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[Rafale]


g4lly

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A quoi ca sert  d'évaluer des dogfights (qui indiquent plus la performance du pilote) dans une guerre entre deux puissances nucléaires ayant recourt à des réseaux d'informations radars au sol ou en vol?

D'accord avec toi, mais ce serait quand même appréciable de pouvoir le confronter au niveau capacité de performance technologique ?! ça nous donne une idée et améliorer ses défauts.

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A quoi ca sert  d'évaluer des dogfights (qui indiquent plus la performance du pilote) dans une guerre entre deux puissances nucléaires ayant recourt à des réseaux d'informations radars au sol ou en vol?

On parle de comparer le rafale avec des avions chinois, pas de comparer le rafale de l'armée de l'air face à des avions chinois de l'armée populaire chinoise et le lieu de l'affrontement n'a pas besoin d'être en Chine ou en France.

Déjà le rafale M (français) face à des J15 (chinois) pourrait s'envisager assez "facilement". Vu qu'on parle juste de dogfights (donc d'affrontement air-air visant plus à impressionner qu'à détruire l'adversaire), il peut s'agir de la réaction "normale" de 2 GAN qui se croisent. Si le GAN chinois décide de faire une croisière vers la Réunion, on risque d'y avoir droit.

Ensuite des rafale Indiens pourraient affronter les avions chinois placé à la frontière. Le 2 pays restant globalement de leur coté de l'Himalaya, il faudra bien plus que quelques violation de l'espace aérien (suivi par des combats aérien et éventuellement par des pertes) pour déclencher une guerre nucléaire. Et c'est probablement encore plus vrai pour le Pakistan.

Ensuite les Chinois (comme les Français) font tous leurs possible pour exporter. On risque d'avoir assez "rapidement" des combats réels entre des J10 iraniens et (entre autre) des rafale (français ou émiratis) et je crois qu'il y a aussi des pays d'Afrique qui s'équipent de chasseurs chinois. Il n'est plus impossible qu'on croise un chasseur d'origine chinoise (avec pilote mercenaire ou non) en OPEX.

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et puis d'un côté on ne leur dicte pas leur politique intérieur dans ses pays ... même si on a pas la même optique qu'eux du fait de la différence de culture .

certes ,se sont des pays riche ... mais s'est comme pour un commercial ,la règle s'est de ne jamais parlé foot ,politique ou religion  =)

ben tu sais ,le quatar ou EAU ,s'est quoi à l'échelle d'influence du MO ?

rien donc pas une menace pour nous autres dans le futur ...

C'est la règle pour le mauvais commercial ça. Le (très) bon commercial sait quelle équipe supporter, quelle dieu prier, et quel parti voter pour vendre à tel client. Et je pense qu'à ce niveau, les commerciaux sont plutôt de ce niveau là. Donc je ne pense pas que la question sur la viande Hallal soit débile; juste mal posée. Notre politique intérieure, vis à vis des Musulmans, peut influer sur un (des) pays, qui se veulent le nouveau fer de lance de l'Islam mondial.

à la rigueur tu me dirais on vend à la Chine  je me poserais des questions , mais là ...

Les EAU et le Qatar sont d'immenses puissances. Ta phrase me rappelle Staline, et les "combien de divisions" du Vatican. Les guerres modernes sont les guerre des médias, et Al Jazeera est Qatari.

rien de contradictoire que tu souhaite qu'on vende des Rafales et de tes doute en se qui concernerait certains clients du point de vue moral mais d'un autres côté ,quand je vois à qui on va le vendre à l'heure actuel ,je pense qu'on équipe pas des pays qui vont se retourné contre nous ...

Boarf. Il a plutôt raison, c'est de la real politik, on ne fait que vendre des arguments politiques. Ceux qui seront fâché ce seront les ennemis directs de ces pays. Hors, on a déjà des accords de défense très profonds avec ces dits pays. Donc rien à craindre.

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120411trib000693052/rafale-les-espoirs-decus-de-nicolas-sarkozy.html

Il y a encore quelques jours, le président de la République espérait s'envoler pour Abu Dhabi et signer une commande de 60 Rafale. Las. Tous les efforts qu'il aura consacrés au cours de son mandat afin de décrocher un premier contrat à l'export pour le fleuron de l'aéronautique militaire française auront été vains. Il faudra attendre le prochain quinquennat...

