prof.566 Posté(e) le 28 septembre Share Posté(e) le 28 septembre On 9/26/2024 at 8:58 PM, clem200 said: Relis l'annonce, c'est très ouvert Je suis dans l'automobile et je pourrai postuler Tu fais des automobiles furtives? YES! plus de prunes radar! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 29 septembre Share Posté(e) le 29 septembre Il y a 21 heures, prof.566 a dit : Tu fais des automobiles furtives? YES! plus de prunes radar! Malheureusement pas encore de furtivité dans le visible pour les photos du radar ... Blague à part lisez l'annonce et l'expérience demandée. Pas que le titre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 2 octobre Share Posté(e) le 2 octobre La DGA estime le vieillissement des avions militaires avec l'IA 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre France is confident the Super Rafale can rival the F-35 globally Traduit avec DeepL.com (version gratuite) La France est convaincue que le Super Rafale peut rivaliser avec le F-35 à l'échelle mondiale La France se positionne comme un concurrent redoutable des États-Unis sur le marché mondial des avions de combat avec l'introduction du Super Rafale. Nouvelle variante très avancée du Rafale de Dassault, cet avion est conçu pour concurrencer directement le F-35 de Lockheed Martin, qui domine les ventes internationales dans le domaine de la défense. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la stratégie de défense à long terme de la France, qui vise à garantir l'avance technologique et stratégique du pays d'ici à 2030. Le développement du Rafale F5, ou Super Rafale, représente une amélioration significative par rapport aux modèles précédents. Dassault Aviation, le fabricant de l'avion, a été poussé à agir après avoir perdu plusieurs contrats d'avions de combat très médiatisés au profit du F-35, en particulier en Europe. Malgré ces revers, le Rafale s'est bien comporté sur des marchés tels que le Moyen-Orient et l'Asie, avec un succès notable en Indonésie. Toutefois, la perte des contrats européens a entraîné une révision complète des capacités de l'avion, soulignant la détermination de la France à reconquérir sa position sur le marché. L'une des principales avancées du Super Rafale est sa capacité à fonctionner dans le cadre d'un système en réseau. La nouvelle variante fonctionnera en conjonction avec des drones loyaux, appelés nEUROn, qui assisteront de manière autonome les pilotes dans les opérations de combat. Ce système intégré constitue une avancée significative dans le domaine de la guerre autonome, permettant à la France de rivaliser avec les capacités avancées de fusion de capteurs et de partage de données du F-35. Outre ses fonctions autonomes, le Super Rafale sera équipé de systèmes de brouillage radar et d'une « bulle d'autodéfense » conçue pour offrir une protection robuste dans les environnements hostiles. Cela permettra de remédier aux limites du Rafale actuel dans les opérations de suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD), qui sont essentielles dans les guerres modernes. Ces améliorations comprennent également de nouveaux missiles, développés en collaboration avec la Grande-Bretagne, qui remplaceront les anciens systèmes tels que le SCALP/Storm Shadow et l'AM39 Exocet. Une autre amélioration importante du Super Rafale est l'intégration de missiles nucléaires hypersoniques. Ces missiles, baptisés ASN4G, remplaceront les missiles ASMPA actuels, ce qui permettra à la France de conserver ses capacités de dissuasion nucléaire. Cela reflète un objectif stratégique plus large pour la France de moderniser sa technologie de défense, en accord avec ses objectifs de souveraineté renforcée et d'influence mondiale. Dassault se concentre également sur l'amélioration des systèmes de ciblage de l'avion. En combinant les capacités des pods de ciblage Talios et Reco NG, le Super Rafale offrira une précision accrue pour les missions air-sol et air-air. Cela est essentiel pour suivre le rythme du système de ciblage électro-optique avancé et des capacités de furtivité du F-35. Ce qui distingue véritablement le Super Rafale, c'est son positionnement en tant qu'élément d'un système intégré de combat aérien, et non pas en tant qu'aéronef unique. Le Club Rafale, comme on l'appelle, verra l'avion de combat travailler avec d'autres plates-formes dans un cadre opérationnel cohérent. Cela reflète l'interopérabilité du F-35 avec les forces alliées, ce qui en fait un candidat de poids pour les pays à la recherche d'une solution de combat polyvalente et adaptable. Le développement du Super Rafale est une réponse à la domination du F-35 sur les principaux marchés de défense. Au cours de la dernière décennie, le F-35 a remporté de nombreux contrats en Europe, notamment dans des pays comme l'Allemagne, la Belgique et la Finlande, supplantant ainsi les marchés français traditionnels. La capacité de Lockheed Martin à proposer le F-35 dans le cadre de l'architecture de défense de l'OTAN a été un facteur clé de ces victoires. Toutefois, avec le Super Rafale, la France se positionne comme une alternative solide pour les nations qui cherchent à s'affranchir des systèmes de défense basés aux États-Unis ou qui privilégient la rentabilité à long terme plutôt que les gains à court terme. Le facteur économique est un autre élément clé de la stratégie française. Bien que le F-35 soit très avancé, ses coûts de développement ont été astronomiques et les dépenses opérationnelles restent élevées. Le Rafale, quant à lui, a acquis la réputation d'être rentable tout au long de son cycle de vie. En proposant le Super Rafale comme une alternative