C’est un message populaire. Glenans29 Posté(e) dimanche à 12:05 C’est un message populaire. Share Posté(e) dimanche à 12:05 9 minutes ago, rendbo said: "En arriver là", ce serait commencer l'histoire à 2022, un peu comme les médias essaient de nous faire croire que la situation israélienne commence en 2023 et qu'ils ne font que "se défendre". Oui bien sûr aucun média ne parle jamais de la colonisation, de l’usage excessif de la force militaire, des diverses violations des droits de l’homme, etc. de la part d'Israël Ça va tranquille les gros mensonges ? 1 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) dimanche à 13:38 Share Posté(e) dimanche à 13:38 Et un point Godwin pour le chancelier Allemand ! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) dimanche à 13:56 Share Posté(e) dimanche à 13:56 (modifié) Il y a 1 heure, Glenans29 a dit : Oui bien sûr aucun média ne parle jamais de la colonisation, de l’usage excessif de la force militaire, des diverses violations des droits de l’homme, etc. de la part d'Israël Ça va tranquille les gros mensonges ? Ca va virer au HS, donc je ne vais pas essayer de m'étendre. Il en a fallu du temps pour qu'ils en (re)parlent, allant même jusqu'à relayer la parole politique qui tentait de discréditer TPI et CIJ, l'ONU et ses multiples rapports, minimisant relayant toute pensée que les pertes civiles massives n'étaient que les chiffres du Hamas, et soutenant encore maintenant que toute idée critique du sionisme était antisémite (suffit de voir l'offensive médiatique du groupe Boloré)... Quant aux 6 premiers mois de l'offensive meurtrière sur Gaza c'était la fête du slip. Et même maintenant je ne suis pas sur que 2023 soit vraiment relié à une "réaction", certes dégueulasse, mais une réaction à 30 ans de politique israélienne. Donc non, je n'ai pas l'impression de dire de gros mensonges, ni d'avoir d'œillères sur le chemin ayant mené à ces deux conflits. Mais je te laisse libre de ton interprétation et de ton opinion dessus. Modifié dimanche à 13:59 par rendbo 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) dimanche à 14:13 Share Posté(e) dimanche à 14:13 ON MET FIN AU HS ET ON SE RECENTRE SUR L'UKRAINE SVP Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lecteur de passage Posté(e) dimanche à 14:59 C’est un message populaire. Share Posté(e) dimanche à 14:59 Quelques nouvelles venant de l'opposition russe... (M. Vladimir Milov est un politicien d'opposition russe, un publiciste, un économiste et un expert en énergie. Il fut conseiller en matière d'économie et d'affaires internationales auprès du leader de l'opposition russe Alexey Navalny, ainsi que vice-président de la Free Russia Foundation basée à Washington D.C. De 1997 à 2002, M. Milov a travaillé pour le gouvernement russe, notamment en tant que vice-ministre de l'énergie en 2002. Il était l'auteur du concept de démantèlement et de dégroupage de Gazprom auquel Vladimir Poutine a opposé son veto. Plus tard, M. Milov est devenu l'un des principaux critiques publics de Vladimir Poutine, travaillant en étroite collaboration avec le défunt politicien d'opposition Boris Nemtsov, et plus tard - avec Alexey Navalny.) 1. La fracture Kasparov / Kara-Mourza V. Milov a été l'un des principaux relais d'une récente querelle publique violente ayant éclaté au sein du Free Russia Forum et du Comité Anti-Guerre. Les faits : Garry Kasparov a publiquement accusé Vladimir Kara-Mourza de "faire cavalier seul" et de mener des négociations parallèles avec les instances européennes (APCE) sans coordination avec le reste de la coalition. Le point de rupture : La tension a atteint son paroxysme lorsque Kasparov a vivement critiqué Kara-Mourza (et par extension Yulia Navalnaya et Ilya Yashin) pour leur refus de signer la "Déclaration de Berlin", qui exige le soutien explicite à une défaite militaire de la Russie. Conséquence : Milov rapporte que cette altercation a mené au départ définitif de Kara-Mourza de certaines structures communes, marquant la fin de l'unité de façade de l'opposition à l'étranger. 2. Le "moment de vérité" économique (Budget 2026) En tant qu'économiste, Milov a détaillé les chiffres inquiétants du budget russe pour 2026 débattus à la Douma : Aveux de crise : Il souligne que même les officiels russes (comme le député Andreï Makarov) admettent désormais que le pays entre dans une zone de turbulences inédite depuis 1991. Épuisement des réserves : Milov affirme que la partie liquide du Fonds de Bien-être National est presque totalement consommée pour combler le déficit, laissant le Kremlin sans "coussin de sécurité" pour 2026. Inflaton et Taux : Il alerte sur une inflation réelle dépassant les 10-12 % et des taux d'intérêt de la Banque centrale (autour de 20-21 %) qui étouffent tout investissement non militaire. 