Et Nicolas Sarkozy ne vendit pas le Rafale sous son quinquennat... Cela a été pourtant l'un de ses défis quelques mois après son arrivée à l'Elysée. Une obsession déclenchée par l'échec cuisant du Rafale au Maroc qui a préféré acheter, à l'automne 2007, des F16 américains. Une défaite pourtant inenvisageable et un véritable affront pour le nouveau président qu'il était. D'autant que dans le cas d'espèce, sa responsabilité ne pouvait pas être engagée. Résultat, vendre le Rafale est devenu au fil du temps un leitmotiv. A tel point qu' il s'est battu jusqu'au dernier moment pour convaincre les Emirats arabes unis (EAU) de signer un contrat dans le courant du premier trimestre 2012. En vain.

Et pourtant, une visite de Nicolas Sarkozy avait été programmée le 12 février, puis en mars. Il était prêt à sauter dans un avion pour signer à Abu Dhabi cette commande de 60 appareils. Un petit Etat du Golfe, situé à quelques kilomètres des rives iraniennes, à qui Nicolas Sarkozy a beaucoup donné, dont notamment la base interarmées tricolore doublée d'un renforcement de l'accord de défense de 1995 liant les deux pays. Ce nouvel accord prévoit que les deux pays décident "en commun de réponses spécifiques et adaptées, y compris militaires, lorsque la sécurité, la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'indépendance des Émirats arabes unis sont affectées". Il n'a pas eu en retour ce contrat. Un échec personnel même si Dassault Aviation, qui ne voulait rien lacher sur les marges de ce contrat, n'a pas toujours été un partenaire facile pour convaincre les Emiriens. Il sera vraisemblablement signé par le prochain président. Cruel pour Nicolas Sarkozy s'il n'était pas réélu en mai.

Sarkozy a tout tenté

L'aventure du Rafale à l'export est devenue une série à rebondissements pour les observateurs  A quelques jours de la fin de la cinquième saison, le constat est sévère. Pas de commandes fermes. Et pourtant, le 18 juin 2008 le secrétaire général de l'Elysée d'alors, Claude Guéant, fanfaronnait sur « Europe 1 » que Paris allait vendre bientôt « une centaine » d'avions de combat tricolores. Pour l'heure, seules des négociations exclusives sont en cours avec les Indiens pour un contrat de 126 appareils.

Pour vendre le Rafale à tout prix, Nicolas Sarkozy a donc tout tenté.. ou presque. Y compris en le proposant à des pays, où il avait peu de chance de réussir. C'était le cas du Koweït (14), qui avait pourtant exprimé un intérêt pour l'avion tricolore, ou d'Oman (12). Mais ces deux pays du Moyen Orient, sous forte influence américaine pour l'un, britannique pour l'un, n'avaient aucune marge de manœuvre pour s'offrir un avion compétitif. Le président a même pris des intitatives périlleuses en tentant de le placer au colonel Kadhafi, lorsqu'il était venu à Paris en 2007 planter sa tente dans le parc de l'Hôtel Marigny. Le Guide aura au moins pu constater, peu avant sa mort, toute l'efficacité opérationnelle du Rafale lors de la campagne de Libye (opération Harmattan).

Le Brésil, espoir déçu

Le Brésil, autre pays, autre échec. Le président Lula avait promis de sélectionner le Rafale peu avant son départ en décembre 2010. Nicolas Sarkozy, qui une nouvelle fois s'était personnellement investi, a donné beaucoup de son temps pour décrocher cette commande de 36 appareils. Au final, Lula n'a pas tenu parole. Pourquoi ? Mystère. Mais des rumeurs de rétrocommissions ont plané, avec la présence de certains intermédiaires français, qui apparaissent aujourd'hui dans des affaires sulfureuses autour du président de la République.

Et pourtant en septembre 2009, Nicolas Sarkozy tenait la grande forme à Brasilia. « Cela était devenu une affaire personnelle », notait alors un proche de la délégation. Le dimanche, avant de s'envoler vers Brasilia, le chef de l'État sentait le succès à portée de main même si, à son départ, rien n'était acquis, les Brésiliens restant encore très prudents sur une éventuelle annonce. Mais vendre le Rafale était encore la priorité de cette visite éclair de 48 heures à Brasilia, alliée au plaisir de revoir son homologue brésilien Lula avec qui il entretenait, en dépit de leurs différences politiques, de très bonnes relations. « Le lien affecif qui les unissait pouvait laisser croire que tout était possible », assurait-on alors.