plus abordable, notamment en termes de coûts de maintenance et d'exploitation à long terme, la France espère convaincre les pays qui se sont jusqu'à présent enfermés dans le programme du F-35. À l'avenir, le Super Rafale devra faire face à une forte concurrence, non seulement de la part du F-35, mais aussi d'autres chasseurs de nouvelle génération, tels que le Tempest britannique et le FCAS [Future Combat Air System] allemand. Toutefois, la France est convaincue que l'autonomie, les capacités défensives et le coût abordable du Super Rafale lui permettront d'être compétitif sur la scène internationale. En fin de compte, le succès du Super Rafale dépendra de sa capacité à répondre aux attentes suscitées par son développement. L'ambition de la France de concurrencer le F-35 est audacieuse, mais les enjeux sont importants. Alors que la demande internationale d'avions de combat multirôles avancés augmente, le succès du Super Rafale pourrait redéfinir l'équilibre des forces sur le marché mondial de la défense. D'ici 2030, le Super Rafale pourrait marquer un tournant dans l'histoire de la défense française, en remettant en cause la domination américaine et en offrant une alternative viable aux pays qui cherchent à diversifier leurs capacités de défense. Il reste à voir s'il pourra rivaliser avec le F-35 sur tous les plans, mais l'engagement de la France en faveur du progrès technologique et de l'autonomie stratégique suggère qu'elle est prête à investir les ressources nécessaires pour faire du Super Rafale un succès. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre A tout prendre, je préfère la mrose de Meta Def 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre Il y a 9 heures, Picdelamirand-oil a dit : France is confident the Super Rafale can rival the F-35 globally Traduit avec DeepL.com (version gratuite) La France est convaincue que le Super Rafale peut rivaliser avec le F-35 à l'échelle mondiale La France se positionne comme un concurrent redoutable des États-Unis sur le marché mondial des avions de combat avec l'introduction du Super Rafale. Nouvelle variante très avancée du Rafale de Dassault, cet avion est conçu pour concurrencer directement le F-35 de Lockheed Martin, qui domine les ventes internationales dans le domaine de la défense. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la stratégie de défense à long terme de la France, qui vise à garantir l'avance technologique et stratégique du pays d'ici à 2030. Le développement du Rafale F5, ou Super Rafale, représente une amélioration significative par rapport aux modèles précédents. Dassault Aviation, le fabricant de l'avion, a été poussé à agir après avoir perdu plusieurs contrats d'avions de combat très médiatisés au profit du F-35, en particulier en Europe. Malgré ces revers, le Rafale s'est bien comporté sur des marchés tels que le Moyen-Orient et l'Asie, avec un succès notable en Indonésie. Toutefois, la perte des contrats européens a entraîné une révision complète des capacités de l'avion, soulignant la détermination de la France à reconquérir sa position sur le marché. L'une des principales avancées du Super Rafale est sa capacité à fonctionner dans le cadre d'un système en réseau. La nouvelle variante fonctionnera en conjonction avec des drones loyaux, appelés nEUROn, qui assisteront de manière autonome les pilotes dans les opérations de combat. Ce système intégré constitue une avancée significative dans le domaine de la guerre autonome, permettant à la France de rivaliser avec les capacités avancées de fusion de capteurs et de partage de données du F-35. Outre ses fonctions autonomes, le Super Rafale sera équipé de systèmes de brouillage radar et d'une « bulle d'autodéfense » conçue pour offrir une protection robuste dans les environnements hostiles. Cela permettra de remédier aux limites du Rafale actuel dans les opérations de suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD), qui sont essentielles dans les guerres modernes. Ces améliorations comprennent également de nouveaux missiles, développés en collaboration avec la Grande-Bretagne, qui remplaceront les anciens systèmes tels que le SCALP/Storm Shadow et l'AM39 Exocet. Une autre amélioration importante du Super Rafale est l'intégration de missiles nucléaires hypersoniques. Ces missiles, baptisés ASN4G, remplaceront les missiles ASMPA actuels, ce qui permettra à la France de conserver ses capacités de dissuasion nucléaire. Cela reflète un objectif stratégique plus large pour la France de moderniser sa technologie de défense, en accord avec ses objectifs de souveraineté renforcée et d'influence mondiale. Dassault se concentre également sur l'amélioration des systèmes de ciblage de l'avion. En combinant les capacités des pods de ciblage Talios et Reco NG, le Super Rafale offrira une précision accrue pour les missions air-sol et air-air. Cela est essentiel pour suivre le rythme du système de ciblage électro-optique avancé et des capacités de furtivité du F-35. Ce qui distingue véritablement le Super Rafale, c'est son positionnement en tant qu'élément d'un système intégré de combat aérien, et non pas en tant qu'aéronef unique. Le Club Rafale, comme on l'appelle, verra l'avion de combat travailler avec d'autres plates-formes dans un cadre opérationnel cohérent. Cela reflète l'interopérabilité du F-35 avec les forces alliées, ce qui en fait un candidat de poids pour les pays à la recherche d'une solution de combat polyvalente et adaptable. Le développement du Super Rafale est une réponse à la domination du F-35 sur les principaux marchés de défense. Au cours de la dernière décennie, le