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[SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...


g4lly

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Il y a 6 heures, Chimera a dit :

Il faut arrêter les délires de collaboration entre industriels français et un futur NGF allemand ou hispano-allemand.

Le jour où le SCAF tombe et la France lance son programme national, le trio Dassault-Safran-Thales se reformera avec une volonté de revanche et nos "partenaires" pourront aller se brosser pour obtenir un bout de moteur ou de FCS. C'était déjà l'état d'esprit en 85 et ça semble repartir dans ce sens aussi cette fois ci.

Si les allemands veulent créer de la concurrence, il faudra qu'ils soient bons par eux même. Zero cadeaux.

Surtout que désormais tout le monde a vu et tout le monde sait, en France comme à l'étranger.

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il y a 36 minutes, Ronfly a dit :

Des pays comme l'Allemagne ou l'Espagne, qui n'ont pas investit financièrement, industriellement et stratégiquement dans leur défense pendant 30 ans, ne laisse pas un pays comme la France mener la barque sur un programme qu'elle maîtrise largement plus. Ils se sont mis à quatre sans nous pour faire un flop technique et financier il y a 40 ans. Apparemment ça leurs plaît. Qu'ils continuent leurs divagations et que nous continuons la nôtre....

On a tendance à mettre l'Allemagne et l'Espagne dans le même panier (Airbus oblige). Pourtant nous n'entendons pas d'échos négatif d'Espagne, pays qui appelle encore à la modération et au compromis.

En outre, l'Espagne n'a pas acheté de F35. Elle pourrait choisir de rester à bord du NGF, aux conditions de Dassault.

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Il y a 1 heure, Salverius a dit :

On a tendance à mettre l'Allemagne et l'Espagne dans le même panier (Airbus oblige). Pourtant nous n'entendons pas d'échos négatif d'Espagne, pays qui appelle encore à la modération et au compromis.

En outre, l'Espagne n'a pas acheté de F35. Elle pourrait choisir de rester à bord du NGF, aux conditions de Dassault.

Il y a au moins, coté technique, l'histoire du FADEC du TP400 de l'A400M, et coté trahison, l'histoire du S80 (même si touchant le domaine naval et pas aéronautique) . . . :unsure:

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Il y a 1 heure, Salverius a dit :

On a tendance à mettre l'Allemagne et l'Espagne dans le même panier (Airbus oblige). Pourtant nous n'entendons pas d'échos négatif d'Espagne, pays qui appelle encore à la modération et au compromis.

En outre, l'Espagne n'a pas acheté de F35. Elle pourrait choisir de rester à bord du NGF, aux conditions de Dassault.

Allez, c'est peut-être l'arrièré de l'histoire de Navantia/DCNS qui reste en font de cerveau...

On verra si l'Espagne passe ou pas au F-35 notamment. Même si les discours des militaires et de certains de leurs officiels est plutôt dans son sens. Qu'ils nous surprennent et on verra bien ce qu'il en retourne... L'espoir (l'utopie?) fait vivre.

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Il y a 18 heures, Chimera a dit :

Il faut arrêter les délires de collaboration entre industriels français et un futur NGF allemand ou hispano-allemand. 

Le jour où le SCAF tombe et la France lance son programme national, le trio Dassault-Safran-Thales se reformera avec une volonté de revanche et nos "partenaires" pourront aller se brosser pour obtenir un bout de moteur ou de FCS. C'était déjà l'état d'esprit en 85 et ça semble repartir dans ce sens aussi cette fois ci.

Si les allemands veulent créer de la concurrence, il faudra qu'ils soient bons par eux même. Zero cadeaux. 

On peut aussi considérer que l'histoire n'est pas terminée. l'Allemagne doit sortir du squizz dans lequel Airbus l'a fourvoyée. La piste GCAP est fermée.  Qu'elle n'ait pas les capacités pour faire seule est un fait. Mais si elle trouve un moteur (US?, GB?) et un accord avec SAAB, elle pourra y arriver.

Sinon, il reste une solution: accepter les conditions de Dassault. C'était mon analyse initiale. Mais elle s'est ébréchée avec les récentes prises de position.

 

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Il y a 1 heure, Alberas a dit :

On peut aussi considérer que l'histoire n'est pas terminée. l'Allemagne doit sortir du squizz dans lequel Airbus l'a fourvoyée. La piste GCAP est fermée.  Qu'elle n'ait pas les capacités pour faire seule est un fait. Mais si elle trouve un moteur (US?, GB?) et un accord avec SAAB, elle pourra y arriver.

Sinon, il reste une solution: accepter les conditions de Dassault. C'était mon analyse initiale. Mais elle s'est ébréchée avec les récentes prises de position.

