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Les nouveaux Scorpènes auront un contenu indigène de 60 %, déclare le PDG de Naval Group

Les sous-marins Scorpène supplémentaires commandés par l'Inde auront un contenu indigène élevé, y compris plusieurs technologies de haut niveau comme les systèmes de combat et la propulsion indépendante de l'air (AIP), a déclaré le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.

Par Manu Pubby, ET BureauDernière mise à jour : 15 juillet 2023, 05:21 AM IST1

Les sous-marins Scorpène supplémentaires commandés par l'Inde auront un contenu indigène élevé, y compris plusieurs technologies de haut niveau telles que les systèmes de combat et la propulsion indépendante de l'air (AIP), a déclaré le PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet.

"Le sous-marin supplémentaire construit sur la base du Scorpène répondra à la plupart des besoins actuels de la marine. La plateforme peut également être intégrée avec des armes plus avancées selon les besoins du client", a déclaré M. Pommellet à ET dans ses premiers commentaires officiels sur l'accord.

L'extension de la ligne permettra d'accélérer les livraisons à la marine. Mazagon Dock a déjà livré 5 Scorpènes et le sixième est prévu pour le début de l'année prochaine.

"De telles plates-formes peuvent non seulement être livrées par une MDL expérimentée dans des délais plus courts, mais aussi présenter un contenu indigène plus élevé - plus de 50 à 60 % dans les domaines des technologies critiques, mais pas seulement, de l'AIP, des systèmes de combat et autres", a déclaré M. Pommellet.

Le constructeur naval français considère également l'Inde comme un partenaire d'exportation. Le mélange de technologie, d'innovation et de gestion de l'expertise navale indienne et française de pointe constituera une véritable proposition de valeur pour les marines internationales", a-t-il déclaré, ajoutant que l'objectif est de réaliser le "Make from India".

Naval Group travaille également avec le DRDO et l'industrie indienne pour intégrer l'AIP indigène dans les sous-marins Scorpène actuels.

Le PDG a déclaré que l'Inde a également un bon potentiel pour devenir un centre de réparation et de révision de navires dans la région. "L'Inde et l'industrie navale indienne de défense ont la capacité de devenir un centre régional indo-pacifique pour la réparation et la maintenance des navires", a-t-il déclaré.

Naval Group a également signé des protocoles d'accord avec des chantiers navals de défense indiens, dont Garden Reach Shipbuilders and Engineers pour les corvettes de la classe Gowind. "Aujourd'hui, nous pouvons nous vanter d'avoir un écosystème industriel solide et sain de plus de 50 entreprises indiennes, qui continue de se développer en gardant à l'esprit les projets futurs et les exigences en matière d'exportation ", a-t-il déclaré.

Le groupe propose également sa dernière torpille lourde F21, développée pour les derniers sous-marins nucléaires d'attaque de la marine française.

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il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

Le groupe propose également sa dernière torpille lourde F21, développée pour les derniers sous-marins nucléaires d'attaque de la marine française

En sus des Missile de Croisière Naval MDCN !    et  de Potentiels Corvette Gowind                    Joli cocktail 

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Citation

Il est cependant à noter que New Delhi souhaite 22 appareils monoplaces et 4 biplaces, ce qui fera de l’Indian Navy le premier utilisateur du Rafale biplace en version navalisée.



© Mer et Marine https://www.meretmarine.com/fr/defense/l-inde-selectionne-le-rafale-marine-et-veut-renforcer-son-partenariat-avec-la-france-dans

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il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

Merci.  Il y est écrit : "Il est cependant à noter que New Delhi souhaite 22 appareils monoplaces et 4 biplaces, ce qui fera de l’Indian Navy le premier utilisateur du Rafale biplace en version navalisée"

 

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Perso, je doute encore que les biplaces de l'Indian Navy soient d'une variante navalisée. L'avenir nous le dira.

Cependant, si le travail pour l'hypothétique version N a été correctement débroussaillé, borné, laisser les Indiens en finir la conception serait un bon moyen d'augmenter largement les offsets tout en leur offrant une excellente prise en main des outils et méthodes susceptibles d'éviter les dérives habituelles de leurs projets. Ils trouveront le cadre contraignant, mais au bout du bout, ils obtiendront enfin un produit utilisable !