F-35 a remporté de nombreux contrats en Europe, notamment dans des pays comme l'Allemagne, la Belgique et la Finlande, supplantant ainsi les marchés français traditionnels. La capacité de Lockheed Martin à proposer le F-35 dans le cadre de l'architecture de défense de l'OTAN a été un facteur clé de ces victoires. Toutefois, avec le Super Rafale, la France se positionne comme une alternative solide pour les nations qui cherchent à s'affranchir des systèmes de défense basés aux États-Unis ou qui privilégient la rentabilité à long terme plutôt que les gains à court terme. Le facteur économique est un autre élément clé de la stratégie française. Bien que le F-35 soit très avancé, ses coûts de développement ont été astronomiques et les dépenses opérationnelles restent élevées. Le Rafale, quant à lui, a acquis la réputation d'être rentable tout au long de son cycle de vie. En proposant le Super Rafale comme une alternative plus abordable, notamment en termes de coûts de maintenance et d'exploitation à long terme, la France espère convaincre les pays qui se sont jusqu'à présent enfermés dans le programme du F-35. À l'avenir, le Super Rafale devra faire face à une forte concurrence, non seulement de la part du F-35, mais aussi d'autres chasseurs de nouvelle génération, tels que le Tempest britannique et le FCAS [Future Combat Air System] allemand. Toutefois, la France est convaincue que l'autonomie, les capacités défensives et le coût abordable du Super Rafale lui permettront d'être compétitif sur la scène internationale. En fin de compte, le succès du Super Rafale dépendra de sa capacité à répondre aux attentes suscitées par son développement. L'ambition de la France de concurrencer le F-35 est audacieuse, mais les enjeux sont importants. Alors que la demande internationale d'avions de combat multirôles avancés augmente, le succès du Super Rafale pourrait redéfinir l'équilibre des forces sur le marché mondial de la défense. D'ici 2030, le Super Rafale pourrait marquer un tournant dans l'histoire de la défense française, en remettant en cause la domination américaine et en offrant une alternative viable aux pays qui cherchent à diversifier leurs capacités de défense. Il reste à voir s'il pourra rivaliser avec le F-35 sur tous les plans, mais l'engagement de la France en faveur du progrès technologique et de l'autonomie stratégique suggère qu'elle est prête à investir les ressources nécessaires pour faire du Super Rafale un succès. Le plan B ? 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Patrick Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre Il y a 10 heures, Picdelamirand-oil a dit : France is confident the Super Rafale can rival the F-35 globally Traduit avec DeepL.com (version gratuite) La France est convaincue que le Super Rafale peut rivaliser avec le F-35 à l'échelle mondiale La France se positionne comme un concurrent redoutable des États-Unis sur le marché mondial des avions de combat avec l'introduction du Super Rafale. Nouvelle variante très avancée du Rafale de Dassault, cet avion est conçu pour concurrencer directement le F-35 de Lockheed Martin, qui domine les ventes internationales dans le domaine de la défense. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la stratégie de défense à long terme de la France, qui vise à garantir l'avance technologique et stratégique du pays d'ici à 2030. Le développement du Rafale F5, ou Super Rafale, représente une amélioration significative par rapport aux modèles précédents. Dassault Aviation, le fabricant de l'avion, a été poussé à agir après avoir perdu plusieurs contrats d'avions de combat très médiatisés au profit du F-35, en particulier en Europe. Malgré ces revers, le Rafale s'est bien comporté sur des marchés tels que le Moyen-Orient et l'Asie, avec un succès notable en Indonésie. Toutefois, la perte des contrats européens a entraîné une révision complète des capacités de l'avion, soulignant la détermination de la France à reconquérir sa position sur le marché. L'une des principales avancées du Super Rafale est sa capacité à fonctionner dans le cadre d'un système en réseau. La nouvelle variante fonctionnera en conjonction avec des drones loyaux, appelés nEUROn, qui assisteront de manière autonome les pilotes dans les opérations de combat. Ce système intégré constitue une avancée significative dans le domaine de la guerre autonome, permettant à la France de rivaliser avec les capacités avancées de fusion de capteurs et de partage de données du F-35. Outre ses fonctions autonomes, le Super Rafale sera équipé de systèmes de brouillage radar et d'une « bulle d'autodéfense » conçue pour offrir une protection robuste dans les environnements hostiles. Cela permettra de remédier aux limites du Rafale actuel dans les opérations de suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD), qui sont essentielles dans les guerres modernes. Ces améliorations comprennent également de nouveaux missiles, développés en collaboration avec la Grande-Bretagne, qui remplaceront les anciens systèmes tels que le SCALP/Storm Shadow et l'AM39 Exocet. Une autre amélioration importante du Super Rafale est l'intégration de missiles nucléaires hypersoniques. Ces missiles, baptisés ASN4G, remplaceront les missiles ASMPA actuels, ce qui permettra à la France de conserver ses capacités de dissuasion nucléaire. Cela reflète un objectif stratégique plus large pour la France de moderniser sa technologie de défense, en accord avec ses objectifs de souveraineté renforcée et d'influence mondiale. Dassault se concentre également sur l'amélioration des systèmes de ciblage de l'avion. En