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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


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Ils sont sympa les Écossais, mais ils ont peut être oublié qu'il faut la permission de Londres pour qu'ils puissent se prononcer sur leur indépendance.
Ils ont perdu celui de 2014 et je pense pas qu'ils vont réussir à en obtenir un nouveau rapidement.

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il y a 5 minutes, Castor a dit :

Ils sont sympa les Écossais, mais ils ont peut être oublié qu'il faut la permission de Londres pour qu'ils puissent se prononcer sur leur indépendance.
Ils ont perdu celui de 2014 et je pense pas qu'ils vont réussir à en obtenir un nouveau rapidement.

Avec une Ecosse largement acquise à l'Europe et un gouvernement/parlement UK totalement dans les choux, je pense pas qu'ils vont attendre longtemps avant de décider de se casser.

Idem en Irlande du Nord occupé ou la question de se libérer du joug Britannique va vite revenir.

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Voici le texte intégral de l'adresse du premier ministre au parlement après le troisième rejet de l'accord de retrait

Citation

Je pense qu'il devrait être profondément regrettable pour tous les députés de cette Assemblée qu'une fois de plus, nous n'ayons pas été en mesure de soutenir le fait de quitter l'Union européenne de manière ordonnée.

Les conséquences de la décision de la Chambre sont graves.

Par défaut, le Royaume-Uni doit quitter l'Union européenne le 12 avril.

Dans seulement 14 jours.

Ce n'est pas assez de temps pour s'entendre, légiférer et ratifier un accord, et pourtant, la Chambre a clairement indiqué qu'elle ne permettrait pas de partir sans accord.

Nous devrons donc nous mettre d'accord sur une autre voie à suivre.

L'Union européenne a clairement indiqué que toute nouvelle prorogation devra avoir un objectif clair et être approuvée à l'unanimité par les chefs des 27 autres États membres avant le 12 avril.

Il est également presque certain qu'elle impliquera l'obligation pour le Royaume-Uni d'organiser des élections au Parlement européen.

Lundi, cette Assemblée poursuivra le processus pour voir s'il existe une majorité stable pour une version alternative particulière de notre future relation avec l'UE.

Monsieur le Président, je crains que nous n'atteignions les limites de ce processus en cette Chambre.

Cette Assemblée a rejeté l'absence d'accord. Elle a rejeté l'absence de Brexit. Mercredi, elle a rejeté toutes les variantes de l'accord sur la table.

Et aujourd'hui, elle a rejeté l'approbation du seul accord de retrait et la poursuite d'un processus sur l'avenir.

Ce gouvernement continuera de faire valoir les arguments en faveur du Brexit ordonné que réclame le résultat du référendum.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

 

Les médias britanniques ont commencé à essayer de "décrypter" et d' "interpréter" l'adresse de Theresa May pour essayer de deviner ce qu'elle entend faire maintenant. Par exemple, le Guardian veut croire qu'elle "semble déterminée à éviter un Brexit sans accord".

Double illusion, d'abord parce que si Theresa May a dit qu'elle continuerait de travailler "en faveur du Brexit ordonné", cela n'implique en aucune façon qu'elle y parvienne. L'affaire est dans les mains du parlement, pour définir cette fameuse "voie alternative" suffisamment convaincante. Si ça ne dépendait que de May, ce serait décidé depuis longtemps !

Ensuite parce que la seule instance qui puisse éviter la sortie du RU sans accord est le Conseil européen, statuant à l'unanimité de ses 27 membres. Dont certains voulaient déjà  la dernière fois ne pas bouger la date du 29 mars d'une journée, et n'ont accepté d'accorder deux semaines de grâce que du bout des lèvres.

Il est très difficile d'imaginer ces membres faire deux fois ce genre de cadeau, alors que l'expérience aura montré le 10 avril - lors du prochain conseil européen - qu'il est inutile. Westminster n'aura, sauf miracle, pas défini d'accord "franc et massif" sur une voie alternative sérieuse.

Il est assez facile en revanche d'imaginer qu'une partie de l'animosité post-Brexit se dirige contre un certain type qui travaille dans un bureau du 8ème arrondissement de Paris :mellow:

 

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il y a 22 minutes, Fusilier a dit :

Oui, il parle d'indépendance et tout :biggrin:

Il y a un type il y a 10 minutes qui m'a fait trop rire : on se barre parce qu'on veut pas payer des trucs et regagner notre capacité à décider... mais avant ça il faudrait régler l'ardoise de ce qu'on a promis de payer... mais sans en profiter ?? Hell NO !!

