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bubzy

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4 hours ago, pascal said:

A&C c'est le groupe "le Revenu français" si je ne m'abuse ...

bref vive le portail car vous aux moins vous ne dépendez pas de vos annonceurs, comment voulez-vous que les Cochonnec boy's aient une vision objective de ce qui se passe chez Airbus Thalès ou safran quand on sait qui annonce chez A&C ... Ils sont bagués et Dassault leur a fait payer leur "impertinence" (ou leur manque de rigueur ...)

Enfin là encore ce n'est plus le A&C des années 70/80

C'était le Revenu ... qui suite a des problème de sous - moins de vente lié a la désaffection boursière du petit porteur - a revendu a Discom ... Discom qui serait en fait un proxy de Dassault - ça fait suite a la monté en grade de Trappier - ... tellement que depuis la revente, et les diverse changement - allégement plutôt - dans la rédaction, Dassault remet de la pub dans A&C, et donc des sous dans le bastringue.

Mais bon ce ne sont que des rumeurs probablement issues de mauvaises langues.

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Il faut quand même préciser qu'une publication spécialisée de ce type est rarement une grosse structure comparable à un média généraliste. On est la plupart du temps dans un artisanat qui n'est pas loin d'un site "amateur". La plupart de ces publications ont trois ou quatre salariés (généralement un directeur/rédacteur en chef et une équipe technique et administratif —maquettiste, relecteur, secrétariat de rédaction, gestion des abonnements—, souvent partagées entre plusieurs publications au niveau du groupe), et le gros du journal est écrit soit par des pigistes, soit par des passionnés bénévoles. Je pense qu'A&C est une structure à peine plus grosse que ce que je décris (je dirais 8-10 salariés).

L'autre aspect qui entre en jeu dans ce genre de querelle, et qui ne me semble pas propre à A&C, est la difficulté des médias professionnels à faire face à l'expansion du numérique et à la multiplication des sources. La question est loin d'être uniquement financière même si la question du modèle économique est aussi importante: c'est la profession journalistique dans son ensemble qui est déstabilisée et a du mal à identifier quel est son rôle spécifique dans cet environnement (de moins en moins nouveau) dans la mesure où ils perdent progressivement ce qui était leur monopole de fait pour plusieurs raisons (accès au terrain, accès aux sources, production d'images, diffusion) sans nécessairement parvenir à réinventer la plus-value de leur métier. Celle-ci résiderait dans la vérification, le recoupement et l'analyse, mais ce sont des activités qui coûtent beaucoup plus cher que le simple relais d'informations (car il faut du personnel qualifié et du temps), que les directions/actionnaires veulent de moins en moins accorder. (C'est pour ça que les médias de type "buzz" se multiplient: on est dans le temps très court, ça ne nécessite aucune compétence et c'est très rentable non pas parce que ça rapporte beaucoup, mais surtout car ça ne coûte rien.)

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Se renseigner avant, taper sur son clavier après, c'est mieux. La recherche d'information prend, aller, j'ai compté ma clope, le papotage avec la 95D...etc, 10 min...

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Direction générale d'Air&Cosmos

• Président : Hubert de Caslou

• Directeur Délégué : Cyril Mikaïloff

• Secrétariat Général : Louis-Thibaud Haller

• Directeur de la Publication et de la Rédaction : Hubert de Caslou

 

Rédaction

• Rédacteur en chef adjoint : Yann Cochennec

• Secrétaire général de rédaction : Duncan Macrae

 

• Espace : Pierre-François Mouriaux

• Aviation Civile : Léo Barnier & Yann Cochennec

• Programmes & Développement : Antony Angrand & Léo Barnier.

• Défense : Guillaume Belan & Emmanuel Huberdeau 

 

• Photographie : Cyrille Cosmao (Directeur artistique & Chef du Service Photographique)

• Secrétaire de rédaction : Frédéric Bergerat

• Création artistique : Mourad Cherfi

• Révision : Lionel Jaouen

 

Publicité / Advertising

Cyril MikaïloffDirector, Advertising, Conferences & Events sales department

Marie-France DavidClassified ads and Ad material traffic manager. Assistant

Béatrice ChenevatSouth-West France representative

Joan DalyUSA East representative

Patricia WalkerUSA West representative

Ida de MariItaly representative

==================================================

Sans les petites mains, ça fait 23 têtes affichables déjà...

Henri K.

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Fin 2013, l'article suivant annoncé une vingtaine de journalistes lors de la vente du journal :

http://www.lefigaro.fr/medias/2013/11/08/20004-20131108ARTFIG00594-le-revenu-vend-sa-pepite-air-ampcosmos.php

On indique bien qu'il reste adossé au groupe ''le revenu'' .

Parmi les tètes d'affiche, le rédacteur en chef adjoint, Yann Cochennec travaillait pour Asian Aviation, un site australien.

Modifié par collectionneur
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il y a 39 minutes, Henri K. a dit :

Se renseigner avant, taper sur son clavier après, c'est mieux. La recherche d'information prend, aller, j'ai compté ma clope, le papotage avec la 95D...etc, 10 min...

