Bon Plan Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 (modifié) Il y a 18 heures, lukycold a dit : Il me semblaiT quand même que Modi le voulait ce deal . N'a t il pas forcé l ' IAF pour les F16 pour ce rapprocher des youesse a un moment. Ou alors c était téléphoné depuis le début ? Un record pour une seule ligne ! (désolé, j'en ai trop bavé étant petit sur la conjugaison et l'accord du participe passé... c'est devenu un TOC) Modifié le 21 octobre 2018 par Bon Plan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 (modifié) allez, ca continu pour prof sur youtube, rien de neuf si ce n'est le risque de la déformation de l'info. Modifié le 21 octobre 2018 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 Il y a 2 heures, Bon Plan a dit : Un record pour une seule ligne ! (désolé, j'en ai trop bavé étant petit sur la conjugaison et l'accord du participe passé... c'est devenu un TOC) Bon, tu en as oublié quelques-unes en passant (la seconde prète à débat, ceci dit) : « se rapprocher des youesses à un moment ? » Mais ceci dit, ça ne changeait pas grand-chose à la question de fond qui restait intelligible, et à laquelle Pic a pleinement répondu, de mon point de vue. @zx c’est comme en bourse : quand on accepte de jouer, on doit aussi accepter que ça ne se passe pas forcément comme on le souhaiterait (et c’est tout autant aléatoire, indépendamment de tout ce que l’on pense pouvoir anticiper). La bonne nouvelle, c’est qu’avec nos moyens modernes, n’importe quel utilisateur de twitter, fb, youtube, blog ou autre est capable de raconter tout et n’importe quoi, et plein de ses suiveurs de comprendre eux aussi tout et son contraire. Welcome into the new world (of bullshit information), leeeeeeeeeeet’s ruuuuuuuuumble ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 Il y a 4 heures, zx a dit : allez, ca continu pour prof sur youtube, rien de neuf si ce n'est le risque de la déformation de l'info. @prof.566 Tu deviens mondialement connu ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lukycold Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 Il y a 6 heures, Bon Plan a dit : Un record pour une seule ligne ! (désolé, j'en ai trop bavé étant petit sur la conjugaison et l'accord du participe passé... c'est devenu un TOC) Mouiiiii j’ai honte d’avoir écrit un truc pareil avec autant de faute, je ne suis pas bon en Français. Et je me suis fait tomber dessus par ma femme qui maîtrise beaucoup mieux que moi la langue de Molière. Habituellement j’écris sur Word pour une correction partielle. Je vais dorénavant m’en tenir aux like ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 21 octobre 2018 Share Posté(e) le 21 octobre 2018 (modifié) Pardon mauvais post Modifié le 21 octobre 2018 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Il y a 11 heures, lukycold a dit : Mouiiiii j’ai honte d’avoir écrit un truc pareil avec autant de faute, je ne suis pas bon en Français. Et je me suis fait tomber dessus par ma femme qui maîtrise beaucoup mieux que moi la langue de Molière. Habituellement j’écris sur Word pour une correction partielle. Je vais dorénavant m’en tenir aux like ! Non ça n'a pas d'importance ne te limite pas pour si peu. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 13 hours ago, Bon Plan said: @prof.566 Tu deviens mondialement connu ! je tiens à préciser que je n'ai JAMAIS dit que j'étais un former "official" (ca veut dire quoi d'ailleurs?) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 (modifié) Il y a 14 heures, lukycold a dit : Habituellement j’écris sur Word pour une correction partielle. Je vais dorénavant m’en tenir aux like ! j'ai tendance à ne pas me relire, si je vais trop vite ou si je suis fatigué, j'utilise des correcteurs intégrés dans les navigateurs, on peut activer celui qui est par défaut dans chrome ou ajouter des addon dans IE,Firefox,Chrome,etc.. Ce n'est pas parfait, mais ça facilite la vie. en voilà un qui est basique. il ne fait que l'orthographe, pas la grammaire, mais il doit y en avoir de plus puissant. sur chrome https://www.pcastuces.com/pratique/astuces/4073.htm pour la grammaire et orthographe, sur firefox, sans prétention https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/grammalecte-fr/ cela à ses limites. ensuite il y a les produits payants comme antidote. Modifié le 22 octobre 2018 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 2 hours ago, prof.566 said: je tiens à préciser que je n'ai JAMAIS dit que j'étais un former "official" (ca veut dire quoi d'ailleurs?) ben tout simplement que tu es assimilé comme ancien de l'armée de l'air donc un ex 'officier' et donc un 'official' Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Ce qui tend à démontrer que, en Inde, n'importe qui ayant eu un lien quelconque avec une structure peut être considéré comme un "officiel" de cette structure et parler en son nom. On comprend mieux les multiples interventions, dans un sens ou dans l'autre, de tous les retraités de HAL, de l'IAF ou autres ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Il y a 4 heures, mgtstrategy a dit : ben tout simplement que tu es assimilé comme ancien de l'armée de l'air donc un ex 'officier' et donc un 'official' Pour moi cela sous entend clairement une responsabilité au niveau de la comm non ? Un colonel pris au pif dans l'armée de l'air n'a pas le droit de donner son avis sur la question, un "official" oui. