Deres Posté(e) le 19 avril 2023 Share Posté(e) le 19 avril 2023 https://www.lefigaro.fr/international/ukraine-un-flash-dans-le-ciel-de-kiev-du-a-la-chute-d-un-satellite-de-la-nasa-selon-l-administration-de-la-ville-20230419 Je suis assez dubitatif vu la l’Intensité de la lumière et la verticalité de la chute. Cela m'a quand meme l'air d’être un phénomène assez exceptionnel et son occurrence juste au dessus de Kiev est assez troublante. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Il y a 8 heures, Deres a dit : https://www.lefigaro.fr/international/ukraine-un-flash-dans-le-ciel-de-kiev-du-a-la-chute-d-un-satellite-de-la-nasa-selon-l-administration-de-la-ville-20230419 Je suis assez dubitatif vu la l’Intensité de la lumière et la verticalité de la chute. Cela m'a quand meme l'air d’être un phénomène assez exceptionnel et son occurrence juste au dessus de Kiev est assez troublante. … Tu ne pense pas que la « verticalité » de la chute soit due à la focale de la caméra et de son alignement ? Personnellement, l’objectif étant dans l’axe de la chute, j’ai bien l’impression qu’il filme effectivement des débris d’un satellite qui se consume… On va attendre, mais il va y avoir des détails. Les satellites désorbités ne courent pas les rues 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Il y a 9 heures, Deres a dit : https://www.lefigaro.fr/international/ukraine-un-flash-dans-le-ciel-de-kiev-du-a-la-chute-d-un-satellite-de-la-nasa-selon-l-administration-de-la-ville-20230419 Je suis assez dubitatif vu la l’Intensité de la lumière et la verticalité de la chute. Cela m'a quand meme l'air d’être un phénomène assez exceptionnel et son occurrence juste au dessus de Kiev est assez troublante. C'est un satellite ou une météorite, rien de plus: y'a des dizaines de vidéos comme çà sur internet. Et pour le juste au dessus de Kiev, vu l'altitude à laquelle ça se désintègre, on peut aussi dire que c'était juste au dessus d'un paquet de patelins. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 (modifié) Pour moi ce n'est pas vertical, d'ailleurs est-ce possible, j'en doute ? Ça ressemble à un météore. PS : Une météorite ne prend ce nom qu'une fois sur Terre, d’ailleurs Le Figaro avait fait un article pour expliquer tout cela. Si même les journalistes du Figaro ne le lisent pas ... . https://www.lefigaro.fr/sciences/2017/06/30/01008-20170630ARTFIG00311-asteroide-meteoremeteorite-quelle-difference.php Modifié le 20 avril 2023 par gargouille 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Gibbs le Cajun Posté(e) le 20 avril 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 avril 2023 Alors voici une vidéo très intéressante venant d'une chaîne qui semble appartenir au ministère de la défense ukrainien , on a un présentatrice Militaire qui annonce des informations lié bien évidemment aux événements dans les armées ukrainienne mais aussi bien évidemment du conflit en cours. Le 1er petit reportage montre la présentation au ministre de la défense ukrainien de l'AMX10RCR par l'unité qui l'a percu , apparemment une unité de l'infanterie de marine . Le ministre va même piloter un AMX10RCR. Il donne son avis ainsi que les personnels de l'unité, on a donc des explications sur la vision d'emploi future proche . Très intéressant. Il y a ensuite d'autres petits reportages très intéressant dont un sur une embuscade antichar réussie mené par des soldats de l'infanterie de marine ukrainienne contre une colonne russe montée sur des BMP et du T72 , alors embuscade menait en liaison avec des tanks ukrainien et de l'artillerie. On voit le témoignages mais aussi des images de l'embuscade via des drones , c'est apocalyptique les images ! Ensuite un autre sujet concernant les snipers . Franchement très intéressant sans être chronophage . La traduction Google est pas mal . @Ardachès @Patrick @Boule75 @Fusilier https://DDR.be/f49n3PQItQc 1 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Ça aurait commencé : 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Le 19/04/2023 à 12:38, Elemorej a dit : Petite réflexion perso: Donc pour Nexter, en obus de 155mm 60k/an Pour une consommation Ukrainienne d'obus de toute sortes d'environ 5k/jour Aucune idée de la répartition, c'est entre du 155 et du 152 principalement non? Hypothèse 30/70%? Soit pour un besoin de 1500/jour en 155mm. Si on part effectivement sur 50% de prod en plus (disons pour les 2 usines et donc d'ici 2024) on tournerait a 90k/an soit 250/jour. Les Ukrainiens ont également reçu des obusiers de 105mm OTAN. Mais aucune idée du nombre de pièces. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a 34 minutes, Teenytoon a dit : Ça aurait commencé : je n'y crois absolument pas, à part ce compte twitter aucun autre ne parle d'un début d'attaque ukr 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 D'où le conditionnel utilisé dans ma phrase 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Les TRG-230 fournis par la Turquie à l'Ukraine...sur châssis Kamaz Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 challenger 2 ukr pixelisé 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Ce qui est présenté comme des composants électroniques d'un T-90M capturé par les Ukrainiens : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alzoc Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 (modifié) Une réponse sur le live du Monde concernant la répartition du matériel occidental dans certaines unités Ukrainiennes : https://www.lemonde.fr/international/live/2023/04/20/guerre-en-ukraine-en-direct-l-armee-russe-a-cree-le-groupement-militaire-dniepr-pour-defendre-le-sud-de-la-region-de-kherson-selon-les-britanniques_6170262_3210.html?#id-930920 Citation Citation Bonjour ! Pour faire écho à la question d'Axel, pouvez vous nous faire un point sur le type et le nombre de blindés livrés à l'Ukraine ? Merci ! Statista propose un élément de réponse et quelques détails sur les matériels annoncés. Sur son compte Telegram, le colonel Markus Reisner – chef du département recherche et développement de l’Académie militaire autrichienne – donne quelques détails supplémentaires sur le rééquipement de certaines brigades des forces armées ukrainiennes, avec des matériels fournis par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la Pologne, le Canada, la France, l’Estonie, l’Italie, la Slovaquie, les Pays-Bas et l’Australie. Il écrit que les livraisons sont terminées depuis le 1er avril et que la formation des personnels s’est achevée au cours de la seconde moitié du mois de mars.21e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes 20 véhicules blindés de combat de la famille CRV (T) 30 véhicules blindés Senator 20 véhicules blindés Husky 30 chars T-64BV 10 obusiers FH-70 de 155 mm 32e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro 10 chars T-72 20 chars Abrams M1 12 obusiers D-30 de 122 mm 33e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro 18 chars Léopard 2A4 14 chars Leopard 2A6 12 obusiers M119 de 105 mm 37e brigade de marine des forces armées ukrainiennes 60 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) Mastiff (Cougar) 14 AMX-10 16 chars Abrams M1 (pas encore livrés) 12 obusiers D-30 122 mm 30 BMP Senator 47e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes 99 BMP M2A2 28 chars T-55S 12 obusiers M-109 de 155 mm 12 obusiers D-30 de 122 mm 82e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes 90 véhicules de combat Stryker 40 véhicules de combat Marder 14 chars Challenger 2 24 obusiers M119 105 mm 95e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes 90 véhicules de combat d’infanterie BMP 1 et 2 12 chars T-64BV 10 canons automoteurs de 122 mm SAU 2S1 « Gvozdika » 17 chars Abrams M1 (pas encore livrés) 12 obusiers SAU AS90 de 155 mm 118e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes 90 véhicules de transport de troupes M113 28 chars T-72 6 canons automoteurs M109 de 155 mm 10 obusiers FH-70 de 155 mm 117e brigade détachée de la défense territoriale de l’Ukraine 28 véhicules à haute mobilité Viking 28 véhicules blindés de transport de troupes XA-185 10 véhicules de transport de troupes M113 10 véhicules blindés Senator 31 chars PT-91 12 obusiers D-30 de 122 mm Bon il y a quelques approximations et erreurs durant la traduction (BMP M2A2 ) mais ça dresse un tableau récapitulatif de ce que les forces Ukrainiennes ont pu faire avec le matériel livré. Modifié le 20 avril 2023 par Alzoc 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. collectionneur Posté(e) le 20 avril 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 avril 2023 (modifié) Sur le fil du journal Le Monde Statista propose un élément de réponse et quelques détails sur les matériels annoncés. Sur son compte Telegram, le colonel Markus Reisner – chef du département recherche et développement de l’Académie militaire autrichienne – donne quelques détails supplémentaires sur le rééquipement de certaines brigades des