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Santé publique ressource stratégique?


rendbo

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Quel est le point commun entre les Etats-Unis, la Somalie, et l'Afghanistan ?
Baisse de l'espérance de vie en bonne santé :
https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/05/31/le-recul-de-l-esperance-de-vie-une-nouvelle-tragedie-americaine_5307558_3234.html

 

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  • 4 weeks later...
  • 3 weeks later...
Le 27/05/2018 à 16:41, Kiriyama a dit :

Je sais que les hôpitaux suisses souffrent depuis quelques temps. Mais j'ignorais que le management "à la française" s'était exporté en Suisse. 

Kiri ton french bashing constant commence à me courir

Le management à la Française comme tu l'appelles, ce n'est ni plus ni moins que du management libéralisé à l'anglosaxone transposé dans un système social à la française

Avant d'écrire apprend donc la définition et la réalité des mots que tu utilises

Ce management à l'anglosaxone basé sur le rendement prix/efficacité des soins, c'est celui qui est en train de devenir universel parceque c'est une définition du capitalisme appliqué au domaine de la santé

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La plupart des informations sur les soins de santé que j'ai concernent la France. Pour la Suisse j'en ai aussi, mais rien d'aussi "complet" ou dramatique que ce qu'on peut lire sur ce qui se passe en France. Si tu as des sources sur ce qu'il se passe ailleurs ça m'intéresse. L'Angleterre est un beau cas d'école probablement. 

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Tu peux aussi regarder ce qui se passe en Belgique, Allemagne ou Italie

Le process est le même avec des différences à la marge (et en fonction du système social initial)

Maintenant que la santé est classé comme une ressource tertiaire monnétisable, y'a pas de secret sur comment ca va fonctionner dans le futur

Et je remet ici la citation de Chomsky : https://www.youtube.com/watch?v=t5mED3il-Ho

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Il y a 5 heures, Akhilleus a dit :

Tu peux aussi regarder ce qui se passe en Belgique, Allemagne ou Italie

Le process est le même avec des différences à la marge (et en fonction du système social initial)

Maintenant que la santé est classé comme une ressource tertiaire monnétisable, y'a pas de secret sur comment ca va fonctionner dans le futur

Et je remet ici la citation de Chomsky : https://www.youtube.com/watch?v=t5mED3il-Ho

Effectivement, tout le monde tend vers un déremboursement et une privatisation plus ou moins forcée.

Mais un élément de l'équation est le prix des médoc :

Ce podcast de France Culture est très éclairant montrant que le prix des médicaments est avant tout une histoire de gestion financière et non pas de cout de recherche :

Entre libéralisme et régulation : le prix de la vie 05/12/2017

https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/cultures-monde-mardi-5-decembre-2017

Citation

Alors que le prix des médicaments s'envole aux Etats-Unis, l'image de l'industrie pharmaceutique est écornée par l'affaire Turing pharmaceuticals révélant des malversations financières. L'Etat est-il encore en mesure de réguler le prix des médicaments ? Combien coûte une vie ?

Si les laboratoires se défendent de pratiquer des prix excessifs et mettent en avant les coûts élevés de la recherche et du développement de médicaments innovants, la question reste pour les Etats comme pour les assureurs privés, celle de la soutenabilité financière des traitements et au-delà, celle de l’accès des malades à des solutions thérapeutiques adaptées.

L’équilibre négocié entre les intérêts privés de firmes pharmaceutiques mondiales et les objectifs de santé publique des Etats semble aujourd’hui sur le point de se rompre alors que les nouvelles molécules mises sur le marché sont de plus en plus coûteuses.

Pris entre la demande des patients et la pression des laboratoires, l’Etat semble perdre ses capacités de régulation dans un contexte budgétaire souvent contraint.

Alors, comment s’établit le prix d’un médicament ? Quels sont les acteurs, les critères, les contraintes qui pèsent sur cet exercice délicat consistant à mettre un "prix sur la (sur)vie" ?

Des USA à l’Europe : Comment renforcer le poids des états face aux laboratoires et sauver nos systèmes de santé solidaires ? Peut-on concevoir une juste régulation alors que le prix des traitements s’envole ? 

 

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Citation

Tu peux aussi regarder ce qui se passe en Belgique, Allemagne ou Italie

Oui, en Italie c'est assez… primitif la qualité des soins de santé.

Un ami d'origine italienne m'avait expliqué que son père était venu se faire opérer en Belgique parce que, en Italie, ils n'auraient probablement pas su mener une opération si complexe avec la même probabilité de succès. Ca c'est pour la "qualité" des soins proprement dit.

