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  • 2 weeks later...

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/salomon-mort-de-deux-experts-lors-du-deminage-de-munitions-de-la-seconde-guerre-mondiale-20200921

Deux experts en déminage, un Britannique et un Australien, sont morts dans l'explosion de munitions datant de la Seconde Guerre mondiale qu'ils essayaient de neutraliser dans les îles Salomon.

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  • 2 weeks later...

Kiribati :

https://theconversation.com/kiribati-larchipel-au-coeur-de-la-lutte-dinfluence-entre-la-chine-et-les-etats-unis-141930 (17 juillet 2020)

Taneti Maamau, candidat à sa réélection, promouvait un rapprochement avec la Chine, alors que le chef de l’opposition, Banuera Berina, soutenait des relations étroites avec Taïwan. À l’issue du vote, c’est Taneti Maamau qui a été réélu à la présidence, consacrant ainsi Beijing comme allié du gouvernement.

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Rapa, la plus australe de l'archipel des îles Australes

https://books.openedition.org/demopolis/863 (2014)

Le contexte socio-culturel de Rapa ne favorise pas l’émergence d’un « polynésianisme » tel qu’il s’est fait jour et opère à Tahiti. Il ne se produit pas suffisamment d’interactions productrices de cette logique identitaire car, d’une part, les touristes en quête d’une image de la polynésianité ne viennent pas à Rapa, et, d’autre part, le bouleversement des structures économiques, familiales et culturelles qui pourrait pousser à une recherche d’ancrage compensatoire à des racines est loin d’être aussi brutal et caractérisé que dans le chef-lieu de la Polynésie française – même si Rapa est, inévitablement, entrée dans le jeu d’une certaine monétarisation et consommation de biens, d’ailleurs précipitée par la présence des militaires de la station météorologique à la fin des années 1960 (cf. « Passages et résidences des ‘autres’ »). La présence importante de non-Polynésien-ne-s et les processus d’acculturation qui sont associés aux transferts politiques, économiques, culturels, etc., ont stimulé à Tahiti les revendications culturelles de personnes se définissant comme māòhi face à des modèles imposés. À Rapa en revanche, la quasi-absence de non-Polynésien-ne-s et l’immersion dans la vie locale des très rares qui s’y trouvent ne permettent pas vraiment d’alimenter une revendication identitaire distinctive. Aucune référence n’y est par ailleurs possible à des savoirs anciens, des textes sacrés ou sacralisés, pour reconstruire une quelconque « culture Rapa », comme y pourvoit notamment le livre Tahiti aux temps anciens de Teuira Henry (2004), dans le contexte tahitien.

Une affirmation identitaire plus spécifiquement Rapa se donne du champ dans les thèmes choisis par la troupe Tamariki Oparo lors de ses déplacements à Tahiti, pour le concours du Heiva ; ce sont autant de renvois à des faits historiques, artistiquement modifiés où à des légendes (comme ces dernières années le destin tragique de Tinefara, la sœur du dernier du roi2, l’arrivée du premier missionnaire, John Davies, à Rapa, une légende locale, etc.). Les tenues endossées (pagnes de feuilles de kaokaro, de roseaux, etc.) et les activités présentées sur scène (préparation de la pōpoi, fabrication du sucre à l’ancienne avec le jus de tī, allumage du feu avec des bâtons, etc.) font aussi référence à l’ancestralité et la valorisent. Ce n’est pas sans raison que les prestations de la troupe de Rapa sont toujours très appréciées au concours du Heiva qui se tient chaque année sur la place Tarahoi à Papeete : l’île s’est fait une place de choix dans l’imaginaire régional par son décentrement et sa spécificité foncière. Le qualificatif « authentique », central dans les revendications identitaires, est très souvent employé à propos de Rapa.

Le souci de la protection vient de l’idée que les maladies et les menaces sur la quiétude de la vie insulaire viennent toujours de l’extérieur de l’île. En effet, si l’arrivée des bateaux signifie le retour attendu de proches et l’approvisionnement en objets de consommation désormais nécessaires, elle est aussi associée à l’apparition de maladies. C’est un lieu commun à Rapa : toute présence à bord d’un porteur de germe engendre des réactions en chaîne dans l’île. Stokes notait qu’en 1922 « les insulaires affirment que chaque navire qui arrive dans l’île leur apporte des maladies » (1930/1). Cette représentation ancrée dans l’imaginaire local n’est pas sans fondement. Des épidémies dévastatrices (notamment la variole et la dysenterie) apportées par les étrangers ont véritablement frappé la population de Rapa (cf. « Un passé ancestral ») et cela a contribué à marquer les esprits de génération en génération. La dernière épidémie importante eut lieu dans les années 1964 et 1965, début de l’implantation de la station météo du CEP à Rapa, avec une arrivée massive et de nombreux mouvements de militaires, durant lesquelles 24 personnes (parmi lesquelles 13 bébés ou enfants et 11 adultes âgé-e-s) furent emportées.