forces armées ukrainiennes, . Il écrit que les livraisons sont terminées depuis le 1er avril et que la formation des personnels s’est achevée au cours de la seconde moitié du mois de mars.21e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 20 véhicules blindés de combat de la famille CRV (T) - 30 véhicules blindés Senator - 20 véhicules blindés Husky - 30 chars T-64BV - 10 obusiers FH-70 de 155 mm 32e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro - 10 chars T-72 - 20 chars Abrams M1 - 12 obusiers D-30 de 122 mm 33e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro - 18 chars Léopard 2A4 - 14 chars Leopard 2A6 - 12 obusiers M119 de 105 mm 37e brigade de marine des forces armées ukrainiennes - 60 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) Mastiff (Cougar) - 14 AMX-10 - 16 chars Abrams M1 (pas encore livrés) - 12 obusiers D-30 122 mm - 30 BMP Senator 47e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes - 99 BMP M2A2 (sans doute BMP ET Bradley, il semble qu'il y a juste 60 M2A2 livrés) - 28 chars T-55S - 12 obusiers M-109 de 155 mm - 12 obusiers D-30 de 122 mm 82e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de combat Stryker - 40 véhicules de combat Marder - 14 chars Challenger 2 - 24 obusiers M119 105 mm 95e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de combat d’infanterie BMP 1 et 2 - 12 chars T-64BV - 10 canons automoteurs de 122 mm SAU 2S1 « Gvozdika » - 17 chars Abrams M1 (pas encore livrés) - 12 obusiers SAU AS90 de 155 mm 118e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de transport de troupes M113 - 28 chars T-72 - 6 canons automoteurs M109 de 155 mm - 10 obusiers FH-70 de 155 mm 117e brigade détachée de la défense territoriale de l’Ukraine - 28 véhicules à haute mobilité Viking - 28 véhicules blindés de transport de troupes XA-185 - 10 véhicules de transport de troupes M113 - 10 véhicules blindés Senator - 31 chars PT-91 - 12 obusiers D-30 de 122 mm Modifié le 22 avril 2023 par collectionneur (sans doute BMP ET Bradley, il semble qu'il y a juste 60 M2A2 livrés) 8 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Assez surprenant finalement et qui tendrait à confirmer la difficulté ukrainienne à retirer du front des unités solides. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yankev Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a 43 minutes, gustave a dit : Assez surprenant finalement et qui tendrait à confirmer la difficulté ukrainienne à retirer du front des unités solides. Humm, justement, sur militaryland.net, je ne vois aucune de ces unités, déployés sur le front. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 20 avril 2023 Auteur Share Posté(e) le 20 avril 2023 Il y a 2 heures, collectionneur a dit : Sur le fil du journal Le Monde Statista propose un élément de réponse et quelques détails sur les matériels annoncés. Sur son compte Telegram, le colonel Markus Reisner – chef du département recherche et développement de l’Académie militaire autrichienne – donne quelques détails supplémentaires sur le rééquipement de certaines brigades des forces armées ukrainiennes, . Il écrit que les livraisons sont terminées depuis le 1er avril et que la formation des personnels s’est achevée au cours de la seconde moitié du mois de mars.21e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 20 véhicules blindés de combat de la famille CRV (T) - 30 véhicules blindés Senator - 20 véhicules blindés Husky - 30 chars T-64BV - 10 obusiers FH-70 de 155 mm 32e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro - 10 chars T-72 - 20 chars Abrams M1 - 12 obusiers D-30 de 122 mm 33e brigade mécanisée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) International MaxxPro - 18 chars Léopard 2A4 - 14 chars Leopard 2A6 - 12 obusiers M119 de 105 mm 37e brigade de marine des forces armées ukrainiennes - 60 véhicules blindés de transport de troupes (MRAP) Mastiff (Cougar) - 14 AMX-10 - 16 chars Abrams M1 (pas encore livrés) - 12 obusiers D-30 122 mm - 30 BMP Senator 47e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes - 99 BMP M2A2 - 28 chars T-55S - 12 obusiers M-109 de 155 mm - 12 obusiers D-30 de 122 mm 82e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de combat Stryker - 40 véhicules de combat Marder - 14 chars Challenger 2 - 24 obusiers M119 105 mm 95e brigade d’assaut aéroportée détachée des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de combat d’infanterie BMP 1 et 2 - 12 chars T-64BV - 10 