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Le jeu des chaises musicales...

Nirupama Rao on two-day visit to Paris

Vaiju Naravane

Paris: Did Pakistan Prime Minister Yusuf Raza Gilani cut short his planned four-day trip to Paris because his hosts suggested that the presence in the French capital of India's Foreign Secretary Nirupama Rao might create an embarrassing situation for them and him?

Ms. Rao is on a two-day visit to Paris for Foreign Office Consultations with her French counterpart, Pierre Sellal, during which she will also call on President Nicolas Sarkozy. Counter-terrorism, Afghanistan and bilateral and regional issues are expected to dominate the discussions.

India will reiterate the point it has repeatedly made in the past about Pakistan acting as a sanctuary for terrorists. Ms. Rao's arguments will have added weight because of the recent events in Pakistan. She is also expected to tell French leaders that India is keen to normalise its ties with Pakistan, but will continue to seek concrete action from Islamabad against the perpetrators of the 26/11 Mumbai attacks.

Ms. Rao's trip comes at a particularly embarrassing moment for Pakistan, whose army and spy services have been caught on the wrong foot. During his 36-hour stay (reduced by half without any explanations), Mr. Gilani tried hard to convince the media and the French establishment that the entire world, not just Pakistan, was to blame for the intelligence failure over Osama bin Laden's hideout in Abbottabad. That he did not succeed would be an understatement. His remarks were deemed facetious and off-hand by certain editorialists, who scathingly commented on the Prime Minister's inability to confront facts squarely.

The French establishment too has been jittery about Mr. Gilani's trip, keeping it as quiet as possible. Officially, no meeting was scheduled with French Defence Minister Gerard Longuet. But the latter did make an unscheduled call on Mr. Gilani at his hotel on Wednesday. France is keen to sell military hardware to Pakistan, but now is a very bad time indeed. In contrast to the €450-million military hardware deal being negotiated with Pakistan, India is a much bigger and more lucrative market for France.

The French will not want to do anything to upset or anger India — especially now with the French Rafale combat aircraft making it to India's final short list of the multi-billion dollar combat fighter deal two — hoping to notch up its very first sale abroad. All told, the French are hoping to sell civil nuclear technology and military hardware totalling over €20 billion. Pakistan is hardly in the same league.

Pakistan's concerns

“One of Pakistan's concerns is over the role India will play in Afghanistan, and diplomatic efforts are being directed at convincing the NATO coalition that New Delhi's presence in Islamabad's backyard is a stumbling block to peace. Islamabad has probably struck a deal with Washington by handing over Osama, saying: you have reached your objectives, now withdraw and let us handle Afghanistan. Will the western withdrawal from Afghanistan affect the Pakistani state's attitude to terrorism and proxy outfits? That is difficult to say,” writer, journalist and commentator, Frederic Pons, said in a talk show.

Source : The Hindu

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Notons tout d’abord qu’aucun des candidats n’a satisfait l’ensemble des critères exigés par la partie indienne...

Pour le rafale, c'est quel critere qui n'a pas été satisfait, une idée, le vol en haute altitude ?
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Ben disons qu'on ne voit absolument pas comment l'EF pourrait être moins cher que le Rafale. Ca va à l'encontre de tout ce qu'on a pu voir en terme d'audit, de rapport de la GAO ou de la court des comptes, rapport parlementaire y compris allemand, etc.

Non, quand je disais ca, c'était au sujet des offsets.

Certains pointent du doigts que Dassault auras du mal à atteindre 5 milliards d'offset et ca n'est pas faux. Bon, évidemment, il ne faut as oublier Thales et Snecma non plus.

Reste que je pense que ca n'est pas simple, y compris pour EADS.

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Bon, évidemment, il ne faut as oublier Thales et Snecma non plus. Reste que je pense que ca n'est pas simple, y compris pour EADS.

