Akhilleus Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 6 minutes, nemo a dit : Très vite dit. Il y a une hostilité générale aux russes dans les pays baltes. C'est pas les exemples qui manquent et on a discuter d'un de ces problèmes encore récemment. Mon problème avec ce point de vue est pas que la Russie soit perçu comme une menace. Elle l'est de toute évidence si on s'attache à ce qu'elle fait concrètement. Mon problème est la lecture unilatérale de cette menace comme si elle tombait du ciel et qu'elle n'était pas en partie le produit de notre politique. Aussi bien en Ukraine qu'en Géorgie. Pas que Les Baltes (surtout les lettons et estoniens, moins la Lituanie) agissent aussi beaucoup comme le petit fluet de cours d'école qui va poker un ras du front qui fait 2 fois sa taille pour aller se réfugier derrière un (ensemble) de mecs moyennement baraqués (en tout cas plus qu'eux) En gros ils font des trucs qu'ils ne se permettraient pas en temps normal si ils n'avaient pas une assurance européenne derrière (je réitère l'exemple de l'extension unilatérale de ZEE -à l'encontre de la convention de Montego Bay- qui induit mécaniquement des franchissements de "frontière" par des appareils russes. Pas que ces derniers ne le fasse pas volontairement de temps à autre mais pas aussi souvent que l'on veuille bien le dire) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pasha Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 2 minutes, nemo a dit : Mon problème avec ce point de vue est pas que la Russie soit perçu comme une menace. Elle l'est de toute évidence si on s'attache à ce qu'elle fait concrètement. Mon problème est la lecture unilatérale de cette menace comme si elle tombait du ciel et qu'elle n'était pas en partie le produit de notre politique. Aussi bien en Ukraine qu'en Géorgie. C'est parce que tu ne comprends pas le choix de ces peuples guidé par les bonnes ONG. Tu remets beaucoup trop en question la volonté des peuples et de leurs cercles d'influences. Attention trop de remise en question est passible de peine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 24 minutes, Pasha a dit : C'est parce que tu ne comprends pas le choix de ces peuples guidé par les bonnes ONG. Tu remets beaucoup trop en question la volonté des peuples et de leurs cercles d'influences. Attention trop de remise en question est passible de peine. (En effet), il suffit de lire ce fil pour se dire que la volonté des peuples, guidée par des années d'aculturation voulue, justifie la xénophobie, la réécriture historique, et les propos de comptoir... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 27 minutes, Pasha a dit : C'est parce que tu ne comprends pas le choix de ces peuples guidé par les bonnes ONG. Tu remets beaucoup trop en question la volonté des peuples et de leurs cercles d'influences. Attention trop de remise en question est passible de peine. Je serais taquin, j'aurais bien demandé à quel moment on a sollicité - pour de vrai - la volonté du peuple russe lors des élections. Mais c'est le genre de questions qui fâche dans certains cercles. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pasha Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre (modifié) il y a 35 minutes, rendbo a dit : (En effet), il suffit de lire ce fil pour se dire que la volonté des peuples, guidée par des années d'aculturation voulue, justifie la xénophobie, la réécriture historique, et les propos de comptoir... Au délà de la taille des minorités russes, je différencie un peu le cas Balte de la Géorgie et de l'Ukraine. Mais bon se cacher derrière la volontée des peuples pour justifier notre main-mise postionnement (j'aimerais bien dire impérialisme mais ça choquerait beaucoup trop de monde) au détriment de Russie, ça me fait doucement rire. Comme si nous n'avions pas de volonté politique avec des idées derrière la tête. C'est compréhensible, je ne dis pas, pour la puissance américaine et la puissance germanique européenne de pousser ses frontières les plus à l'est possible. Tout comme il est compréhensible que la puissance visée réagisse, du moins dans ma réflexion. Pour certains c'est inenvisageable, puisqu'ils font parti du camp dominant. Je l'entend. Mais c'est source d'erreurs je trouve. Nous nous sommes toujours disputé pour l'est de l'Europe. Si nous avions voulu coexister ensemble, l'OTAN aurait disparu au profit d'une autre alliance tout en intégrant la Russie comme membre. Pour tuer dans l'oeuf tout autre discours ou velléités belliqueuses. Mais ce bateau a sombré corps et âmes, sur le plan de travail, il ya bien longtemps. N.B : Au passage la volontée des peuples à chaque fois été mise en avant pour abattre des empires. Pour l'avantage d'un autre empire. Pas pour un quelconque acte de bienveillance ou de démocratie ou de liberté. - Empire Austro-hongrois - Empire Français (le colonial, quoique les 3 on peut les mettre sous le même statut) - Empire Chinois - Empire du Japon - Empire colonial Anglais - Empire colonial Hollandais - Empire colonial Portugais - Empire Russe puis Soviétique Voir ce que donnera l'après de l'Empire Américain. Modifié le 20 octobre par Pasha nota béné 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ciders Posté(e) le 20 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 octobre il y a 2 minutes, Pasha a dit : Au délà de la taille des minorités russes, je différencie un peu le cas Balte de la Géorgie et de l'Ukraine. Mais bon se cacher derrière la volontée des peuples pour justifier notre main-mise postionnement (j'aimerais bien dire impérialisme mais ça choquerait beaucoup trop de monde) au détriment de Russie, ça me fait doucement rire. Comme si nous n'avions pas de volonté politique avec des idées derrière la tête. C'est compréhensible, je ne dis pas, pour la puissance américaine et la puissance germanique européenne de pousser ses frontières les plus à l'est possible. Tout comme il est compréhensible que la puissance visée réagisse, du moins dans ma réflexion. Pour certains c'est inenvisageable, puisqu'ils font parti du camp dominant. Je l'entend. Mais c'est source d'erreurs je trouve. Nous nous sommes toujours disputé pour l'est de l'Europe. Si nous avions voulu coexister ensemble, l'OTAN aurait disparu au profit d'une autre alliance tout en intégrant la Russie comme membre. Pour tuer dans l'oeuf tout autre discours ou velléités belliqueuses. Mais ce bateau a sombré corps et âmes, sur le plan de travail, il ya bien longtemps. Alors ça tombe bien... parce que les Russes n'ont pas voulu de la main tendue dans les années 1990 et 2000. Ça aussi, c'est répété depuis des années mais la désinformation "pauvre Russie attaquée de toutes parts" a su dispenser son narratif mensonger, jusqu'à nos plus mornes Prisunic. Mais il est vrai que dans le registre répété ad nauseam par le Kremlin et ses soutiens, il faut toujours présenter la Russie comme une victime. Victime de tout, de l'Occident, des hordes mongoles, du lobby LGBT, des Teutoniques et de la fin du communisme. Et sûrement aussi du canton de Saint-Gall. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pasha Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre (modifié) il y a 16 minutes, Ciders a dit : Alors ça tombe bien... parce que les Russes n'ont pas voulu de la main tendue dans les années 1990 et 2000. Ça aussi, c'est répété depuis des années mais la désinformation "pauvre Russie attaquée de toutes parts" a su dispenser son narratif mensonger, jusqu'à nos plus mornes Prisunic. Mais il est vrai que dans le registre répété ad nauseam par le Kremlin et ses soutiens, il faut toujours présenter la Russie comme une victime. Victime de tout, de l'Occident, des hordes mongoles, du lobby LGBT, des Teutoniques et de la fin du communisme. Et sûrement aussi du canton de Saint-Gall. Les 2 partis ont leurs tord. Croire que ce n'est l'oeuvre que d'un seul.... C'est la que nous sommes en désaccord. Pour toi, seul l'autre est méchant et un but politique. Comme si nous, nous n'en avions pas... Questionné à Chatgpt bêtement car flemme de tout synthétiser j'admets. 1. Méfiance historique mutuelle Héritage de la Guerre froide : L’OTAN a été fondée en 1949 pour contenir l’influence soviétique. Même après la chute de l’URSS en 1991, une méfiance profonde persistait entre la Russie et les pays occidentaux. Narratif russe : Pour la Russie, l’OTAN était (et reste) perçue comme un instrument de l’hégémonie américaine et non comme une alliance purement défensive. 2. Extension de l’OTAN à l’Est Dans les années 1990 et 2000, l’OTAN a intégré plusieurs anciens pays du bloc soviétique (Pologne, Hongrie, République tchèque, puis les pays baltes, etc.). Côté russe, cela a été perçu comme un affaiblissement stratégique et une trahison implicite des promesses (même informelles) faites à Gorbatchev dans les années 1990 selon lesquelles l’OTAN ne s’élargirait pas « vers l’Est ». 3. Divergences de vision stratégique La Russie souhaitait être considérée comme un partenaire égal, voire un pilier central de la sécurité européenne, alors que l’OTAN restait une alliance dominée par les États-Unis. (Justement pour moi, ça méritait de rabattre tout le jeu et de rediscuter de tout ça. Pas seulement intégrer la Russie dans l'OTAN. Bref discuter quoi). Les membres de l’OTAN, eux, avaient des réserves importantes sur la volonté de la Russie de respecter les normes démocratiques, les droits de l’homme, et la transparence militaire. (Comme si c'était la panacée et le but de l'OTAN... Allo la Turquie ? Oui, pouvez-vous nous rendre Chypre ? Et devenir démocratique ? Non ? OK !) 4. Tentatives de rapprochement… mais limites claires En 2002, la Russie et l’OTAN ont mis en place le Conseil OTAN-Russie, un cadre de coopération renforcée. Vladimir Poutine, au début des années 2000, a laissé entendre que la Russie pourrait envisager une adhésion à l’OTAN… mais sous des conditions inacceptables pour les membres de l’alliance, notamment un droit de veto ou un statut de membre à part entière dès le départ. Aucun des deux camps n’a jamais vraiment voulu franchir ce pas de manière sincère ou compatible. 