canons automoteurs de 122 mm SAU 2S1 « Gvozdika » - 17 chars Abrams M1 (pas encore livrés) - 12 obusiers SAU AS90 de 155 mm 118e brigade mécanisée indépendante des forces armées ukrainiennes - 90 véhicules de transport de troupes M113 - 28 chars T-72 - 6 canons automoteurs M109 de 155 mm - 10 obusiers FH-70 de 155 mm 117e brigade détachée de la défense territoriale de l’Ukraine - 28 véhicules à haute mobilité Viking - 28 véhicules blindés de transport de troupes XA-185 - 10 véhicules de transport de troupes M113 - 10 véhicules blindés Senator - 31 chars PT-91 - 12 obusiers D-30 de 122 mm Sans vérifier nombre à nombre, ça ressemble fortement à un copié collé du contenu de l'un des documents de la fuite du Pentagone... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 https://www.diepresse.com/6278042/russland-wirbt-um-kaempfer-mit-video-du-bist-doch-ein-mann Le clip vidéo produit à grands frais dans le style d'un film d'action doit inciter les recrues potentielles à s'engager dans l'armée. Face aux lourdes pertes subies dans la guerre contre l'Ukraine, le ministère russe de la Défense recrute désormais des combattants pour les combats dans le pays voisin avec une vidéo produite à grands frais. On peut voir dans le clip, réalisé dans le style d'un film d'action, un gardien de supermarché, un entraîneur dans une salle de sport et un chauffeur de taxi qui se transforment en soldats en uniforme. La vidéo permet de se demander directement si ces hommes sont au bon endroit pour servir leur pays. "Tu es un homme ! Deviens-le maintenant !" peut-on lire en russe dans le clip de 46 secondes. "Servez avec un contrat !", dit l'invitation. On promet aux volontaires une solde mensuelle à partir de 204.000 roubles (environ 2280 euros) pour leur engagement au front, une formation correcte et des prestations sociales. Les hommes peuvent s'inscrire directement sur une hotline au numéro 117 ou sur un site Internet. Des points d'inscription pour les volontaires ont été mis en place dans tout le pays. Ces promesses sont en contradiction avec de nombreux autres clips dans lesquels les soldats se plaignent régulièrement d'un mauvais équipement, d'un mauvais commandement et d'un mauvais traitement. Depuis des semaines déjà, des affiches sont placardées à Moscou pour recruter des soldats professionnels : "Notre métier est de défendre la patrie", pouvait-on y lire. L'armée recherche ainsi des canonniers, des pionniers, des infirmiers, des chauffeurs et des commandants de chars. On promet aux recrues potentielles "le respect, un métier honorable et un salaire décent". Une mobilisation partielle en septembre avait incité des dizaines de milliers de Russes à quitter le pays pour éviter la conscription. Aux dernières nouvelles, la possibilité d'une deuxième mobilisation a été évoquée. Les autorités ont tenté de minimiser cette éventualité et ont fait référence à la recherche de volontaires. Toutefois, l'introduction d'une conscription électronique a été décidée récemment afin de lutter contre les objecteurs de conscience. Dernièrement, l'armée privée russe Wagner a également écrit pour recruter des volontaires pour un engagement dans la zone de guerre pour un salaire de 240.000 roubles par mois. Des primes de succès sont en outre promises, a fait savoir Wagner. Le chef de Wagner, Evgeni Prigoschin, a également mis en place des bureaux de recrutement dans tout le pays. Les services secrets militaires britanniques et les médias russes avaient rapporté que Moscou avait l'intention de recruter jusqu'à 400.000 soldats professionnels sur la base du volontariat pour renforcer ses forces armées en Ukraine. La Russie ne donne pas de chiffres complets sur les pertes subies en Ukraine. Selon une récente fuite du ministère américain de la Défense, jusqu'à 43.000 Russes ont toutefois été tués jusqu'à présent dans la guerre qui dure depuis environ 14 mois. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Poivre62 Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Il y a 3 heures, collectionneur a dit : Sur le fil du journal Le Monde .... Je pensais qu'aucun Abrams n'était arrivé encore. Aucune de ses unités n'aurait reçu des Bradley? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a 1 minute, Poivre62 a dit : Je pensais qu'aucun Abrams n'était arrivé encore. Aucune de ses unités n'aurait reçu des Bradley? Le M2A2 c'est quoi ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 20 avril 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 avril 2023 En attendant l'offensive, un reportage sur le cyber Ukr. Ce qui est intéressant au final, c'est que le SBU a rapidement pu mettre la main sur tout le monde et même si l'article le présente pas exactement comme çà, on comprend bien que les options pour ces hackers devaient être assez limitées. https://www.lemonde.fr/international/article/2023/04/19/en-ukraine-l-elite-des-hackeurs-enroles-dans-la-guerre-contre-la-russie_6170102_3210.html Citation En Ukraine, l’élite des cyberactivistes enrôlés dans la guerre contre la Russie Par Florence Aubenas (Kiev, envoyée spéciale)Publié hier à 05h00, modifié hier à 18h56 ReportageAvant même l’invasion russe, l’état-major militaire avait espéré qu’une vingtaine d’individus deviennent une cybertroupe d’élite. La plupart ont accepté. Depuis, l’Ukraine a subi environ 4 500 cyberagressions, la plupart passées inaperçues Le rendez-vous avait été fixé dans un immeuble caché à Kiev, une sorte de blockhaus, béton blanc du sol au plafond, fauteuils design et ordinateurs pour seul ameublement. Face à face, une vingtaine d’individus appartenant aux cercles les plus fermés d’Ukraine. D’un côté la puissance invitante, l’état-major militaire du service d’Etat des communications spéciales, qui pilote la cybersécurité du pays. De l’autre, les invités, l’élite des hackeurs ukrainiens, parmi les meilleurs de la planète, une douzaine de pirates farouches et libertaires généralement gratifiés de l’étiquette « cybercriminels ». Les uns et les autres se connaissent, bien sûr. Et ils ne s’aiment pas, c’est le moins qu’on puisse dire. Tous savent, alors, que leur monde vient de basculer. C’était le 14 janvier 2022. Dans la nuit, des cyberattaques russes en rafale ont tenté de mettre à l’arrêt des infrastructures essentielles et piraté 70 sites gouvernementaux. « On connaît le style russe : ça ne pouvait être que le coup d’envoi de la guerre », se souvient Tim Karpinsky, 35 ans, barbe et casquette, qui incarne la partie visible du réseau souterrain des hackeurs en Ukraine. Il revit l’étrange atmosphère de ce matin-là dans le blockhaus blanc. « A l’époque, nous étions dans une opposition profonde avec les structures de l’Etat. On ne leur faisait pas confiance. » Pour définir les activités des pirates, il cite une réplique-culte d’un vieux film soviétique : « Tu voles, tu fais la fête, tu vas en prison. » Dans le blockhaus, l’ordre du jour paraît inimaginable : l’armée nationale demande aux pirates de la rejoindre pour former un commando des « forces spéciales numériques ». Mais plus incroyable encore, les « invités » acceptent, la majorité en tout cas. « Il fallait s’unir face à la grande offensive, sortir du côté de la lumière, si on veut parler comme un hackeur », raconte Tim Karpinsky. Six semaines plus tard, le 24 février 2022, la Russie lançait ses troupes en Ukraine. A vrai dire, les états-majors occidentaux se préparaient à une cyberguerre dans le pays depuis les combats dans le Donbass et l’annexion de la Crimée par Moscou en 2014 : elle serait dévastatrice et spectaculaire, forcément, un « cyber-Pearl Harbor », selon l’expression de Leon Panetta, ancien secrétaire à la défense américain. Mais rien ne va se passer comme prévu. La stratégie du chaos Ukrenergo, la compagnie publique d’électricité, fait partie de ces infrastructures essentielles ciblées par plus de 350 cyberattaques dans les semaines juste avant et juste après l’invasion : la stratégie russe du chaos, semer la panique sans détruire les sites pour autant. Sûr d’une victoire éclair, le Kremlin comptait les utiliser à son profit, comme ce fut le cas en Crimée. Mais, depuis quatorze mois, « toutes leurs cyberagressions ont échoué », assure Serhiy Galagan, directeur de la sécurité numérique d’Ukrenergo. La compagnie a été l’une des premières à s’y préparer. Une chance insensée s’en est aussi mêlée, un miracle. Toujours synchronisé au réseau électrique russe, Ukrenergo avait, en effet, prévu de passer sur le réseau d’Europe continentale en 2023. Il se trouve – « pure coïncidence », s’émerveille encore le directeur – qu’un essai de ce changement avait été lancé dans la nuit du 23 février 2022. Il devait durer trois jours, la guerre a éclaté le lendemain. Dans 70 % des cyberattaques, les 8 000 employés de la compagnie restent le point de vulnérabilité du réseau, par imprudence, voire, dans certains cas, par malveillance. Parfois aussi, les officiers du service fédéral de sécurité