Le fol espoir brésilien

À l'issue du dîner restreint offert par Lula ce soir-là, sentant qu'il pouvait faire basculer la décision et revenir à Paris avec une promesse de vente, Nicolas Sarkozy s'accroche. Il retourne voir, tard dans la soirée, la délégation élyséenne et celle de Dassault Aviation, dont le PDG Charles Edelstenne, pour leur demander de retravailler avec les Brésiliens la proposition française selon leurs dernières exigences . « Il faut battre le fer tant qu'il est chaud et tant que nous sommes sur place », avait-il exigé. Les équipes travailleront jusqu'à l'aube pour arrêter, vers six heures du matin, l'offre qui va définitivement convaincre les Brésiliens. Bousculés, ces derniers ne peuvent plus refuser.

« Nicolas Sarkozy a lessivé toute la délégation française, y compris Charles Edelstenne réputé increvable, par son dynamisme », se rappelle-t-on dans la délégation. « Le chef de l'État nous a fait gagner en moins de 48 heures des mois de travail », soulignait-on chez l'avionneur. Car c'est bien une négociation exclusive — même si ce terme n'a pas été inscrit noir sur blanc — qu'a arrachée in extremis Dassault Aviation. Ou plutôt le chef de l'État comme l'indiquait au « Monde » Charles Edelstenne : « C'est Nicolas Sarkozy qui a vendu le Rafale, ce n'est pas nous. Le succès lui revient ». Et pourtant ce sera l'échec. Là encore, le prochain président aura de très bonne chance de signer un contrat.

La Suisse, une maladresse qui coûte cher

En Suisse, Nicolas Sarkozy s'est pratiquement tiré une balle dans le pied. Berne n'a guère apprécié les propos de Nicolas Sarkozy lors du G20 à Cannes lorsqu'il avait dénoncé les « déficiences » dans les efforts de la Suisse pour ne plus être considérée comme un paradis fiscal. « Nicolas Sarkozy a probablement un problème avec nous, je ne sais pas lequel », avait ensuite déclaré, le 11 novembre, la présidente de la Confédération, Micheline Calmy-Rey. De là à dire qu'il porte la responsabilité entière de cet échec...

Officiellement, Berne, et plus précisément le ministre en charge de la Défense, Ueli Maurer, ont notamment justifié leur choix du Gripen suédois par des considérations budgétaires, l'offre du Rafale étant estimée par les experts supérieure d'un milliard d'euros. Soit 4 milliards de francs suisses au lieu de 3 milliards, qui étaient à peu près le budget que Berne envisageait pour renouveler sa flotte d'antiques F5 Tiger. « Les arguments financiers ont joué un rôle déterminant dans le choix du type d'avion, a confirmé un communiqué officiel.

Et l'Inde ?

C'est le point positif. Le Rafale est en pole position mais pour l'heure, rien n'est signé.  De surcroît, il est difficile de mettre ce début de succès au crédit de l'Elysée, tant Nicolas Sarkozy a multiplié les maladresses lors de ses visites en Inde. Même si l'Etat français a, à l'été 2007, poussé Dassault Aviation, qui était très hésitant, à concourir pour cet appel d'offres mirifique estimé à 18 milliards de dollars. A l'époque, Dassault Aviation attendait des garanties de Paris.

Tout comme aux Emirats et au Brésil, le prochain président de la République devrait en toute logique assister à la signature de ce contrat en Inde. Ce sera aussi probablement le cas au Qatar (entre 12 et 26), et peut-être en Malaisie (18). Il le devra en grande partie à l'obsession de son prédécesseur..

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Ce qui serait pas mal c'est que Mr Sarkozy passe une commande de Rafale a notre propre armée plutot que de voir l'export a tout prix, car on est encore loin de la cible visée de 294 avions. A ce rythme de commande pour notre armée les derniers vont arrivés en 2040. A croire que le programme de vie ou de mort du Rafale dépend de l'export.

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Vous voyez ce que je veux dire ?

Pas du tout ...  :rolleyes:

Sarkozy a tout tenté

:rolleyes: même le strip tease pour Dilma ?  :rolleyes:

mais s'est comme pour un commercial ,la règle s'est de ne jamais parlé foot ,politique ou religion  =)

:P n'importe quoi ... la règle c'est d'avoir comme conviction celle du client !