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Sans les petites mains, ça fait 23 têtes affichables déjà...

 

Si tu connaissais (un peu) l'univers de la presse et des médias et que tu mettais tes certitudes au garage le temps d'une clope supplémentaire, tu prendrais quand même quelques pincettes: il y 23 noms, oui, mais ça ne veut pas dire pour autant qu'ils sont tous salariés, et a fortiori salariés à temps plein sur cette publication. Je n'ai pas dit autre chose.

Je suis par exemple membre de l'équipe d'une revue dont la liste équivalente à celle que tu rapportes comporte 34 noms, mais il y a 3 salarié(e)s, dont deux mi-temps. Des postes aussi importants que le directeur de la rédaction ou l'éditeur responsable sont purement bénévoles. C'est le cas de nombreuses publications spécialisées. Je le répète: je ne sais pas ce qu'il en est exactement d'A&C, peut-être ont-ils au moins 23 salariés (tant mieux pour eux), mais c'est très peu vraisemblable. La preuve: si tu fais des recherches Google sur les noms que tu as donnés, tu verras toi-même que beaucoup ont un autre boulot, sont rédacteurs pigistes ou autres (non) statuts folkloriques.

Modifié par Bat
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il y a 20 minutes, seb24 a dit :

Meme quand ils apparaissent deux fois ? Ca fait deux personnes ?

A la louche il y a 4 ou 5 doublons, donc une dizaine de noms uniques affichés.

il y a 18 minutes, Bat a dit :

Si tu connaissais (un peu) l'univers de la presse et des médias et que tu mettais tes certitudes au garage le temps d'une clope supplémentaire, tu prendrais quand même quelques pincettes: il y 23 noms, oui, mais ça ne veut pas dire pour autant qu'ils sont tous salariés, et a fortiori salariés à temps plein sur cette publication. Je n'ai pas dit autre chose.

Je suis par exemple membre de l'équipe d'une revue dont la liste équivalente à celle que tu rapportes comporte 34 noms, mais il y a 3 salarié(e)s, dont deux mi-temps. Des postes aussi importants que le directeur de la rédaction ou l'éditeur responsable sont purement bénévoles. C'est le cas de nombreuses publications spécialisées. Je le répète: je ne sais pas ce qu'il en est exactement d'A&C, peut-être ont-ils au moins 23 salariés (tant mieux pour eux), mais c'est très peu vraisemblable. La preuve: si tu fais des recherches Google sur les noms que tu as donnés, tu verras toi-même que beaucoup ont un autre boulot, sont rédacteurs pigistes ou autres (non) statuts folkloriques.

C'est pour répondre à tes "certitudes" de 8 à 10 personnes que je suis allé chercher l'info sur leur site. Penches un peu sur la question d'Air & Cosmos, je suis intéressé par l'avis d'un connaisseur et des vrais chiffres.

Henri K.

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Je lis quasiment presque plus A&C, y a presque plus rien dedans, quelque fois le hors serie, mais je trouve la plupart des infos, qu'ils mettent dedans en France et sur l'international. c'est peut être le début de la fin

pour ce magasine, quand il en arrive la.

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Ce n'est pas amusant, mais j'avais évoqué, d'emblée, le doute qu'il pouvait y avoir sur l'identité du posteur.

Je vous recommande donc de vérifier, si le logiciel du portail, les adresses mail et IP utilisées par ce posteur.

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C'est bien son mail. Maintenant ils ne sont pas vérifiés. Et l'IP est bien de chez nous. Maintenant... ça tombait tellement sous le sens de ce qu'ils pensent vraiment, que je ne m'étais pas posé la question. C'est pas sorti de nulle part quoi...

Me souviens encore du jour où j'avais été récupérer mon badge au SIAE. "Le portail des passionnés ? Ha ! Vous avez eu quelques problèmes non ?" 

 

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L'IP peut être comparée à celle d'où est issu le message de démenti qu'il vous a envoyé.

Ca ne prouve pas grand chose, mais si c'est la même, le posteur est le même, si elle est proche (même réseau), il y a une proximité potentielle et si elle est très différente on ne peut rien savoir.

Accessoirement, ça vaut aussi le coup de comparer cette IP avec celles utilisées par l'ensemble de vos commentateurs. Vous pourrez peut-être y trouver des coïncidences troublantes.

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L'IP peut être dynamique, elle peut aussi correspondre à un point unique d'attachement d'un réseau NATé, mais cela peut néanmoins fournir un début d'analyse, voire des pistes si "l'agresseur" n'est pas trop expert (notamment au point de forger son IP et de spoofer un réseau pour pouvoir récupérer son trafic en retour).

Dans le démenti par Email, les entêtes complets du messages comprennent l'IP du poste émetteur et les IP de tous les serveurs relais (donc de l'opérateur du SMTP). L'IP d'origine est parfois intéressante (je l'utilise fréquemment pour identifier des PC compromis ou pour localiser le poste d'usage de comptes de webmails compromis et pour en alerter les administrateurs).