3. État des lieux du régime La fatigue des élites : Milov rapporte une nervosité croissante chez les oligarques et les technocrates qui voient leurs profits s'effondrer sous l'effet des sanctions et de l'isolement technologique. Le "piège" de Poutine : Selon lui, Poutine est désormais otage du complexe militaro-industriel : arrêter la guerre provoquerait un effondrement immédiat du PIB car seul ce secteur porte encore la croissance. En résumé, pour Vladimir Milov, les derniers jours marquent un tournant : d'un côté, une crise de leadership dans l'opposition qui s'épuise en luttes internes, et de l'autre, une crise de ressources au Kremlin qui pourrait forcer des décisions drastiques (dévaluation ou mobilisation économique totale) d'ici le printemps 2026. 1 7 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) dimanche à 16:26 Share Posté(e) dimanche à 16:26 Il y a 2 heures, olivier lsb a dit : Et un point Godwin pour le chancelier Allemand ! La comparaison peut être défendue ou contestée, mais je n'ai même pas envie de faire ni l'un ni l'autre Le principal à mon sens est que cette comparaison est hypocrite Car lorsqu'on critique la décision de Paris et Londres d'avoir accepté le meurtre de la Tchécoslovaquie, on affirme que ces deux capitales auraient du attaquer l'Allemagne, ce qui d'une part aurait signifié respecter leur engagement, d'autre part aurait rendu la seconde guerre mondiale un peu moins destructrice, Berlin disposant d'une année de moins pour se préparer alors que les Tchécoslovaques se seraient défendus Donc, si la comparaison de l'attaque de Poutine contre l'Ukraine avec celle de Hitler contre la Tchécoslovaquie était sincère, ceux qui la défendent proposeraient d'attaquer la Russie maintenant, et ils regretteraient encore de ne pas l'avoir fait dès 2022. Mais ce n'est pas ce qu'ils font ==>C'est que leur comparaison est hypocrite Pour le reste le chancelier a raison oui. Soutenir l'Ukraine par des envois d'armes. Il faudrait d'ailleurs les augmenter grandement afin que Kiev ait au moins une petite chance d'éviter défaite militaire et perte de l'indépendance dans les années qui viennent 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) dimanche à 16:45 Share Posté(e) dimanche à 16:45 Il y a 1 heure, Lecteur de passage a dit : (M. Vladimir Milov est un politicien d'opposition russe, un publiciste, un économiste et un expert en énergie. Il fut conseiller en matière d'économie et d'affaires internationales auprès du leader de l'opposition russe Alexey Navalny, ainsi que vice-président de la Free Russia Foundation basée à Washington D.C. De 1997 à 2002, M. Milov a travaillé pour le gouvernement russe, notamment en tant que vice-ministre de l'énergie en 2002. Il était l'auteur du concept de démantèlement et de dégroupage de Gazprom auquel Vladimir Poutine a opposé son veto. Plus tard, M. Milov est devenu l'un des principaux critiques publics de Vladimir Poutine, travaillant en étroite collaboration avec le défunt politicien d'opposition Boris Nemtsov, et plus tard - avec Alexey Navalny.) (...) 2. Le "moment de vérité" économique (Budget 2026) En tant qu'économiste, Milov a détaillé les chiffres inquiétants du budget russe pour 2026 débattus à la Douma : Aveux de crise : Il souligne que même les officiels russes (comme le député Andreï Makarov) admettent désormais que le pays entre dans une zone de turbulences inédite depuis 1991. Épuisement des réserves : Milov affirme que la partie liquide du Fonds de Bien-être National est presque totalement consommée pour combler le déficit, laissant le Kremlin sans "coussin de sécurité" pour 2026. Inflaton et Taux : Il alerte sur une inflation réelle dépassant les 10-12 % et des taux d'intérêt de la Banque centrale (autour de 20-21 %) qui étouffent tout investissement non militaire. 3. État des lieux du régime La fatigue des élites : Milov rapporte une nervosité croissante chez les oligarques et les technocrates qui voient leurs profits s'effondrer sous l'effet des sanctions et de l'isolement technologique. Le "piège" de Poutine : Selon lui, Poutine est désormais otage du complexe militaro-industriel : arrêter la guerre provoquerait un effondrement immédiat du PIB car seul ce secteur porte encore la croissance. En résumé, pour Vladimir Milov, les derniers jours marquent un tournant : d'un côté, une crise de leadership dans l'opposition qui s'épuise en luttes internes, et de l'autre, une crise de ressources au Kremlin qui pourrait forcer des décisions drastiques (dévaluation ou mobilisation économique totale) d'ici le printemps 2026. Merci pour le partage Un élément de contexte important : Milov passe son temps depuis 2022 à expliquer, de manière souvent affirmative et émotionnelle, avec beaucoup de détails mais peu de sources, que la Russie va de plus en plus mal économiquement, que tout cela va bientôt