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Qui sera le quatrième client export du Rafale?


pascal

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il y a 3 minutes, Claudio Lopez a dit :

Avec la facture que leur a fait cracher Trump lors de sa dernière visite. Je doute qu'ils aient encore envie de faire d'autres dépenses militaires fastueuses...

Visiblement presque aucun des contrats annonce par Trump n’étaient vrai (quelle surprise). C’était essentiellement des "intentions"...

Et c'est bien la le problème. L'Arabie Saoudite fait beaucoup de promesses mais s'engage au final très peu... Et tout le monde court derrière.

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il y a 3 minutes, seb24 a dit :

Visiblement presque aucun des contrats annonce par Trump n’étaient vrai (quelle surprise). C’était essentiellement des "intentions"...

Et c'est bien la le problème. L'Arabie Saoudite fait beaucoup de promesses mais s'engage au final très peu... Et tout le monde court derrière.

Sauf que les américains, contrairement à nous, arrivent à concrétiser les lettres d'intentions.

C'est sur que les saoudiens n'allaient pas déposer le pognon sur la table, tout les contrats seront probablement conclus au fur et à mesure  dans le temps afin que les états-unis n'adopteront pas des mesures coercitives à leur égard maintenant qu'ils savent qu'il y a un président anti-musulman à la maison blanche.

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il y a 14 minutes, Claudio Lopez a dit :

Sauf que les américains, contrairement à nous, arrivent à concrétiser les lettres d'intentions.

C'est sur que les saoudiens n'allaient pas déposer le pognon sur la table, tout les contrats seront probablement conclus au fur et à mesure  dans le temps afin que les états-unis n'adopteront pas des mesures coercitives à leur égard maintenant qu'ils savent qu'il y a un président anti-musulman à la maison blanche.

Oui et non. Ils vont sûrement récupérer un certains nombre de contrat oui. Mais pas les sommes annoncée.

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Rien dans les lettres d'intention des Saouds ne concernaient l'aviation de combat il me semble. Or, leur logique de double approvisionnement en allant chercher chez les européens en même temps que chez les américains ne trouve plus de réponse totalement satisfaisante avec le Typhoon, limité en Air-sol. 

Le Qatar est isolé régionalement, mais je pense qu'il ne viendrait à l'idée d'aucun des pays sur place de tenter de tirer la couverture des pays occidentaux d'un côté plutôt que de l'autre. La France, les Etats Unis et autres sont autant alliés aux Qataris qu'aux Saoudiens et Emiratis. Jouer à ce jeu là leur ferait perdre des plumes, ils ne s'y risqueraient pas. C'est pour un autre fil, mais il s'agit là de politique régionale qui ne fait pas de dégâts collatéraux pour l'instant. 

D'un point de vue Qataris, ils font bien de prendre du Rafale et du F-15. En cas de défection du support diplomatique d'un des camps, ils gardent les mains libres. Pour l'Arabie Saoudite, c'est pareil. Et s'ils ne veulent pas voir leurs F15SA limités par les USA, ils n'auraient que leurs Typhoon pour pleurer après le retrait de leurs Tornado ? M'est avis qu'une carte est en train d'être jouée.

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Ce n'était pas leur option. Ils n'ont jamais manifesté cette intention ni demandé cette option.

C'était une tentative de clé de bras de la part des anglais pour allonger leur série d'EF et diluer les surcoûts d'évolution de tranche en tranche - surcoûts inacceptables sur une unique série de 72.

Modifié par FATac
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Le 19/06/2017 à 07:47, Claudio Lopez a dit :

Un article hélas payant sur le Rafale sur le salon du bourget. SI l'un de vous aurait un abonnement au figaro pour y publier les extraits les plus intéressants au cas il y aurait des news ..:coolc:

http://www.lefigaro.fr/societes/2017/06/19/20005-20170619ARTFIG00045-le-rafale-surfe-sur-ses-succes-a-l-international.php

 

Ici. Rien de bien transcendant.
 

