C’est un message populaire. Glenans29 Posté(e) il y a 7 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 7 heures 9 minutes ago, rendbo said: "En arriver là", ce serait commencer l'histoire à 2022, un peu comme les médias essaient de nous faire croire que la situation israélienne commence en 2023 et qu'ils ne font que "se défendre". Oui bien sûr aucun média ne parle jamais de la colonisation, de l’usage excessif de la force militaire, des diverses violations des droits de l’homme, etc. de la part d'Israël Ça va tranquille les gros mensonges ? 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Et un point Godwin pour le chancelier Allemand ! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures (modifié) Il y a 1 heure, Glenans29 a dit : Oui bien sûr aucun média ne parle jamais de la colonisation, de l’usage excessif de la force militaire, des diverses violations des droits de l’homme, etc. de la part d'Israël Ça va tranquille les gros mensonges ? Ca va virer au HS, donc je ne vais pas essayer de m'étendre. Il en a fallu du temps pour qu'ils en (re)parlent, allant même jusqu'à relayer la parole politique qui tentait de discréditer TPI et CIJ, l'ONU et ses multiples rapports, minimisant relayant toute pensée que les pertes civiles massives n'étaient que les chiffres du Hamas, et soutenant encore maintenant que toute idée critique du sionisme était antisémite (suffit de voir l'offensive médiatique du groupe Boloré)... Quant aux 6 premiers mois de l'offensive meurtrière sur Gaza c'était la fête du slip. Et même maintenant je ne suis pas sur que 2023 soit vraiment relié à une "réaction", certes dégueulasse, mais une réaction à 30 ans de politique israélienne. Donc non, je n'ai pas l'impression de dire de gros mensonges, ni d'avoir d'œillères sur le chemin ayant mené à ces deux conflits. Mais je te laisse libre de ton interprétation et de ton opinion dessus. Modifié il y a 5 heures par rendbo 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures ON MET FIN AU HS ET ON SE RECENTRE SUR L'UKRAINE SVP Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lecteur de passage Posté(e) il y a 4 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 4 heures Quelques nouvelles venant de l'opposition russe... (M. Vladimir Milov est un politicien d'opposition russe, un publiciste, un économiste et un expert en énergie. Il fut conseiller en matière d'économie et d'affaires internationales auprès du leader de l'opposition russe Alexey Navalny, ainsi que vice-président de la Free Russia Foundation basée à Washington D.C. De 1997 à 2002, M. Milov a travaillé pour le gouvernement russe, notamment en tant que vice-ministre de l'énergie en 2002. Il était l'auteur du concept de démantèlement et de dégroupage de Gazprom auquel Vladimir Poutine a opposé son veto. Plus tard, M. Milov est devenu l'un des principaux critiques publics de Vladimir Poutine, travaillant en étroite collaboration avec le défunt politicien d'opposition Boris Nemtsov, et plus tard - avec Alexey Navalny.) 1. La fracture Kasparov / Kara-Mourza V. Milov a été l'un des principaux relais d'une récente querelle publique violente ayant éclaté au sein du Free Russia Forum et du Comité Anti-Guerre. Les faits : Garry Kasparov a publiquement accusé Vladimir Kara-Mourza de "faire cavalier seul" et de mener des négociations parallèles avec les instances européennes (APCE) sans coordination avec le reste de la coalition. Le point de rupture : La tension a atteint son paroxysme lorsque Kasparov a vivement critiqué Kara-Mourza (et par extension Yulia Navalnaya et Ilya Yashin) pour leur refus de signer la "Déclaration de Berlin", qui exige le soutien explicite à une défaite militaire de la Russie. Conséquence : Milov rapporte que cette altercation a mené au départ définitif de Kara-Mourza de certaines structures communes, marquant la fin de l'unité de façade de l'opposition à l'étranger. 2. Le "moment de vérité" économique (Budget 2026) En tant qu'économiste, Milov a détaillé les chiffres inquiétants du budget russe pour 2026 débattus à la Douma : Aveux de crise : Il souligne que même les officiels russes (comme le député Andreï Makarov) admettent désormais que le pays entre dans une zone de turbulences inédite depuis 1991. Épuisement des réserves : Milov affirme que la partie liquide du Fonds de Bien-être National est presque totalement consommée pour combler le déficit, laissant le Kremlin sans "coussin de sécurité" pour 2026. Inflaton et Taux : Il alerte sur une inflation réelle dépassant les 10-12 % et des taux d'intérêt de la Banque centrale (autour de 20-21 %) qui étouffent tout investissement non militaire. 