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Marine américaine dans le futur.


desertfox

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Il y a 23 heures, g4lly a dit :

Ici on explique comment les marins ne savent pas configurer les consoles pour tel ou tel tache ...

Sur l'USS Mc Cain par exemple a la base le controle de la barre et le moteur était réglé sur la console babord ... pour plus de facilité ils ont voulu splitté les deux fonctions et passer le moteur sur la console tribord ... sauf qu'ils ont merdé ... on basculé les deux fonctions a babord ... sans s'en apercevoir ... le navire n'avait plus de barreur.

Mieux l'opérateur tribord ne savait pas comment fonctionnait la console ... et n'actionnait les commandes que pour la ligne d'arbre babord ...

Et l'article sur ProPublica explique que c'est parce que les interfaces avaient changé sans que les marins ne soient formés à utiliser les nouvelles.

Citation

The chief petty officer in charge of teaching the sailors how to use the new steering system had received less than an hour of instruction.

Le type chargé d'enseigner le fonctionnement de la nouvelle console n'avait eu lui-même moins d'une heure pour apprendre à s'en servir.

De surcroit, les interfaces ne sont pas unifiées, désorientant les marins transférés d'un navire à un autre.

Citation

The same systems operated in dozens of different ways on different ships, confusing sailors as the Navy shifted them from one vessel to another.

 

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Je suis le seul clampin à penser que le quart à deux personnes suffit en transit, renforcé à quatre ou cinq en situation chargée proche des côtes ? 

Je sais qu'au sein de la marine nationale tout le monde n'est pas de mon avis, mais l'écart entre les pratiques civiles et celles des américains est large sur ces accidents. 

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il y a 5 minutes, true_cricket a dit :

Je suis le seul clampin à penser que le quart à deux personnes suffit

Moi aussi

Comme sur tout les navires civiles

Un barreur et un officier de quart les systèmes automatique déclenchant des alarmes que l'officier vérifie. Le 3 hommes le rondier se déplace pour vérifier les alarmes. 

       

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il y a une heure, true_cricket a dit :

Je suis le seul clampin à penser que le quart à deux personnes suffit en transit, renforcé à quatre ou cinq en situation chargée proche des côtes ? 

Je sais qu'au sein de la marine nationale tout le monde n'est pas de mon avis, mais l'écart entre les pratiques civiles et celles des américains est large sur ces accidents. 

Quelques remarques :

La configuration des équipages dans la marchande est dictée par des considérations de rentabilité économique.  Trois mois de mer pour un officier , suivis de  deux ou trois mois de vacances.  Le tout reposant sur les esclaves philippins, assignés à bord pendant 9 mois. 

Je ne suis pas certain que ce soit transposable à une logique militaire. 

Faudra prendre en compte les accidents et presque accidents dans la marchande, que l'on peut imputer à la configuration passerelle.  

Dans le cas d'espèce qui nous occupe, 6 pax en passerelle ce n'est pas énorme  vs un équipage d'environ 300 pax.  Puis un bateau militaire, même en transit, doit être apte à réagir à une menace; un minimum de monde en passerelle et au CO me parait logique.  

L'arbre des causes dans cet exemple, me semble davantage pointer vers une situation de sur-exploitation des plateformes, beaucoup plus complexes qu'une navire marchand.  Sur-exploitation, qui ne laisse pas de temps à la formation entrainement, à la mise à jour / entretien des équipements. Peut-être aussi un système d'exploitation de l'information un eu complexe.  S'ajoute dans le cas de figure, la fatigue de l'équipage.  

 

 

 

 

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Pour ce qui est des nôtres , en terme d’optimisation passerelle la MN attendait beaucoup du retour concept IBEO/PIM des Fremm.

