ARMEN56 Posté(e) mercredi à 09:31 Share Posté(e) mercredi à 09:31 « Le groupe aéronaval britannique achève une mission de huit mois — les navires et avions rentrent au pays 28 novembre 2025 Le plus important déploiement naval britannique de 2025 s’achève ce week-end : les navires, avions et hélicoptères du UK Carrier Strike Group (CSG) rentrent enfin au pays. Des familles et proches sont attendus dans les bases aériennes et navales, de la péninsule du Lizard jusqu’à Norfolk, pour accueillir plus de 2 000 personnels militaires — marins, soldats, aviateurs, Royal Marines, et civils — de retour de leur mission de huit mois dans l’Indo-Pacifique. Le groupe — mené par le navire amiral HMS Prince of Wales — fera escale à Portsmouth dimanche après-midi, accompagné de deux de ses bâtiments d’escorte : le destroyer HMS Dauntless et la frégate norvégienne HNoMS Roald Amundsen. Une troisième escorte, la frégate HMS Richmond, rentre à Plymouth. Quant aux aéronefs, ils regagnent leurs bases respectives : les avions furtifs F-35B Lightning retournent à l’RAF Marham (Norfolk), les hélicoptères Merlin à l’RNAS Culdrose (près de Helston) et à l’RNAS Yeovilton (Somerset), les hélicoptères Wildcat également à Yeovilton. Le ravitailleur RFA Tideforce, qui a soutenu le dernier mois de la mission, retourne à Portland. Son navire-sœur, le RFA Tidespring, qui avait assuré le ravitaillement pendant les trois quarts de l’opération, reste déployé. Par ailleurs, le navire norvégien HNoMS Maud avait assuré les fonctions de ravitaillement en début de mission. Ces retours marquent la fin de la mission 2025 du CSG, nom-de-code Operation Highmast, qui a conduit le groupe jusqu’au Japon et à l’Australie. Le groupe rentre déclaré « entièrement opérationnel » — prêt à assumer des tâches au sein de l’NATO. Le commodore James Blackmore, commandant du UK Carrier Strike Group, a déclaré : « Ça a été un privilège de diriger près de 4 000 soldats, marins, aviateurs et marines qui ont parcouru plus de 40 000 milles nautiques, en travaillant avec plus de 30 nations en route. » Il a ajouté que le fait que le groupe soit désormais “plus fort pour l’OTAN” qu’à son départ lui rendait “incroyablement fier” de tous ceux qui ont participé à l’Operation Highmast. Le CSG était formé d’un “anneau défensif de fer” : HMS Dauntless (défense aérienne) ; HMS Richmond et HNoMS Roald Amundsen (défense anti-sous-marine et de surface). Au cours de la mission, des navires et bâtiments de soutien de dix nations — Australie, Canada, France, Italie, Japon, Nouvelle-Zélande, Norvège, Portugal, Espagne et USA — ont été intégrés au groupe. Des avions de chasse de 5ᵉ génération, les F-35B Lightning des escadrons RAF 617 Squadron et 809 Naval Air Squadron, ont fourni la puissance aérienne, avec jusqu’à 26 avions embarqués simultanément. Ils ont été soutenus par des hélicoptères Merlin et Wildcat de plusieurs escadrons (814, 815, 820, 845), ainsi que par des drones de l’escadron 700X, utilisés notamment pour transférer des fournitures entre les navires du groupe. Depuis leur départ du Royaume-Uni en avril, le groupe a parcouru plus de 40 000 milles nautiques — soit environ 1,5 fois le tour du monde —, avec la moitié du déploiement passée en zone est de Suez. Les avions, hélicoptères et drones ont réalisé plus de 2 500 sorties aériennes en appui à la mission, qui visait à démontrer l’engagement du Royaume-Uni en matière de sécurité globale aux côtés de ses alliés. Le déploiement a inclus des escales et des exercices majeurs, notamment dans le nord de l’Australie lors de l’exercice Exercise Talisman Sabre, suivi d’un exercice d’envergure avec les forces maritimes américaines et japonaises. Le groupe a opéré ou entraîné avec neuf groupes aéronavals