Révélation

 

L'avion de combat des forces françaises revient au Salon du Bourget, auréolé de ses trois succès à l'exportation. L'Égypte, le Qatar et l'Inde l'ont choisi pour moderniser leur aviation de combat. D'autres pays ont manifesté leur intérêt.

C'est sans doute le rendez-vous le plus attendu du grand public: le show aérien, avec ses stars incontestées, les avions de combat. Agressifs, bruyants, profilés… Ils défient la gravité et suscitent l'admiration des visiteurs. Cette année, le Rafale, l'avion de combat des armées françaises, revient au Bourget, tout auréolé de ses trois contrats remportés à l'international. «Début 2015, nous avions signé avec l'Égypte. Depuis, nous avons également conclu des contrats avec le Qatar et avec l'Inde», rappelle Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, le constructeur du Rafale. Et ce n'est qu'un début. D'autres pays ont marqué leur intérêt pour entrer dans le club des utilisateurs du Rafale. «Combat proven» depuis 2007 et son intervention en Afghanistan, l'avion a montré sa polyvalence et l'étendue de ses capacités. «Nous avons un matériel exceptionnel, comme l'ont démontré les opérations Harmattan en Libye, Serval et Barkhane au Mali, ou encore Chammal en Irak et en Syrie. Les Rafale et leurs armements ont stoppé les troupes de djihadistes qui fondaient sur Bamako en 2013, permettant ensuite l'avancée des troupes au sol. Ils contribuent aujourd'hui à l'éradication de Daech au Levant», rappelle le général Taprest, commandant la défense aérienne et les opérations aériennes françaises.

Lors du show aérien, le Rafale et l'Eurofighter, codéveloppé par Airbus, BAE et Leonardo, partagent cette année la vedette avec le F-35 de Lockheed Martin

Lors du show aérien, le Rafale et l'Eurofighter, codéveloppé par Airbus, BAE et Leonardo, partagent cette année la vedette avec le F-35 de Lockheed Martin. C'est la première fois que ce nouvel avion américain se montre au Bourget. Jusqu'ici, le F-35 s'était surtout illustré par ses dérapages financiers. Lancé en 2001, il devait coûter 233 milliards de dollars aux finances publiques américaines. Aujourd'hui, il a franchi le mur des 400 milliards. Ce qui fait du F-35 le programme de défense le plus coûteux jamais lancé par les États-Unis. Donald Trump, fraîchement élu, a jugé publiquement son prix excessif et exigé une ristourne de 600 millions de dollars sur la tranche 10 (90 avions à livrer). Dans un rapport remis début 2017, le Pentagone a critiqué l'avion, qui concentre, onze ans après son premier vol d'essai, «plus de 200 problèmes techniques à corriger». Le Pentagone estime qu'il ne sera pas «combat ready» avant 2019. Après l'avoir pris en mains, les aviateurs l'ont surnommé «fat boy with magic». La raison? «Il est peu manœuvrant, pas très rapide et doté d'une capacité d'emport assez faible en raison des choix technologiques qui ont été faits. Il est en revanche discret et connecté», juge un aviateur français, qui l'a vu à l'œuvre lors des Atlantic Trident 2017 en avril. Ces exercices ont eu lieu à Langley en Virginie. Ils ont associé les États-Unis avec le F-35 et le F-22, la France avec le Rafale et la Grande-Bretagne avec l'Eurofighter.

À l'horizon 2025, il est prévu que l'avion de combat français réalise un nouveau bond technologique

À court terme, la France va faire évoluer le Rafale. À partir de 2018, les premiers avions au standard F3R seront livrés. À l'horizon 2025, il est prévu que l'avion de combat français réalise un nouveau bond technologique, avec l'arrivée du standard F4. En mars dernier, Jean-Yves Le Drian, alors ministre de la Défense, a donné son feu vert au lancement des travaux préparatoires. Il appartient à la nouvelle équipe gouvernementale de confirmer et de signer le contrat de développement, fin 2017-début 2018. Ces évolutions s'inscrivent dans une démarche d'amélioration continue de l'appareil, selon les exigences des aviateurs français.

