wagdoox Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 il y a 32 minutes, herciv a dit : F-22 25 years ago. Il a été annulé en 2009. ou alors il a été annulé avant même d’entrer en service en 2005 ?! apres c’est vrai que l’annulation moins de 10ans après l’entrée en service serait respectée ;) Bref dernier avions de chasse « propre » développé au us date du f18sh, il y a plus de 20 ans. Ça me laisse penser que le rafale va lui aussi avoir une carrière très longue ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
johnsteed Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 (modifié) Paradoxalement, je pense que la poursuite du F-35 tel qu’il est mené actuellement est favorable au Rafale. Pourquoi ? Dans la mesure où le F-35 aurait tenu ses promesses, même raisonnablement, c’est à dire juste assez pour rester acceptable auprès des clients déçus, énervés, spoliés, volés mais clients quand même, il constitue un concurrent avec des faiblesses mais un concurrent quand même. Si le F-35 continue d’être développé alors que les clients potentiels commencent à s’en détourner faute de pouvoir en ignorer les faiblesses, c’est le cas le plus favorable au Rafale. En effet, cela pousse la concurrence à dépenser à fond perdu, donc à gaspiller pendant que nous avançons. Nous avons tout intérêt à ce que cette situation perdure et ce, le plus longtemps possible. Or, si le F-35 s’arrête, les finances vont aller alimenter des programmes susceptibles d’être des concurrents beaucoup plus sérieux donc plus difficiles à contrer. C’est une affaire d’efficience. Le cas qui nous est le plus favorable est celui où la concurrence gaspille le plus sur la plus longue durée possible. Ca, c’est du point de vue industriel. Si jamais un conflit dégénère, ce serait mieux d’avoir des alliés bien équipés le plus tôt possible. Mais du point de vue stratégie industrielle, il vaut mieux un concurrent qui se ruine à devenir le plus faible possible le plus longtemps possible (F-35 à partir d’aujourd’hui peut être) plutôt qu’un concurrent très sérieux, soit parce qu’il en a juste l’air auprès des clients (F-35 jusqu’ici) ou soit parce que c’est vrai (futur remplaçant du F-35 qui serait une réussite) On pourrait faire un graphique pour illustrer le gaspillage / temps selon les périodes ou l'on pense que le projet va tenir ou pas ses promesses. C'est similaire à un joueur de casino. Plus il joue et mieux c'est. C’est donc une affaire de casseroles: La poursuite du F-35 est favorable à ses concurrents tant qu’il trimbale ses casseroles avérées que tout le monde connait. (Sauf officiellement le constructeur mais qu ne peut pas l'admettre puisque c'est son produit) Je suggère donc de faire la promo du F-35 (en fait de ses déboires) pour mieux dézinguer la concurrence dès que l'on est certain que le programme ne parviendra jamais à tenir ses promesses. Modifié le 23 avril 2021 par johnsteed Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 Il y a 7 heures, wagdoox a dit : Les russes non, je suis certains que ça leur feraient plaisir de foutre la merde dans l’OTAN mais depuis que la Turquie a soutenu l’Azerbaïdjan et surtout l’Ukraine, la blague les fait rire jaune. la chine se serait une déclaration de guerre, déjà que tous les pays du moyen orient voient la Turquie comme un Iran en devenir (voir pire) que les européens sont pas loin de penser la même chose (sauf suspects habituels). Là c’est carrément la recette pour devenir l’Iran en puissance aux yeux des usa. le seul chasseur que je vois exportable c’est le jf17 (pakistanais et surtout pas chinois ;)) mais comme il est moins bon que les f16 ... ce que je vois c’est un écroulement de l’économie turque d’ici 5 ans. Retour à un système politique démocratique a l’occident (des années 80, les turcs accepteront jamais le wokism en marche) et un retour des investisseurs internationaux une fois que la monnaie turque sera bien écrasée mais stabilisée. bref les mirage 2000 grecs, pour l’image diplo ;) Que risqueraient-ils à vendre du Su-35? Cela ne changerait rien aux possibilités concrètes de soutien à l'Ukraine, l'Azerbaidjan ou les Maldives... Ils ont fait de même avec le S-400, et la possibilité de priver l'OTAN de la Turquie vaut largement cela à leurs yeux, sans même parler de l'exploitation politico-commerciale qu'ils pourraient en faire! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 Il y a 2 heures, johnsteed a dit : Si le F-35 continue d’être développé alors que les clients potentiels commencent à s’en détourner faute de pouvoir en ignorer les faiblesses, c’est le cas le plus favorable au Rafale. Oui mais il a fallu attendre que le f-35 devienne un danger politique pour que ton raisonnement fonctionne. On y est mais avant çà n'était pas le cas. Je dirais même que c'est ce signe là qui fait que je pense qu'il ne survivra plus très longtemps. Et c'est bien l'urgence militaire qui a tué le f-35. L'USAF, l'USN ou l'USMC n'en veulent pas pour faire la guerre et Dedefensa a bien raison de rappeler les propos de SMITH. Des drones a quelques dizaines de milliers de dollar peuvent faire pencher la balance. Malheureusement on peut se poser la même question avec les rafales. Comment tu protèges un rafale sur un parking d'une attaque par Drone lancée depuis un champ de l'autre côté de la clôture ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 Avec un abri durci... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 avril 2021 Share Posté(e) le 23 avril 2021 C'est dans les grands média : https://www.washingtontimes.com/news/2021/apr/22/congress-may-pull-plug-troubled-17-trillion-f-35-j/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 avril 2021 Share Posté(e) le 24 avril 2021 Il y a 5 heures, gustave a dit : Que risqueraient-ils à vendre du Su-35? Cela ne changerait rien aux possibilités concrètes de soutien à l'Ukraine, l'Azerbaidjan ou les Maldives... Ils ont fait de même avec le S-400, et la possibilité de priver l'OTAN de la Turquie vaut largement cela à leurs yeux, sans même parler de l'exploitation politico-commerciale qu'ils pourraient en faire! N'est-ce pas déjà le cas de façon tacite depuis un bon moment déjà? À part le matériel et les procédures en commun héritées de l'alliance, que reste-t-il de la notion d'alliance avec la turquie? Personne n'est dupe même ceux qui essaient encore de dealer avec eux dans le domaine militaire en tant que fournisseurs (Allemagne RU et Italie essentiellement). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 24 avril 2021 Share Posté(e) le 24 avril 2021 Interviex de Greg Ulmer , vice président executif de LM, par la commission de la défence US (HASC) : https://www.f35.com/f35/news-and-features/lockheed-martins-greg-ulmer-provides-f-35-update-to-hasc.html (..) Lockheed Martin applique tout le poids de son talent et de son ingéniosité pour éliminer les facteurs de coûts de maintenance des F-35. Au cours des cinq dernières années, Lockheed Martin a investi près de 400 millions de dollars pour réduire de manière agressive les coûts de maintien en condition opérationnelle et augmenter les performances de préparation, tout en augmentant la flotte. Les chiffres réels de notre contrat montrent que Lockheed Martin a réussi à réduire de 44% notre part du coût par heure de vol (CpFH) au cours de cette période. En outre, nos modèles de prévision éprouvés montrent une autre réduction de ~40% du CpFH de Lockheed Martin dans les cinq prochaines années, car les investissements en cours avec de longs délais continuent à porter leurs fruits. (..) Nous ne pouvons pas réaliser l'abordabilité du maintien en condition opérationnelle seuls - nous devons attaquer ces coûts comme une entreprise intégrée en partenariat avec nos clients. Bien que les coûts d'O&S comprennent des éléments non adressables, parmi les éléments que nous pouvons aborder en tant qu'équipe collective, les coûts de Lockheed Martin représentent environ 39 % du coût total d'O&S du F-35, le gouvernement américain et Pratt & Whitney représentant le reste. Lockheed Martin est prêt à s'associer à ses clients de service pour favoriser l'abordabilité à l'échelle de l'entreprise tout en augmentant la flotte. Nous pensons que le moyen le plus efficace d'atteindre ces résultats est d'établir des partenariats de soutien à long terme qui éliminent le processus fastidieux des contrats annuels et offrent plus de stabilité pour les investissements à long terme. (..) Il y a deux dimensions notables du FOM : le bloc 4, qui est un nombre important de capacités et d'armes hautement avancées, et le Technical Refresh-3, (TR-3) le matériel fournissant une puissance de traitement supplémentaire, de la mémoire et une architecture de systèmes ouverts dont dépendent les capacités du bloc 4. Et bien que nous ayons progressé dans ces avancées, le bloc 4 et le TR-3 nécessitent une attention considérable, bien que de manière différente. Le TR-3 connaît des dépassements de coûts causés par les difficultés des fournisseurs et les impacts du COVID. En tant qu'entrepreneur principal responsable de ce programme, Lockheed Martin est entièrement responsable de ce problème et nos dirigeants les plus hauts placés suivent directement ces livrables. Nous avons effectué une analyse complète des causes profondes du TR-3 et mis en place un plan de remédiation robuste. En réponse à ce défi, nous avons récemment renoncé à environ 60 millions de dollars de frais afin que ces fonds puissent augmenter le développement du TR-3/Block 4. De plus, nous avons déployé des talents supplémentaires en ingénierie et en gestion pour nous assurer que nous restons sur le chemin critique de l'insertion du lot 15 TR-3. Le bloc 4 s'est déroulé comme prévu, mais il souffre malheureusement de retards inattendus causés par le sous-financement. Lockheed Martin travaille avec ses clients pour établir un financement suffisant afin de poursuivre les activités de développement intégral pour faire progresser les capacités du F-35 et devancer les menaces. Les capacités du bloc 4 sont dans des cycles de développement continus et, pour rester en tête des développements technologiques de l'adversaire, elles nécessitent un financement annuel récurrent. (..) Nous investissons l'argent de Lockheed Martin aux côtés des investissements de nos clients pour alimenter la fusion et la gestion des capteurs pour les menaces mobiles avancées, le ciblage collaboratif, la flexibilité du transport externe, l'intégration d'armes avancées et les voies d'entraînement intégrées à l'entraînement constructif virtuel en direct. Nous développons et démontrons également des communications sécurisées à faible probabilité de détection et d'interception en ligne de visée et au-delà de la ligne de visée en utilisant les ouvertures existantes, l'intégration avec les réseaux maillés de nanosatellites, la fusion des informations des capteurs du F-35 avec les données ISR nationales et la capacité éprouvée de suivre les armes balistiques et hypersoniques à l'appui des opérations interarmées tous domaines (JADO) et du commandement et du contrôle interarmées tous domaines (JADC2). (..) Pour que le combattant puisse accomplir sa mission, nous devons nous assurer qu'il existe une force de dissuasion toujours prête. Il n'en reste pas moins qu'au cours des 18 derniers mois, les mesures de l'état de préparation des F-35 ont régulièrement évolué dans le bon sens, tout cela en ajoutant 120 appareils à la flotte en 2020 et 134 en 2019. Le F-35 