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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat


Tetsuo

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Il y a 1 heure, jeannelaflamme a dit :

Maintenant que l'UE et l'OTAN actualisent toutes deux leurs propres stratégies, elles peuvent dans le même temps définir les moyens par lesquels elles peuvent se compléter et se renforcer en tant que garantes de la sécurité européenne

Voilà une position de synthèse vraiment encourageante.

Si je suis ce que tu as posté depuis un moment cette position la Finlande l'a défend depuis au moins 2018 voir avant. Avec hx il semble que la Finlande veut vraiment marquer les esprits en montrant un chemin de synthèse. Est-ce que j'ai bien compris ?

La position de la Finlande a proximité de la Russie mais également de l'Europe lui permet d'être légitime sur ce sujet. Plus que la France sûrement.

Modifié par herciv
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Il y a 1 heure, Alberas a dit :

Je comprends que cette visite de l'OTAN n'influera pas sur le choix du futur chasseur finlandais. En revanche , je ne vois pas en quoi la visite du président finlandais en Russie aurait une influence?

C'est une blague, d'où le smiley qui sort la langue. Bien qu'en général, si la Russie indiquait d'une manière ou d'une autre de ne pas acheter de F-35, ce serait une forte approbation pour en acheter un.

il y a 18 minutes, herciv a dit :

Voilà une position de synthèse vraiment encourageante.

Si je suis ce que tu as posté depuis un moment cette position la Finlande défend depuis au moins 2018 voir avant. Avec hx il semble que la Finlande veut vraiment marquer les esprits en montrant un chemin de synthèse. Est-ce que j'ai bien compris ?

J'estime que tous les efforts finlandais pour faire avancer la défense commune de l'UE sont une pure nécessité parce que l'adhésion à l'OTAN n'a pas été une option politique viable. Cela ne veut pas dire que l'on croit en plus que tout simplement mieux que rien puisque le choix évident (l'adhésion à l'OTAN) ne peut pas être fait. Il y a par exemple la fabrication purement nationale d'avoir une "option de l'OTAN", comme dans les gouvernements déclarent publiquement qu'ils gardent l'idée de demander l'adhésion ouverte. Cela offre en quelque sorte une marge de manœuvre (une chance de réagir d'une manière ou d'une autre si la situation en matière de sécurité s'aggrave au-delà d'une ligne rouge difficile à définir)... et on a souvent l'impression que la maximisation de la marge de manœuvre politique est considérée comme la fin de tout . Même si c'est une garantie imaginaire de sécurité par rapport au 5ème article de l'Otan.

"- Je suis heureux d'entendre Stoltenberg dire que les partenaires sont une partie importante du nouveau concept, a déclaré [le président] Niinistö.

- La position de la Finlande a été de ne pas fermer les portes nous-mêmes." https://www.is.fi/politiikka/art-2000008357555.html

Modifié par jeannelaflamme
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il y a 7 minutes, jeannelaflamme a dit :

C'est une blague, d'où le smiley qui sort la langue. Bien qu'en général, si la Russie indiquait d'une manière ou d'une autre de ne pas acheter de F-35, ce serait une forte approbation pour en acheter un.

Cool!

 

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Il y a 1 heure, Kelkin a dit :

savoir que l'éditorialiste affirme qu'une défense européenne qui acheterait du matériel européen ne servirait qu'aux ennemis ?

L'éditorialiste constate que la Finlande veut rester en dehors de l'otan. Mais qu'elle veut des partenaires européens plus impliqués dans leur propres défenses et donc aussi dans une défense de leurs propres voisins. Macron doit boire du petit lait.

Je ne voudrais pas en tirer les mauvaises conclusions sur hx mais clairement le levier otanien sur le choix du chasseurs n'est plus aussi important. A l'inverse le levier européen à pris de l'importance.

il y a 20 minutes, jeannelaflamme a dit :

J'estime que tous les efforts finlandais pour faire avancer la défense commune de l'UE sont une pure nécessité parce que l'adhésion à l'OTAN n'a pas été une option politique viable.

Eh bien. Je suis heureux de constater que la Finlande pourrait montrer l'exemple à plein de pays européens.