Comme cela a déjà été dit ici (par Kovy si je me souviens bien), les offsets, ce n'est pas forcément d'entreprise(s) à entreprise(s). C'est plus généralement d'Etat(s) à Etat. Autrement dit, on peut très bien imaginer la production de certains matériel Nexter en Inde, dans le cadre de compensations pour la livraison de Rafales. [Je ne dis pas que l'exemple est fondé, mais en tout cas ça peut fonctionner de la sorte.] En revanche, on demande généralement à ce que les compensations concernent le secteur militaire/aéronautique, ou sinon qu'il y ait au moins des retombées pour le secteur militaire. En tout cas, c'est toujours ainsi que ça a fonctionné en Inde, me semble-t-il.

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Comme cela a déjà été dit ici (par Kovy si je me souviens bien), les offsets, ce n'est pas forcément d'entreprise(s) à entreprise(s). C'est plus généralement d'Etat(s) à Etat. Autrement dit, on peut très bien imaginer la production de certains matériel Nexter en Inde, dans le cadre de compensations pour la livraison de Rafales. [Je ne dis pas que l'exemple est fondé, mais en tout cas ça peut fonctionner de la sorte.] En revanche, on demande généralement à ce que les compensations concernent le secteur militaire/aéronautique, ou sinon qu'il y ait au moins des retombées pour le secteur militaire. En tout cas, c'est toujours ainsi que ça a fonctionné en Inde, me semble-t-il.

Oui oui, enfin, je me rappel encore des "offsets américains" en Pologne avec du General Motors, et autres compagnies qui n'ont rien à voir avec l'aéronautique, et on sait comment cela a finit.

De plus, dans mes souvenirs, Dassault se démerdait toujours avec les clients qui payaent en huile de palme ou je ne sais quoi, alors, il n'y a pas tant que cela d'intervention de l'état.

Bien sur, de nos jours, on sait bien que l'achat d'avions de combat (de part leur prix) est de plus en plus politique mais j'espère de tout coeur que cela ne va pas remonter aussi haut quand je vois les performances de nos dirigeants.

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salut les us auront 16 c-17 petite quantite mais grosse marge.je pense que le gagniant sera eurofighter car ce n'est pas un  simplecontrat d'armement mais un contract dipomatique (union europeén 27 pays) mais pour moi le meilleur choix serait 63 fighter americain et 63 fighter europeen:plusieur fournisseur beaucoup plus d'emploi,us amie et union europeen.mais cela couterait pluscher formation maintenant.......quel sera votre avion si l'inde entre dans le programme du f35.

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je pense que le gagniant sera eurofighter car ce n'est pas un  simplecontrat d'armement mais un contract dipomatique (union europeén 27 pays)

Avec 126 machines, on est loin du simple contrat d'armement. La différence prix jouera certainement bien plus, rien que 10 M€ d'écart/avion entre les deux concurrents (il semble que se soit plus en réalité), ça ferait 1,26 milliard € d'écart. De quoi réflêchir à deux fois avant de signer ....

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64 contre 84 million, c'est plustot 20 ME d'ecart, mais son prix va considerablement augmenter avec le sea typhoon (10 ans) et une confirguration pour les mission air-sol en 2017 si tout va bien, il n a toujours pas d'aesa, les europeens renaclent a financer tout ca et vendent leur ef2000 en trop sur le marché d'occase.  Le rafale a déjà tout ca, il manque que les M88 9t, sans compter que les confrontation rafale / eurofighter n'ont pas tourné en faveur du tyffie. Comme la France est dans EADS, rien n'est joué, EADS a quelques casseroles qui trainent en inde, quasiment rien coté dassault.

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d'abord c'est cassidian la filliale d'eads en deficit car A400M eurofighter talarion etc..  que les germains veulent utiliser!

EADS a 46% dans dassault aviation qui gagne de l'argent et 46% dans eurofighter qui en perd!