Aujourd’hui la grande majorité des Rapa qui résident dans l’île ne veulent pas d’aéroport. J’ai ainsi souvent entendu : À Rapa on ne veut pas d’avion mais un bateau plus rapide. Si les Rapa sont tous d’accord sur l’importance de pouvoir effectuer des évacuations sanitaires d’urgence, l’aéroport constitue clairement un seuil critique dans la représentation et la gestion de l’île. La très grande majorité estime qu’avec son apparition plus rien ne serait pareil. Une dimension sélective dans l’appréhension des nouvelles technologies est ici en jeu. De façon significative, un jeune Rapa, Tehapai, me disait un jour : On veut bien la technologie moderne à Rapa mais pas l’aéroport… L’enjeu est bien ici d’assimiler la nouveauté en la contrôlant. C’est pourquoi l’idée d’une liaison aérienne avec un hydravion, qui par définition ne suppose pas d’aéroport, est souvent évoquée par les insulaires comme ‘la solution’. Mais les vents tournants, subits et imprévisibles rendent l’usage d’un hydravion problématique et ce projet ne semble pas intéresser les autorités politiques à Tahiti.

Au moment où j’écris ces lignes, la tension insulaire est tombée car le projet d’aéroport n’est plus véritablement à l’ordre du jour. Mais si la menace d’un aéroport dans l’île est passée, depuis peu les Rapa sont conscient-e-s d’autres menaces sur l’ordre insulaire. Les vues légitimes (par filiation généalogique) des Rapa non résident-e-s sur les terres de l’île engendrent ainsi des inquiétudes nourries par la conscience que ces Rapa décentré-e-s ont une compréhension plus individualiste des principes locaux et des décisions prises au nom de la communauté par le Toohitu ou d’autres institutions comme le comité des pêches.

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  • 1 month later...

http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/2020/Mission-de-rapatriement-par-l-A400M-ATLAS-entre-la-Polynesie-francaise-et-Rapa-Nui (5 octobre 2020)

L’Etat va mobiliser l’avion militaire A400M ATLAS, actuellement déployé au sein des Forces armées en Polynésie française, afin de rapatrier une quinzaine de résidents de Polynésie française bloqués à Rapa Nui depuis le début de la crise du COVID 19.

Pour répondre à une sollicitation des autorités chiliennes et en étroite coordination avec l’ambassade de France à Santiago, une vingtaine de ressortissants de l’île de Pâques également bloqués sur le fenua seront rapatriés chez eux.

Cette opération devrait se dérouler le jeudi 8 octobre, pour un temps de vol aller de 6H.

Pour rappel, l’A400M ATLAS est en mission en Polynésie française pour une durée de 15 jours. Il a déjà été mobilisé pour une double évacuation sanitaire en Polynésie française.

https://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/rapatriement-par-un-a400m-atlas-de-residents-polynesiens-bloques-sur-l-ile-de-paques (21 octobre 2020)

Lors du vol aller vers Rapa Nui (île de Pâques), vingt personnes, dont un bébé de six jours, bloquées en Polynésie française depuis la fermeture des liaisons aériennes entre la Polynésie et Rapa Nui, ont pu décoller de Tahiti pour rejoindre l’île de Pâques. L’avion avait été médicalisé pour assurer le voyage du nourrisson.

Lors du vol retour, sept Français de Polynésie, bloqués depuis plusieurs mois à Rapa Nui, ont pu faire le chemin inverse afin de rentrer à Tahiti. Ces personnes ont été accueillies par les autorités locales sur le groupement aéronautique militaire (GAM) de Faa’a.

