rendbo Posté(e) le 24 mai 2018 Share Posté(e) le 24 mai 2018 Il y a 11 heures, Alexis a dit : C'est bien eux qui l'emporteront. A vrai dire ils l'ont déjà emporté. Notre cinquième colonne est à l’œuvre: quand on voit les dégâts que font les Verts (non pas les islamistes, les écolos) dans leurs industries... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 24 mai 2018 Auteur Share Posté(e) le 24 mai 2018 Dans l'autre sens, il y a aussi la tribune suivante, signée par 14 économistes français et allemands : https://www.telos-eu.com/fr/reconcilier-solidarite-et-discipline-de-marche-dan.html (17 janvier 2018) Nous considérons que cette polarisation du débat entre solidarité (entre États membres) et responsabilité (au niveau de chacun d’entre eux) constitue une fausse alternative, et cela pour trois raisons. Premièrement, une architecture financière solide requiert des instruments à la fois pour prévenir les crises (par de bonnes incitations) et pour en atténuer les effets (lorsque malgré les précautions, une nouvelle crise survient). Deuxièmement, il est faux d’affirmer que tout mécanisme de solidarité entraînera inévitablement des comportements déviants de la part des États qui chercheront à tirer profit du système. Troisièmement, un tel mécanisme est en fait nécessaire si l’on veut s’appuyer davantage que par le passé sur la discipline de marché... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 24 mai 2018 Share Posté(e) le 24 mai 2018 il y a 23 minutes, Wallaby a dit : Dans l'autre sens, il y a aussi la tribune suivante, signée par 14 économistes français et allemands : https://www.telos-eu.com/fr/reconcilier-solidarite-et-discipline-de-marche-dan.html (17 janvier 2018) Nous considérons que cette polarisation du débat entre solidarité (entre États membres) et responsabilité (au niveau de chacun d’entre eux) constitue une fausse alternative, et cela pour trois raisons. Premièrement, une architecture financière solide requiert des instruments à la fois pour prévenir les crises (par de bonnes incitations) et pour en atténuer les effets (lorsque malgré les précautions, une nouvelle crise survient). Deuxièmement, il est faux d’affirmer que tout mécanisme de solidarité entraînera inévitablement des comportements déviants de la part des États qui chercheront à tirer profit du système. Troisièmement, un tel mécanisme est en fait nécessaire si l’on veut s’appuyer davantage que par le passé sur la discipline de marché... Il fallait s'y attendre Je note quand même que c'est plutôt une initiative française dans ce cas, ce qui a une teneur différente qu'une contre tribune allemande. Quant a Telos, il faut voir ce qu'est ce think-tank ("Agence intellectuelle"), ses orientations de construction Européenne, et ses membres. Je ne suis pas certain que le "manifeste" des 154 professeurs soit l’émanation d'une structure aussi partisane. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 29 mai 2018 Auteur Share Posté(e) le 29 mai 2018 https://www.osw.waw.pl/en/publikacje/analyses/2018-05-23/germanys-defence-budget-more-rhetoric-money (23 mai 2018) Le budget de la défense allemand représentera 1,3 % du PIB du pays en 2019, mais ce pourcentage tombera à 1,2 % en 2022, malgré une légère augmentation nominale du financement, en raison de la croissance économique prévue en Allemagne. Les plans du gouvernement allemand pour le financement de la Bundeswehr au cours des quatre prochaines années sont loin derrière les engagements politiques que Berlin a pris au sommet de l'OTAN au Pays de Galles en 2014. Ils avaient précisé une augmentation du budget de la défense à 2 % d'ici 2024. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 30 mai 2018 Share Posté(e) le 30 mai 2018 (modifié) Citation En Allemagne, Angela Merkel embarrassée par un scandale de cartes de séjour C’est la première affaire embarrassante pour Angela Merkel depuis l’entrée en fonctions de son nouveau gouvernement, (...). Révélée mi-avril, elle concerne l’Office fédéral des migrations et des réfugiés (BAMF), dont l’antenne régionale de Brême aurait accordé l’asile de façon indue à plus de 1 200 personnes entre 2013 et 2016. Après l’ouverture d’une enquête (...) le Bundestag s’est à son tour saisi du dossier, mardi 29 mai, en auditionnant le ministre fédéral de l’intérieur, le conservateur bavarois Horst Seehofer (CSU), dont dépend administrativement le BAMF. Jusque-là, l’affaire n’était que judiciaire. Désormais, elle est également politique. Pour l’heure, les enquêteurs s’intéressent principalement à quelques personnes : l’ancienne responsable de