C’est un message populaire. scrat s16 Posté(e) le 14 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 novembre Le chef de la Défense belge dit ne pas savoir si le Système de combat aérien du futur verra le jour https://www.opex360.com/2025/11/14/le-chef-de-la-defense-belge-dit-ne-pas-savoir-si-le-systeme-de-combat-aerien-du-futur-verra-le-jour/ 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 14 novembre Share Posté(e) le 14 novembre Il y a 2 heures, Lordtemplar a dit : ah si les belges le disent c'est qu'il faut le prendre pour argent comptant. en plus ils n'ont recu leur premier Griffon VBMR que le 15 juillet 2025, pas vraiment beaucoup de temps pour des retex, juste a peine la formation. ce meme pays qui chie a longueur de journee sur le Rafale ou qui raconte n'importe quoi sur le prix des Griffon? desole mais vu le climat toxique actuel au sein de leur gouvernment je vais ignorer leur opinion tant qu'ils n'auront pas bu leur camomille. Notre AdT et la DGA semblent plutot satistaites de Scorpion, sinon on aurait attendu des correctifs avant de deployer CONTACT sur d'autres plate-formes comme le Rafale etc.. Pour revenir au SCAF, derniere question. rien de surprenant que le CEO de Saab soit pour une participation (business is business) mais.. est ce qu'on a des echos sur ce que pense l'etat major et le gouvernment suedois a propos d'un programme gen 6 avec l'Alemagne? idem pour l'Espagne. (j'aurais inclu la Belgique qui veut etre "partenaire d'egal a egal" sur SCAF, mais a pirori ils ne font pas parti des plans a Berlin ) Boh, t'es dur. Theo francken a même dit "merci la France!" il n'y a pas si longtemps! il y a une heure, scrat s16 a dit : Le chef de la Défense belge dit ne pas savoir si le Système de combat aérien du futur verra le jour https://www.opex360.com/2025/11/14/le-chef-de-la-defense-belge-dit-ne-pas-savoir-si-le-systeme-de-combat-aerien-du-futur-verra-le-jour/ Pourquoi s'inquiéter? Si la Belgique est le seul membre restant du programme après que l'Allemagne et l'Espagne soient partis faire le "SNCF" ou je sais plus quoi, tandis que la France fait son avion toute seule, alors l'industrie Belge pourra avoir tout le programme pour elle toute seule! Ça fait quand même 100% des miettes! 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lordtemplar Posté(e) le 14 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 novembre 2 hours ago, scrat s16 said: Le chef de la Défense belge dit ne pas savoir si le Système de combat aérien du futur verra le jour https://www.opex360.com/2025/11/14/le-chef-de-la-defense-belge-dit-ne-pas-savoir-si-le-systeme-de-combat-aerien-du-futur-verra-le-jour/ ah zut alors! il va falloir qu'ils annulent leur commande. que faire? 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 14 novembre Share Posté(e) le 14 novembre il y a 16 minutes, Lordtemplar a dit : ah zut alors! il va falloir qu'ils annulent leur commande. que faire? Facile: un gâteau avec les miettes! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 14 novembre Share Posté(e) le 14 novembre Il y a 2 heures, Patrick a dit : Facile: un gâteau avec les miettes! Cookie aux miette de pain? https://www.chefclub.tv/fr/recettes/daily/2c3008b3-5f90-4c7a-bb50-db459198a9b5/cookie-au-pain-rassis-anti-gaspi-miam-miam/ Désolé on est vendredi. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre Il y a 18 heures, Lordtemplar a dit : ah si les belges le disent c'est qu'il faut le prendre pour argent comptant. en plus ils n'ont recu leur premier Griffon VBMR que le 15 juillet 2025, pas vraiment beaucoup de temps pour des retex, juste a peine la formation. ce meme pays qui chie a longueur de journee sur le Rafale ou qui raconte n'importe quoi sur le prix des Griffon? desole mais vu le climat toxique actuel au sein de leur gouvernment je vais ignorer leur opinion tant qu'ils n'auront pas bu leur camomille. Notre AdT et la DGA semblent plutot satistaites de Scorpion, sinon on aurait attendu des correctifs avant de deployer CONTACT sur d'autres plate-formes comme le Rafale etc.. Pour revenir au SCAF, derniere question. rien de surprenant que le CEO de Saab soit pour une participation (business is business) mais.. est ce qu'on a des echos sur ce que pense l'etat major et le gouvernment suedois a propos d'un programme gen 6 avec l'Alemagne? idem pour l'Espagne. (j'aurais inclu la Belgique qui veut etre "partenaire d'egal a egal" sur SCAF, mais a pirori ils ne font pas parti des plans a Berlin ) Contact est aussi un échec en France hein... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre Il y a 2 heures, Polybe a dit : Contact est aussi un échec en France hein... c'est d'ailleurs pour ça qu'on le met sur le Rafale. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 6 minutes, Picdelamirand-oil a dit : c'est d'ailleurs pour ça qu'on le met sur le Rafale. Contact c'est pas que l'aviation. Oui ça va arriver, mais en retard. L'indus' a du boulot et s'est fait taper sur les doigts. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre 3 hours ago, Polybe said: Contact est aussi un échec en France hein... source? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 14 minutes, Lordtemplar a dit : source? Moi. ^^ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre (modifié) 2 minutes ago, Polybe said: Moi. ^^ ok tu m'as convaincu Modifié le 15 novembre par Lordtemplar 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 4 minutes, Lordtemplar a dit : ok tu m'as convaincu Ecoute, je ne vais pas te mentir (en citant une obscure source improbable...), et je n'ai pas de sources à produire (si elles existent, je ne les connais pas). Je peux par contre faire observer les retards...ou les sarcasmes des terriens (mais à mon avis pas que) sur ce sujet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre Il y a 21 heures, Lordtemplar a dit : ah zut alors! il va falloir qu'ils annulent leur commande. que faire? Superbe ;) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Boule75 Posté(e) le 15 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 novembre (modifié) Il y a 8 heures, Polybe a dit : Ecoute, je ne vais pas te mentir (en citant une obscure source improbable...), et je n'ai pas de sources à produire (si elles existent, je ne les connais pas). Je peux par contre faire observer les retards...ou les sarcasmes des terriens (mais à mon avis pas que) sur ce sujet. Je confirme de source interne industrie, sans savoir qualifier l'implication ce celle-ci ni détails : le gars parlait d'un jeu (pas original) de dissensions entre acteurs industriels qui se renvoyaient la balle sur certains soucis et n'avançaient pas au bon rythme. La bonne nouvelle : ce n'étaient apparemment pas de soucis structurels. Modifié le 15 novembre par Boule75 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alberas Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre Ca se précise ... Article du financial times.. Selon l'auteur, utilisant beaucoup de la rhétorique allemande, la messe est dite. Il ne restera plus que le cloud. Tout ça pour ça ... https://www.ft.com/content/e0cc4893-d1c3-45a4-9e3e-d35cedd4b46d Berlin et Paris discutent de l'abandon du projet de chasseur commun et de la nécessité de se concentrer sur le « cloud de combat aérien » L'Allemagne et la France envisagent de réduire la taille de leur programme phare de défense aérienne, d'un coût de 100 milliards d'euros, en abandonnant le projet de construction conjointe d'un avion de chasse et en se concentrant sur le développement d'un système de commandement et de contrôle baptisé « cloud de combat ». Berlin et Paris s'efforcent de sauver le Système de combat aérien du futur (FCAS), le plus important programme d'armement européen, menacé d'effondrement en raison du désaccord entre Airbus et Dassault Aviation sur la conception de l'avion de chasse de nouvelle génération. Une des options discutées avant les réunions de haut niveau de cette semaine consiste à limiter la collaboration au « cloud de combat » commun, ont indiqué des responsables des deux pays. Le concept d'une interface basée sur le cloud – reliant les avions de chasse et leurs pilotes aux capteurs, radars et drones, ainsi qu'aux systèmes de commandement terrestres et maritimes – constitue déjà un pilier du FCAS. Si le projet d'avion de chasse construit conjointement est abandonné, se concentrer sur le cloud permettrait aux deux pays de maintenir une forme de collaboration, ont précisé les responsables. Ils ont toutefois souligné qu'aucune décision n'avait encore été prise. Le « cloud de combat », qui vise à renforcer les capacités des forces armées de l'UE grâce à l'intelligence artificielle pour le traitement rapide de grands volumes de données, est une collaboration entre la filiale de défense d'Airbus basée en Allemagne, le français Thales et l'espagnol Indra. « On peut se contenter de plusieurs avions en Europe, mais il nous faut un système cloud unique pour les gérer tous », a déclaré un responsable proche du dossier. Une autre source proche du dossier a ajouté : « Tous les autres éléments [du FCAS] fonctionnent bien. Pourquoi y renoncer ? Il n'est pas question que le FCAS échoue complètement ; il nous faut un système cloud de combat. » Une troisième personne proche du projet a indiqué que se