différents, et ses avions ont atterri sur quatre porte-avions distincts. Au-delà des opérations, le personnel a vécu des expériences mémorables : escalade du mont Fuji au Japon, rencontres avec des crocodiles dans le nord de l’Australie, concours de cuisine internationale, compétitions sportives, et visites de grandes villes mondiales comme Tokyo, Singapour, Ho Chi Minh-Ville, Manille ou Bombay. Il y a aussi eu des moments de célébration — cérémonies navales traditionnelles comme le passage de l’équateur (“Crossing the Line”) ou la “Trafalgar Night” —, et même un concert public, le groupe de rock de HMS Prince of Wales ayant joué pour la première fois dans un Hard Rock Café à Singapour. Mais aussi des moments plus solennels : des commémorations dans des cimetières militaires et des sites sacrés, notamment un service en mémoire de l’équipage de l’ancien HMS Prince of Wales sur son épave en mer de Chine méridionale — la première fois que le navire actuel se rend dans cette zone. L’un des marins, le matelot spécialiste de guerre (Warfare Specialist) James Smith, a résumé l’expérience en disant que professionnellement “Highmast a été fantastique” et qu’il a eu l’opportunité de tester leurs compétences dans des scénarios réels. Sur le plan personnel, “la possibilité de jouer au golf partout dans le monde” a été un des grands moments marquants pour lui. Il se dit désormais “très heureux de rentrer à la maison pour des vacances en famille, et un vrai Cornish pasty.” https://www.royalnavy.mod.uk/news/2025/november/28/20251128-csg-homecoming 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) mercredi à 10:08 Share Posté(e) mercredi à 10:08 il y a 36 minutes, ARMEN56 a dit : « Le groupe aéronaval britannique achève une mission de huit mois — les navires et avions rentrent au pays 28 novembre 2025 Le plus important déploiement naval britannique de 2025 s’achève ce week-end : les navires, avions et hélicoptères du UK Carrier Strike Group (CSG) rentrent enfin au pays. Des familles et proches sont attendus dans les bases aériennes et navales, de la péninsule du Lizard jusqu’à Norfolk, pour accueillir plus de 2 000 personnels militaires — marins, soldats, aviateurs, Royal Marines, et civils — de retour de leur mission de huit mois dans l’Indo-Pacifique. Le groupe — mené par le navire amiral HMS Prince of Wales — fera escale à Portsmouth dimanche après-midi, accompagné de deux de ses bâtiments d’escorte : le destroyer HMS Dauntless et la frégate norvégienne HNoMS Roald Amundsen. Une troisième escorte, la frégate HMS Richmond, rentre à Plymouth. Quant aux aéronefs, ils regagnent leurs bases respectives : les avions furtifs F-35B Lightning retournent à l’RAF Marham (Norfolk), les hélicoptères Merlin à l’RNAS Culdrose (près de Helston) et à l’RNAS Yeovilton (Somerset), les hélicoptères Wildcat également à Yeovilton. Le ravitailleur RFA Tideforce, qui a soutenu le dernier mois de la mission, retourne à Portland. Son navire-sœur, le RFA Tidespring, qui avait assuré le ravitaillement pendant les trois quarts de l’opération, reste déployé. Par ailleurs, le navire norvégien HNoMS Maud avait assuré les fonctions de ravitaillement en début de mission. Ces retours marquent la fin de la mission 2025 du CSG, nom-de-code Operation Highmast, qui a conduit le groupe jusqu’au Japon et à l’Australie. Le groupe rentre déclaré « entièrement opérationnel » — prêt à assumer des tâches au sein de l’NATO. Le commodore James Blackmore, commandant du UK Carrier Strike Group, a déclaré : « Ça a été un privilège de diriger près de 4 000 soldats, marins, aviateurs et marines qui ont parcouru plus de 40 000 milles nautiques, en travaillant avec plus de 30 nations en route. » Il a ajouté que le fait que le groupe soit