combinant les capacités des pods de ciblage Talios et Reco NG, le Super Rafale offrira une précision accrue pour les missions air-sol et air-air. Cela est essentiel pour suivre le rythme du système de ciblage électro-optique avancé et des capacités de furtivité du F-35. Ce qui distingue véritablement le Super Rafale, c'est son positionnement en tant qu'élément d'un système intégré de combat aérien, et non pas en tant qu'aéronef unique. Le Club Rafale, comme on l'appelle, verra l'avion de combat travailler avec d'autres plates-formes dans un cadre opérationnel cohérent. Cela reflète l'interopérabilité du F-35 avec les forces alliées, ce qui en fait un candidat de poids pour les pays à la recherche d'une solution de combat polyvalente et adaptable. Le développement du Super Rafale est une réponse à la domination du F-35 sur les principaux marchés de défense. Au cours de la dernière décennie, le F-35 a remporté de nombreux contrats en Europe, notamment dans des pays comme l'Allemagne, la Belgique et la Finlande, supplantant ainsi les marchés français traditionnels. La capacité de Lockheed Martin à proposer le F-35 dans le cadre de l'architecture de défense de l'OTAN a été un facteur clé de ces victoires. Toutefois, avec le Super Rafale, la France se positionne comme une alternative solide pour les nations qui cherchent à s'affranchir des systèmes de défense basés aux États-Unis ou qui privilégient la rentabilité à long terme plutôt que les gains à court terme. Le facteur économique est un autre élément clé de la stratégie française. Bien que le F-35 soit très avancé, ses coûts de développement ont été astronomiques et les dépenses opérationnelles restent élevées. Le Rafale, quant à lui, a acquis la réputation d'être rentable tout au long de son cycle de vie. En proposant le Super Rafale comme une alternative plus abordable, notamment en termes de coûts de maintenance et d'exploitation à long terme, la France espère convaincre les pays qui se sont jusqu'à présent enfermés dans le programme du F-35. À l'avenir, le Super Rafale devra faire face à une forte concurrence, non seulement de la part du F-35, mais aussi d'autres chasseurs de nouvelle génération, tels que le Tempest britannique et le FCAS [Future Combat Air System] allemand. Toutefois, la France est convaincue que l'autonomie, les capacités défensives et le coût abordable du Super Rafale lui permettront d'être compétitif sur la scène internationale. En fin de compte, le succès du Super Rafale dépendra de sa capacité à répondre aux attentes suscitées par son développement. L'ambition de la France de concurrencer le F-35 est audacieuse, mais les enjeux sont importants. Alors que la demande internationale d'avions de combat multirôles avancés augmente, le succès du Super Rafale pourrait redéfinir l'équilibre des forces sur le marché mondial de la défense. D'ici 2030, le Super Rafale pourrait marquer un tournant dans l'histoire de la défense française, en remettant en cause la domination américaine et en offrant une alternative viable aux pays qui cherchent à diversifier leurs capacités de défense. Il reste à voir s'il pourra rivaliser avec le F-35 sur tous les plans, mais l'engagement de la France en faveur du progrès technologique et de l'autonomie stratégique suggère qu'elle est prête à investir les ressources nécessaires pour faire du Super Rafale un succès. Bulgarian Military ça ne volait déjà pas haut mais si en plus maintenant ils font écrire leurs articles par des IA... il y a 34 minutes, capmat a dit : Le plan B ? B comme Bulgarian? Mmmmh... Non. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mobius1 Posté(e) le 7 octobre Share Posté(e) le 7 octobre Le 05/10/2024 à 09:01, Picdelamirand-oil a dit : le FCAS [Future Combat Air System] allemand. Peut-être pas si lunaire l'IA rédactionnelle Elle a bien anticipée que les allemands veulent se planter en solo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 7 octobre Share Posté(e) le 7 octobre (modifié) Le 05/10/2024 à 09:01, Picdelamirand-oil a dit : France is confident the Super Rafale can rival the F-35 globally Traduit avec DeepL.com (version gratuite) La France est convaincue que le Super Rafale peut rivaliser avec le F-35 à l'échelle mondiale Il y en a qui sont confus devant cet article, mais c'est rigolo, chez les Indiens par exemple ils considèrent que bulgarianmilitary.com est un site pro Russe sans doute parce qu'ils ont remarqué des articles du même genre mais en faveur des avions Russes et donc ils ont posté l'article et cela les impressionne! On fait avec ce qu'on peut Modifié le 7 octobre par Picdelamirand-oil 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ziggy Stardust Posté(e) le 8 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 8 octobre Sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier pour les 60 ans des Forces aériennes stratégiques, Sébastien Lecornu annonce une évolution majeure pour la dissuasion nucléaire aéroportée française : le nouveau standard du Rafale, le F5, qui emportera le futur missile nucléaire ASN4G. Le ministre a également annoncé le lancement du programme de drone de combat furtif, qui sera opéré directement depuis le cockpit du Rafale. https://x.com/Armees_Gouv/status/1843646555657478369?s=19 1 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 2 minutes, Ziggy Stardust a dit : Sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier pour les 60 ans des Forces aériennes stratégiques, Sébastien Lecornu annonce une évolution majeure pour la dissuasion nucléaire aéroportée française : le nouveau standard du Rafale, le F5, qui emportera le futur