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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


Messages recommandés

Je place ici la partie de l'article de Jacques Sapir qui concerne la dette, sachant qu'il part d'une hypothèse de sortie de la France de l'Euro avec un retour au franc dévalué de 25% :

Les conséquences financières : la question des dettes

Venons en maintenant aux conséquences financières. Ces conséquences se concentrent sur la question des dettes, qui peuvent avoir été faites dans le droit français, auquel cas la transformation des sommes de l’Euro et Franc est de droit et automatique, et celles qui ont été faites dans un autre droit que le droit français. Il faut donc calculer non pas la proportion des acheteurs de dette français et étrangers, mais la proportion des contrats passés en droit français ou en droit étranger.

A-Dettes.jpg

 

On constate que, pour les dettes publiques, l‘écrasante majorité est en droit français. Il n’y aura donc aucun problème à ce niveau là. Pour les dettes privées financières, soit les dettes émises par des établissements financiers (banques et assurance) on constate  que les ¾ sont en droit français. Le quart émis en droit étranger sera réévalué du montant de la dépréciation du Franc vis à vis des monnaies dans lesquelles ces dettes ont été émises. Mais, une étude réalisé en 2013 sur le bilan des établissements financiers montrait aussi que ces établissements avait prêtés de l’argent « en droit étranger » dans des devises que l’on peut supposer fortes. Le calcul de la réévaluation et de la dépréciation de l’actif et du passif du bilan montrait que l’écart pour une dépréciation de -25% du Franc serait de l’ordre de 5 milliards d’Euros sur l’ensemble des établissements financiers français. C’est tout aussi négligeable que pour la dette publique. Reste le problème de la dette privée « non-financière », c’est à dire des ménages et des entreprises. Pour les ménages, 99,5% des dettes sont en droit français. Par contre, pour les entreprises, on voit qu’une part importante des dettes (54%) ont été émises en droit étranger. Mais, il s’agit de grandes d’entreprises qui réalisent une large part de leur chiffre d’affaires hors de France et en zone Dollar. La réévaluation de leur dette ira de pair avec la réévaluation de leur chiffre d’affaires, et le ratio d’endettement (Dette/Chiffre d’affaires) restera stable.

On constate que le discours alarmiste sur les implications d’une sortie de l’Euro quant aux dettes ne repose sur rien de solide et traduit soit une méconnaissance de ceux qui le tiennent soit une volonté de créer un effet de panique monté de toute pièce.

Modifié par Jojo67
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Sinon, les gars, on est d'accord que tout ça est du pur HS sur ce fil ?

Le débat est intéressant, mais il aurait plus sa place sur le fil UE, ou mieux encore le fil "Who's Next ?" ouvert par Gally hier, parce qu'il s'agit précisément de cela...

 

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http://theweek.com/articles/631249/why-britain-should-leave-eu (21 juin 2016)

L'auteur suggère que le camp du remain est peuplé d'une population jeune qui a abandonné les valeurs de démocratie et de liberté politique au profit de la liberté individuelle et du consumérisme :

Ils ne plaident jamais que l'UE a une légitimité démocratique : la plupart admettent qu'elle n'en a pas. Ils ne défendent pas l'idée que la souveraineté britannique mérite d'être effacée. Au contraire, de nombreux Remainers invoquent ce sens de l'ouverture et la possibilité qui s'est présentée à eux en tant que jeunes, les voyages faciles et bon marché au Portugal, les études à Dublin, le voyage de noces en Italie du Nord.

Et la seule menace contre cette liberté individuelle est constituée par...

...les classes de populations en Grande-Bretagne qui furent appauvries par les libéralisations économiques successives sous Margaret Thatcher et Tony Blair.

 

 

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il y a 36 minutes, Alexis a dit :

Sinon, les gars, on est d'accord que tout ça est du pur HS sur ce fil ?

Le débat est intéressant, mais il aurait plus sa place sur le fil UE, ou mieux encore le fil "Who's Next ?" ouvert par Gally hier, parce qu'il s'agit précisément de cela...