s'est avéré plus fiable que les appareils de 4e génération, avec un taux moyen d'heures de vol entre deux pannes (MFHBF) - le temps que les pièces restent sur l'appareil avant de devoir être réparées - plus de deux fois supérieur à celui d'un système d'armes de 4e génération. Les taux de préparation continuent d'augmenter dans l'ensemble de la flotte. L'armée de l'air américaine est récemment rentrée de 18 mois consécutifs dans la zone de responsabilité (AOR) du CENTCOM, où elle a effectué plus de 1 300 sorties, avec un taux moyen de capacité de mission (MC) de 73,5 %, avec de nombreuses périodes de fonctionnement à 80-90 %, et même 100 % à certains moments. [..) The fact is that to deliver an initial operational capability, trades were made across the enterprise early in the program, and today we are playing catch up on sustainment. Lockheed Martin is working closely with our customer to accelerate depot activations for 68 repair lines five years ahead of plan. We have completed 32 of the 68 workloads with an additional 11 planned for this year and the balance to be completed and repairing at rate by the end of 2024. Lockheed Martin is also applying the full force of its supply chain to drive down cost by aggregating sustainment demand with production orders and further enabling cost reduction objectives. Expanding F-35 component repair capacity, in the very near term, is essential to improving readiness. Our Public Private Partnerships (PPP) are enabling Organic Depot repair and are the centerpiece of our success. As the fleet expands and flying hours increase, the demand for repair will outpace the organic depot capacity, and without adding supply chain and international capacity to the repair network, the current component repair backlog will grow. Lockheed Martin is 100% committed to F-35 Public-Private Partnerships (PPP) and Title 10 requirements, and we see these Industry/Depot PPP as a proven win-win strategy for sustainment moving forward. We have also made significant progress in partnership with our customers on the transition from the Autonomic Logistics Information System (ALIS) to the Operational Data Information Network (ODIN). Our shared goal is continue improving speed, minimizing hardware footprint, reducing required labor, and enhancing user experience and overall capability. We continue to make improvements with each ALIS software update. We are currently fielding the latest release of ALIS, which includes improvements in Air Vehicle Transfer times now measured in minutes instead of days, workflow and user interface improvements to include a new weapons load page that reduces user burden by 54%, 15 additional Electronic Equipment Logbook (EEL) software fixes, ALIS Windows 7 to Windows 10 migration, and improvements to cyber security based on Joint Operational Test Team assessments. The previous release of ALIS, which completed fielding in November 2020, included a 50% reduction in executing Air Vehicle releases, improved F-35 Portable Memory Device (PMD) download processing by 30%, and also included 50% reduction in manual EELs. The ALIS and ODIN primary purpose remains the same – to be the F-35’s logistics system for maintenance, health/diagnostics, supply chain management, and fleet management; however, ODIN is being led by the JPO and will be developed with current tools and technologies with the aim of improving on the current ALIS system. ODIN will utilize an integrated data environment and cloud-native architecture to support F-35 maintenance actions with the goal of improving maintenance efficiency in addition to inventory management and responsiveness. We are partnering with the JPO on ODIN as demonstrated by the development and successful initial deployment of the ODIN Base Kits. These units, which can run ALIS and ODIN software, are currently being procured and will soon begin wider fielding. The ODIN Base Kit is a significant reduction in the hardware logistics footprint which reduced size by 75% and weight by 90% from the current hardware (SOUv2). In addition to improving the logistics footprint, the ODIN Base Kit delivers significant overall performance improvements including PMD debrief times two times faster than the current hardware, faster screen times, and faster report processing, all of which was validated and documented by the JPO during testing at NAS Patuxent River. In the meantime, until ODIN is fielded, we remain fully committed to ensuring ALIS meets the needs of the maintainers on the flight line. Working with the JPO, we’ve established a quarterly software update interval that has enabled far better responsiveness to user needs. (..) And today, F-35s are operating from 27 bases and ships, and 10 nations have now declared their IOC. We have delivered more than 630 aircraft to date with more than 225 currently in production. The program has more than 380,000 accumulated flight hours flying around the world. There are more than 1,300 F-35 pilots and 10,000 maintainers trained on the platform. The F-35 has flown in combat on multiple occasions with U.S. Marine Corps F-35Bs currently deployed supporting two different combat theaters. We also recently celebrated delivery of Denmark’s first aircraft marking the 5th NATO nation to fly the aircraft. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 avril 2021 Share Posté(e) le 24 avril 2021 Il y a 18 heures, Picdelamirand-oil a dit : Le F-35 va au delà de tous nos espoirs Je crois qu'on a réussi à infiltrer Hubert Bonisseur de la Bath au sein des bureaux de LM... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 24 avril 2021 Share Posté(e) le 24 avril 2021 Il y a 16 heures, herciv a dit : C'est dans les grands média : https://www.washingtontimes.com/news/2021/apr/22/congress-may-pull-plug-troubled-17-trillion-f-35-j/ Attention : le Washington Times n'est pas un grand média, mais une espèce de tabloïd détenu par Moon (la secte). Il est aussi à mon sens vaguement lié à certaines factions du Pentagone, ou du moins il a servi par le passé à sortir des "scoops", dont des trucs bidons anti-français en 2003 à propos de l'Irak. A ne pas confondre avec le Washington Post et le New-York Times. Dans la même veine, eh oui, je crois qu'il existe un New York Post, du même niveau que le Washington Times... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 25 avril 2021 Share Posté(e) le 25 avril 2021 (modifié) Le 23/04/2021 à 14:38, herciv a dit : Les f-35 hollandais brièvement interdit de vol pour des problèmes moteur peut-être à cause d'ingestion de bout de piste (?). https://www.key.aero/article/dutch-f-35as-briefly-grounded-due-engine-concerns Petit retour sur ce sujet. Des rumeurs courent comme quoi le revêtement (grip??) Interne du f-135 serait ingéré parcequ'il serait appliqué en une seule couche au lieu de deux. Sincèrement je comprend rien. C possible ? https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2021/04/21/f-35’s-uit-voorzorg-aan-de-grond Grit spray on 3 F-35s may have caused engine wear. The grit would come from an anti-slip layer of the runway system at Leeuwarden Air Base. It is being investigated whether this is indeed the cause. The engine wear was discovered on the Frisian base during standard inspections." "The F-35 has a heavier engine than an F-16 and therefore blows up more grit during taxi. This form of wear has not been observed with the F-16. The take-off and landing system is otherwise in good condition." Modifié le 25 avril 2021 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 25 avril 2021 Share Posté(e) le 25 avril 2021 De ce que je comprends, ce sont les gravillons de l'enrobé bitumineux du runway qui sont projetés (sur d'autres avions). Cet enrobé est celui de la couche qui rend la piste "accrocheuse" (grip / anti-slip). Il semble que le F-135 pousse plus que les F-100/F-110, et met donc à mal la couche superficielle de la piste ou des taxiways. Et pour peu qu'il pousse aussi plus chaud ... Après, que l'ingestion de ces gravillons provoque des FOD sur les avions touchés, notamment au niveau des moteurs qui les aspirent ... pourquoi pas. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Gallium Posté(e) le 25 avril 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 avril 2021 http://www.opex360.com/2021/04/25/aviation-de-combat-quand-le-fondateur-de-topgun-descend-le-f-35/ « Lorsque le couperet du Pentagone est tombé, nous avons tristement observé le nouveau et l’onéreux balayer l’abordable et le fiable », écrit Dan Pedersen. La furtivité des avions de combat était alors la priorité, d’où le programme A-12 Avenger II. « Nous vendions notre âme pour la furtivité. La mentalité du Pentagone était que si nous ne trouvions pas une solution au sujet de la furtivité, c’est à l’US Air Force que reviendraient les missions de frappe. Je persistais à dire que, quelque part, dans quelque obscur sous-sol d’Europe de l’Est, un groupe d’individus portant des lunettes aussi épaisses que des bouteilles de Coca étudiaient comment vaincre la furtivité. L’avion avait un tas de problème. Renoncer à ce projet a sauvé la marine elle-même », a raconté Lonny McClung, un ancien commandant de Topgun, cité par Dan Pedersen. Pour ce dernier, « l’évolution vers la technologie de pointe nous a fait reculer de bien des manières ». Et d’insister, en parler de « fascination du Pentagone pour la furtivité » : « Nous avons oublié les leçons que nous avions chèrement apprises dans les années 1960. Nous nous prosternons devant l’autel de la haute technologie et sommes sur le point de vendre notre âme. La furtivité est comme un zombie, un zombie très onéreux. Elle revient à la vie pour nous hanter. » Et elle est donc revenue avec le F-35, qui fait fi des leçons que le Pentagone aurait dû tirer avec le F-111, « l’Edsel volant de Robert McNamara [secrétaire à la Défense entre 1961 et 1968, ndlr] qui était supposé servir à la fois à l’US Air Force et à la marine. » Soit le même concept que le programme JSF… mais avec trois versions [s’y ajouter celle dite STOVL pour l’US Marine Corps]. Soulignant les coûts très élevés du programme F-35 [mille milliards de dollars sur sa durée, ndlr], Dan Pedersen estime que les « entreprises qui travaillent pour la défense ont réussi leur coup en assurent leurs marges bénéficiaires avec leurs ‘éléments remplaçables’ comme ils nomment aujourd’hui les pièces détachées. Au fina, sur toute la durée du programme, les pièces coûteront plus cher que l’appareil lui-même ». Un peu comme les imprimantes à jet d’encre peu coûteuses à l’achat mais dont les cartouches sont onéreuses. « Le F-35 est si cher que l’on finira peut-être avec une flotte peine de magnifiques porte-avions à propulsion nucléaire flambant neufs mais aux ponts d’envol partiellement vide », craint Dan Pedersen, qui met en cause les performances de l’avion de Lockheed-Martin. « Les pilotes qui ont perdu confiance dans le F-35 l’ont surnommé le ‘pingouin' » car « il vole de la même façon ». Bon là il troll un peu : « Confiez-moi quelques centaines d’avions comme le F-5N, avec un canon fiable, un système de visée assisté par ordinateur, quatre [missiles air-air] Sidewinder, des moyens de contre-mesures électroniques, et des pilotes effectuant 40 ou 50 heures de vol par mois, et nous battrons n’importe quelle force aérienne qui ruine son pays en investissant dans des ‘pingouins’ furtifs de cinquième génération », assure-t-il. 