l’antenne brêmoise du BAMF, trois avocats ainsi qu’un interprète. Le rôle de chacun est encore peu clair, mais la justice les soupçonne d’avoir délibérément bâclé certaines procédures de vérification d’identité pour permettre à environ 1 200 étrangers, irakiens et syriens en majorité, d’obtenir le statut de réfugié. (...) Qui savait quoi et depuis quand ? Le BAMF a-t-il couvert, volontairement ou par négligence, son antenne brêmoise ? Des cas semblables ont-ils existé ailleurs ? Sans surprise, le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) a déjà réclamé la création d’une commission d’enquête parlementaire. Principale force d’opposition au Bundestag, l’AfD veut ainsi profiter de l’occasion pour faire le procès de la politique migratoire d’Angela Merkel. (...) https://www.lemonde.fr/europe/article/2018/05/30/en-allemagne-angela-merkel-embarrassee-par-un-scandale-de-cartes-de-sejour_5306891_3214.html Stratégiquement, c'est surement moins grave que le sous-investissement chronique de Berlin dans son outil de défense, mais politiquement c'est une autre paire de manche. Cela toucher à la seule plus importante décision politique prise par la chancelière depuis le début de son premier mandat : l'accueil d'un million de réfugiés. L'AFD joue sur du velours en insistant lourdement sur ce point et peut déjà envisager de capitaliser sur ce point lors des élections régionales d'octobre prochain. Pas de quoi rassurer la CSU bavaroise qui craint de voir son emprise sur la Bavière remise en cause. Il y a un mois, ils entendaient déjà imposer un crucifix dans toutes les mairies et administrations du Land ( À partir du 1er juin, l'emblème chrétien devra se trouver à l'entrée des bâtiments publics. Une décision très politique du ministre-président de Bavière. http://www.lepoint.fr/europe/allemagne-en-baviere-le-crucifix-fait-polemique-02-05-2018-2215080_2626.php ) On peut se demander qu'est-ce qu'ils vont inventer: une séance publique de prière avant chaque vote? Modifié le 30 mai 2018 par Desty-N 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 31 mai 2018 Share Posté(e) le 31 mai 2018 Citation (...) Le président américain Donald Trump a dit en avril à son homologue français Emmanuel Macron qu'il interdirait les voitures de luxe allemandes aux Etats-Unis, écrit le Wirtschatswoche jeudi, citant plusieurs diplomates américains et européens. (...) Les constructeurs allemands contrôlent 90% du segment haut de gamme aux États-Unis (...) Au sein de l'Union européenne (UE), l'Allemagne est le premier exportateur automobile vers les États-Unis. Les importations de voitures de tourisme européennes par les États-Unis ont représenté 6,2 milliards d'euros en 2017, (...) Les constructeurs allemands ont monté 804.000 automobiles aux États-Unis l'an passé et en ont exporté encore 657.000 vers l'Amérique du Nord à partir de l'Allemagne (...) Berlin n'apprécie guère que Washington ait ouvert cette enquête, susceptible de déboucher sur des droits de douane pouvant atteindre 25%, en invoquant, tout comme pour les droits de douane imposés sur l'acier et l'aluminium, le même motif de sécurité nationale. Une telle décision se traduirait pour la voiture haut de gamme allemande par une charge de 4,5 milliards d'euros (...) https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/trump-veut-interdire-les-voitures-de-luxe-allemandes-aux-etats-unis-780259.html C'est clair que si "Berlin n'apprécie guère", ça va faire changer Trump d'avis. Plus sérieusement, je suis d'accord avec Alexis : Washington ne raisonne plus qu'en terme de rapport de force. Face à une nation qui cède à leurs exigences même totalement impudentes, ils n'ont aucune raison d'aller de plus en plus loin. Et vu la taille de l'excédent budgétaire allemand vis-à- vis des USA, je ne vois aucune raison pour laquelle Trump se calmerait. Bref, pour citer Churchill : "Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre." (Oui, je connais le contexte dans lequel il a prononcé cette phrase) Mais bon, Angela Merkel/ Conscience de l'Europe a préféré utiliser son capital politique pour accueillir un million d'immigrés, tordre le bras à la CDU /CSU sur le sujet, faire la leçon aux autres pays d'Europe sur leur manque de compassion et aider l'AFD à devenir la troisième force politique d'Allemagne.