 Extrait directive EMM sur l’organisation des passerelles 

« Les organisations précises, tant humaines que matérielles, de la passerelle des bâtiments futurs dépendent en grande partie du résultat des campagnes d’expérimentation conduites à partir mi 2003 sur l’illustrateur de besoin opérationnel (IBEO) « passerelle intégrée militaire » (PIM)

Dans les grandes options étudiées, la marine nationale, tenant compte du retour d’expérience de la marine marchande, évalue les principes d’une passerelle mise en oeuvre par un nombre limité d’opérateurs: un officier chef du quart, un adjoint de quart (notion pilote / copilote) assurant l’ensemble des fonctions à partir d’un bloc « pupitre central » en forme de W ou de U plus ou moins ouvert et doté de tous les équipements de conduite, de communication et de surveillance associés. Outre une position commandant, un tacticien (phonie, Scott, pavillon) et un ingénieur pourraient, en fonction de la complexité de la situation opérationnelle (manoeuvres de port ou ravitaillement à la mer, conduite des engagements, mise à l’eau de la drome, mise en oeuvre de l’aviation ou des engins sous-marins), venir compléter ce personnel de quart sur les bâtiments de premier rang…………L’ergonomie de la passerelle doit, pour répondre aux impératifs de sécurité nautique, s’appuyer sur le référentiel normatif de la marine de commerce tout en intégrant les dimensions spécifiques du navire de guerre : mise à l’eau d’embarcations et d’engins remorqués, mise en oeuvre d’aéronefs et optimisation de la conduite des engagements pour les systèmes d’armes dont les performances peuvent être limitées par des champs de battage plus ou moins réduits….. »

http://www.ergoia.estia.fr/ergoia2010/documents/pellen_blin_chouvy.pdf

Les futures passerelles Les futures passerelles des bâtiments de la Marine Nationale devront être conçues pour être mises en œuvre par un effectif réduit (de 2 à 5 opérateurs selon les contextes au lieu de 5 à 16 personnes actuellement). L’influence de l’organisation des passerelles civiles intégrées a inspiré cette volonté de changement chez les exploitants et concepteurs. Toutefois, les performances de ce système homme-machine devront être garanties pour les situations spécifiquement militaires afin d’assurer une navigation fiable et sûre et limitant l’appel à de trop nombreux renforts qui ne pourront plus être offerts par l’effectif réduit .L’orientation prise pour aborder ces changements a consisté en une approche par simulation permettant de tester des organisations du travail dans des conditions proches de la réalité

https://croixdeguerre-valeurmilitaire.fr/2012/10/03/libeo-pour-evaluer-les-besoins-humains-des-batiments-futurs/

 « L’illustrateur de besoin d’exploitation opérationnelle (IBEO) prend en compte le facteur humain dans l’évolution des bâtiments dans un contexte de budgets militaires de plus en plus restreints. Ainsi, les frégates multimissions (FREMM) verront leurs effectifs fortement diminuer. Ceux du central opérations passeront de 22 à 25 personnes  aujourd’hui à 11 demain ; ceux de la passerelle de navigation de 5 à 16 actuellement à 3 à 5 à terme ; ceux du PC navire de 4 à 5 aujourd’hui à 3 demain. Il faudra donc repenser l’organisation des tâches et vérifier que les niveaux d’automatisation et d’intégration des fonctions permettent une charge de travail acceptable par les personnels »

EDIT ;  pour prolongation éventuelle,  sujet réorienté  sur le fil Fremm

 

Modifié par ARMEN56
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C'est pas le gars qui pointe les positions et les relèvements sur la carte ?

Sinon, Lookout, sur les schémas, c'est bien les vigies d'aileron ?

Et le Bearing Taker, c'est le matelot qui vérifie, à vue, les relèvements et les alignements ?

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Il y a 2 heures, pascal a dit :

Comment traduirais-tu le terme "plotter" ou "plotting" ?

Extraits mon dico exel

Plot ==> Abaque de pointage (en vue d'une attaque)

Plot (to) ==> Tracer

Plot marke ==> Pointeur

Plot the fix on the chart(to) ==> Porter le point sur la carte

Plotted from reference line ==> Ramené à la ligne de référence

Plotting  equipment/table/notice board ==> Tableau d'affichage

Plotting table ==>Tablette de graphique de manouvre

Plotting table ==> Traceur de route

Plotting/plot  ==> Tracé

 

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Boeing Wins U.S. Navy Contract for Four Orca XLUUVs

Boeing won a $43 million contract for the fabrication, test, and delivery of four Orca Extra Large Unmanned Undersea Vehicles (XLUUVs) and associated support elements.