Sans cette compétition je ne me serais pas intéressé aux positions de ton pays de cette manière. Et je dois avouer que sans les annonces de ton présidents j'étais un peu sceptique sur la volonté de la Finlandes de rester hors Otan et de favoriser la défense européenne.

Stolenberg venait chercher une réponse définitive de ton président et on le sens déçu quand il parle de l'article 5.

Modifié par herciv
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Sauf qu'au final, la Finlande constatera que l'Europe, c'est des branleurs, et se tournera donc vers l'Amérique et le F-35, continuation logique du choix du F/A-18.

  Ce n'est pas un hasard si Jim Mattis mentionne ceci :

Il y a 3 heures, jeannelaflamme a dit :

Selon de nombreuses estimations internationales, la Finlande est le pays nordique le plus fort militairement. En raison de ses performances militaires, la Finlande est un partenaire souhaitable. De leur propre point de vue, les États-Unis sont prêts à fournir à la Finlande le type de matériel de défense et de connaissances technologiques qu'ils n'avaient auparavant fournis qu'à leurs alliés les plus proches, comme l'Australie. Grâce à une technologie de pointe, la crédibilité de la défense finlandaise a été renforcée.

Diplo d'AUKUS à nouveau ! Point commun entre l'Australie et la Finlande ? Aucun n'est dans l'OTAN.

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il y a 16 minutes, herciv a dit :

L'éditorialiste constate que la Finlande veut rester en dehors de l'otan. Mais qu'elle veut des partenaires européens plus impliqués dans leur propres défenses et donc aussi dans une défense de leurs propres voisins. Macron doit boire du petit lait.

Je ne voudrais pas en tirer les mauvaises conclusions sur hx mais clairement le levier otanien sur le choix du chasseurs n'est plus aussi important. A l'inverse le levier européen à pris de l'importance.

Eh bien. Je suis heureux de constater que la Finlande pourrait montrer l'exemple à plein de pays européens.

Il ou elle a du voit le film le Chant du loup.

:wink:

Modifié par gargouille
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il y a 16 minutes, gargouille a dit :

Il ou elle a du voit le film le Chant du loup.

:wink:

Oui mais il y a aussi l'Arctique qui devient un lieu à défendre contre un certain nombre de loups et pas que la Russie. 

Modifié par herciv
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Un fil conducteur historique intéressant, regardant la dernière fois où le Royaume-Uni / Europe envisageait un Tilt vers le Pacifique.

il y a 23 minutes, herciv a dit :

@jeannelaflamme Quand la Finlande prend la présidence européenne ?

2019 juillet – décembre. La prochaine fois 2033 janvier-juin.

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il y a 8 minutes, emixam a dit :

Après encore une fois la Finlande n'a pas d'accès à l'Arctique...

Oui, mais avec la zone la plus peuplée au-dessus du cercle polaire arctique, la plupart des brise-glaces du monde ont été conçus ou même construits en Finlande... Il est clair que la Finlande ne peut pas aider à abriter des sous-marins de classe Seawolf comme la Norvège, mais les pays de l'OTAN n'ont pas d'armée appropriée dans les pays nordiques. La Finlande, quant à elle, a une armée massive.

De plus, la formation du Conseil de l'Arctique a été précédée d'une initiative finlandaise.

"En 1996, des représentants des huit États arctiques – Canada, Danemark, Finlande, Islande, Norvège, Suède, considéré comme le moment fondateur du Conseil de l'Arctique, les roues avaient été mises en branle plusieurs années auparavant avec diverses initiatives environnementales nationales et autochtones ainsi que plaidoyer international.

Alors que le Canada avait déjà défendu l'idée d'un conseil international pour renforcer la coopération arctique, un pas dans cette direction a été franchi en 1991 à l'initiative de la Finlande, lorsque le La Stratégie de protection de l'environnement arctique (AEPS) a été approuvée par les États circumpolaires." 

https://www.thearcticinstitute.org/wp-content/uploads/2020/05/TAI_Infographic-History-Arctic-Council.pdf

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- L'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'OTAN pourrait devenir redondante

Ancien chef de la Défense, aujourd'hui chercheur en chef au Norwegian Defence Research Establishment, Sverre Diesen estime que l'assouplissement de la liberté d'alliance suédoise et finlandaise, en particulier après 2014, signifie que l'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'OTAN est devenue moins pertinente que dans un Longtemps.