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gallium Posté(e) le 25 avril 2021 Share Posté(e) le 25 avril 2021 Ce n'était pas un membre du forum qui avait déjà fait cette comparaison ? "Au final, sur toute la durée du programme, les pièces coûteront plus cher que l’appareil lui-même ». Un peu comme les imprimantes à jet d’encre peu coûteuses à l’achat mais dont les cartouches sont onéreuses." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 avril 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 avril 2021 HASC Dems Put DoD On Notice: No Free Pass For F-35 Les démocrates de l'HASC mettent le DoD en demeure : Pas de passe-droit pour les F-35 "Si ce programme continue d'échouer, nous devrons peut-être investir dans d'autres programmes plus abordables et combler un déficit opérationnel de plus de 800 chasseurs tactiques", a déclaré le représentant Donald Norcross, président de la sous-commission des forces aériennes et terrestres tactiques de la HASC. WASHINGTON : Le plus grand organisme de défense du Congrès a averti aujourd'hui que le F-35 Joint Strike Fighter ne bénéficie plus d'un laissez-passer gratuit et a clairement indiqué qu'il était frustré, inquiet et, dans de nombreux cas, tout simplement furieux. "Je vais prendre une profonde inspiration et essayer de contenir ma colère", a tonné le représentant John Garamendi, président de la sous-commission de préparation des services armés de la Chambre des représentants. "Je ne sais pas vraiment par où commencer, parce que chaque pièce de ceci est problématique. Chaque élément." Garamendi a énuméré les échecs du programme au cours de ses 25 années de développement et de production limitée - le jet n'a pas encore atteint sa pleine capacité opérationnelle. "Le F-35 est le programme le plus coûteux de l'histoire du ministère de la Défense, et les coûts de maintien en condition opérationnelle devraient dépasser 1,2 trillion de dollars sur la durée du programme. Le programme dépasse le budget. Il ne parvient pas à fournir les capacités promises, et les taux de capacités supplémentaires ne commencent même pas à atteindre les seuils de service", a-t-il déclaré. "Il y aura des décisions difficiles à prendre sur ce programme", a-t-il poursuivi. "Nous n'allons pas le laisser aller plus longtemps avec beaucoup de discours heureux. Ce n'est pas ce qui va se passer." Le représentant Donald Norcross, qui préside la sous-commission des forces aériennes et terrestres tactiques de la HASC, a clairement exprimé la menace qui pèse sur le programme dans son discours d'ouverture. "Si ce programme continue à échouer, nous devrons peut-être investir dans d'autres programmes plus abordables et combler un déficit opérationnel de plus de 800 chasseurs tactiques", a-t-il déclaré. Les républicains de la Chambre des représentants ont, dans l'ensemble, exprimé leur soutien au programme F-35, mais ils ont également partagé les préoccupations des démocrates quant à la persistance des échecs. Par exemple, Doug Lamborn, principal républicain de la sous-commission de l'état de préparation, a déclaré qu'il restait attaché au F-35, "parce que je crois qu'il est nécessaire de maintenir notre avantage face à des adversaires comme la Chine". Mais il a également souligné les nombreux problèmes qui doivent être résolus, qu'il s'agisse des problèmes de chaîne d'approvisionnement qui créent des pénuries de pièces de rechange, des insuffisances de moteurs, du besoin de nouveaux moteurs pour soutenir la dernière génération d'avions, des coûts de durabilité ou du logiciel de maintenance ALIS, qui pose de sérieux problèmes. En particulier, M. Lamborn craint que si le ministère de la Défense et le maître d'œuvre Lockheed Martin ne parviennent pas à réduire les coûts d'exploitation astronomiques de l'avion, "les détracteurs du programme seront renforcés dans leurs appels à l'élimination du programme". Le programme F-35 est déjà dans la ligne de mire de l'administration Biden, qui envisage des réductions potentielles alors qu'elle finalise sa demande de budget 2022 pour le ministère de la défense, principalement en raison de ses coûts de cycle de vie. Même le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général CQ Brown, a laissé entendre que l'étude en cours de la flotte d'avions tactiques du service pourrait aboutir à une réduction de l'achat actuellement prévu de 1 763 chasseurs - en réoptimisant la flotte de F-35 pour faire face aux menaces d'adversaires de haut niveau pendant qu'un nouveau successeur du F-16 remplit d'autres missions. Pendant près de quatre heures de témoignages aujourd'hui - de la part de représentants de Lockheed Martin, du motoriste Pratt & Whitney, du Joint Program Office (JPO) du DoD, du F-35 Integration Office de l'armée de l'air et du Government Accountability Office (GAO) - c'est la question des coûts de maintien en condition opérationnelle qui revient sans cesse dans la bouche des législateurs. Sur cette question, le témoignage le plus accablant est venu de Diana Maurer, du GAO, dont le comportement calme contrastait avec l'agitation visible émanant des législateurs. Elle a expliqué que, dans l'état actuel des choses, l'armée de l'air, la marine et les marines ne peuvent absolument pas se permettre de faire voler les jets qu'ils ont l'intention d'acheter à long terme. "L'une des choses que nous avons faites dans notre dernier rapport a été d'examiner les objectifs d'accessibilité financière que chacun des services a établis, en d'autres termes, combien l'armée de l'air, la marine et le corps des Marines peuvent se permettre de dépenser pour soutenir le F-35", a-t-elle déclaré. "Et ce que nous avons découvert est franchement assez troublant. Il existe des écarts substantiels entre les estimations des coûts