Benoitleg Posté(e) le 12 mars Share Posté(e) le 12 mars il y a 54 minutes, Ciders a dit : Bizarrement, il n'y a pas de kangourous en Antarctique. Comme par hasard... Pas de hasard. Les kangourous n'ont pas appris à se tricoter des moufles, mais les grand-mères, oui. Grâce à ca, les hommes, les vrais*, peuvent conquérir l'Antarctique, contrairement à nos caramades sauteurs . A quand l'Antarctique 53e état des USA, après que les américains se soient faits la moufle, euh.., la main sur le Groenland ? *Car derrière chaque vrai homme à moufles, il y a une grand mère. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 12 mars Share Posté(e) le 12 mars il y a 31 minutes, Benoitleg a dit : A quand l'Antarctique 53e état des USA, après que les américains se soient faits la moufle, euh.., la main sur le Groenland ? Mmmmmmmm.........ils ont de l'apprentissage avec l'Alaska, ça peut aller trés vite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
castle68 Posté(e) le 12 mars Share Posté(e) le 12 mars Et du le 54 état : l'Australie ? Comme ça ils auront leurs sous marin à la bannière étoilée en plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 12 mars Share Posté(e) le 12 mars Oui mais si jamais ça devenait le cas, on perdrait @Wallaby, qui deviendrait inféodé et non fournisseurs de sources diverses et variées ( TRES ! ) qui chatouillent tous les bords. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 juillet Auteur Share Posté(e) le 6 juillet https://theconversation.com/antarctic-research-is-in-decline-and-the-timing-couldnt-be-worse-260197 (3 juillet 2025) Notre nouveau rapport examine le nombre d'articles publiés sur l'Antarctique et l'océan Austral entre 2016 et 2024, en utilisant la base de données Scopus. Nous avons également examiné d'autres facteurs, tels que les pays affiliés à chaque article. Les résultats indiquent cinq changements importants qui sont en train de se produire dans le monde de la recherche antarctique. Le nombre de publications sur l'Antarctique et l'océan Austral a atteint un pic en 2021, puis a légèrement diminué chaque année jusqu'en 2024. Alors que les États-Unis ont été pendant des décennies le leader de la recherche antarctique, la Chine les a dépassés en 2022. Si l'on ne considère que les publications de haute qualité (celles publiées dans les 25 % de revues les plus performantes), la Chine devance encore les États-Unis en 2024. Sur les six premiers pays en termes de publications globales (Chine, États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Allemagne et Russie), tous, à l'exception de la Chine, ont vu leur nombre de publications diminuer depuis 2016. Bien que la collaboration dans les publications soit plus élevée pour la recherche antarctique que dans les domaines non antarctiques, la Russie, l'Inde et la Chine ont des taux de coauteurs anormalement bas par rapport à de nombreux autres pays signataires. Les récentes coupes de l'administration Trump dans le financement de l'Antarctique ne feront probablement qu'exacerber la situation. Entre-temps, la Chine a construit une cinquième station en Antarctique et a annoncé son intention d'en construire une sixième. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures (modifié) Une photo minimaliste prise depuis l’espace révèle l’incroyable isolement des chercheurs antarctiques sur Terre https://qz.com/883077/a-european-space-agency-pleiades-satellite-photo-shows-the-isolation-of-scientific-research-in-antarcticas-concordia-station La station Concordia est un centre de recherche antarctique isolé, géré conjointement par la France et l’Italie. Elle est occupée par des dizaines de scientifiques et de techniciens qui travaillent pratiquement en isolement, la station la plus proche se trouvant à plusieurs centaines de kilomètres. Elle est tellement isolée que, pour réapprovisionner ses stocks, un convoi de conteneurs tirés par un tracteur doit entreprendre un voyage de plus de 10 jours et plus de 600 miles (près de 1 000 km) à travers un terrain hostile surnommé « White Mars ». Une image récente prise par le satellite spatial français Pléiades a capturé ce voyage, le convoi apparaissant comme une minuscule éraflure noire dans une immense étendue blanche. Pendant l’été antarctique, qui s’étend de novembre à février, environ 60 personnes vivent à la station Concordia. C’est durant cette période que de grandes quantités de fournitures doivent être livrées avant l’arrivée de l’hiver antarctique, qui apporte des températures pouvant descendre jusqu’à -100 °F (-73 °C). Le personnel se réduit à seulement une douzaine de « hivernants » pendant les mois les plus froids. Bien que les près de quatre mois sans soleil soient utiles pour l’observation spatiale et la conduite de recherches scientifiques, ils rendent impossibles les livraisons de fournitures essentielles — sans parler des opérations de secours d’urgence. Les missions de ravitaillement, surnommées « raids » par les équipages et les scientifiques basés en Antarctique, partent de Dumont d’Urville, une station de recherche française. Les convois sont composés de dameuses, de tracteurs et de conteneurs de fret équipés de skis spécialement adaptés. Modifié il y a 7 heures par Titus K 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Il y a des endroits sur Terre où nous ne sommes pas les bienvenus 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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