déboucher sur des catastrophes économiques etc. A t il raison ? Ou plus exactement finira t il par avoir raison en définitive ? Ce n'est pas exclu Mais si c'est le cas, je pense personnellement que ce sera plutôt comme une horloge arrêtée qui donne l'heure juste deux fois par jour 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ronfly Posté(e) dimanche à 16:50 C’est un message populaire. Share Posté(e) dimanche à 16:50 https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/elle-permet-a-elle-seule-d-eviter-la-recession-en-russie-elle-est-2-fois-plus-grosse-que-la-1ere-entreprise-d-armement-de-l-ue-c-est-quoi-rostec-ce-geant-de-la-guerre-invente-par-poutine-il-y-a-20-ans_AN-202512090696.html "....Selon le SIPRI, la production reste très élevée dans les munitions, les blindés, l’artillerie, les missiles ou les drones. Avec des ventes de plus de 27 milliards de dollars, Rostec est alors à la 7ème place mondiale des industriels de l’armement, juste derrière Boeing. Loin devant les champions de l'Union européenne que sont l'italien Leonardo (13,8 milliards), le français Thales (11,8 milliards) ou l'allemand Rheinmetall (8,2 milliards). Mais Rostec a-t-il atteint un pic de ses capacités industrielles? Le conglomerat doit faire face à une pénurie de main d’oeuvre. L’armée recrute massivement des ouvriers qualifiés, ce qui assèche les usines. Pour pallier ce manque, Rostec vient de lancer un programme en Russie afin de former des étudiants vénézuéliens dans les secteurs des munitions, de l’optique, de l’électronique ou de l’aéronautique. Selon l’Institut de prévision économique, lié au Kremlin, la croissance russe s’effondre lorsque l’on retire le secteur défense. L’industrie hors militaire se contracte de 0,3% chaque mois. Autrement dit, sans Rostec, la Russie entrerait techniquement en récession industrielle..." 1 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) dimanche à 16:55 Share Posté(e) dimanche à 16:55 (modifié) @Alexis, du coup, ça ne contredit pas le post de @Lecteur de passage ? Modifié dimanche à 19:58 par MIC_A Liens Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) dimanche à 18:32 Share Posté(e) dimanche à 18:32 https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/14/alexander-stubb-l-influent-president-finlandais-qui-sait-ce-qu-il-faut-dire-et-ne-pas-dire-a-donald-trump_6657277_3210.html Le président Finlandais ancien golfeur de l'équipe nationale a réussi à nouer une relation personnalisée avec Trump, sur laquelle il ne se fait pas d'illusion plus que cela. Mais a acquis une connaissance de ce qui peut se dire aux américains, alors qu'en temps qu'issu d'une famille évacuée de Carelie pendant la guerre avec l'URSS il a une perception aiguë de la situation ukrainienne. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) dimanche à 18:34 C’est un message populaire. Share Posté(e) dimanche à 18:34 (modifié) Il y a 3 heures, Alexis a dit : Donc, si la comparaison de l'attaque de Poutine contre l'Ukraine avec celle de Hitler contre la Tchécoslovaquie était sincère, ceux qui la défendent proposeraient d'attaquer la Russie maintenant, et ils regretteraient encore de ne pas l'avoir fait dès 2022. Mais ce n'est pas ce qu'ils font ==>C'est que leur comparaison est hypocrite Pour le reste le chancelier a raison oui. Soutenir l'Ukraine par des envois d'armes. Il faudrait d'ailleurs les augmenter grandement afin que Kiev ait au moins une petite chance d'éviter défaite militaire et perte de l'indépendance dans les années qui viennent Objection votre Honneur. Merz critique une méthode, qui fut appliquée tant en 38 que de nos jours, selon ses dires. Et cette méthode consiste, ex ante, à concéder des mesures favorables au belliciste dans l'espoir de le calmer. Dans son esprit, je présume, c'est autant une critique de ce qu'il n'eut pas fallu faire en 38 que de ce qu'il faut absolument éviter de refaire aujourd'hui. Son Histoire comparée ne consiste donc pas à dire "attaquons la Russie maintenant", mais signifions à Poutine, comme nous eussions du le faire à Hitler en 38, qu'il n'y aura pas de Munich, qu'il y aura pas de concession territoriale en échange d'une vague promesse, et qu'il y aura une attaque SI ET SEULEMENT SI il y a franchissement des Sudètes. L'enjeu ne porte pas sur quoi faire de l'agression en cours, mais sur quoi dire ou concéder, ou bien justement, refuser de concéder, dans le cadre d'une stratégie de sortie de conflit. Modifié dimanche à 19:54 par olivier lsb Précision 1 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) hier à 01:43 Share Posté(e) hier à 01:43 Il y a 2 heures, Ronfly a dit : https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/elle-permet-a-elle-seule-d-eviter-la-recession-en-russie-elle-est-2-fois-plus-grosse-que-la-1ere-entreprise-d-armement-de-l-ue-c-est-quoi-rostec-ce-geant-de-la-guerre-invente-par-poutine-il-y-a-20-ans_AN-202512090696.html "....Selon le SIPRI, la production reste très élevée dans les munitions, les blindés, l’artillerie, les missiles ou les drones. Avec des ventes de plus de 27 milliards de dollars, Rostec est alors à la 7ème place mondiale des industriels de l’armement, juste derrière Boeing. Loin devant les champions de l'Union européenne que sont l'italien Leonardo (13,8 milliards), le français Thales (11,8 milliards) ou l'allemand Rheinmetall (8,2 milliards). Mais Rostec a-t-il atteint un pic de ses capacités industrielles? Le conglomerat doit faire face à une pénurie de main d’oeuvre. L’armée recrute massivement des ouvriers qualifiés, ce qui assèche les usines. Pour pallier ce manque, Rostec vient de lancer un programme en Russie afin de former des étudiants vénézuéliens dans les secteurs des munitions, de l’optique, de l’électronique ou de l’aéronautique. Selon l’Institut de prévision économique, lié au Kremlin, la croissance russe s’effondre lorsque l’on retire le secteur défense. L’industrie hors militaire se contracte de 0,3% chaque mois. Autrement dit, sans Rostec, la Russie entrerait techniquement en récession industrielle..." Cela fera-t-il changer d'avis nos anti-Américains du forum qui s'énervent contre trump quand ce dernier veut frapper le venezuela de maduro? Plus important, cela dissuadera-t-il trump de frapper le venezuela après avoir découvert que son bon ami poutine a besoin des venezueliens pour continuer à frapper l'Ukraine? Les narcoterroristes venezueliens iront-ils s'installer en russie pour y vendre leur coke? poutine en bon petit père des peuples les accueillera-t-il pour "lutter contre le déclin démographique"? Verra-t-on bientôt des cartels de la drogue bolivariens dans les assauts sur le donbass? Le kit de survie du soldat russe sera-t-il prochainement agrémenté d'un sachet de "cocaine patriotique du peuple traditionnaliste moral et civilisé de la sainte russie" (beaucoup moins cher que les soins médicaux et la nourriture)? 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures Il y a 16 heures, Alexis a dit : La comparaison peut être défendue ou contestée, mais je n'ai même pas envie de faire ni l'un ni l'autre Le principal à mon sens est que cette comparaison est hypocrite Car lorsqu'on critique la décision de Paris et Londres d'avoir accepté le meurtre de la Tchécoslovaquie, on affirme que ces deux capitales auraient du attaquer l'Allemagne, ce qui d'une part aurait signifié respecter leur engagement, d'autre part aurait rendu la seconde guerre mondiale un peu moins destructrice, Berlin disposant d'une année de moins pour se préparer alors que les Tchécoslovaques se seraient défendus Donc, si la comparaison de l'attaque de Poutine contre l'Ukraine avec celle de Hitler contre la Tchécoslovaquie était sincère, ceux qui la défendent proposeraient d'attaquer la Russie maintenant, et ils regretteraient encore de ne pas l'avoir fait dès 2022. Mais ce n'est pas ce qu'ils font ==>C'est que leur comparaison est hypocrite Pour le reste le chancelier a raison oui. Soutenir l'Ukraine par des envois d'armes. Il faudrait d'ailleurs les augmenter grandement afin que Kiev ait au moins une petite chance d'éviter défaite militaire et perte de l'indépendance dans les années qui viennent Je détecte un petit sophisme. Si - au hasard - étaient entreprises des actions de soutien cinétique défensif au profit de l'Ukraine, on ne rentrerait pas en guerre contre la Russie. D'ailleurs on rappellera que, vu d'elle et très officiellement, la Russie n'est pas en guerre contre l'Ukraine. Au pire la Russie pourrait décréter qu'elle-même déclare la guerre contre nous. Heureusement, ce n'est pas son style ! Tout au plus pourrions-nous redonter une "opération encore plus spéciale". Bon, sérieusement : ne pas confondre "aider l'Ukraine à se défendre" et "attaquer la Russie" ; les dirigeants russes sont parfaitement capables de faire la différence, même s'ils tentent de faire croire le contraire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 18 heures Share Posté(e) il y a 18 heures Il y a 8 heures, Patrick a dit : Cela fera-t-il changer d'avis nos anti-Américains du forum qui s'énervent contre trump quand ce dernier veut frapper le venezuela de maduro? Plus important, cela dissuadera-t-il trump de frapper le venezuela après avoir découvert que son bon ami poutine a besoin des venezueliens pour continuer à frapper l'Ukraine? Les narcoterroristes venezueliens iront-ils s'installer en russie pour y vendre leur coke? poutine en bon petit père des peuples les accueillera-t-il pour "lutter contre le déclin démographique"? Verra-t-on bientôt des cartels de la drogue bolivariens dans les assauts sur le donbass? Le kit de survie du soldat russe sera-t-il prochainement agrémenté d'un sachet de "cocaine patriotique du peuple traditionnaliste moral et civilisé de la sainte russie" (beaucoup moins cher que les soins médicaux et la nourriture)? Franchement, autant les rappels historiques que sur les fils aéro peuvent éclairer, autant le trollage systématique dans cette section peuvent être fatigants... 