concentrer sur le système cloud pourrait impliquer de repenser certains aspects, comme « d'accélérer le calendrier à 2030 au lieu de 2040 ». L'avenir du FCAS sera abordé lors des réunions entre la ministre française des Armées, Catherine Vautrin, et ses homologues allemands à Paris lundi, et le lendemain entre le chancelier Friedrich Merz et le président Emmanuel Macron à Berlin, selon des sources officielles. D'autres réunions sont prévues avec les partenaires industriels.La ministre française des Armées, Catherine Vautrin, discutera lundi avec ses homologues allemands de l'avenir du plus important programme d'armement européen. Le ministre allemand des Armées, Boris Pistorius, a déclaré vendredi que des discussions étaient en cours concernant la poursuite du projet et ses modalités. La chancellerie allemande, Airbus, Dassault et le gouvernement espagnol se sont refusés à tout commentaire. Le ministère français des Armées n'a pas souhaité commenter les options relatives au FCAS actuellement à l'étude, mais a indiqué que des discussions étaient en cours pour accélérer le programme. Paris, Berlin et Madrid doivent décider d'ici la fin de l'année s'ils lancent la construction d'un prototype, dont le coût est estimé à plusieurs milliards d'euros. Cependant, de nombreux acteurs du programme estiment qu'il est déjà trop tard pour résoudre le différend qui oppose Airbus à Dassault, l'entreprise familiale française qui fabrique le Rafale. Suite à la demande de Dassault de prendre en charge une part plus importante de la construction de l'appareil, Berlin envisage de remplacer la France par le Royaume-Uni ou la Suède. De son côté, Éric Trappier, PDG de Dassault, a affirmé que l'entreprise française pouvait mener à bien le projet seule, disposant de toute l'expertise requise. Dassault et Airbus ont chacun piloté certaines phases du programme FCAS, mais des désaccords persistent quant à la répartition des tâches, le choix des fournisseurs et le contrôle de la conception de l'appareil. Un échec dans les délais compromettrait les plans de l'UE visant à renforcer la coopération en matière de défense suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. En 2017, lors de l'annonce du FCAS, Emmanuel Macron et la chancelière allemande de l'époque, Angela Merkel, l'avaient salué comme un projet historique. Jean-Paul Merz, entré en fonction en mai, a répété à plusieurs reprises qu'il attendait de Dassault qu'il respecte l'accord initial. Cependant, Paris n'a pas interpellé Dassault, notamment parce que les retards du projet, selon des sources officielles, suscitent des inquiétudes quant à sa capacité de dissuasion nucléaire. À Paris, certains groupements industriels et responsables partagent également l'avis de Dassault, qui estime avoir besoin de maîtriser les décisions clés, notamment le choix des fournisseurs, pour mener à bien le projet. Un banquier français proche du dossier a déclaré : « Le seul espoir de FCAS réside désormais dans une intervention de Macron auprès de Trappier… Actuellement, l’accord est totalement paralysé et quasiment mort. » Il a ajouté : « La confiance est rompue, chaque partie accuse l’autre de rupture de contrat. C’est irrémédiable. » Une autre personne proche du projet a affirmé que Dassault « refuse tout simplement de s’engager dans un véritable partenariat ». Un responsable a déclaré : « Cette fois-ci, la seule volonté politique ne suffira peut-être pas à compenser les profondes différences entre les deux entreprises. » L’Allemagne, qui a assoupli son plafond d’endettement constitutionnel pour moderniser ses capacités de défense, ne souhaite pas être prise en otage par une entreprise française. « Le sentiment général est le suivant : “Nous disposons de fonds sans précédent pour la défense, alors si nous devons le faire sans les Français, faisons-le tout simplement” », a déclaré une source berlinoise au fait des dernières réflexions.Mais tous s'accordent à dire que l'Europe doit développer son propre système de commandement en nuage pour la défense aérienne. Un banquier français a déclaré : « Il faut un système de commandement en nuage indépendant du système américain. Beaucoup d'Européens pensent qu'il pourrait y avoir des situations où nous serons seuls, sans les Américains. » Paris et Berlin peuvent-ils sauver leur projet commun d'avion de chasse ? Thomas Pretzl, président du comité d'entreprise d'Airbus Defence and Space, a déclaré la semaine dernière à ses collaborateurs qu'il souhaitait « mettre fin au partenariat tendu avec Dassault sans nuire aux relations franco-allemandes ». Un responsable gouvernemental a souligné qu'il était important que toute décision concernant ce projet ne porte pas atteinte aux relations entre Paris et Berlin, « car cela ne concerne pas les gouvernements, mais les entreprises ». Avec la contribution de Barney Jopson à Madrid. 