L'armée de l'air apprécie que le Rafale évolue. Elle veut profiter du Salon du Bourget pour expliquer ses missions et tirer la sonnette d'alarme. «L'armée de l'air n'a jamais autant été engagée à l'extérieur depuis la guerre d'Algérie, avec quatre grandes zones d'intervention: l'Afrique de l'Ouest (bande sahélo-saharienne), l'Afrique de l'Est (Tchad et Djibouti), Moyen-Orient (Irak et Syrie) et en Europe de l'Est (pays Baltes). À cela s'ajoute une cinquième zone, avec la surveillance de l'espace aérien et la protection du territoire national, explique le général Taprest. Cet engagement, qui va bien au-delà de notre contrat opérationnel, est appelé à rester à haut niveau. La lutte contre le terrorisme risque de durer très longtemps.» Ce qui pose la question du dimensionnement de l'armée de l'air. «Au niveau ressources humaines, nous sommes dans une situation très critique. Avec seulement 35 000 militaires et civils affectés au sein des unités de l'armée de l'air, il nous manque plusieurs milliers d'effectifs pour fonctionner correctement», souligne le général Taprest. En termes de matériels, «les 189 avions de combat, dont une majorité de Rafale, tout comme les 12 futurs ravitailleurs A330/MRTT, prévus dans le modèle d'armée actuel, sont insuffisants pour maintenir le niveau d'engagement que nous connaissons dans les opérations», insiste le général.

Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 19/06/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

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Éric Trappier: «Le Rafale est entré dans une dynamique du succès» 

 

 

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Citation

Le ministère belge de la Défense a annoncé, ce 2 juin, d’acquérir, auprès de la France, 417 Véhicule blindé multi-rôles (VBMR) « Griffon » et 60 Engins blindés de reconnaissance et de combat (EBRC) « Jaguar », dans le cadre de son programme « Camo » [capacité motorisée, ndlr]. Le montant de cette opération, qui passera par un accord de gouvernement à gouvernement, est évalué à 1,1 milliard d’euros.

...

« L’objectif est d’établir un partenariat fondé sur des véhicules de combat français et belges identiques. La Belgique et la France auront, entre autres, une organisation commune et la formation, l’entraînement et le soutien logistique seront organisés conjointement », a expliqué le ministère belge de la Défense.

Et ce dernier d’ajouter : « Comme annoncé dans la vision stratégique, l’opérationnalité et l’efficacité des forces terrestres belges sont ainsi renforcées et, en même temps, la construction d’une défense plus européenne, de bas en haut. »

...

Cela étant, cette décision peut être vue comme étant un signal positif pour la candidature du Rafale F3R à l’appel d’offres lancé par Bruxelles pour remplacer ses F-16, dans le cadre du programme Air Combat Capability (ACCap), même si deux appareils européens – l’Eurofighter Typhoon et le Gripen E/F – sont en lice.

http://www.opex360.com/2017/06/22/la-belgique-veut-commander-477-vehicules-blindes-aupres-de-la-france-pour-11-milliards-deuros/

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Il y a 3 heures, Ponto Combo a dit :

Cela étant, cette décision peut être vue comme étant un signal positif pour la candidature du Rafale F3R à l’appel d’offres lancé par Bruxelles pour remplacer ses F-16, dans le cadre du programme Air Combat Capability (ACCap), même si deux appareils européens – l’Eurofighter Typhoon et le Gripen E/F – sont en lice.

http://www.opex360.com/2017/06/22/la-belgique-veut-commander-477-vehicules-blindes-aupres-de-la-france-pour-11-milliards-deuros/

Possible, on pourrait aussi penser que c'est une compensation.

Perso, je ne suis pas sur si cela aura un impact pour le choix de l'avion ni que cela soit une compensation, mais si le déroulement de ce contrat est vécu positivement par la Belgique ça pourrait aider.

 

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5 hours ago, gargouille said:

Possible, on pourrait aussi penser que c'est une compensation.