missile nucléaire ASN4G. Le ministre a également annoncé le lancement du programme de drone de combat furtif, qui sera opéré directement depuis le cockpit du Rafale. https://x.com/Armees_Gouv/status/1843646555657478369?s=19 Cool, on va bientôt savoir ce que sera le F5§ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/presse/press-kits/lancement-dun-programme-de-drone-de-combat-dans-le-cadre-du-standard-f5-du-rafale/ « Ce drone de combat furtif, concomitamment au Rafale F5, contribuera à la supériorité technologique et opérationnelle des ailes françaises à partir de 2033. Il n’est pas anodin qu’il soit lancé aujourd’hui, alors que sont célébrés les 60 ans de la première alerte opérationnelle des FAS et alors qu’ont été célébrés en juin dernier les 90 ans de l’AAE : en aéronautique, domaine complexe par excellence, l’avenir a des racines profondes et l’innovation s’appuie sur l’expérience. Dassault Aviation et ses partenaires sont fiers de servir les Armées et la DGA ; leur confiance renouvelée nous honore et nous oblige », déclare Éric Trappier. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 8 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 8 octobre (modifié) Lancement d’un programme de drone de combat dans le cadre du standard F5 du Rafale https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/presse/press-kits/lancement-dun-programme-de-drone-de-combat-dans-le-cadre-du-standard-f5-du-rafale/ Ce jour, Sébastien Lecornu, ministre des Armées et des Anciens Combattants, a annoncé le lancement du développement du drone de combat qui viendra compléter le futur standard F5 du Rafale (post-2030). Saint-Cloud, le 8 octobre 2024 – Ce jour, Sébastien Lecornu, ministre des Armées et des Anciens Combattants, a annoncé le lancement du développement du drone de combat qui viendra compléter le futur standard F5 du Rafale (post-2030). Cette annonce a eu lieu à l’occasion d’une cérémonie célébrant les 60 ans des Forces aériennes stratégiques (FAS), sur la base de Saint-Dizier, en présence du général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE), et d’Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation. « Ce drone de combat furtif, concomitamment au Rafale F5, contribuera à la supériorité technologique et opérationnelle des ailes françaises à partir de 2033. Il n’est pas anodin qu’il soit lancé aujourd’hui, alors que sont célébrés les 60 ans de la première alerte opérationnelle des FAS et alors qu’ont été célébrés en juin dernier les 90 ans de l’AAE : en aéronautique, domaine complexe par excellence, l’avenir a des racines profondes et l’innovation s’appuie sur l’expérience. Dassault Aviation et ses partenaires sont fiers de servir les Armées et la DGA ; leur confiance renouvelée nous honore et nous oblige », déclare Éric Trappier. Ce drone sera complémentaire du Rafale et adapté au combat collaboratif. Il incorporera des technologies de furtivité, de contrôle autonome (avec l’humain dans la boucle), d’emport en soute, etc. Il sera doté d’une grande polyvalence et conçu pour pouvoir évoluer en fonction des menaces futures. Il bénéficiera des acquis du programme nEUROn*, premier démonstrateur technologique européen de drone de combat furtif. Le couple Rafale F5 et drone de combat, avec leurs évolutions futures, doit assurer à la France, comme le Mirage IV en son temps, son indépendance et sa supériorité capacitaire pour les prochaines décennies. * Initié en 2003, le programme nEUROn a réuni les ressources aéronautiques de six pays européens, sous la maîtrise d’œuvre de Dassault Aviation. Le premier vol a eu lieu en décembre 2012. Plus de 170 vols d’essais ont été effectués à ce jour. Le programme nEUROn a tenu toutes ses promesses en termes de performances, de délai et de budget. Modifié le 8 octobre par Titus K Grillé sur la ligne par ronfly ... le coup est dur a encaisser 4 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 1 minute, Titus K a dit : Lancement d’un programme de drone de combat dans le cadre du standard F5 du Rafale https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/presse/press-kits/lancement-dun-programme-de-drone-de-combat-dans-le-cadre-du-standard-f5-du-rafale/ Ce jour, Sébastien Lecornu, ministre des Armées et des Anciens Combattants, a annoncé le lancement du développement du drone de combat qui viendra compléter le futur standard F5 du Rafale (post-2030). Saint-Cloud, le 8 octobre 2024 – Ce jour, Sébastien Lecornu, ministre des Armées et des Anciens Combattants, a annoncé le lancement du développement du drone de combat qui viendra compléter le futur standard F5 du Rafale (post-2030). Cette annonce a eu lieu à l’occasion d’une cérémonie célébrant les 60 ans des Forces aériennes stratégiques (FAS), sur la base de Saint-Dizier, en présence du général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE), et d’Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation. « Ce drone de combat furtif, concomitamment au Rafale F5, contribuera à la supériorité technologique et opérationnelle des ailes françaises à partir de 2033. Il n’est pas anodin qu’il soit lancé aujourd’hui, alors que sont célébrés les 60 ans de la première alerte opérationnelle des FAS et alors qu’ont été célébrés en juin dernier les 90 ans de l’AAE : en aéronautique, domaine complexe par excellence, l’avenir a des racines profondes et l’innovation s’appuie sur l’expérience. Dassault Aviation et ses partenaires sont fiers de servir les Armées et la DGA ; leur confiance renouvelée nous honore et nous oblige », déclare Éric Trappier. Ce drone sera complémentaire du Rafale et adapté au combat collaboratif. Il