2 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. capmat Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre il y a 8 minutes, Alberas a dit : Ca se précise ... Article du financial times.. Selon l'auteur, utilisant beaucoup de la rhétorique allemande, la messe est dite. Il ne restera plus que le cloud. Tout ça pour ça ... https://www.ft.com/content/e0cc4893-d1c3-45a4-9e3e-d35cedd4b46d Berlin et Paris discutent de l'abandon du projet de chasseur commun et de la nécessité de se concentrer sur le « cloud de combat aérien » L'Allemagne et la France envisagent de réduire la taille de leur programme phare de défense aérienne, d'un coût de 100 milliards d'euros, en abandonnant le projet de construction conjointe d'un avion de chasse et en se concentrant sur le développement d'un système de commandement et de contrôle baptisé « cloud de combat ». Berlin et Paris s'efforcent de sauver le Système de combat aérien du futur (FCAS), le plus important programme d'armement européen, menacé d'effondrement en raison du désaccord entre Airbus et Dassault Aviation sur la conception de l'avion de chasse de nouvelle génération. Une des options discutées avant les réunions de haut niveau de cette semaine consiste à limiter la collaboration au « cloud de combat » commun, ont indiqué des responsables des deux pays. Le concept d'une interface basée sur le cloud – reliant les avions de chasse et leurs pilotes aux capteurs, radars et drones, ainsi qu'aux systèmes de commandement terrestres et maritimes – constitue déjà un pilier du FCAS. Si le projet d'avion de chasse construit conjointement est abandonné, se concentrer sur le cloud permettrait aux deux pays de maintenir une forme de collaboration, ont précisé les responsables. Ils ont toutefois souligné qu'aucune décision n'avait encore été prise. Le « cloud de combat », qui vise à renforcer les capacités des forces armées de l'UE grâce à l'intelligence artificielle pour le traitement rapide de grands volumes de données, est une collaboration entre la filiale de défense d'Airbus basée en Allemagne, le français Thales et l'espagnol Indra. « On peut se contenter de plusieurs avions en Europe, mais il nous faut un système cloud unique pour les gérer tous », a déclaré un responsable proche du dossier. Une autre source proche du dossier a ajouté : « Tous les autres éléments [du FCAS] fonctionnent bien. Pourquoi y renoncer ? Il n'est pas question que le FCAS échoue complètement ; il nous faut un système cloud de combat. » Une troisième personne proche du projet a indiqué que se concentrer sur le système cloud pourrait impliquer de repenser certains aspects, comme « d'accélérer le calendrier à 2030 au lieu de 2040 ». L'avenir du FCAS sera abordé lors des réunions entre la ministre française des Armées, Catherine Vautrin, et ses homologues allemands à Paris lundi, et le lendemain entre le chancelier Friedrich Merz et le président Emmanuel Macron à Berlin, selon des sources officielles. D'autres réunions sont prévues avec les partenaires industriels.La ministre française des Armées, Catherine Vautrin, discutera lundi avec ses homologues allemands de l'avenir du plus important programme d'armement européen. Le ministre allemand des Armées, Boris Pistorius, a déclaré vendredi que des discussions étaient en cours concernant la poursuite du projet et ses modalités. La chancellerie allemande, Airbus, Dassault et le gouvernement espagnol se sont refusés à tout commentaire. Le ministère français des Armées n'a pas souhaité commenter les options relatives au FCAS actuellement à l'étude, mais a indiqué que des discussions étaient en cours pour accélérer le programme. Paris, Berlin et Madrid doivent décider d'ici la fin de l'année s'ils lancent la construction d'un prototype, dont le coût est estimé à plusieurs milliards d'euros. Cependant, de nombreux acteurs du programme estiment qu'il est déjà trop tard pour résoudre le différend qui oppose Airbus à Dassault, l'entreprise familiale française qui fabrique le Rafale. Suite à la demande de Dassault de prendre en charge une part plus importante de la construction de l'appareil, Berlin envisage de remplacer la France par le Royaume-Uni ou la Suède. De son côté, Éric Trappier, PDG de Dassault, a affirmé que l'entreprise française pouvait mener à bien le projet seule, disposant de toute l'expertise requise. Dassault et Airbus ont chacun piloté certaines phases du programme