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 il y a 2 minutes, glitter a dit : Un colonel pris au pif dans l'armée de l'air n'a pas le droit de donner son avis sur la question En Inde, si. Il ne faut pas raisonner uniquement avec notre prisme franco-français de la Grande Muette, soumise au politique. Dans d'autres états, la parole militaire est parfois beaucoup plus libre. Même si elle est soumise à sa hiérarchie, elle peut parfois prendre le politique à rebrousse-poil. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Pour moi : "former french air force official" = "ancien militaire d'active". 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dac O Dac Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Le 21/10/2018 à 03:25, Patrick a dit : Donc oui, tout va se jouer sur le forcing de tonton Trump: Et ca fonctionne jusqu'au coeur historique de l'Europe. Donc l'inde.... c'est grand, peuplé, mais pas si puissant que ca. Depuis 2 jours j'ai perdu mon optimisme.... DoD Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 HOW INDIA'S MODI CHOSE MOSCOW'S S-400 MISSILES, DEFIED TRUMP AND SPURNED ISRAEL http://www.indiandefensenews.in/2018/10/how-indias-modi-chose-moscows-s-400.html?m=1 Traduction COMMENT L'INDIEN MODI A CHOISI LES MISSILES DE MOSCOU S-400, DÉFIÉ TRUMP ET REJETÉ ISRAËL MARDI 23 OCTOBRE 2018 PAR INDIANDEFENSE NEWS Malgré la menace de sanctions proférées par M. Trump, le Premier ministre indien, M. Modi, a signé un accord massif sur les armes avec la Russie, indiquant que, malgré ses liens étroits avec Washington en matière de défense, Delhi ne sera pas victime d'intimidation. Et Poutine n'arrête pas de rire. L'Inde risque des sanctions américaines en achetant pour 5 milliards de dollars de missiles russes. Le dilemme des missiles de Modi : pourquoi l'Inde continue d'augmenter et de relancer une vente massive d'armes par Israël. Pourquoi l'Inde soutiendra l'Iran dans un affrontement nucléaire avec Trump et Netanyahu. L'Inde veut une liaison quand il s'agit d'Israël, pas une relation sérieuse. par Shrenik Rao Vladimir Poutine sait donner un coup de poing. Le président russe combattant, un judoka avide, applique les deux principes de l'art martial à la diplomatie. Premièrement : se déplacer rapidement. Deux : utiliser le poids et la force de l'adversaire à votre avantage plutôt que de le combattre directement. Poutine a fait preuve d'habileté en concluant un marché d'armement de 5,4 milliards de dollars avec l'Inde, en vendant les systèmes russes de défense antimissile sol-air S-400 Triumf au début d'octobre. L'Inde, bordée par les 20 escadrons de chasseurs pakistanais et les 1 700 avions de chasse chinois, doit " correspondre au niveau de force de nos adversaires ", a déclaré le chef de la Force aérienne indienne. Avec cet énorme accord, la Russie est devenue le vainqueur du "plus grand contrat" de l'histoire des relations indo-russes en matière de défense. C'est aussi l'arrangement signé "le plus rapide" entre les deux pays, sans être encombré par "de longues négociations". C'est une nouvelle que Donald Trump aimerait voir fausse. Mais ce n'est pas le cas, et il le sait. La Russie dispose aujourd'hui d'un avantage concurrentiel par rapport à ses rivaux de l'industrie de l'armement d'arche - les États-Unis et Israël - et elle est actuellement le plus grand fournisseur d'armes de l'Inde. La Russie a réussi à le faire malgré les tentatives des États-Unis de persuader d'autres pays de ne pas acheter d'armes russes en menaçant d'invoquer l'article 231 de la loi intitulée Countering America's Adversaries Through Sanctions Act (CAATSA) de septembre 2017. La CAATSA, une loi nationale américaine, habilite l'administration américaine à imposer des sanctions aux pays qui s'engagent dans " une transaction importante " avec les secteurs de la défense ou du renseignement de la Russie. Citant ces sanctions, les Etats-Unis avaient tenté de dissuader l'Inde d'acheter le système de missiles aériens S-400 Triumf à la Russie. Des mois avant l'accord, Tina Kaidanow, sous-secrétaire d'État adjointe principale chargée des affaires politico-militaires, a déclaré : "Nous avons discuté du CAATSA avec le gouvernement de l'Inde, tout comme nous en avons discuté avec un certain nombre d'autres qui envisagent peut-être d'acheter d'importants systèmes de défense russes. Nous voulons travailler avec tous nos partenaires pour les aider à identifier et à éviter toute activité potentiellement sanctionnable." Ne tenant pas compte de la menace de sanctions, l'Inde a clairement fait savoir à plusieurs reprises aux États-Unis qu'elle irait de l'avant