Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre Il y a 1 heure, JulietBravo a dit : Il n’y a que moi qui ne comprends pas cette partie ? Désolé si c’est un peu H.S…. Disons que c'est un raccourci saisissant! Ils ont voulu dire qu'on capte le CO2 en utilisant l'électricité des éoliennes 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 21 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 octobre (modifié) Présentation du Livre Blanc « Contribution de l’Intelligence Artificielle (IA) à une aéronautique pérenne » https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/actualites/presentation-du-livre-blanc-contribution-de-lintelligence-artificielle-ia-a-une-aeronautique-perenne/ Dassault Aviation et Thales ont organisé une matinée de présentation du Livre Blanc « Contribution de l’Intelligence Artificielle (IA) à une aéronautique pérenne » le jeudi 25 septembre, à Mérignac, avec le concours de l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria). (Mérignac, le 15/10/2025) – Dassault Aviation et Thales ont organisé une matinée de présentation du Livre Blanc « Contribution de l’Intelligence Artificielle (IA) à une aéronautique pérenne » le jeudi 25 septembre, à Mérignac, avec le concours de l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria). Ce Livre Blanc est l’aboutissement d’une initiative majeure lancée par le pôle Aerospace Valley, qui est solidement implanté en régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine. Le pôle est en effet à l’origine de la création et de l’animation du « Collectif IA pour l’aéronautique », dont les travaux ont permis de réaliser cet ouvrage. Ce document essentiel sert de boussole pour orienter l’avenir d’une aéronautique pérenne. Il détaille les leviers d’action et la contribution de l’Intelligence Artificielle (IA), un facteur d’innovation décisif pour le secteur, tant pour le présent que pour le futur. C’est donc naturellement que Dassault Aviation et Thales ont décidé d’accueillir en Nouvelle Aquitaine, chez Dassault Aviation, cette démonstration du dynamisme, de l’ouverture et des transformations de l’aéronautique et de l’IA en France. Pour les applications de l’IA, Dassault Aviation et Thales (et son accélérateur d’IA pour les systèmes critiques cortAIx) s’appuient sur de larges et nombreuses collaborations avec notamment : les pôles de compétitivité Aerospace Valley et Astech en régions Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Île-de-France, les IRT Saint-Exupéry et SystemX, les programmes d’IA nationaux ANITI et Confiance.AI, les instituts de recherche nationaux Inria, ONERA, CNRS, CEA, les acteurs de la normalisation et de la standardisation de l’IA (BNAE, EUROCAE, etc.), les acteurs institutionnels de l’aviation civile, l’AMIAD (Agence Ministérielle d’IA de Défense), la DGA et l’AID au Ministère des Armées. Les travaux de cet écosystème vont de la recherche scientifique et appliquée jusqu’à l’établissement des normes et standards, y compris de certification, en passant par les applications industrielles et quotidiennes de l’IA, en conformité avec les principes éthiques et règlements nationaux et européens (AI Act). La présentation du Livre Blanc « Contribution de l’Intelligence Artificielle (IA) à une aéronautique pérenne » a rassemblé une centaine d’invités le 25 septembre. Dassault Aviation, Thales, Inria, le pôle Aerospace Valley et le « Collectif IA pour l’aéronautique » ont animé les exposés et les échanges autour de cet ouvrage édité chez CEPADUES. Des représentants des principales instances institutionnelles, académiques et économiques régionales participaient à l’événement. Modifié le 21 octobre par Titus K 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/10/26/eric-trappier-pdg-de-combat-du-groupe-dassault_6649638_3234.html Si l'un de vous a un abonnement au monde Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. rasi Posté(e) il y a 22 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 22 heures il y a 19 minutes, Claudio Lopez a dit : https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/10/26/eric-trappier-pdg-de-combat-du-groupe-dassault_6649638_3234.html Révélation Eric Trappier, PDG de combat du groupe Dassault A la tête du fabricant du Rafale et de la holding familiale, l’héritier spirituel de Marcel et de Serge Dassault défend une souveraineté forte en matière de défense. Opposé à l’actuel projet