5. Changement de cap en Russie (années 2003–2008) À partir du début des années 2000, et surtout après les révolutions de couleur en Géorgie (2003) et en Ukraine (2004), le pouvoir russe a vu l’expansion occidentale comme une menace à sa sphère d’influence. (Puis le discours de 2008 a entériné la question pour les 2 partis, tu connais la suite). Ce n'est pas comme on avait une doctrine qui explicitait tout ça dans le but de final de contraindre la Russie Modifié le 20 octobre par Pasha 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 22 minutes, Ciders a dit : Alors ça tombe bien... parce que les Russes n'ont pas voulu de la main tendue dans les années 1990 et 2000. Ça aussi, c'est répété depuis des années mais la désinformation "pauvre Russie attaquée de toutes parts" a su dispenser son narratif mensonger, jusqu'à nos plus mornes Prisunic. .... Et sûrement aussi du canton de Saint-Gall. Les affreux..., ils les ont bombardé à coup de projectiles d'Appenzeller hautement enrichi et autres horreurs de la guerre moderne ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 20 octobre Auteur Share Posté(e) le 20 octobre il y a une heure, Pasha a dit : Les 2 partis ont leurs tord. Croire que ce n'est l'oeuvre que d'un seul.... C'est la que nous sommes en désaccord. Pour toi, seul l'autre est méchant et un but politique. Comme si nous, nous n'en avions pas... Questionné à Chatgpt bêtement car flemme de tout synthétiser j'admets. 1. Méfiance historique mutuelle Héritage de la Guerre froide : L’OTAN a été fondée en 1949 pour contenir l’influence soviétique. Même après la chute de l’URSS en 1991, une méfiance profonde persistait entre la Russie et les pays occidentaux. Narratif russe : Pour la Russie, l’OTAN était (et reste) perçue comme un instrument de l’hégémonie américaine et non comme une alliance purement défensive. 2. Extension de l’OTAN à l’Est Dans les années 1990 et 2000, l’OTAN a intégré plusieurs anciens pays du bloc soviétique (Pologne, Hongrie, République tchèque, puis les pays baltes, etc.). Côté russe, cela a été perçu comme un affaiblissement stratégique et une trahison implicite des promesses (même informelles) faites à Gorbatchev dans les années 1990 selon lesquelles l’OTAN ne s’élargirait pas « vers l’Est ». 3. Divergences de vision stratégique La Russie souhaitait être considérée comme un partenaire égal, voire un pilier central de la sécurité européenne, alors que l’OTAN restait une alliance dominée par les États-Unis. (Justement pour moi, ça méritait de rabattre tout le jeu et de rediscuter de tout ça. Pas seulement intégrer la Russie dans l'OTAN. Bref discuter quoi). Les membres de l’OTAN, eux, avaient des réserves importantes sur la volonté de la Russie de respecter les normes démocratiques, les droits de l’homme, et la transparence militaire. (Comme si c'était la panacée et le but de l'OTAN... Allo la Turquie ? Oui, pouvez-vous nous rendre Chypre ? Et devenir démocratique ? Non ? OK !) 4. Tentatives de rapprochement… mais limites claires En 2002, la Russie et l’OTAN ont mis en place le Conseil OTAN-Russie, un cadre de coopération renforcée. Vladimir Poutine, au début des années 2000, a laissé entendre que la Russie pourrait envisager une adhésion à l’OTAN… mais sous des conditions inacceptables pour les membres de l’alliance, notamment un droit de veto ou un statut de membre à part entière dès le départ. Aucun des deux camps n’a jamais vraiment voulu franchir ce pas de manière sincère ou compatible. 5. Changement de cap en Russie (années 2003–2008) À partir du début des années 2000, et surtout après les révolutions de couleur en Géorgie (2003) et en Ukraine (2004), le pouvoir russe a vu l’expansion occidentale comme une menace à sa sphère d’influence. (Puis le discours de 2008 a entériné la question pour les 2 partis, tu connais la suite). Ce n'est pas comme on avait une doctrine qui explicitait tout ça dans le but de final de contraindre la Russie Voir aussi Jonathan Haslam : https://forum.air-defense.net/topic/26674-guerre-russie-ukraine-2022-g%C3%A9opolitique-et-%C3%A9conomie/page/1098/#comment-1766443 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hypsen Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 16 heures, Patrick a dit : ...Et sinon l'Europe la France pourrait aussi mettre à profit sa ZEE qu'elle pourrait commencer par défendre? L'Allemagne L'Europe pourrait aussi arrêter d'être anti-nucléaire? Sérieux y'a rien qui va dans ces histoires de "gneugneu faut qu'on se rapproche de Tartempion Duchmol parce que ils sont super forts et vraiment tré tré cruels oh mon Dieu j'ai si peur". Mais qu'on aille pomper du pétrole en Guyane. Qu'on aille racler les nodules polymétalliques dans le Pacifique et au large de Clipperton. Qu'on relance