g4lly Posté(e) le 2 mai Share Posté(e) le 2 mai il y a 5 minutes, Teenytoon a dit : ... ne sont pas forcément que le fruit d'imbéciles heureux ? Non ce ne sont pas des imbéciles ... ce sont des manipulateurs qui veulent continuer à faire comme avant sans en avoir l'air ... en cannibalisant la ressource collective. Des parasites à mon sens. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 3 mai Share Posté(e) le 3 mai https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/reportage-quand-elle-est-arrivee-c-etait-le-bonheur-l-eau-du-rhone-acheminee-par-le-reseau-aqua-domitia-va-t-elle-sauver-les-pyrenees-orientales-de-la-secheresse_6490670.html (1er mai 2024) D'ailleurs, il y a 20 ans, le projet initial d'Aqua Domitia était d'aller du Rhône jusqu'en Espagne à Barcelone. À l'époque, les agriculteurs français s'étaient mobilisés contre. Impossible pour eux d'imaginer un fleuve français irriguer les terres de leurs concurrents. Aujourd'hui, ce n'est plus d'actualité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 8 mai Share Posté(e) le 8 mai Le 02/05/2024 à 20:33, g4lly a dit : Non ce ne sont pas des imbéciles ... ce sont des manipulateurs qui veulent continuer à faire comme avant sans en avoir l'air ... en cannibalisant la ressource collective. Des parasites à mon sens. +1 On présente comme choix rationnel et un bien collectif des intérêts privé qui s'exerceront au détriment du plus grand nombre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin https://www.eurotopics.net/fr/322165/barcelone-met-le-hola-aux-locations-saisonnires (27 juin 2024) Le maire de Barcelone, Jaume Collboni, a fait savoir qu'il ne renouvellerait aucune des licences de locations touristiques qui expireront dans les cinq prochaines années. Il entend ainsi atténuer la crise du logement dans la ville et la détérioration de la qualité de vie dans les quartiers résidentiels. Les réactions de la presse européenne montrent que l'Espagne n'est pas la seule concernée par le problème du surtourisme. https://english.elpais.com/international/2024-06-30/the-reality-of-living-in-ibiza-workers-sleeping-in-vans-due-to-high-cost-of-rent.html (30 juin 2024) La réalité de la vie à Ibiza : Les travailleurs dorment dans des camping-cars en raison du coût élevé des loyers Sur cette île méditerranéenne espagnole très prisée, le nombre croissant de touristes fortunés, conjugué à la spéculation immobilière (qui ronge tout, des lotissements de luxe aux chambres à louer les plus miteuses), a fait exploser le prix des logements, les rendant inabordables pour une bonne partie de l'armée de travailleurs qui veillent à ce que la machinerie qui fait vivre ce paradis estival reste bien huilée. À Ibiza, il y a des instituteurs qui sont devenus célèbres au début de l'année scolaire parce qu'ils vont et viennent tous les jours en avion depuis Majorque et évitent ainsi de devoir dormir - et de payer une chambre - sur l'île. Et il y a les nettoyeurs de voitures de location à l'aéroport, avec leurs papiers en règle et un salaire de 1 500 euros, qui vivent, pendant la saison estivale, dans des tentes sur un terrain vague, comme des sans-abri ou des réfugiés, parce qu'ils ne trouvent personne pour leur louer une chambre à moins de 500 euros. Chaque année, des agents stagiaires de la Garde civile arrivent à Ibiza pour l'été, ainsi que des agents transférés pour renforcer les forces de l'ordre pendant la haute saison, et certains d'entre eux finissent par dormir dans des camping-cars ou des caravanes, selon Iván Fidalgo, coordinateur de l'Association espagnole des gardes civils des îles Baléares et habitant d'Ibiza. Il ajoute qu'il y a toujours des postes non pourvus parce que personne ne veut venir à Ibiza. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Le 02/05/2024 à 20:33, g4lly a dit : Non ce ne sont pas des imbéciles ... ce sont des manipulateurs qui veulent continuer à faire comme avant sans en avoir l'air ... en cannibalisant la ressource collective. Des parasites à mon sens. Forcément vu comme ça, ça incite bien au débat constructif Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet il y a une heure, Teenytoon a dit : Forcément vu comme ça, ça incite bien au débat constructif Il y a tout un tas de gens avec qui il vaut mieux ne pas discuter ça leur donne de la visibilité gratuitement y compris aux idées les plus néfastes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet il y a 20 minutes, g4lly a dit : Il y a tout un tas de gens avec qui il vaut mieux ne pas discuter ça leur donne de la visibilité gratuitement y compris aux idées les plus néfastes. "Faut pas parler avec les cons ça les instruit." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 16 juillet Share Posté(e) le 16 juillet https://www.le1.ma/guardia_civil_et_la_dgst_marocaine/ (6 juillet 2024) Dans une opération menée le 2 juillet dernier par le Service d’Information de la Guardia Civil en collaboration avec la Direction Générale de la Surveillance du Territoire marocain (DGST), sous la direction du Juzgado Central de Instrucción nº 6 et du Parquet de l’Audience Nationale, huit personnes ont été arrêtées à Melilla, Alcobendas, San Sebastián de los Reyes (Madrid) et Málaga. En 2023, le Service d’Information de la Guardia Civil a lancé une enquête sur un groupe de jeunes résidant principalement dans la ville autonome de Melilla. Par l’utilisation de groupes de messagerie privés, ils partageaient et diffusaient du matériel de propagande adéquat pour l’endoctrinement terroriste à des tiers et incitaient à commettre des actions violentes. Tout au long de l’enquête, des indices ont été recueillis sur l’organisation et la constitution d’un groupe qui a grandi au fil du temps, tant en ligne qu’hors ligne, et dont les membres ont adopté les postulats les plus extrêmes et violents des organisations terroristes jihadistes. Une grande partie du matériel de propagande détecté appartient à des organisations terroristes comme le DAESH ou DAESH-KP. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre Le biologiste Miguel Delibes de Castro (1947-) [1] est le fils de l'écrivain Miguel Delibes (1920-2010) [2] [1] https://es.wikipedia.org/wiki/Miguel_Delibes_de_Castro Considéré comme l'autorité mondiale en matière de lynx ibérique. [2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Miguel_Delibes Son œuvre est marquée par un profond humanisme d'inspiration chrétienne et par l'influence de romanciers comme Ivan Tourgueniev. Son amour pour la nature, la chasse et les paysages de Castille l'a fait passer à tort pour un écrivain "ruraliste". Si une partie non négligeable de son abondante bibliographie est en effet consacrée à ces thèmes, Miguel Delibes est surtout un grand styliste qui a également donné des écrits extrêmement engagés, jouant parfois avec les procédés de la littérature d'avant-garde (Parábola del Náufrago, 1969). Il aura d'ailleurs maille à partir avec la censure du régime franquiste en de nombreuses occasions (son deuxième roman, Aún es de día, sera censuré et son journal connaîtra de nombreuses vicissitudes). https://english.elpais.com/science-tech/2024-10-15/miguel-delibes-de-castro-biologist-until-recently-we-were-unaware-of-the-existence-of-the-most-abundant-living-organism-on-the-planet-prochlorococcus.html Vous écrivez sur « l'organisme le plus abondant au monde », le Prochlorococcus, une minuscule sphère verte dans l'océan. Il s'agit d'une très petite bactérie. Jusqu'à récemment, personne ne savait qu'elle existait. C'est ce qui est fascinant. C'est l'organisme vivant le plus abondant de la planète et nous ne savions pas qu'il existait. Et c'était il y a un peu plus de 30 ans. Certains disent qu'il en existe probablement d'autres, encore plus petits et plus abondants, que nous n'avons pas encore découverts. Vous dites dans le livre que les renards plantent des arbres, créant ainsi des paysages. Les animaux qui dispersent les graines sont appelés des ingénieurs paysagistes. Ce sont eux qui dessinent les bords des routes et des rivières. Les animaux laissent leurs excréments et un fourré apparaît, puis un oiseau s'y pose et laisse d'autres excréments. C'est ainsi que se créent tous ces bosquets qui longent les rivières ou les routes. Nous voyons naturellement un nouvel arbre pousser et il ne nous vient pas à l'esprit de savoir qui l'a planté. Les grosses graines sont généralement dispersées par les animaux. Votre père a écrit Les Rats en réponse à la censure de la presse. Ne pouvant dénoncer dans son journal la dévastation des champs de Castille et León causée par la sécheresse et les pluies torrentielles, il a choisi de faire passer son message par le biais d'un roman. Il voulait surtout dénoncer la pauvreté due à l'inégalité sociale, la négligence à laquelle les politiciens avaient soumis ces villes. Ils l'ont fait à El Norte de Castilla, à Valladolid, mais ils ont attiré l'attention. Manuel Fraga, qui était ministre à l'époque, a un jour menacé de fermer le journal. Il a dit à mon père : « Tu es en train de foutre en l'air mon expérience sur la liberté de la presse. » Et mon père a répondu : « Eh bien, si c'est une expérience, nous devons l'essayer et voir ce que nous pouvons dire. » Ils ont fini par nommer un directeur adjoint du journal qui avait le pouvoir de censurer le directeur, et