d’avion de chasse franco-allemand, il assume les critiques. S’il fallait résumer Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, en un seul objet, ce serait le pin’s du Rafale bleu, blanc, rouge qu’il épingle au revers de sa veste. Derrière un petit côté démodé, parfaitement assumé, l’épinglette fait instantanément comprendre à son interlocuteur ce qui anime le dirigeant : la fierté de fabriquer des avions de chasse français et, par là même, de défendre ce qu’il considère comme les intérêts de la nation. Ces derniers mois, ce pin’s est devenu le symbole de la résistance d’Eric Trappier au Système de combat aérien du futur (SCAF), l’emblématique projet de défense lancé en 2017 par le président de la République, Emmanuel Macron, et par la chancelière allemande d’alors, Angela Merkel, sur lequel s’est ensuite greffée l’Espagne. Choisi, au côté des filiales allemande et espagnole d’Airbus, pour concevoir l’avion de chasse nouvelle génération, organe central du SCAF, Dassault menace de claquer la porte s’il n’est pas reconnu par Airbus comme le plus compétent, et désigné chef du programme. Querelle entre industriels, repli cocardier, complexe de supériorité, protection d’intérêts personnels, antigermanisme… Eric Trappier s’est attiré de multiples critiques. Lui n’y voit que le bon sens d’un fabricant d’avions. « Je ne dis pas que je ne veux pas du SCAF ni des Allemands ; on doit faire le SCAF si on veut une Europe compétitive et forte. Je dis simplement qu’il faut faire le choix de la compétence, et non pas d’une organisation industrielle faite par des politiques. Or nous sommes plus compétents dans l’aviation de combat en France qu’en Allemagne. Ce n’est donc pas moi qui casse le SCAF, mais ceux qui ne l’admettent pas », explique-t-il lorsque Le Monde le rencontre, lundi 20 octobre. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le projet franco-allemand d’avion de combat du futur plus menacé que jamais Des réunions entre les ministres de la défense français, allemand et espagnol sont attendues, en vue d’une décision avant la fin de l’année 2025. Mais si le SCAF devait échouer, Eric Trappier assure que Dassault saurait très bien faire tout seul un avion de combat nouvelle génération, comme il l’a fait autrefois avec le Rafale, « le meilleur avion au monde » et « meilleur que l’Eurofighter », l’avion construit par Airbus, le britannique BAE Systems et l’italien Leonardo : « Dit comme ça, c’est un peu brutal, mais c’est la réalité. » « Eric Trappier dit les choses telles qu’il les ressent. Cela l’expose à la critique, mais c’est louable », apprécie le sénateur (Territoire de Belfort, Les Républicains, LR) Cédric Perrin, président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat. « Ce n’est pas inutile d’avoir un dirigeant qui défend autant l’industrie française : cela rétablit de l’équilibre dans la relation franco-allemande et c’est une forme de réassurance pour les intérêts à long terme du pays », poursuit le député (Rhône, Ensemble) Thomas Gassilloud, membre de la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée. « Astérix plutôt que César » « Cela paraît un peu désuet pour certains, mais le patriotisme, ça existe. Et je pense qu’Eric est fondamentalement amoureux de son pays. C’est aussi l’ADN du groupe Dassault et de la famille, dont l’histoire est imbriquée avec celle de la France », explique Patrice Caine, PDG de Thales, qui n’a jamais eu à se plaindre du soutien de son actionnaire dans les moments importants. Dassault Aviation détient 26 % au capital de Thales depuis 2008. Depuis sa relance, après la seconde guerre mondiale, le groupe fondé par Marcel Bloch-Dassault (1892-1986) a fabriqué tous les avions de chasse de la France : Ouragan, Mystère, Etendard, Super-Etendard, Mirage, Rafale… Depuis l’entrée en service du Mirage-IV, en 1964, Dassault est aussi l’un des vecteurs de la dissuasion nucléaire. Pour Eric Trappier, admirateur du général de Gaulle, la résistance contre le SCAF s’inscrit dans cette lignée. « On a le devoir de continuer l’œuvre qui a été créée par Marcel Dassault, il y a plus de soixante-dix ans, et qui a servi les intérêts de la France, qui a développé une entreprise, qui a créé de l’emploi et des compétences. Et on ne peut pas accepter des coopérations qui seraient la négation complète de cette histoire », dramatise le dirigeant de 65 ans. Eric Trappier se dit « profondément