...
XLUUV future capabilities may include mine countermeasures (MCM), anti-submarine warfare (ASW), electronic warfare (EW), anti-surface warfare (ASUW), intelligence, surveillance, reconnaissance (ISR) and even strike capabilities.


https://www.navalnews.com/news/2019/02/boeing-wins-u-s-navy-contract-for-four-orca-xluuvs/
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DARPA’s PALS Aims at Detecting Undersea Activity Thanks to Marine Organisms

Goliath grouper, black sea bass, and snapping shrimp, along with bioluminescent plankton and other microorganisms, are set to be the unlikely heroes of DARPA’s Persistent Aquatic Living Sensors (PALS) program. Five teams of researchers are developing new types of sensor systems that detect and record the behaviors of these marine organisms and interpret them to identify, characterize, and report on the presence of manned and unmanned underwater vehicles operating in strategic waters. This new, bio-centric PALS technology will augment the Department of Defense’s existing, hardware-based maritime monitoring systems and greatly extend the range, sensitivity, and lifetime of the military’s undersea surveillance capabilities.


https://www.navalnews.com/news/2019/02/darpas-pals-aims-at-detecting-undersea-activity-thanks-to-marine-organisms/

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  • 3 weeks later...


US Navy supply ships demonstrate submarine operations support capability
US-Navy-supply-ships-demonstrate-submari

USS Oklahoma City (SSN 723) conducted a mobile logistics demonstration with the Lewis and Clark-class dry cargo ship USNS Cesar Chavez (T-AKE 14), March 11, in the first of many evolutions designed to evaluate supply ships’ ability to sustain submarine operations in an expeditionary setting.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/03/us-navy-supply-ships-demonstrate-submarine-operations-support-capability/

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La Navy va développer une version du SM-6 avec un diamètre plus gros, qui occupe au maximum l'espace dans le VLS:

https://www.thedrive.com/the-war-zone/27068/navy-to-supersize-its-ultra-versatile-sm-6-missile-for-even-longer-range-and-higher-speed

Le machin va avoir une portée monstrueuse mais une maneuvrabilité probablement plus faible, le rendant encore plus redoutable en anti-surface

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Le Truman pourrait ne pas subir de rechargement de son coeur à mi-vie

Citation

If one had the wherewithal to do everything and there was no competition, strategy would hardly be necessary. The global maritime environment approached something like that for the U.S. Navy after the fall of the Soviet Union. Despite a force reduction from almost 600 ships to today’s fleet of less than 300, the lack of serious competition on the high seas allowed the Navy to focus almost exclusively on presence; its default “strategy” being to fulfill the requests for forces by the regional combatant commanders as best it could.

 

A series of documents widely viewed as strategies (the “…From the Sea” series, and 2007’s “A Cooperative Strategy for 21st Century Seapower” and its successor) had more to do with strategic communication than with the deployment of forces or their size and characteristics. But the resurgence of Russia and the rise of China with its increasingly powerful navy, along with budgetary constrictions brought about by sequestration, have forced the Navy into a situation requiring difficult choices. The latest was just revealed in the 2020 budget—a controversial decision to forego the midlife refueling of the nuclear-powered aircraft carrier USS Harry S. Truman (CVN-75).

 

There have been differing reports on how the Navy and the Department of Defense arrived at the decision, but regardless of what happened, the strategic choice is to take more risk with day-to-day presence so investments can be made to develop the ability to defeat the Chinese Navy if war breaks out. Such a decision probably should have been made 5–10 years ago, but it is now absolutely necessary.

 

China is building an advanced military, including what is becoming a powerful, blue-water navy, to keep the United States from effectively intervening in an invasion of Taiwan; contesting Beijing’s territorial claims to the South China Sea; preventing China’s seizure of Japanese islands—in essence elbowing the U.S. Navy out of East Asia. Up to now the U.S. Navy has enjoyed a clear edge—enough, presumably, to deter any overt military aggression—but that edge is eroding in both quantity and technological capability. China has deployed thousands of land-based and sea-based missiles aimed at neutralizing the carrier battle groups that constitute the core of the Navy’s striking power. This has spawned considerable discussion about the continued viability of U.S. aircraft carriers. For its part, the Navy has been working on a new operational concept it calls distributed maritime operations (DMO), diversifying its striking power through the increased use of various kinds of missiles and a variety of unmanned platforms and systems. Ostensibly, DMO better permits the Navy to match risk and reward. That is, taking carriers into a heavily defended littoral or antiaccess/area denial zone in a fight that may only have regional implications represents a mismatch between strategic risk and gain. Regardless of whether carriers are viable or not, this mismatch is a strategic vulnerability for the United States, and could hamstring a President’s decision-making.

