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[Rafale]


g4lly

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De quoi tu parle ? Le graph ne donne un chiffre que de quelques dizaines, il est bien montrés que le chiffres de 260 ne dois pas être atteint avant des (dizaines ?) années.

@+, Arka

Bah au parlement ils ont juste confondu cadence de livraison et total des exemplaires livrés à ce jour.

Les courbes sont pas fausses, mais le titre est assez mal formulé. En 230, y aura pas 250 rafale de livrés dans l'année.

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Bah au parlement ils ont juste confondu cadence de livraison et total des exemplaires livrés à ce jour.

Les courbes sont pas fausses, mais le titre est assez mal formulé. En 230, y aura pas 250 rafale de livrés dans l'année.

Je trouve le titre très explicite : il montre le résultat des deux scénario des cadences de livraison sur le nombre total d'appareil livré. Franchement, vous chipotez là.

@+, Arka

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Brésil : le Rafale a le vent en poupe

Le ministre des Affaires stratégiques penche pour l’avion français. Décision au mois d'avril.

Les défenseurs du dossier Rafale au Brésil peuvent désormais compter sur un nouvel avocat. Dans une interview accordée à la revue Défense, qui sera publiée en début de semaine prochaine, le ministre brésilien des Affaires stratégique se prononce très clairement en faveur d’un achat de l’avion français. L’offre faite par le groupe Dassault "correspond tout à fait" aux besoins de l’armée de l’air brésilienne, estime Samuel Pinheiro Guimaraes Neto, qui fait valoir que "dans la mesure où certaines pièces seront produites au Brésil, le programme Rafale nous fera accomplir des progrès substantiels en matière scientifique, technologique et commerciale. Sans compter toutes les retombées en matière de sous-traitance".

Les rivaux Boeing et Saab

Un soutien de poids. Et qui tombe à point nommé, le président Luiz Inacio Lula da Silva devant annoncer la décision brésilienne au début du mois d'avril. La France doit faire face, depuis plusieurs mois, à deux offres concurrentes. L’américain Boeing soutient son appareil multi rôle F-18 Hornet. L’avionneur suédois Saab proposant, quant à lui, le chasseur Gripen. Une compétition âprement disputée. Le roi Carl XVI Gustaf et son épouse, la reine Silvia, sont arrivés hier au Brésil pour défendre l’offre suédoise. Le président Nicolas Sarkozy avait fait lui aussi le voyage, en novembre dernier, en faveur du Rafale.

Il faut dire que l’enjeu est d’importance. Ce contrat brésilien porte sur l’achat de 36 appareils et se monte à plusieurs milliards de dollars. Or le Brésil est devenu l’un des principaux clients des marchands d’armes français. La vente de quatre sous-marins de la classe Scorpène à la marine brésilienne a compté pour bonne part dans l’excellent résultat réalisé l’an passé à l’export par l’industrie tricolore. Le bilan de l’année 2009, révélé par le délégué général de l’armement Laurent Collet-Billon, chiffre à près de 8 milliards d’euros le total des exportations de matériel militaire, une augmentation de 21% par rapport à l’année précédente.

Les ventes d'armes, une priorité

La France renoue ainsi avec les résultats qu’elle obtenait au début des années 2000, avant de s’effondrer en 2005, passant du troisième au quatrième rang des exportateurs mondiaux avec moins de 4 millions d’euros de contrats réalisés. Le président Sarkozy a fait de la reprise des ventes d’armes une priorité industrielle, ce secteur comptant 650 000 emplois directs. Un dispositif particulier de soutien a été mis sur pied en octobre 2007, qui aide à l’exportation quelques 4.000 PME du secteur de la Défense. Car, en dépit de la crise économique, ce marché reste en constante expansion.

Un gâteau de 70 milliards d’euros, en 2008, dont les Etats-Unis se taillent la plus belle part avec 52% du marché mondial. La Grande Bretagne occupe la seconde place avec 14%, devant la Russie à 8,2%. La France progresse à 7,7%, talonnée par Israël. L’objectif de Paris est d’atteindre les 10 milliards d’euro en 2010. Et un succès dépendra, pour beaucoup, de l’achat du Rafale par le Brésil.

http://www.europe1.fr/International/Bresil-le-Rafale-a-le-vent-en-poupe-163841/

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une petite erreur de compréhension, à priori.

il n'est pas dit dans l'article que les USA vont boycotter le super Tucano, mais qu'ils ne fourniront plus certains composants du Super Tucano, ce qui de facto forcerait l'arrêt de sa fabrication jusqu'à ce qu'une solution de contournement soit mise en place.

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Jean-François, tu as raison. Cependant, si les US cessent de fournir des composants pour le montage du Super Tucano, on peut imaginer que l'avion sera éliminé de facto si les US choisissent de se doter d'un avion pour la contre-insurrection.

Pour ce qui ne comprenne par le protugais, ce blog précise que les US accepteraient le choix du Gripen, mais en revanche, s'opposerait farouchement à la sélection du Rafale dans le cadre du FX-2.

De toute manière, la valeur des C-390 que la France se propose d'acheter (en plus du développement auquel Dassault prendrait part) ne serait par forcément très différente de celle des Super Tucano (tout dépend combien les US sont prêts à en acheter. En plus, concernant l'acquisition de Super Tucanos par les USA, rien n'est sûr)

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il n'est pas dit dans l'article que les USA vont boycotter le super Tucano, mais qu'ils ne fourniront plus certains composants du Super Tucano, ce qui de facto forcerait l'arrêt de sa fabrication jusqu'à ce qu'une solution de contournement soit mise en place.

j'espère seulement que, si cela arrive, les PT6 restent utilisables (c'est P&W Canada qui les produit (au Canada), mais il doit sûrement y avoir des composants US dedans...).