… Si Berlin se conforme aux exigences Washington, la seule question qui se pose c'est la nature de la prochaine réclamation de Trump. Je parierais bien sur les hydrocarbures: Citation (...) Grâce aux nouvelles techniques d'exploitation des bassins de schiste, en particulier (...) dans le nord-est du pays, les États-Unis sont depuis 2009 le premier producteur de gaz naturel au monde. (...) Résultat: les États-Unis devraient, (...), devenir le 3ème exportateur mondial de GNL en 2020, derrière l'Australie et le Qatar et devant la Malaisie (...) Donald Trump encourage cet essor. (...) Selon certains (...), la décision du président américain de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien, qui pourrait empêcher Téhéran d'exploiter (...) ses (...) réserves de gaz, ou ses (...) critiques à l'encontre du gazoduc Nord Stream 2 visant à relier la Russie à l'Allemagne, sont aussi une façon de dégager le terrain pour le gaz naturel américain. (...)https://www.challenges.fr/economie/le-gaz-naturel-americain-pret-a-conquerir-le-monde_589199 Le point faible de cette théorie, c'est qu'elle attribue à Trump une capacité à raisonner sur le moyen terme . Mais il écoute peut-être juste le lobby américain des producteurs de gaz. En tout cas les USA imposent et maintiennent des sanctions à la Russie et à l'Iran, qui s'avèrent comme les deux nations avec les plus grosses réserves de gaz au monde. La Chine a les moyens et la volonté de s'opposer. L'Europe a les moyens, mais pour qu'elle fasse preuve de volonté, il faudrait que l'Allemagne se réveille et commence par se coordonner avec la France. On en est loin . A ce rythme là, la chancelière risque de laisser une trace dans l'histoire plus faible que son prédécesseur qui, en deux mandats, s'est opposé frontalement aux États-Unis au sujet de la guerre d'Irak et a initié les « réformes Hartz » qui ont coïncidé avec le retour de la croissance en la RFA. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 31 mai 2018 Auteur Share Posté(e) le 31 mai 2018 il y a 55 minutes, Desty-N a dit : Face à une nation qui cède à leurs exigences même totalement impudentes L'Allemagne est restée ferme sur sa volonté de construire le gazoduc Nord Stream 2. Washington n'a pas sanctionné les entreprises allemandes et russes qui construisent Nord Stream 2. Washington a cédé. Berlin a gagné... et n'a pas cédé. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 31 mai 2018 Share Posté(e) le 31 mai 2018 il y a 14 minutes, Wallaby a dit : L'Allemagne est restée ferme sur sa volonté de construire le gazoduc Nord Stream 2. Washington n'a pas sanctionné les entreprises allemandes et russes qui construisent Nord Stream 2. Washington a cédé. Berlin a gagné... et n'a pas cédé. Pourvu que ça dure (et que la RFA se prépare à une possible escalade). Parce que je crains qu'on en soit qu'aux excarmouches : Citation Trump au bord de la guerre commerciale avec l'Europe. L'Union européenne est prête à riposter. (...) Si l'Europe ne souhaite pas l'escalade, elle introduira néanmoins dans un règlement rénové la possi-bilité de représailles directes contre les inté-rêts américains en Europe. Si une entreprise européenne est victime de sanctions aux États-Unis, les entreprises américaines de la filière concernée ou ses con-currentes directes pourraient se voir pareillement sanctionnées sur le territoire de l'UE." (…) https://www.lepoint.fr/tiny/1-2222947 Depuis quelques semaines, je m'attend à ce que Trump fasse flèche de tout bois. Ça ne m'étonnerait même plus qu'il menace de quitter l'Otan et de retirer les troupes américaines des bases européennes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 31 mai 2018 Share Posté(e) le 31 mai 2018 il y a 38 minutes, Desty-N a dit : Depuis quelques semaines, je m'attend à ce que Trump fasse flèche de tout bois. Ça ne m'étonnerait même plus qu'il menace de quitter l'Otan et de retirer les troupes américaines des bases européennes chiche ! si ça pouvait être vrai ..... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 31 mai 2018 Share Posté(e) le 31 mai 2018 Il y a 1 heure, Lezard-vert a dit : chiche ! si ça pouvait être vrai ..... C'est une discussion qui aurait plutôt sa place sur d'autres fils du forum. Pour essayer de rester dans le sujet, la France serait sans doute la moins mal équipée de l'UE pour faire face à cette hypothétique situation, mais je ne sais pas comment l'Allemagne ferait pour s'adapter. En tout cas, une chose est sure, ils seraient mal barrés pour le marché des sous-marins polonais. Sans l'Oncle Sam pour les épauler face à Vlad, les dirigeants polonais risquent de considérer comme vitale une possibilité de seconde frappe, à l'aide de missiles de croisière embarqués. Et en Europe, il semble que nous soyons les seuls à le proposer ... Mais bon, pour le moment, je pense que Trump se contentera de brandir des