Après, une même personne peut brouiller les pistes en postant d'un côté depuis son PC en ADSL et de l'autre par son smartphone sur son opérateur 3G/4G ... c'est pour cela qu'il est difficile d'identifier l'émetteur de manière unique, sauf quand il se montre stupide, ce qui est plus fréquent qu'on peut le croire.

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Quand je parle d'IP dynamique, je m'entends bien. Je parle d'IP publique. De toute façon on ne vois jamais les adresses ip privées se pointer sur un site. Pas con pour les mails, je vais jeter un oeil, mais j'ai un doute, je ne pense pas voir autre chose que le smtp d'en face.

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Si, si, c'est bien plus bavard dans les entêtes complets ... on voit le SMTP d'origine, mais aussi l'IP du point réseau qui lui parle, et parfois l'IP privée (mais c'est plus rare). L'IP du point d'accès me sert fréquemment pour géolocaliser celle-ci avec les multiples sites qui le permettent.

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8 hours ago, bubzy said:

Quand je parle d'IP dynamique, je m'entends bien. Je parle d'IP publique. De toute façon on ne vois jamais les adresses ip privées se pointer sur un site. Pas con pour les mails, je vais jeter un oeil, mais j'ai un doute, je ne pense pas voir autre chose que le smtp d'en face.

Si quelqu'un vient poster sur ton site tu vois bien l'IP de la machine au bout de la conversation ... ou a défaut celle du proxy anonymiser. Les FAI ne font plus vraiment dans les IP dynamique - sauf en 4G -, les baux sont chiant à gérer et ils disposent de pool d'IPs suffisant pour en filer une a chacun des abonnés, accessoirement c'est merdique pour gérer les facturations etc.

En général l'utilisateur lambda - et même les autres - prennent assez peu de précaution - ou ne savent pas les prendre - pour ne pas être "identifier" lorsque qu'ils papotent sur internet. Plus la conversation dure, pire c'est.

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Tu vois l'IP de son équipement si et seulement si sa machine est connectée directement à Internet, (c'est à dire si l'IP publique est sur son interface). Donc soit dans le cas d'un smartphone connecté sur le réseau 3/4G, soit dans le cas d'une machine équipé d'un simple modem (y compris gsm). De plus en plus souvent dans le premier cas, de moins en moins souvent dans le second.

La plupart du temps, les personnes sont connectée sur un PC dans un réseau local. On ne voit donc que leur IP publique. C'est le cas pour la grande majorité des connexions (et dans le cas présent ça serait sur un réseau numéricable). Donc si t'es connecté en wifi chez quelqu'un, au boulot, dans une gare, et même chez toi... On ne vois pas l'ip de l'équipement.

Tous les FAI ne filent pas directement une ip fixe. Chez Orange c'est une option à 5€ par mois par exemple (oui je sais...) chez free faut la demander (c'était le cas quand j'y étais, je sais plus maintenant). Et chez numéricable, c'est pas systématiquement le cas. Parce que l'IP que j'ai me renvois plusieurs localisations en fonction du jour. Donc il n'y a qu'en portant plainte qu'une enquête peut demander à un fournisseur à qui appartient l'IP qui s'est connectée tel jour à telle heure. 

Mais si vous avez des idées, je suis preneur (en privé tant qu'à faire)

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Il y a 1 heure, bubzy a dit :

Tu vois l'IP de son équipement si et seulement si sa machine est connectée directement à Internet, (c'est à dire si l'IP publique est sur son interface). Donc soit dans le cas d'un smartphone connecté sur le réseau 3/4G, soit dans le cas d'une machine équipé d'un simple modem (y compris gsm). De plus en plus souvent dans le premier cas, de moins en moins souvent dans le second.

La plupart du temps, les personnes sont connectée sur un PC dans un réseau local. On ne voit donc que leur IP publique. C'est le cas pour la grande majorité des connexions (et dans le cas présent ça serait sur un réseau numéricable). Donc si t'es connecté en wifi chez quelqu'un, au boulot, dans une gare, et même chez toi... On ne vois pas l'ip de l'équipement.

Tous les FAI ne filent pas directement une ip fixe. Chez Orange c'est une option à 5€ par mois par exemple (oui je sais...) chez free faut la demander (c'était le cas quand j'y étais, je sais plus maintenant). Et chez numéricable, c'est pas systématiquement le cas. Parce que l'IP que j'ai me renvois plusieurs localisations en fonction du jour. Donc il n'y a qu'en portant plainte qu'une enquête peut demander à un fournisseur à qui appartient l'IP qui s'est connectée tel jour à telle heure. 

Mais si vous avez des idées, je suis preneur (en privé tant qu'à faire)

Sinon peut être essayer de le contacter directement (par tel) pour essayer de mettre fin a cette histoire ?

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Un de nos collègue l'a vu directement. Il porte plainte pour usurpation d'identité avec les infos qu'on lui a fourni. Mais encore une fois, il y a des faits, et si on ne peut pas affirmer que c'est lui, l'inverse est vrai également... 

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