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Il semblerait que les forces de maintien de la paix russes quittent le territoire, en dépit d’une présence qui devait durer jusqu’en 2025. Départ forcé du fait de l’Ukraine ou de pressions turco-azérie, ou bien volonté de punir le rapprochement occidental de l’Armenie?
Avec la tension militaire et les menaces ouvertes de l’Azerbaidjan, dans un contexte où tout le monde regarde ailleurs, cela semble de mauvais augure…

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il y a 13 minutes, gustave a dit :

(…) Départ forcé du fait de l’Ukraine ou de pressions turco-azérie, ou bien volonté de punir le rapprochement occidental de l’Armenie?
(…)

non. tout simplement l’Azerbaidjan achète du gaz russe, sans être soumis aux sanctions. La Russie reconnaissante.

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il y a 14 minutes, fraisedesbois a dit :

non. tout simplement l’Azerbaidjan achète du gaz russe, sans être soumis aux sanctions. La Russie reconnaissante.

Oui, possible aussi et tout à fait compatible avec la punition de l’Armenie…

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L'Arménie a un point commun avec l'Ukraine des 15 / 20 dernières années, c'est un poulet sans tête qui court partout et vers nulle part.

La "protection" du HK c'était un territoire non reconnu à l'international. Donc la protection d'une occupation "sauvage". C'est utile de le rappeler, tant les camps du bien ( tout le monde, donc ) oublient certains poonts sur la carte. Reste l'Arménie de cœur géographique, autrement plus légitime ( enfin, 1 siècle seulement donc "ça se discute" )

Le cas d'ici pue d'autant plus qu'il y a des vues de la Turquie, des azéris, il y a les kurdes aussi mais sans doute unanimité pour ne pas les laisser occuper quoi que ce soit. Quand il y a trop de protagonistes, c'est bien aussi de s'écarter, et de laisser sédimenter les choses de manière pragmatique et naturelle. 

Pour une fois que la Russie ne fait pas d'ingérence, il y aurait de quoi saluer positivement ! :bloblaugh:

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Il y a 19 heures, ksimodo a dit :

L'Arménie a un point commun avec l'Ukraine des 15 / 20 dernières années, c'est un poulet sans tête qui court partout et vers nulle part.

La "protection" du HK c'était un territoire non reconnu à l'international. Donc la protection d'une occupation "sauvage". C'est utile de le rappeler, tant les camps du bien ( tout le monde, donc ) oublient certains poonts sur la carte. Reste l'Arménie de cœur géographique, autrement plus légitime ( enfin, 1 siècle seulement donc "ça se discute" )

Le cas d'ici pue d'autant plus qu'il y a des vues de la Turquie, des azéris, il y a les kurdes aussi mais sans doute unanimité pour ne pas les laisser occuper quoi que ce soit. Quand il y a trop de protagonistes, c'est bien aussi de s'écarter, et de laisser sédimenter les choses de manière pragmatique et naturelle. 

Pour une fois que la Russie ne fait pas d'ingérence, il y aurait de quoi saluer positivement ! :bloblaugh:

L'Ukraine n'occupait pas illégalement une partie de son voisin. Dommage pour ton analyse.

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Il y a 4 heures, Colstudent a dit :

2000 hommes et du matos limité, ça va pas être un gros renfort

Officiellement l'armée russe recrute 30 000 soldats par mois ... c'est pas 2 000 une fois qui changera quoique ce soit.

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Il y a 7 heures, g4lly a dit :

Officiellement l'armée russe recrute 30 000 soldats par mois ... c'est pas 2 000 une fois qui changera quoique ce soit.

Dans ce cas-là pourquoi retirer cette force qui ne ponctionnait pas beaucoup d'hommes?

Ou alors c'est purement politique.

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il y a 39 minutes, Patrick a dit :

Dans ce cas-là pourquoi retirer cette force qui ne ponctionnait pas beaucoup d'hommes?

Ou alors c'est purement politique.

"Vengeance" russe contre le président arménien qui commence à regarder vers l'Ouest, déçu et lassé du peu d'empressement des Russes à tenir leurs engagements envers leur "allié".

Pour l'heure, l'Arménie est le dindon d'une farce où les convives ont encore intérêt à s'arranger entre eux.  Mais la nature a horreur du vide et le désengagement russe du Caucase va se payer à terme... et on le voit déjà avec l'entrisme israélien chez les Azéris (avec le risque que le sol azéri serve de base de lancement à tout plein d'opérations israéliennes en Iran, ce qui est déjà en bonne partie le cas du reste).