avec l'accord sur les missiles S-400 Triumf avec la Russie. Plusieurs délégations indiennes, conduites par le Ministre des affaires étrangères, ont plaidé en faveur d'une levée des sanctions, faisant valoir que le CAATSA est une législation nationale américaine qui n'a aucune incidence sur la prise de décision de l'Inde. Les délégations ont également suggéré que les sanctions du CAATSA créeraient une impasse inutile entre les États-Unis et l'Inde, alliés militaires critiques dans l'Indo-Pacifique. Le ministre américain de la défense, Jim Mattis, et le secrétaire d'État américain, Mike Pompeo, ont reconnu cette préoccupation et ont fortement préconisé la levée des sanctions contre l'Inde. Mais elle s'accompagnait d'une mise en garde : les États-Unis "ne peuvent garantir qu'une dérogation sera utilisée pour des achats futurs". Comme l'a précisé le département d'État : "Aucune dérogation générale ne sera accordée à un pays en particulier, et toute dérogation que nous pourrions envisager pour une transaction importante avec la Russie serait évaluée au cas par cas et exigerait, entre autres choses, que les pays réduisent considérablement leur dépendance envers les armes russes. Le 5 octobre 2018, l'Inde a tenu bon et a procédé à l'achat de cinq systèmes de missiles S-400 à la Russie. Il s'agit d'une décision clé en matière de défense qui a été sous-estimée de façon malhonnête - on n'en trouve qu'une brève mention dans la déclaration conjointe de l'Inde et de la Russie, publiée après leur 19e sommet annuel entre les deux pays à New Delhi. L'Inde n'est pas le seul pays à avoir acheté les systèmes d'armes à missiles surface-air S-400. Dans un passé récent, d'autres pays ont ignoré la menace des sanctions du CAATSA et se sont engagés dans des transactions " importantes " avec la Russie - la Chine a acheté des avions de combat Sukoi S35 et des systèmes d'armes sol-air S-400 ; peu après, la Turquie a fait de même et acheté quatre systèmes S-400 à la Russie, au coût de 2,5 milliards $. Les Etats-Unis, soucieux de peser de tout leur poids et de montrer leur force, ont imposé des sanctions à une entité chinoise - le Département du développement de l'équipement ou EDD - et à son directeur, Li Shangfu, pour avoir acheté des systèmes d'armes russes. Avec cette décision, les États-Unis, avec beaucoup de succès, ont réussi à "outrager" la Chine. Réagissant à la décision de Washington, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Geng Shuang a déclaré : "La Chine est fortement indignée par cette action déraisonnable des États-Unis et a fait des représentations sévères. Ce que les États-Unis ont fait a gravement violé les normes de base régissant les relations internationales et a nui aux relations entre les deux parties, d'État à État et entre militaires." Mais loin de s'éloigner de la Russie, la Chine a renforcé ses liens militaires avec Moscou. Les États-Unis ont montré leur force en imposant des sanctions à la Chine ; la Russie l'a utilisée à son avantage - dans un véritable style de judo. Le CAATSA, destiné à sevrer les pays des armes russes, ne fonctionne pas. Les coups de Poutine en font un tigre de papier. Pour contrer l'influence croissante de la Chine dans la région indo-pacifique, les États-Unis ont autant besoin de l'Inde que l'Inde a besoin des États-Unis. Lors du dialogue ministériel 2+2 entre les Etats-Unis et l'Inde, qui s'est tenu à New Delhi en septembre 2018, la " coopération en matière de défense " est apparue comme la dimension la plus importante du partenariat stratégique et le " moteur clé " des relations bilatérales globales entre les deux pays. Comme l'a fait remarquer le département d'État : "Les États-Unis ont déclaré l'Inde partenaire de défense majeur en 2016, un statut unique à l'Inde[...] Nous nous attendons à des progrès et à un approfondissement des liens entre nos deux armées et à la création d'un cadre pour un meilleur partage de l'information et une meilleure interopérabilité. Nous sommes également impatients de développer le commerce de la défense." Cependant, quelques jours après la signature de l'accord de défense entre la Russie et l'Inde, lorsqu'on lui a demandé s'il renonçait aux sanctions contre l'Inde, un défenseur, Donald Trump, a grogné : "L'Inde va le découvrir, n'est-ce pas ?....plus tôt que tu ne le penses." Les critiques soulignent qu'il s'agit d'une stratégie de Court-Circuit typique - créer de l'incertitude pour intimider vos alliés et adversaires, afin que vous puissiez négocier avec eux en faisant pression sur eux. En fait, au cours des deux dernières années, l'imprévisibilité de Donald Trump et la nature mercuriale de l'administration américaine ont poussé l'Inde à affirmer son autonomie stratégique. Trump et Bolton, avec leurs tactiques d'intimidation, ont rapproché l'Inde de la Russie. Un bref coup d'œil à la déclaration conjointe Inde-Russie le confirme. Dans cette déclaration, l'Inde et la Russie ont fait pression en faveur d'un "monde multilatéral" et noté que "la