- Les Suédois et les Finlandais ont maintenant des accords si étendus avec l'OTAN et directement avec les États-Unis que l'adhésion formelle à l'OTAN est presque devenue superflue. Cela supprime de nombreux obstacles à une coopération de défense plus globale en Scandinavie, en particulier entre la Finlande, la Norvège et la Suède, tant en termes de planification opérationnelle que de coopération logistique et matérielle, a-t-il déclaré à l'Association norvégienne de défense.

Diesen est l'un des orateurs à la réunion du samedi 9 octobre à Oslo Militære Samfund, où les deux organisations Norwegian Defence Association et Norwegian Reserve Officers' Association, NROF, ont également invité les actuels chefs de la défense, Eirik Kristoffersen et Commandant-in- Chef des Forces armées, Micael Bydén.

- Les trois pays de la péninsule scandinave constituent une unité géopolitique et stratégique dont il suffit de regarder la carte pour en comprendre la signification. Une collaboration approfondie renforcera à la fois les relations avec les États-Unis et influencera les calculs de profit/risque russes, dit Diesen.

- La motivation économique originale pour la coopération de défense entre les petites nations n'a pas non plus diminué au fil des ans, elle continue d'augmenter avec le développement des coûts dans le secteur de la défense, dit Diesen.

https://www.forsvarsforeningen.no/nyheter/__trashed-2/

https://en.wikipedia.org/wiki/Sverre_Diesen

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7 hours ago, herciv said:

You see there you are very far from the scientific spirit. Here we consider that a definition must have the same meaning for everyone. If this is not possible, it is because the word itself is emptied of meaning sounds and has no interest. Are we to understand that for you the word reliability does not make sense?

Les gens n'achètent-ils pas la fiabilité militaire américaine plutôt que la fiabilité militaire du F-35 comme l'affirment tant de personnes ici ? Pourquoi est-ce contraire à l'esprit scientifique de dire presque la même chose ?

 

 

 

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Il y a 18 heures, Kelkin a dit :

Si on parlait d'une flotte de 600 chasseurs, on pourrait très bien imaginer du panachage. Mais on parle de 60 chasseurs. Il n'y a pas le compte là dedans pour se permettre de panacher efficacement.

Les suisses l'ont fait : FA18 et F5.  Certes pas achetés en même temps, mais opérés en parallèle longtemps.

Modifié par Bon Plan
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"Le porte-parole présidentiel Peskov a déclaré aujourd'hui que Niinistö viendrait à Moscou plus tard cette semaine. La semaine dernière, Peskov a déclaré que Poutine n'avait pas l'intention de rencontrer qui que ce soit en personne pendant les vacances "sans coronavirus", qui commencent jeudi à Moscou. (Homme haussant les épaules smiley)"

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Permettez-moi d'ajouter ceci comme un exemple de personnes qui interprètent mal ce que les nations veulent et priorisent réellement. de 2008 :

Il a été annoncé que cette nouvelle configuration serait utilisée sur un avion Gripen Demonstrator ou Gripen Demo, converti à partir d'un JAS 39B biplace. Cet avion a été mis en service à Linköping le 23 avril 2008 et a effectué son premier vol le 27 mai. L'avion est destiné à servir de démonstrateur technologique pour les futures variantes de Gripen et de plate-forme d'insertion technologique pour toute la famille Gripen, y compris les avions en service.

Le programme Gripen Demonstrator comprend également une nouvelle plate-forme avionique Gripen. Il est soutenu par des investissements de Saab et de ses partenaires industriels internationaux, dont General Electric, Volvo Aero, Thales, Rockwell-Collins, Honeywell, APPH, Martin-Baker, Terma et Meggit, ainsi que par les gouvernements norvégien et suédois. L'avion sert à la fois de banc d'essai pour une configuration de mise à niveau destinée à l'armée de l'air suédoise (qui l'appelle déjà JAS 39E et JAS 39F) et de prototype pour les "futurs Gripen" destinés à l'exportation, y compris des variantes pour la Norvège, le Danemark et l'Inde.