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D'un point de vu planning cela serait quand même étonnant non ? 

Les bi places devant logiquement être les versions reçus en première, pour la formation.

Hors avec un développement à terminer et toutes les validations à faire, ce sera forcément long

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Développer et certifier une version spécifique pour 4 appareils?

De plus, "les indiens"? QUELS indiens? Quelle entreprise? D'après les rumeurs DRAL est en tain de crever parce qu'Anil Ambani ne peut pas soutenir l'investissement dans le site de Nagpur, dans un contexte où Dassault ne peut pas avancer plus de 50% de l'argent. Alors certes la compétence a toujours été chez Dassault qui forme les gens de DRAL, mais sans infrastructures ou bien en devant déplacer des personnels à l'autre bout du pays, comment faire? Or on découvre à l'instant, comme je l'avais pressenti, que Dassault souhaite racheter le foncier et les bâtiments en même temps qu'il quitte la Joint Venture!

Dans un tel contexte, Dassault ne recherchait donc PAS un autre partenaire industriel indien. Il DEVIENDRAIT son propre partenaire indien, en ayant les mains libres pour faire comme il veut. Parce que s'il fallait confier à une boite locale, à grands coups de ToT, le soin de concevoir une version spécifique du Rafale, même si ça ne revenait qu'à assembler une partie avant de B et une partie arrière de M, il faudrait un minimum de compétence pour ça. Qui pourrait donc être intéressé qui ne soit pas déjà engagé avec un autre industriel étranger dans le cadre du MMRCA2? Tout le monde a déjà les pieds et les poings liés même si la compétition est au point mort! Les groupes Tata, Adani (qui n'ont rien à voir avec Ambani), etc etc.

Malheureusement, la seule voie d'issue est donc de créer un "Dassault India" de toutes pièces, à la manière de Dassault Falcon Jet Corp (https://www.dassault.fr/filiales/dassault-aviation/dassault-falcon-jet) qui se trouve être la branche Amérique de Dassault dédiée à l'aménagement intérieur, à la vente et au support pour les marchés de la zone Amérique.

C'est le chemin qui était pris avec DRAL mais ça n'a pas marché faute d'investissement et pour cette foutue clause des "50%" qui a déjà failli empêcher Safran de remplir leurs offsets. Bien que je me demande si ce n'était pas non plus une manœuvre des indiens en ce sens afin d'imposer leurs conditions dans la foulée.

Les indiens accepteront-ils une telle solution? De voir Dassault s'implanter par lui-même en Inde?
Rien n'est moins sûr s'ils veulent développer leur indépendance stratégique qui est la partie sous-jacente du "make in India" qui ne consiste pas simplement à attirer la partie manufacturière mais aussi à gratter des compétences.
Sauf que même s'il y a un turnover important en Inde, quand on entre chez Dassault c'est généralement pour y rester. De plus la partie RH de Dassault sait probablement très bien quels genre de profils ils recherchent, ce qui limitera fortement les départs de gens formés et compétents que l'entreprise aura besoin de conserver à tout prix dans les premières années le temps de constituer des équipes solides.

Idem on palabre autour de l'AMCA, mais c'est supposé être un produit HAL... Je crois savoir que chez Dassault on aime pas trop les mariages forcés surtout avec une moitié qui a déjà essayé de vous poignarder pendant les préparations du mariage...

Donc pas de solution de ce côté à mon avis. Dassault doit avoir les mains libres pour réaliser ce qu'ils veulent faire en Inde. Notamment s'ils veulent s'affirmer en tant que partenaire industriel. Ils n'ont pas vocation à servir de prête-nom à un industriel indien qui ne soit pas au niveau dans leur domaine.

Cela étant vu que les indiens veulent un sistership au Vikrant et que le PANG aura besoin de nouveaux Rafale de toutes façons, mais aussi qu'il est probable que de nouveaux achats G2G surviennent en Inde*, qu'on en soit à considérer qu'il y aurait d'ores et déjà un marché captif pour le Rafale en Inde, mais aussi un besoin de biplaces navals pour les deux pays, et que l'assemblage puisse être en partie au moins délocalisé en Inde, n'a sans doute pas grand-chose de déconnant.

