clem200 Posté(e) samedi à 11:21 Share Posté(e) samedi à 11:21 (modifié) il y a une heure, herciv a dit : C'est ton droit. C'est un point de vue, j'ai aussi le droit de penser que le forum se doit de trier et filtrer intelligemment les informations et de ne pas prendre tout ce qui vient de n'importe qui juste parce que ça concerne un sujet qui nous intéresse. Sinon on peut migrer sur Twitter quoi .. Je ne suis pas d'accord avec le concept de prendre n'importe quelle information en venant de n'importe quel indien juste parce que c'est un Indien. Bref je ne commenterai plus quand ce n'est pas une source officielle Modifié samedi à 11:30 par clem200 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) samedi à 11:33 Share Posté(e) samedi à 11:33 il y a 34 minutes, Titus K a dit : oui fin c'est chatGPT ... J'ai demandé la couverture d'un roman érotique avec mon titre et j'ai ajouté ta description (Rambo, cicatrices et tout le tralala) (Un peu déçu je voulais plus érotique, mais bon je vais pas aggraver encore plus mon bilan carbone) Tu peux encore la régénérer en ANglais ou en Indi ? Ou une pareil ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) samedi à 11:35 Share Posté(e) samedi à 11:35 (modifié) il y a 17 minutes, clem200 a dit : C'est un point de vue, j'ai aussi le droit de penser que le forum se doit de trier et filtrer intelligemment les informations et de ne pas prendre tout ce qui vient de n'importe qui juste parce que ça concerne un sujet qui nous intéresse. Sinon on peut migrer sur Twitter quoi .. Je ne suis pas d'accord avec le concept de prendre n'importe quelle information en venant de n'importe quel indien juste parce que c'est un Indien. Bref je ne commenterai plus quand ce n'est pas une source officielle Je comprend cette position mais le rafale sert de convergence à bien des guerres anti française. Cette fois-ci la com paki. On on vient de trouver une faille et donc une manière de répondre à une cabale contre le rafale donc j'exploite cette faille. Comme les indiens sont très sensible à l'image, celle-ci fait bien passer les messages principaux de ce qui s'est passé au Cachemire et c'est très important que çà imprime. Modifié samedi à 11:39 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) samedi à 12:28 Share Posté(e) samedi à 12:28 51 minutes ago, herciv said: Je comprend cette position mais le rafale sert de convergence à bien des guerres anti française. Cette fois-ci la com paki. On on vient de trouver une faille et donc une manière de répondre à une cabale contre le rafale donc j'exploite cette faille. Comme les indiens sont très sensible à l'image, celle-ci fait bien passer les messages principaux de ce qui s'est passé au Cachemire et c'est très important que çà imprime. Sauf que troller un troll/propagandiste c'est pas productif (après... il est vrai que rien n'est productif dans ces cas) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) samedi à 14:55 Share Posté(e) samedi à 14:55 Il y a 3 heures, clem200 a dit : C'est un point de vue, j'ai aussi le droit de penser que le forum se doit de trier et filtrer intelligemment les informations et de ne pas prendre tout ce qui vient de n'importe qui juste parce que ça concerne un sujet qui nous intéresse. Sinon on peut migrer sur Twitter quoi .. Je ne suis pas d'accord avec le concept de prendre n'importe quelle information en venant de n'importe quel indien juste parce que c'est un Indien. Bref je ne commenterai plus quand ce n'est pas une source officielle Je ne suis personnellement pas un fan de ces méthodes (évidemment, je suis journaliste). Mais je trouve ça intéressant d'observer et documenter l'émergence de ce narratif indien. Évidemment, il ne s'appuie sur rien de plus concret que le narratif officiel pakistanais, mais il n'en n'est pas moins (ni plus) plausible. Et dans un conflit de nature hybride, ces narratifs ont une importance et traduisent (dans ce cas précis) la confiance des Indiens envers leurs Rafale et leurs pilotes. Personnellement, je suis même surpris que ça ne se soit pas répandu juste après les débriefs dithyrambiques de la PAF. Parce que bon, balancer au monde entier qu'ils ont spécifiquement tendu un piège aux Rafales indiens en mettant des dizaines de chasseurs en l'air spécifiquement pour contrer cette menace et n'en ressortir qu'avec une seule victoire aérienne (qui plus est sur un appareil gréé en bombardier), ça démontre plutôt au final les excellents résultats du Rafale plutôt que ceux de la PAF. Bref, avec un narratif aussi exagéré (mais néanmoins efficace) de la part des pakistanais, il fallait nécessairement s'attendre à une riposte communicationnelle (et en Inde, ces ripostes sont souvent non institutionnelles) 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) samedi à 15:55 Share Posté(e) samedi à 15:55 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) samedi à 17:09 Share Posté(e) samedi à 17:09 (modifié) Rigolez pas hein : Donald Trump et l’ambiguïté sans stratégie https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Donald-Trump-et-l-ambiguite-sans-strategie-50300810/ En annonçant qu’il se donnait deux semaines pour décider s’il frappe ou non l’Iran, Donald Trump laisse une nouvelle fois planer le doute sur ses intentions. Une ambiguïté qui lui permet de se donner des marges de manœuvres, et surtout de rester au centre du jeu. Mais qui ne masque pas une absence de stratégie. L’ambiguïté stratégique. Un concept théorisé par le Chinois Sun Tzu dans le livre l’Art de la guerre, qui consiste à entretenir volontairement le flou sur ses intentions. L’idée c’est de laisser volontairement place à l’interprétation. Cette posture permet de se préserver une marge de manœuvre. Et surtout, de décourager ses adversaires de prendre des décisions hostiles, en entretenant le doute sur les représailles qu’ils subiraient. C’est la position historique des Etats-Unis vis-à-vis de Taiwan, qui consiste à ne pas dire clairement si l’armée américaine interviendrait en cas d’attaque de l’ile par la Chine. C’est aussi un concept très utilisé dans la grammaire nucléaire, et notamment en ce qui concerne la doctrine d’emploi. "Personne ne sait ce que je vais faire" Entretenir l’ambiguïté, c’est ce que fait Donald Trump à longueur de journées. Qu’il s’agisse des droits de douane, de sa position vis-à-vis de l’Ukraine, et maintenant de l’Iran. "Je vais peut-être le faire, peut-être pas" déclarait Donald Trump mercredi, en réponse à une question sur l’éventualité de frappes américaines. "Personne ne sait ce que je vais faire". Entretenir l’ambiguïté, c’est un peu sa marque de fabrique. On dit souvent de lui que l’imprévisibilité le caractérise. La conséquence, c’est que personne ne sait réellement comment se positionner vis-à-vis de lui. Ses ennemis comme ses alliés. Et tout le monde se retrouve à tout surinterpréter. Mais cette posture a un avantage : elle permet de rester toujours au centre du jeu, de montrer que la décision dépend uniquement de lui. Un président seul face à l’histoire. Et rien de tel pour alimenter cette mise en scène que de contredire en permanence ses alliés, et même sa propre administration. Lundi, en réponse à Emmanuel Macron, qui avait justifié son départ du G7 par des négociations sur un cessez le feu, Donald Trump déclarait à bord d’Air Force One "cela n’a certainement rien à voir avec un cessez-le-feu. C’est bien plus important que cela. Que ce soit intentionnel ou non, Emmanuel ne comprend jamais rien." Dans cette même séquence, il n’a pas été plus tendre avec Tulsi Gabbard, directrice du renseignement national. Fin mars, auditionné par une commission de la Chambre des Représentants, cette dernière estimait que l’Iran "ne construit pas d’arme nucléaire". Réponse cinglante du président américain : "Je me moque de ce qu’elle dit". Paix par la force Tactiquement, Donald Trump joue donc de l’ambiguïté pour montrer qu’il a la main, et tenter de contrôler le narratif. Mais, au-delà de cet objectif assez personnel, aucune stratégie claire ne se dessine. Que cherche-t-il à faire avec l’Iran ? En 2018, il se retire de l’accord sur le nucléaire signé en en 2015 – qui encadrait l’enrichissement de l’uranium en échange de la levée progressive des sanctions. Puis, il enclenche, dès le début du second mandat, des négociations pour conclure un nouvel accord (qui aurait ressemblé au précédent). Et aujourd’hui, il menace d’intervenir militairement, voire de neutraliser (pour reprendre le terme consacré chez les militaires) le Guide suprême : "nous savons exactement où se cache le soi-disant "Guide suprême". C'est une cible facile, mais il y est en sécurité. Nous n'allons pas le tuer, du moins pas pour l'instant." écrivait il mardi sur Truth Social. Une posture assez belliqueuse pour celui qui a fait de l’opposition aux interventions militaires extérieures la matrice de son engagement politique. Lors de la dernière présidentielle, il se présentait même comme le candidat de la paix, promettant par exemple de régler le conflit en Ukraine "en 24 heures". Si la paix semble toujours l’objectif, c’est davantage une logique de "paix par la force" qui prévaut en ce moment vis-à-vis de l’Iran. Une approche d’ailleurs revendiquée par l’administration Trump. En clair, il s’agit de mettre tout le poids de la puissance américaine, sur les plans militaires, diplomatiques et économiques pour tordre le bras de ses ennemis (mais pas seulement), et les forcer à conclure un accord avec lui. Divisions internes Les hésitations de Donald Trump vis-à-vis de l’Iran sont aussi le reflet de divisions chez les Républicains. Ce qui cimente la base MAGA (Make America Great Again), c’est le rejet des aventures militaires hors des Etats-Unis. Une opposition absolue aux néoconservateurs au pouvoir à l’époque de George W. Bush, et à leurs guerres en Irak et en Afghanistan. "En fin de compte, les soi-disant « bâtisseurs de nations » ont détruit bien plus de nations qu’ils n’en ont bâti – et les interventionnistes sont intervenus dans des sociétés complexes qu’ils ne comprenaient même pas eux-mêmes", affirmait le président américain dans