Perso, je ne suis pas sur si cela aura un impact pour le choix de l'avion ni que cela soit une compensation, mais si le déroulement de ce contrat est vécu positivement par la Belgique ça pourrait aider.

Ça peut aussi être une "manoeuvre" vis a vis d'un rapprochement de KNDS et CMI ... sans relation avec le marché des avions de combat.

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Il y a 9 heures, Ponto Combo a dit :
Citation

« L’objectif est d’établir un partenariat fondé sur des véhicules de combat français et belges identiques. La Belgique et la France auront, entre autres, une organisation commune et la formation, l’entraînement et le soutien logistique seront organisés conjointement », a expliqué le ministère belge de la Défense.

http://www.opex360.com/2017/06/22/la-belgique-veut-commander-477-vehicules-blindes-aupres-de-la-france-pour-11-milliards-deuros/

C'est ce que veut faire la Belgique avec les chasseurs. Le choix du chasseur, donc du pays, n'est pas encore fait.

À mon étonnant, le principe d'un budget de défense européen a été validé hier au sommet européen. Je ne pensais pas que ça irait aussi vite. Si de plus en plus une défense européenne s'impose dans les esprits au niveau européen, ça aura un impact important sur le choix de la Belgique.

 

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Il y a 7 heures, gargouille a dit :

Possible, on pourrait aussi penser que c'est une compensation.

Perso, je ne suis pas sur si cela aura un impact pour le choix de l'avion ni que cela soit une compensation, mais si le déroulement de ce contrat est vécu positivement par la Belgique ça pourrait aider.

 

Oui. Ce n'est que l'avis de Laurent Lagneau.

 

il y a une heure, web123 a dit :

C'est ce que veut faire la Belgique avec les chasseurs. Le choix du chasseur, donc du pays, n'est pas encore fait.

À mon étonnant, le principe d'un budget de défense européen a été validé hier au sommet européen. Je ne pensais pas que ça irait aussi vite. Si de plus en plus une défense européenne s'impose dans les esprits au niveau européen, ça aura un impact important sur le choix de la Belgique.

 

Le principe de partenariat et de mutualisation pour l'aviation peut très bien se faire avec les F35 hollandais comme l'évoquait nos amis belges du forum. Pas de quoi s'emballer pour l'instant vu le nombre de paramètres qui peuvent influencer le choix.

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il y a 2 minutes, Ponto Combo a dit :

Le principe de partenariat et de mutualisation pour l'aviation peut très bien se faire avec les F35 hollandais comme l'évoquait nos amis belges du forum. Pas de quoi s'emballer pour l'instant vu le nombre de paramètres qui peuvent influencer le choix.

En supposant qu'il y ait "emballement", il est sur les décisions du sommet européen, pas sur l'autre aspect.

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Il y a 7 heures, g4lly a dit :

Ça peut aussi être une "manoeuvre" vis a vis d'un rapprochement de KNDS et CMI ... sans relation avec le marché des avions de combat.

Tout à fait.

Plutôt que de dire que c'est acté, RTD est acheté par CMI, une alliance entre KNDS et CMI me semble être une possibilité.

Modifié par gargouille
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Le 19/06/2017 à 13:57, castle68 a dit :

Bonjour,

Oui mais enfin écrire sans faire de l'humour que :" Dans les dix ans à venir, le marché des avions de chasse devrait être encore largement dominé par la compétition entre trois appareils européens - le Typhoon, le Gripen et le Rafale -..."

Cela laisse quand même un peu songeur quant au sérieux de l'auteur car à moins d'un miracle (toujours possible me direz vous) il est de notoriété publique que la chaine de Typhoon ne sera plus qu'un lointain souvenir et qu'en 2027 pas sur que celle de Gripen soit toujours opérationnelle ( à moins de commande supplémentaires pour la Suède, crispations avec la Russie oblige).

Enfin c'est juste mon avis...

 

Le Gripen E/F va trouver son marché.  Celui du remplacement des premiers F16, des F1, des M2000, des F5 et autres Mig21.