incorporera des technologies de furtivité, de contrôle autonome (avec l’humain dans la boucle), d’emport en soute, etc. Il sera doté d’une grande polyvalence et conçu pour pouvoir évoluer en fonction des menaces futures. Il bénéficiera des acquis du programme nEUROn*, premier démonstrateur technologique européen de drone de combat furtif. Le couple Rafale F5 et drone de combat, avec leurs évolutions futures, doit assurer à la France, comme le Mirage IV en son temps, son indépendance et sa supériorité capacitaire pour les prochaines décennies. * Initié en 2003, le programme nEUROn a réuni les ressources aéronautiques de six pays européens, sous la maîtrise d’œuvre de Dassault Aviation. Le premier vol a eu lieu en décembre 2012. Plus de 170 vols d’essais ont été effectués à ce jour. Le programme nEUROn a tenu toutes ses promesses en termes de performances, de délai et de budget. Synchro comme la futur liaison Rafale/UCAV.... ;) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a une heure, Alberas a dit : Cool, on va bientôt savoir ce que sera le F5§ Les indiens le savent eux Il n'y a que deux itérations majeures du Rafale, le F3/F3+ et le F5. La prochaine version majeure après le F5 est soit un Rafale Mk2, soit un tout nouveau jet, comme le FCAS. Le Rafale F1 était un modèle IOC, le F2 en 2004 était le modèle FOC avec quelques technologies, le F3 en 2006 était doté de la plupart des capacités nécessaires, les itérations suivantes ont apporté un radar AESA avec le F3+ en 2012, suivi du Meteor en 2018 avec le F3R. Le F3+ était la version la plus importante du Rafale en termes de capacité de combat, ce qui explique l'essor des exportations. La version F4, décevante, n'était qu'une amélioration mineure par rapport à la version F3+ et la version F5 représente un changement majeur dans l'avionique du Rafale. Il introduit une toute nouvelle architecture radar qui servira également de suite EW et de suite de communication, le tout avec une capacité de 360 degrés. La prochaine itération, le F6, s'appuiera simplement sur le F5. C'est la raison pour laquelle le F5 est essentiel pour l'IAF, ainsi que pour les Français. Nous avons donc la technologie de 5e génération des F3/F4, équivalente à celle du LCA Mk2, et la technologie de 6e génération du F5, équivalente à celle de l'AMCA, d'où le besoin critique du F5. Fondamentalement, F1/2, F3 et F4 constituent un seul arbre technologique, et F5, F6 et F7 sont très probablement l'arbre technologique suivant. Même cellule, deux générations. Les F6 et F7 sont encore inconnus, mais ils ne feront pas passer le Rafale au niveau supérieur, selon Dassault lui-même. Il s'agit au mieux de mises à niveau destinées à maintenir le Rafale dans une certaine pertinence par rapport aux menaces de l'époque. En d'autres termes, le F5 permettra au Rafale de tenir jusqu'en 2050, et au-delà, un nouveau jet sera nécessaire. Nous visons donc l'AMCA et les Français recevront soit un Rafale Mk2 modernisé, soit un FCAS, selon ce qui leur conviendra le mieux sur le plan politique. Les F3 et F4 deviendront insuffisants d'ici 2030 en raison des capacités relatives des nouvelles menaces. Les F3 et F4 sont quelque peu récupérables avec le GaN, mais pas assez pour un combat contre la Chine au milieu ou à la fin des années 2030. Il est facile d'établir une corrélation. Si le F3 de 2012 est bon pour 15-20 ans, il sera dépassé dans les années 2030. Et la F5 de 2035 sera dépassée dans les années 2050. De même, le F2 est dépassé depuis le début de cette décennie. C'est pourquoi l'IAF avait prévu le MKI dans les années 2000, le MMRCA dans les années 2010, le FGFA dans les années 2020 et l'AMCA dans les années 2030. Et pour compenser la réduction des effectifs, nous avons ramené ce cycle de 30 ans à 15 ans, c'est-à-dire 2030-45 pour le LCA Mk2/MKI MLU, le Rafale F5 et l'AMCA. Un AMCA Mk2 peut combler le fossé entre l'AMCA et le remplacement du MKI. En ce qui concerne le nombre de J-20, j'ai indiqué à un internaute nommé JHungary sur Pak Def en 2017/18 que la PLAAF en introduirait 100 par an et en exploiterait plus de 1000 bien avant 2030, dont au moins 500 d'ici 2025. Et il semble que ma prédiction de l'époque était exacte à 100%. Donc, si j'ai pu dire cela en 2017, je suis sûr que l'IAF savait clairement ce qui allait se passer à l'époque également. C'est parce que la PLAAF recevait environ 100-120 J-10 et J-16 chaque année à l'époque ; c'est-à-dire 1 MRFA chaque année. Il n'y a que les internautes qui pensent que l'IAF est un imbécile et un menteur. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre (modifié) il y a 24 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Il n'y a que deux itérations majeures du Rafale, le F3/F3+ et le F5. La prochaine version majeure après le F5 est soit un Rafale Mk2, soit un tout nouveau jet, comme le FCAS. [ F5 ] la technologie de 6e génération du F5 Super rappel historique Il me semble qu'il serait ni trop tard ni trop tôt pour créer un fil spécifique au F5, le Rafale anté ayant encore de beaux jours devant lui ... Cependant je me garde de le faire , n'étant pas le mieux placé, loin de là ... Modifié le 8 octobre par Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre (modifié) il y a 31 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Il n'y a que deux itérations majeures du Rafale, le F3/F3+ et le F5. La prochaine version majeure après le F5 est soit un Rafale Mk2, soit un tout nouveau jet, comme le FCAS. Le Rafale F1 était un modèle IOC, le F2 en 2004 était le modèle FOC avec quelques technologies, le F3 en 2006 était doté de la plupart des capacités nécessaires, les