menaces. En même temps, j'aurais dit la même chose voici un mois, concernant le traité sur le nucléaire iranien ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 1 juin 2018 Share Posté(e) le 1 juin 2018 (modifié) Il y a 14 heures, Desty-N a dit : Pour essayer de rester dans le sujet, la France serait sans doute la moins mal équipée de l'UE pour faire face à cette hypothétique situation, mais je ne sais pas comment l'Allemagne ferait pour s'adapter. C'est simple : l'Allemagne a déjà à sa tête une dame respectable et d'un certain âge. Tout ce qu'il faut pour séduire le jeune et fringant Emmanuel. =====> j'suis plus là !!! Citation Mais bon, pour le moment, je pense que Trump se contentera de brandir des menaces. En même temps, j'aurais dit la même chose voici un mois, concernant le traité sur le nucléaire iranien ... Pareil. Et je crois que l'exemple iranien ne prouve rien : Trump a toujours dit que le JCPOA était« désastreux » alors que concernant l'OTAN il n'a jamais fait que critiquer les dépenses militaires trop faibles en Europe, pas le principe même de l'alliance transatlantique. Modifié le 1 juin 2018 par Alexis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 juin 2018 Share Posté(e) le 3 juin 2018 Quote Merkel mise en cause dans un scandale sur les migrants en Allemagne Angela Merkel et son gouvernement ont été mis en cause dimanche dans un vaste scandale qui secoue depuis des semaines l'office chargé de gérer les centaines de milliers de migrants arrivés en Allemagne depuis 2015. "L'échec se situe dans l'inaction (du gouvernement) dès lors que les défis auxquels l'Allemagne allait être confrontée avec l'arrivée des réfugiés étaient clairs", a déclaré l'ancien président de l'Office national des migrants et réfugiés (Bamf), Frank-Jürgen Weise, à l'hebdomadaire Der Spiegel. "La crise aurait pu être évitée", a-t-il ajouté. Il a indiqué avoir personnellement informé Angela Merkel à deux reprises des problèmes en 2017, sans que des mesures soient prises. Un rapport confidentiel établi par ses soins, dans lequel il s'en prend durement au gouvernement, a également fuité dans les médias. Depuis plusieurs semaines, le gouvernement de la chancelière Angela Merkel est sous pression, à la suite de la découverte d'une affaire de corruption présumée dans une des antennes à Brême du Bamf, un organisme dépendant du ministère de l'Intérieur. La responsable de l'antenne, des avocats et interprètes ont été mis en examen pour corruption notamment. L'antenne est accusée d'avoir validé au moins 1.200 demandes d'asile par des migrants, en échange de divers avantages. Sa responsable conteste les accusations et affirme qu'elle était juste débordée. Depuis, le gouvernement vérifie plusieurs milliers d'autres dossiers, pour voir si le scandale n'est pas plus étendu. Il doit surtout se défendre d'accusations d'avoir au mieux ignoré des mises en garde en interne sur les malversations et problèmes qui étaient en cours, voire de les avoir étouffés. Le partenaire social-démocrate de la coalition gouvernementale d'Angela Merkel demande désormais des "explications" à la chancelière. "C'est tout simplement un échec de la chancelière", a dénoncé dimanche un des dirigeants sociaux-démocrates, Ralf Stegner, au quotidien Tagesspiegel. "On ne peut pas dire aux gens +On va y arriver+ (le slogan de Merkel lors de l'arrivée des migrants en 2015, ndlr) et ensuite rester les bras croisés quand l'organisme chargé du dossier échoue faute de moyens", a-t-il ajouté. (©AFP / 03 juin 2018 15h47) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 4 juin 2018 Auteur Share Posté(e) le 4 juin 2018 https://www.questionchine.net/sous-la-tempete-trump-les-illusions-chinoises-de-la-chanceliere (2 juin 2018) Bien que les fusions acquisitions chinoises en Allemagne aient baissé de 21% en 2017, les investissements chinois en Allemagne ont battu un nouveau record en cette même année 2017. La plus grosse opération en 2017 ayant été la vente pour la somme de 6,7 Mds de $ au holding financier du milliardaire hongkongais Li Kashing, d’ISTA International (détecteurs de fumée, équipements de mesures et « compteurs connecté intelligents » des réseaux de distribution d’énergie, gestion des installations de chauffage) multinationale de Mannheim employant 5400 agents et ayant engrangé 850 million d’€ de revenus en 2017. L’article du Handelsblatt arrivait au milieu d’une controverse politique sur les offres d’achat renouvelées en mars et à la fin mai 2018 de 20% des parts de l’opérateur d’électricité 50Hertz par le géant China Grid déjà investi au Portugal, en Italie et en Grèce. Au même moment, le ministre de l’économie qui venait d’autoriser après audit la reprise pour 118 millions de $ de 75% du capital de l’équipementier aéronautique COTESA par Advanced Technology & Materials (AT&M) 安泰 科技, envisageait de bloquer un investissement chinois dans le groupe LEIFELD utilisant des techniques de mise en forme de matériaux en titane pour fabriquer des équipements spécialisés (conteneurs spéciaux, réservoirs d’hydrogène, boîtiers de turbines d’éoliennes, séparateurs). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 4 juin 2018 Auteur Share Posté(e) le 4 juin 2018 Couple franco-allemand : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/05/27/20002-20180527ARTFIG00108-la-zone-euro-est-trop-petite-pour-l-economie-allemande-en-pleine-forme.php (27 mai 2018) «Pour la seconde année consécutive, la République populaire de Chine est le premier partenaire commercial (de notre économie).» Les Pays-Bas arrivent au deuxième rang, puis les États-Unis en troisième, et la France quatrième, alors qu'elle était encore seconde en 2016, nous précise-t-on. Et Destatis ne peut s'empêcher de rappeler, en termes très sobres comme il convient à des statisticiens, ce constat tout simple: «De 1975 à 2014, la France a été le plus important partenaire commercial de l'Allemagne.» Le monde d'autrefois… quand le couple allemand était le moteur de l'Europe, car les deux pays étaient l'un pour l'autre ... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 5 juin 2018 Auteur Share Posté(e) le 5 juin 2018 (modifié) https://fr.express.live/2018/06/01/le-magazine-wirtschaftswoche-trump-dit-quil-allait-chasser-les-constructeurs-de-voitures (1er juin 2018) Donald Trump aurait dit à Macron qu'il allait : “chasser les constructeurs automobiles allemands jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de Mercedes Benz sur la 5e Avenue de New-York” Modifié le 5 juin 2018 par Wallaby 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 juin 2018 Share Posté(e) le 5 juin 2018 La presse allemande, toujours d'une grande finesse. A voir ici. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 5 juin 2018 Share Posté(e) le 5 juin 2018 il y a 16 minutes, Kiriyama a dit : La presse allemande, toujours d'une grande finesse. A voir ici. Personnellement, ce qui m'a grandement étonné, c'est de voir de nombreuses personnalités étrangères influentes s'exciter sur la vie politique italienne sans connaître grand chose sur la finesse des rouages institutionnels et du jeu politique italiens. C'est d'ailleurs bien pourquoi, à titre personnel, je me suis bien gardé d'exprimer un point de vue de fond sur le fil dédié à l'Italie. De la même manière, j'ai été assez largement étonné du traitement du cas français lors de la dernière élection présidentielle. On sentait que nombre d'observateurs étrangers ne pigeaient pas grand chose aux jeux politiques français... mais que cela ne leur interdisait pas de s'exprimer. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 5 juin 2018 Auteur Share Posté(e) le 5 juin 2018 (modifié) il y a 53 minutes, Kiriyama a dit : La presse allemande, toujours d'une grande finesse. A voir ici. Et ici : http://www.spiegel.de/politik/ausland/italien-die-schnorrer-von-rom-kolumne-a-1209266.html (24 mai 2018) Pays-à-dette Italie : les Pique-Assiètes de Rome Comment appeler une nation qui tend d'abord la main pour permettre à d'autres de financer sa belle vie - et qui menace ensuite ses donateurs s'ils exigent le remboursement des dettes ? - Opinion - Dans un entretien récemment réalisé par le fabuleux Sven Michaelsen avec Rem Koolhaas, l'architecte a parlé de la dévastation causée dans les montagnes suisses. Les chalets des riches designers milanais seraient maintenant partout. On ne voit presque plus les gens du coin. On ne sent plus la bouse de vache, parce qu'il n'y a plus de vaches. Je n'ai pu m'empêcher de penser à cette phrase sur la richesse italienne lorsque le prochain Premier ministre a été présenté à Rome lundi. Le nouveau gouvernement promet aux Italiens le paradis sur terre : moins d'impôts, une retraite anticipée et un revenu de base général [*]. Selon les premières estimations, les dépenses des associations caritatives s'élèvent à entre 100 et 125 milliards d'euros par an. L'Italie n'est pas un pays pauvre. Le nord du pays est l'une des régions les plus riches du monde. Un regard sur la répartition des richesses montre que les Italiens sont encore plus riches que les Allemands. Selon la London School of Economics, un ménage italien moyen possède 275 205 euros - 80 