Pour la Belgique on va vers un système où les gens reçoivent le minimum et les soins expédiés le plus vite possible.

Après, techniquement, la qualité des hôpitaux est bonne.

Concernant la brutalité du management, je ne sais pas si c'est pareil qu'en France, mais j'ai jamais entendu parler de vague de suicides comme en France non plus.

Dans un livre j'avais vu qu'il y avait une école spécifiques pour former les directeurs d'hôpitaux en France, je ne sais pas si il y a des équivalents ailleurs. 

Edit :
Ce que dit Noam Chomsy me fait penser à ce qui se prépare en Wallonie pour l'enseignement avec le Pacte d'excellence qui va dégrader la qualité de l'enseignement. Pour avoir déjà parlé avec pas mal d'enseignants, d'après eux le but est de privatiser à terme une bonne partie de l'enseignement : les écoles privées formeront les élites très qualifiées et les établissements publics s'occuperont des autres destinés à occuper les emplois sous-qualifiés. Le fait d'avoir confié le plan du pacte à une entreprise anglo-saxonne (le cabinet McKinsey) est éclairant sur ce point. 

Modifié par Kiriyama
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  • 4 weeks later...
Citation

Ce podcast de France Culture est très éclairant montrant que le prix des médicaments est avant tout une histoire de gestion financière et non pas de cout de recherche :

Pas encore eu le temps d'écouter le podcast mais cette affirmation n'est pas complètement vrai. L'essor des biotechs font exploser les coûts des médicaments. Un anticorps monoclonal coûte beaucoup plus cher à produire qu'une "simple" ( tout est relatif, je suis chimiste et ça peut être sacrément complexe à synthétiser ces bêtes là ^^) molécule chimique pour des efficacités assez similaires au final ( ça sera sans doute un futur scandale pharma. Les AC n'apportent qu'une amélioration à la marge dans la plupart des cas mais pour des prix bien plus importants.)

Puis le développement de la médecine personnalisée risquent de ne pas faire baisser les coûts de soin. . .

le Problème N° 1 c'est la propriété intellectuelle et la gestion des brevets et là y a pas de miracle. Favoriser les génériques c'est à terme défavoriser l'innovation. Pourquoi se casser le cul à prendre des risques pour développer une nouvelle molécule ( biotech ou chimique) si lors d'un succès pour 100 échecs ( et les coûts inhérents. il faut savoir que lors de la recherche d'une molécule candidate on demande aux ingé/ chercheurs de trouver toutes les raisons pour ne pas continuer son développement. Il faut " tuer" sa molécule. Car dès qu'elle arrivera aux phases cliniques toutes échec coûtera des millions) on voit arriver très vite des copies ? C'est d'ailleurs une des raisons du tournant biotechnologique opéré ces dernières années. il est plus difficile de copier un biomédicament.  L'apparition de générique s'en trouve diminuée. Soit on favorise les princeps (médicaments originales) mais là le prix c'est bonbon et pas bon pour les finances des états.

Pour en parler àux chimistes médicinale de R&D et galéniciens, les avis sont fortement opposés! Certains trouvant les génériques géniaux, d'autres beaucoup moins

Modifié par elannion
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11 hours ago, elannion said:

le Problème N° 1 c'est la propriété intellectuelle et la gestion des brevets et là y a pas de miracle. Favoriser les génériques c'est à terme défavoriser l'innovation.

La question est avant tout politique ... est ce qu'il est acceptable de laisser mourir ou pourrir des populations entière ... alors que le traitement existe.

Ça se pose surtout pour les pays en développement ...

Mais aussi en France. De nombreux traitement ne reçoivent pas d'AMM en France ... alors qu'ils l'ont ailleurs ... parce que l'Assurance Maladie n'a pas trouver d'accord tarifaire, et que le bilan cout/bénéfice collectif n'est pas trivialement positif. L'exemple récent c'est le traitement de la hépatite C ... depuis 2013 ils existent un traitement simple a base antiviraux d'action directe, le traitement est cours 8 semaines il me semble. Sauf qu'il coûte 25 ou 30.000€. Résultat il a fallu attendre mi 2017, début 2018 pour le trouver effectivement dans les pharmacie des hôpitaux, pour que le traitement soit enfin proposer en France.

En France le traitement d'une "cirrhose" et les IJ et autre manque a gagné associé ... coûte plus que le traitement. Donc on a fini par financer le traitement.