Un Iran affaibli, une Géorgie instable, une Turquie toujours en quête de leviers en Asie centrale mais aussi moins à l'est de sa frontière, des Kurdes toujours remuants, les territoires du Nord-Caucase toujours prêts à profiter du bazar pour se mettre sur la tronche et/ou contre l'autorité centrale moscovite, et on peut y rajouter des foyers potentiels plus éloignés mais qui sont largement en capacité de gêner les puissances régionales (le Liban qui implose, la Syrie loyaliste pas si solide que ça, Chypre, etc).

L'Orient ou les Balkans compliqués ? Le Caucase aussi.

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Point ISW du 24/04 :

"The Kremlin explicitly threatened Armenia if Armenia does not resume active engagement in the Russian-led Collective Security Treaty Organization (CSTO) and resume its pro-Kremlin alignment. Armenian Security Council Secretary Armen Grigoryan announced on April 23 that he would not participate in the International Meeting of High Representatives for Security Issues in St. Petersburg on April 24 and 25.[47] Grigoryan’s refusal to participate in a Russian-led multilateral meeting is likely part of a continuing Armenian effort to distance Armenia from political and security relations with Russia by freezing its participation in the CSTO and refusing to participate in multilateral political and security engagements.[48] Russian Foreign Minister Sergei Lavrov held a Russian Ministry of Foreign Affairs (MFA) board meeting on April 23 to discuss promoting Russian interests in the South Caucasus, in which he claimed that the West is attempting to strategically defeat Russia by destabilizing ”other parts of the post-Soviet space, including the South Caucasus.”[49] Lavrov blamed the West for allegedly attempting to undermine and destroy Russian security and economic relations with countries in the South Caucasus. Lavrov is likely attempting to portray Armenian efforts to deepen relations with the West as a deliberate hostile Western effort against Russia to set information conditions to justify any potential future Russian efforts to coerce or force Armenia to resume its pro-Russian alignment. The Russian MFA also explicitly threatened Armenia by claiming that the West is attempting to “drag the South Caucasus into a geopolitical confrontation” between Russia and the West and warning that Armenia could “go down the wrong path,” following Armenian Prime Minister Nikol Pashinyan’s April 5 meeting with senior EU and US officials.[50] CSTO Secretary General Imangali Tasmagambetov (a Kazakh official) also directly threatened Armenia if it did not resume active engagement in the CSTO. Tasmagambetov stated in an interview published on April 24 that the CSTO is aware of NATO’s activity in the South Caucasus and that the CSTO Secretariat’s analysts indicate that the balance of power in the South Caucasus may change if Armenia leaves the CSTO.[51] Tasmagambetov stated that he hopes that the likelihood of a “confrontation” between the CSTO and Armenia is “no more than hypothetical” but that such a confrontation would require all parties to consider their resources and capabilities. Lavrov’s and Tasmagambetov’s threats against Armenia were made around the April 24 Armenian Genocide Remembrance Day indicating that Russia likely intended to tie a tragedy in Armenian history with Armenia’s efforts to distance itself from Russia."

 

Le caïd de la cité d'à côté se joint au caïd local pour taper le mec à terre... Après ça à le mérite d'être clair.

L'Arménie, avec l'Azerbaïdjan, la Turquie et la Russie pas en sa faveur doit serrer très fort les fesses.

Je me demande si la France espère vraiment faire quelque chose dans le coin.

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il y a 53 minutes, Polybe a dit :

Point ISW du 24/04 :