 

Mais si Saab s'engage dans l'avion allemand, comment ça va se passer pour le successeur du Gripen ? Car l'avion tel imaginé par les allemands ne répondra pas aux besoins suédois donc Saab sera engagé sur deux programmes de chasseurs. Surtout que le gouvernement suédois reste indécis concernant le successeur du Gripen.

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Il y a 4 heures, Salverius a dit :

On a tendance à mettre l'Allemagne et l'Espagne dans le même panier (Airbus oblige). Pourtant nous n'entendons pas d'échos négatif d'Espagne, pays qui appelle encore à la modération et au compromis.

En outre, l'Espagne n'a pas acheté de F35. Elle pourrait choisir de rester à bord du NGF, aux conditions de Dassault.

Heu... ils viennent tout juste de déclarer qu'ils préféreraient rester avec les Allemands. :huh:

Il y un message qui a été posté par @Billion85 à ce propos page précédente:

Donc bon...

 

Il y a 2 heures, Ronfly a dit :

Allez, c'est peut-être l'arrièré de l'histoire de Navantia/DCNS qui reste en font de cerveau...

On verra si l'Espagne passe ou pas au F-35 notamment. Même si les discours des militaires et de certains de leurs officiels est plutôt dans son sens. Qu'ils nous surprennent et on verra bien ce qu'il en retourne... L'espoir (l'utopie?) fait vivre.

Non mais qu'ils passent au F-35 ou pas, ils viennent de dire qu'ils préféraient l'Allemagne à la France pour faire un nouvel avion de combat...

Donc je sais pas pourquoi on s'ennuie à parler d'une éventualité qui vient de s'envoler.

Cette option Franco-Espagnole n'existe plus, si tant est qu'elle ait jamais existé.

 

Il y a 2 heures, Alberas a dit :

On peut aussi considérer que l'histoire n'est pas terminée. l'Allemagne doit sortir du squizz dans lequel Airbus l'a fourvoyée. La piste GCAP est fermée.  Qu'elle n'ait pas les capacités pour faire seule est un fait. Mais si elle trouve un moteur (US?, GB?) et un accord avec SAAB, elle pourra y arriver.

Et donc l'Allemagne accepterait de la Suède et de SAAB ce qu'elle n'accepte pas de la France et de Dassault? Sachant que le CEO de SAAB, Johansonn, a déclaré récemment qu'il n'allait pas abandonner l'autorité de design? Et que donc si avion commun il doit y avoir ce sera avec SAAB en maître d'oeuvre? C'est-à-dire tout ce que l'Allemagne et Airbus refusent à Dassault à l'heure actuelle?

Ça me semble là aussi compromis. Surtout que la Suède défend bien mieux SAAB que la France ne défend Dassault.

Il y a 2 heures, Alberas a dit :

Sinon, il reste une solution: accepter les conditions de Dassault. C'était mon analyse initiale. Mais elle s'est ébréchée avec les récentes prises de position.

Voilà.

Ne reste plus qu'à plier les gaules.

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15 minutes ago, Patrick said:

Heu... ils viennent tout juste de déclarer qu'ils préféreraient rester avec les Allemands. :huh:

Il y un message qui a été posté par @Billion85 à ce propos page précédente:

C'est du Bloomberg, perso j'attends de voir la moindre prise de position espagnole.

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il y a 16 minutes, Myrtil a dit :

C'est du Bloomberg, perso j'attends de voir la moindre prise de position espagnole.

En plus, les espagnols ne parlent pas tous de la même voix. Entre les militaires qui réclament du F-35 et le Mindef ou les politiques qui disent que c'est inenvisageable. 

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Il y a 2 heures, Billion85 a dit :

Car l'avion tel imaginé par les allemands ne répondra pas aux besoins suédois 

Attention quand même avec cette affirmation.

Certes, la manutention par conscrit et le décollage par portion d'autoroute font, traditionnellement partie du cahier des charges suédois, mais le gripen et le viggen avant lui, sont avant tout des programmes contraints par le budgets et les besoins en volume du gouvernement suédois.

Pour le coup, en matière de défense, la Suède est un pays beaucoup plus susceptible de céder à l'argument du blé allemand que la France.

il y a 46 minutes, Patrick a dit :

Heu... ils viennent tout juste de déclarer qu'ils préféreraient rester avec les Allemands

Comme souligné par d'autres, c'était pas vraiment une déclaration officielle, même si, et je suis d'accord avec toi, on semble se diriger vers un ralliement à l'Allemagne, la porte est toujours ouverte semble t-il.

Peut-être qu'il serait temps de traiter avec les espagnols de manière plus bilatérale au lieu de dorloter les allemands, posture que je trouve assez incompréhensible et irrespectueuse.