russe (FSB) ne masquent même pas leur nom quand ils tentent un hameçonnage. Ils s’en moquent. Ils veulent montrer qu’ils sont forts. L’interdiction de brancher son portable sur son ordinateur professionnel ou la surveillance impitoyable des activités de chacun sur les réseaux sociaux font partie des règles de base. Il faut dire que c’est par le piratage des mails à Ukrenergo que la cybervie a changé en Ukraine, le 23 décembre 2015. Ce jour-là, des hackeurs russes, selon Kiev, bloquent un centre régional d’exploitation électrique, dans l’ouest du pays. L’attaque a été filmée, côté ukrainien, par un ingénieur : on voit les opérateurs pétrifiés devant leurs écrans, comprenant que des pirates sont en train d’en prendre le contrôle à distance. En trois heures, 30 sous-stations sont mises hors service, les lumières s’éteignent, quartier par quartier. Coup de grâce : l’alimentation de secours du centre lui-même est débranchée à son tour, plongeant les opérateurs dans le noir. Un attentat similaire frappe la région de Kiev quelques mois plus tard. A l’époque, des structures d’Etat spécialisées existent pourtant dans le pays. Mais une réputation douteuse les entoure. Longtemps rattachées aux services ukrainiens de sécurité (SBU), elles sont surtout utilisées pour surveiller la population, vieille tradition soviétique. En 2004, des directives européennes sur les droits de l’homme ordonnent de couper le cordon. Devenue autonome, la cybersécurité nationale se retrouve rongée par un autre mal du pays : la corruption. Finances illimitées Les attaques de centrales d’Ukrenergo de 2015 et 2016 vont néanmoins faire l’effet d’un électrochoc. Des audits sont lancés, une centralisation s’amorce. Chef du service d’Etat des communications spéciales, le général de brigade Yuriy Schygol, 40 ans, est aujourd’hui l’un des hommes les plus puissants du pays. On le dit « clean », représentant d’une jeune génération aux mains propres et au sang froid. Il est nommé en 2020, au moment où des puissances occidentales voient se rapprocher une guerre de haute intensité en Ukraine. Yuriy Schygol, chef du service des communications spéciales, le général de brigade à Kiev, le 21 janvier 2023. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Dans les bureaux du Service d'Etat pour les communications spéciales et la protection de l'information de l'Ukraine, à Kiev, le 21 janvier 2023. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Une plate-forme d’échange aux normes de l’Union européenne et de l’OTAN est mise en place. Selon plusieurs experts internationaux, le pays serait un des rares au monde à jouir d’accès privilégiés à l’Agence nationale de sécurité (NSA), le monstre américain en matière de renseignement électronique. Pas de confirmation officielle. En janvier 2022, c’est le général de brigade Schygol que l’on retrouve dans le bunker de béton blanc, à l’initiative de la fameuse réunion avec les pirates. « On a été francs, on leur a dit : “Aidez-nous, s’il vous plaît.” Ils nous ont fait confiance », se souvient-il. Depuis le début de l’invasion, l’Ukraine a essuyé environ 4 500 cyberagressions, la plupart passées inaperçues. « Le nombre ne diminue pas, mais la qualité, si. Il faut plus d’un an pour planifier des attaques majeures. Les Russes ont balancé tout ce qu’ils avaient préparé au début de l’invasion : ils ne s’attendaient pas à une telle défense. Autant qu’on sache, ils ne peuvent plus suivre à un haut niveau », reprend le général. Leur principale force : ils ne s’arrêtent jamais et disposent de finances illimitées. 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 Partie 2 Citation Une vie sans portable Chez Kyivstar, on a découvert « un scénario inattendu et radical de la cyberguerre », raconte Oleksander Komarov, 50 ans, le PDG du leader des opérateurs téléphoniques ukrainiens. Dans les territoires occupés, au sud ou à l’est, les Russes ont commencé par préserver le réseau téléphonique local, comptant brancher un opérateur à eux sur les infrastructures existantes. A Kiev, l’équipe de Kiyvstar a suivi en direct pendant trois mois leurs tentatives de piratage. « Nous, on ne voulait pas arrêter, les banques, l’économique, l’information, la vie entière passe par là, dit M. Komarov. De toute façon, pour un opérateur, couper le réseau, c’est une douleur physique, comme se couper un bras. » Quand les Russes débranchaient le réseau, les Ukrainiens le rallumaient, jusqu’au moment où les occupants l’ont