L'avion de démonstration est équipé de l'un des deux moteurs F414G récemment livrés à Saab. Pour la deuxième phase de son programme d'essai, qui débutera l'année prochaine après une immobilisation hivernale, il sera équipé d'un nouveau radar Saab/Thales à balayage électronique actif (AESA), d'un système d'alerte aux missiles, d'une avionique et d'écrans améliorés. Comme aucun "Gripen amélioré" (Gripen NG) n'entrera en service avant 2015 environ, bon nombre des technologies de pointe actuelles auront considérablement évolué avant qu'un avion de série ne vole. L'avion de démonstration Gripen sera utilisé pour esquisser la feuille de route du développement du Gripen futur, mais les systèmes spécifiques installés aujourd'hui pourront être remplacés dans la version de production. Cela permettra au Gripen NG d'avoir "dix ans d'avance sur le JSF en termes de technologie", déclare Kemp, car les systèmes de l'avion américain sont déjà bien définis.

Le radar AESA testé sur le Demo offre un excellent exemple de cette approche. Le radar de démonstration est un prototype/support de concept qui combine une partie arrière modifiée du radar standard PS-05/A du Gripen avec un réseau Thales, construit à l'aide de modules développés dans le cadre du programme AESA pour le Rafale de Dassault. Il fournira une expérience utile de l'intégration AESA et démontrera les capacités opérationnelles d'un radar AESA, mais il ne sera pas le radar final utilisé par un Gripen NG de production.

Kemp insiste sur le fait que le nouveau Gripen NG sera le "principal challenger du JSF", écartant l'Eurofighter Typhoon pour des raisons de coût. Il affirme que le Rafale de Dassault "ne démarrera jamais sur le marché de l'exportation" en raison de ce qu'il appelle "la nervosité du client de lancement - qui veut être le premier et peut-être le seul client ?". Kemp affirme que de nombreux clients potentiels du F-35 étaient mal à l'aise avec l'approche "Vous êtes soit avec nous, soit contre nous" des ventes de chasseurs. Il a affirmé que le mécontentement croissant à l'égard du transfert de technologie, de la répartition des tâches et des compensations, associé à l'escalade des coûts du F-35 et aux délais de plus en plus longs, a conduit "de plus en plus de clients du JSF à venir nous parler d'un remplacement du JSF".

M. Kemp a cité un certain nombre d'armées de l'air intéressées par le Gripen NG, notamment le Danemark (avec un besoin de 48 appareils), la Norvège (48), l'Inde (126-220+) et les Pays-Bas (85), ainsi que le Canada (70) et la Suisse (22-33).

https://freerepublic.com/focus/f-news/2045593/posts

Saab était déterminé à penser que le coût était le critère ultime au-dessus de tous les autres.

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Il y a 10 heures, jeannelaflamme a dit :

La clause de sécurité de l'UE, en revanche, est un article 42.7 un peu plus vague du traité de Lisbonne, qui oblige les pays de l'UE à fournir une assistance par tous les moyens disponibles en cas d'attaque armée.

"Plus vague" pourquoi ? L'article 42.7 est plus précis et plus contraignant que l'article 5 de l'OTAN, tel que je le lis.

 

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Il y a 11 heures, Stark_Contrast a dit :

Permettez-moi d'ajouter ceci comme un exemple de personnes qui interprètent mal ce que les nations veulent et priorisent réellement. de 2008 :

Il a été annoncé que cette nouvelle configuration serait utilisée sur un avion Gripen Demonstrator ou Gripen Demo, converti à partir d'un JAS 39B biplace. Cet avion a été mis en service à Linköping le 23 avril 2008 et a effectué son premier vol le 27 mai. L'avion est destiné à servir de démonstrateur technologique pour les futures variantes de Gripen et de plate-forme d'insertion technologique pour toute la famille Gripen, y compris les avions en service.