 

The problem with a DMO concept that relies on advanced weaponry and systems is that nobody knows exactly how it would work. It is one thing to conduct wargames and computer simulations, but in the end, prototypes must be built and fleet exercises run. This will require a lot of money that previous budgets have not included. The Navy has to find the money somewhere, and its answer in the 2020 budget was to forego the Harry S. Truman’s midlife refueling. If Congress insists on refueling the Harry S. Truman and adds money to the Navy’s budget for it, there would be little objection. But if it forces the Navy to do it within the current budget, there should be strenuous objection from anyone who understands the gravity of the emerging threat from China and Russia.

 

The Navy faced an analogous situation in the 1920s. At that point Japan was the thundercloud on the horizon and the emergence of the airplane portended the eclipse of the battleship as the main capital ship. With the Washington Naval Treaty signed in 1922 facilitating the decision, the Navy stopped constructing two large ships as battle cruisers and instead completed them as aircraft carriers to allow experimentation and development of sea-based aviation. That turned out to be a timely strategic investment as events in the Pacific subsequently demonstrated. There is no equivalent of the Washington Naval Treaty to channel Navy investment today, so the decision to trade the Harry S. Truman for experimentation and development took some courage and was bound to elicit objection from both traditionalists and from those who have equity in nuclear aircraft carriers.

 

But there still remains the issue of presence. At some point in the next decade the Harry S. Truman will be retired, limiting the CVN fleet to 10, with only 8 or 9 available due to potential delays in new Gerald R. Ford-class carriers achieving operational readiness and at least one Nimitz-class carrier undergoing midlife refueling. Thus, geographic combatant commanders no longer will be able to use aircraft carriers as they have been; a new strategy for forward presence will be needed.

 

Forward presence has been the Navy’s principal mission since the onset of the Cold War, and the carrier strike group has been the unit of choice due to its ability to project power ashore on short notice without the United States having to seek permission from another country for forward basing. However, in many cases a carrier’s power was latent, a threat that would not be put to use. Moreover, the Navy increasingly employs Tomahawk land-attack cruise missiles when the application of firepower is required. This avoids the risk of aircraft shoot-downs and prisoners of war, such as occurred in the 1983 Lebanon raid, and is more responsive since there usually are Tomahawk-equipped submarines or destroyers in position to deliver a response sooner than an aircraft carrier can. Another factor is the deployment of the new F-35Bs on board large-deck amphibious ships, effectively turning them into light aircraft carriers. As the F-35 populates these decks, the ships could be used in lieu of CVNs. Finally, the Royal Navy is in the process of building two sizeable aircraft carriers, and, along with France’s nuclear-powered carrier, also could fill certain gaps in presence, understanding they would not be under U.S. control. Finally, the U.S. geographic combatant commanders may have gotten so used to having aircraft carriers at their disposal they naturally take their presence for granted when security problems arise in their areas of responsibility. However, combatant commander demand is not the same thing as strategic necessity from a global perspective.

 

I directed the Naval War College research project that supported the development of the 2007 Cooperative Seapower 21 document. In our various games, discussions, and research we could not establish a clear link between Navy day-to-day forward presence and desired political outcomes. Being able to do so would be of great value to the Navy as it would constitute a compelling basis for justifying force structure. In the end, we came to see forward presence as “faith-based”—a massive exercise in strategic hedging that had become so embedded in U.S. strategic culture its efficacy was taken as axiomatic. There are certainly some tangible benefits to forward presence, such as having forces readily available if something occurs, but there is little hard evidence that deployed naval forces have actually deterred anything or coerced anyone into doing something they would not have otherwise done. Thus, the fleet has been allowed to shrink to half its Cold War size and lapse into a state of disrepair and poor readiness from overuse without either national outcry (prior to the two fatal collisions in the Pacific) or strategic catastrophe. There now seems to be sufficient strategic wiggle room to retire a Nimitz-class carrier early, especially if doing so frees funding to develop new kinds of high-end warfare capability.