coopération militaire et militaro-technique entre les deux pays est un pilier important de leur partenariat stratégique". Ils ont demandé une " mise en œuvre complète et efficace du Plan d'action global conjoint sur le programme nucléaire iranien " (auquel la Maison-Blanche de Trump a abrogé sa participation) et réaffirmé " l'égalité, le respect mutuel et la non-ingérence comme normes universellement reconnues du droit international ". Il s'agit d'un brusque refoulement visant l'administration américaine, qui essaie d'influencer la prise de décision interne de l'Inde en lui disant de ne pas acheter de pétrole à l'Iran et d'armes à la Russie. L'Inde et la Russie ont également réaffirmé la nécessité de signer le Traité sur la prévention d'une course aux armements dans l'espace - que les États-Unis et Israël se sont abstenus de signer à l'Assemblée générale des Nations Unies - pour " éviter un grave danger pour la paix et la sécurité internationales ". Les chercheurs et les critiques ont applaudi la décision de l'Inde d'acheter le S-400, le félicitant d'avoir réaffirmé son "autonomie stratégique". Mais dans les semaines à venir, une décision cruciale pourrait renverser la vapeur dans les relations entre l'Inde et les États-Unis. Et, cette décision doit être prise par un homme "incapable de voir au-delà de son propre ego" - Donald Trump. En essayant de montrer la force de l'Amérique, est-ce que Trump imposera des sanctions CAATSA à l'Inde ? S'il le fait, il pourrait penser qu'il peut intimider l'Inde pour qu'elle achète d'autres armes américaines et négocie des accords commerciaux. Mais il risquerait de s'aliéner un allié - et pousserait l'Inde plus près de la Russie. Si Trump essaie de montrer sa force, il perdra certainement face au judo diplomatique de Poutine - et construira en fait un podium de vainqueur accompagné d'un prix lucratif en argent pour une Russie triomphante. Traduit avec www.DeepL.com/Translator 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Il y a 8 heures, Dac O Dac a dit : Et ca fonctionne jusqu'au coeur historique de l'Europe. Donc l'inde.... c'est grand, peuplé, mais pas si puissant que ca. Depuis 2 jours j'ai perdu mon optimisme.... DoD Sauf qu'en Europe les US n'ont pas encore eu besoin de combattre le Rafale médiatiquement et à fond les ballons pour museler les ventes françaises parce qu'ils sont entourés de courtisans. En Inde ils ont du s'y lancer parce que ce n'est pas le cas. Les fake news de tonton Raoul ne sortent pas de nulle part hein. Et pourquoi le gars ne critique pas les US qui n'ont aucune intention de faire bosser HAL si ils gagnent? Techniquement la France va offrir beaucoup plus de choses avec le Rafale. A commencer par une flotte homogène (les US proposent F-16 puis F-35, et F-18). En continuant avec de vrais ToT et une vraie mise en place de filière d'excellence. Bon certains indiens n'ont semble-t-il pas compris ça mais c'est pas grave. Ce qui compte c'est que l'IAF veut des Rafale, qu'elle ne veut pas d'un jet opéré par le Pakistan (le F-16), que l'IAF a les moyens d'imposer ses ambitions à l'exécutif ce qui s'est vu avec le Rafale, et que tous ses tests disent que même une version surévoluée du F-16 ne serait pas compétitive économiquement avec le Rafale. Quant au F-18 pour l'IN, c'est encore une fois le Rafale M que préféreraient les marins indiens. Ajoute par dessus les rodomontades de Trump qui menace ses potentiels clients... Et dont l'industrie fournit en plus des armes qui marchent mal et ont besoin d'être modifiées à grands frais pour fonctionner (cas des P8 indiens et du F-35) et bah... Voilà quoi. Je ne m'inquiète pas trop outre mesure, mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas casser le narratif de Raoul et son cortège de fake news. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 (modifié) on va les appater, rien qu'avec ca, en faisant profiter les upgrades du rafale avec les avancés du FCAS le fcx a été déjà spotter purée! Modifié le 23 octobre 2018 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 25 octobre 2018 Share Posté(e) le 25 octobre 2018 (modifié) Le 23/10/2018 à 19:25, Picdelamirand-oil a dit : moyennement bien Traduit avec www.DeepL.com/Translator Google fait au moins aussi bien, non? Modifié le 25 octobre 2018 par Bon Plan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 Ca fait deux jours que je commence à voir des hésitation sur la solution pour l'indian Navy : "As reported by FE earlier, the delay in the delivery of the IAC by December 2018 has pushed back the IAC- 2 plan. The IAC-2 is not part of the 2017-19 annual acquisition plans of the Indian Navy. The first indigenous aircraft for the Indian Navy is delayed by 8 years delayed and this leaves the Navy with one operational aircraft carrier INS Vikramaditya, the 45,000-tonne carrier bought from Russia, which s expected to go in for repairs very soon." https://www.financialexpress.com/defence/will-the-indian-navy-go-for-the-5th-generation-fighters-for-its-aircraft-carrier/1361059/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 Euh le Vik' vient à peine de sortir de révision, je doute qu'il reparte donc en réparation sous peu... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 il y a 25 minutes, MeisterDorf a dit : Euh le Vik' vient à peine de sortir de révision, je doute qu'il reparte donc en réparation sous peu... Bon Ok pas crédible l'article alors. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 First Sukhoi-30 overhauled at Nashik, highlights HAL's growing capability https://www.business-standard.com/article/economy-policy/first-sukhoi-30-overhauled-at-nashik-highlights-hal-s-growing-capability-114102300636_1.html [....] Citation Given HAL, Nashik's growing expertise, it is surprising that the overhaul facility at Nashik has taken 14 years to overhaul its first fighter. This is because the initial contract, signed in 2000 for building 140 fighters in India, did not include provisions for overhaul - a mistake, say contract lawyers. Traduction Compte tenu de l'expertise grandissante de HAL, il est surprenant que l'usine de révision de Nashik ait mis 14 ans pour réviser son premier avion de chasse . En effet, le contrat initial, signé en 2000 pour la construction de 140 avions de combat en Inde, ne prévoyait pas de révision - une erreur, affirment les avocats contractuels. [...] Citation In 2010, the first IAF Su-30MKI fighters, which had joined the fleet in 2000, were due for overhaul, in accordance with the original schedule, which was 1,500 flying hours or 10 years. Since the fighters had flown far less than 1,500 hours, Sukhoi was approached to extend the time period between overhaul. After numerous inspections and "accelerated aging tests", Sukhoi revised the overhaul schedule to 1,500 flying hours or 14 years, whichever comes first. Traduction En 2010, les premiers chasseurs Su-30MKI de l'IAF, qui avaient rejoint la flotte en 2000, devaient faire l'objet d'une révision, conformément au calendrier initial, soit 1 500 heures de vol ou 10 ans. Comme les chasseurs avaient effectué beaucoup moins de 1 500 heures de vol, on a demandé à Sukhoi de prolonger la période de temps entre les révisions. Après de nombreuses inspections et "essais de vieillissement accéléré", Sukhoi a révisé le programme de révision à 1 500 heures de vol ou 14 ans, selon la première éventualité. C'est de cette information (communiqué par vstol jockey à l'époque) que vient mon estimation du temps de vol annuel des SU-30MKI en Inde autours de 100 heures, ce qui est vraiment peu. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 Trappier répond fermement à la critique sur le montant des offsets et sur les dates de rencontre des ambani. https://m.economictimes.com/news/defence/open-to-any-investigation-in-rafale-deal-dassault/articleshow/66371526.cms 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 octobre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 octobre 2018 Rafale deal: There was no pressure from Indian side on choosing Reliance, says Dassault CEO //economictimes.indiatimes.com/articleshow/66371524.cms?utm_source=contentofinterest&utm_medium=text&utm_campaign=cppst Révélation Dassault Aviation CEO, Éric Trappier spoke exclusively to Manu Pubby of The Economic Times, where he said that Dassault was selected in 2012, but had not been able to finalise the HAL deal even in 2015. It was difficult to agree on who will take responsibility for the aircraft, Dassault or HAL, Trappier said. Edited excerpts: The opposition has been alleging that Rs 30,000 cr offsets have been gifted to Reliance Defence for the Rafale deal. Is this true? It is totally untrue. We have a partnership with Reliance that started in 2011. We have been a partner to India for the past 65 years. We want to set up facilities because India wishes to develop its own industry and be a global player. We were looking for private partners to transfer our knowhow and manufacturing to India. We partnered Reliance because it was able to give us facilities and some knowhow about the country while I am the one who knows how to produce the Falcon. We signed an MoU in February 2012 (with the Mukesh Ambani-led Reliance Group), around the same time the Rafale emerged as a winner (in India), and we have continued to work together. My purpose is and was to meet full offset obligations, to set up facilities and to make my own supply chain for the Falcon. What about the question on Rs 30,000 cr offsets to Reliance Defence? In line with our share, we have invested 49% in the joint venture with a capital of Rs 70 crore. We will gradually increase the capital in the JV. Our plan is to increase this figure to Rs 850 cr. So, my investment of about Rs 425 crore (49%) will be over five years. It has nothing to do with the big figures I have been hearing. As per the rules of offsets, the contract was government-to-government and at the same time Dassault signed a contract for offset as per the Defence Procurement Procedure (DPP) 2013. There