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c'est dommage qu'on ai pas pu faire un m2000 export avec des composants rafale (radar,spectra,météor, m88 11t,etc..) du moins sur papier et un proto. on aurait bloqué le F16/gripen

Modifié par zx
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Il y a 18 heures, gargouille a dit :

Et si l'on proposer un Téjas amélioré par DA.

Ca pourrait être une solution, vu que DA n'a pas d'avion low end à proposer, pourquoi pas aider HAL a mettre au point son avion léger.  Il n'est pas du tout en concurrence avec le Rafale.

L'aide à la mise au point du Kaveri va dans ce sens.   Pourquoi ne pas les aider là ou ca semble pêcher : entrée d'air, masse des trains, masse de la cellule tout court, aérodynamique.

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Le 23/06/2017 à 09:44, Ponto Combo a dit :

Oui. Ce n'est que l'avis de Laurent Lagneau.

 

Le principe de partenariat et de mutualisation pour l'aviation peut très bien se faire avec les F35 hollandais comme l'évoquait nos amis belges du forum. Pas de quoi s'emballer pour l'instant vu le nombre de paramètres qui peuvent influencer le choix.

Autre vision possible :  Les belges et les néerlandais sont très proches et échangent beaucoup.  L'un des pays investit dans le F35, qui a pour lui sa furtivité passive, bonne pour les engagements du 1er jour.  L'autre investit dans le Rafale, plus polyvalent et surtout bien meilleur chasseur.   Au final ils disposent, à deux, d'un bon équilibre.   

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Il y a 7 heures, Bon Plan a dit :

Autre vision possible :  Les belges et les néerlandais sont très proches et échangent beaucoup.  L'un des pays investit dans le F35, qui a pour lui sa furtivité passive, bonne pour les engagements du 1er jour.  L'autre investit dans le Rafale, plus polyvalent et surtout bien meilleur chasseur.   Au final ils disposent, à deux, d'un bon équilibre.   

Peut être que les néerlandais ont été trop franc et que les belges préfèrent prendre autre chose.

 

Mais pourquoi pas deux flottes différentes.

Modifié par gargouille
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Il y a 2 heures, gargouille a dit :

Peut être que les néerlandais ont été trop franc

Ils ont surtout acheté un avion qui sur le papier n'a obtenu à leur évaluation qu'un tout petit peu plus que le Rafale.  Et si on compare les performances actuelles, et même projetées, du F35, on est par endroit assez loin des promesses de l'époque du choix néerlandais.

Les belges auront pour eux d'avoir plus de recul.  Le F35 commence à être mieux cerné, et les promesses de papiers pas honorées feront moins recette.  Si ca se trouve les néerlandais eux même le leur diront.  Ils sont proches culturellement.

Modifié par Bon Plan
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il y a 23 minutes, Bon Plan a dit :

Ils ont surtout acheté un avion qui sur le papier n'a obtenu à leur évaluation qu'un tout petit peu plus que le Rafale.  Et si on compare les performances actuelles, et même projetées, du F35, on est par endroit assez loin des promesses de l'époque du choix néerlandais.

Les belges auront pour eux d'avoir plus de recul.  Le F35 commence à être mieux cerné, et les promesses de papiers pas honorées feront moins recette.  Si ca se trouve les néerlandais eux même le leur diront.  Ils sont proches culturellement.

Le choix ne se fera pas aux seuls mérites de chaque avion. Les US ont un moyen de pression via l'OTAN. Après on construira un beau discours pour justifier le choix. C'est Trump (avec ses alliés objectifs hollandais qui ont déjà choisi le F35) contre Macron, OTAN versus UE.

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il y a 8 minutes, Ponto Combo a dit :

Le choix ne se fera pas aux seuls mérites de chaque avion. Les US ont un moyen de pression via l'OTAN. Après on construira un beau discours pour justifier le choix. C'est Trump (avec ses alliés objectifs hollandais qui ont déjà choisi le F35) contre Macron, OTAN versus UE.

Je parie sur UE, même Trump a dit que l'OTAN était obsolète :biggrin:

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