Dans des pays ou le manque a gagné d'un mort de l'hépatite ... est moindre parce que les individu y sont moins productif ... l'équation est simple ... on laisse mourir.

Pour l'hépatite l'histoire fini bien ... mais il y a tout un tas d'autre pathologie ... pour lesquelles si on veut profiter d'un traitement moderne ... il faut le faire à l'étranger et le financer soit meme ... ou connaître les gens qui vont bien des services qui vont bien et qui procèdent a des "essais" ou autre protocole exotique.

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

On a longuement parlé de la crise des opiacés qui touche l'Amérique du Nord. Et des responsables va maintenant gagné gros en vendant un traitement (s'il est efficace):

https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/26785-Richard-Sackler-milliardaire-riche-grace-opiaces-brevete-un-traitement-anti-addiction/amp

L'entreprise en question,  Purdue Pharma, est en procès dans 25 état américains.

Peut on voir comme peine que le brevet du traitement tombé dans le domaine public pour qu'il soit commercialisé comme '.Générique'' a prix coûtant ?

Modifié par collectionneur
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  • 3 weeks later...

L'hôpital à fleur de peau

L’hôpital flambant neuf de Gonesse, dans le Val d’Oise, comprenant 2 500 salariés, est, comme la plupart des institutions de santé publique en France, au bord du gouffre financier.

Son personnel toujours plus pressurisé est, lui, arrivé au point de rupture.

De l’aide-soignante au chirurgien, les hospitaliers de Gonesse dénoncent un système dont ils veulent révéler les dérives au grand jour, en faisant découvrir sur le terrain les réalités professionnelles et les aberrations humaines cachées derrière les injonctions économiques. Quand jusque-là, à part quelques voix isolées, l’omerta était plutôt de mise au sein d’une institution où l’on n’aime pas se plaindre.

Ces femmes et ces hommes qui ont souvent choisi leur métier par vocation livrent frontalement leurs inquiétudes et leur ras-le-bol face à la pression économique qui les pousse à faire toujours plus d’activité pour se financer, quand, dans le même temps, la direction veut faire des économies en coupant dans leurs effectifs, pour continuer à soigner… Mais avec toujours moins de moyens.

Ces soignants s’expriment pour crier haut et fort leurs souffrances, comme dans les autres hôpitaux publics de France, à Gonesse, les burn-out et l’absentéisme de confort, plombent encore plus la situation. A terme, c’est une crise des vocations qui se profile et des médecins qui fuient vers le privé.

Dans ce film, ils nous interrogent ouvertement sur l’avenir d’un système de santé de service public mis sous la tutelle des lois du marché et qu’ils veulent à tout prix reformer. Une évolution qui ébranle l’engagement, l’idéal humain de ceux qui ont fait le serment d’Hippocrate, et, qui, dans certains cas, questionne la sécurité du soin.

L'émission visible ici, pour les Français seulement. 

TV5 France

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tu as du lire ce qu'a écrit  Tancrede sur le système éducatif / universitaire aux USA.  Idem pour les maisons d'arrêt ...

Je crains  les mêmes dérives en Europe tant sur l'éducation, le système carcéral, mais aussi la Santé, l'énergie, l'Eau, le système de retraite.....  Les groupes privés veulent TOUT régenter pour ce faire du Fric et tout est une bonne raison pour nous tondre plus !

Petit à petit l'oiseau fait son nid et le grignotage pour ce faire a commencé depuis 30 ans ... les fonds de pensions (US) et d'investissement sont à l’œuvre et ont l'oreille de nos gouvernants. Les groupes d'assurance poussent comme des malades.... sous prétexte d’économies, de meilleure gestion on nous fait passer la pilule.

Modifié par Lezard-vert
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  • 3 weeks later...

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/la-france-compte-t-elle-trop-de-fonctionnaires_1324777.html

 

Le graphique date un peu (en base 1000 en 2000) :

evolution-de-l-emploi-dans-la-fonction-p

 

Mais il montre une tendance à l'augmentation.

Comme l'indique aussi ce lien : https://www.weka.fr/sante/dossier-pratique/gerer-le-personnel-medical-et-hospitalier-dt45/les-chiffres-cles-de-la-fonction-publique-hospitaliere-4621/

 

1986 : 665 000 agents

1996 : 885 296 agents

2006 : 1 055 821 agents

2008 : 1 045 042 agents

2009 : 1 100 073 agents

2010 : 1 110 469 agents

 

Si l'on prend les ETP, les valeurs sont légèrement plus faibles (cas des temps partiels) mais la tendance est la même.