itérations suivantes ont apporté un radar AESA avec le F3+ en 2012, suivi du Meteor en 2018 avec le F3R. Le F3+ était la version la plus importante du Rafale en termes de capacité de combat, ce qui explique l'essor des exportations. La version F4, décevante, n'était qu'une amélioration mineure par rapport à la version F3+ et la version F5 représente un changement majeur dans l'avionique du Rafale. Il introduit une toute nouvelle architecture radar qui servira également de suite EW et de suite de communication, le tout avec une capacité de 360 degrés. La prochaine itération, le F6, s'appuiera simplement sur le F5. C'est la raison pour laquelle le F5 est essentiel pour l'IAF, ainsi que pour les Français. Nous avons donc la technologie de 5e génération des F3/F4, équivalente à celle du LCA Mk2, et la technologie de 6e génération du F5, équivalente à celle de l'AMCA, d'où le besoin critique du F5. Fondamentalement, F1/2, F3 et F4 constituent un seul arbre technologique, et F5, F6 et F7 sont très probablement l'arbre technologique suivant. Même cellule, deux générations. Les F6 et F7 sont encore inconnus, mais ils ne feront pas passer le Rafale au niveau supérieur, selon Dassault lui-même. Il s'agit au mieux de mises à niveau destinées à maintenir le Rafale dans une certaine pertinence par rapport aux menaces de l'époque. En d'autres termes, le F5 permettra au Rafale de tenir jusqu'en 2050, et au-delà, un nouveau jet sera nécessaire. Nous visons donc l'AMCA et les Français recevront soit un Rafale Mk2 modernisé, soit un FCAS, selon ce qui leur conviendra le mieux sur le plan politique. Les F3 et F4 deviendront insuffisants d'ici 2030 en raison des capacités relatives des nouvelles menaces. Les F3 et F4 sont quelque peu récupérables avec le GaN, mais pas assez pour un combat contre la Chine au milieu ou à la fin des années 2030. Il est facile d'établir une corrélation. Si le F3 de 2012 est bon pour 15-20 ans, il sera dépassé dans les années 2030. Et la F5 de 2035 sera dépassée dans les années 2050. De même, le F2 est dépassé depuis le début de cette décennie. C'est pourquoi l'IAF avait prévu le MKI dans les années 2000, le MMRCA dans les années 2010, le FGFA dans les années 2020 et l'AMCA dans les années 2030. Et pour compenser la réduction des effectifs, nous avons ramené ce cycle de 30 ans à 15 ans, c'est-à-dire 2030-45 pour le LCA Mk2/MKI MLU, le Rafale F5 et l'AMCA. Un AMCA Mk2 peut combler le fossé entre l'AMCA et le remplacement du MKI. En ce qui concerne le nombre de J-20, j'ai indiqué à un internaute nommé JHungary sur Pak Def en 2017/18 que la PLAAF en introduirait 100 par an et en exploiterait plus de 1000 bien avant 2030, dont au moins 500 d'ici 2025. Et il semble que ma prédiction de l'époque était exacte à 100%. Donc, si j'ai pu dire cela en 2017, je suis sûr que l'IAF savait clairement ce qui allait se passer à l'époque également. C'est parce que la PLAAF recevait environ 100-120 J-10 et J-16 chaque année à l'époque ; c'est-à-dire 1 MRFA chaque année. Il n'y a que les internautes qui pensent que l'IAF est un imbécile et un menteur. C'est un document de l'indian air force ou d'une commission ? Modifié le 8 octobre par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 1 minute, Titus K a dit : C'est un document de l'indian air force ? Non c'est un membre du Forum qui travaille à DRDO, c'est moins bien que Parikrama mais de temps en temps il lui échappe des trucs. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre Une fois encore, si le F5 n'est pas nativement rétrocompatible ou rendu rétrocompatible via une mise à niveau avec les Rafale "legacy", alors ça n'a aucun intérêt. Mon espoir est que l'avion soit simplement rallongé avec découpe et remplacement de la section entrées d'air/arrière du fuselage, et recâblé à partir de là (c'est là qu'on trouve les EMTI, les antennes Spectra avant, etc...) avec éventuellement de nouveaux revêtements un peu partout, de nouveaux canards puisque l'aéro va changer drastiquement, et un fuselage ayant pris un peu d'embonpoint au niveau du dos pour remplacer le volume pris par les CFT abandonnés mais surtout pour faire circuler de nouveaux chemins de câbles sans avoir besoin de réaléser les anciennes ouvertures dans les cadres de la cellule. Maintenant, ça ne supprime toujours pas le débat sur le NGF... Mais au moins ça clôt celle de l'ailier loyal. Toutefois j'attends impatiemment les réactions outrées des suspects habituels. Avec en guise de cerise sur le gâteau format pastèque de Kherson, un abandon du programme pour cause de "rigueur budgétaire", hâtivement remplacé par une initiative strictement nationale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/presse/press-kits/lancement-dun-programme-de-drone-de-combat-dans-le-cadre-du-standard-f5-du-rafale/ Dassault communique sur le drone du F5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ziggy Stardust Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 18 minutes, Patrick a dit : Mon espoir est que l'avion soit simplement rallongé avec découpe et remplacement de la section entrées d'air/arrière du fuselage, et recâblé à partir de là (c'est là qu'on trouve les EMTI, les antennes Spectra avant, etc...) avec éventuellement de nouveaux revêtements un peu partout, de nouveaux canards puisque l'aéro va changer drastiquement, et un fuselage ayant pris un peu d'embonpoint au niveau du dos pour remplacer le volume pris par les CFT abandonnés mais surtout pour faire circuler de nouveaux chemins de câbles sans avoir besoin de réaléser les anciennes ouvertures dans les cadres de la cellule. . Très honnêtement ça + toute la