Le programme Gripen Demonstrator comprend également une nouvelle plate-forme avionique Gripen. Il est soutenu par des investissements de Saab et de ses partenaires industriels internationaux, dont General Electric, Volvo Aero, Thales, Rockwell-Collins, Honeywell, APPH, Martin-Baker, Terma et Meggit, ainsi que par les gouvernements norvégien et suédois. L'avion sert à la fois de banc d'essai pour une configuration de mise à niveau destinée à l'armée de l'air suédoise (qui l'appelle déjà JAS 39E et JAS 39F) et de prototype pour les "futurs Gripen" destinés à l'exportation, y compris des variantes pour la Norvège, le Danemark et l'Inde.

L'avion de démonstration est équipé de l'un des deux moteurs F414G récemment livrés à Saab. Pour la deuxième phase de son programme d'essai, qui débutera l'année prochaine après une immobilisation hivernale, il sera équipé d'un nouveau radar Saab/Thales à balayage électronique actif (AESA), d'un système d'alerte aux missiles, d'une avionique et d'écrans améliorés. Comme aucun "Gripen amélioré" (Gripen NG) n'entrera en service avant 2015 environ, bon nombre des technologies de pointe actuelles auront considérablement évolué avant qu'un avion de série ne vole. L'avion de démonstration Gripen sera utilisé pour esquisser la feuille de route du développement du Gripen futur, mais les systèmes spécifiques installés aujourd'hui pourront être remplacés dans la version de production. Cela permettra au Gripen NG d'avoir "dix ans d'avance sur le JSF en termes de technologie", déclare Kemp, car les systèmes de l'avion américain sont déjà bien définis.

Le radar AESA testé sur le Demo offre un excellent exemple de cette approche. Le radar de démonstration est un prototype/support de concept qui combine une partie arrière modifiée du radar standard PS-05/A du Gripen avec un réseau Thales, construit à l'aide de modules développés dans le cadre du programme AESA pour le Rafale de Dassault. Il fournira une expérience utile de l'intégration AESA et démontrera les capacités opérationnelles d'un radar AESA, mais il ne sera pas le radar final utilisé par un Gripen NG de production.

Kemp insiste sur le fait que le nouveau Gripen NG sera le "principal challenger du JSF", écartant l'Eurofighter Typhoon pour des raisons de coût. Il affirme que le Rafale de Dassault "ne démarrera jamais sur le marché de l'exportation" en raison de ce qu'il appelle "la nervosité du client de lancement - qui veut être le premier et peut-être le seul client ?". Kemp affirme que de nombreux clients potentiels du F-35 étaient mal à l'aise avec l'approche "Vous êtes soit avec nous, soit contre nous" des ventes de chasseurs. Il a affirmé que le mécontentement croissant à l'égard du transfert de technologie, de la répartition des tâches et des compensations, associé à l'escalade des coûts du F-35 et aux délais de plus en plus longs, a conduit "de plus en plus de clients du JSF à venir nous parler d'un remplacement du JSF".

M. Kemp a cité un certain nombre d'armées de l'air intéressées par le Gripen NG, notamment le Danemark (avec un besoin de 48 appareils), la Norvège (48), l'Inde (126-220+) et les Pays-Bas (85), ainsi que le Canada (70) et la Suisse (22-33).

https://freerepublic.com/focus/f-news/2045593/posts

Saab était déterminé à penser que le coût était le critère ultime au-dessus de tous les autres.

Merci pour ce bel exemple de prévision non vérifiée et érronée. Le coût est un point important dans ces contrats mais c'est loin d'être le seul. Et chaque pays a ses contraintes et ses besoins propres. Le contexte du moment est aussi à prendre en compte. 

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Il y a 1 heure, Ronfly a dit :

Merci pour ce bel exemple de prévision non vérifiée et érronée. Le coût est un point important dans ces contrats mais c'est loin d'être le seul. Et chaque pays a ses contraintes et ses besoins propres. Le contexte du moment est aussi à prendre en compte. 

Ça montre surtout la philosophie de la communication de SAAB et les filtres qu'il faut lui appliquer.

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