finalement arrêté. En réalité, c’est aussi le rôle des cyberarmes elles-mêmes dans une guerre conventionnelle qui interrogent aujourd’hui les spécialistes. L’attaque russe la plus réussie – le piratage d’un réseau satellitaire Viasat paralysant les communications militaires ukrainiennes près de la frontière biélorusse, en février 2022 – n’a pas changé le cours de la bataille : Moscou a dû battre en retraite dans cette région. « Le cyber a été pris pour une baguette magique. Mais, en tant qu’armes offensives, [les cyberattaques] ont peut-être été surestimées (…). Un bombardement reste malheureusement bien plus rapide et efficace », peut-on lire dans le rapport de défense confidentiel d’un pays européen. Commence alors une vie sans téléphone portable dans les zones contrôlées par Moscou. Un choc : « Les gens étaient perdus, plus aucun repère, une folie », se souvient Anton, commerçant à Kiev après avoir fui Marioupol (toujours occupée aujourd’hui). Il se revoit là-bas, défiant les bombardements pour courir à la tour Kyivstar. Et, comme des centaines de personnes, il a tendu son téléphone vers les antennes, tentant de recueillir les ultimes pulsations du réseau. Dernier appel à sa grand-mère : « Je suis vivant. » Pendant des semaines, coupé du monde, Anton a cru que l’Ukraine était tombée. Au moment de la contre-offensive cet automne à Izioum, dans l’Est, des habitants terrés dans les abris depuis des jours ont appris la libération de leur ville en voyant le réseau ukrainien se rallumer soudain sur leur écran. A l’époque, sur la place principale de la ville, la foule délaissait les camionnettes humanitaires dès qu’une rumeur annonçait une petite zone où le réseau ukrainien commençait faiblement à repartir. Dans les zones encore occupées, Moscou implante ses opérateurs, difficilement : beaucoup d’équipements locaux ont fini par être détruits, et les sanctions internationales l’empêchent d’acheter du matériel. Mais, depuis Paris, Kevin Limonier, maître de conférences à l’université Paris-VIII et spécialiste de la datasphère russophone, regarde bouger sur ses écrans la nouvelle ligne de front numérique. « Avec cette guerre, la Russie est le premier pays du monde à avoir fait du cyberespace un facteur de contrôle du territoire », analyse-t-il. Et, comme un dialogue à 2 500 kilomètres de distance, le PDG de Kyivstar s’exclame à Kiev : « C’était peut-être ça la réalité de la cyberguerre ! » Une nouvelle configuration se met aujourd’hui en place. En Ukraine, ce printemps, le temps semble suspendu dans l’attente de la nouvelle contre-offensive. Les agressions numériques russes s’étaient intensifiées au moment des deux précédentes opérations militaires de Kiev : chacun s’attend à ce qu’il en soit de même. Le hackeur Tim Karpinsky se souvient du temps où les pirates ukrainiens insultaient leurs propres forces armées dans leurs discussions. Aujourd’hui, ils débattent plutôt de la manière de faire son service militaire. Lui-même porte des galons d’officier dans les cybertroupes d’élite depuis quatorze mois. Les actions du groupe restent secrètes, mais aucune n’est offensive, officiellement. « Notre mission : repérer une attaque sur une infrastructure critique et la retourner contre eux », dit-il. Entre pirates ennemis, ils se connaissent à force de s’affronter dans la datasphère. Et certaines batailles deviennent personnelles. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a 23 minutes, Fanch a dit : Le M2A2 c'est quoi ? Le Bradley Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a une heure, Yankev a dit : Humm, justement, sur militaryland.net, je ne vois aucune de ces unités, déployés sur le front. Je soulignais le fait que l’équipement de ces brigades n’est pas vraiment cohérent : il aurait été logique de les équiper en Caesar par exemple en priorité, ce qui visiblement n’a pas été possible. Il semblerait qu’elles regroupent les derniers équipements livrés, sans rechercher une cohérence tactique, ce qui peut laisser supposer que les brigades précédemment formées n’ont pas pu être retirées des lignes en vue de constituer cette force offensive. Une autre option est qu’elles l’ont été et que nous l’ignorons… 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 20 avril 2023 Share Posté(e) le 20 avril 2023 il y a 27 minutes, gustave a dit : Le Bradley La question était purement rhétorique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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