 

Oui :laugh:  On peut transférer les messages?  

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Vrai ou pas, j'en sais rien, mais ça me parait probable.

Citation

Selon le Handelsblatt, le quotidien des affaires allemand, les services du ministère fédéral des Finances ont déjà préparé une feuille de route pour définir la « stratégie allemande » de gestion du Brexit. Un document de huit pages qui dresse quelques idées clé et devraient en décevoir certains.

....(partie sur les brits) ...

L'élément le plus important de ce texte est la position allemande sur la future réforme de l'UE. Les services de la Wilhelmstrasse, siège du ministère des Finances, mettent en garde contre le danger que France et Italie « utilisent après le Brexit l'incertitude pour demander plus de solidarité », par exemple par la mise en place d'une garantie commune des dépôts au niveau de la zone euro. Ceci conduirait, selon le texte, à plus de « socialisation des dettes » dans la zone euro et serait rejeter par les opinions publiques d'Europe du nord.

Berlin trace donc ses conditions à une plus grande intégration de la zone euro : un changement de traités pour « renforcer le contrôle sur la politique financière et économique », bref une mise sous tutelle européenne des budgets nationaux. Logiquement, les services de la Wilhelmstrasse s'attendent donc à ce qu'il n'y ait pas de « grands accords sur le sujet ». En résumé : l'Allemagne n'entend pas s'engager dans une zone euro plus intégrée. Rien d'étonnant à cela à un an des élections françaises et allemandes. La réponse européenne au Brexit ne devrait donc se faire que par une tentative d'impressionner ceux qui seraient tentés de suivre l'exemple britannique et non par un nouveau projet européen.

http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-l-allemagne-refuse-plus-d-integration-de-la-zone-euro-582121.html

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Un depute pro-brexit revient sur le fait qu'il y aurait toujours la libre circulation des travailleurs si le UK ne quitte pas le marche unique.

 

(Rien de neuf sous le soleil, sauf que ce n'est pas ce qui a ete promis dans la campagne, bien au contraire.)

 

http://www.theguardian.com/politics/live/2016/jun/25/brexit-live-emergency-meetings-eu-uk-leave-vote?page=with:block-576e2c76e4b0be24d34f6017#block-576e2c76e4b0be24d34f6017

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Échantillon de nouvelles :

- les Écossais veulent discuter dès que possible avec Bruxelles pour rester dans l'UE

- les six ministres des Affaires Étrangères réunis ce matin à Berlin veulent que les Britanniques négocient dès que possible pour partir

- Ayrault a demandé de son côté à ce qu'un nouveau PM britannique soit nommé "dans les prochains jours"

- plus d'un million de citoyens britanniques demande par pétition sur Internet un nouveau vote, et environ 150 000 un vote pour détacher Londres du Royaume-Uni

- la note du Royaume-Uni pourrait être abaissée par les principales agences de notation

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C'est la séquence gros renoncement et tombé de masque chez les pro-brexit: 

 

http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/eu-referendum-result-nigel-farage-nhs-pledge-disowns-350-million-pounds-a7099906.html

Nickel Farage assez embarrassé qui revient le lendemain du vote sur le fait que la somme reversé à l'UE sera destiné à l'école et qui se fait violemment bousculé par la journaliste qui lui rappel que c'était son argument de campagne principale, forçant se dernier à reconnaître que c'était une erreur...

Par contre il croit vraiment à cette histoire de relancer le commonwealth???
 

Modifié par Dino
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il y a 31 minutes, Dino a dit :

Par contre il croit vraiment à cette histoire de relancer le commonwealth???

Pour relancer un partenariat, il faut que les partenaires soient d'accord. Là j'ai comme un doute sur al volonté des anciennes colonies de se rapprocher davantage de Londres.

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Tout  fait, si on prend rien que l'Afrique du Sud, pourtant jusqu'à présent proche du RU, c'est la colère et la douche froide car le RU était la porte d'entrée vers l'UE des exportations des anciennes colonies britannique en Afrique.