Après-tout, DRAL était supposé assembler 11 Falcon 2000 Albatross sur les 12, même si les derniers chiffres sortis disaient plutôt 9 sur 12. Et ça ne choquait personne.

*: les chiffres évoluant de 57 (hypothèse basse IAF pour le MMRCA) à 114 (hypothèse haute) en passant par 90 (hypothèse d'un marché G2G avec production locale pour retomber sur un chiffre de 126 Rafale.

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  • 4 weeks later...

C'est fiable Firstpost ?

https://www.firstpost.com/india/india-engages-in-talks-with-france-to-develop-six-nuclear-powered-submarines-12966862.html

L'Inde s'engage en pourparlers avec la France pour développer six sous-marins à propulsion nucléaire

Les sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire ont historiquement joué un rôle crucial dans la protection des groupes de bataille de porte-avions et le suivi des SSBN ennemis, tout en servant de plates-formes polyvalentes pour les opérations anti-navires, les missions d'attaque terrestre et les activités de surveillance.

La branche de sous-marin d'attaque de la marine indienne est aux prises avec une disparité significative entre ses ambitions et ses capacités, car la proposition d'obtenir un minimum de six sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire (SSN) reste en attente de l'approbation du gouvernement depuis près de quatre ans, créant une situation difficile pour la marine.

Avec la conclusion du bail du sous-marin nucléaire russe de classe Akula en 2021, la marine indienne manque actuellement de SSN dans sa flotte. Pour combler cette lacune critique, l'Inde a entamé des discussions avec la France, explorant la possibilité d'un projet collaboratif pour construire les six SSN requis.

La Chine dispose d'une vaste flotte de sous-marins comprenant plus de 70 sous-marins, comprenant sept sous-marins de missiles balistiques nucléaires (SSBN), 12 sous-marins d'attaque nucléaire (SSN) et plus de 50 sous-marins d'attaque diesel (SSK). D'autre part, la flotte de sous-marins conventionnels de l'Inde remonte principalement aux années 1980, ce qui soulève des inquiétudes quant à ses capacités de vieillissement.

Pour faire face aux prouesses croissantes de la marine de l'Armée populaire de libération chinoise (PLAN), l'Inde reconnaît l'importance des sous-marins à propulsion nucléaire.

Cette prise de conscience a conduit à des rapports selon lesquels l'Inde a mis en attente ses plans de construction d'un porte-avions indigène (IAC)-2 de 65 000 tonnes, donnant la priorité au développement de son projet SSN. Les SSN sont considérés comme l'équivalent sous-marin des avions de chasse, et leur intégration dans la marine indienne est considérée comme une étape essentielle pour maintenir l'équilibre stratégique et contrer les menaces potentielles.

« Les SSN changent la donne. Ce sont des plates-formes puissantes avec une furtivité et une endurance illimitée. Ils peuvent rester sous l'eau indéfiniment et opérer loin du port pendant de longues périodes et à grande vitesse. Ils peuvent avancer dans le cadre du groupe de combat de porte-avions. Armés de missiles à longue portée, ils peuvent changer la forme de la bataille maritime", a déclaré un ancien sous-marin de la marine indienne, le commodore Anil Jai Singh, à l'EurAsian Times.

Le SSN, par rapport au sous-marin diesel à affluence plus lent et à courte portée, possède une portée, une endurance et une vitesse supérieures. Il a la capacité de rester submergé pendant de longues périodes, tandis que les bateaux à propulsion à moteur diesel conventionnel, même ceux équipés d'une propulsion indépendante de l'air (AIP), ne peuvent rester submergés que pendant des heures ou des jours.

Au fond des eaux, la furtivité du SSN le rend difficile à détecter, et sa vitesse remarquable lui permet de dépasser et de dépasser la plupart des autres sous-marins ou navires de guerre, si nécessaire, un exploit que les sous-marins diesel ne peuvent pas réaliser.