was a value to the offsets. The JV will produce parts of Falcon and maybe, one day a complete Falcon 2000 at Mihan. We will get some credits for offsets. Today, if I take the number of deals with different companies, I already have 40% of the obligations covered with 30 companies.One of these is the (Reliance) JV which is 10% of the 40%. But, the JV has said in press releases it is a key partner in the Rs 30,000 cr offsets? What is important is what we are going to do. It is to produce the Falcon, its parts and parts of Rafale. For me, it is key as I need to transfer to this JV the capacity to produce to western standards. We need to have the right quality to be a global company. It is key because the JV is going to become a global aeronautical company that is founded from scratch. So, which are the rest of the companies that will be doing the offsets for Rafale? We have a list, the job continues as we are in discussion with over a 100 companies. Thirty of these have already been signed up. They are in Bangalore, in Mumbai, in Pune, all over the country. There has been a lot of confusion and talk on former President Francois Hollande’s statement that the partnership with Reliance was compulsory for the deal? It is very simple, Mr Hollande has himself clarified that the two companies partnered on their own. We found Reliance in 2011-12. This was not at the time of Hollande and not at the time of your incumbent PM. We have been in talks with Reliance for a long ime. I want to make it clear that Dassault Aviation is a partner as the Ambanis are a very respectable family. The two brothers and their mother are well-known in India. We are a family-owned company and we feel comfortable with another family-owned company. Was there any pressure or push from the Indian side on choosing Reliance for the offsets? Not at all. The rules of the Defence Procurement Policy says that the choice of offset partner belongs to the contractor. The French have nothing to say about the choice of partners in India. When I choose a partner it becomes my responsibility to fulfil the obligations, to quality standards and timing. I made the choice. Has India paid a lot more for the 36 Rafale jets than what it would have paid for the previously negotiated contract? There is a mix-up here. I don’t want to disclose the information on the pricing but what I can say is that we had a proposal earlier for 126 aicraft. This was based in two parts. First was for 18 aircraft in flyaway condition and the second was for the production of 108 aircraft which included tools, jigs, manhours and documentation. The unit price for the 18 flyaway Rafales was what was given to the government. The support (spare parts) was changed to adapt to 36. Then, we started negotiations with MoD. The pricing was kept very low and there was also a rebate of 9% on the total price. If it was double the price, I would have been sent back to France without any contract. Compared to the same (UPA) price, India brought down the cost by 9%. Where is the confusion? Apple to apple, the comparison is between the 18 and 36 flyaway jets. Were you surprised that the number of aircraft to be bought were brought down to 36 from 126? That was part of the (Indian) decision. We were very firm on getting the deal for 126 planes and we had discussions with HAL as it was the lead production agency. For some reasons, the deal did not go through. What was the problem? We were selected in 2012 and even in 2015 we had not been able to finalise the deal. I will not say why in details but it was difficult to cope with different requirements. One was who will take the final responsibility for the aircraft, Dassault or HAL? I had said that for the first few aircraft it should be Dassault and then it should be HAL. We had an excellent relationship with HAL and we had many discussion but for some reason it did not go through. Then, if I understand there was an urgent requirement of the IAF and India requested France to supply the aircraft and finalised the deal for 36 Rafales. In the Rafale deal, corruption complaints have been filed with the CBI and representations have also been made to the Supreme Court. Are you open to an investigation into the contract? Since 2000, there has been a strong international law on anti-corruption in France and we stick to it. We stick to the laws of France and the laws of India and the law of the contract. We are totally against corruption. If there is any investigation in France or India, we are not only open to the investigation, it is our duty (to respond). We will prove that there is no corruption. We are open, we are engineers and we want to be in India. We want to develop capabilities in India not only for manufacturing but for design and development. There are many opportunities and we are really enthusiastic to be in India. That is why I am just a little bit sad about the controversy. For me, I am very enthusiastic to be in India, to set up the partnership with