 

Donc ma question c'est : où sont passés tous ces effectifs supplémentaires lors de cette période de croissance des effectifs? On hurle aujourd'hui à la mort sur les réductions, mais c'est un retour à des effectifs précédents où la situation n'était pas décrite comme catastrophique, pourtant.

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il y a 8 minutes, true_cricket a dit :

Donc ma question c'est : où sont passés tous ces effectifs supplémentaires lors de cette période de croissance des effectifs? On hurle aujourd'hui à la mort sur les réductions, mais c'est un retour à des effectifs précédents où la situation n'était pas décrite comme catastrophique, pourtant.

oui mais la demande de soins a explosé ...

Ce graphique est intéressant quant à l'évolution très contrastée de la FPE par rapport à la FPT ... en tant qu'agent de l'état çà me fait rire jaune ... Le réveil va être très très dur pour les finances locales

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  • 4 weeks later...
Le 27/07/2017 à 11:18, Kiriyama a dit :

Un article très intéressant qui conteste la responsabilité des vaccins dans l'apparition de troubles de l'autisme.

Le refus de la vaccination (sous des prétextes très souvent faux) est un sérieux souci.

Le 01/11/2018 à 13:05, TMor a dit :

Il y a une terrible illusion qui traîne ici, c'est l'idée qu'il est possible de dessouder toutes les fake news qui sortent.

HS... Je suis sur Twitter quelques "sceptiques" scientifiques. Tronche en biais, Hygiène mentale, et d'autres. Ils sont forts et vaillants mais face aux hordes d'antivax, de pro-homéophatie, d'anti-glyphosate, et j'en passe, il leur arrive de perdre la foi. Pourtant, leurs armes sont surpuissantes... une étude scientifique bien ficelée ou même un consensus scientifique, c'est quand même balaise normalement.

Tiens, à propos des antivaxx (ou de tout autre "croyant" en thèses alternatives), il y a plein de choses qui me désolent, mais l'une d'elle, c'est l'amalgame et la mauvaise foi.
(j'ai failli le mettre dans le fil guerre de propagande...)

De nombreux antivaxx reprennent en choeur leur défiance des adjuvants et sels d'aluminium.
Soit : il y a bien des recherches en cours sur des profils génétiques particuliers vulnérables à la sclérose en plaque, et qui pourraient avoir un risque accru avec des sels d'aluminium .

Le hic, c'est que dans leur bulle de filtre, ils rejettent aussi souvent les vaccins sans adjuvant, comme le vaccin ROR (contre la rougeole)...
Dont le taux de vaccination peine à décoller (alors que les épidémies et les morts reviennent depuis 10 ans).

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccination-alerte-a-la-rougeole_987071.html
https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/53-priorix

Modifié par rogue0
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  • 1 month later...
  • 4 weeks later...
il y a 44 minutes, Kiriyama a dit :

L'information date de quelques mois, mais voilà un des risques de la privatisation des soins de santé. 

Oui, si au sens de l'irruption de grands groupes financiers dans la gestion des cliniques ou des centres médicaux et qui n'ont rien de bisounours sur la notion de profits.

Non, si l'on considère que le service public est forcément exemplaire : les 35h à l'hôpital ont fait fonctionner tout l'édifice au rythme du groupe qui travaillait 35h et tant pis si les médecins étaient à 48h...

Le 18/10/2018 à 16:09, true_cricket a dit :

Donc ma question c'est : où sont passés tous ces effectifs supplémentaires lors de cette période de croissance des effectifs? On hurle aujourd'hui à la mort sur les réductions, mais c'est un retour à des effectifs précédents où la situation n'était pas décrite comme catastrophique, pourtant. 

Peut-être déjà compenser l'effet des 35h sur l'organisation des services de soins.

Après, est-il possible de creuser plus en stratifiant les augmentations de telles ont-elles catégories?

Un exemple : dans les années 90 le CHU de Caen avait le taux le plus élevé de personnels par malades.

Dans la réalité, il y avait le taux le plus bas de médecins par malade mais une pléthore de personnels non qualifiés qui servaient au brancardage.

Dans les faits, le maire étant comme souvent le président du conseil hospitalier et le principal employeur local, il avait facilité l'embauche des ouvriers de la sidérurgie laissés sur le carreau ou des employés de Moulinex.

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