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J'aime beaucoup cet article paru sur le WPhttps://www.washingtonpost.com/posteverything/wp/2016/06/24/british-millennials-like-me-are-the-real-losers-in-the-brexit-vote/?tid=a_inl

certes on ne parle pas de démocratie et autre, mais juste d'un futur volé encore une fois, et que les matins ne seront pas si roses dehors...

Citation

British millennials like me are the real losers in the Brexit vote

Today has been a day of bitterness, resentment and betrayal for British millennials like me. Overnight, my generation has lost the right to call ourselves Europeans, as well as the right to live, love and work in the 27 other countries of the European Union. Among the many divisions the referendum has revealed in the U.K., the chasm between generations is becoming the most pronounced. While the Leave campaign achieved a two-point victory in the referendum, 75 percent of voters between 18 and 24 wanted to remain.

For all intents and purposes, the referendum result is just the latest in a series of attacks on my generation’s future. First came the financial crisis, caused by poor decision-making on the part of baby boomers across the world. Soon after came austerity measures that disproportionately affected young people in favor of protecting British pensions. Now we are being forced from the European Union — against the wishes of the vast majority of young people — in an attack from a generation that will live to see very little of its consequences.

[How the Brexit vote represents the Americanization of British politics]The last time Britain had a referendum on its E.U. membership, back in 1973, the parents of my generation weren’t even old enough to vote. Being European has always been a given for us; most people my age had never questioned or doubted the future of U.K.-E.U. relations until this referendum campaign began. And why would we? Most of us recognize that we have more in common with young people in Spain or the Netherlands than we do with the older folks who share our British nationality.

There’s a natural divide between generations around the world: There are those of us who grew up with the Internet, and those whose lives go largely unaffected by anything digital or global in nature. We’ve grown up believing in a future that transcends national borders because we experience that world in our work, interests and social lives online. Today, the future we imagined was stolen from us.

Over the course of a single night, baby boomers have rejected expert opinion and torn apart my generation’s future. Why? Because a vague notion of making our country “great again,” combined with an infectious hysteria about immigration, was enough to convince them that things have to change. They were so convinced, in fact, that they were happy to vote for Leave without any definition of what “great” looks like, and no road map to actually achieving it.

The situation becomes clearer and starker as the hours pass. Faced with the reality of Brexit, the Leave campaign has wasted no time in backtracking on their promises to restrict immigration and redirect our £350 million annual E.U. contribution to the National Health Service. Martin Schulz, president of the European Parliament, is already set on fast-tracking Britain’s exit against the wishes of our divided Conservative government.

Decades of uncertainty and political chaos have been unleashed by a generation of voters that barely possesses the digital literacy to use a USB stick correctly. As a result, our Parliament will spend years ignoring the tangible problems of ordinary people while they renegotiate long-held treaties that simply don’t need fixing. The vital resources that could deliver opportunity and prosperity for my generation will now be spent grasping for the little negotiating power the U.K. has left. The hope? That these crumbs of power can be used in a desperate battle for rapid agreement on new trade deals.

Google has reported a dramatic increase in searches for Irish passport applications since the Leave result became clear this morning. If the conversations I’ve had today are anything to go by, the next big decision for baby boomers will be how to pay for their pensions when my generation pack up their bags to abandon the sinking ship that the U.K. has just become.

 

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il y a 41 minutes, true_cricket a dit :

Pour relancer un partenariat, il faut que les partenaires soient d'accord. Là j'ai comme un doute sur al volonté des anciennes colonies de se rapprocher davantage de Londres.

 

il y a 34 minutes, Dino a dit :

Tout  fait, si on prend rien que l'Afrique du Sud, pourtant jusqu'à présent proche du RU, c'est la colère et la douche froide car le RU était la porte d'entrée vers l'UE des exportations des anciennes colonies britannique en Afrique.

