pascal Posté(e) le 28 mars 2018 Share Posté(e) le 28 mars 2018 Il y a 2 heures, BPCs a dit : oui sur l'USS Solenzara c'est sûr que pour taper en Syrie on ne fait pas mieux ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ascromis Posté(e) le 28 mars 2018 Share Posté(e) le 28 mars 2018 il y a 10 minutes, pascal a dit : c'est sûr que pour taper en Syrie on ne fait pas mieux ... L'HMS Akrotiri est mieux placé 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 29 mars 2018 Share Posté(e) le 29 mars 2018 (modifié) Le 28/03/2018 à 20:07, pascal a dit : c'est sûr que pour taper en Syrie on ne fait pas mieux ... Ah ! Ouf ! Je craignais que tu dégaines un truc comme " Et pour le pacifique, ou l'A-Stan tu fais comment ? Hein !" Bon mais là ... From SOZ (41°55'35"N 09°24'19"E) To LTK (35°24'04"N 35°56'55"E) 99° (E) Distance 2410 km Time 2:53 Modifié le 31 mars 2018 par BPCs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 5 avril 2018 Share Posté(e) le 5 avril 2018 Le 27/03/2018 à 19:51, BPCs a dit : Le programme de remplacement de l'ASMP qui permettra également d'avoir une version antiship hypersonique. Et qui aurait de ce fait une version lançable par tube de SNA. Des news de ca? (Il est vrai qu'entre les vues stylisées de ce qu'aurait pu être l'ANS et un ASMP, y avait de quoi faire une synthèse). En particulier l'aspect "changement de milieu". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 5 avril 2018 Share Posté(e) le 5 avril 2018 Le 26/03/2018 à 14:23, BPCs a dit : Si le GAN ne doit plus être un système d'arme "d'entrée en premier", en condition de haute intensité , est ce que la dépense vaut encore le coups pour de la moyenne Basse intensité ??? Est-ce qu'il n'y a pas évolution dans le temps de la notion d'intensité ? Je m'explique : avec un système de défense anti-aérienne intégrée, une aviation classique (ou une aéronavale du même métal) ne peut tout simplement pas entrer. L'intensité de la défense est telle que l'intensité de l'attaque est réduite à néant. Il faut donc un outil d'égalisation, d'emploi marginal, mais qui va niveler la défense pour permettre à l'attaque de monter en intensité. C'est là qu'interviennent les missiles de croisière, qu'ils soient navalisés ou non, ainsi que les appareils dotés de capacités de lutte contre la détection (furtifs, discrets ou discrets renforcés par l'électronique). Je parle d'un emploi marginal car ils ne peuvent agir que ponctuellement et "par surprise". Si on les attend, ils perdent en efficacité et si l'on s'en sert longtemps, ils seront attendus. C'est l'entrée en premier ... pour laquelle le porte-avion n'est pas nécessairement l'outil le plus adapté. C'est à vérifier au cas par cas, théâtre par théâtre. Une fois ce nivellement effectué, la densité de la défense étant abaissée à un seuil acceptable, l'intensité de l'attaque peut augmenter. Et c'est là que le porte-avion retrouve un plein emploi de base mobile susceptible d'entretenir et de renouveler des attaques pendant une durée conséquente - certes moins qu'une base permanente, mais quand même de beaucoup plus près. Le porte-avion est donc capable de traiter tout le spectre de la basse à la haute intensité, à l'exception potentielle, de l'entrée sur les théâtres les mieux défendus pour lesquels il doit être épaulé de moyens complémentaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 9 avril 2018 Share Posté(e) le 9 avril 2018 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
francois Posté(e) le 10 avril 2018 Share Posté(e) le 10 avril 2018 Bon ben là clairement le pa nous manque terriblement. Les russes se permettraient peut être pas de venir nous titiller notre fremm lance scalp si le pa était à côté... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 16 avril 2018 Share Posté(e) le 16 avril 2018 Le 10/04/2018 à 17:19, francois a dit : Bon ben là clairement le pa nous manque terriblement. Les russes se permettraient peut être pas de venir nous titiller notre fremm lance scalp si le pa était à côté... Justement, ce n'était pas la FREMM Aquitaine qui a délivré les 3 MdCN SCALP Naval, et l'aviation russe qui est venue renifler notre FREMM, n'était pas armée de missile anti-navire. Néanmoins, il est clair que cela rappelle aux bons souvenirs que c'est mieux d'avoir une permanence opérationnelle stratégique avec deux porte-avions, qu'un seul et unique PAN. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 16 avril 2018 Share Posté(e) le 16 avril 2018 Jusqu'au jour ou l'ennemi envoie des missiles super ou hypersoniques 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 16 avril 2018 Share Posté(e) le 16 avril 2018 Il y a 2 heures, kalligator a dit : Jusqu'au jour ou l'ennemi envoie des missiles super ou hypersoniques C'est toujours le même soucis, ces missiles doivent être délivrés à partir d'une position permettant au tireur de détecter la cible ... Cette position est nécessairement au-dessus de l'horizon radar pour que la cible sois détectée c'est à partir de là que la partie de poker commence ... Sachant qu'un radar est détecté par la cible ou son écran (2 : 1 en distance) bien avant de pouvoir exploiter le rayonnement qu'il émet ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 16 avril 2018 Share Posté(e) le 16 avril 2018 Les sovietruc durant la guerre froide avaient du TU95 équipé de puissants radars pouvan guidert les missiles tirés par les Oscar, j'imagine que les satellites aussi peuvent servir à cet effet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ascromis Posté(e) le 16 avril 2018 Share Posté(e) le 16 avril 2018 Il y a 5 heures, kalligator a dit : Les sovietruc durant la guerre froide avaient du TU95 équipé de puissants radars pouvan guidert les missiles tirés par les Oscar, j'imagine que les satellites aussi peuvent servir à cet effet L'orthographe est en deuil........ 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 Il y a 17 heures, kalligator a dit : Les sovietruc durant la guerre froide avaient du TU95 équipé de puissants radars pouvan guidert les missiles tirés par les Oscar, j'imagine que les satellites aussi peuvent servir à cet effet Et les Tu 95 étaient des cibles de choix clairement identifiées pour les BARCAP de F-14 de l'US Navy sachant qu'un Bear qui émet au radar à 200 nautiques de la cible qu'il illumine est visible comme un phare dans la nuit ... Je n'ai pas entendu parler de satellites pouvant guider un missile anti navire mais je peux me tromper, en attendant une liaison descendante çà se brouille et un satellite peut être détruit ou sa trajectoire calculée. Stashiy dont je ne saurais trop recommander l'excellent site soumarsov vient de m'adresser ce correctif que je soumets à votre intelligence concernant des missiles de croisière vers la terre Citation Les sov utilisaient un satellite radar pour la DO de leurs Granit / Oscar II. C'est le MRKTs LEGENDA. Ils pouvaient aussi recevoir des données d'aéronefs en vol avec les systèmes MRSTs- 2 KORALL ou KORALL-B1 Le recalage sur la cible s'effectuait ensuite en vol, le missile leader qui volait en altitude transmettant ses éléments aux 23 autres missiles de la salve qui restaient en basse altitude. Trois salves pouvaient se coordonner. Effectivement, je ne connais pas de missile anti-surface guidé par satellite... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arka_Voltchek Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 Le 12/03/2018 à 17:56, Bon Plan a dit : SI ! Les 2 commandées par Alliot Marie faisaient 90m (contre 75 sur le PAN). Elles doivent rouiller quelque part sur une jetée de San Diego.... LOL La commande a été annulée avant la construction ne débute, elle n'ont jamais physiquement existées, elles ne rouillent nulle part ;-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 Le 10/04/2018 à 17:19, francois a dit : Bon ben là clairement le pa nous manque terriblement. Les russes se permettraient peut être pas de venir nous titiller notre fremm lance scalp si le pa était à côté... Tu crois que ca leur ferait peur? (OK, y aurait peut être un rafale M juste à côté, mais l'espace au dessus des océans est à tout le monde). Pas plus peur qu'aux chinois qui ont fait faire surface à un soum juste derrière un PA US. Il y a 3 heures, pascal a dit : l'excellent site soumarsov un lien stp ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 il y a 12 minutes, Bon Plan a dit : Tu crois que ca leur ferait peur? (OK, y aurait peut être un rafale M juste à côté, mais l'espace au dessus des océans est à tout le monde). Pas plus peur qu'aux chinois qui ont fait faire surface à un soum juste derrière un PA US. un lien stp ? https://www.soumarsov.eu/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 (modifié) Le 16/04/2018 à 16:38, kalligator a dit : Les sovietruc durant la guerre froide avaient du TU95 équipé de puissants radars pouvan guidert les missiles tirés par les Oscar, j'imagine que les satellites aussi peuvent servir à