désormais “plus fort pour l’OTAN” qu’à son départ lui rendait “incroyablement fier” de tous ceux qui ont participé à l’Operation Highmast. Le CSG était formé d’un “anneau défensif de fer” : HMS Dauntless (défense aérienne) ; HMS Richmond et HNoMS Roald Amundsen (défense anti-sous-marine et de surface). Au cours de la mission, des navires et bâtiments de soutien de dix nations — Australie, Canada, France, Italie, Japon, Nouvelle-Zélande, Norvège, Portugal, Espagne et USA — ont été intégrés au groupe. Des avions de chasse de 5ᵉ génération, les F-35B Lightning des escadrons RAF 617 Squadron et 809 Naval Air Squadron, ont fourni la puissance aérienne, avec jusqu’à 26 avions embarqués simultanément. Ils ont été soutenus par des hélicoptères Merlin et Wildcat de plusieurs escadrons (814, 815, 820, 845), ainsi que par des drones de l’escadron 700X, utilisés notamment pour transférer des fournitures entre les navires du groupe. Depuis leur départ du Royaume-Uni en avril, le groupe a parcouru plus de 40 000 milles nautiques — soit environ 1,5 fois le tour du monde —, avec la moitié du déploiement passée en zone est de Suez. Les avions, hélicoptères et drones ont réalisé plus de 2 500 sorties aériennes en appui à la mission, qui visait à démontrer l’engagement du Royaume-Uni en matière de sécurité globale aux côtés de ses alliés. Le déploiement a inclus des escales et des exercices majeurs, notamment dans le nord de l’Australie lors de l’exercice Exercise Talisman Sabre, suivi d’un exercice d’envergure avec les forces maritimes américaines et japonaises. Le groupe a opéré ou entraîné avec neuf groupes aéronavals différents, et ses avions ont atterri sur quatre porte-avions distincts. Au-delà des opérations, le personnel a vécu des expériences mémorables : escalade du mont Fuji au Japon, rencontres avec des crocodiles dans le nord de l’Australie, concours de cuisine internationale, compétitions sportives, et visites de grandes villes mondiales comme Tokyo, Singapour, Ho Chi Minh-Ville, Manille ou Bombay. Il y a aussi eu des moments de célébration — cérémonies navales traditionnelles comme le passage de l’équateur (“Crossing the Line”) ou la “Trafalgar Night” —, et même un concert public, le groupe de rock de HMS Prince of Wales ayant joué pour la première fois dans un Hard Rock Café à Singapour. Mais aussi des moments plus solennels : des commémorations dans des cimetières militaires et des sites sacrés, notamment un service en mémoire de l’équipage de l’ancien HMS Prince of Wales sur son épave en mer de Chine méridionale — la première fois que le navire actuel se rend dans cette zone. L’un des marins, le matelot spécialiste de guerre (Warfare Specialist) James Smith, a résumé l’expérience en disant que professionnellement “Highmast a été fantastique” et qu’il a eu l’opportunité de tester leurs compétences dans des scénarios réels. Sur le plan personnel, “la possibilité de jouer au golf partout dans le monde” a été un des grands moments marquants pour lui. Il se dit désormais “très heureux de rentrer à la maison pour des vacances en famille, et un vrai Cornish pasty.” https://www.royalnavy.mod.uk/news/2025/november/28/20251128-csg-homecoming Aucune mention des petites mésaventures des F-35B en Inde et au Japon, bien entendu. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. pascal Posté(e) mercredi à 11:13 C’est un message populaire. Share Posté(e) mercredi à 11:13 Ce ne sont pas des mésaventures mais des escales de promotion 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) mercredi à 11:46 Share Posté(e) mercredi à 11:46 Il y a 1 heure, Patrick a dit : Aucune mention des petites mésaventures des F-35B en Inde et au Japon, bien entendu. On ferait pareil en France, bien entendu Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
