pascal Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 ... sous le radôme positionné au plus haut dans la mature Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Remzou 2.0 Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 Et ce radar diffuse tellement d'ondes qu'il faut faire rentrer le personnel sur le pont ?! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 Sur des radars de conduite de tir Empar ou Arabel , l’étude DREP évoquée sur le fil cavour , prend en compte des distances de sécurité surtout liées aux lobes secondaires .Sur le CdG , vu la position dans les hauts d’Arabel , il s’agit probablement dans ce cas de consignes vers du personnel affecté dans l’ilot . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 En regardant attentivement cette photo du CDG prise récemment à l'occasion du déploiement en océan Indien (mission Bois-Belleau) j'ai constaté deux choses http://www.corlobe.tk/IMG/jpg/3/c/b/140115-n-pl185-259.jpg -la première en forme de confirmation, les sponçons latéraux destinés notamment à renforcer la protection passive anti-missiles sont de véritables nids à rouille, alors que le PAN est récemment sorti de petit carénage on constate que ces encorbellements au ras de l'eau constamment battus par le clapot sont bouffés par la rouille. Certaines parties du bastingage pourtant en tubes d'acier et pas en filières sont tordues ... bref avec de la mer il ne doit pas faire bon s'y balader, c'est à se demander même si ces zones ne sont pas interdites d'accès dans ces cas là. -la seconde est plus une découverte, il semble bien que le sponçon dédié au lance-leurre SAGAIE avant bâbord (juste devant le miroir d'appontage) accueille désormais un canon de 20 mm ou plus probablement une mitrailleuse de .50 ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 Rohh la vache, les sponcons sont vraiment sorti comme ca de Toulon, ya genre un mois?? Ne me dit pas que oui, stp! Ca fout la honte quand meme.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 On dirait un navire russe avec toute cette rouille! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 -la première en forme de confirmation, les sponçons latéraux destinés notamment à renforcer la protection passive anti-missiles sont de véritables nids à rouille, alors que le PAN est récemment sorti de petit carénage on constate que ces encorbellements au ras de l'eau constamment battus par le clapot sont bouffés par la rouille. Certaines parties du bastingage pourtant en tubes d'acier et pas en filières sont tordues ... bref avec de la mer il ne doit pas faire bon s'y balader, c'est à se demander même si ces zones ne sont pas interdites d'accès dans ces cas là. Où donc des tubes tordus sur la photo? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 En regardant attentivement cette photo du CDG prise récemment à l'occasion du déploiement en océan Indien (mission Bois-Belleau) j'ai constaté deux choses http://www.corlobe.tk/IMG/jpg/3/c/b/140115-n-pl185-259.jpg -la première en forme de confirmation, les sponçons latéraux destinés notamment à renforcer la protection passive anti-missiles sont de véritables nids à rouille, alors que le PAN est récemment sorti de petit carénage on constate que ces encorbellements au ras de l'eau constamment battus par le clapot sont bouffés par la rouille. Certaines parties du bastingage pourtant en tubes d'acier et pas en filières sont tordues ... bref avec de la mer il ne doit pas faire bon s'y balader, c'est à se demander même si ces zones ne sont pas interdites d'accès dans ces cas là. -la seconde est plus une découverte, il semble bien que le sponçon dédié au lance-leurre SAGAIE avant bâbord (juste devant le miroir d'appontage) accueille désormais un canon de 20 mm ou plus probablement une mitrailleuse de .50 ... Le truc bizarre c'est que cela ne vient pas seulement du bastingage, mais aussi des plaques soudées elles mêmes, au niveau des soudures d'ailleurs et uniquement sur cette partie du navire. Peut-être est-ce simplement de la rouille résiduelle, pourtant à certain endroit on voit clairement que non. Donc ils ont oublié une couche de peinture et/ou d'anti rouille, ou l'acier est de mauvaise qualité, ou encore le travail est fait à l'arrache, tout ça à la fois, à moins que cet endroit subisse bien plus les éléments que le reste de la coque (plus que prévu ?). Cela est tout de même bizarre par rapport au reste du navire qui n'est pas autant/du tout touchée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 @True Cricket au niveau de l'élargissement du sponçon là où le bastingage est le plus exposé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 En regardant attentivement cette photo du CDG prise récemment à l'occasion du déploiement en océan Indien (mission Bois-Belleau) j'ai constaté deux choses http://www.corlobe.tk/IMG/jpg/3/c/b/140115-n-pl185-259.jpg -la première en forme de confirmation, les sponçons latéraux destinés notamment à renforcer la protection passive anti-missiles sont de véritables nids à rouille, alors que le PAN est récemment sorti de petit carénage on constate que ces encorbellements au ras de l'eau constamment battus par le clapot sont bouffés par la rouille. Certaines parties