son discours à Riyad le mois dernier. Mais au sein du parti, il y a encore des faucons républicains, qui ont une vision plus interventionniste. C’est le cas notamment du sénateur de Caroline du Sud, Lindsay Graham, qui déclarait mardi sur Fox News : "faire tomber le régime de l’ayatollah est une bonne chose, pas une mauvaise chose". Enfin, une partie des supporters de Donald Trump (et de ses élus) le soutiendra quel que soit la décision qu’il prenne. Ceux qui défendent toutes ses prises de position pied à pied, peu importe les contradictions. Ceux qui expliquent qu’il a toujours un plan et que tout ce qu’il fait relève de "l’Art du deal" (en référence à son livre publié en 1987) même si personne n’est en mesure de le comprendre. Interrogé mercredi sur la possibilité d’un changement de régime en Iran, Donald Trump s’est d’ailleurs contenté d’une formule qui résume à elle seule son approche : "J’ai un plan pour tout. Mais on verra ce qui se passe." L’ambiguïté toujours. Mais sans stratégie. Modifié samedi à 17:10 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) samedi à 17:21 Share Posté(e) samedi à 17:21 Le dirigeant iranien choisirait des successeurs au cas où il serait assassiné https://www.washingtontimes.com/news/2025/jun/21/irans-leader-reportedly-picks-successors-case-hes-assassinated/ Par Lindsey McPherson - Le Washington Times - Samedi 21 juin 2025 L’ayatollah iranien Ali Khamenei se cacherait dans un bunker alors qu’il se préparait à un éventuel assassinat alors qu’il continue de frapper son pays. Le dirigeant suprême, qui est au pouvoir depuis trois décennies, a nommé trois successeurs potentiels, a rapporté le New York Times. Il a également choisi des remplaçants pour des commandants militaires qui pourraient également devenir des victimes de la guerre. Citant trois responsables iraniens connaissant les plans de guerre d'urgence de l'ayatollah, le point de presse a rapporté que M. Khamenei, 86 ans, considérerait sa mort aux mains d'Israel ou des États-Unis comme un martyre. Il a chargé l'Assemblée des experts de l'Iran, l'organe clérical chargé de nommer un successeur, de choisir rapidement parmi les trois noms qu'il a fournis. Typiquement, les ecclésiastiques choisiraient un dirigeant suprême parmi leurs propres rangs, un processus qui prend des mois, mais M. Khamenei chercherait une transition plus rapide qui préserverait son héritage. Le rapport du New York Times ne nomme pas M. Les trois choix de Khamenei, mais a dit que son fils Mojtaba, qui aurait été un favori, ne figurait pas sur la liste des successeurs potentiels. Le dirigeant suprême de l’Iran n’est pas seulement responsable du pouvoir exécutif et du commandant en chef des forces armées iraniennes, mais aussi à la tête du pouvoir judiciaire et de la législature, et est le gardien le plus haut de la foi chiite. Le président Trump a déclaré dans un billet sur les médias sociaux cette semaine que les États-Unis savent exactement où M. Khamenei se cache. « C’est une cible facile, mais c’est sûr là-bas », a déclaré M. Trump a dit. « Nous n’allons pas l’enlever (tuer le meurtre), du moins pas pour l’instant. Mais nous ne voulons pas de missiles tirés sur des civils, ni des soldats américains. Notre patience s'épuise. » Le rapport du NYT indique que l'ayatollah a suspendu les communications électroniques pour aider à protéger son emplacement et ne s'adresse à ses commandants militaires que par l'intermédiaire d'un assistant de confiance. Les frappes israéliennes ont déjà tué plusieurs hauts responsables iraniens. Les États-Unis, qui ont contribué à l’échange de renseignements, sont en train de réfléchir à la question de savoir s’il faut s’impliquer directement dans la guerre pour aider l’État hébreu à décimer le programme nucléaire iranien. Seuls les États-Unis ont des bombes à forte puissance qui peuvent pénétrer les installations d'enrichissement nucléaire souterraines de l'Iran. M. Trump a déclaré jeudi qu'il déciderait dans les deux semaines si les États-Unis frapperaient l'Iran, et a ajouté vendredi que c'est le temps « maximum » qu'il donnerait à l'Iran pour négocier un accord nucléaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) samedi à 18:39 Share Posté(e) samedi à 18:39 Pas le bon sujet, non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) samedi à 19:50 Share Posté(e) samedi à 19:50 Oui Iran sur le fil inde. Pour infos modi a encore et encore rebuqué trump en tweetant qu'il ne pouvait aller rencontrer trump aux usa. Ça fait déjà pas mal de trucs et trump en a remis une couche en disant qu'il méritait le prix Nobel pr son intervention dans sindoor. On sent modi vraiment agacé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) samedi à 20:32 Share Posté(e) samedi à 20:32 il y a 40 minutes, mgtstrategy a dit : en disant qu'il méritait le prix Nobel pr son intervention dans sindoor. En anglais sindoor ça donne : la porte du péché. Tu m'étonnes que ça l'a excité... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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