comme mon père était déjà un écrivain un peu connu, ils ont dit au directeur adjoint : « Si Delibes sort du rang, on vous vire, on vous retire votre carte de presse. » Cet homme l'a dit à mon père, parce qu'ils étaient amis. Et mon père a démissionné immédiatement. Il ne pouvait pas risquer la carrière de quelqu'un d'autre. Il a démissionné et a décidé de raconter dans un roman l'histoire de l'abandon de la campagne castillane. C'est ainsi que sont nés Les Rats. Pensez-vous que votre livre Gracias a la vida aurait convaincu votre père ? J'en doute beaucoup, je ne pense pas. Il aurait dit : « C'est important, mais il faut que de nombreuses espèces disparaissent en même temps pour que nous nous en rendions compte ». Il est difficile de comprendre qu'il y a 8 milliards de personnes dans le monde et que, si chacun détruit un ver par semaine, cela représente déjà plusieurs millions de vers. Et cela s'applique aux oiseaux, aux insectes que nous tuons avec nos voitures sur la route... Les experts qui étudient les limites de la détérioration que les systèmes de la Terre peuvent supporter suggèrent qu'en termes de perte de biodiversité, nous sommes plus proches du point de basculement qu'en ce qui concerne le changement climatique. Mon père aurait dit : « Tes arguments ne sont pas insignifiants ; ils ne sont pas faux. Cependant, je n'y crois toujours pas ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre (modifié) Il y a 14 heures, Wallaby a dit : Vous dites dans le livre que les renards plantent des arbres, créant ainsi des paysages. Les animaux qui dispersent les graines sont appelés des ingénieurs paysagistes. Ce sont eux qui dessinent les bords des routes et des rivières. Les animaux laissent leurs excréments et un fourré apparaît, puis un oiseau s'y pose et laisse d'autres excréments. C'est ainsi que se créent tous ces bosquets qui longent les rivières ou les routes. Nous voyons naturellement un nouvel arbre pousser et il ne nous vient pas à l'esprit de savoir qui l'a planté. Les grosses graines sont généralement dispersées par les animaux. Il y a des études sur le même impact des loups sur le modelage des paysages... Pour ceux qui habitent pas trop loin du Mans, il y a "les Tipis du Bonheur de Vivre", un camping/expérience de vie où des Amérindiens de je ne sais plus quelle tribu sont présents tous les étés, et où des rencontres avec les loups (+documentaires) sont organisées tout au long de l'année. Modifié le 16 octobre par rendbo 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre Il y a 15 heures, Wallaby a dit : Le biologiste Miguel Delibes de Castro (1947-) [1] est le fils de l'écrivain Miguel Delibes (1920-2010) [2] [1] https://es.wikipedia.org/wiki/Miguel_Delibes_de_Castro Considéré comme l'autorité mondiale en matière de lynx ibérique. [2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Miguel_Delibes Son œuvre est marquée par un profond humanisme d'inspiration chrétienne et par l'influence de romanciers comme Ivan Tourgueniev. Son amour pour la nature, la chasse et les paysages de Castille l'a fait passer à tort pour un écrivain "ruraliste". Si une partie non négligeable de son abondante bibliographie est en effet consacrée à ces thèmes, Miguel Delibes est surtout un grand styliste qui a également donné des écrits extrêmement engagés, jouant parfois avec les procédés de la littérature d'avant-garde (Parábola del Náufrago, 1969). Il aura d'ailleurs maille à partir avec la censure du régime franquiste en de nombreuses occasions (son deuxième roman, Aún es de día, sera censuré et son journal connaîtra de nombreuses vicissitudes). https://english.elpais.com/science-tech/2024-10-15/miguel-delibes-de-castro-biologist-until-recently-we-were-unaware-of-the-existence-of-the-most-abundant-living-organism-on-the-planet-prochlorococcus.html Vous écrivez sur « l'organisme le plus abondant au monde », le Prochlorococcus, une minuscule sphère verte dans l'océan. Il s'agit d'une très petite bactérie. Jusqu'à récemment, personne ne savait qu'elle existait. C'est ce qui est fascinant. C'est l'organisme vivant le plus abondant de la planète et nous ne savions pas qu'il existait. Et c'était il y a un peu plus de 30 ans. Certains disent qu'il en existe probablement d'autres, encore plus petits et plus abondants, que nous n'avons pas encore découverts. Vous dites dans le livre que les renards plantent des arbres, créant ainsi des paysages. Les animaux qui dispersent les graines sont appelés des ingénieurs paysagistes. Ce sont eux qui dessinent les bords des routes et des rivières. Les animaux laissent leurs excréments et un fourré apparaît, puis un oiseau s'y