », poursuit le média en ligne. La banderole noire, sur laquelle il est écrit en rouge et blanc « Antifa Féministes contre la transphobie & le racisme », a été récupérée par des policiers lors de la manifestation contre les violences sexuelles et sexistes le 22 novembre à Paris, toujours selon la même source. « Alertés [vendredi] de la publication d’une photo représentant une de ses unités tenant une banderole à l’envers, les services de la Préfecture de police ont immédiatement ouvert une enquête administrative », a réagi auprès de l’Agence France-Presse (AFP) la PP. Des réactions politiques face à la polémique « Qu’il y ait des gens qui déshonorent leur uniforme comme ceux-là, c’est une chose. Que la hiérarchie reste muette et qu’il n’y ait plus un policier qui ose dire son désaccord nous en dit long sur le danger que courent les femmes face à de tels individus », a dénoncé sur le réseau social X le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. « Non contents de se comporter comme de vulgaires hooligans, ces policiers adoptent les codes de miliciens. C’est une prise de position, une volonté d’intimidation, une provocation », s’est insurgé dans un communiqué le député (Paris, Les Ecologistes) Pouria Amirshahi, qui « demande au ministre de l’intérieur de rappeler que la police républicaine est garante des libertés publiques, pas des idéologies ni de l’esthétique de nervis violents et ennemis des idées humanistes ». https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/11/29/des-policiers-provoquent-des-manifestants-feministes-et-antiracistes-en-s-affichant-avec-leur-banderole-une-enquete-administrative-ouverte_6655394_3224.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) samedi à 20:20 Share Posté(e) samedi à 20:20 C'est sûr que la banderole à l'envers ça laisse peu de doute ! C'est pas seulement une pratique de milieux hooligans, c'est une pratique des milieux politiques violents hors hooliganisme type Jeune Garde ou Zouaves Paris. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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