weasel Posté(e) mercredi à 13:20 Share Posté(e) mercredi à 13:20 Si cela a déjà été fait avec l'escale du Rafale en Indonésie... On connaît tous la suite 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) mercredi à 13:23 Share Posté(e) mercredi à 13:23 il y a 1 minute, weasel a dit : Si cela a déjà été fait avec l'escale du Rafale en Indonésie... On connaît tous la suite Sauf qu'il ne s'agissait pas ici d'un problème technique, que les appareils sont repartis le lendemain sans aucune maintenance et que personne n'a songé à se moquer de Dassault, même parmi les pitres du Web britannique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mayamac Posté(e) mercredi à 13:32 Share Posté(e) mercredi à 13:32 Je ne devrai pas le dire, mais il y a bien un Rafale qui est resté coincé plusieurs jours (semaines?) à la Réunion lors d'une mission il y a qqs années. Alors là ou c'est pas trop grave, c'est que ce n'est pas un pays étranger, mais tout de même, ça veut dire que le Rafale n'est pas à l'abris de pareille mésaventure. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alskandre Posté(e) mercredi à 13:54 Share Posté(e) mercredi à 13:54 Et le sous-marin d'escorte ? Il n'est pas fait mention d'un sous-marin dans le groupe aéronavale britannique ... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) mercredi à 13:56 Share Posté(e) mercredi à 13:56 il y a 23 minutes, mayamac a dit : Je ne devrai pas le dire, mais il y a bien un Rafale qui est resté coincé plusieurs jours (semaines?) à la Réunion lors d'une mission il y a qqs années. Alors là ou c'est pas trop grave, c'est que ce n'est pas un pays étranger, mais tout de même, ça veut dire que le Rafale n'est pas à l'abris de pareille mésaventure. Pfft … Rabat-joie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) mercredi à 13:57 Share Posté(e) mercredi à 13:57 il y a 1 minute, Alskandre a dit : Et le sous-marin d'escorte ? Il n'est pas fait mention d'un sous-marin dans le groupe aéronavale britannique ... … Y'en avais pas … Vous comprenez, mon cher, la disponibilité des Astute, comment dire ;-) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) mercredi à 14:29 Share Posté(e) mercredi à 14:29 il y a 32 minutes, Alskandre a dit : Et le sous-marin d'escorte ? Il n'est pas fait mention d'un sous-marin dans le groupe aéronavale britannique ... Oui, ils ont été escortés par un SSN seulement 10-25% du temps ... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) mercredi à 14:39 Share Posté(e) mercredi à 14:39 il y a 10 minutes, Titus K a dit : Oui, ils ont été escortés par un SSN seulement 10-25% du temps ... Ben … c'est bien ce que je disait Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) mercredi à 14:58 Share Posté(e) mercredi à 14:58 (modifié) 3 hours ago, pascal said: Ce ne sont pas des mésaventures mais des escales de promotion Nous pour les escales de promotion on y va avec 10 avions. ;-) Tu dois te rappeler de cette vielle histoire a Atlantic City en 2005 (vingt ans déja!)... 8 Super Etendard, 1 Rafale et 1 Hawkeye déroutés a cause de la brume. Malheureusement les photos ont disparu du net. https://web.archive.org/web/20060302123959/http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=115 Quote Atterrissage d'urgence pour 10 avions du Charles de Gaulle Le porte-avions français a été confronté la semaine dernière à une situation délicate au large des Etats-Unis. Dix de ses avions (Super Etendard et Rafale) ont été contraints de se poser d'urgence sur un aéroport du New Jersey. En mer, la météo était peu clémente, sans toutefois pouvoir gêner le Charles de Gaulle, qui peut opérer jusqu'à mer force 6. Selon un officier du bord, le problème est venu d'un épais