Il ne doit pas souvent appeler le plombier (surement polonais) : toute heure commencé est dû... :bloblaugh:

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il y a 2 minutes, Fenrir a dit :

Avec une Ecosse largement acquise à l'Europe et un gouvernement/parlement UK totalement dans les choux, je pense pas qu'ils vont attendre longtemps avant de décider de se casser.

Idem en Irlande du Nord occupé ou la question de se libérer du joug Britannique va vite revenir.

Mais il y a un problème légal de pouvoir donné au parlement Écossais. Je ne doute pas qu'ils vont essayer de nouveau, mais c'est peu évident qu'un gouvernement UK, dans ces conditions et après le Scotland act de 2016, soit dans l'optique de refaire une version des accords d'Édimbourg qui permettrait de tenir un tel scrutin.

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il y a 9 minutes, Alexis a dit :

Ensuite parce que la seule instance qui puisse éviter la sortie du RU sans accord est le Conseil européen

May peut encore retirer l'article 50, même si c'est pour y revenir lus tard. Si le parlement ne veut pas du deal et ne veut pas plus non d'un no deal :rolleyes: que May ne veut pas une sortie non ordonnée et que l'UE ne veut pas accorder de délai...  Quelle autre solution?  

il y a 13 minutes, Alexis a dit :

Il est assez facile en revanche d'imaginer qu'une partie de l'animosité post-Brexit se dirige contre un certain type qui travaille dans un bureau du 8ème arrondissement de Paris 

En clair?  

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Je ne vois pas trop en quoi on accuser Macron sur ce coup. Il n'a rien fait pour embrouiller les choses. Ils ont très bien réussi tous seuls.

La seule chose désormais, c'est de cesser cette négociation stérile. Ils ne veulent pas d'accord ? Qu'ils partent. Et une fois qu'ils auront sécurisé la baraque pourrie qui rassemble la classe politique locale, on en reparle.

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à l’instant, Fusilier a dit :

May peut encore retirer l'article 50, même si c'est pour y revenir lus tard. Si le parlement ne veut pas du deal et ne veut pas plus non d'un no deal :rolleyes: que May ne veut pas une sortie non ordonnée et que l'UE ne veut pas accorder de délai...  Quelle autre solution?

Elle peut oui. Si par pouvoir on entend "avoir la capacité physique de".

S'il s'agit de pouvoir dans le sens "avoir une probabilité non négligeable de le faire", non elle ne le fera presque certainement pas.

(si le feuilleton du Brexit était moins en montagnes russes, j'aurais enlevé le "presque"... mais bon :happy:)

 

à l’instant, Fusilier a dit :

En clair?  

C'est l'Allemagne qui a insisté lourdement la dernière fois pour obtenir ces deux semaines de rab', Macron était à la tête du groupe de pays qui étaient prêts à tirer les conclusions immédiatement et laisser la date au 29 mars.

Il y a fort à parier que le 10 avril, il y aura encore quelques pays - la Pologne pour commencer, et peut-être l'Allemagne - qui diront "mais non mais non on ne peut pas ne pas accorder encore un délai, même si ça ne sert à rien, juste pour éloigner ce spectre dans l'avenir indéterminé". Et que c'est Emmanuel Macron qui sera le plus sous les caméras parmi ceux qui diront "Si, on peut".

Sinon, l'Elysée c'est dans le 8ème arrondissement. :happy:

 

il y a 5 minutes, Ciders a dit :

Je ne vois pas trop en quoi on accuser Macron sur ce coup. Il n'a rien fait pour embrouiller les choses. Ils ont très bien réussi tous seuls.

La seule chose désormais, c'est de cesser cette négociation stérile. Ils ne veulent pas d'accord ? Qu'ils partent. Et une fois qu'ils auront sécurisé la baraque pourrie qui rassemble la classe politique locale, on en reparle.

Je n'accuse absolument pas Macron.

Et ce que tu écris est assez proche - en moins diplomatique :happy: - de son discours, ou du moins de ce qu'il est permis d'imaginer qu'il pense par devers lui.