Cette mission a pu être réalisée grâce à l’augmentation significative des capacités permise par la présence ponctuelle d’un A400M Atlas en Polynésie française. La réussite de l’opération a aussi été le fruit d’une coopération étroite entre le Haut-Commissariat de la République en Polynésie française, les FAPf, et les services de l’État, en lien avec les autorités diplomatiques françaises et chiliennes.

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Polynésie française :

https://www.insee.fr/fr/statistiques/3651609#consulter (août 2017)

En moyenne, entre 2012 et 2017, 4 100 naissances et 1 500 décès ont eu lieu chaque année, soit un accroissement naturel moyen de 2 600 personnes par an. Cet indicateur baisse depuis 40 ans (figure 2), en lien avec la diminution continue de la fécondité. L’indice conjoncturel de fécondité est en effet passé de 4,2 enfants par femme en 1977 à 2,1 en 2012 puis à 1,8 en 2017.

La population de Polynésie française reste plutôt jeune : 31 % a moins de 20 ans et 8 % a 65 ans ou plus (respectivement 24 % et 19 % en France ; figure 3).

Pour autant, la durée de la vie s’allonge, la natalité baisse, et donc le vieillissement de la population s’accélère en Polynésie française. En 1988, les jeunes de moins de 20 ans représentaient encore près de la moitié de la population. L’âge médian était alors de 21 ans contre 32 ans aujourd’hui (40 ans en France). L’espérance de vie continue d’augmenter et atteint 77 ans (76 ans en 2012). Elle est de 79 ans pour les femmes et de 75 ans pour les hommes.

Il y a davantage de personnes qui quittent la Polynésie que de personnes qui y arrivent. Le solde migratoire est déficitaire : – 1 100 personnes par an entre 2012 et 2017, soit un peu moins qu’entre 2007 et 2012 (– 1 500 personnes par an ).

Entre 2012 et 2017, 17 500 personnes ont quitté la Polynésie, soit 6 % de la population. Parmi elles, 4 500 avaient entre 18 et 25 ans (900 jeunes sont concernés en moyenne par an). Ce nombre des départs est stable depuis 2002. Ainsi, tous les ans, un jeune adulte sur dix âgé de 18 à 25 ans quitte le territoire.

En Polynésie française, les activités tertiaires (commerce, services marchands et non marchands) n’ont cessé de progresser et emploient 77 % des actifs occupés en 2017. Aux Îles Sous-le-Vent, un quart des emplois est dans l’hôtellerie et la restauration ; à Bora-Bora, la moitié des emplois relève de ces secteurs. Cette proportion est de 6 % à Tahiti et 22 % à Moorea.

Le secteur primaire (perliculture, agriculture, aquaculture, pêche) reste une activité importante : il emploie 7 500 personnes. Aux Tuamotu-Gambier, une personne sur deux travaille dans la pêche, la perliculture ou dans l’exploitation des cocoteraies (coprah). Aux Australes, 20 % des emplois proviennent de l’agriculture et de l’élevage (hors coprah, perle et pêche).

Le poids de l’industrie demeure faible (7 % de l’emploi total) : la moitié des 6 800 emplois de ce secteur se concentre dans les industries alimentaires et de boissons, la distribution d’énergie et la production de produits métalliques.

Enfin, 1 200 personnes travaillent dans l’artisanat (travail du bois, meubles, textile, habillement, bijoux, etc.).

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  • 2 weeks later...
Le 04/09/2020 à 20:55, Wallaby a dit :

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/another-independence-referendum-looms-new-caledonia (15 juillet 2020)

La Nouvelle-Calédonie est devenue un territoire français en 1853 et a d'abord été utilisée comme colonie pénitentiaire. La population actuelle est d'environ 270 000 habitants, dont 39 % de Kanaks et 36 % d'ascendants européens ou "métis" (mixtes). Depuis les années 1870, l'économie du territoire est centrée sur les exportations de nickel, et plus récemment sur les transferts fiscaux de la France. En raison des graves difficultés qu'a connues l'industrie du nickel au cours des cinq dernières années et maintenant du Covid-19, la dépendance à l'égard de l'aide française s'est encore accentuée. L'Agence française de développement a accordé à la Nouvelle-Calédonie un prêt de 28,5 milliards de francs CFA (environ 40 millions de dollars australiens) pour faire face à la pandémie, prêt que la Nouvelle-Calédonie doit rembourser au cours des 25 prochaines années.

https://www.liberation.fr/france/2018/10/09/nouvelle-caledonie-si-c-est-oui-on-deviendra-une-colonie-chinoise_1684288 (9 octobre 2018)