cet effet La couverture globale et permanente des océans par des satellites (radars de préférence, =>les nuages, la nuit, tous ces détails casse-pieds), semble assez illusoire, particulièrement pour des raisons financières. La Terre présente une superficie de 510 000 000 km2, dont 360 700 000 km2 d'océans. Si une puissance quelconque ne veut couvrir que la moitié des océans en permanence (soit 180 000 000km2) avec des types Kondor (russe, couverture de 250 000 km2), il faut envisager de mettre en orbite 720 (!) satellites. Et il y a à traiter une masse de données absolument colossale en temps réel pour espérer en tirer profit, un PA classe Nimitz présentant une surface d'environ 0,025 km2 (0,0000000??% de la surface océane). L'ELINT est peut-être le seul moyen crédible, les émissions radars et radio des navires portant assez loin pour être captées par un réseau de satellites point trop touffu pour couvrir une bonne part des océans. Le gouvernement russe a un Kondor en orbite et un Pion en projet (Elint maritime), les forces armées américaines, une vingtaine de satellites radar et ELINT/ocean surveillance. Les derniers modèles radars étasuniens sont facturées à plus d'un milliard de dollars. https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_USA_satellites https://en.wikipedia.org/wiki/Naval_Ocean_Surveillance_System Modifié le 17 avril 2018 par Benoitleg 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 avril 2018 Share Posté(e) le 17 avril 2018 23 minutes ago, Benoitleg said: La couverture globale et permanente des océans par des satellites (radars de préférence, =>les nuages, la nuit, tous ces détails casse-pieds), semble assez illusoire, particulièrement pour des raisons financières. Les russe ont essayé il y a longtemps. Ça posait des probleme d'énergie et d'orbite ... Le fonctionnement Quote RORSAT (radar ocean reconnaissance satellite) provide real-time tracking and targeting data to users in the vicinity of the target or non-real-time data to central control points. Iin this context, "real-time" means that the location of an American ship is known to Soviet monitors in the area the second the satellite picks it up. It takes longer ("non-real-time") if the Soviet ships aren't monitoring the satellite themselves and the information must get to them by way of a Moscow clearinghouse. How good was the Soviet RORSAT? A secret 1985 General Accounting Office [GAO] report says it "can probably detect destroyer-size ships in good weather and aircraft-carrier-size president Reagan's "Star Wars" defense plan ships - or smaller ships in close proximity to each other - in rough seas." The word "active" refers to the method of radarisation of the World Ocean - similar to a pencil (a cylinder with a pointed end), the satellite irradiated the surface of the ocean with its long antenna protruding from the aft part and received a reflected signal. Since the active locator required a significant amount of energy and had to function both under sunlight and in the shadow of the Earth, the designers decided to abandon solar cells. As a power source, they decided to use the BES-5 "Buc" nuclear power plant, which included a fast neutron reactor BR-5A. The heat generated by the reactor was converted into electricity not through steam, a turbine and a classic power generator (as it happens at nuclear power plants), And directly - using elements of thermoelectric materials. ... visiblement les stratégies ont changé ... avec de l'observation optique ... et du SAR donc orienté imagerie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 18 avril 2018 Share Posté(e) le 18 avril 2018 Le 26/03/2018 à 18:09, Benoitleg a dit : Il y a un exemple de confrontation méconnue entre PA (Karel Forman) et missiles air-mer, l'opération Trikora entre l'Indonésie et les Pays-Bas, où il est difficile de dire qui de l'influence des USA ou de la menace du couple Tu-16/AS 1 Kennel a eut le plus d'effet. https://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Trikora Je me permet de remonter ce post car en plus des bombardiers, ce n'était pas moins de 12 sous-marins soviétiques sous pavillon indonésien qui étaient prêt au combat : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_la_mer_d'Arafura Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 18 avril 2018 Share Posté(e) le 18 avril 2018 Effectivement une couverture permanente est bien trop couteuse vu le nombre de satellites nécessaires mais pour suivre un groupe aéronaval jugé menaçant ça devient beaucoup plus facile Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 18 avril 2018 Share Posté(e) le 18 avril 2018 Il y a 17 heures, collectionneur a dit : Je me permet de remonter ce post car en plus des bombardiers, ce n'était pas moins de 12 sous-marins soviétiques sous pavillon indonésien qui étaient prêt au combat : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_la_mer_d'Arafura Et pour finir le tableau, le PA Karel Dorman présentait un équipement suranné avec des flottilles de TBF Avenger peu à même d'inquiéter des S.