Le client est brésilien : la séléçao aurait du gagner en 98, c'était trop bête ...

Le client est qatari : le PSG est le meilleur club du monde (même si t'es marseillais  :lol:)

kapish ? empathie, adhésion => contrat.

Pour le Koweït, c'est plus compliqué.

Le Koweit, c'est comme pour le Maroc, si DA faisait des modernisations ou proposait encore du 2000, ça aurait déjà été signé.

Mais ce n'est pas assez bien pour leur prétention.

Il suffit d'écouter ce que disent les Républicains pendant les primaires, les USA seraient encore plus détestés et n'arriveraient qu'à vendre à Israël.

Ben, si tu exclus les gros pays fournisseurs de Pétrole (KSA, Koweit), les USA n'arrivent à vendre qu'à Israël. Les autres achètent Russe ou Chinois, ... et parfois Français  :oops:
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:P n'importe quoi ... la règle c'est d'avoir comme conviction celle du client !

Le client est brésilien : la séléçao aurait du gagner en 98, c'était trop bête ...

Le client est qatari : le PSG est le meilleur club du monde (même si t'es marseillais  :lol:)

kapish ? empathie, adhésion => contrat.

je répond en MP ,car on sort du cadre Rafale .
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@Dark Sidius

A ce rythme de commande pour notre armée les derniers vont arrivés en 2040. A croire que le programme de vie ou de mort du Rafale dépend de l'export.

Il n'y aura vraisemblablement pas 298 avions

La fin des livraisons France ce sera plutôt 2025

Alors oui bien sûr le Rafale en 2020 est presque à mi vie à ce moment là l'essentiel des commandes françaises sera honoré. L'export assurera la production, le suivi du développement et le soutien pour les 40 ans qui viennent à compter d'aujourd'hui.

la règle c'est d'avoir comme conviction celle du client !

çà dépend un peu de ce qui est proposé à la vente ...

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Pas du tout ...  :rolleyes:

En fait la question peut être résumée de façon plus générale, la politique intérieure peut elle avoir une influence sur les ventes du contrat Rafale (cf la Suisse et les petites phrases de notre PR).

Peu importe le sujet (mais avec les EAU / Qatar, c'est vite trouvé).

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En fait la question peut être résumée de façon plus générale, la politique intérieure peut elle avoir une influence sur les ventes du contrat Rafale (cf la Suisse et les petites phrases de notre PR).

Peu importe le sujet (mais avec les EAU / Qatar, c'est vite trouvé).

A priori tout le monde s'en contrefout ... sauf relation systématiquement conflictuelle avec quelques états en particulier. C'est avant tout du business et de la politique internationale. Le client il a soit besoin d'un engin pour faire vraiment la guerre, soit d'un grand frère - qui lui apporte protection ou des élément de développement industriel - qu'il loue a travers des achat de camelote, le reste c'est peanuts.

Apres le monde se divise entre ceux qui compte faire la guerre en vrai et les autres.

- L'inde c'est le cas typique du pays qui a besoin d'engin pour faire la guerre avant tout, et de développer une industrie d'engin a faire la guerre en second lieu.

- Une partie des pays du Golfe pourrait se sentir dans la meme situation. Il sont le cul entre deux chaises, entre l'empire US et l'islamisme qui marque des points, un fournisseur alternatif au grand satan pourrait etre moins malvenu vis a vis des opposition islamistes locales ou régionales. Il ne faut pas se leurrer tous savent au moyen orient qu'il vont etre obligé de céder plus ou moins aux islamistes et que ce qui seront alors trop marqué américains risque d'etre les plus gros perdant.

- Pour le Brésil c'est un choix purement politique, qui implique presque toute l'Amérique du Sud ... vivre dans l'ombre de l'Amérique du Nord ou marquer son autonomie, tout en conservant de bon voisinage.

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Apres le monde se divise entre ceux qui compte faire la guerre en vrai et les autres.

- L'inde c'est le cas typique du pays qui a besoin d'engin pour faire la guerre avant tout, et de développer une industrie d'engin a faire la guerre en second lieu.