des usines de séparation des terres rares. Qu'on avance sur l'uranium de retraitement, le MOX, etc, qu'on relance la filière surgénération. Qu'on arrête de faire chier nos agriculteurs et qu'on regagne en productivité et en indépendance. C'est insupportable ce discours décliniste "ouin ouin il faut absolument qu'on aille lécher des c*** sinon on va pas s'en sortir". Bien sûr que si on peut s'en sortir. Et facilement avec ça. Il suffit juste de déglinguer correctement les empêcheurs de vivre et de les renvoyer une fois pour toutes dans les chiottes de l'histoire. Et ça commence par arrêter de les laisser raconter n'importe quoi à n'importe qui. Puis par imposer à la populace des cours de rattrapage en compréhension du monde qui l'entoure afin que les gens arrêtent de voter pour des débiles mentaux au service de nos ennemis. Tiens d'ailleurs, si des pitres veulent se rapprocher de la russie, des USA ou de la chine, ils veulent le même autoritarisme avec? Le même "crédit social"? La même pollution généralisée? La même conscription pour être envoyés aux tranchées mourir pour la commission Européenne peut-être? C'est pathétique de bout en bout. De Gaulle, réveille-toi! Je suis d’accord qu’il faudrait plus de volontés mais il ne faut pas non plus se faire des illusions. Cela fait maintenant plus de 100 ans que la France n’est plus autonome energetiquement, avec la fin du charbon roi. Nous avons eu depuis la stratégie de diversifier nos fournisseurs et il faut selon moi continuer dans cette voie-là. Le charbon, il nous en reste un peu mais les gisements ont déjà été beaucoup exploités L’uranium est importé (mais il a l’avantage de se stocker facilement). Les gisements de gaz et pétrole sont hypothétiques en Guyane. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 1 heure, Pasha a dit : Les membres de l’OTAN, eux, avaient des réserves importantes sur la volonté de la Russie de respecter les normes démocratiques, les droits de l’homme, et la transparence militaire. (Comme si c'était la panacée et le but de l'OTAN... Allo la Turquie ? Oui, pouvez-vous nous rendre Chypre ? Et devenir démocratique ? Non ? OK !) notons que la norme démocratique n'est pas vraiment une question quand l'OTAN intègre la Grèce ou le Portugal... et qu'elle a su choisir ce qu'elle appelle "démocratie", même quand ces démocraties puaient à plein nez les emmerdes futures de part les directions qu'elles prenaient. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre il y a 41 minutes, Hypsen a dit : Je suis d’accord qu’il faudrait plus de volontés mais il ne faut pas non plus se faire des illusions. Cela fait maintenant plus de 100 ans que la France n’est plus autonome energetiquement, avec la fin du charbon roi. Nous avons eu depuis la stratégie de diversifier nos fournisseurs et il faut selon moi continuer dans cette voie-là. Le charbon, il nous en reste un peu mais les gisements ont déjà été beaucoup exploités Je n'ai pas mentionné le charbon. J'ai mentionné le gaz et le pétrole dans nos ZEE. il y a 41 minutes, Hypsen a dit : L’uranium est importé (mais il a l’avantage de se stocker facilement). Je parlais de l'uranium recyclé et de la surgénération auquel cas on est largement indépendants et pour bien plus de 100 ans. Les "déchets nucléaires" n'en étant souvent pas. il y a 41 minutes, Hypsen a dit : Les gisements de gaz et pétrole sont hypothétiques en Guyane. Je suis en désaccord complet sur ce point. C'est un autre scandale de la République d'ailleurs parce que ce serait une planche de salut économique pour les Antilles et la Guyane Française. Des hydrocarbures il y en a juste à côté, Brésil et Suriname, mais il n'en aurait pas pile juste en face de la Guyane? Allons donc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 9 heures, nemo a dit : Très vite dit. Il y a une hostilité générale aux russes dans les pays baltes. C'est pas les exemples qui manquent et on a discuter d'un de ces problèmes encore récemment. Mon problème avec ce point de vue est pas que la Russie soit perçu comme une menace. Elle l'est de toute évidence si on s'attache à ce qu'elle fait concrètement. Mon problème est la lecture unilatérale de cette menace comme si elle tombait du ciel et qu'elle n'était pas en partie le produit de notre politique. Aussi bien en Ukraine qu'en Géorgie. Hostilité, oui très clairement. Mais pas de bellicisme. Par contre, et je reconnais que ça peut faire penser à du bellicisme, les Baltes sont convaincus que la guerre va arriver, et que donc il faut s'y préparer sérieusement. De même oui, c'est en partie le produit de notre politique. Mais comme toute chose, et à cette logique, que devrions nous dire du Sahel...c'est sans fin à ce compte là. Il y a 21 heures, gustave a dit : Comme tu le dis, il n'y a pas de TDM de l'arme de "l'infanterie", il y a des TDM de spécialité "combat de l'infanterie"... Je cherche encore l'école d'arme des TdM... Par contre à l'EI, une école d'arme, je me souviens