FCAS, mais des désaccords persistent quant à la répartition des tâches, le choix des fournisseurs et le contrôle de la conception de l'appareil. Un échec dans les délais compromettrait les plans de l'UE visant à renforcer la coopération en matière de défense suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. En 2017, lors de l'annonce du FCAS, Emmanuel Macron et la chancelière allemande de l'époque, Angela Merkel, l'avaient salué comme un projet historique. Jean-Paul Merz, entré en fonction en mai, a répété à plusieurs reprises qu'il attendait de Dassault qu'il respecte l'accord initial. Cependant, Paris n'a pas interpellé Dassault, notamment parce que les retards du projet, selon des sources officielles, suscitent des inquiétudes quant à sa capacité de dissuasion nucléaire. À Paris, certains groupements industriels et responsables partagent également l'avis de Dassault, qui estime avoir besoin de maîtriser les décisions clés, notamment le choix des fournisseurs, pour mener à bien le projet. Un banquier français proche du dossier a déclaré : « Le seul espoir de FCAS réside désormais dans une intervention de Macron auprès de Trappier… Actuellement, l’accord est totalement paralysé et quasiment mort. » Il a ajouté : « La confiance est rompue, chaque partie accuse l’autre de rupture de contrat. C’est irrémédiable. » Une autre personne proche du projet a affirmé que Dassault « refuse tout simplement de s’engager dans un véritable partenariat ». Un responsable a déclaré : « Cette fois-ci, la seule volonté politique ne suffira peut-être pas à compenser les profondes différences entre les deux entreprises. » L’Allemagne, qui a assoupli son plafond d’endettement constitutionnel pour moderniser ses capacités de défense, ne souhaite pas être prise en otage par une entreprise française. « Le sentiment général est le suivant : “Nous disposons de fonds sans précédent pour la défense, alors si nous devons le faire sans les Français, faisons-le tout simplement” », a déclaré une source berlinoise au fait des dernières réflexions.Mais tous s'accordent à dire que l'Europe doit développer son propre système de commandement en nuage pour la défense aérienne. Un banquier français a déclaré : « Il faut un système de commandement en nuage indépendant du système américain. Beaucoup d'Européens pensent qu'il pourrait y avoir des situations où nous serons seuls, sans les Américains. » Paris et Berlin peuvent-ils sauver leur projet commun d'avion de chasse ? Thomas Pretzl, président du comité d'entreprise d'Airbus Defence and Space, a déclaré la semaine dernière à ses collaborateurs qu'il souhaitait « mettre fin au partenariat tendu avec Dassault sans nuire aux relations franco-allemandes ». Un responsable gouvernemental a souligné qu'il était important que toute décision concernant ce projet ne porte pas atteinte aux relations entre Paris et Berlin, « car cela ne concerne pas les gouvernements, mais les entreprises ». Avec la contribution de Barney Jopson à Madrid. Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre il y a 45 minutes, capmat a dit : Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? Ne t'en fais pas pour moi. 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre il y a une heure, capmat a dit : Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? T'as pensé à l’abandon de l'Eurodrone ? Après s'il reste que le cloud du SCAF, ça devrait aller, et puis c'est bientôt Noël et le nouvel an. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
elannion Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre il y a une heure, capmat a dit : Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? il fera péter le champomy !! 1 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre il y a une heure, Patrick a dit : Ne t'en fais pas pour moi. Si, si, je m'inquiète !!!!! Il se pourrait même que nous finitions par constater que des fonds européens servent a financer du matériel européen pour défendre un ou des pays du continent européen .......non, mais quel scandal !!!!!!! (il suffis d'attendre quelques heures...?...) Tous des égoïstes !!!!! Tu vas passer de Jedi à moine tibétain, c'est couru d'avance 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre il y a 10 minutes, capmat a dit : Tu vas passer de Jedi à moine tibétain, c'est couru d'avance D'autres l'ont fait avant lui... Révélation 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