de maintenance et le montant que les services affirment pouvoir dépenser pour la maintenance des F-35." M. Maurer a expliqué que si les trois services sont confrontés à un déficit de financement, le problème est particulièrement aigu pour l'armée de l'air. "Dans le cas de l'armée de l'air, ce déficit est de 47 %. Les coûts estimés sont donc supérieurs de 47 % à ce que l'armée de l'air dit pouvoir dépenser", a-t-elle déclaré. "Pour mettre cela en contexte, si à partir de demain, Lockheed Martin et Pratt & Whitney annonçaient que toutes les pièces de rechange du programme seraient gratuites (c'est nous qui soulignons) pour le reste du programme, cela ne suffirait toujours pas à combler ce déficit." De plus, ces calculs de déficit de financement sont basés sur les coûts actuels de maintien en condition opérationnelle - mais le GAO prévoit que ces coûts vont augmenter. "L'une des choses que nous avons suivies de très près au cours des dernières années est la croissance des coûts de maintien en condition opérationnelle", a déclaré M. Maurer. "Plutôt que de voir la ligne de tendance baisser, nous sommes préoccupés par le fait que les coûts de maintien en condition opérationnelle continuent d'augmenter. Ils augmentent au lieu de diminuer. C'est un problème. Et ce, malgré plus d'une décennie d'efforts concertés pour maîtriser ces coûts." Partant de ce constat, a expliqué M. Maurer, le DoD est confronté à trois choix, tous très difficiles : Le DoD peut faire "des efforts continus pour extraire des économies de coûts du programme" ... mais "il y a des limites à leur capacité à réduire les coûts de maintien en condition opérationnelle en se basant uniquement sur les économies de coûts". Le JPO peut "examiner de près les exigences du programme ... y compris le nombre d'heures de vol, le niveau de préparation que les services achètent par le biais d'une stratégie de maintien en condition opérationnelle, ainsi que le nombre d'avions qu'ils prévoient d'acheter". Les services peuvent simplement "dépenser plus" pour soutenir leur flotte de F-35, mais "cela va impliquer des milliards de dollars, et potentiellement évincer d'autres priorités." Le lieutenant-général Eric Fick, responsable du programme des F-35 JPO, a admis que les coûts de maintenance constituaient un problème sérieux - et un danger évident pour la réussite du programme - mais il a souligné que le DoD et les contractants progressaient lentement, mais sûrement, pour les faire baisser. "Je considère le coût comme la plus grande menace pour notre programme", a déclaré M. Fick. "Bien que nous nous soyons simultanément concentrés sur la réduction des coûts dans les domaines du développement, de la production et du maintien en condition opérationnelle, nous comprenons que les objectifs d'accessibilité financière du maintien en condition opérationnelle représentent à la fois notre plus grand défi et notre plus grande opportunité. "La réduction des coûts de maintien en condition opérationnelle restera donc ma plus grande priorité." M. Fick a déclaré que le JPO, en collaboration avec Lockheed Martin et Pratt & Whitney, "a fait des progrès significatifs" dans la réduction du coût par heure de vol. "Entre 2019 et 2020, le coût par heure de vol du F 35A de l'US Air Force a diminué de 10 %, passant de 37 000 dollars par heure de vol à 33 300 dollars par heure de vol en dollars de l'année de référence 12. Nos efforts en matière d'accessibilité financière sont loin d'être terminés, mais je considère ces chiffres réels comme des mouvements dans la bonne direction". L'objectif de longue date du JPO est de réduire le coût de l'heure de vol à 25 000 dollars d'ici 2025 - un objectif que les responsables de Lockheed Martin insistent sur le fait qu'il est réalisable. Greg Ulmer, vice-président exécutif de l'aéronautique chez Lockheed Martin, a déclaré que la société était "très concentrée" sur cette réduction. L'entreprise adopte une "approche globale" pour réduire les coûts de maintien en service. Elle s'efforce notamment d'améliorer la disponibilité des pièces de rechange, de réduire le "délai d'exécution des réparations", d'améliorer les diagnostics, de mieux prévoir le moment où les pièces tomberont en panne et d'améliorer la fiabilité et la maintenabilité. Nous comprenons quels sont les mauvais acteurs en termes de pièces et d'éléments sur l'avion, et nous travaillons constamment à l'amélioration". Bien que l'on ne sache pas encore si les récriminations du Congrès (qui sont un rituel annuel) aboutiront à une action législative majeure sur le F-35, une chose est claire - le HASC dirigé par les démocrates ne va certainement pas suivre les traces de leurs prédécesseurs républicains et continuer à gonfler le nombre d'avions demandés chaque année par le DoD. La loi d'autorisation de la défense nationale de 2021 a approuvé 14 F-35 JSF de plus que ce que demandait le ministère de la défense : 12 F-35A et 2 F-35B. En outre, l'Air Force a été autorisée à ajouter six F-35 destinés à la Turquie à sa propre flotte. Le président de la HASC, Adam Smith, a déclaré à la Brookings Institution le mois dernier : "Je veux arrêter de jeter de l'argent dans ce trou à rat particulier." Tout en reconnaissant que le Congrès ne peut pas simplement "se débarrasser du programme", il a déclaré qu'il était favorable à une future flotte aérienne moins dépendante des F-35 et à un "mélange plus équilibré d'avions de chasse et d'attaque". "Ne vous attendez pas à ce que l'on achète plus d'avions que ce qui est autorisé dans le budget du président. Cela n'arrivera pas", a déclaré Garamendi sans ambages. "Les 97 avions qui ont été ajoutés au cours des sept dernières années ont simplement créé un problème plus important pour le maintien de cette flotte." 