nouvelle électronique, ça ne doit pas revenir beaucoup moins cher que d'acheter un nouveau Rafale. Puis rallonger un avion, surtout par devant, ça induit des changements énorme dans le positionnement du centre de gravité et du foyer, ce qui se répercute fortement sur les performances de l'avion (en mal, puisque tu réutilises une voilure qui n'a pas été conçu pour) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 6 minutes, Ziggy Stardust a dit : Très honnêtement ça + toute la nouvelle électronique, ça ne doit pas revenir beaucoup moins cher que d'acheter un nouveau Rafale. Puis rallonger un avion, surtout par devant, ça induit des changements énorme dans le positionnement du centre de gravité et du foyer, ce qui se répercute fortement sur les performances de l'avion (en mal, puisque tu réutilises une voilure qui n'a pas été conçu pour) En effet, autant rallonger des bateaux ou des sous-marins ça se fait assez bien, des avions j'ai un doute. Le plus adéquat serait un avion reprenant les codes du Rafale, mais totalement différent dans le détail, comme le Super Horne et le Legacy. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 10 minutes, Brian a dit : En effet, autant rallonger des bateaux ou des sous-marins ça se fait assez bien, des avions j'ai un doute. Il y en a qui ont essayé ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre il y a 22 minutes, Ziggy Stardust a dit : Très honnêtement ça + toute la nouvelle électronique, ça ne doit pas revenir beaucoup moins cher que d'acheter un nouveau Rafale. Puis rallonger un avion, surtout par devant, ça induit des changements énorme dans le positionnement du centre de gravité et du foyer, ce qui se répercute fortement sur les performances de l'avion (en mal, puisque tu réutilises une voilure qui n'a pas été conçu pour) Trappier pense le contraire et a dit que rajouter une tranche ce n'était pas compliqué. Mais au-delà de cette question il y a la question du pourquoi, et c'est bien pour ça que je pense qu'un nouveau Rafale qui ne différerait pas assez de l'ancien n'aurait aucun intérêt. Je ne vais pas refaire le débat entier donc je vais être concis: Un Rafale de même taille mais furtif avec une petite soute? Aucun intérêt, pas assez différent pour justifier son existence surtout s'il y a un UCAV ailier loyal furtif à côté. La soute serait de plus riquiqui, on surferait sur la solution retenue pour le KF-21 qui lui justifie son existence parce qu'il est un compromis, dans une niche, et que c'est un produit de R&T. Un Rafale plus gros, mettons 30%, façon Super Hornet, et furtif? Il faudrait tout changer, ce ne serait plus un Rafale. Et pas assez gros pour être vraiment différent. La furtivité pèse lourd, il faudrait que l'avion soit au moins 50% plus lourd et plus gros pour avoir le même emport peu ou prou en interne rien qu'en configuration air-air. Si c'est pour trimballer les AASM en externe, ça n'aurait aucun intérêt. Idem si c'est pour les mettre sous cocon furtif externe: on pourrait très bien le faire aujourd'hui. Un Rafale identique mais recâblé, créant de facto 2 sous-variantes de l'appareil? Ce serait créer des micro-flottes ingérables aux capacités trop différenciées. À moins de revendre d'occasion tous les "vieux" Rafale figés en F4.??? pour faire de la place au nouveau venu. Reste que bien des clients export se sentiront forcément roulés dans la farine et que ça impactera très négativement les ventes. Bref. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 8 octobre Share Posté(e) le 8 octobre Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Il n'y a que deux itérations majeures du Rafale, le F3/F3+ et le F5. Le Rafale F1 était un modèle IOC, le F2 en 2004 était le modèle FOC avec quelques technologies, le F3 en 2006 était doté de la plupart des capacités nécessaires, les itérations suivantes ont apporté un radar AESA avec le F3+ en 2012, suivi du Meteor en 2018 avec le F3R. Le F3+ était la version la plus importante du Rafale en termes de capacité de combat, ce qui explique l'essor des exportations. La version F4, décevante, n'était qu'une amélioration mineure par rapport à la version F3+ et la version F5 représente un changement majeur dans l'avionique du Rafale. Il introduit une toute nouvelle architecture radar qui servira également de suite EW et de suite de communication, le tout avec une capacité de 360 degrés. La prochaine itération, le F6, s'appuiera simplement sur le F5. C'est la raison pour laquelle le F5 est essentiel pour l'IAF, ainsi que pour les Français. Nous avons donc la technologie de 5e génération des F3/F4, équivalente à celle du LCA Mk2, et la technologie de 6e génération du F5, équivalente à celle de l'AMCA, d'où le besoin critique du F5. Fondamentalement, F1/2, F3 et F4 constituent un seul arbre technologique, et F5, F6 et F7 sont très probablement l'arbre technologique suivant. Même cellule, deux générations. Il est facile d'établir une corrélation. Si le F3 de 2012 est bon pour 15-20 ans, il sera dépassé dans les années 2030. Et la F5 de 2035 sera dépassée dans les années 2050. De même, Merci. Cette mise en perspective est très intéressante. Et son impact sur l'IAF tout autant. Mais alors comment vois tu la suite en Inde? Le projet MRFA va t il se faire sur une base F4+ ou sur une base F5? Dans le 2ème cas, il n'y a plus de concurrence F21 et le F5 devient -il l'AMCA au risque de reprendre 10 ans de discussions? Même cellule, deux générations. Cela signifie donc que tout beaucoup sera changé à l'intérieur de la cellule... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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