"The Kremlin explicitly threatened Armenia if Armenia does not resume active engagement in the Russian-led Collective Security Treaty Organization (CSTO) and resume its pro-Kremlin alignment. Armenian Security Council Secretary Armen Grigoryan announced on April 23 that he would not participate in the International Meeting of High Representatives for Security Issues in St. Petersburg on April 24 and 25.[47] Grigoryan’s refusal to participate in a Russian-led multilateral meeting is likely part of a continuing Armenian effort to distance Armenia from political and security relations with Russia by freezing its participation in the CSTO and refusing to participate in multilateral political and security engagements.[48] Russian Foreign Minister Sergei Lavrov held a Russian Ministry of Foreign Affairs (MFA) board meeting on April 23 to discuss promoting Russian interests in the South Caucasus, in which he claimed that the West is attempting to strategically defeat Russia by destabilizing ”other parts of the post-Soviet space, including the South Caucasus.”[49] Lavrov blamed the West for allegedly attempting to undermine and destroy Russian security and economic relations with countries in the South Caucasus. Lavrov is likely attempting to portray Armenian efforts to deepen relations with the West as a deliberate hostile Western effort against Russia to set information conditions to justify any potential future Russian efforts to coerce or force Armenia to resume its pro-Russian alignment. The Russian MFA also explicitly threatened Armenia by claiming that the West is attempting to “drag the South Caucasus into a geopolitical confrontation” between Russia and the West and warning that Armenia could “go down the wrong path,” following Armenian Prime Minister Nikol Pashinyan’s April 5 meeting with senior EU and US officials.[50] CSTO Secretary General Imangali Tasmagambetov (a Kazakh official) also directly threatened Armenia if it did not resume active engagement in the CSTO. Tasmagambetov stated in an interview published on April 24 that the CSTO is aware of NATO’s activity in the South Caucasus and that the CSTO Secretariat’s analysts indicate that the balance of power in the South Caucasus may change if Armenia leaves the CSTO.[51] Tasmagambetov stated that he hopes that the likelihood of a “confrontation” between the CSTO and Armenia is “no more than hypothetical” but that such a confrontation would require all parties to consider their resources and capabilities. Lavrov’s and Tasmagambetov’s threats against Armenia were made around the April 24 Armenian Genocide Remembrance Day indicating that Russia likely intended to tie a tragedy in Armenian history with Armenia’s efforts to distance itself from Russia."

 

Le caïd de la cité d'à côté se joint au caïd local pour taper le mec à terre... Après ça à le mérite d'être clair.

L'Arménie, avec l'Azerbaïdjan, la Turquie et la Russie pas en sa faveur doit serrer très fort les fesses.

Je me demande si la France espère vraiment faire quelque chose dans le coin.

La chance de l'Arménie c'est l'Iran, qui ne veut surtout pas voir l'Azerbaïdjan et la Turquie avoir une liaison terrestre complète.

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Il y a 6 heures, Polybe a dit :

Point ISW du 24/04 :

" Le Kremlin a explicitement menacé l'Arménie si l'Arménie ne reprenait pas son engagement actif dans l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) dirigée par la Russie et ne reprenait pas son alignement pro-Kremlin.  Le secrétaire arménien du Conseil de sécurité, Armen Grigoryan, a annoncé le 23 avril qu'il ne participerait pas à l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) dirigée par la Russie. Réunion internationale des hauts représentants pour les questions de sécurité à Saint-Pétersbourg les 24 et 25 avril.[47] Le refus de Grigoryan de participer à une réunion multilatérale dirigée par la Russie fait probablement partie d'un effort arménien continu pour éloigner l'Arménie des relations politiques et sécuritaires avec la Russie. en gelant sa participation à l'OTSC et en refusant de participer aux engagements politiques et sécuritaires multilatéraux.[48] Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a tenu une réunion du conseil d'administration du ministère russe des Affaires étrangères (MAE) le 23 avril pour discuter de la promotion des intérêts russes dans le Caucase du Sud. , dans lequel il affirmait que l'Occident tentait de vaincre stratégiquement la Russie en déstabilisant « d'autres parties de l'espace post-soviétique, y compris le Caucase du Sud ». relations avec les pays du Caucase du Sud. Lavrov tente probablement de présenter les efforts arméniens visant à approfondir les relations avec l’Occident comme un effort occidental hostile et délibéré contre la Russie visant à établir des conditions d’information susceptibles de justifier tout effort potentiel de la Russie pour contraindre ou forcer l’Arménie à reprendre son alignement pro-russe. Le ministère russe des Affaires étrangères a également explicitement menacé l'Arménie en affirmant que l'Occident tentait « d'entraîner le Caucase du Sud dans une confrontation géopolitique » entre la Russie et l'Occident et en avertissant que l'Arménie pourrait « s'engager sur la mauvaise voie », suite au discours du Premier ministre arménien Nikol Pashinyan en avril. 5e réunion avec de hauts responsables de l'UE et des États-Unis.[50] Le secrétaire général de l'OTSC, Imangali Tasmagambetov (un responsable kazakh) a également directement menacé l'Arménie si elle ne reprenait pas son engagement actif au sein de l'OTSC. Tasmagambetov a déclaré dans une interview publiée le 24 avril que l'OTSC est au courant des activités de l'OTAN dans le Caucase du Sud et que les analystes du Secrétariat de l'OTSC indiquent que l'équilibre des pouvoirs dans le Caucase du Sud pourrait changer si l'Arménie quittait l'OTSC.[51] Tasmagambetov a déclaré qu'il espérait que la probabilité d'une « confrontation » entre l'OTSC et l'Arménie n'était « rien de plus qu'hypothétique », mais qu'une telle confrontation exigerait que toutes les parties prennent en compte leurs ressources et leurs capacités. Les menaces de Lavrov et de Tasmagambetov contre l'Arménie ont été proférées à l'occasion du 24 avril, jour de commémoration du génocide arménien, ce qui indique que la Russie avait probablement l'intention de lier une tragédie de l'histoire arménienne aux efforts de l'Arménie pour se distancer de la Russie.

