C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février (modifié) Trump vient nous rappeler (une fois de plus) que l'OTAN et l'article 5 ne sont que des constructions politiques et que dès lors, tout est négociable. La tentation de sceller le sort de l'UE avec un accord directement avec les Russes semblent être de plus en plus à l'agenda des Républicains. J'ai bien peur qu'on ait bientôt à reparler de la guerre impossible entre OTAN et Russie, de l'armée Fr qui n'a pas besoin d'être conventionnellement forte etc... Modifié le 11 février par olivier lsb 3 1 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février Les remords de Clinton, suite à la restitution des armes nucléaires soviétiques par l'Ukraine. 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
john74 Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 8 minutes, olivier lsb a dit : Trump vient nous rappeler (une fois de plus) que l'OTAN et l'article 5 ne sont que des constructions politiques et que dès lors, tout est négociable. La tentative de sceller le sort de l'UE avec un accord directement avec les Russes semblent être de plus en plus à l'agenda des Républicains. J'ai bien peur qu'on ait bientôt à reparler de la guerre impossible entre OTAN et Russie, de l'armée Fr qui n'a pas besoin d'être conventionnellement forte etc... Ce que dit surtout Trump, c'est que les membres de l'OTAN paieront l'addition. Entre l'aide US à rembourser et le cout de la recontruction de l'ukraine, la facture va etre salée pour l'UE. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 4 minutes, john74 a dit : Ce que dit surtout Trump, c'est que les membres de l'OTAN paieront l'addition. Entre l'aide US à rembourser et le cout de la recontruction de l'ukraine, la facture va etre salée pour l'UE. Oui c'est clairement une technique de négociation avec les Européens. Mais sous entendre que le jeu est ouvert avec la Russie pour faire augmenter les enchères, c'est vraiment une pente dangereuse. Cela ne m'étonne pas dans le fond, la seule chose qui continue de m'étonner, c'est l'atonie générale sur les commandes de matériels et celles qui sont passées avec les USA. Parlant de commandes: quelqu'un saurait il ce que suggère ce dernier développement, qui semble être nouveau "Paris will produce and transfer to Ukraine dozens of Caesar". Cette opacité sur notre aide militaire est franchement ridicule. Les derniers développements connus, c'était "il nous reste un slot de 78 exemplaires que l'on peut fabriquer cette année, mais non encore financés". Avec je crois 6 exemplaires financés par les Ukrainiens en fonds propres. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février (modifié) il y a 46 minutes, olivier lsb a dit : Cela ne m'étonne pas dans le fond, la seule chose qui continue de m'étonner, c'est l'atonie générale sur les commandes de matériels et celles qui sont passées avec les USA. Oui c'est pareil pour moi. Je ne comprend pas. Je ne comprend pas non plus que l'intégrité des approvisionnements en matière première n'ait pas donné lieu à quelques révisions stratégiques urgentes. Je pense aux Groenland, à l'Afrique et à l'Inde. Ce sont des décisions européennes qui doivent être prise urgemment. On voit bien dans le cas de la mer Rouge que nous sommes les principales victimes des attaques Houthis. Les US n'y jouent que leur crédibilité. Nous on y joue nos approvisionnements. Une industrie de guerre européenne serait dissuasive si elle est cohérente sur toute la ligne. Modifié le 11 février par herciv 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février Sur le désengagement Américain, Thomas Gomart, directeur général de l'IFRI, ne dit pas autre chose que ce que nous pouvons déjà constater. https://www.ifri.org/fr/espace-media/lifri-medias/thomas-gomart-ifri-europeens-laissent-ukrainiens-sort-sera-fin-de-leurope Citation Ses propos font froid dans le dos. Pourtant, Thomas Gomart, le directeur général de l’Institut français des relations internationales (Ifri) – institution qui s’est imposée comme le premier think tank français avec une cinquantaine de chercheurs – est un homme posé, qui ne se