paulwingwing Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre Il y a 2 heures, capmat a dit : Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? Et le MGCS... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 17 novembre Share Posté(e) le 17 novembre il y a 15 minutes, paulwingwing a dit : Et le MGCS... Chuuuuuuuuuuuuuut ! 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. SLT Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre (modifié) Il y a 3 heures, capmat a dit : Si le SCAF est abandonné, que va devenir @Patrick ? Il ne restera plus que TOUS LES AUTRES sujets où les allemands cherchent activement à nous gêner ou nous isoler, comme l'énergie, le nucléaire, le reste de la défense (n'ont ils pas annoncé vouloir se lancer dans l'armement nucléaire dernièrement ?), le spatial, l'automobile, une partie de l'aéronautique (partie chaude des réacteurs, communication, radar AESA, l'armement, l'agriculture aussi (Mercosur...). Sans parler de la lutte d'influence dans les domaines informationnel, diplomatique, géopolitique et cyber... C'est vrai que ça fait peu quand on enlève le SCAF, qui est juste le titre de CE fil . Modifié le 17 novembre par SLT Corrections 2 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 17 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 novembre Il y a 5 heures, Alberas a dit : Berlin et Paris discutent de l'abandon du projet de chasseur commun et de la nécessité de se concentrer sur le « cloud de combat aérien » L'Allemagne et la France envisagent de réduire la taille de leur programme phare de défense aérienne, d'un coût de 100 milliards d'euros, en abandonnant le projet de construction conjointe d'un avion de chasse et en se concentrant sur le développement d'un système de commandement et de contrôle baptisé « cloud de combat ». Berlin et Paris s'efforcent de sauver le Système de combat aérien du futur (FCAS), le plus important programme d'armement européen, menacé d'effondrement en raison du désaccord entre Airbus et Dassault Aviation sur la conception de l'avion de chasse de nouvelle génération. Une des options discutées avant les réunions de haut niveau de cette semaine consiste à limiter la collaboration au « cloud de combat » commun, ont indiqué des responsables des deux pays. Le concept d'une interface basée sur le cloud – reliant les avions de chasse et leurs pilotes aux capteurs, radars et drones, ainsi qu'aux systèmes de commandement terrestres et maritimes – constitue déjà un pilier du FCAS. Si le projet d'avion de chasse construit conjointement est abandonné, se concentrer sur le cloud permettrait aux deux pays de maintenir une forme de collaboration, ont précisé les responsables. Ils ont toutefois souligné qu'aucune décision n'avait encore été prise. Le « cloud de combat », qui vise à renforcer les capacités des forces armées de l'UE grâce à l'intelligence artificielle pour le traitement rapide de grands volumes de données, est une collaboration entre la filiale de défense d'Airbus basée en Allemagne, le français Thales et l'espagnol Indra. « On peut se contenter de plusieurs avions en Europe, mais il nous faut un système cloud unique pour les gérer tous », a déclaré un responsable proche du dossier. Une autre source proche du dossier a ajouté : « Tous les autres éléments [du FCAS] fonctionnent bien. Pourquoi y renoncer ? Il n'est pas question que le FCAS échoue complètement ; il nous faut un système cloud de combat. » Une troisième personne proche du projet a indiqué que se concentrer sur le système cloud pourrait impliquer de repenser certains aspects, comme « d'accélérer le calendrier à 2030 au lieu de 2040 ». L'avenir du FCAS sera abordé lors des réunions entre la ministre française des Armées, Catherine Vautrin, et ses homologues allemands à Paris lundi, et le lendemain entre le chancelier Friedrich Merz et le président Emmanuel Macron à Berlin, selon des sources officielles. D'autres réunions sont prévues avec les partenaires industriels.La ministre française des Armées, Catherine Vautrin, discutera lundi avec ses homologues allemands de l'avenir du plus important programme d'armement européen. Le ministre allemand des Armées, Boris Pistorius, a déclaré vendredi que des discussions étaient en cours concernant la poursuite du projet et ses modalités. La chancellerie allemande, Airbus, Dassault et le gouvernement espagnol se sont refusés à tout commentaire. Le ministère français des Armées n'a pas souhaité commenter les options relatives au FCAS actuellement à l'étude, mais a indiqué que des discussions étaient en cours pour accélérer le programme. Paris, Berlin et Madrid doivent décider d'ici la fin de l'année s'ils lancent la construction d'un prototype, dont le coût est estimé à plusieurs milliards d'euros. Cependant, de nombreux acteurs du programme estiment qu'il est déjà trop tard pour