avoir vu des TdM. Une nouvelle route relie la Pologne aux Pays Baltes : https://www.euronews.com/2025/10/20/new-road-linking-baltic-states-to-poland-opens-at-time-of-tensions-with-russia "A major road connecting the three Baltic states to Poland opened on Monday at a time of rising tensions between Europe and Russia. The road, known as Via Baltica, will pass through a narrow strip of land between Belarus and the Russian exclave of Kaliningrad called the Suwalki Gap which has often been described as a potential target if Russia were to attack NATO. At an inauguration ceremony on the border between their countries on Monday, Polish President Karol Nawrocki and Lithuanian President Gitanas Nausėda said the road was the region's most important corridor and highlighted its role in the region's defence. NATO troops could potentially move faster in aid of the Baltics by using Via Baltica. "This road has a dual purpose – it will help our economy and strengthen the defence capabilities of our region," Nawrocki said." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 9 heures, Pasha a dit : C'est parce que tu ne comprends pas le choix de ces peuples guidé par les bonnes ONG. Tu remets beaucoup trop en question la volonté des peuples et de leurs cercles d'influences. Attention trop de remise en question est passible de peine. Quelles ONG ?! Il y a 8 heures, rendbo a dit : (En effet), il suffit de lire ce fil pour se dire que la volonté des peuples, guidée par des années d'aculturation voulue, justifie la xénophobie, la réécriture historique, et les propos de comptoir... Les Baltes sont une bande de xénophobes ? Il y a 8 heures, Pasha a dit : Au délà de la taille des minorités russes, je différencie un peu le cas Balte de la Géorgie et de l'Ukraine. Mais bon se cacher derrière la volontée des peuples pour justifier notre main-mise postionnement (j'aimerais bien dire impérialisme mais ça choquerait beaucoup trop de monde) au détriment de Russie, ça me fait doucement rire. Comme si nous n'avions pas de volonté politique avec des idées derrière la tête. C'est compréhensible, je ne dis pas, pour la puissance américaine et la puissance germanique européenne de pousser ses frontières les plus à l'est possible. Tout comme il est compréhensible que la puissance visée réagisse, du moins dans ma réflexion. Pour certains c'est inenvisageable, puisqu'ils font parti du camp dominant. Je l'entend. Mais c'est source d'erreurs je trouve. Nous nous sommes toujours disputé pour l'est de l'Europe. Si nous avions voulu coexister ensemble, l'OTAN aurait disparu au profit d'une autre alliance tout en intégrant la Russie comme membre. Pour tuer dans l'oeuf tout autre discours ou velléités belliqueuses. Mais ce bateau a sombré corps et âmes, sur le plan de travail, il ya bien longtemps. N.B : Au passage la volontée des peuples à chaque fois été mise en avant pour abattre des empires. Pour l'avantage d'un autre empire. Pas pour un quelconque acte de bienveillance ou de démocratie ou de liberté. - Empire Austro-hongrois - Empire Français (le colonial, quoique les 3 on peut les mettre sous le même statut) - Empire Chinois - Empire du Japon - Empire colonial Anglais - Empire colonial Hollandais - Empire colonial Portugais - Empire Russe puis Soviétique Voir ce que donnera l'après de l'Empire Américain. Bah les Baltes a priori appellent de leur voeux notre positionnement...donc bon... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 6 heures, Patrick a dit : Je suis en désaccord complet sur ce point. C'est un autre scandale de la République d'ailleurs parce que ce serait une planche de salut économique pour les Antilles et la Guyane Française. Des hydrocarbures il y en a juste à côté, Brésil et Suriname, mais il n'en aurait pas pile juste en face de la Guyane? Allons donc. C'est possible pourtant. Par exemple la Lybie regorge de pétrole mais aucun de ses voisins n'est très riche dans le domaine. En plus le pétrole au large du Brésil est compliqué à exploiter pour diverse raison technique (pétrole antésalifére). Des explorations plus rigoureuses trouveront peut être quelque chose mais cela coutera cher à mettre en exploitation. Tu peux aussi concevoir ça comme un investissement pour l'avenir : plus le temps passe plus ces gisement seront précieux. Enfin avec le réchauffement climatique lever le pied sur la production est sans doute pas la pire chose qu'on peut faire la maintenant. Si les gisements existent et sont exploitable ce qui n'a rien de certain comme je le disais. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hypsen Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 6 heures, Patrick a dit : Je parlais de l'uranium recyclé et de la surgénération auquel cas on est largement indépendants et pour bien plus de 100 ans. Les "déchets nucléaires" n'en étant souvent pas. Cela viendrait en remplacement de nos centrales nucléaires actuelles. Sur le temps long c'est intéressant quand l'uranium naturel viendra à manquer. Mais à moyen terme, cela n'aidera pas pour nos consommations non électriques (gaz et pétrole principalement). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 20 octobre Share Posté(e) le 20 octobre Il y a 1 heure, Polybe a dit : Les Baltes sont une bande de xénophobes ? J'ai pourtant bien écrit ce fil. Mais après oui, dès leur indépendance, certains Pays Baltes mènent une politique qui chez nous serait taxée de raciste. Même l'Europe l'a souligné ce fameux problème des minorités russes... En ayant une politique intérieure plus mesurée, comme l'Occident a su le faire durant la guerre froide de peur d'une 5eme colonne, il y aurait peut-être des problèmes, mais on pourrait dire la bouche en coeur qu'on n'y est pour rien et donc réagir avec plus de légitimité. Et ce n'est pas faire preuve de "faiblesse" que de se comporter comme des humains, sur place comme sur les pages de ce fil. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre 20 hours ago, Patrick said: Je suis en désaccord complet sur ce point. C'est un autre scandale de la République d'ailleurs parce que ce serait une planche de salut économique pour les Antilles et la Guyane Française. Des hydrocarbures il y en a juste à côté, Brésil et Suriname, mais il n'en aurait pas pile juste en face de la Guyane? Allons donc. Total a fait des forages en Guyane finalement, mais ils ont fait choux blanc : https://www.actu-environnement.com/ae/news/Total-abandonne-forage-Guyane-32975.php4 Quote Ce jeudi 28 février [2019], le directeur général de Total Exploration et Production Guyane Française (TEPGF) a confirmé à l'AFP la fin des forages exploratoires en mer, lancés mi-décembre 2018, au large de la Guyane. "Nous n'avons pas trouvé d'hydrocarbures en effectuant ce forage et nous avons arrêté les opérations en début de semaine. Nous sommes très déçus par ce résultat", a expliqué, à l'agence de presse, Olivier Wattez, directeur général de TEPGF. ça marche pas à tous les coups... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elemorej Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre Il y a 14 heures, Hypsen a dit : Cela viendrait en remplacement de nos centrales nucléaires actuelles. Sur le temps long c'est intéressant quand l'uranium naturel viendra à manquer. Mais à moyen terme, cela n'aidera pas pour nos consommations non électriques (gaz et pétrole principalement). C'est même complémentaire. L'idée est de faire fonctionner les 2 filières en même temps. Ça suppose donc une volonté politique longue et soutenue car ce n'est vraiment rentable qu'en temps Moyen/long effectivement. Par contre avec nos réserves actuelles (sur notre territoire) c'est de l'ordre du millénaire les stocks. Et totalement on parle de la partie électrique, qui n'est que 30/40% de la consommation énergétique. On est loin d'avoir une solution miracle. Par contre oui ça peut s'augmenter de diverses manières voir inverser (ou plus) le ratio. Par contre on parle d'un mode de vie très différent. Et franchement ça demanderais une envie et volonté commune et implacable sur beaucoup d'aspects. D'ailleurs c'est ça le problème, l'envie, la volonté et la continuité d'action. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 21 octobre Auteur Share Posté(e) le 21 octobre https://www.geo.fr/geopolitique/rail-baltica-le-chantier-ferroviaire-a-24-milliards-deuros-qui-veut-proteger-leurope-de-poutine-226510 (14 mai 2025) Les chemins de fer de l’Estonie, de la Lettonie et de la Lituanie utilisent toujours le "gabarit russe" (1 520 mm), incompatible avec l’écartement standard européen (1 435 mm). En conséquence, en cas de crise ou de conflit, le transport rapide de troupes et de matériel allié vers cette région frontalière se transformerait en véritable casse-tête logistique. Pour pallier le problème, un chantier titanesque de plus de 24 milliards d’euros, destiné à intégrer les pays baltes dans le réseau ferroviaire européen, a été lancé. Le nom du projet ? Rail Baltica. Long de 870 kilomètres (540 kilomètres dans les États baltes eux-mêmes), le corridor reliera Tallinn (Estonie) à Varsovie (Pologne), en passant par Riga (Lettonie) et Klaipėda (Lituanie), avec une éventuelle connexion ultérieure vers Helsinki (Finlande) via un tunnel sous-marin. Les infrastructures actuelles, toujours intégrées au réseau soviétique, posent un problème immédiat car, aux frontières, les passagers doivent changer de train et le fret peut être bloqué jusqu’à huit heures. En situation de guerre, cette inertie logistique pourrait s’avérer désastreuse, alors que la Russie dispose de connexions directes vers les ports baltiques et peut déployer rapidement ses forces grâce à ce fameux écartement ferroviaire. D’où l’urgence de bâtir le réseau Rail Baltica qui, selon les estimations officielles, serait capable d’évacuer en une journée jusqu’à 143 000 personnes. [La stratégie serait donc "l'évacuation" des "personnes" ... ?] Lancé en 2014, Rail Baltica a subi les contrecoups de la pandémie, des lourdeurs bureaucratiques et des désaccords entre partenaires. Les coûts ont quadruplé, poussant les États baltes à diviser le projet en deux phases : la première, de plus de 15 milliards d’euros, se limitera à une seule ligne ferroviaire prioritaire, attendu pour 2030. Jusqu’ici, l’Union européenne a fourni 85% des 4,5 milliards déjà récoltés, mais la prochaine période budgétaire de l’UE, qui débute en 2028, obligera les pays concernés à redemander des fonds pour combler un manque estimé à 8 milliards d’euros. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 21 octobre Auteur Share Posté(e) le 21 octobre https://it.euronews.com/2025/10/20/la-lituania-inaugura-la-via-baltica-la-strada-strategica-per-la-nato-e-i-paesi-baltici (20 octobre 2025) La route européenne E67 qui relie les républiques baltes au reste de l'Union européenne a été inaugurée en Lituanie. Il s'agit d'un projet stratégique pour l'intégration européenne et pour l'approvisionnement de l'OTAN sur le front oriental. Le président polonais Karol Nawrocki s'est rendu lundi en Lituanie pour inaugurer, avec son homologue lituanien Gitanas Nausėda, un tronçon amélioré de la route européenne E67, également connue sous le nom de Via Baltica. Selon la chancellerie lituanienne, cet événement revêt également une dimension symbolique : il a lieu à la date anniversaire de la signature du pacte d'assistance mutuelle entre les deux nations, le 20 octobre 1791. Ce document avait représenté une avancée significative vers l'égalité entre Lituaniens et Polonais dans les structures étatiques de l'ancienne République de Pologne. La Via Baltica est un axe routier qui relie la Lituanie, la Lettonie et l'Estonie à la Pologne et à d'autres pays de l'Union européenne. Il s'agit du principal corridor routier entre les pays baltes et le reste du continent. L'importance de cette route dépasse les frontières de la région : elle fait partie intégrante des réseaux transeuropéens de transport (également appelés RTE-T), qui relient la Baltique à la mer du Nord, à la mer Noire et à la mer Égée. La construction du tronçon polonais de la Via Baltica a duré plus de dix ans et a coûté plus de 11 milliards de zlotys, soit environ 2,6 milliards d'euros, dont environ 1,4 milliard provenait de fonds de l'Union européenne. Dans la situation géopolitique actuelle, cet axe revêt une importance stratégique supplémentaire. Il joue un rôle clé dans la mobilité des troupes de l'OTAN, en permettant le déplacement rapide des forces le long du flanc oriental de l'Alliance. Cela fait de la Via Baltica un élément important pour la sécurité de toute la région. Parallèlement à la Via Baltica, la Rail Baltica, une ligne ferroviaire moderne de 870 kilomètres qui assurera une liaison rapide entre les pays baltes et le reste de l'Europe, est également en cours de construction. L'achèvement des premiers tronçons est prévu pour 2030. Bien que les travaux de construction essentiels aient déjà été réalisés, le projet accuse un retard d'au moins cinq ans par rapport au calendrier prévu. La construction de la nouvelle ligne ferroviaire a débuté en 2019, mais elle a été marquée dès le départ par des retards et des controverses entre les gouvernements baltes concernant le tracé et d'autres aspects financiers. Les coûts estimés du projet Rail Baltica ont quadruplé, passant de 6 milliards d'euros initialement à 24 milliards d'euros. La Commission européenne les juge trop élevés et les auditeurs des États baltes ont également fait part de leurs inquiétudes. L'Union européenne couvre jusqu'à 85 % des coûts du projet Rail Baltica dans le cadre du programme Connecting Europe, qui soutient le développement des infrastructures de transport transfrontalières. Le reste du financement est assuré par la Lituanie, la Lettonie et l'Estonie. En cas d'agression russe, Rail Baltica devrait permettre le transport rapide de troupes et d'équipements lourds vers le front oriental. L'objectif principal du projet est toutefois d'améliorer les liaisons entre les villes baltes et le marché unique de l'Union européenne : des déplacements rapides pour les touristes et les entrepreneurs et un transport efficace des marchandises. Une fois achevé, le train à grande vitesse pourra parcourir la distance entre Tallinn et Vilnius (660 kilomètres) en trois heures et 38 minutes, ce qui représente une réduction significative du temps de trajet par rapport aux neuf heures actuelles en voiture ou en bus. écartements ferroviaires. Rail Baltica et ligne ferroviaire Est finlandaise Source : https://www.itarata.fi/en/east-railway-study-the-finnish-track-gauge-must-be-examined-as-part-of-the-european-transport-system/ (9 octobre 2024) Selon une étude, l'introduction de l'écartement européen des voies sur le réseau Ligne Ferroviaire Est [finlandaise] se justifie si l'on encourage parallèlement l'extension systématique de l'écartement des voies en Finlande et si l'objectif