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures (modifié) Les européens reproposent de garantir la paix en prenant la responsabilité de troupes en Ukraine. Bon en gros rien que Poutine n'a déjà prévu de refuser. Ca ressemble encore a un gros doigt aux US et a la Russie. D'autant que la taille du contingent en Ukraine n'est pas spécifié. Il pourrait très bien être de 200000 hommes ou de 200. Le plan Trump/Poutine est passé aux oubliettes. Via Lefigaro EN DIRECT - Guerre en Ukraine : les Européens proposent de diriger une «force multinationale» en Ukraine Les Européens proposent de diriger une «force multinationale» en Ukraine Les dirigeants des principaux pays européens et de l’UE ont proposé lundi de diriger en Ukraine une «force multinationale» et de soutenir de manière «durable» l’armée ukrainienne, limitée à 800.000 soldats, selon une déclaration transmise par le gouvernement allemand. Cette force serait «composée de contributions de nations volontaires, et soutenue par les États-Unis», qui dirigeraient de leur côté un «mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu», annoncent les dirigeants européens. Ils exhortent aussi la Russie à accepter «un cessez-le-feu». Ce document est signé par les dirigeants allemand, français, britannique, danois, néerlandais, finlandais, norvégien, italien, polonais, suédois et de l’UE, mais pas par les États-Unis. Il a été rendu public après que ces dirigeants ont retrouvé à Berlin des émissaires américains, Steve Witkoff et Jared Kushner, à l’issue de leurs pourparlers dimanche et lundi dans la capitale allemande avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Modifié il y a 9 heures par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Mais.... POTUS n'avait-il pas dit que VZ n'avait aucune carte en main ? Après avoir coupé quasiment tout ce que les US pouvaient couper comme aide, les américains réalisent que le monde peut tourner sans eux... Alors certes, peut être pas l'Ukraine, peut être pas pour 1 ou 2 ans (encore que...), mais comme l'impatience américaine est encore plus courte que çà, ça finit par se retourner contre eux. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures Il y a 1 heure, herciv a dit : Ca ressemble encore a un gros doigt aux US Il y a 1 heure, herciv a dit : Cette force serait «composée de contributions de nations volontaires, et soutenue par les États-Unis», Comme gros doigt on a fait mieux... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures il y a 24 minutes, olivier lsb a dit : Après avoir coupé quasiment tout ce que les US pouvaient couper comme aide En l'occurence non, pour la nième fois... Ils la font juste payer par l'Europe pour ce qui est monayable. Le reste (renseignement, communications...) est toujours en place. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures il y a 2 minutes, gustave a dit : En l'occurence non, pour la nième fois... Ils la font juste payer par l'Europe pour ce qui est monayable. Le reste (renseignement, communications...) est toujours en place. Soit bien moins que l'aide fournie par l'administration Biden, les montants payés dans le cadre du PURL faisant pitié à voir. Le partage de renseignement, on en sait pas grand chose mais on sait qu'il a déjà été coupé à certains pays européens au sujet de l'Ukraine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures Un condensé de nos dernières discussions. En pleins pourparlers de paix avec Washington, le Kremlin veut convaincre qu’une victoire russe est inévitable, alors que son armée progresse peu et au prix de lourdes pertes, afin d’obtenir par la négociation ce qu’il ne parvient pas à gagner par la voie militaire. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/12/guerre-en-ukraine-l-avancee-en-trompe-l-il-de-l-armee-russe_6657003_3210.html Citation Guerre en Ukraine : l’avancée en trompe-l’œil de l’armée russe En pleins pourparlers de paix avec Washington, le Kremlin veut convaincre qu’une victoire russe est inévitable, alors que son armée progresse peu et au prix de lourdes pertes, afin d’obtenir par la négociation ce qu’il ne parvient pas à gagner par la voie militaire. Par Chloé Hoorman, Benjamin Quénelle et Faustine Vincent Publié le 12 décembre 2025 à 09h33, modifié le 13 décembre 2025 à 02h45 Pour Moscou, la diplomatie n’est que la continuation de la guerre par d’autres moyens. Depuis le début des discussions avec les Etats-Unis en vue d’un « accord de paix » en Ukraine, Vladimir Poutine applique plus que