Indian companies and our teams are committed to it. Do you think that signing the deal for 36 jets gives you an advantage for two upcoming contracts for 110 fighter to be made in India and a Naval requirement of 57 jets? The IAF had done a complete evaluation of different competitors that included the F/A 18, the Gripen, the Eurofighter as well as the Russian jet and among them, the Rafale was judged the best. So, it does give us an advantage. The other advantage is that in the deal for 36 jets, the training of pilots, mechanics and support will already be in place. I will fight to try to get both contracts because Rafale is capable of aircraft carrier operations. It could be a competition between us and the US but we have a very good product. The French forces decided from the start to have an aircraft capable of both land-based and aircraft carrier operations. The Rafale will give Indiareal superiority in the air. Traduction Le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, s'est entretenu exclusivement avec Manu Pubby de l'Economic Times, où il a déclaré que Dassault avait été sélectionné en 2012, mais n'avait pas été en mesure de finaliser la transaction HAL même en 2015. Il a été difficile de se mettre d'accord sur qui prendra la responsabilité de l'avion, Dassault ou HAL, a déclaré M. Trappier. Extraits édités : L'opposition a allégué que des compensations de 30 000 roupies ont été données à Reliance Defence pour l'affaire Rafale. Est-ce que c'est vrai ? C'est totalement faux. Nous avons un partenariat avec Reliance qui a débuté en 2011. Nous sommes un partenaire de l'Inde depuis 65 ans. Nous voulons nous implanter parce que l'Inde souhaite développer sa propre industrie et être un acteur mondial. Nous recherchions des partenaires privés pour transférer notre savoir-faire et notre fabrication en Inde. Nous avons fait équipe avec Reliance parce qu'elle a été en mesure de nous fournir des installations et un certain savoir-faire sur le pays alors que c'est moi qui sais comment produire le Falcon. Nous avons signé un protocole d'accord en février 2012 (avec le Mukesh Ambani-led Reliance Group), à peu près au même moment où le Rafale est sorti gagnant (en Inde), et nous avons continué à travailler ensemble. Mon but est et était de remplir toutes mes obligations de compensation, d'installer des installations et de créer ma propre chaîne d'approvisionnement pour le Falcon. Qu'en est-il de la question sur les compensations de Rs 30,000 cr à Reliance Defence ? Conformément à notre part, nous avons investi 49% dans la joint-venture avec un capital de Rs 70 crore. Nous augmenterons progressivement le capital de la JV. Nous avons l'intention de porter ce chiffre à 850 roupies brut (Rs 850 cr). Ainsi, mon investissement d'environ 425 Rs crore (49%) sera de plus de cinq ans. Cela n'a rien à voir avec les grands chiffres que j'ai entendus. Selon les règles de la compensation, le contrat était de gouvernement à gouvernement et Dassault a signé en même temps un contrat de compensation selon la Procédure d'acquisition de la Défense (DPP) 2013. Il y avait une valeur aux compensations. La JV produira des pièces de Falcon et peut-être, un jour, un Falcon 2000 complet à Mihan. Nous obtiendrons des crédits pour les crédits compensatoires. Aujourd'hui, si je prends le nombre de transactions avec différentes entreprises, j'ai déjà 40% des obligations couvertes avec 30 entreprises, dont l'une est la JV (Reliance) qui représente 10% des 40%. Mais, la coentreprise a déclaré dans des communiqués de presse qu'elle est un partenaire clé dans les compensations de Rs 30.000 cr ? Ce qui est important, c'est ce que nous allons faire. Il s'agit de produire le Falcon, ses pièces et des pièces de Rafale. Pour moi, c'est essentiel, car je dois transférer à cette entreprise commune la capacité de produire selon les normes occidentales. Nous avons besoin d'avoir la bonne qualité pour être une entreprise mondiale. C'est essentiel parce que l'entreprise commune va devenir une entreprise aéronautique mondiale qui est fondée de toutes pièces. Alors, quelles sont les autres entreprises qui feront les compensations pour le Rafale ? Nous avons une liste, le travail se poursuit car nous sommes en discussion avec plus de 100 entreprises. Trente d'entre eux ont déjà été signés. Ils sont à Bangalore, à Mumbai, à Pune, dans tout le pays. Il y a eu beaucoup de confusion et de discussions sur la déclaration de l'ancien président François Hollande selon laquelle le partenariat avec Reliance était obligatoire pour l'accord ? C'est très simple, M. Hollande a lui-même précisé que les deux sociétés se sont associées de leur propre chef. Nous avons trouvé Reliance en 2011-2012. Ce n'était pas à l'époque de la Hollande et pas à l'époque de votre premier ministre en poste. Nous sommes en pourparlers avec Reliance depuis longtemps. Je tiens à préciser que Dassault Aviation est un partenaire car les Ambani sont une famille très respectable. Les deux frères et leur mère