3. État des lieux du régime La fatigue des élites : Milov rapporte une nervosité croissante chez les oligarques et les technocrates qui voient leurs profits s'effondrer sous l'effet des sanctions et de l'isolement technologique. Le "piège" de Poutine : Selon lui, Poutine est désormais otage du complexe militaro-industriel : arrêter la guerre provoquerait un effondrement immédiat du PIB car seul ce secteur porte encore la croissance. En résumé, pour Vladimir Milov, les derniers jours marquent un tournant : d'un côté, une crise de leadership dans l'opposition qui s'épuise en luttes internes, et de l'autre, une crise de ressources au Kremlin qui pourrait forcer des décisions drastiques (dévaluation ou mobilisation économique totale) d'ici le printemps 2026. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Il y a 2 heures, olivier lsb a dit : Et un point Godwin pour le chancelier Allemand ! La comparaison peut être défendue ou contestée, mais je n'ai même pas envie de faire ni l'un ni l'autre Le principal à mon sens est que cette comparaison est hypocrite Car lorsqu'on critique la décision de Paris et Londres d'avoir accepté le meurtre de la Tchécoslovaquie, on affirme que ces deux capitales auraient du attaquer l'Allemagne, ce qui d'une part aurait signifié respecter leur engagement, d'autre part aurait rendu la seconde guerre mondiale un peu moins destructrice, Berlin disposant d'une année de moins pour se préparer alors que les Tchécoslovaques se seraient défendus Donc, si la comparaison de l'attaque de Poutine contre l'Ukraine avec celle de Hitler contre la Tchécoslovaquie était sincère, ceux qui la défendent proposeraient d'attaquer la Russie maintenant, et ils regretteraient encore de ne pas l'avoir fait dès 2022. Mais ce n'est pas ce qu'ils font ==>C'est que leur comparaison est hypocrite Pour le reste le chancelier a raison oui. Soutenir l'Ukraine par des envois d'armes. Il faudrait d'ailleurs les augmenter grandement afin que Kiev ait au moins une petite chance d'éviter défaite militaire et perte de l'indépendance dans les années qui viennent 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Il y a 1 heure, Lecteur de passage a dit : (M. Vladimir Milov est un politicien d'opposition russe, un publiciste, un économiste et un expert en énergie. Il fut conseiller en matière d'économie et d'affaires internationales auprès du leader de l'opposition russe Alexey Navalny, ainsi que vice-président de la Free Russia Foundation basée à Washington D.C. De 1997 à 2002, M. Milov a travaillé pour le gouvernement russe, notamment en tant que vice-ministre de l'énergie en 2002. Il était l'auteur du concept de démantèlement et de dégroupage de Gazprom auquel Vladimir Poutine a opposé son veto. Plus tard, M. Milov est devenu l'un des principaux critiques publics de Vladimir Poutine, travaillant en étroite collaboration avec le défunt politicien d'opposition Boris Nemtsov, et plus tard - avec Alexey Navalny.) (...) 2. Le "moment de vérité" économique (Budget 2026) En tant qu'économiste, Milov a détaillé les chiffres inquiétants du budget russe pour 2026 débattus à la Douma : Aveux de crise : Il souligne que même les officiels russes (comme le député Andreï Makarov) admettent désormais que le pays entre dans une zone de turbulences inédite depuis 1991. Épuisement des réserves : Milov affirme que la partie liquide du Fonds de Bien-être National est presque totalement consommée pour combler le déficit, laissant le Kremlin sans "coussin de sécurité" pour 2026. Inflaton et Taux : Il alerte sur une inflation réelle dépassant les 10-12 % et des taux d'intérêt de la Banque centrale (autour de 20-21 %) qui étouffent tout investissement non militaire. 3. État des lieux du régime La fatigue des élites : Milov rapporte une nervosité croissante chez les oligarques et les technocrates qui voient leurs profits s'effondrer sous l'effet des sanctions et de l'isolement technologique. Le "piège" de Poutine : Selon lui, Poutine est désormais otage du complexe militaro-industriel : arrêter la guerre provoquerait un effondrement immédiat du PIB car seul ce secteur porte encore la croissance. En résumé, pour Vladimir Milov, les derniers jours marquent un tournant : d'un côté, une crise de leadership dans l'opposition qui s'épuise en luttes internes, et de l'autre, une crise de ressources au Kremlin qui pourrait forcer des décisions drastiques (dévaluation ou mobilisation économique