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Il y a 5 heures, Patrick a dit :

Heu... ils viennent tout juste de déclarer qu'ils préféreraient rester avec les Allemands. :huh:

Comme dit plus haut, ce n'est pas une déclaration officielle.

Je ne sais si c'est avec les espagnols et le NGF que l'on va débloquer ça, mais je fais un constat :

La France dispose souvent du meilleur matériel, du plus fiable, efficace et avec un coût de possession raisonnable (c'est au moins vrai dans la Marine et aéronautique).

Malgré cela, de nombreux pays européens qui décident d'acheter "européen" se passent du matériel français, préférant parfois des promesses à du concret.

Cela doit nous interpeller. Il y a vraisemblablement quelque chose dans notre attitude, notre posture, qui attire l'inimitié.

Personnellement, je sera heureux qu'une partie des sous-traitants du NGF soient belges ou espagnols, à condition que Dassault garde la main.

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il y a 59 minutes, Salverius a dit :

Comme dit plus haut, ce n'est pas une déclaration officielle.

Je ne sais si c'est avec les espagnols et le NGF que l'on va débloquer ça, mais je fais un constat :

La France dispose souvent du meilleur matériel, du plus fiable, efficace et avec un coût de possession raisonnable (c'est au moins vrai dans la Marine et aéronautique).

Malgré cela, de nombreux pays européens qui décident d'acheter "européen" se passent du matériel français, préférant parfois des promesses à du concret.

Cela doit nous interpeller. Il y a vraisemblablement quelque chose dans notre attitude, notre posture, qui attire l'inimitié.

Personnellement, je sera heureux qu'une partie des sous-traitants du NGF soient belges ou espagnols, à condition que Dassault garde la main.

Perso je ne crois pas totalement à cette histoire d'attitude, posture ou dans le genre.

Pour moi les pays de l'UE sont fortement imbriqués au niveau industrie de défense avec les US et profitent de retombées sur les immenses contrats passés par le Pentagone et ses alliés.

Pour l'Allemagne par exemple, tu prends la sélection des P8, CH47, et possiblement l'Apache (RFI de 2019), c'est Boeing. Et boeing a des liens avec plus d'une centaine de PME Allemande qui profitent également de retours sur les nombreux contrats des mastodontes US. 

Mais il y a aussi du politique la dedans. Et avoir une France en lead sur l'industrie de défense en Europe, c'est pas entendable.

La qualité du matos est la. Quand tu alignés en solo, Rafale, SNLE, PAN, SNA, Leclerc, M51, ASMP, Caesar, FDI,..., qu'est que tu pourrais faire de mieux en Europe....

il y a 5 minutes, Chimera a dit :

Ah mais c'est assez simple: il leur est insupportable d'accepter que la France, qui investit depuis 70 ans dans une défense autonome et indépendante des Etat-Unis, soit capable sur certains domaines de faire jeu égal ou de proposer 70-80% des capacités équivalentes pour 1/4 du prix et tout cela en faisant 100% made in France avec 100% d'autorité de design. Que le voisin en déficit budgétaire, le bouseux latin Français qui dépense mal, qui fait les choses à l'arrache et qui n'est pas très sérieux, arrive à faire mieux qu'un Hollandais qui a inventé le commerce, un Allemand qui sait tout faire ou un Britannique qui a inventé le monde, ce n'est pas entendable. Donc une collaboration avec la France NE PEUT PAS se faire avec la France en tant que leader sur le développement du système, ce n'est pas entendable, donc c'est soit on achète américain (on accepte l'hégémonie donc forcement on obtient le meilleur matériel du monde, n'est ce pas ?), soit on achète européen (avec un peu de français mais pas trop quand même). Personne en Europe n'achète de matériel français "sur étagère", ce n'est pas culturellement acceptable.

Bravo @Chimera pour cette symphonie d'aimables paroles envers nos voisins Européens addict au matériel non-frenchie.

On voit que ça vient des tripes d'un patriote tricolore sorti de la matrice... 

;););)

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il y a une heure, Salverius a dit :

Comme dit plus haut, ce n'est pas une déclaration officielle.

Je ne sais si c'est avec les espagnols et le NGF que l'on va débloquer ça, mais je fais un constat :

La France dispose souvent du meilleur matériel, du plus fiable, efficace et avec un coût de possession raisonnable (c'est au moins vrai dans la Marine et aéronautique).

Malgré cela, de nombreux pays européens qui décident d'acheter "européen" se passent du matériel français, préférant parfois des promesses à du concret.