Alors les choix strategiques , gagner de l'argent avec dassault et un avion moins chere ou EADS n'a pas besoin de retrer directement dans le contract de 11 milliards avec 50% offset!

ou alors y aller avec eurofighter, un projet dont les gouvernements veulent plus à en reduire les commandes , et investir directement 50% des 16 millards en inde ?

sont fous chez EADS mais bon , ils ont l'A350 A400M etc.. à financer , ils prendront la meilleur solution !

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Il y a un commentateur qui donne un avis plus sensé:

"    What an idiot!! If he is correct, then why did Sonia didn't support Eurofighter, after-all ITALY is part of the Eurofighter Consortium (Alenia Aeronautica, i.e. Finmeccanica).

   I cannot believe that we give people like that platform to show their absurdity and stupidity!!"

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A propos des compensations industrielles: le vainqueur devra recycler en Inde 50% de la valeur du contrat sous forme de production, sous-traitance ou investissements dans l'industrie de defense et seulement dans la defense.

C'est d'autant plus difficile que l'Inde interdit aux étranger de posseder plus de 26% d'une entreprise de defense Indienne.

Ces règles ont été assouplies au début de l'année afin d'inclure aussi les secteurs de la sécurité interieure, l'aviation civile, la formation, l'entretient. Mais a priori ces nouvelles regles ne sont pas rétroactives et ne concernent donc PAS le contrat MMRCA. Mais ça peut encore évoluer.

Concernant EADS, par exemple je vois mal Eurocopter faire des compensations pour le Typhoon au détriment du Rafale.

je suis d'accord avec ceux qui disent qu'il n'est pas question:

1) que EADS fasse des compensations industrielles militaires à perte au détriment du Rafale (et au détriment d'Airbus: ces pertes finiront toujours par retomber sur la gueule d'Airbus)

2) que, au cas ou les compensations dans l'aéronautique civile soient acceptés, celà favorise le Typhoon.

L'état français sous Jospin a déjà bradé l'Aérospatiale, faudrait pas qu'on se prenne le deuxieme effet KissCool dans la tronche avec EADS jouant contre Dassault/Thales/Safran. Manquerait plus que ça.

La logique voudrait:

- ou bien que EADS Deutchland/Espagne fasse des compensations pour le Typhoon et EADS France pour le Rafale. Mais c'est pas bon pour l'integration de cette societé qui est déjà assez compliqué comme ça,

- ou bien qu'EADS propose ses compensations a égalité aussi bien pour le Typhoon que pour le Rafale. Mais on voit pas bien ce qui motivera EADS,

- ou qu'EADS fasse des compensations pour personne. Mais on voit pas comment le Typhoon et meme le Rafale atteindraient leur quota.

Bref ça va pas etre simple de pas se faire baiser sur ce coup là.

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A propos des compensations industrielles: le vainqueur devra recycler en Inde 50% de la valeur du contrat sous forme de production, sous-traitance ou investissements dans l'industrie de defense et seulement dans la defense.

C'est d'autant plus difficile que l'Inde interdit aux étranger de posseder plus de 26% d'une entreprise de defense Indienne.

Ces règles ont été assouplies au début de l'année afin d'inclure aussi les secteurs de la sécurité interieure, l'aviation civile, la formation, l'entretient. Mais a priori ces nouvelles regles ne sont pas rétroactives et ne concernent donc PAS le contrat MMRCA. Mais ça peut encore évoluer.

Oui, certains spécialistes indiens avancent que la probabilité de voir cette valeur des 50 % diminuer, peut-être jusqu'à 30 %, n'est pas négligeable. Reste à voir quel pourrait être le montage législatif pour une telle modification ?

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Article intéressant

Rejected MMRCA vendors fight to return

Ajai Shukla / New Delhi May 14, 2011, 0:25 IST

[...]