1 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 Je fantasme ou ces articles américains contre le F35 fleurissent ces temps ci? Avec ca comment des pays comme la Suisse ou la Finlande pourrait confier leur avenir dans des pingouins ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 (modifié) il y a 9 minutes, Bon Plan a dit : Je fantasme ou ces articles américains contre le F35 fleurissent ces temps ci? Avec ca comment des pays comme la Suisse ou la Finlande pourrait confier leur avenir dans des pingouins ? La sauce monte en tous cas et cette deuxième série d'articles et d'interventions politiques est juste le prémisse d'une bataille au congrès. Concernant la Suisse ou la Finlande l'issue de cette bataille au congrès doit être suivie de près parce qu'elle risque de rebattre énormément les cartes. Mais si je ne pense pas que la Suisse penchait tant que çà vers le f-35, par contre en Finlande çà fait passer le f-35 dans le statut d'avion politiquement à risque ce qui ouvre beaucoup plus le processus de sélection. Les critères de la compétition HX sont très médiatiquement portés sur la soutenabilité financière. Que le f-35 ne soit pas soutenable au US rend le choix du F-35 extrêmement risqué. Modifié le 26 avril 2021 par herciv 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 il y a 5 minutes, herciv a dit : La sauce monte en tous cas et cette deuxième série d'articles et d'interventions politiques est juste le prémisse d'une bataille au congrès. Concernant la Suisse ou la Finlande l'issue de cette bataille au congrès doit être suivie de près parce qu'elle risque de rebattre énormément les cartes. Mais si je ne pense pas que la Suisse penchait tant que çà vers le f-35, par contre en Finlande çà fait passer le f-35 dans le statut d'avion politiquement à risque ce qui ouvre beaucoup plus le processus de sélection. Les critères de la compétition HX sont très médiatiquement portés sur la soutenabilité financière. Que le f-35 ne soit pas soutenable au US rend le choix du F-35 extrêmement risqué. Eh puis ça va être dur pour L.M. de continuer à prétendre que l'heure de vol coûtera $ 25000 en 2025 si même les USA ne le croit plus. Et à $ 33300 l'heure les 250 millions sont vite dépensés. Cela veut dire pas plus de 30 F-35. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 à l’instant, Picdelamirand-oil a dit : Eh puis ça va être dur pour L.M. de continuer à prétendre que l'heure de vol coûtera $ 25000 en 2025 si même les USA ne le croit plus. Et à $ 33300 l'heure les 250 millions sont vite dépensés. Cela veut dire pas plus de 30 F-35. Oui mais tu as toi-même montré que c'était surmontable à condition que le nombre d'heures de vol par mois soit suffisant. C'est pour cette raison que sur le blog de corporal frisk je commence à insister sur cette question de la disponibilité en nombre de sortie par jour et en nombre d'heures / mois. Là avec 30, on atteint quand même un minimum que les belges ont à peine dépassé. Même les indiens ont décidé d'avoir deux escadrons avec 18 rafales chacun. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 Et pendant ce temps.... http://psk.blog.24heures.ch/archive/2021/04/23/boeing-livre-le-second-f-15ex- eagle-ii - -870929.html livré en avance svp ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 il y a 3 minutes, herciv a dit : Oui mais tu as toi-même montré que c'était surmontable à condition que le nombre d'heures de vol par mois soit suffisant. C'est pour cette raison que sur le blog de corporal frisk je commence à insister sur cette question de la disponibilité en nombre de sortie par jour et en nombre d'heures / mois. Là avec 30, on atteint quand même un minimum que les belges ont à peine dépassé. Même les indiens ont décidé d'avoir deux escadrons avec 18 rafales chacun. Tu ne va quand même pas comparer la disponibilité du Rafale avec celle du F-35 gérée par ALIS/ODIN 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 il y a 2 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Tu ne va quand même pas comparer la disponibilité du Rafale avec celle du F-35 gérée par ALIS/ODIN J'oserais pas 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Tu ne va quand même pas comparer la disponibilité du Rafale avec celle du F-35 gérée par ALIS/ODIN Pour ma part, il y a plusieurs années que je suis arrivé à la conclusion que le F35 fera plus de dégâts chez ses opérateurs qu'il ne pourrait en faire chez leurs adversaires. Au USA le couvercle du politiquement correct ne parvient plus a contenir la pression des "opérateurs" nationaux conscients de l'impasse d'impuissance dans laquelle ils sont engagés. Cela m'évoque l'image des escrocs vendeurs de potions magiques que l'on trouve dans les bandes dessinée sur le "far west". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 il y a 1 minute, capmat a dit : Cela m'évoque l'image des escrocs vendeurs de potions magiques que l'on trouve dans les bandes dessinée sur le "far west". Moi la pyramide Ponzi. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 avril 2021 Share Posté(e) le 26 avril 2021 (modifié) Feux roulant. Quand on soulève une pierre on en trouve encore : https://www.counterpunch.org/2021/04/26/did-they-miss-yet-another-f-35-cost-overrun/ Le jeudi 22 avril, deux sous-comités de la commission des services armés de la Chambre des représentants ont tenu une audience conjointe sur le F-35. L'audition a porté sur de nombreuses questions relatives au coût du F-35, mais étrangement, personne n'a discuté ni posé de questions sur un dépassement de coût apparent de 63 milliards de dollars pour l'acquisition du F-35. Les données figurent dans un rapport d'évaluation des coûts et des programmes (CAPE) (intitulé "Independent Cost Estimate" [ICE]) envoyé au comité en juillet dernier et rendu public en septembre dernier par Bloomberg News. Le dépassement de 63 milliards de dollars du coût d'acquisition - obtenu par une simple arithmétique à partir de deux points de données de l'ICE - suggère que l'acquisition des F-35 aurait pu déclencher le déclencheur préliminaire de croissance de 15 % spécifié dans la loi Nunn-McCurdy destinée à alerter le Congrès de telles augmentations de coûts. Un résumé condensé de l'audition et une explication du dépassement apparent suivent. L'audition de la sous-commission des services armés de la Chambre des représentants sur le F-35 a été résumée efficacement par USNI News, Bloomberg, Breaking Defense et Defense News. L'audition a débuté par des déclarations agressives (critiques à l'égard des F-35) des deux présidents démocrates de la sous-commission : le représentant Donald Norcross, D-N.J., de la sous-commission des forces aériennes et terrestres tactiques, et le représentant John Garamendi, D-Calif. de la sous-commission de l'état de préparation. (Voir Breaking Defense et Defense News.) Un autre contenu important de l'audience, couvert par Bloomberg et USNI News, était centré sur les coûts énormes et croissants de fonctionnement et de soutien (O&S) des F-35 - actuellement estimés à 1 266 milliards de dollars dans le témoignage du GAO. Parmi les sujets récurrents de l'audition, citons le coût croissant de la mise à niveau du F-35 avec ce que l'on appelle le bloc 4 et la mise à jour technologique 3 (TR 3), les problèmes actuels et futurs du moteur, l'insuffisance des pièces de rechange et le faible niveau de préparation de toutes les variantes du F-35, mesuré par les taux de capacité de mission (MC) ou, mieux encore, de capacité de mission complète (FMC). Le coût d'acquisition distinct du F-35 - c'est-à-dire les coûts de recherche et développement (R&D), d'acquisition et de construction militaire (MilCon) pour acquérir des F-35 et les livrer aux services militaires - n'a pas été discuté de manière significative. Les informations sur la croissance des coûts d'acquisition qui ont été ignorées mais qui sont disponibles, notamment pour les membres et le personnel de la HASC, sont les suivantes : 1) L'estimation officielle actuelle du ministère de la défense pour les F-35 dans le dernier rapport sur les acquisitions sélectionnées de décembre 2020 est de 398 milliards de dollars en dollars "de l'année", c'est-à-dire en crédits passés, actuels et futurs. Ce montant couvre prétendument tous les coûts passés, présents et futurs de la R&D, de l'approvisionnement et du MilCon. 2) Comme l'a rapporté Tony Capaccio de Bloomberg News en septembre 2020, la CAPE a envoyé l'estimation indépendante des coûts (ICE) du F-35 aux commissions des services armés de la Chambre et du Sénat en juin 2020. L'ICE de l'ACEP porte la mention "à usage officiel uniquement", ce qui signifie que l'information n'est pas classifiée, mais qu'elle est restreinte. Les informations sur les coûts ont été librement discutées par les responsables de l'ACEP, la presse et d'autres personnes. 3) L'ICE indique que le coût total du "cycle de vie" (pour l'acquisition et l'exploitation du F-35) est de 1 727 milliards de dollars sur les 65 ans de durée de vie du programme - en dollars de l'année en cours. Sur ce montant, le coût d'exploitation et de soutien du F-35 (toutes les variantes) s'élève à 1 266 milliards de dollars, également en dollars de l'année en cours ; ce chiffre a également été cité par le GAO pour le coût total d'exploitation et de soutien. 4) Il reste donc 461 milliards de dollars pour l'acquisition des F-35, c'est-à-dire les coûts de R&D, d'acquisition et de configuration militaire. 5) Cela implique 63 milliards de dollars de plus que le coût d'acquisition actuel et officiel du DOD dans le SAR de décembre 2020 : 398 milliards de dollars - en dollars de l'année en cours. Il s'agit d'une augmentation de 16 %. Cette augmentation, bien qu'évidente d'après les calculs implicites dans l'article de Tony Capaccio depuis septembre 2020, n'a attiré aucune attention de la part de la presse ou de l'audience de la semaine dernière. Disponible depuis des mois, cette information n'a pas fait l'objet d'une seule question lors de l'audition. Les membres de la HASC - en particulier les sceptiques déclarés - se sont-ils désintéressés de ces informations ? L'information leur a-t-elle été cachée ? L'estimation indépendante des coûts de CAPE n'est-elle pas crédible ? Si c'est le cas, pourquoi le GAO a-t-il utilisé les 1 266 milliards de dollars d'O&S dans son témoignage du 22 avril ? Pourquoi l'estimation du coût total du cycle de vie de 1,727 billions de dollars a-t-elle été utilisée à plusieurs reprises dans des articles de presse, dans d'autres analyses et dans la description du GAO de son témoignage ? La croissance de 63 milliards de dollars de l'acquisition des F-35 est-elle un montant insignifiant ? Pas du tout. La loi Nunn-McCurdy, promulguée en 1982 et modifiée par la suite, prévoit qu'une augmentation de 15 % des coûts d'acquisition doit être signalée au Congrès dans un rapport spécial. Bien que le libellé de la loi prévoie un calcul unique (à partir de la " base actuelle " en dollars de " l'année de base "), l'augmentation de 16 % par rapport au SAR actuel tel que remesuré par CAPE en dollars de l'année de base semblerait certainement être un problème important. Et pourtant, il est ignoré. Que se passe-t-il ? Jusqu'à présent, il ne semble pas y avoir de réponse. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Modifié le 26 avril 2021 par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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