départit jamais d’un calme sourire. « Si les Européens laissent les Ukrainiens à leur sort, ce sera la fin de l’Europe et de l’Otan, prévient-il. Des Etats comme la Pologne et les pays baltes ne l’accepteront pas, eux. Il y aura à nouveau une cassure au sein de l’Union européenne. » Le jeune quinquagénaire qui paraît dix ans de moins parle avec clarté et conviction, sans jamais pontifier. ll s’excuse presque de la gravité de son message : « Dans notre métier nous sommes pessimistes par nature, nous jouons assez vite les cassandres. » Ses avertissements seront-ils entendus ? L’Accélération de l’histoire, le livre qu’il vient de publier chez Tallandier, appelle les Européens à cesser d’être spectateurs et prendre en main leur propre sécurité. « Je suis frappé que nous n’ayons pas conscience de la gravité de la guerre en Ukraine pour nous. Le soutien européen est largement insuffisant », déplore-t-il. Et de souligner le « décalage énorme entre le discours et la réalité de ce qui est produit en termes militaires et économiques ». Une marginalisation inquiétante Un soutien qui doit tenir dans la durée. Car l’autre erreur des Européens est d’avoir imaginé que la guerre en Ukraine allait se finir avec la contre-offensive du printemps 2023. Un aveuglement qui, dans certaines sphères, va jusqu’au défaitisme. « Dans certains milieux à Paris, on ne comprend pas pourquoi l’Ukraine n’a pas capitulé, pourquoi sa flotte ne se saborde pas », se désole l’historien, qui n’en dit pas davantage. Pour Thomas Gomart, la faiblesse de la sécurité européenne n’est pas tant une affaire de moyens – en cumulé, les différents Etats alignent 250 milliards d’euros de dépenses militaires par an – que de volonté. « La quasi-totalité des pays européens ne conçoit sa sécurité que dans le cadre de l’Otan : « Quand je suis victime d’attaques, j’appelle Washington ». » Autre symptôme de la marginalisation des Vingt-Sept, la présence croissante des Etats asiatiques dans la sécurité de la zone : « La Corée du Nord et l’Iran arment la Russie, le Japon soutient politiquement l’Ukraine et la Corée du Sud fournit en armements la Pologne ». Dans l’hypothèse d’une réélection de Donald Trump et d’un brutal désengagement des Etats-Unis du conflit ukrainien, les Européens pourraient se retrouver au pied du mur. « Trump, ça va être leur moment de vérité », soupire-t-il. Une situation très délicate et paradoxale, où « les forces les plus antiaméricaines et prorusses pourraient nous demander de nous aligner sur Washington ». Un projet d’asservissement Dans une telle perspective, l’Europe n’a donc pas d’autre choix que d’assurer sa propre défense, juge l’intellectuel. A cet égard, la France a pris un peu d’avance sur ses voisins. « Emmanuel Macron est le premier, depuis quatre présidents, à relancer la dépense militaire », salue-t-il. Un effort louable après deux décennies d’abandon, notamment « les années Sarkozy [qui] ont complètement dévitalisé le militaire ». Toutefois, en dépit du discours de l’Elysée sur « l’économie de guerre », le compte n’y est pas, avec un réarmement en réalité très insuffisant. « La loi de programmation militaire, ce sont 100 milliards qui servent à ne pas reculer. Un tiers de ce budget est consommé par l’inflation, un autre par les grands programmes et le dernier va améliorer l’état des stocks », tacle cet esprit indépendant. Autre faiblesse française, et plus largement, européenne, la manie d’acheter américain. En France, l’industrie de défense pâtit aussi d’un sous-financement chronique. Tout aussi important que son arsenal militaire, le réarmement des Européens doit être aussi intellectuel. Avec des accents quasi churchilliens, Thomas Gomart invite les responsables de l’Union à changer de posture – cesser de se voir encore « comme le centre alors qu’ils ne le sont plus » – et à ouvrir les yeux sur les vrais desseins russes. « Nous ne voulons pas voir que cette guerre est existentielle pour les Ukrainiens. Ils ont compris ce que voulait dire dénazification et démilitarisation. » Un projet d’asservissement. Il est désormais temps d’être lucide sur la nature de la relation