Oui. Parce que c'est Français. Il ne faut pas chercher midi à 14 heures.

il y a une heure, Salverius a dit :

Cela doit nous interpeller. Il y a vraisemblablement quelque chose dans notre attitude, notre posture, qui attire l'inimitié.

Et une fois encore je te certifie que ce n'est pas le cas, la meilleure preuve en étant qu'avec de nombreux pays ça se passe très bien. Pourquoi, alors qu'avec d'autres c'est le psychodrame permanent suivi d'un concert d'accusations variées sans aucun fondement?
Ça interroge bien plus sur le comportement de ces pays-là que sur le nôtre. On ne va pas en permanence remettre en question la BITD Française, on le fait déjà suffisamment.

il y a une heure, Salverius a dit :

Personnellement, je sera heureux qu'une partie des sous-traitants du NGF soient belges ou espagnols, à condition que Dassault garde la main.

Moi pas si ces pays n'achètent pas l'avion ou si la situation aboutit à une dépendance inacceptable.

En double-source, et s'ils achètent l'avion, il faut voir. Mais il n'y aura pas non plus de duplication de l'appareil industriel pour leur faire plaisir. Ça n'aurait aucun sens économiquement.

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il y a une heure, Salverius a dit :

Comme dit plus haut, ce n'est pas une déclaration officielle.

Je ne sais si c'est avec les espagnols et le NGF que l'on va débloquer ça, mais je fais un constat :

La France dispose souvent du meilleur matériel, du plus fiable, efficace et avec un coût de possession raisonnable (c'est au moins vrai dans la Marine et aéronautique).

Malgré cela, de nombreux pays européens qui décident d'acheter "européen" se passent du matériel français, préférant parfois des promesses à du concret.

Cela doit nous interpeller. Il y a vraisemblablement quelque chose dans notre attitude, notre posture, qui attire l'inimitié.

Personnellement, je sera heureux qu'une partie des sous-traitants du NGF soient belges ou espagnols, à condition que Dassault garde la main.

On est sûrement un peu trop autocentrés en France en ce qui concerne la défense donc ça n'aide pas.

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Je post ce message ici, plutôt que dans la rubrique Marine Allemande car l'échec annoncé du projet de frégate F126 montre comment l'Allemagne a flingué toute seule son projet (3-4 ans de retard et coûts doublés) à cause de la complexité de l'organisation industrielle, de responsabilités floues, et d'un pilotage étatique tatillon et lourd. Voilà pourquoi collaborer sur le SCAF et des grands programmes d'armement avec l'Allemagne est un danger "mortel". 

Voici la réponse de ChatGPT à ma question concernant les retards et surcouts de ce projet :

Rappel rapide sur la F126

  • Programme lancé pour 4 frégates, avec option pour 2.
  • Objectif : frégate polyvalente, modulaire, endurante.
  • Industriel principal : Damen (Pays-Bas)
  • Partenaires allemands : Blohm+Voss, NVL (Lürssen), TKMS (sous-traitant)
  • Client : BAAINBw (agence d’armement allemande)

Une architecture industrielle très éclatée

  • Conception : Damen (Pays-Bas)
  • Construction répartie sur plusieurs chantiers allemands
  • Intégration de systèmes venant de multiples pays
  • Supervision étatique allemande très lourde

Résultat : Interfaces complexes, Responsabilités parfois floues, Coordination plus lente que dans un modèle intégré (ex. Naval Group)

À la différence : FDI française → un maître d’œuvre unique; Type 26 britannique → BAE Systems pilote tout

Un cahier des charges allemand extrêmement ambitieux… et instable

  • La Bundeswehr a voulu une frégate : Très endurante (jusqu’à 60 jours en mer), Très automatisée (équipage réduit), Modulaire (missions changeantes), Conforme à des normes civiles + militaires.

Problème :

  • Le cahier des charges a été modifié à plusieurs reprises après le lancement.
  • Ajout progressif d’exigences cyber, C2, drones, sécurité OTAN renforcée.
  • Chaque modification = retards + renégociation de coûts.

Le choix d’un design partiellement civil a compliqué l’ingénierie

  • Il faut certifier la cohabitation de normes civiles et militaires.
  • Certaines structures doivent être renforcées après coup.
  • Résistance aux chocs, au feu, aux explosions → plus complexe à valider.
  • Ce n’est pas un navire civil militarisé, mais un hybride, ce qui est plus difficile à maîtriser.

Un modèle contractuel rigide côté allemand. Le BAAINBw applique une logique très stricte : pénalités, audits fréquents, documentation exhaustive, Peu de souplesse dans les arbitrages techniques rapides.

  • Cela ralentit : la validation des solutions, les décisions d’adaptation, la résolution des problèmes industriels
Modifié par CANDIDE
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