Sous le faré du centre socioculturel de Sarraméa, petite commune de province Sud, une cinquantaine d’habitants écoutent prophétiser le député Philippe Gomès, en jean et chemise bleue à col mao : «Si c’est "oui" à Kanaky, dans les dix ans, pas plus, on deviendra une colonie chinoise.» Suit le récit d’une visite récente au Vanuatu voisin, indépendant depuis 1980. «J’arrive au ministère de l’Intérieur, il est écrit dessus que c’est offert par la Chine, pareil pour les routes, le lycée. La Chine, c’est papa Noël. Ils construisent même un quai pour ravitailler leurs bateaux. Seulement derrière, c’est une base militaire…» Le député évoque ensuite le risque autoritaire à la fidjienne. «Frank Bainimarama a pris le pouvoir, abrogé la Constitution et dissout le Grand Conseil des chefs.» Une inquiétude passe sur la paix des collines, sublimes, qui entourent la tribu.

Nouvelle Calédonie :

https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/11/16/en-nouvelle-caledonie-mobilisation-contre-la-reprise-de-l-usine-de-production-de-nickel_6059924_823448.html

Une usine de nickel (détenue en privé) est en cours de reprise par un groupe suisse Trafigura.
Un collectif indépendantiste pousse un projet de reprise associant les locaux + une firme sud-coréenne : ils ont commencé des opérations de blocage de l'île et en appellent à l'intervention de l'état français ...

(Sans commentaire... des indépendantistes demandant l'intervention de la France )
C'est une usine détenue en privée ... à moins qu'elle pèse lourd dans l'économie locale ou qu'il y ait un enjeu de souveraineté, l'état n'a rien à faire là-dedans )

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  • 4 weeks later...

https://la1ere.francetvinfo.fr/nouvellecaledonie/fidji-904314.html (18 décembre 2020)

Cyclone Yasa, de catégorie 5, à Fidji

Près de 24 000 fidjiens sont encore actuellement hébergés au sein des 456 centres d’accueil

Des pluies diluviennes et des vents, compris entre 241 et 257km/h, ont engendré de nombreuses inondations. Près de 72 axes routiers sont désormais inaccessibles.

Il poursuit sa trajectoire en direction du Sud-Est et pourrait menacer les îles Tonga et l’archipel de Lau ce week-end.

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  • 4 months later...

https://www.19fortyfive.com/2021/05/china-is-planning-an-airbase-on-americas-doorstep/

Selon un reportage récent de Reuters, la Chine prévoit d'améliorer une piste d'atterrissage ainsi qu'un pont sur l'une des îles périphériques de la République de Kiribati. L'île, connue sous le nom d'île Kanton ou d'île Canton, se trouve à peu près à mi-chemin entre l'Asie et le continent nord-américain, bien qu'elle soit à peine à 1 900 miles au sud-ouest d'Hawaï.

Kiribati a pris une orientation pro-chinoise ces dernières années. En 2019, le gouvernement a rompu les relations diplomatiques avec Taïwan en faveur de relations avec la Chine, et en 2020, le président de Kiribati, Taneti Maamau, a été réélu. Il est largement considéré comme pro-chinois.

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Le 07/05/2021 à 23:44, Wallaby a dit :

https://www.19fortyfive.com/2021/05/china-is-planning-an-airbase-on-americas-doorstep/

Selon un reportage récent de Reuters, la Chine prévoit d'améliorer une piste d'atterrissage ainsi qu'un pont sur l'une des îles périphériques de la République de Kiribati. L'île, connue sous le nom d'île Kanton ou d'île Canton, se trouve à peu près à mi-chemin entre l'Asie et le continent nord-américain, bien qu'elle soit à peine à 1 900 miles au sud-ouest d'Hawaï.

Kiribati a pris une orientation pro-chinoise ces dernières années. En 2019, le gouvernement a rompu les relations diplomatiques avec Taïwan en faveur de relations avec la Chine, et en 2020, le président de Kiribati, Taneti Maamau, a été réélu. Il est largement considéré comme pro-chinois.

à mi chemin entre la Chine et l'Amérique du Nord ???? Et bien, en voilà une piste qui doit être sur les tablettes des priorités à traiter de l'EM américain si ça s'envenime avec la Chine...