Les SSN ont historiquement joué un rôle crucial dans la protection des groupes de combat de porte-avions et le suivi des SSBN ennemis, tout en servant de plates-formes polyvalentes pour les opérations anti-navires, les missions d'attaque au sol et les activités de surveillance.

En 2019, l'Inde a conclu un accord de 3 milliards de dollars américains avec la Russie pour l'acquisition d'un autre sous-marin d'attaque de classe Akula à propulsion nucléaire. Cependant, en raison du conflit entre la Russie et l'Ukraine en cours, le début du bail risque de manquer sa date limite de 2026. D'autre part, le développement des SSN autochtones est subordonné à l'approbation du gouvernement, et s'il est accordé, on estime qu'il faudra encore 10 à 15 ans avant que le premier ne devienne prêt au combat.

De manière réaliste, le premier SSN de construction nationale devrait rejoindre la flotte de la marine indienne d'ici 2040. La marine indienne a reçu l'approbation de principe pour six SSN et attend le leur avis du Comité ministériel sur la sécurité (CCS) pour lancer le processus de construction.

En juillet, le Bhabha Atomic Research Center (BARC) et la Electronics Corporation of India Limited (ECIL) ont uni leurs forces, signant un accord pour développer 11 types de systèmes de contrôle et de consoles multifonctions.

Cette collaboration vise à améliorer l'efficacité des tâches liées au SSN et à renforcer la triade nucléaire de l'Inde, qui soutient la doctrine de lutte nucléaire établie.

Actuellement, l'Inde possède deux sous-marins à missiles balistiques à propulsion nucléaire (SSBN), qui servent principalement d'instruments de dissuasion nucléaire du pays et ne peuvent pas être déployés pour des missions tactiques.

Cependant, l'introduction des SSN joue un rôle essentiel dans la lutte contre les marines numériquement supérieures. Ces sous-marins possèdent la capacité de suivre et de suivre furtivement des cibles, et leur quasi invulnérabilité en fait une arme formidable dans l'arsenal de la nation.

Un excellent exemple de leur déploiement stratégique est le seul sous-marin russe de classe Akula de l'Inde, renommé INS Chakra, qui était stationné du côté est de l'océan Indien au cours de l'impasse frontalière avec la Chine au cours de la dernière décennie, mettant en valeur leur polyvalence et leur importance dans le renforcement de la sécurité maritime de l'Inde.

Le programme indien de sous-marins à propulsion nucléaire a été retardé en raison de défis bureaucratiques, tandis que la marine de l'Armée populaire de libération (PLAN) de Chine a fait des progrès significatifs pour renforcer ses capacités sous-marines.

Une évaluation de l'Institut naval américain révèle que le SSN actuel de la classe Shang de Chine présente des niveaux de bruit comparables à ceux des conceptions soviétiques des années 1970. Cependant, si le PLAN parvient à déployer des SSN super-silencieux équivalents aux meilleurs sous-marins américains et russes, cela marquerait un changement stratégique important.

De telles capacités avancées amélioreraient non seulement la capacité de la Chine à se défendre en haute mer, mais permettraient également au pays de menacer les forces navales américaines bien au-delà de la première chaîne d'îles, accordant une portée transocéanique sans avoir besoin d'un soutien logistique étendu ou de bases à l'étranger, comme l'exige un groupe d'attaque

Depuis 2009, la présence du PLAN dans l'océan Indien n'a cessé de croître, en mettant l'accent sur la lutte contre le piratage et la sauvegarde de ses intérêts commerciaux.

La Chine a activement déployé des véhicules sans pilote sous-marins Sea Wing pour recueillir des données précieuses sur les courants, l'acoustique et l'environnement maritime, aidant ainsi ses sous-marins à tracer les trajectoires de navigation.

Depuis 2017, le déploiement de sous-marins, de navires d'arpentage et de navires hydrographiques dans l'océan Indien par le PLAN est devenu un phénomène régulier.

La présence croissante de navires hydrographiques et de navires d'arpentage gérés par l'État chinois devrait ouvrir la voie à des déploiements futurs potentiels de SSBN et de SSN chinois dans la région.