est d'améliorer les liaisons de transport internationales. https://www.rejlers.com/newsroom/news/2025/10/rejlers-wins-framework-agreement-for-major-east-railway-project-in-finland/ (7 octobre 2025) La ligne ferroviaire Est est un projet de liaison ferroviaire à grande vitesse reliant la région métropolitaine d'Helsinki à Kouvola via Porvoo. Le projet vise à moderniser le transport ferroviaire dans l'est de la Finlande, à améliorer la connectivité nationale et à renforcer l'intégration de la Finlande dans le réseau de transport européen. La phase de planification devrait s'achever au début des années 2030, et la ligne ferroviaire devrait être opérationnelle d'ici 2040. https://railway-news.com/east-railway-project-to-connect-finland-to-europe/ (12 mai 2025) Avec l'adhésion récente de la Finlande à l'OTAN, le besoin d'un transport militaire efficace est sans doute crucial. La ligne ferroviaire Est constituera donc une voie de transport essentielle pour les forces militaires, renforçant ainsi la sécurité et la préparation dans la région. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre Il y a 21 heures, rendbo a dit : J'ai pourtant bien écrit ce fil. Mais après oui, dès leur indépendance, certains Pays Baltes mènent une politique qui chez nous serait taxée de raciste. Même l'Europe l'a souligné ce fameux problème des minorités russes... En ayant une politique intérieure plus mesurée, comme l'Occident a su le faire durant la guerre froide de peur d'une 5eme colonne, il y aurait peut-être des problèmes, mais on pourrait dire la bouche en coeur qu'on n'y est pour rien et donc réagir avec plus de légitimité. Et ce n'est pas faire preuve de "faiblesse" que de se comporter comme des humains, sur place comme sur les pages de ce fil. Ok pour les Baltes, je note que l'UE ne parle pas encore de racisme. Mais j'entend. Et donc ici...nous sommes xénophobes, nous aussi ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre Le 20/10/2025 à 21:29, rendbo a dit : Mais après oui, dès leur indépendance, certains Pays Baltes mènent une politique qui chez nous serait taxée de raciste. Même l'Europe l'a souligné ce fameux problème des minorités russes... En ayant une politique intérieure plus mesurée, comme l'Occident a su le faire durant la guerre froide de peur d'une 5eme colonne, il y aurait peut-être des problèmes, mais on pourrait dire la bouche en coeur qu'on n'y est pour rien et donc réagir avec plus de légitimité. Et ce n'est pas faire preuve de "faiblesse" que de se comporter comme des humains, sur place comme sur les pages de ce fil. On peut difficilement reprocher aux Baltes leur volonté de ne pas conserver une communauté russophone fermée sur elle-même et donc potentiellement vulnérable à l'influence russe, voire plus. Pour autant fournir des justifications potentielles à la propagande russe n'est pas sans inconvénient en effet. Profiter du fait que la Russie soit occupée en Ukraine pour "régler" ce problème est, très cyniquement, assez rationnel... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre Le 20/10/2025 à 19:39, Polybe a dit : Je cherche encore l'école d'arme des TdM... Par contre à l'EI, une école d'arme, je me souviens avoir vu des TdM. Il y a des fantassins formés à l'école des transmissions, entre autres exemples. Les écoles d'arme, contrairement à ce que cette appellation pourrait laisser croire, ne déterminent pas l'arme d'appartenance et forment à une spécialité. Les TDM ont d'ailleurs même récemment obtenu le choix de cette arme en école de formation initiale (Coëtquidan) pour les officiers, avant de partir se former techniquement en école "d'arme", bien mal nommée! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 21 octobre Share Posté(e) le 21 octobre (modifié) Le 20/10/2025 à 13:42, Hypsen a dit : Je suis d’accord qu’il faudrait plus de volontés mais il ne faut pas non plus se faire des illusions. Cela fait maintenant plus de 100 ans que la France n’est plus autonome energetiquement, avec la fin du charbon roi. Nous avons eu depuis la stratégie de diversifier nos fournisseurs et il faut selon moi continuer dans cette voie-là. Le charbon, il nous en reste un peu mais les gisements ont déjà été beaucoup exploités L’uranium est importé (mais il a l’avantage de se stocker facilement). Les gisements de gaz et pétrole sont hypothétiques en Guyane. Pour le charbon, le gisement du Sud Nivernais contient plus de 250 millions de tonnes de charbon sur un seul site attendant son heure. Et le bassin charbonnier alpin a été à peine effleuré, ayant quand même la surface du bassin minier du Pas-de-Calais. Ceci dit, tout cela reste virtuel, car plus cher à exploiter au prix de la main-d'œuvre en France, que l'extraction de gaz ou de pétrole en Russie, pays qui inquiète tant les Pays Baltes (hop, retour au sujet ). Modifié le 21 octobre par Benoitleg 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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