Scarabé Posté(e) le 22 mai Share Posté(e) le 22 mai @ARMEN56 Il devait ëtre prolongé jusqu'en 2040 mais finalment pas sur . Polynésie : Pour le carénage des navires, le Port autonome de Papeete réfléchit à l’après dock flottant prévu en 2030 https://outremers360.com/bassin-pacifique-appli/polynesie-pour-le-carenage-des-navires-le-port-autonome-de-papeete-reflechit-a-lapres-dock-flottant-prevu-en-2030 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 22 mai Share Posté(e) le 22 mai il y a 34 minutes, Scarabé a dit : @ARMEN56 Il devait ëtre prolongé jusqu'en 2040 mais finalment pas sur . Polynésie : Pour le carénage des navires, le Port autonome de Papeete réfléchit à l’après dock flottant prévu en 2030 https://outremers360.com/bassin-pacifique-appli/polynesie-pour-le-carenage-des-navires-le-port-autonome-de-papeete-reflechit-a-lapres-dock-flottant-prevu-en-2030 Faut raser tous les hangars techniques et magasin de l’ancienne DCN pour y Intégrer un synchro lift faut prévoir grand de quoi mettre au sec nos frégates soit > à 3500 t charge max du dock actuel , de mémoire . 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 22 mai Auteur Share Posté(e) le 22 mai c'est génial ce système Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 22 mai Share Posté(e) le 22 mai il y a 15 minutes, pascal a dit : c'est génial ce système Ouais , j’en ai vu un à Singapour au chantier STM où ils ont construit les 5 autres Delta. Vu la Formidable ainsi échouée Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 22 mai Share Posté(e) le 22 mai (modifié) y en a pas un à Cherbourg chez CMN ? Modifié le 22 mai par Brian Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 23 mai Share Posté(e) le 23 mai Il y a 12 heures, Brian a dit : y en a pas un à Cherbourg chez CMN ? Jusqu'à 90m et 3000 tonnes oui https://portsdenormandie.fr/fr/regie-cherbourg/synchrolift 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 mai Share Posté(e) le 23 mai Il y a 18 heures, ARMEN56 a dit : Ouais , j’en ai vu un à Singapour au chantier STM où ils ont construit les 5 autres Delta. Vu la Formidable ainsi échouée Le voilà celui de STM Benoid road ; à gauche des 2 Forminable sur terre plein en IPER 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 23 mai Share Posté(e) le 23 mai La place est chère à Singapour ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 12 juin Share Posté(e) le 12 juin Dans le cadre des études FLF (début des années 90 ) la DGA/DCN site de Gavres avait réalisé ses essais de souffle interne en caisson suite diverses menaces dont celle missiles Récemment DGA a reconduit de même type d’essai en rapport à la tenue des VLS « La DGA a mené une campagne d'essais "explosion de propulseur". ', réalisée par les équipes des centres d'expertises et d'essais de DGA Techniques navales et DGA Techniques aérospatiales, en reproduisant Missile , les effets d'une explosion accidentelle de propulseur de missile embarqué pour un lancement vertical, dans un caisson fermé afin de vérifier le dimensionnement des parois des soutes à munitions en milieu confiné et celui des systèmes de déconfinement des gaz de combustion sur les navires. Les données récoltées lors de ces 2 tirs expérimentaux permettront d'améliorer la sécurité à bord et d'enrichir les outils de prédictions numériques nécessaires aux futurs programmes d'armement navals. Emporter un missile destiné à détruire une cible depuis un bâtiment naval comporte des risques. Si le propulseur (dont la fonction première est de propulser le missile) explose, les dommages causés peuvent être dévastateurs. Et si cet accident survient dans la soute à munitions d'un navire de la Marine nationale, il peut le mettre hors d'usage voire le couler » Les silos VLS ne sont pas une bonbonnière à carambars ; qd ça pète ça pète ….dans le collatéral à faire très mal d’où étude vulnérabilité ; îlotage , munitions, blindages , tape de déconfinement , sanctuarisation ( VLS sous flottaison en soute basse , on évite zone d’impact missiles donc le milieu du navire …etc on évite aussi contiguïté zone vie et soute à gazole ) Pas simple , donc raisonnablement on a pas d’autres choix que de localiser nos VLS dans le prisme avant pour des navires entre 7000/4000 t frégates et corvette /OPV 2500/1500 t . 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 13 juin Share Posté(e) le 13 juin Il y a 17 heures, ARMEN56 a dit : Pas simple , donc raisonnablement on a pas d’autres choix que de localiser nos VLS dans le prisme avant pour des navires entre 7000/4000 t frégates et corvette /OPV 2500/1500 t . Pourtant les DDG-51 et d'autres destroyer ont une seconde zone de VLSen avant du hangar et clairement au-dessus de la ligne de flottaison. Est-ce qu'il y a une prise en compte du risque suffisante à ce niveau grace à la taille supérieure ? Enfin, que dire des Iver Huitfeld avec leur module de missiles AA derrière le château ? Surtout qu'il me semble que le standard de construction des Absalons était quasi de type civil !?! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin Le 13/06/2025 à 09:21, BPCs a dit : Pourtant les DDG-51 et d'autres destroyer ont une seconde zone de VLSen avant du hangar et clairement au-dessus de la ligne de flottaison. Est-ce qu'il y a une prise en compte du risque suffisante à ce niveau grace à la taille supérieure ? Enfin, que dire des Iver Huitfeld avec leur module de missiles AA derrière le château ? Surtout qu'il me semble que le standard de construction des Absalons était quasi de type civil !?! Les lanceurs milieu des Absalon sont posés sur pont principal . Idem nos MERMER concep FLF voire les harpon des delta On est pas dans une problématique de silos traversant poutre avec inconvénients milieu de fragilisation structurelle et risques frappes missiles , au dessus fibre haute c'est mieux Notre concept Sylver année 2000 balayait large entre les 2000 et 6000 tonnes Les DDG 51 sont plus grands, un effet d’échelle allant dans le sens d’une meilleure vulnérabilité sans doute ( à iso ellipsoïde dégâts , moins de tranches affectée ? ) . De surcroit il me semble que les murailles de ces navires sont en acier plus costaud en limite élastique donc plus à même de contrer le moment fléchissant milieu….etc 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin Le 12/06/2025 à 16:20, ARMEN56 a dit : Les silos VLS ne sont pas une bonbonnière à carambars ; qd ça pète ça pète ….dans le collatéral à faire très mal d’où étude vulnérabilité ; îlotage , munitions, blindages , tape de déconfinement , sanctuarisation ( VLS sous flottaison en soute basse , on évite zone d’impact missiles donc le milieu du navire …etc on évite aussi contiguïté zone vie et soute à gazole ) Donc si on te suit, l'utilisation d'un système à base de container pour amener une capacité supplémentaire en missile voire en drone à un navire est une grosse prise de risque. Sauf à avoir des containers renforcés suffisamment, ou disposés à un endroit avec moins de conséquences en cas de coup au but ou d'explosion ? Mais est-ce possible, pour le renforcement tout au moins ? Il faudrait sans doute en passer par un renforcement comme pour les cqiqqons d'essais DGA plus haut ? Car en tout cas les portes sur ces deux containers me laissent rêveur ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 29 juin Share Posté(e) le 29 juin Pour le risque incendie, il me semble qu'au dessus du pont de franc bord, c'est déjà moins risqué. En particulier sur un navire militaire et selon le niveau. Tu fermes tout, et tu arroses copieusement. Mais si ça part copieusement en sucette, ça peut quand même faire de sacré dégats... Idéalement, il y aurait un système pour foutre tout ça par dessus bord, ça serait pas mal (sauf pour le porte monnaie ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 30 juin Auteur Share Posté(e) le 30 juin Les conteneurs rapportés en pontée ou en superstructures posent aussi la question de l'accroissement du poids dans les hauts 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin (modifié) Le 29/06/2025 à 07:34, BPCs a dit : Donc si on te suit, l'utilisation d'un système à base de container pour amener une capacité supplémentaire en missile voire en drone à un navire est une grosse prise de risque. Sauf à avoir des containers renforcés suffisamment, ou disposés à un endroit avec moins de conséquences en cas de coup au but ou d'explosion ? Mais est-ce possible, pour le renforcement tout au moins ? Il faudrait sans doute en passer par un renforcement comme pour les cqiqqons d'essais DGA plus haut ? Car en tout cas les portes sur ces deux containers me laissent rêveur ! L’idée directrice est que le pont principal d’une poutre navire ne devienne pas un gruyère altérant ainsi son inertie . Comme on l’a déjà abordé ici, on ne peut cependant pas éviter ouvertures et brèches que l’on évite de disposer à la n’importe comment. On les aligne au mieux dans ce que l’on appelle une virure sacrifiée A cela et depuis le concept missile à lancement vertical on accentue cette problématique « brèche » de pont principal en y insérant ces fameux puits profonds que l’on dispose là où la contrainte mécanique du moment fléchissant est la plus faible soit approximativement aux tranches AV et/ou AR si place dispo . On évite les puits profonds en zone milieu : - contrainte mécanique poutre forte - fond de puits proche de soute à gazole - Centre navire point brillant et donc risque frappe missile ( retex Stark, Malouine , Croiseur Moscou…) Ici un retex de frégate russe ayant vu sa zone missiles explosée dont soute à barillet ensilotée dans les fonds plateforme ; forte concentration de matière pyrotechnique ; un soucis élec , explosions en cascade… 27 victimes http://militaryrussia.ru/blog/topic-27.html http://www.ркргрозный.рф/forum/threads/16 Les essais DGA ex Gâvres ou sud , avaient justement pour finalité de constater le comportement de la tranche ; cloisons bordés au souffle interne d’une explosion missile en masse ( sympathique ) malgré mesures passives ilotage toussa. On rappelle que les soutes VLS doivent être considérées comme des soutes basses , les propulseur missiles sont situés sous flottaison , les têtes mili dépassant du pont pal sont protégées par une couronne blindée ( 12/7 ou 7/62) Pour ce qui est des missiles en externe sur rampe ( inclinée ou verticale) dont Mermer 40 , les études de vulnérabilité doivent prendre en compte le blindage balistique petits calibres , si long feu et explosion , l’effet de souffle est externe et moins létal qu’un souffle interne sur la poutre navire (assurance vie équipage) De toute façon la DGA exige de l’industriel une étude de risque dans le principe ALARP (As Low As Reasonably Practicable) . C’est souhaité dès que le niveau de risque jugé acceptable ne peut être atteint si le coût associé devient disproportionné au regard du gain de sécurité. Maintenant la concurrence fait ce qu’elle veut avec 50 VLS ou bcp plus plein milieu j’ai la plus grosse …..etc . mes contre mesures sont telles qu’un missile ne tapera jamais plein milieu Modifié le 30 juin par ARMEN56 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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