- Une partie des pays du Golfe pourrait se sentir dans la meme situation. Il sont le cul entre deux chaises, entre l'empire US et l'islamisme qui marque des points, un fournisseur alternatif au grand satan pourrait etre moins malvenu vis a vis des opposition islamistes locales ou régionales. Il ne faut pas se leurrer tous savent au moyen orient qu'il vont etre obligé de céder plus ou moins aux islamistes et que ce qui seront alors trop marqué américains risque d'etre les plus gros perdant.

- Pour le Brésil c'est un choix purement politique, qui implique presque toute l'Amérique du Sud ... vivre dans l'ombre de l'Amérique du Nord ou marquer son autonomie, tout en conservant de bon voisinage.

Quand on sait que Barack Obama avait appelé personnellement Dilma Roussef l'an dernier pour essayer d'emporter une décision en faveur du F18, plutôt que du Rafale français ou du Gripen suédois, on voit bien que l'oncle Sam est pas prêt de renoncer à son règne sur le sud du continent, jusqu'à vouloir l'étendre puisque jusqu'ici le Brésil était (avec le Venezuela et Cuba) le seul pays latino-américain très peu sensible à l'influence américaine.

Et le militaires brésiliens eux semblent préférer le Gripen ... 

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Et le militaires brésiliens eux semblent préférer le Gripen ... 

Ils ont déjà quelques difficultés à opérer l'ensemble de leurs coucous et portent donc leur choix sur le candidat qui leur semble le moins cher à opérer. Cela semble pragmatique. Néanmoins, pas sûr que le coût opérationnel du Gripen NG soit forcément aussi économe qu'annoncé. Et si le gouvernement fédéral leur garantie plus de moyens pour opérer les avions, il n'est pas sûr que leur avis reste le même.
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comme tactac , période électorale oblige on tape sur le sarko en apportant aucune nouveauté pour étayer son opinion de bobo de gauche plus malin, "la guerre ché pas bien nah"

remplir le vide est devenu leur seul motif pour vendre du papier , la formulation meprisante avec lequel ce suppo parle confirme la ligne éditorial populiste qui a fait coulé la Tribume dernièrement en papier!

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Avions de combat : un marché mondial portant sur des dizaines d'appareils Evoquant les négociations en cours entre Dassault Aviation et l'Inde sur l'achat de 126 Rafale, Capital revient sur les enjeux du marché mondial des avions de combat alors que "des dizaines d'appareils sont en négociation ou en voie de l'être". Il évoque notamment en détail les sorties des avions de combat français (Rafale et Mirage 2000) en Lybie, lors de l'opération Harmattan : 1 039 sorties pour l'armée de l'Air, 616 sorties pour la Marine et, au total, 1 097 objectifs détruits.  Le magazine note d'ailleurs qu'"en Libye, le Rafale a fait l'étalage de sa supériorité sur tous ses concurrents".

13 avril 12 - Capital

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Même si on en a déjà parlé,  =)

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119420

...

Le RBE2 à antenne active doit procurer au Rafale de l'armée de l'Air et de l'aéronautique navale française, ainsi qu'aux clients export de Dassault, des avantages stratégiques. Il aura, par rapport à son prédécesseur, une portée augmentée permettant la pleine utilisation de nouveaux armements tels que le missile air-air à longue portée Météor de MBDA, tout en donnant la possibilité de détecter des cibles à la signature réduite. Le nouveau radar offrira également une agilité des formes d'onde permettant d'obtenir des images à ouverture de synthèse (SAR) de grande résolution et d'augmenter la résistance du radar au brouillage. Enfin, une fiabilité accrue permet, selon les industriels, d'envisager 10 ans d'utilisation de l'antenne active sans intervention de maintenance. « Le Rafale sera alors le seul avion de combat européen à bénéficier en série des avantages de la technologie du Radar à antenne active. La supériorité de cet avion de combat omnirôle, déjà prouvée lors de l'opération Harmattan en Libye, se trouve ainsi renforcée pour toutes les missions qu'il pourra être amené à conduire dès son déploiement dans l'armée de l'air et la marine », affirme Thales.

...

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Même si on en a déjà parlé,  =)

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119420

Je me posais la question récemment, le passage à l'AESA entraine aussi un gain de poids et d'espace. Même si je sais pertinemment que ça ne se fera jamais, peut-on imaginer une adaptation du RBE2 AESA au mirage sans que son équilibre ne soit bouleversé?
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