résoudre le différend qui oppose Airbus à Dassault, l'entreprise familiale française qui fabrique le Rafale. Suite à la demande de Dassault de prendre en charge une part plus importante de la construction de l'appareil, Berlin envisage de remplacer la France par le Royaume-Uni ou la Suède. De son côté, Éric Trappier, PDG de Dassault, a affirmé que l'entreprise française pouvait mener à bien le projet seule, disposant de toute l'expertise requise. Dassault et Airbus ont chacun piloté certaines phases du programme FCAS, mais des désaccords persistent quant à la répartition des tâches, le choix des fournisseurs et le contrôle de la conception de l'appareil. Un échec dans les délais compromettrait les plans de l'UE visant à renforcer la coopération en matière de défense suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. En 2017, lors de l'annonce du FCAS, Emmanuel Macron et la chancelière allemande de l'époque, Angela Merkel, l'avaient salué comme un projet historique. Jean-Paul Merz, entré en fonction en mai, a répété à plusieurs reprises qu'il attendait de Dassault qu'il respecte l'accord initial. Cependant, Paris n'a pas interpellé Dassault, notamment parce que les retards du projet, selon des sources officielles, suscitent des inquiétudes quant à sa capacité de dissuasion nucléaire. À Paris, certains groupements industriels et responsables partagent également l'avis de Dassault, qui estime avoir besoin de maîtriser les décisions clés, notamment le choix des fournisseurs, pour mener à bien le projet. Un banquier français proche du dossier a déclaré : « Le seul espoir de FCAS réside désormais dans une intervention de Macron auprès de Trappier… Actuellement, l’accord est totalement paralysé et quasiment mort. » Il a ajouté : « La confiance est rompue, chaque partie accuse l’autre de rupture de contrat. C’est irrémédiable. » Une autre personne proche du projet a affirmé que Dassault « refuse tout simplement de s’engager dans un véritable partenariat ». Un responsable a déclaré : « Cette fois-ci, la seule volonté politique ne suffira peut-être pas à compenser les profondes différences entre les deux entreprises. » L’Allemagne, qui a assoupli son plafond d’endettement constitutionnel pour moderniser ses capacités de défense, ne souhaite pas être prise en otage par une entreprise française. « Le sentiment général est le suivant : “Nous disposons de fonds sans précédent pour la défense, alors si nous devons le faire sans les Français, faisons-le tout simplement” », a déclaré une source berlinoise au fait des dernières réflexions.Mais tous s'accordent à dire que l'Europe doit développer son propre système de commandement en nuage pour la défense aérienne. Un banquier français a déclaré : « Il faut un système de commandement en nuage indépendant du système américain. Beaucoup d'Européens pensent qu'il pourrait y avoir des situations où nous serons seuls, sans les Américains. » Paris et Berlin peuvent-ils sauver leur projet commun d'avion de chasse ? Thomas Pretzl, président du comité d'entreprise d'Airbus Defence and Space, a déclaré la semaine dernière à ses collaborateurs qu'il souhaitait « mettre fin au partenariat tendu avec Dassault sans nuire aux relations franco-allemandes ». Un responsable gouvernemental a souligné qu'il était important que toute décision concernant ce projet ne porte pas atteinte aux relations entre Paris et Berlin, « car cela ne concerne pas les gouvernements, mais les entreprises ». Avec la contribution de Barney Jopson à Madrid. Waouh ! C'est un festival de mauvaise foi discours officiel allemand Inutile de relever, je pense que la plupart si ce n'est la totalité d'entre nous voient clair dans ce torchon Un seul point tout de même : si vraiment il était pertinent de poursuivre le développement du cloud du FCAS (quelles interfaces avec les F-35 allemands, d'ailleurs ?), pourquoi diable la direction de ce cloud devrait-elle rester dans des mains allemandes ? La France ne l'a accepté que dans le cadre d'un partage où la responsabilité du pilier NGF était dans des mains françaises - ce que Berlin refuse désormais, d'où abandon en rase campagne S'il fallait vraiment continuer la partie cloud du FCAS, il faudrait d'abord tout remettre à plat et renégocier ! Mais bien sûr, même si cela arrivait, la France ne serait pas protégée de nouvelles palinodies allemandes. Deux ans ou cinq ans plus tard Berlin remettrait tout en question, et ce serait encore du temps et de l'énergie perdue ==>Mieux vaut faire une fin nette et claire 2 1 14 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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