Modifié par rendbo
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Il y a 7 heures, rendbo a dit :

à mi chemin entre la Chine et l'Amérique du Nord ???? Et bien, en voilà une piste qui doit être sur les tablettes des priorités à traiter de l'EM américain si ça s'envenime avec la Chine...

Un SNA une bordée de MdCN et la piste est rouge pour plusieurs semaines (Kiribati c'est loin de la Chine); c'est d'ailleurs un peu ce qui pourrait attendre une base française dans le quartier en cas de confrontation avec une puissance locale

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Il y a 1 heure, pascal a dit :

Un SNA une bordée de MdCN et la piste est rouge pour plusieurs semaines (Kiribati c'est loin de la Chine); c'est d'ailleurs un peu ce qui pourrait attendre une base française dans le quartier en cas de confrontation avec une puissance locale

il y  a peu de puissances locales à avoir des SNA.

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Il y a 2 heures, Lezard-vert a dit :

il y  a peu de puissances locales à avoir des SNA.

Mais c'est de celles qui en ont dont on se méfie... Face à un pays fauché on peut se contenter de mettre trois gugusses et un drapeau sur un îlot pour dire "c'est à nous, pas touche !" mais face à un pays comme la Chine, ça ne suffira pas.

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Le 09/05/2021 à 12:47, Kelkin a dit :

Mais c'est de celles qui en ont dont on se méfie... Face à un pays fauché on peut se contenter de mettre trois gugusses et un drapeau sur un îlot pour dire "c'est à nous, pas touche !" mais face à un pays comme la Chine, ça ne suffira pas.

avant d'arriver dans le cœur du Pacifique  la Chine va devoir se faire beaucoup d'amis ..... et je pense qu'à ce moment là nos ilots ne seront pas son trop sa préoccupation majeure. Ceci étant il faudra apporter notre contribution pour conserver notre patrimoine. Donc amener nos  SNA et de l'aviation pas forcement à Tahiti ou à Noumea. 

Après mis à part les iles de la Loyauté et Les Eparses qui sont un peu menacées mais bon vu par qui ça est .....

Reste les Kerguélen mais je vois mal la Chine nous faire la guerre pour  elle. 

On est pas les Philippines non plus et faudra pas qu'on se laisse intimider par 200 barcasses de pêche.  C'est la qu'une bombe qui crée des tsunamis ou des typhons peut etre utile si ca va trop loin.

Modifié par Lezard-vert
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il y a 58 minutes, Lezard-vert a dit :

C'est la qu'une bombe qui crée des tsunamis ou des typhons peut etre utile si ca va trop loin.

Faire sauter une bombe nucléaire dans l'eau pour couler une flottille de bateaux de pêche ?

Ah c'est sûr, ça résoud le problème brillamment : après il n'y a plus de poisson à pêcher !

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Il y a 12 heures, Kelkin a dit :

Faire sauter une bombe nucléaire dans l'eau pour couler une flottille de bateaux de pêche ?

Ah c'est sûr, ça résoud le problème brillamment : après il n'y a plus de poisson à pêcher !

il restera les poissons que cette flottille aurait du pêcher sur le retour ..... 

me semble que les USA travaillait sur un projet "HAARP" une histoire de rayons et  de reconnaissance qui pouvait créer des typhons et des tremblement de terre à une époque autour de l'an 2000 je sais pas trop ce que cela a donnné mis à part faire des  aurores boréales artificiellement.

Modifié par Lezard-vert
  • Confus 1
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Le 11/05/2021 à 08:25, Lezard-vert a dit :

il restera les poissons que cette flottille aurait du pêcher sur le retour ..... 

Morts, flottant à la surface.

Les poissons n'aiment pas beaucoup les explosions ; c'est le principe de la pêche à la dynamite.

Le 11/05/2021 à 08:25, Lezard-vert a dit :

me semble que les USA travaillait sur un projet "HAARP" une histoire de rayons et  de reconnaissance qui pouvait créer des typhons et des tremblement de terre à une époque autour de l'an 2000 je sais pas trop ce que cela a donnné mis à part faire des  aurores boréales artificiellement.

C'est du grand n'importe quoi.

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il y a 1 minute, Lezard-vert a dit :

prends la peine de te renseigner ....avant d'être affirmatif ....

Comment un machin créé pour étudier le comportement de l'ionosphère pourrait déclencher des tremblements de terre ? C'est scientifiquement absurde.

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