du bastingage pourtant en tubes d'acier et pas en filières sont tordues ... bref avec de la mer il ne doit pas faire bon s'y balader, c'est à se demander même si ces zones ne sont pas interdites d'accès dans ces cas là. -la seconde est plus une découverte, il semble bien que le sponçon dédié au lance-leurre SAGAIE avant bâbord (juste devant le miroir d'appontage) accueille désormais un canon de 20 mm ou plus probablement une mitrailleuse de .50 ... Comment ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 C'est le poste de ravitaillement tribord ou les marins remontent les Amarres imbibées d’eau de mer d’où les traces le long de la coque . Les rambardes qui semblent tordu sur la photo sont amovible d’où un certain effet sur cette photo. Mais bon c'est pas bien grave cette zone et toujours rouillée en fin de missions Et comme ce n’est pas possible de reprendre la peinture en mer il faut attendre d’être à quai pour nettoyer. Un peu plus loin on trouvent les portes ou on fait rentrer les palettes de bouffe directement dans les frigo qui sont juste derrière. :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 (modifié) Comment ? Protection passive des sponsons... tout simplement en déclenchant l'ogive d'un missile mer-mer arrivant au ras des flots, avant que celui-ci n'ai pénétré dans la coque elle-meme... Pas tres différent des cages anti-RPG qu'on trouve sur les blindés. Modifié le 22 janvier 2014 par HK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 22 janvier 2014 Share Posté(e) le 22 janvier 2014 @Scarabé ta photo montre le poste RAM mais il est situé à tribord ce qui est sa position logique sur le p-a côté îlot pour la bonne conduite des opérations. la photo du site de CORLOBE que j'ai postée montre non pas le flanc tribord mais le flanc bâbord du porte-avions une zone qui correspond à un poste d'amarrage mais certainement pas à un poste RAM car à l'opposé de l'îlot et surtout sous l'encorbellement de piste oblique ... les traces de coulures et les souillures de rouille correspondent aux écoulements typiques de ces parties exposées à l'action de la mer qui est soulignée par le gaufrage des tôlesde la partie inférieure à l'avant du sponçon là où çà cogne dans le clapot. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tom Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 Protection passive des sponsons ?? c'est quoi et ou ??si je compend bien c'est ce passage avec les rambarde rouillées ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 Les sponçons sont des encorbellement situés quasiment au ras de l'eau dont l'une des fonctions (mais pas la seule) est de faire déclencher prématurément les têtes militaires de missiles sea skimming à 1 ou 2 mètre du bordé de la coque elle-même ... c'est en cela que c'est un système passif voir le post de HK c'est un peu le même système que les bulges anti torpilles des navires de la WW II Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 @True Cricket au niveau de l'élargissement du sponçon là où le bastingage est le plus exposé Il s'agit de rambardes mobiles, semblable à des "raquettes pivotantes de pont d'envol". En effet, on voit clairement qu'elles ont des coins supérieurs arrondis, et qu'elles n'ont pas de rambarde intermédiaire mais un filet au milieu, ce qui est typique des raquettes de pont d'envol françaises (les autres pays ont d'autre façon de faire les angles et les filets). Tout cela pour dire qu'elle ont un pivot sur leur partie inférieure, avec une goupille de blocage, et que la position verticale de ces raquettes n'est pas parfaite, des jeux pouvant apparître au fil de l'emploi. Rien de tordu donc. On se trouve à cet endroit sur le chemin des aussières, comme en témoigne le treuil d'amarrage situé un peu plus en arrière sur le spooson, les bites et le chaumard à rouleau. En l'absence de chaumard vers l'avant, les architectes ont choisi des barrières amovibles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 @true cricket a-t-on une idée de la diminution du franc-bord/augmentation du tirant d'eau due à l'augmentation progressive du déplacement au cours de la conception puis de la construction (cm; dizaines de cm ?) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 Les sponçons sont des encorbellement situés quasiment au ras de l'eau dont l'une des fonctions (mais pas la seule) est de faire déclencher prématurément les têtes militaires de missiles sea skimming à 1 ou 2 mètre du bordé de la coque elle-même ... c'est en cela que c'est un système passif voir le post de HK c'est un peu le même système que les bulges anti torpilles des navires de la WW II avec une image ce sera plus simple. extrait de chez netmarine La partie noté "caissons de protection" http://www.netmarine.net/bat/porteavi/cdg/caracter.htm En fait ça sert a la manœuvre lors de la prise d'amarre ou des ravitaillement etc. En gros permettre la circulation de l'équipage au plus bas sur l'eau tout autour de la coque. Mais ils ont un autre role, ils sont "consommable" pour encaisser les dommages des missiles rasants. Le volume des "caissons" n'est pas indispensable a la flottaison ou a la tenue a la mer, il peut donc etre sacrifier pour y laisser exploser un missile, sans que cela n'ai de conséquences graves sur le fonctionnement du navire. Le missile qui pete dans ce "blindage espacé" ne pète donc pas dans la coque, donc dommage minimal a la coque. Les charge des missile anti navire ne sont pas perforante, les navire n'étant plus vraiment blindé on se contente de trouer la coque comme dans du beurre et de faire exploser le missile de l'intérieur de la coque pour créer le plus de dommage interne au navire. Aménager des volume sacrifiable comme ici peu suffire a contre-carré cette explosion interne a la "coque" en faisant croire au missile qu'il est dedans alors qu'il n'y est pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tom Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 ok merci , pour cette éclaircissement . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Haspen Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 Très jolie photo, en effet (celle où l'ont voit toute la rouille sur les encorbellements), quelqu'un a-t-il une idée sur l'origine du jet de vapeur que l'on voit sur ce même flanc ? Cela a-t-il un rapport avec la catapulte (qui vient d'être utilisée pour le Greyhound) ? Merci par avance :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 janvier 2014 Share Posté(e) le 23 janvier 2014 peut être une vanne de décharge du circuit vapeur ... peut-être Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 24 janvier 2014 Share Posté(e) le 24 janvier 2014 @true cricket a-t-on une idée de la diminution du franc-bord/augmentation du tirant d'eau due à l'augmentation progressive du déplacement au cours de la conception puis de la construction (cm; dizaines de cm ?) Pour ma part, je n'ai pas d'information vérifiée là dessus. Mais certaines personnes le savent forcément (ou du moins, ont les documents qui après analyse leur permettrait de savoir), que ce soit à bord ou à la direction technique de la DGA. J'ai ouïe dire et lu dans des sources ouvertes que cela avait augmenté d'entre 2000 et 4000 tonnes entre ce qui était prévu au début de la construction et ce qui est aujourd'hui. La surface de flottaison étant de 5000-6000m² (calcul sur un bout de table), cela donne un enfoncement additonnel entre 30cm et 90cm. Ce n'est pas une fourchette très précise, mais c'est à comparer aux 8,5m de tirant d'eau publiés officiellement (je vérifierai dans Flotte de Combat en rentrant chez moi). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 24 janvier 2014 Share Posté(e) le 24 janvier 2014 Protection passive des sponsons... tout simplement en déclenchant l'ogive d'un missile mer-mer arrivant au ras des flots, avant que celui-ci n'ai pénétré dans la coque elle-meme... Pas tres différent des cages anti-RPG qu'on trouve sur les blindés. ok Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 26 janvier 2014 Share Posté(e) le 26 janvier 2014 Pour des navires militaires complexes les devis de masse sont marqués au pied par tous les acteurs du projet étatiques et industriels au travers d’un certain nombre de marges. Marges au cours de l’élaboration du projet et donc de conception, de construction et des marges en service donc marges des évolutions.La bande noire nous donne deux déplacements ; le niveau bas correspondant au déplacement lège qui intègre normalement les marges de conception , de construction et le niveau haut correspondant au déplacement charge complète début de vie. A noter que le DCC fin de vie avec estimation des évolutions , doit être pris en compte dans les calculs de structureSuivant certaines images et clichés bassin je dirais ,sans mettre ma tête sous le billot que la bande noire mesure environ 2 m de large. Les données de déplacement sur net marine donnent ; 38085 tonnes , sans aucune précision , il doit s’agir du DER déplacement d’essai de référence , 42500 à 43000 tonnes de DCC selon sources et de mémoire on doit être à 35000 tonnes lège ( à confirmer).En considérant un DCC de 43000 tonnes et un lège souvenir estimé à 35000 tonnes on arriverait à un port en lourd de 8000 tonnes pour 200 cm d’exposant de charge soit au moins 40 t/cm à la louche.Sur le cliché objet de la discussion, on voit bien que la ligne de flottaison 10H est à environ 40 cm moyen sous le niveau sup de la bande noire et à 60 du raccordement inf du caisson cf échelle de tirant d’eau que l’on aperçoit, la hauteur d’un chiffre est de 10 cm. On peut en déduire que la valeur de la surcharge pour que la flottaison arrive à lécher le bas du caisson, avoisinerait 2400 tonnes. A 45400 tonnes on chargerait vraiment la mule, donc ordre de grandeur borderline à prendre avec des pincettes , croiser avec les impacts perfs , propulsion/vitesse ( mef hélices et accouplement) , structure , stabilité et évolution….etcDe toute façon lors du gros arrêt technique on pèsera tout ce qui sort et tout ce qui rentre dans une comptabilité d’apothicaire en veillant à rester dans les clous 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 26 janvier 2014 Share Posté(e) le 26 janvier 2014 j'avais lu sur le site de corlobé que la première IPER s"était soldée par un accroissement de 500 t du déplacement à vide Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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