pose et laisse d'autres excréments. C'est ainsi que se créent tous ces bosquets qui longent les rivières ou les routes. Nous voyons naturellement un nouvel arbre pousser et il ne nous vient pas à l'esprit de savoir qui l'a planté. Les grosses graines sont généralement dispersées par les animaux. Votre père a écrit Les Rats en réponse à la censure de la presse. Ne pouvant dénoncer dans son journal la dévastation des champs de Castille et León causée par la sécheresse et les pluies torrentielles, il a choisi de faire passer son message par le biais d'un roman. Il voulait surtout dénoncer la pauvreté due à l'inégalité sociale, la négligence à laquelle les politiciens avaient soumis ces villes. Ils l'ont fait à El Norte de Castilla, à Valladolid, mais ils ont attiré l'attention. Manuel Fraga, qui était ministre à l'époque, a un jour menacé de fermer le journal. Il a dit à mon père : « Tu es en train de foutre en l'air mon expérience sur la liberté de la presse. » Et mon père a répondu : « Eh bien, si c'est une expérience, nous devons l'essayer et voir ce que nous pouvons dire. » Ils ont fini par nommer un directeur adjoint du journal qui avait le pouvoir de censurer le directeur, et comme mon père était déjà un écrivain un peu connu, ils ont dit au directeur adjoint : « Si Delibes sort du rang, on vous vire, on vous retire votre carte de presse. » Cet homme l'a dit à mon père, parce qu'ils étaient amis. Et mon père a démissionné immédiatement. Il ne pouvait pas risquer la carrière de quelqu'un d'autre. Il a démissionné et a décidé de raconter dans un roman l'histoire de l'abandon de la campagne castillane. C'est ainsi que sont nés Les Rats. Pensez-vous que votre livre Gracias a la vida aurait convaincu votre père ? J'en doute beaucoup, je ne pense pas. Il aurait dit : « C'est important, mais il faut que de nombreuses espèces disparaissent en même temps pour que nous nous en rendions compte ». Il est difficile de comprendre qu'il y a 8 milliards de personnes dans le monde et que, si chacun détruit un ver par semaine, cela représente déjà plusieurs millions de vers. Et cela s'applique aux oiseaux, aux insectes que nous tuons avec nos voitures sur la route... Les experts qui étudient les limites de la détérioration que les systèmes de la Terre peuvent supporter suggèrent qu'en termes de perte de biodiversité, nous sommes plus proches du point de basculement qu'en ce qui concerne le changement climatique. Mon père aurait dit : « Tes arguments ne sont pas insignifiants ; ils ne sont pas faux. Cependant, je n'y crois toujours pas ». Alors comme ça je suis " ingénieur paysagiste".. ..et bien.....moi qui pensais que je faisais juste caca dans la nature !.... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre Tu peux aussi cracher des graines en roulant, en marchant, etc.......en public parfois ça passera mieux. Dans certains cas la digestion enzymatique des parois de la graine sera insuffisante et demandera un certain cycle météo / sol, etc......et dans d'autres cas ça peut très bien marcher ( aussi ). L'avantage du caca dans la nature ( pour la dissémination ) , c'est s'il se fait au milieu de nulle part et que d'autres apports par volatile ne s'y feraient pas. Si tu te sens obliger de rechercher un taillis, alors des oiseaux l'auront déjà fait à ta place et avant toi, tu es donc un bipède inutile, un ingénieur inutile. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre Il y a 2 heures, ksimodo a dit : Tu peux aussi cracher des graines en roulant, en marchant, etc.......en public parfois ça passera mieux. Dans certains cas la digestion enzymatique des parois de la graine sera insuffisante et demandera un certain cycle météo / sol, etc......et dans d'autres cas ça peut très bien marcher ( aussi ). L'avantage du caca dans la nature ( pour la dissémination ) , c'est s'il se fait au milieu de nulle part et que d'autres apports par volatile ne s'y feraient pas. Si tu te sens obliger de rechercher un taillis, alors des oiseaux l'auront déjà fait à ta place et avant toi, tu es donc un bipède inutile, un ingénieur inutile. Oui, c'est à peu près ça.........et ma foi, "bipède inutile" décrit plutôt bien ma personne, je dois bien l'admettre 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre Il y a 2 heures, Shorr kan a dit : Oui, c'est à peu près ça.........et ma foi, "bipède inutile" décrit plutôt bien ma personne, je dois bien l'admettre J'ose croire que ton "utilité" (et la mienne!) ne repose pas sur l'endroit ou tu déposes les produits involontaire de ton corps . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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