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il y a 39 minutes, Titus K a dit :

C'est fiable Firstpost ?

https://www.firstpost.com/india/india-engages-in-talks-with-france-to-develop-six-nuclear-powered-submarines-12966862.html

L'Inde s'engage en pourparlers avec la France pour développer six sous-marins à propulsion nucléaire

ça vaut le coup de lire ce que tu as traduit ?  Parce que sans repère de ta part ( surlignés par ex. ) on est obligé de tout se tapper comme tu l'as déjà fait ... Flemme...  indienne 

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il y a une heure, Bechar06 a dit :

ça vaut le coup de lire ce que tu as traduit ?  Parce que sans repère de ta part ( surlignés par ex. ) on est obligé de tout se tapper comme tu l'as déjà fait ... Flemme...  indienne 

Non l'article est vide, une seule mention de discussion entamées entre l'inde et la france pour une collaboration sur 6 SNA
C'est pour ca que j'ai demandé s'ils ont été fiable dans le passé, je ne les connais pas.

Révélation

Et puis bon je vois parfois des articles de papiers indiens, des vidéos d'indiens avec voix robotiques voire des propos de foromeurs indiens relayés ici que je me suis dis que j'allais me joindre a la partie pour une fois :laugh::chirolp_iei:

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  • 2 weeks later...
Il y a 11 heures, fraisedesbois a dit :

#çafaitplaisir

un Kalvari, l'INS Vagir, en visite en Australie, héhé (j'ai des plaisirs simples) pour des exercices de yoga

(...) Le déploiement en cours témoigne de la portée et de la durabilité des sous-marins de l'Indian Navy. Le déploiement à grande distance est le premier déploiement d'un sous-marin de l'IN en Australie et montre la capacité et l'acuité professionnelle de l'IN à entreprendre des opérations soutenues à grande distance du port de base pour des durées prolongées. Plus tôt au cours du déploiement, INS Vagir avait visité Colombo dans le cadre de la Journée internationale du yoga le 21 juin 23.

C'est bien un soum de la classe scorpene qu'ils ont fabriqué sur place ?

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Il y a 1 heure, bubzy a dit :

C'est bien un soum de la classe scorpene qu'ils ont fabriqué sur place ?

yesss.

(theprint, 19/08)

Le sous-marin indien Scorpène effectue son plus long déploiement, parcourant 7 000 km jusqu'en Australie

INS Vagir a navigué sans interruption depuis son déploiement en juin, à l'exception d'une escale au Sri Lanka, refaisant surface tous les 3-4 jours pour recharger ses batteries pendant quelques heures.

New Delhi : L'INS Vagir, mis en service en janvier de cette année, a fait route vers l'Australie, parcourant une distance de près de 7 000 km, dans le cadre d'un déploiement inédit et le plus long jamais réalisé par les sous-marins Scorpène indiens.

La marine indienne a publié un communiqué samedi soir indiquant que le sous-marin est en déploiement prolongé.

Le déploiement a commencé en juin 2023 et le Vagir atteindra Fremantle, en Australie, le 20 août.
Le sous-marin, qui est le cinquième sous-marin de classe Kalvari de la marine indienne, a été mis en service dans la marine indienne en janvier de cette année et est basé à Mumbai.

Des sources de l'establishment de la défense et de la sécurité ont déclaré à ThePrint qu'à l'exception d'une escale au Sri Lanka, dans le cadre de la Journée internationale du yoga, le sous-marin n'a pas fait d'autre escale.
Elles ont également indiqué que le sous-marin avait parcouru environ 7 000 kilomètres, soit un peu plus de 4 000 milles nautiques, depuis le début de son déploiement opérationnel en juin.

Cela signifie que le Vagir a navigué sans interruption depuis l'escale au Sri Lanka. Il refait surface tous les trois ou quatre jours, en fonction de la vitesse, pour recharger ses batteries pendant quelques heures avant de s'enfoncer à nouveau dans les profondeurs de l'océan.