035 euros de plus que son homologue allemand. En fait, l'Italie pourrait payer ses dettes par elle-même si le gouvernement décidait d'impliquer sérieusement les citoyens dans le recouvrement du budget de l'État. Ce serait un grand pas en avant si les Italiens pouvaient se persuader de renoncer à leur moralité fiscale laxiste. Le mendiant dit au moins merci. Comment appeler le comportement d'une nation qui tend d'abord la main pour que son far niente proverbial soit financé par d'autres - et qui menace ensuite de mettre un bâton sur la tête des donateurs lorsqu'ils insistent sur le remboursement de la dette ? Mendier ne serait pas le bon terme. Au moins le mendiant dit merci quand vous remplissez le sac. C'est plutôt des pique-assiètes agressifs. L'homme qui a poussé la Troisième Position à Rome l'arme à la main, avec laquelle il vise maintenant ses voisins, est assis à Francfort. Lorsque les Allemands se rendront compte qu'ils ne peuvent rien acheter pour leurs titres de créance, ils devraient se souvenir de Mario Draghi, qui s'est moqué d'eux comme étant des froussards lorsqu'il a dévalué leurs polices d'assurance vie et leurs économies. Une expérience de politique postnationale Draghi avait promis au plus fort de la crise de l'euro que tout serait fait pour sauver l'euro : "Whatever it takes". À Rome, ils se sont souvenus de la promesse faite . La valeur des obligations d'État italiennes, qui ont trouvé leur chemin dans les caves de la Banque centrale européenne sur les chemins complexes du système monétaire, s'élève à environ 390 milliards d'euros. Aujourd'hui, la BCE n'a d'autre choix que de poursuivre sa politique, car toute hausse significative des taux d'intérêt conduirait l'État italien à l'insolvabilité. Ça ne me dérange pas que les gens vivent au-dessus de leurs moyens. En ce qui me concerne, ils devraient continuer à pratiquer l'évasion fiscale en tant que sport populaire en Italie. Je trouve tout simplement indécent d'imposer le coût des décisions politiques à des étrangers qui ont une idée complètement différente de la politique et qui, là où ils peuvent voter, votent en conséquence. Il est difficile de concilier cela avec ma compréhension de la démocratie. Mais l'aventure italienne doit peut-être être considérée comme une expérience de politique post-nationale. Aucune nation qui se respecte n'exige l'aide des autres si elle peut s'aider elle-même. Qui veut être un pique-assiète ? Il semble que les Italiens aient surmonté cette forme de fierté nationale. [*] En sens contraire, l'article suivant indique qu'il n'y a pas de Hartz IV (l'équivalent allemand du RSA français) en Italie : https://www.cicero.de/aussenpolitik/italien-regierung-berlusconi-fuenf-sterne-lega-salvini-di-maio-conte (22 mai 2018) Et quiconque pense au revenu citoyen devrait se rappeler que ce n'est rien de plus qu'une sorte de Hartz IV. Il s'agit d'une disposition de base liée à des conditions telles que la participation à des mesures de qualification, qui existe dans tous les pays d'Europe occidentale et qui ne fait que combler une lacune en Italie. Modifié le 5 juin 2018 par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 juin 2018 Share Posté(e) le 5 juin 2018 Je ne vois pas très bien en quoi la majorité des Italiens sont responsables de la fraude fiscale des Italiens du Nord. C'est comme reprocher à la population française les fraudes fiscales de Liliane Bettancourt. Citation Un regard sur la répartition des richesses montre que les Italiens sont encore plus riches que les Allemands. C'est une statistique qui n'a aucune valeur. Tout dépend de la répartition de cette richesse parmi la population. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 7 juin 2018 Share Posté(e) le 7 juin 2018 Tollé en Allemagne contre l'ambassadeur américain, accusé d'ingérence https://fr.yahoo.com/news/accusé-dingérence-lambassadeur-américain-allemagne-pression-102750558.html Tollé en Allemagne contre l'ambassadeur américain, accusé d'ingérence Berlin (AFP) - Un membre du gouvernement allemand a accusé mardi le nouvel ambassadeur américain à Berlin d'ingérence dans les affaires intérieures et les partis de gauche ont réclamé le renvoi de ce fidèle de Donald Trump, mais Washington a défendu sa "liberté d'expression". Richard Grenell "s'immisce dans nos affaires intérieures", a critiqué Peter Beyer, coordinateur des relations transatlantiques au sein du gouvernement d'Angela Merkel, dans un entretien à un journal régional, le Rheinische Post. "Il devrait être attentif au fait que nous considérons ses débuts en tant qu'ambassadeur