sino-russe. « Moscou s’est mis dans une situation de dépendance extrêmement forte à l’égard de la Chine, observe-t-il. Il est utilisé par la Chine comme une sorte de bélier pour accélérer la désoccidentalisation du monde. » Il y a urgence enfin à voir les menaces nucléaires représentées par « les trois pays les plus sanctionnés au monde » par la communauté internationale. La Russie, d’abord. Un pays qui mène « une guerre coloniale sous protection nucléaire » et utilise la rhétorique de l’atome pour « inhiber » l’Occident, instiller le doute. L’Iran, ensuite, qui dans la perspective du 50e anniversaire de la révolution islamique poursuit son obsession d’acquérir l’arme nucléaire. La Corée du Nord, enfin, parvenue à accélérer ses programmes nucléaires et balistiques en dépit d’un régime de sanctions particulièrement sévères. Doit-on en conclure qu’elles étaient inutiles ? « Elles ont produit du temps stratégique que nous avons dilapidé », rétorque-t-il. « Bifurcation ratée » Dans ce monde de blocs interdépendants, les chercheurs occidentaux ont-ils manqué certaines évolutions ? La mutation idéologique de la Russie n’a du moins pas échappé à l’Ifri, qui avait créé un observatoire sur ce pays dès 2003. Thomas Gomart, qui a consacré sa thèse aux relations franco-soviétiques et passé beaucoup de temps dans l’ex-patrie du communisme, revient sur le tournant anti-occidental. Il date la cassure de la fin des années 2000 – période où « des choses étaient encore possibles » – et s’attarde sur la « bifurcation ratée » de 2008. A cette date, le Britannique Tony Blair propose un accord entre Moscou et l’Otan, « qui met la Russie sur un pied d’égalité ». Mais Vladimir Poutine remilitarise « à bas bruit » et prend une autre voie. Les opérations extérieures s’enchaînent – Géorgie, Syrie, Crimée… –, accompagnées d’un discours de plus en plus anti-occidental. Au passage, l’historien dézingue l’idée, instillée par l’ambassade de Moscou à Paris depuis des années, d’une « humiliation » infligée à la Russie par l’Occident. « Faire entrer au G8 [en 1997] un pays qui avait alors le PIB du Portugal est une drôle de manière de l’humilier. Du flan ! » Préparé à l’invasion russe de février 2022, le spécialiste avoue toutefois avoir été surpris par la résistance ukrainienne. A posteriori, il concède aussi avoir manqué un signal : le fait que la Russie, en dix ans, soit devenue la première puissance céréalière mondiale. Un élément a posteriori décisif. « Cela traduit une logique d’autosuffisance, la vision d’un monde « Mad Max » [film dystopique de 1979]. Poutine voulait être autonome par rapport à des Européens qu’il comptait mettre à genoux. » Bruxelles serait bien avisée d’entendre ce wake up call et suivre son conseil : en dire moins, en faire plus. 1 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 8 minutes, olivier lsb a dit : Citant Thomas Gomart : « Si les Européens laissent les Ukrainiens à leur sort, ce sera la fin de l’Europe et de l’Otan, prévient-il. Des Etats comme la Pologne et les pays baltes ne l’accepteront pas, eux. Il y aura à nouveau une cassure au sein de l’Union européenne. » Donc les Français n'auront pas à aller "mourir pour Dantzig". C'est tout bénef, en fait. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ciders Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février (modifié) il y a 6 minutes, Wallaby a dit : Donc les Français n'auront pas à aller "mourir pour Dantzig". C'est tout bénef, en fait. Oui, tu mourras un peu plus tard, pour Dunkerque. Bon j'avoue, ça fait moyen comme épitaphe. Peut-être qu'avec un peu de chance, on mourra pour Forbach. Modifié le 11 février par Ciders 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février (modifié) il y a 7 minutes, Wallaby a dit : Donc les Français n'auront pas à aller "mourir pour Dantzig". C'est tout bénef, en fait. Si un pays Européen verse le sang pour la sécurité collective de l'Union, il faudrait être d'une naïveté sans borne pour croire qu'une telle dette ne sera pas repayée d'une manière ou d'une autre, envers la Pologne ou un pays d'Europe centrale. Croire qu'un pays va consentir à des sacrifices "free of charge" pour sauver les fondamentaux de l'UE, pour un bénéfice collectif, faudrait quand même pas prendre les représentants élus de ces pays pour des jambons finis. Modifié le 11 février par olivier lsb 1 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février (modifié) il y a une heure, olivier lsb a dit : Pour Thomas Gomart, la faiblesse de la sécurité européenne n’est pas tant une affaire de moyens – en cumulé, les différents Etats alignent 250 milliards d’euros de dépenses militaires par an – que de volonté. « La quasi-totalité des pays européens ne conçoit sa sécurité que dans le cadre de l’Otan : « Quand je suis victime d’attaques, j’appelle Washington ». » Il va falloir penser à aider les ukrainiens en investissant des divisions venant de plusieurs pays. Il est temps de renverser la table et d'envoyer un signal politique d'unité et de prise de risque de l'UE. Dans cette partie de poker un des acteurs se couche. Il va falloir montrer les crocs. Modifié le 11 février par herciv 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Delbareth Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février il y a une heure, Ciders a dit : il y a une heure, Wallaby a dit : Donc les Français n'auront pas à aller "mourir pour Dantzig". C'est tout bénef, en fait. Oui, tu mourras un peu plus tard, pour Dunkerque. Bon j'avoue, ça fait moyen comme épitaphe. Peut-être qu'avec un peu de chance, on mourra pour Forbach. Wallaby n'a toujours pas compris qu'il ne s'agit pas de mourir (ou pour le moment souffrir) pour les Polonais, les Baltes ou les Ukrainiens. C'est pour conserver notre rang dans le bal des puissances, où les perdants perdent bien plus que du prestige. Si l'Europe se couche, c'est la fin de beaucoup de choses... 1 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 10 minutes, herciv a dit : Il va falloir penser à aider les ukrainiens en investissant des divisions venant de plusieurs pays. Il est temps de renverser la table et d'envoyer un signal politique d'unité et de prise de risque de l'UE. Dans cette partie de poker un des acteurs se couche. Il va falloir montrer les crocs. Je suis assez d'accord*, et l'idéal serait de ne pas le faire sous la bannière OTAN mais dans un cadre européen (et avec les anglais). Outre maintes difficultés institutionnelles et pratiques (états-majors, commandement, infrastructures afférentes... et pour partie politiques bien sûr), cette approche présenterait le grand avantage d'un double signal politique : vis à vis des USA : pas en opposition avec eux, mais pour couper court à la rhétorique isolationniste si "brillamment" maniée par Trump hier soir ; "payer", mais pas de la manière dont le gros Donald l'imagine. vis à vis de la Russie, pour casser son illusion d'une Europe-pion strictement inféodée aux USA et la forcer à reconsidérer la manière dont elle mène ses affaires européennes sans l'Europe depuis 20 ans. * Je préconisais déjà une approche dont j'ignorais alors qu'elle s'appelle celle du "piéton imprudent" avant le 22 février 2022, donc je me permets. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février Un report du voyage de macron en Ukraine vient d'être annoncé, vraiment pas un bon signal. Je ne crois pas une seule seconde aux arguments sécuritaires. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 4 minutes, olivier lsb a dit : Un report du voyage de macron en Ukraine vient d'être annoncé, vraiment pas un bon signal. Je ne crois pas une seule seconde aux arguments sécuritaires. VZ attend de savoir si la situation politique se stabilise pour lui ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février Le moment Schadenfreude de la MAE 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 1 minute, herciv a dit : VZ attend de savoir si la situation politique se stabilise pour lui ? Sa situation politique est stable. Un changement de CEMA n'est pas une situation politique complexe, militaire au plus. Surtout qu'au final, ça s'est plutôt bien passé. Je pense que ça a plutôt à voir avec les contributions FR et/ou UE à l'aide militaire pour l'Ukraine. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 16 minutes, Delbareth a dit : Wallaby n'a toujours pas compris qu'il ne s'agit pas de mourir (ou pour le moment souffrir) pour les Polonais, les Baltes ou les Ukrainiens. Si on envoi des division çà ne sera pas pour regarder les russes dans les yeux. Si on fait çà dans un cadre très européens c'est bien pour affirmer qu'on devra compter sur les européens en tant que puissance. Probablement il y aura du sang versé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février (modifié) il y a 5 minutes, olivier lsb a dit : Surtout qu'au final, ça s'est plutôt bien passé. Je pense que ça a plutôt à voir avec les contributions FR et/ou UE à l'aide militaire pour l'Ukraine. Une réévaluation de a situation ? Macron voudrait que l'Ukraine se couche aussi ? Mauvaise idée çà serait un mauvais signal envoyé à Poutine. Si Macron veut faire émerger l'Europe de la défense et qu'il ne met en place quelque chose maintenant çà sera un âne. Modifié le 11 février par herciv 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Boule75 Posté(e) le 11 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 février il y a 8 minutes, olivier lsb a dit : Un report du voyage de macron en Ukraine vient d'être annoncé, vraiment pas un bon signal. Je ne crois pas une seule seconde aux arguments sécuritaires. Ce qui a été dit hier soir, c'est que le voyage aurait lieu à une date non-annoncée à l'avance. Noel peut interpréter ça négativement mais, à ce stade, la sécurité personnelle du PR peut ne plus être considérée comme garantie lors de ce genre de déplacements. La visite du Président du seul membre de l'UE doté de l'arme nucléaire, ferme soutien de l'Ukraine quoi qu'on en dise, et dont la situation politique est incertaine, pourrait être "mal interprétée" par le Kremlin. Ce dernier pourrait considérer qu'une élection présidentielle anticipée en France lui serait favorable. Envisageons le pire : la sécurité autour de ce genre de visite doit désormais être des plus stricte. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février Il y a 2 heures, Ciders a dit : Oui, tu mourras un peu plus tard, pour Dunkerque. Beau sophisme! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février Il y a 3 heures, olivier lsb a dit : Les remords de Clinton, suite à la restitution des armes nucléaires soviétiques par l'Ukraine. Belle légende larmoyante. Les Ukrainiens comme les autres impliqués étaient tous conscients de l'incapacité ukrainienne à entretenir cette capacité nucléaire... Affirmer qu'ils s'en sont séparés à contre cœur pour la paix mondiale est un mythe. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 2 minutes, gustave a dit : Beau sophisme! Belle tentative de se rassurer. Après "la Russie n'attaquera pas l'Ukraine", "la Russie ne nous attaquera pas". Prends donc ce risque, moi je ne le souhaite pas. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 6 minutes, Ciders a dit : Belle tentative de se rassurer. Après "la Russie n'attaquera pas l'Ukraine", "la Russie ne nous attaquera pas". Prends donc ce risque, moi je ne le souhaite pas. Je n'ai voulu rassurer personne. Je dis que même si la Russie prenait Dantzig cela n'implique en rien qu'elle attaquerait Dunkerque. C'est donc un sophisme de toute beauté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 8 minutes, Ciders a dit : Belle tentative de se rassurer. Après "la Russie n'attaquera pas l'Ukraine", "la Russie ne nous attaquera pas". Prends donc ce risque, moi je ne le souhaite pas. Donc l'URSS n'a jamais eu le projet d'envahir l'ouest mais la Russie (tellement plus puissante militairement que l'URSS) elle l'aurait? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février il y a 8 minutes, Ciders a dit : Belle tentative de se rassurer. Après "la Russie n'attaquera pas l'Ukraine", "la Russie ne nous attaquera pas". Prends donc ce risque, moi je ne le souhaite pas. Donc l'URSS n'a jamais eu le projet d'envahir l'ouest mais la Russie (tellement plus puissante militairement que l'URSS) elle l'aurait? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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