jamais cette tactique héritée de la période soviétique : le chef du Kremlin tente d’obtenir par la négociation ce qu’il n’a pas réussi à emporter par la voie militaire. Soucieux de présenter la Russie en position de force, il multiplie les déclarations au sujet de l’avancée de ses troupes, pourtant très modestes et au prix d’énormes pertes. L’objectif est clair : faire croire à une victoire russe inéluctable, accentuer la pression sur les Américains et les Européens pour imposer ses exigences maximalistes, et obliger Kiev à céder d’importants territoires, dont certains n’ont même pas été conquis par les forces de Moscou. La Russie, qui occupe 20 % du territoire ukrainien, prétend ainsi avoir pris la ville de Pokrovsk, alors qu’elle n’en a qu’un contrôle partiel, selon les analystes militaires. Le Kremlin veut reproduire le scénario qui lui avait été bénéfique pendant la guerre du Donbass, en 2015, lorsque l’encerclement de l’armée ukrainienne à Debaltseve avait contraint Kiev à signer l’accord de Minsk II, défavorable à l’Ukraine. La « guerre cognitive » De la même manière, M. Poutine a affirmé à la presse, le 2 décembre, juste avant sa rencontre au Kremlin avec l’envoyé de Donald Trump Steve Witkoff, que les forces russes contrôlaient Koupiansk depuis plusieurs semaines, alors qu’une partie est toujours sous contrôle ukrainien, selon le site ukrainien DeepStateMap, qui cartographie quotidiennement la ligne de front. Cette stratégie russe de désinformation porte un nom : la « guerre cognitive », expliquent les experts de l’Institute for the Study of War (ISW). Elle a désormais atteint une cible de choix en la personne de Donald Trump. Dans une interview à Politico mardi 9 décembre, le président américain répète mot pour mot le discours du Kremlin : « La Russie a l’avantage, et elle l’a toujours eu, assure-t-il. Ils sont bien plus grands. Ils sont bien plus forts (…). Vous savez, à un moment donné, la force l’emporte, généralement. » L’armée russe avance pourtant bien moins que ne le prétend le Kremlin. « Les Russes achèvent l’année sans succès-clé, contrairement aux années précédentes. Il y a eu des avancées limitées sur le front, mais après un an les verrous de Koupiansk et de Pokrovsk ne sont toujours pas tombés », souligne une source militaire française. « On reste dans une logique de guerre d’endurance. Le dernier qui reste debout gagne », ajoute cette même source. « L’analyse des rapports de première ligne indique que les forces russes n’ont pas encore réussi à encercler ni à bloquer efficacement les groupements ukrainiens sur aucun axe », abonde Kirill Rogov, chercheur associé à l’Institute for Human Sciences, à Vienne, et fondateur de la plateforme d’analyse Re : Russia. Selon lui, M. Poutine cherche à redorer l’image de la Russie, que Donald Trump avait qualifiée de « tigre de papier » le 23 septembre. En novembre, en pleines négociations de paix, l’armée russe a poursuivi sa stratégie de terreur en Ukraine avec des attaques massives contre les infrastructures énergétiques et ferroviaires mais aussi sur les villes. En parallèle, elle a intensifié son offensive terrestre dans le Donbass, ce qui lui a permis de conquérir 701 kilomètres carrés supplémentaires, soit la deuxième avancée la plus importante depuis celle de novembre 2024 (725 kilomètres carrés), selon l’analyse par l’Agence France-Presse des données fournies par l’ISW. Mais, en près de trois ans, du 12 novembre 2022 au 17 août 2025, la Russie n’a conquis au total que 5 842 kilomètres carrés supplémentaires, soit moins de 0,97 % du territoire ukrainien, a calculé DeepStateMap. Cependant, chaque gain, même très modeste, est annoncé triomphalement, favorisant un effet de loupe souvent trompeur au bénéfice de la Russie. Agacement face à la désinformation Les observations, début décembre, de l’ISW et de l’analyste militaire américain Michael Kofman confirment que, contrairement à ce que martèle le Kremlin, rien n’indique un effondrement imminent du front côté ukrainien. Même les blogueurs militaires prorusses ne cachent pas leur agacement face à cette désinformation. « Bien que l’armée russe détienne l’initiative sur le champ de bataille, elle rencontre une forte résistance, souligne ainsi la chaîne Telegram Voenkor Kotenok. Ceux qui louent et encensent les exploits des forces russes déforment la réalité non seulement au carré, mais au cube. » Alors que le conflit s’enlise, les pertes, elles, s’accumulent. Celles de la Russie sont « colossales », affirme le Center for Strategic and International Studies (CSIS) dans un rapport paru en juin. « Au total, 250 000 soldats russes sont morts en Ukraine, pour un total de plus de 950 000 victimes », blessés inclus. « La Russie a payé un prix humain extraordinaire pour s’être emparée de moins de 1 % du territoire ukrainien depuis