banc de brume qui a subitement rattrapé le porte-avions. Les 13 appareils en vol ont été immédiatement rappelés mais seuls 3 ont pu se poser à temps. La brume épaisse rendant impossible le guidage à vue, impératif dans la phase final d'appontage, les autres ont été déroutés vers Atlantic City. Contrairement à ce qui a été annoncé par une télévision américaine, il n'y a en revanche pas eu de soucis avec une base US qui aurait refusé aux avions de se poser. Ce genre de procédure d'urgence est en effet étudié à l'avance avec les aérodromes à terre. Atlantic City avait été choisi la veille comme site préférentiel. Modifié mercredi à 14:59 par HK 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) jeudi à 18:39 Share Posté(e) jeudi à 18:39 énorme achat de AW149 helicoptere pour la UK army, en conjonction des...norvégiens. ca explique aussi p-e les type 26... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) vendredi à 10:58 Share Posté(e) vendredi à 10:58 Le 03/12/2025 à 14:20, weasel a dit : Si cela a déjà été fait avec l'escale du Rafale en Indonésie... On connaît tous la suite Voilà. Les pilotes sont restés une nuit. Ils ont redécollé le lendemain, sans intervention de mécaniciens, sans avoir besoin d'appeler Dassault Safran Thalès MBDA, les surgelés Picard ou les cassoulets William Saurin à la rescousse, et les avions sont tous rentrés à la maison tranquillement. Il va de soi que si les avions étaient restés SIX SEMAINES bloqués là-bas suite à des pannes difficilement réparables, la chanson n'aurait pas été la même... Le 03/12/2025 à 14:23, Ciders a dit : Sauf qu'il ne s'agissait pas ici d'un problème technique, que les appareils sont repartis le lendemain sans aucune maintenance et que personne n'a songé à se moquer de Dassault, même parmi les pitres du Web britannique. Ne t'inquiètes pas, ils l'auraient fait s'ils en avaient eu l'occasion. Le 03/12/2025 à 14:32, mayamac a dit : Je ne devrai pas le dire, mais il y a bien un Rafale qui est resté coincé plusieurs jours (semaines?) à la Réunion lors d'une mission il y a qqs années. Alors là ou c'est pas trop grave, c'est que ce n'est pas un pays étranger, mais tout de même, ça veut dire que le Rafale n'est pas à l'abris de pareille mésaventure. Ça a pu arriver oui, clairement, et il y a aussi tout ce qu'on ne sait pas en France. Mais d'une part ces considérations sont aussi valables pour les autres, et d'autre part un Rafale ne s'est jamais retrouvé coincé comme ça dans un pays étranger sans qu'on ait une solution de secours, quitte à aller démonter les ailes et la dérive de l'avion, mettre le tout dans un A400M, et le ramener fissa à la maison. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) vendredi à 14:18 Share Posté(e) vendredi à 14:18 Le 03/12/2025 à 14:32, mayamac a dit : Je ne devrai pas le dire, mais il y a bien un Rafale qui est resté coincé plusieurs jours (semaines?) à la Réunion lors d'une mission il y a qqs années. Alors là ou c'est pas trop grave, c'est que ce n'est pas un pays étranger, mais tout de même, ça veut dire que le Rafale n'est pas à l'abris de pareille mésaventure. oui, fuite hydraulique sur un canard. ils ont fait livrer la pièce et l'ont réparé sur place. Le problème a été la livraison du banc de test hydraylique, car la dispo des C135 était.. comment dire... On était en 2014. Aujourd'hui ça serait réglé en quelques jours avec des Atlas. On ne mesure pas à quel point l'AAE a fait un bon en avant logistique. J'en parlais là : https://www.portail-aviation.com/blog/2014/05/15/rafale-en-panne-la-reunion-des/ Le jour où on aura autant de détails sur la panne des deux F-35, on pourra comparer. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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