Le déploiement à grande distance est le premier déploiement d'un sous-marin indien en Australie et démontre la capacité et le sens professionnel de la marine indienne à entreprendre des opérations soutenues à grande distance du port de base pour des durées prolongées, selon le communiqué officiel.


Pendant son séjour en Australie, INS Vagir participera à divers exercices avec des unités de la Royal Australian Navy (RAN) sur la côte ouest de l'Australie.

Parallèlement, sur la côte est de l'Australie, les navires et aéronefs de la marine indienne participent à l'exercice Malabar entre le 11 et le 21 août et à l'exercice AUSINDEX entre le 22 et le 24 août.

Au cours du déploiement du Vagir, des exercices anti-sous-marins de niveau élémentaire, intermédiaire et avancé sont prévus. En outre, des sous-marins de la RAN et des avions P8i de la marine indienne devraient participer à des exercices avec l'INS Vagir. /deepl

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Ça va donner un avant-goût aux Australiens de progressivement se retrouver face à des marines de la région disposant de SSK modernes alors qu’ils seront toujours à lutter pour la dispo de leurs antiquités.

Vivement que l’Indonésie et les Philippines avancent aussi sur leurs projets d’acquisition (avec du Scorpène on l’espère)

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il y a 2 minutes, mudrets a dit :

a mon humble connaissance, leur 08773 (Kilo modernisés) n'ont jamais effectué un tel déploiement

en effet, c'est ce que confirme le communiqué de l'IN: "... Le déploiement à grande distance est le premier déploiement d'un sous-marin de l'IN en Australie" :wink:

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  • 3 weeks later...

La Marine Indienne réfléchit actuellement à la construction d'un deuxième porte-avions indigène.

D'après l'Amiral en chef Kumar, le projet actuel s'oriente vers la construction d'un deuxième porte-avions de classe Vikrant.

looking-for-another-indigenous-aircraft-carrier-navy-chief

La Marine Indienne semble avoir abandonné son projet de porte-avions CATOBAR pour se concentrer sur la fabrication d'un troisième PA STOBAR.

A suivre.

spacer.png

 

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Le 20/08/2023 à 11:38, Julien a dit :

Ça va donner un avant-goût aux Australiens de progressivement se retrouver face à des marines de la région disposant de SSK modernes

Ca va aussi leur montrer concrètement ce qu'auraient pu être des SSK Barracuda, en 2035. 

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il y a 9 minutes, Salverius a dit :

La Marine Indienne réfléchit actuellement à la construction d'un deuxième porte-avions indigène.

D'après l'Amiral en chef Kumar, le projet actuel s'oriente vers la construction d'un deuxième porte-avions de classe Vikrant.

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La Marine Indienne semble avoir abandonné son projet de porte-avions CATOBAR pour se concentrer sur la fabrication d'un troisième PA STOBAR.

A suivre.

spacer.png

 

Allez hop, 27 Rafale M de plus !

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Il y a 18 heures, R force a dit :

Allez hop, 27 Rafale M de plus !

Ils "réfléchissent" on te dit. Là bas c'est un exercice de pensée. Parce qu'il y a le temps de la réflexion, et on parle de temps indien. Avec tout ce que ça comporte de changement d'orientation.

Déjà que quand ils sont décidé ça prend du temps à se concrétiser, alors là...

Édit: et vu toutes les circonvolutions de nos politiques sur notre propre pa2 je leur ferai pas la leçon !

Modifié par bubzy
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Il y a 19 heures, R force a dit :

Allez hop, 27 Rafale M de plus !

L'objectif de la marine indienne est de ne pas commander de Rafale M supplémentaires mais  des TEBDF. C'est un biplace dérivé  du Tejas, il est  prévu pour entrer en service en 2032 (du moins en théorie).

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il y a 7 minutes, rasi a dit :

L'objectif de la marine indienne est de ne pas commander de Rafale M supplémentaires mais  des TEBDF. C'est un biplace dérivé  du Tejas, il est  prévu pour entrer en service en 2032 (du moins en théorie).

TEBDF dérivé du Tejas? 

A part le fait que tous deux ont des ailes, la filiation semble tout sauf évidente.

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