janvier 2024 », souligne le centre de réflexion, qui précise que « la guerre en Ukraine est le deuxième conflit le plus meurtrier pour la Russie depuis un siècle ». Côté ukrainien, le CSIS évalue le nombre de soldats tués « entre 60 000 et 100 000 morts, pour un total de 400 000 victimes (blessés inclus) ». Pour compenser ses pertes, l’armée russe s’efforce de recruter toujours plus, à la fois en Russie et à l’étranger, sans déclarer pour autant une mobilisation générale, susceptible de semer la panique. « Ces trois dernières années, nous avons constaté une grande créativité dans les méthodes de recrutement des autorités, explique Ekaterina Schulmann, politiste russe en exil, maîtresse de conférences à l’Université libre de Berlin. Il s’agit de énièmes vagues de recrutement de volontaires avec des critères d’âge et des conditions assouplies, mais aussi de nouvelles primes financières, des bonus régionaux et un élargissement des prestations sociales pour les familles. » Le 4 novembre, en pleins pourparlers sur la paix, M. Poutine a également signé une loi qui, à partir du 1er janvier 2026, permettra la conscription tout le long de l’année, et non plus lors des campagnes de printemps et d’automne. Un oukase du Kremlin oblige par ailleurs tout ressortissant étranger demandant un permis de séjour à signer un contrat avec les forces armées, sauf en cas de certificat de démobilisation ou d’inaptitude médicale. Quant aux règles pour mobiliser, elles ont été assouplies, permettant même désormais l’envoi forcé au front de malades recrutés dans les hôpitaux psychiatriques. Parallèlement, les médias du Kremlin font passer le message : des conscrits cherchant à fuir le pays seront arrêtés au passage de la frontière, cueillis par des agents du bureau de recrutement militaire. Pour faciliter la mobilisation, un registre de conscrits a été finalisé, en mai, recensant tous les hommes susceptibles d’être réquisitionnés en cas de guerre – le conflit étant aujourd’hui considéré comme une simple « opération militaire spéciale ». Dans un autre oukase, signé le 8 décembre, M. Poutine prévoit déjà un recours plus large encore aux entraînements pour tous les Russes aptes aux exercices : ils peuvent être réquisitionnés non seulement dans les forces armées, mais aussi dans la garde nationale (structure policière autonome sous l’autorité du Kremlin) ou au FSB (l’un des héritiers du KGB). L’envoi forcé au front depuis les prisons s’intensifie lui aussi. Il ne vise plus seulement les condamnés, mais aussi les simples prévenus. Des hommes poursuivis pour différents crimes sont interpellés et se voient contraints, avant leur procès, de signer un contrat avec l’armée en échange de la promesse de l’abandon des charges pénales. Mercenaires étrangers Moscou n’hésite pas non plus à enrôler des mercenaires étrangers. Selon une enquête publiée en avril par le média russe indépendant Important Stories, plus de 1 500 hommes de 48 pays sont passés par le centre de recrutement de Moscou entre avril 2023 et mai 2024. Les Népalais sont de loin les plus nombreux, suivis des ressortissants des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale (Tadjiks, Ouzbeks, Biélorusses, Kirghizes, Kazakhstanais). En juillet, cette pratique a été étendue par un décret autorisant les étrangers à servir dans l’armée russe en remplacement des conscrits dans les zones de combat. Cette cascade de nouvelles mesures facilite une mobilisation à grande échelle si Vladimir Poutine le décide. « Ce n’est pas encore le cas pour le moment, constate Ekaterina Schulmann. Il est dans l’intérêt du Kremlin que les négociations s’éternisent : plus les discussions durent, plus M. Poutine peut prolonger le conflit en Ukraine et consolider son pouvoir dans le pays. Mais le régime ne peut ignorer les signaux alarmants. » Les efforts visant à renflouer le budget fédéral « déstabilisent autant les élites, qui subissent des confiscations de biens, que la population », laquelle ressent la hausse des impôts, des droits de douane et des amendes. « Afin d’envoyer en moyenne 30 000 nouveaux hommes au front chaque mois, les autorités régionales sont contraintes de rechercher des ressources supplémentaires. Leurs finances sont mises à rude épreuve », souligne Mme Schulmann. Le système touche donc à ses limites mais, sûr de sa victoire, le Kremlin poursuit sa triple offensive cognitive, diplomatique et militaire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures il y a 34 minutes, olivier lsb a dit : Soit bien moins que l'aide fournie par l'administration Biden, les montants payés dans le cadre du PURL faisant pitié à voir. Le partage de renseignement, on en sait pas grand chose mais on sait qu'il a déjà été coupé à certains pays européens au sujet de l'Ukraine. L'essentiel est toujours fourni, en tous les cas on est très loin de "couper tout ce qu'il est possible de couper"... Quant au partage de renseignement sur l'Ukraine à certains pays européens je ne vois pas ce à quoi tu fais référence, ni dans la fourniture ni dans l'arrêt de cet appui. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Le 14/12/2025 à 17:55, MIC_A a dit : @Alexis, du coup, ça ne contredit pas le post de @Lecteur de passage ? Je ne crois pas non, mais c'est un élément de contexte. En gros : Milov répète ça en boucle depuis 2022, sans grand changement. Donc le fait qu'il le dise n'est pas plus une indication de problèmes sérieux à court terme pour la Russie que ça l'était en 2023 ou en 2024 Le 14/12/2025 à 19:34, olivier lsb a dit : Son Histoire comparée ne consiste donc pas à dire "attaquons la Russie maintenant", mais signifions à Poutine, comme nous eussions du le faire à Hitler en 38, qu'il n'y aura pas de Munich, qu'il y aura pas de concession territoriale en échange d'une vague promesse, et qu'il y aura une attaque SI ET SEULEMENT SI il y a franchissement des Sudètes. L'enjeu ne porte pas sur quoi faire de l'agression en cours, mais sur quoi dire ou concéder, ou bien justement, refuser de concéder, dans le cadre d'une stratégie de sortie de conflit. La question c'est : que sont les Sudètes dans la comparaison ? Si les Sudètes c'est par exemple l'un des pays Baltes, alors la comparaison tient tout à fait effectivement, car les pays européens ont dit clairement qu'ils défendraient tous les membres de l'OTAN par les armes. Il y a effectivement refus par avance d'une éventuelle exigence d'abandonner les Baltes pour avoir la paix (Trump le fera lui aussi pas d'inquiétude... "two weeks from now" ) S'il s'agit de l'Ukraine alors je ne vois pas de sens à la comparaison, car aucun pays européen n'envisage de faire la guerre en Ukraine contre la Russie Enfin sauf si le message est "Le refus des Européens de faire la guerre à la Russie maintenant en Ukraine est déjà un nouveau Munich". Mais ce n'était pas celui de Merz (et en plus ça ne tiendrait guère, car Paris et Londres s'étaient bien engagés à défendre la Tchécoslovaquie, engagement qu'ils ont renié, tandis qu'il n'existe aucun engagement pour aucun pays de l'OTAN à défendre l'Ukraine) Il y a 12 heures, Boule75 a dit : Je détecte un petit sophisme. Si - au hasard - étaient entreprises des actions de soutien cinétique défensif au profit de l'Ukraine, on ne rentrerait pas en guerre contre la Russie. D'ailleurs on rappellera que, vu d'elle et très officiellement, la Russie n'est pas en guerre contre l'Ukraine. Au pire la Russie pourrait décréter qu'elle-même déclare la guerre contre nous. Heureusement, ce n'est pas son style ! Tout au plus pourrions-nous redonter une "opération encore plus spéciale" C'est là le sophisme de Poutine. De fait, selon lui, la Russie ne fait aucunement la guerre contre l'Ukraine (Mais qu'allez-vous penser là Monsieur !). Non, non, elle fait la guerre au gouvernement nazi à Kiev, lui-même simple marionnette du Grand Satan de l'Occident S'ils décidaient de se battre en Ukraine, il est vrai que les pays européens pourraient utiliser le même genre de sophisme en prétendant qu'ils ne font pas la guerre contre la Russie. Mais par exemple pour l'Ukraine. Ou autre masque La question n'est pas d'actualité cependant, car aucun pays européen n'envisage de faire la guerre aux côtés de l'Ukraine Il y a 2 heures, herciv a dit : Les européens reproposent de garantir la paix en prenant la responsabilité de troupes en Ukraine. Bon en gros rien que Poutine n'a déjà prévu de refuser. Ca ressemble encore a un gros doigt aux US et a la Russie. D'autant que la taille du contingent en Ukraine n'est pas spécifié. Il pourrait très bien être de 200000 hommes ou de 200. Le plan Trump/Poutine est passé aux oubliettes. Poutine est bien embêté ! Il ne veut pas qu'il y ait de troupes européennes en Ukraine, et là les Européens imposent que SI la Russie arrête sa guerre contre l'Ukraine, il y aura des troupes européennes ensuite Enfin, il serait tout particulièrement embêté s'il avait l'intention d'arrêter la guerre avant d'avoir vaincu l'Ukraine et de lui avoir imposé le contrôle par la Russie Mais comme il n'en a de toute façon pas l'intention... eh bien il n'est pas si embêté que ça, en fait. Je pense qu'il s'en remettra Il y a 2 heures, herciv a dit : Cette force serait «composée de contributions de nations volontaires, et soutenue par les États-Unis» Lesquels ne veulent pas soutenir une force de son genre. Donc eux aussi sont bien embêtés ! Oh là là ils ne veulent pas, et voilà que les Européens le demandent. Qu'est-ce qu'ils peuvent faire devant une telle situation ? Je ne vois guère... A moins que... Révélation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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