Les australiens semblent observer la chose avec une certaine commisération :

Citation
Citation

(...) For a long time Australia's relationship with Britain had drifted into the realm of nostalgia, a matter of symbolism rather than strategy. (...)
Whatever happens with the vote, Britain remains a permanent member of the United Nations Security Council, and so remains a potent actor in world affairs.
But don't be misled by claims a "proud, independent" Britain will have a stronger voice alone than one in common chorus with friends.
http://www.smh.com.au/world/brexit-vote-britain-without-europe-will-be-a-weaker-partner-for-australia-20160624-gpqyky.html

Et comme ce matin les ministres des 6 pays fondateurs ont déclaré vouloir que le départ se fasse vite, cela ne va pas redorer le blason anglais...

EDIT:

Citation

Overnight, my generation has lost the right to call ourselves Europeans, as well as the right to live, love and work in the 27 other countries of the European Union.

J'ai déjà évoqué une solution:

Citation

Les Britanniques ne feront bientôt plus partie de l’Union européenne. Ceux qui ont des origines irlandaises ont encore une option pour y rester : obtenir un passeport.(...)
http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/06/25/apres-le-brexit-ruee-sur-les-passeports-irlandais_4957927_4832693.html 

A quand des reportages sur les drames de l'émigration de la jeunesse anglaise?? :biggrin:

Modifié par Desty-N
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il y a 16 minutes, Desty-N a dit :

 

Les australiens semblent observer la chose avec une certaine commisération :

Et comme ce matin les ministres des 6 pays fondateurs ont déclaré vouloir que le départ se fasse vite, cela ne va pas redorer le blason anglais...

EDIT:

J'ai déjà évoqué une solution:

A quand des reportages sur les drames de l'émigration de la jeunesse anglaise?? :biggrin:

Il faut savoir que le magnat de la presse en Grande-Bretagne est un australien ,et les pro Europe ont souvent dit que la presse anglaise avait mis le paquet pour le Brexit d'une manière disons bien dégueulasse .

 

De plus ne nous leurrons pas  dans le cas des australiens eux aussi ont opté pour une autre direction depuis longtemps et cela afin de s'assurer sa place dans zone géostratégique ,et ce n'est pas la GB qui pourrait aider ... 

Par contre les USA si ...

Les US ont installé une base militaire en Australie .

Face aux différents géant du coin , entre Chine ,l'Indonésie ( potentiel ennemi dans le futur ) ben la messe est dite ...

Obama avait bien dit que les USA orienterait sa stratégie dans la zone Asie/Pacifique ,et l'Australie a une place de choix dans la région .

Dès fois j'ai l'impression que la GB croit encore avoir une forte influence mais plus le temps passe ,plus les anciennes colonies ont une vision différente ...

Alors bien évidemment ce n'est pas un divorce net et clair , il y a toujours du lien mais plus le temps passe ,plus ceux-ci disons s'estompe .

 

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Il y a 2 heures, Dino a dit :

Nickel Farage assez embarrassé qui revient le lendemain du vote sur le fait que la somme reversé à l'UE sera destiné à l'école et qui se fait violemment bousculé par la journaliste qui lui rappel que c'était son argument de campagne principale, forçant se dernier à reconnaître que c'était une erreur...

Par contre il croit vraiment à cette histoire de relancer le commonwealth???

Je ne trouve pas qu'il a l'ai très embarassé dans la vidéo, et il a en partie raison, ce n'est pas lui qui a promis de mettre 350M£ par semaine dans le système de santé, ce n'était pas un des ses arguments de campagne, et ce n'est pas lui qui décidera de l'affectation de ce qui sera peut-être économisé (certainement pas 350m£ par semaine) donc il ne peut rien promettre.