sont bien connus en Inde. Nous sommes une entreprise familiale et nous nous sentons à l'aise avec une autre entreprise familiale. Y a-t-il eu des pressions ou des pressions de la part des Indiens pour qu'ils choisissent Reliance pour les compensations ? Pas du tout. Les règles de la politique d'acquisition de la Défense stipulent que le choix du partenaire de compensation appartient à l'entrepreneur. Les Français n'ont rien à dire sur le choix des partenaires en Inde. Lorsque je choisis un partenaire, il devient de ma responsabilité de respecter les obligations, les normes de qualité et le calendrier. J'ai fait le choix. L'Inde a-t-elle payé beaucoup plus cher pour les 36 Rafale que ce qu'elle aurait payé pour le contrat précédemment négocié ? Il y a là une confusion. Je ne veux pas divulguer l'information sur les prix, mais ce que je peux dire, c'est que nous avons déjà eu une proposition plus tôt pour 126 aéronefs. Ce plan se divisait en deux parties. Le premier concernait 18 avions en état de décollage et le second la production de 108 avions comprenant des outils, des gabarits, des heures-personnes et de la documentation. Le prix unitaire des 18 Rafales volants a été donné au gouvernement. Le support (pièces de rechange) a été modifié pour s'adapter à 36. Ensuite, nous avons entamé des négociations avec le ministère de la Défense. Les prix sont restés très bas et il y a eu aussi un rabais de 9% sur le prix total. Si c'était le double du prix, j'aurais été renvoyé en France sans aucun contrat. Par rapport au même prix (UPA), l'Inde a réduit ses coûts de 9%. Où est la confusion ? D'une pomme à l'autre, la comparaison se fait entre les 18 et 36 jets volants. Avez-vous été surpris que le nombre d'avions à acheter soit passé de 126 à 36 ? Cela faisait partie de la décision (indienne). Nous avons été très fermes sur l'obtention du contrat pour 126 avions et nous avons eu des discussions avec HAL car c'était l'agence de production principale. Pour certaines raisons, l'accord n'a pas été conclu. Quel était le problème ? Nous avons été sélectionnés en 2012 et même en 2015, nous n'avions pas été en mesure de finaliser l'accord. Je ne dirai pas pourquoi dans les détails, mais il était difficile de faire face à des exigences différentes. L'un d'eux était de savoir qui assumera la responsabilité finale de l'avion, Dassault ou HAL ? J'avais dit que pour les premiers avions, ce devrait être Dassault et ensuite ce devrait être HAL. Nous avions une excellente relation avec HAL et nous avons eu de nombreuses discussions, mais pour une raison ou une autre, elle n'a pas été adoptée. Ensuite, si j'ai bien compris, il y avait un besoin urgent de l'IAF et l'Inde a demandé à la France de fournir l'avion et a finalisé le contrat pour 36 Rafales. Dans l'affaire Rafale, des plaintes pour corruption ont été déposées auprès de la CBI et des représentations ont également été faites devant la Cour suprême. Êtes-vous ouvert à une enquête sur le contrat ? Depuis 2000, il existe en France un droit international fort en matière de lutte contre la corruption et nous le respectons. Nous nous en tenons aux lois de la France et de l'Inde et à la loi du contrat. Nous sommes totalement contre la corruption. S'il y a une enquête en France ou en Inde, nous ne sommes pas seulement ouverts à l'enquête, c'est notre devoir (de répondre). Nous prouverons qu'il n'y a pas de corruption. Nous sommes ouverts, nous sommes ingénieurs et nous voulons être en Inde. Nous voulons développer des capacités en Inde non seulement pour la fabrication, mais aussi pour la conception et le développement. Il y a beaucoup d'opportunités et nous sommes très enthousiastes d'être en Inde. C'est pourquoi je suis un peu triste de cette controverse. Pour moi, je suis très enthousiaste d'être en Inde, de mettre en place le partenariat avec les entreprises indiennes et nos équipes s'y engagent. Pensez-vous que la signature du contrat pour 36 jets vous donne un avantage pour deux prochains contrats pour 110 avions de chasse qui seront fabriqués en Inde et un besoin naval de 57 jets ? L'IAF avait fait une évaluation complète des différents concurrents qui comprenaient le F/A 18, le Gripen, l'Eurofighter ainsi que le jet russe et parmi eux, le Rafale était jugé le meilleur. Donc, ça nous donne un avantage. L'autre avantage est que dans le cas de 36 jets, la formation des pilotes, des mécaniciens et du personnel de soutien sera déjà en place. Je vais me battre pour essayer d'obtenir les deux contrats parce que Rafale est capable d'exploiter depuis les porte-avions. Cela pourrait être une concurrence entre nous et les États-Unis, mais nous avons un très bon produit. Les forces françaises ont décidé dès le départ de disposer d'un avion capable d'assurer à la fois des opérations terrestres et des opérations de porte-avions. Le Rafale donnera à l'Inde une supériorité réelle dans les airs. 1 3 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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