comme difficiles", a ajouté ce responsable conservateur, qui sera présent mercredi lors de la visite -prévue de longue date- du diplomate au ministère allemand des Affaires étrangères. Richard Grenell est dans le collimateur pour avoir déclaré dimanche au site américain d'extrême droite Breitbart vouloir "soutenir" la droite dure en Europe. "Nous vivons un réveil de la majorité silencieuse, ceux qui rejettent les élites et leur bulle", a-t-il ensuite précisé sur Twitter, jugeant que ce moment est "mené par Trump", tout en niant vouloir appuyer des partis ou candidats lors d'élections dans le Vieux Continent. Le responsable social-démocrate Martin Schulz, ex-président du Parlement européen, a demandé mardi son renvoi pur et simple à Washington. "Si l'ambassadeur allemand à Washington disait qu'il était en poste pour renforcer le Parti démocrate, il serait immédiatement renvoyé", a-t-il dit à l'agence DPA, après avoir accusé sur Twitter M. Grenell d'agir comme "un officier colonial d'extrême droite". L'une des figures de proue de la gauche radicale allemande, Sahra Wagenknecht, a également exigé le départ "immédiat" de l'ambassadeur, en poste depuis seulement un mois. - "Opinion" - "Les ambassadeurs ont le droit d'exprimer leur opinion", s'est bornée à répondre la porte-parole de la diplomatie américaine Heather Nauert, pressée de questions à Washington sur les déclarations de Richard Grenell. "Il y a parfois des opinions que l'on peut aimer ou pas. Et il y a aussi la liberté d'expression", a-t-elle ajouté. "Je crois que l'ambassadeur Grenell n'a fait que souligner qu'il y a des partis et des candidats qui s'en sortent bien en Europe en ce moment, rien de plus", a poursuivi Heather Nauert. Les critiques s'élèvent pourtant aussi dans le camp démocrate aux Etats-Unis. Dans un communiqué, la sénatrice Jeanne Shaheen rappelle que les ambassadeurs "ne doivent pas se mêler de la politique locale ou régionale en soutenant des partis politiques, des candidats ou des causes. Si l'ambassadeur Grenell ne veut pas s'abstenir de déclarations politiques, il devrait être rappelé immédiatement". Du coup, l'entretien inaugural de mercredi pour l'ambassadeur américain au ministère des Affaires étrangères, avec un secrétaire d'Etat, prend désormais des allures de convocation. "Nous aurons certainement des choses à nous dire", a prévenu le chef de la diplomatie allemande, Heiko Maas. Berlin a déjà demandé lundi, suite à l'interview à Breitbart, "une clarification" à M. Grenell. - Relations tendues - Ce dernier est aussi accusé par ses détracteurs de se comporter en "vice-chancelier" allemand, en organisant des rencontres avec des dirigeants étrangers de premier plan de passage à Berlin: il a ainsi organisé lundi une entrevue avec Benjamin Netanyahu, en visite en Allemagne, qui sortait tout juste d'une rencontre avec Angela Merkel. La chancelière allemande venait de réaffirmer sa volonté de maintenir en vie l'accord sur le nucléaire iranien, que rejette catégoriquement le Premier ministre israélien, soutenu par les Etats-Unis. De même, l'ambassadeur a pris l'initiative d'inviter à déjeuner le 13 juin le chancelier autrichien Sebastian Kurz, qu'il a qualifié de "rockstar" et dit admirer. M. Kurz, à la tête d'une coalition avec l'extrême droite, a souvent critiqué dans le passé la politique migratoire généreuse de Mme Merkel. Longtemps freinée par le Sénat américain, la nomination de cet ancien porte-parole de la mission américaine à l'ONU sous l'administration Bush est intervenue seulement fin avril. L'opposition démocrate lui reprochait notamment des tweets sexistes. Ces accrocs n'aident pas à améliorer les relations déjà très tendues entre l'Allemagne et les Etats-Unis. Le président américain critique régulièrement Berlin pour ses excédents commerciaux très importants et ses dépenses militaires trop faibles. Après l'acier et l'aluminium, l'Allemagne redoute prochainement l'imposition de taxes sur ses exportations vers les Etats-Unis de voitures, secteur-clé de son économie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 7 juin 2018 Share Posté(e) le 7 juin 2018 Il donne son opinion, c'est interdit? C'est comme quand l'Allemagne donne son opinion sur l'Italie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. mehari Posté(e) le 7 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 juin 2018 (modifié) 38 minutes ago, kotai said: Il donne son opinion, c'est interdit? C'est comme quand l'Allemagne donne son opinion sur l'Italie. Il a le droit d'approuver ou désapprouver la politique du gouvernement allemand. Il n'a en