C'est Boris qui pourrait devenir premier ministre et qui se baladait dans le bus rouge où il était écrit : "on paye 350M£ par semaine à l'Europe, finançons plutôt notre système de santé, reprenons le contrôle" ce qui est une merveille de truandise parce que c'est VRAI, c'est ce qu'ils payent. Ca omet juste de préciser que 250M£ reviennent plus tard avec les subventions et l'indécente ristourne. Et puis "hey, c'était juste un slogan sur un bus ! Vous voulez dire que les gens ont été assez cons pour voter leave à cause d'un argument de 2 lignes lu sur un bus ?". Les anglais devaient pourtant le savoir : le camp du leave etait le plus nationaliste, et la com/marketing entubatoire est une authentique spécialité britannique :tongue:

Concernant le commonwealth par contre, ça c'est digne de Farage et de ses copains nostalgiques de l'empire :rolleyes:

Modifié par Carl
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Effets du Brexit 

Le commissaire aux finances, un Britannique (Commission Européenne)  a démissionné ou a été démissionné 

Un habitant de Gibraltar, revenant de faire des courses à la Linea,  "hier, cette bouteille valait 9 livres aujourd'hui 11 livres"    

Dans la tendance actuelle, les pensions diminuent d'environ 200 euros, après le change en euros  (retraités Brits en Espagne) 

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il y a 18 minutes, Ciders a dit :

Un tel déni de démocratie porterait un coup très dur à l'image de l'Europe. Je n'y crois pas.

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il y a 16 minutes, Ciders a dit :

Aux abois, comme à l'époque de la Grèce, on allait voir ce que l'on allait voir et blabla...    

S'ils ne partent pas après avoir voté, ils vont avoir mal au chèque...   Il rêve le (grand) bourgeois londonien, deux jours de réunion avec Schäuble et il nous fait une dépression ; il peut téléphoner à l'autre grand bourgeois d’Athènes  :rolleyes:  

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il y a 12 minutes, Jojo67 a dit :

Un tel déni de démocratie porterait un coup très dur à l'image de l'Europe. Je n'y crois pas.

 

Bien au contraire ça s’accélère. Et on est extrêmement pressé. Au moins c’est très clair pour tous ceux de la classe qui n’auraient pas bien compris.

« Brexit » : les Etats fondateurs de l’UE souhaitent que le Royaume-Uni sorte « le plus vite possible »

 

 

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D'accord avec vous Jojo67, David Cameron a fait un pari et l'a perdu. Si vous voulez décrédibiliser encore plus l'Europe, aux yeux des peuples qui la constitue, c'est une solution idéale. Le Royaume-Uni ne fait pas parti des membres fondateur de l'Europe, ça marchait très bien sans eux et cela marchera mieux sans eux. Maintenant qu'ils assument. C'est certainement le moment de resserrer les boulons entre membres fondateurs.

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il y a 12 minutes, Jojo67 a dit :

Un tel déni de démocratie porterait un coup très dur à l'image de l'Europe. Je n'y crois pas.

Ce n'est pas tellement l'Europe qui est en cause.  Les Européens sont en train dire : barrez vous le plus vite possible...  

C'est surtout le ridicule de la classe politique anglaise. 

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Citation

Le président du Parlement européen, Martin Schulz, avait jugé « scandaleux » le choix de M. Cameron de ne quitter ses fonctions qu’en octobre. « Tout un continent est pris en otage » par cette décision, a-t-il déclaré vendredi à la chaîne allemande ARD. Jean-Claude Juncker a de son côté demandé que Londres dépose « immédiatement » sa demande de quitter l’UE. « Ce n’est pas un divorce à l’amiable, a-t-il prévenu. Mais après tout ce n’était pas non plus une grande relation amoureuse. »

Et Paf !!!  ^ ^

 

 

Modifié par Gravity
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De la gesticulation à la con part de gars qui demain se coucheront devant les lobbys (britanniques, mais aussi allemands, français, etc...) qui exigeront que la City garde se fameux "passeport financier européen"...

Et ils ont déjà dit que les fonctionnaires britanniques dans les instances de l'UE ne seront pas remplacés...

En gros on va se laisser faire... comme d'hab.

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