It remains unclear why the MoD sent out its rejection letters before the TOC had ensured full compliance with procedures. Now, the three-man TOC — headed by the Scientific Advisor to the Raksha Mantri (SA to RM), V K Saraswat, with Bharat Electronics Ltd chief, Ashwini Datt and the IAF’s Air Marshal Anil Chopra as members — is scrambling to complete this mandatory review. Emailed a questionnaire by Business Standard, the MoD has not responded.

PARAMETERS

Aviation experts apprehend that this procedural lacuna could be exploited by one of the “politically influential vendors” (read Boeing and Lockheed Martin) to re-enter contention. Senior IAF officers, however, emphatically rule out selecting either American fighter. Says an IAF officer involved in the selection: “The US companies, which flaunt their technological leadership, are feigning hurt that their fighters were found technologically unsuitable. But it was their misjudgement to offer the IAF fighters like the F-16 and the F-18 that are decades old. It is arrogance to claim these have been modernised and are good enough for a country like India. f they wanted to argue technology, they should have fielded the F-35.”

The Russian vendor, RAC MiG, is also upset with the IAF’s rejection but for another reason. “The MiG-35 has been developed in Russia as a natural replacement for the 2000-odd MiG-21s that are in coming to the end of their service lives in tens of air forces around the world. With the IAF — a bastion of MiG fighters — rejecting the MiG-35, the Russian builder worries about the negative signal this will send across the world,” points out Pushpindar Singh, aerospace expert and editor-in-chief of the trade magazine, Vayu.

Meanwhile, Gripen International is fine-tuning its strategy for appealing the IAF’s rejection. According to the MoD’s letter to the company, the Gripen NG was found non-compliant with the IAF’s tender requirements on 51 counts, of which 43 relate to the critical Active Electronically Scanned Array (AESA) radar. Gripen International argues it is unfair to say the IAF has not been provided “proof of technology”, or proof that the Gripen NG’s Selex AESA radar (still under development) had surmounted the key technological obstacles needed for operationalising it in time for delivery to India. That is because Selex (in partnership with Euroradar) is also developing the Eurofighter’s AESA radar, which the IAF has accepted as technologically viable, and likely to be ready in time for delivery to India. Gripen points out that if Selex has convinced the IAF about having mastered the technology for the Eurofighter’s AESA radar, that same technology will drive the Gripen NG’s radar.

But IAF sources reveal that Gripen failed to provide proof that their AESA radar development was on track and that they could integrate it on a fighter. In contrast, Dassault had fitted two prototype AESA radars on Rafale fighters, proving they were close to completion. Eurofighter, too, test-flew a prototype AESA radar for the IAF evaluation team, convincing them it would be ready by 2014-15.

[...]

Article intégral sur Business Standard

Pour les non anglophones :

- Les perdants jouent les pleureuse. (Aux chiottes, l'arbitre !)

- Certains s'étonnent que le Ministre de la Défense ait envoyé les lettres de rejet pour les offres recalées avant même que la procédure ait été totalement achevée. (Ah, ben ça...) 

- Les Indiens n'auraient apparemment pas aimé l'attitude US : envoyer les F-16 et le F-18, quelque peu surannés, alors qu'ils ont le F-35 en stock. (m'enfin, si les US s'étaient fait recaler sur le F-35, ils l'auraient sans doute encore plus mal pris)

- Gripen recalé pour son (non-)radar AESA : SAAB proteste, et imagine faire appel, arguant que l'Eurofighter fut accepté avec son radar AESA proposé également par Selex. Les Indiens expliquent que les Suédois n'auraient jamais été en mesure de prouver qu'un réel programme de développement de radar AESA ait été lancé et que celui-ci puisse être intégré sur Gripen.

- Dassault avait amené 2 prototypes AESA, prouvant que son intégration était proche d'être achevée sur Rafale.

- Le consortium Eurofighter avait amené 1 prototype AESA, ayant convaincu les Indiens que leur nouveau radar serait prêt pour 2014/2015.

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