-M. Whiskey et des chasseurs Sea Hawk dont la vitesse maximale dépassait de... 2 km/h celle des TU-16. Je passe sur les Mig-21 mis en œuvre par les indonésiens, fournis à cette époque du meilleur de la technologie soviétique. Ironie de d'histoire, les néerlandais ont revendu ce PA aux argentins, avec lesquels il a connu une nouvelle guerre ... Il y a 12 heures, kalligator a dit : Effectivement une couverture permanente est bien trop couteuse vu le nombre de satellites nécessaires mais pour suivre un groupe aéronaval jugé menaçant ça devient beaucoup plus facile En connaissant les orbites (prévisibles) de ces satellites, il est possible dans jouer façon chat-souris. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 19 avril 2018 Share Posté(e) le 19 avril 2018 La Cour des Comptes en parle. Le porte-avions franco-britannique a coulé en 2008. Cet échec pour la France a un coût. Elle a engagé plus de 200 millions d'euros dans cette coopération en pure perte entre 2005 et 2008. Ce montant correspond pour moitié à la contribution française au financement du porte-avions britannique, sorte de ticket d'entrée dans la coopération, et pour moitié, aux études réalisées en France, qui sont devenues caduques à la suite de l'abandon du projet. Cet exemple illustre les inconvénients qu'il y a à participer à une coopération en matière d'armement lorsque le partage des risques et des avantages entre les partenaires ne sont pas équilibrés et lorsque les intérêts nationaux respectifs ne sont pas conciliables", estime la Cour des comptes. Les priorités britanniques, clairement exprimées dès 2005, que ce soit en termes de choix technique privilégiant le décollage court et l'atterrissage vertical ou en termes de marchés donnés aux industriels britanniques, rendaient l'échec de la coopération prévisible dès l'origine. L'argument, un temps mis en avant par les pouvoirs publics français, de rendre irréversible la construction du deuxième porte-avions grâce à une coopération internationale, n'a pas résisté aux arbitrages rendus dans le cadre de la préparation de la loi de programmation militaire 2009-2014. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 11 juin 2018 Share Posté(e) le 11 juin 2018 Avant d'envisager de construire de PA a-t-on réfléchi à sa défense AA Déjà que face à des supersoniques il va se retrouver rapidement à court d'Aster mais s'il est confronté au Kinshal Zirkon et autres engin chinois je dis touché coulé Mais les armées sont très lentes à réagir et je crains que seule la perte d'un PA les fasse changer d'avis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 11 juin 2018 Share Posté(e) le 11 juin 2018 il y a 9 minutes, kalligator a dit : Avant d'envisager de construire de PA a-t-on réfléchi à sa défense AA La défense d'un PA c'est son groupe et sa mobilité. Jusqu’à preuve du contraire, on n'a pas trouvé mieux. Un PA, par exemple, à plus de chances de survivre qu'une base à terre. Faudra-t-il attendre qu'une base aérienne à terre se fasse destroyer pour réagir et construir des PA à la place? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 11 juin 2018 Share Posté(e) le 11 juin 2018 il y a 5 minutes, Fusilier a dit : La défense d'un PA c'est son groupe et sa mobilité. Jusqu’à preuve du contraire, on n'a pas trouvé mieux. Un PA, par exemple, à plus de chances de survivre qu'une base à terre. Faudra-t-il attendre qu'une base aérienne à terre se fasse destroyer pour réagir et construir des PA à la place? Faut faire du comparatif de combien cela va couter de couler/détruire la base La RAND avait pondu de mémoire une étude sur le nécessaire pour raser Guam : c'était (à la louche ) une trentaine d'ICBM et une centaine de Cruise missiles , vu toutes les logettes bunkérisées à détruire. Et un PA ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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