revanche pas le droit de le dire si ce n'est pas la politique officielle de son pays et il n'a pas le droit de soutenir explicitement un parti, spécialement dans l'opposition, car les ambassadeurs sont censés être neutres par rapport à la politique du pays où ils travaillent. Du coup, quand un ambassadeur américain déclare vouloir soutenir les conservateurs (ou plutôt ultra-conservateurs) en Europe, il s'agit soit de la position officielle de son gouvernement (et donc d'une ingérence claire des États-Unis dans la politique allemande) soit il rompt sa neutralité et choisi d'interférer de lui-même et ouvertement dans les affaires allemandes et européennes. C'est une chose de dire qu'on désapprouve la politique de Merkel (et les US le font depuis longtemps, sur les dépenses militaires notamment). C'en est une autre de rencontrer, en tant qu'ambassadeur, deux chefs de gouvernement étrangers et opposés à la politique du pays hôte. Imagine si un ambassadeur en France annonçait ouvertement soutenir une famille politique spécifique, dans l'opposition en France, et rencontrait sur le sol français deux chefs d'états ouvertement opposés à la politique française... La réaction serait pareille. Par rapport à l'Italie, il est tout à fait permis pour un gouvernement de dire craindre l'effet d'une politique ou de la mise en place potentielle d'une politique par un pays voisin ne serait-ce qu'à cause de l'impact que cette politique peut avoir sur les autres états, et dans ce cadre l'Europe entière, (la France le fait tout le temps). Par extension, il est aussi permis à un gouvernement de faire part de ses craintes vis-à-vis de la mise en place d'un gouvernement défendant ces politiques. Cependant, si un gouvernement commence à explicitement soutenir l'un ou l'autre parti dans un pays voisin, c'est un problème. En gros, si Merkel dit demain "Je crains l'impact du programme de la coalition Liga-M5S sur l'économie allemande et européenne ainsi que l'impact de ce programme sur la politique interne de l'UE", c'est parfaitement correct. Si elle dit "La coalition Liga-M5S est un mauvais choix et je compte soutenir Matteo Renzi et le PD dans leur travail d'opposition", ça devient un problème. Pour le reste, tout particulier est effectivement libre de ses opinions sur tous les sujets (mais prié de les garder pour lui en cas de racisme, xénophobie, anti-sémitisme, islamophobie, négationnisme et assimilés). M. Grenell, en tant qu'ambassadeur des USA en Allemagne, est cependant loin d'être un particulier... EDIT: Je rajoute cette source: https://www.lesechos.fr/monde/europe/0301762946705-ca-se-passe-en-allemagne-le-nouvel-ambassadeur-des-etats-unis-a-deja-des-frictions-avec-berlin-2181321.php Et pour citer @Wallaby qui avait fait ce commentaire sur le fil USA (qui le tirait d'un article du Spiegel): Quote La Convention [de Vienne] exige des diplomates qu'ils se conforment aux lois et règlements du pays hôte et ils sont " également tenus de ne pas s'immiscer dans les affaires intérieures ". Modifié le 7 juin 2018 par mehari 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Tancrède Posté(e) le 7 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 juin 2018 1 hour ago, mehari said: Imagine si un ambassadeur en France annonçait ouvertement soutenir une famille politique spécifique, dans l'opposition en France, et rencontrait sur le sol français deux chefs d'états ouvertement opposés à la politique française... La réaction serait pareille. C'est vrai: quand les US des années 40 ont voulu casser la CGT en sponsorisant la création de FO, ils l'ont fait via la CIA, pas par l'ambassade. Non mais! On avait des manières, dans le temps! 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 7 juin 2018 Share Posté(e) le 7 juin 2018 Donc dans le monde bisounours ou nous sommes. Il est normal de dicter nos désir chez nos voisins à cause de la peur d'un nouveau Reich mais il est interdit au voisin de donner une opinion. Quand à Vienne, c’était quand? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 8 juin 2018 Share Posté(e) le 8 juin 2018 (modifié) Il y a 9 heures, Tancrède a dit : C'est vrai: quand les US des années 40 ont voulu casser la CGT en sponsorisant la création de FO, ils l'ont fait via la CIA, pas par l'ambassade. Non mais! On avait des manières, dans le temps! Il faut dire que les américains ont du mal à perdre les mauvaises habitudes d'ingérences en Europe lors de la guerre froide. Modifié le 8 juin 2018 par Arland 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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