 

Le caïd de la cité d'à côté se joint au caïd local pour taper le mec à terre... Après ça à le mérite d'être clair.

L'Arménie, avec l'Azerbaïdjan, la Turquie et la Russie pas en sa faveur doit serrer très fort les fesses.

Je me demande si la France espère vraiment faire quelque chose dans le coin.

Militairement l'Arménie ne tiendrai pas contre une offensive de l'Azerbaidjan aidé par une forte déstabilisation des Turques en parallèle. La Russie aurait obtenu quoi en défendant la partie Arménienne ? surtout dans la situation avec son conflit en Ukraine... Je te rejoins qu'elle est toute petite au milieu de trois dépeceurs probables.

Hormis s'engager dans des frappes aériennes, militairement y a aucun moyen d'aller les aider du moins autant qu'ils en auraient besoin si ils étaient menacé territorialement. Toute façon je pense que l'Azerbaidjan aurait juste souhait d'une zone directe avec la Turquie et quelques km2 par ci par là, je pense pas qu'une occupation totale de l'Arménie en cas de conflit soit l'objectif de quiconque

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il y a une heure, wagdoox a dit :

Personnellement, si je vois bien une affirmation, je ne vois pas de ricanement. 

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Il y a 2 heures, wagdoox a dit :

Tu crois vraiment que les Iraniens vont se mettre dans un tel bourbier alors qu'ils ont déjà les mains prises ailleurs et absolument aucun intérêt à se mettre à dos les Azéris, les Russes et les Turcs ?

L'Arménie n'en vaut pas la peine. Ça pleurera quelques larmes mais pas beaucoup plus.

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Il y a 3 heures, Ciders a dit :

Tu crois vraiment que les Iraniens vont se mettre dans un tel bourbier alors qu'ils ont déjà les mains prises ailleurs et absolument aucun intérêt à se mettre à dos les Azéris, les Russes et les Turcs ?

L'Arménie n'en vaut pas la peine. Ça pleurera quelques larmes mais pas beaucoup plus.

Ils ont d'autres soucis c'est clair mais le renforcement des azéris et des turcs en général est vraiment pas leur intérêt. Il faut noter aussi qu'il y a une très forte diaspora arménienne en Iran, presqu'autant qu'en France.

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Il y a 2 heures, nemo a dit :

Ils ont d'autres soucis c'est clair mais le renforcement des azéris et des turcs en général est vraiment pas leur intérêt. Il faut noter aussi qu'il y a une très forte diaspora arménienne en Iran, presqu'autant qu'en France.

Les Azéris oui... mais il serait sûrement possible, via quelques pressions croisées (russo-iraniennes par exemple), de les calmer au besoin. Le régime local est capable de s'imposer à l'Arménie mais il n'a pas la surface pour un conflit d'attrition avec un gros.

Historiquement, Turcs et Iraniens évitent soigneusement de se gêner depuis des siècles. Je vois mal les deux pays s'opposer maintenant alors qu'ils ont beaucoup d'autres chats à fouetter, chacun de leur côté. Erdogan doit gérer la situation en Syrie, se préoccuper de sa succession, de l'évolution du rapport de forces en Mer Noire sans parler de ses rêves de grandeur en Méditerranée. De son côté, Téhéran n'a aucun intérêt à mettre un autre fer au feu alors qu'il doit déjà surveiller les talibans, s'imposer dans le Golfe, financer les Houthis et le Hezbollah, conserver des liens avec les Russes, ne pas effrayer les Chinois sans parler des Israéliens qui tapent où ils peuvent et de la situation intérieure très fragile.

Dans tout ce foutoir digne d'une partie de Baldur's Gate 3 (surtout un de ces moments où on entasse des tonneaux de poudre autour d'un boss du jeu avant de balancer une boule de feu au milieu), le sort de l'Arménie importe peu.

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