Car il n'existe que très peu de substituts à ce composant essentiel, et pas mal sont d'origine américaine... (par exemple la Honeywell TPE331 utilisée notamment par le MQ-9 Reaper).

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Autant il me semble que refuser d'acheter bresilien si les bresiliens n'achetent pas le super hornet, c'est le jeu, et legitime comme moyen de pression, autant le blocage de composants americains du super tucano empechant carrement sa production et sa vente a qui que ce soit, ca me parait extremement exagéré comme reponse. C'est un embargo ni plus ni moins, non?

Ca devrai faire reflechir le royaume uni, cette attitude... ca montre bien que la laisse peu tres vite se racourcir, meme entre pays "alliés".

Si les usa reagissent effectivement de cette facon vis a vis des bresiliens, on imagine leur reactions si les britaniques decidaient de quitter le programme f 35 (exemple au hasard...ou pas)

D'un autre coté ils se tirent une balle dans le pied dans le cadre de ce contrat precis, quand on voit comment les usa utilisent ce genre de moyens de pression, ca donne pas envie de se mettre encore plus en dependance vis a vis d'eux.

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Autant il me semble que refuser d'acheter bresilien si les bresiliens n'achetent pas le super hornet, c'est le jeu, et legitime comme moyen de pression, autant le blocage de composants americains du super tucano empechant carrement sa production et sa vente a qui que ce soit, ca me parait extremement exagéré comme reponse. C'est un embargo ni plus ni moins, non?

Ca devrai faire reflechir le royaume uni, cette attitude... ca montre bien que la laisse peu tres vite se racourcir, meme entre pays "alliés".

Si les usa reagissent effectivement de cette facon vis a vis des bresiliens, on imagine leur reactions si les britaniques decidaient de quitter le programme f 35 (exemple au hasard...ou pas)

D'un autre coté ils se tirent une balle dans le pied dans le cadre de ce contrat precis, quand on voit comment les usa utilisent ce genre de moyens de pression, ca donne pas envie de se mettre encore plus en dependance vis a vis d'eux.

En affaires, tout les moyens sont bons, y compris, et surtout, l'intimidation, le bluff et le sous-entendu menaçant, particulièrement lorsque tu es le plus puissant économiquement parlant.

Cela revient juste à instiler la peur chez le prospect afin de le faire revenir à de "meilleurs sentiments".

Ce n'est ni plus ni moins que de la "diplomatie de la cannonière" appliquée à l'économie.

C'est également un bon test pour le Brésil:

  - va t'il céder? Et alors il ne jouera pas le rôle qu'il entend tenir sur la scène internationale.

  - va t'il résister quitte à subir pression et possibles mesures de rétorsion? Et alors, il tiendra une partie de ses engagements pris vis-à-vis de lui-même.

Ils sont à la croisée des chemins...

CU

Vorpal777

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D'un autre coté ils se tirent une balle dans le pied dans le cadre de ce contrat precis, quand on voit comment les usa utilisent ce genre de moyens de pression, ca donne pas envie de se mettre encore plus en dependance vis a vis d'eux.

Je rejoins l'avis de Ben. LA critique étant faite à l'encontre du F-18, et dans une moindre mesure à l'encontre du Gripen NG, c'était justement les procédures ITAR et les vetos que pouvaient poser les américains. Surtout que les Brésiliens ont déjà connu de telles complications par le passé. Ainsi, si ce blog dit vrai, ils viennent de fournir de nouvelles armes aux défenseurs du Rafale.

Expliquer plus subtilement que ce serait grillé pour le Super Tucano dans l'armée US en cas de sélection du Rafale aurait sans doute été plus logique. Mais je pense que les US n'ont vraiment pas dû apprécier la posture brésilienne. Et cela pour deux raisons. Si le Brésil choisis le Rafale, il sera beaucoup plus difficile pour les US de faire front à Dassault et donc de s'assurer le "monopole" sur le marché occidental. Et deuxièmement, dans les formes, il faut avouer que les Brésiliens n'ont pas toujours reçu les US avec des gants de soie.

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sauf que pour le Super Toucan je vous rappelle que le concepteur de l'Emb 312 a déjà été débauché dans le cadre du projet COIN AC 67 qui s'il ressemble au Toucan est 100% US ...

de plus en matière de turbo prop léger Raytheon sort déjà le T6 B que les Grecs ont d'ores et déjà acheté avec points d'emport sous voilure

bref comment dire

un effet de manche ? une parole de dépit

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Pascal, ce que tu nous dit c'est que les usa ont deja pompés ce qui les interessaient et créé "leur" tucano...et que donc l'achat de tucano par les us, c'etait de toute facon mort. Mais...ca ne les empeche pas de refuser la vente de certains composant clés du tucano de facon a empecher sa production et donc sa vente a qui que ce soit.

donc on passe de "pas pour les us" a "pas pour les us, ni pour personne d'ailleurs"

Ya tout de meme un pas de franchi, le prochain c'est de refuser a la france certaines puces sur le rafy? (il y en a toujours il me semble)

J'avais conscience qu'il iraient loin pour plomber le rafale, mais je ne m'attendais pas a ca

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