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En attendant, le problème à régler me paraît insoluble. Ils n'ont rien trouvé en deux ans et demi, ils ne trouveront pas davantage en dix jours.

Finissons-en. Cela entraînera un profond nettoyage de la classe politique britannique et de tout ce foutoir, peut-être qu'il en sortira quelque chose de bien. Mais j'en doute vraiment.

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il y a 11 minutes, Castor a dit :

Mais il y a un problème légal de pouvoir donné au parlement Écossais. Je ne doute pas qu'ils vont essayer de nouveau, mais c'est peu évident qu'un gouvernement UK, dans ces conditions et après le Scotland act de 2016, soit dans l'optique de refaire une version des accords d'Édimbourg qui permettrait de tenir un tel scrutin.

Il y a un autre problème. L'Ecosse devra suivre la voie normale pour rentrer dans l'UE si elle quitte le R-U. Cela avait déjà été dit lors du référendum précédant, ce qui avait convaincu des personnes de voter non, puisque ne voulant pas sortir de l'UE. Or, une Ecosse seule, même si c'est pour quelques années seulement, sera très fragile économiquement malgré le pétrole (qui n'existe pas dans des quantités illimitées et les cours ne sont pas au plus haut non plus, même si plus élevés qu'il y a quelques années).

En résumé, c'est une idée à double tranchant, l'indépendance de l'Ecosse, dans la situation actuelle. En revanche, selon la situation économique dans les prochains temps (mois, années), ça peut devenir beaucoup plus réalisable. 

Néanmoins, ma première crainte est plus une reprise larvée des hostilités en Irlande du nord où il y a (à quelques exceptions près) une grosse limite entre ceux qui veulent se réunifier avec l'Irlande et ceux voulant rester dans le R-U.

il y a 4 minutes, Alexis a dit :

C'est l'Allemagne qui a insisté lourdement la dernière fois pour obtenir ces deux semaines de rab', Macron était à la tête du groupe de pays qui étaient prêts à tirer les conclusions immédiatement et laisser la date au 29 mars.

Il y a fort à parier que le 10 avril, il y aura encore quelques pays - la Pologne pour commencer, et peut-être l'Allemagne - qui diront "mais non mais non on ne peut pas ne pas accorder encore un délai, même si ça ne sert à rien, juste pour éloigner ce spectre dans l'avenir indéterminé". Et que c'est Emmanuel Macron qui sera le plus sous les caméras parmi ceux qui diront "Si, on peut".

Sinon, l'Elysée c'est dans le 8ème arrondissement. :happy:

Suffit de demander à un pays de le faire à notre place en échange d'un truc :P  Plus sérieusement, je pense que plusieurs reports vont finir par entamer la crédibilité des européens au bout d'un moment. Les britanniques auront l'impression de leur faire faire ce qu'ils veulent. 

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Communiqué de la Commission européenne suite au troisième refus de l'accord de retrait par le parlement britannique

Citation

La Commission regrette le vote négatif qui a eu lieu aujourd'hui à la Chambre des communes. Conformément à la décision du Conseil européen (article 50) du 22 mars, la période prévue à l'article 50, paragraphe 3, est prolongée jusqu'au 12 avril. Il appartiendra au Royaume-Uni d'indiquer la voie à suivre avant cette date, pour examen par le Conseil européen.

Un scénario "no-deal" le 12 avril est maintenant un scénario probable. L'UE s'y prépare depuis décembre 2017 et est désormais pleinement préparée pour un scénario "no-deal" à minuit le 12 avril. L'UE restera unie. Les avantages de l'accord de retrait, y compris une période de transition, ne seront en aucun cas répliqués dans un scénario "no-deal". Des mini-accords sectoriels ne sont pas une option.

 

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il y a 6 minutes, Fusilier a dit :

Elle a pourtant dit plusieurs fois, si pas d'accord le brexit était en danger... 

Oui, mais c'est parce qu'elle avait choisi de tenter d'obtenir une majorité à partir essentiellement des députés conservateurs et du DUP, avec l'appui des seuls députés travaillistes suffisamment raisonnables et indépendants de leur Grand Dirigeant pour approuver l'accord (soit 5 sur 239 :mellow: ...) Elle devait donc faire peur, très très peur aux durs du Brexit, ceux qui signeraient des deux mains et avec leur sang si on leur proposait un Brexit sans accord là tout de suite ce soir même.