 

The decision to defer the Harry S. Truman’s refueling coupled with the two-carrier buy of the Gerald R. Ford class reflects a focus on high-end warfighting. With its electromagnetic launch and advanced arresting gear systems, the Ford class will be able to operate a wider variety of aircraft. This will be critical as new types of unmanned aircraft are developed. In another analogy, during the interwar years the Navy developed the Yorktown-class aircraft carrier with a larger displacement and flight deck in anticipation of larger and heavier combat aircraft. This turned out to be a timely strategic investment as well. There is reason to think that carriers will continue to be a critical warfighting asset, perhaps not as central as in the past, but still providing a key edge in forward operations, and the Gerald R. Ford-class carriers, even if there are fewer of them, could provide the needed edge.

 

The Navy has two fundamental functions—forward presence and combat readiness. When the necessary form of combat readiness consisted of power projection from forward presence, and when the fleet was of sufficient size, the Navy had no need to make zero-sum strategic choices between presence and combat capability. Now it does, because combat readiness is taking on a new and not well understood nature. At this point combat readiness must be the priority, and the Navy’s decision to pursue it at the expense of some forward presence is the right one—and long overdue.

 

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  • 2 weeks later...

General Atomics’ AAG System Successfully Completes Barricade Arrestment Test
General-Atomics-AAG-System-Successfully-

General Atomics Electromagnetic Systems (GA-EMS) announced the Advanced Arresting Gear (AAG) system successfully executed the first exploratory aircraft barricade arrestment at the Jet Car Track Site in Lakehurst, NJ.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/04/general-atomics-aag-system-successfully-completes-barricade-arrestment-test/

U.S. Navy Awards Austal USA Contract for Expeditionary Fast Transport Ships 13 & 14
U.S.-Navy-Awards-Austal-USA-Contract-for

Austal USA was awarded a $261.8 million contract for the 13th and 14th Expeditionary Fast Transport ships (EPF) by the U.S. Navy last week.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/04/u-s-navy-awards-austal-usa-contract-for-expeditionary-fast-transport-ships-13-14/

HII Awarded Contract for Construction of U.S. Navy’s First Flight II LPD
HII-Awarded-Contract-for-Construction-of

Huntington Ingalls Industries (HII) announced last week that its Ingalls Shipbuilding division has received a $1.47 billion, fixed-price incentive contract from the U.S. Navy for the detail design and construction of the amphibious transport dock LPD 30. The ship will be the 14th in the San Antonio class and the first Flight II LPD.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/04/hii-awarded-contract-for-construction-of-u-s-navys-first-flight-ii-lpd/

U.S. Navy Lays Keel for Future USS Marinette (LCS 25)
U.S.-Navy-Lays-Keel-for-Future-USS-Marin

The U.S. Navy held a keel laying and authentication ceremony for the future littoral combat ship USS Marinette (LCS 25) in Marinette, Wisconsin March 27. The keel laying symbolically recognizes the joining of the ship's components and the ceremonial beginning of the ship.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/04/u-s-navy-lays-keel-for-future-uss-marinette-lcs-25/

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  • 1 month later...

Quelques détails sur les programmes de gros drone sous marin XLUUV de l'US Navy.
Ces drones sont assez gros pour embarquer une dizaine de torpilles ... ou de tomahawk.

 A noter aussi des projets de navires de combat drone (prévus pour dépasser les 1000 tonnes de déplacement à terme)

 

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  • 2 weeks later...

Le 4 juin, l’US Navy change de pavillon et revient au drapeau étoilé après avoir adopté entre 2002 et 2019 celui a bandes horizontales avec le serpent à sonnettes :

https://en.wikipedia.org/wiki/Jack_of_the_United_States

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b0/Naval_jack_of_the_United_States.svg

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e5/US_Naval_Jack.svg

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  • 3 weeks later...

Je ne sais pas trop sur quel fil poster ça donc je mets ici dans le fil général US Navy.

Vous n'êtes peut-être pas sans savoir qu'un Global Hawk ou Triton de l'US Navy a été abattu par l'Iran, voilà donc la vidéo venant de l'US Navy elle-même du nuage de fumée derrière le drone. Ils parlent d'un Global Hawk opéré par l'US Navy alors qu'ils n'ont que des Triton je me trompe? À moins qu'ils appellent le Triton par son nom "de base"?

 

Modifié par Yamato
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