totale) d'ici le printemps 2026. Merci pour le partage Un élément de contexte important : Milov passe son temps depuis 2022 à expliquer, de manière souvent affirmative et émotionnelle, avec beaucoup de détails mais peu de sources, que la Russie va de plus en plus mal économiquement, que tout cela va bientôt déboucher sur des catastrophes économiques etc. A t il raison ? Ou plus exactement finira t il par avoir raison en définitive ? Ce n'est pas exclu Mais si c'est le cas, je pense personnellement que ce sera plutôt comme une horloge arrêtée qui donne l'heure juste deux fois par jour 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ronfly Posté(e) il y a 3 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 3 heures https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/elle-permet-a-elle-seule-d-eviter-la-recession-en-russie-elle-est-2-fois-plus-grosse-que-la-1ere-entreprise-d-armement-de-l-ue-c-est-quoi-rostec-ce-geant-de-la-guerre-invente-par-poutine-il-y-a-20-ans_AN-202512090696.html "....Selon le SIPRI, la production reste très élevée dans les munitions, les blindés, l’artillerie, les missiles ou les drones. Avec des ventes de plus de 27 milliards de dollars, Rostec est alors à la 7ème place mondiale des industriels de l’armement, juste derrière Boeing. Loin devant les champions de l'Union européenne que sont l'italien Leonardo (13,8 milliards), le français Thales (11,8 milliards) ou l'allemand Rheinmetall (8,2 milliards). Mais Rostec a-t-il atteint un pic de ses capacités industrielles? Le conglomerat doit faire face à une pénurie de main d’oeuvre. L’armée recrute massivement des ouvriers qualifiés, ce qui assèche les usines. Pour pallier ce manque, Rostec vient de lancer un programme en Russie afin de former des étudiants vénézuéliens dans les secteurs des munitions, de l’optique, de l’électronique ou de l’aéronautique. Selon l’Institut de prévision économique, lié au Kremlin, la croissance russe s’effondre lorsque l’on retire le secteur défense. L’industrie hors militaire se contracte de 0,3% chaque mois. Autrement dit, sans Rostec, la Russie entrerait techniquement en récession industrielle..." 1 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures @Alexis, du coup, ça ne contredit pas le post de @Lecteur de passage ? ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/14/alexander-stubb-l-influent-president-finlandais-qui-sait-ce-qu-il-faut-dire-et-ne-pas-dire-a-donald-trump_6657277_3210.html Le président Finlandais ancien golfeur de l'équipe nationale a réussi à nouer une relation personnalisée avec Trump, sur laquelle il ne se fait pas d'illusion plus que cela. Mais a acquis une connaissance de ce qui peut se dire aux américains, alors qu'en temps qu'issu d'une famille évacuée de Carelie pendant la guerre avec l'URSS il a une perception aiguë de la situation ukrainienne. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Il y a 1 heure, Alexis a dit : Donc, si la comparaison de l'attaque de Poutine contre l'Ukraine avec celle de Hitler contre la Tchécoslovaquie était sincère, ceux qui la défendent proposeraient d'attaquer la Russie maintenant, et ils regretteraient encore de ne pas l'avoir fait dès 2022. Mais ce n'est pas ce qu'ils font ==>C'est que leur comparaison est hypocrite Pour le reste le chancelier a raison oui. Soutenir l'Ukraine par des envois d'armes. Il faudrait d'ailleurs les augmenter grandement afin que Kiev ait au moins une petite chance d'éviter défaite militaire et perte de l'indépendance dans les années qui viennent Objection votre Honneur. Merz critique une méthode, qui fut appliquée tant en 38 que de nos jours, selon ses dires. Et cette méthode consiste, ex ante, à concéder des mesures favorables au belliciste dans l'espoir de le calmer. Dans son esprit, je présume, c'est autant une critique de ce qu'il n'eut pas fallu faire en 38 que de ce qu'il faut absolument éviter de refaire aujourd'hui. Son Histoire comparée ne consiste donc pas à dire "attaquons la Russie maintenant", mais signifions à Poutine, comme nous eussions du le faire à Hitler en 38, qu'il n'y aura pas de Munich, qu'il y aura pas de concession territoriale en échange d'une vague promesse, et qu'il y aura une attaque SI ET SEULEMENT SI il y a franchissement des Sudètes. L'enjeu ne porte pas sur quoi faire de l'agression en cours, mais sur quoi dire ou concéder, ou justement, refuser de concéder, dans le cadre d'une sortie de conflit. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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