Ça a marché... partiellement. C'est-à-dire que ça n'a pas marché.

A titre d'exemple, cette tribune d'un député conservateur qui expliquait pourquoi il aller voter contre l'accord

Le Gouvernement est en train de bluffer. Pourquoi moi et beaucoup d'autres allons voter contre l'accord de retrait aujourd'hui

L'a pas eu assez peur, le gars. Et il était pas seul.

Modifié par Alexis
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il y a 44 minutes, Alexis a dit :

[Theresa May] Monsieur le Président, je crains que nous n'atteignions les limites de ce processus en cette Chambre.

Donc il faut changer la chambre. Dissolution.

Quid du scénario suivant :

- le "no deal" est lancé le 12 avril.

- Encombrements à Calais, pénuries, hausses des prix, chômage technique dans les usines qui attendent des pièces détachées bloquées à Calais.

- émergence quelques semaines plus tard d'une majorité pro-deal (soit avec les mêmes députés qui changent d'avis au vu de la réalité, soit avec d'autres députés après une élection générale)

- Deal

Modifié par Wallaby
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il y a 14 minutes, Alexis a dit :

Elle devait donc faire peur, très très peur aux durs du Brexit, 

C'est une lecture possible.  Mais, on peut aussi penser qu'il y a une certaine cohérence dans sa position, qu'elle croit réellement qu'il faut un brexit ordonné ou rien.  Et comme le parlement a aussi voté contre le no deal....  

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il y a 6 minutes, Wallaby a dit :

Donc il faut changer la chambre. Dissolution.

Quid du scénario suivant :

- le "no deal" est lancé le 12 avril.

- Encombrements à Calais, pénuries, hausses des prix, chômage technique dans les usines qui attendent des pièces détachées bloquées à Calais.

- émergence quelques semaines plus tard d'une majorité pro-deal (soit avec les mêmes députés qui changent d'avis au vu de la réalité, soit avec d'autres députés après une élection générale)

- Deal

Qui sait...

Ce qui est remarquable, c'est que les gazettes rapportaient hier que les ambassadeurs à l'UE avaient ouvert la discussion sur les suites de la sortie sans accord, en termes de discussions avec le Royaume-Uni.

Et le résultat n'est pas triste. Les différents pays se seraient mis d'accord pour poser trois conditions à Londres avant de même commencer à discuter après une sortie brutale... conditions qui répliquent peu ou prou l'essentiel du contenu de l'accord de retrait :blink::biggrin: !

Citation

Il a été convenu entre les Etats membres que pour qu'il y ait des pourparlers après la sortie brutale du Royaume-Uni, les 27 capitales du bloc s'attendront à ce que Downing Street accepte de signaler d'ici le 18 avril qu'elle paiera la facture Brexit de 39 milliards de livres malgré l'échec de la ratification par les communes de l'accord de retrait.

Les termes du filet de sécurité irlandais, qui maintient l'Irlande du Nord dans une grande partie de la législation du marché unique et du territoire douanier de l'UE afin de protéger l'accord du Vendredi Saint, resteraient la solution de l'Union pour éviter une frontière dure sur l'île d'Irlande.

Les droits de séjour des citoyens et la coordination en matière de sécurité sociale prévus dans l'accord de retrait devraient également être respectés.

"Ce sont les conditions préalables - l'argent, l'Irlande et les citoyens - et ce sont les trois principaux points de l'accord de retrait", a déclaré un diplomate.

Enfin, le papier précise que l'UE a mis en place une série de mesures unilatérales provisoires sur des périodes de six à douze mois afin "que les avions puissent continuer à voler, les transports de circuler (...) la City de Londres de fonctionner". Ils s'attendent à ce que Londres soit très demandeur de négociations permettant de prolonger ces mesures.

Citation

Les ambassadeurs ont convenu qu'ils s'attendaient à ce que le Royaume-Uni revienne à la table des négociations "très bientôt en demandant de garantir les itinéraires et procédures vitales nécessaires à la survie de son économie".

"L'UE est déjà en train de discuter du prix à payer pour participer à ces discussions ", a déclaré un diplomate.

 

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