européen » et rêve d’une « Europe puissante, qui arrive à développer des produits industriels pour ses propres besoins et pour le reste du monde, et qui arrive à faire l’Europe de la défense ». Mais, « depuis vingt ans, on ne progresse pas dans cette direction », car les décisions « sont liées quand même au système américain au travers de l’OTAN [l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord] ». Rien ne l’énerve plus que de voir des pays européens acheter des F-35 américains plutôt que des Rafale, comme la Belgique. « Je suis dans la position de ceux qui résistent aux Américains. J’en suis fier. Je préfère être Astérix que Jules César dans la BD », s’agace-t-il, en réponse à un conseiller du ministre de la défense belge, qui comparait, le 12 octobre, dans une tribune au quotidien De Standaard, Dassault à un « village gaulois entouré de Romains ». S’il ne porte pas le patronyme de la famille (tout comme son prédécesseur Charles Edelstenne, PDG entre 2000 et 2013), Eric Trappier, héritier spirituel de Marcel et de son fils Serge (1925-2018), est peut-être plus Dassault que certains de leurs descendants. Entré chez Dassault Aviation en 1984, à 24 ans, à sa sortie de Télécom SudParis, le Haut-Savoyard, fils d’une institutrice et d’un agent commercial chez Air France, y a fait toute sa carrière. D’abord au bureau d’études, puis, à partir de 1991, au commercial. Son premier coup d’éclat intervient en 1997, avec la vente de 30 Mirage 2000 aux Emirats arabes unis. Mais c’est en 2015 qu’il gagne ses galons de chef, en vendant le Rafale à l’Egypte. Treize ans après sa mise en service, l’avion « invendable », comme l’avait qualifié Le Monde dans les années 2000 (ce qui nourrit encore quelques rancœurs chez Dassault), s’ouvre enfin les portes de l’export. C’est un contrat existentiel pour le groupe, car les usines ne tenaient que grâce aux commandes de Rafale de la France, donc grâce à l’argent du contribuable. En 2013, le Sénat avait évalué à 45,9 milliards d’euros le coût total du programme pour les finances publiques. « Composante de la nation » Depuis, les ventes à l’export ont un peu équilibré la balance. Après l’Egypte, sept autres pays étrangers ont acheté le Rafale (Qatar, Inde, Grèce, Croatie, Emirats arabes unis, Indonésie et Serbie). Au total, avec les commandes de la France, Dassault a vendu 533 Rafale, dont 323 à l’export. Pour un prix moyen estimé à 75 millions d’euros, il aurait donc rapporté plus de 25 milliards d’euros à la balance commerciale française. Les 233 avions encore à livrer représentent environ cinq années de travail pour les 10 000 salariés de ses usines françaises. Ce succès forge l’autorité d’Eric Trappier sur Dassault Aviation et sur la famille. En 2024, après une lutte avec Bernard Charlès, le PDG de Dassault Systèmes, autre succès industriel des Dassault, c’est lui que les héritiers choisissent pour succéder au « Che » Charles Edelstenne à la tête de la holding Groupe industriel Marcel Dassault (GIMD). Outre le fabricant d’avions et l’éditeur de logiciels, GIMD contrôle la société d’enchères Artcurial et, surtout, Le Figaro, outil d’influence puissant auprès des politiques et du monde des affaires. « M. Rafale » devient le nouveau « Che ». Lire aussi le récit | Article réservé à nos abonnés Eric Trappier, le « M. Rafale » de Dassault, prend les commandes du groupe « Quand je produis le Rafale, je fais travailler un écosystème reposant sur plus de 400 entreprises, grands groupes, ETI [entreprises de taille intermédiaire] et PME [petites et moyennes entreprises] en France. Tous nos salariés sont en France. C’est une fierté. Nous ne sommes pas l’Etat, mais on est une composante de la nation », souligne Eric Trappier, qui est aussi, depuis 2021, président de l’UIMM, la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie. « La présence de Dassault au capital de Thales, lui-même actionnaire du fabricant de sous-marins et de frégates Naval Group, renforce aussi son poids, car, en alignant ces trois entreprises, vous avez pratiquement la moitié du chiffre d’affaires de l’industrie de défense française », ajoute Renaud Bellais, codirecteur de l’Observatoire de la défense à la Fondation Jean Jaurès. Résultat : quand Eric Trappier parle, on l’écoute. On tremble même parfois devant sa liberté de parole. « Quand l’Allemagne vous dit “on va exclure les Français [du SCAF]”, ça ne vous fait rien, vous, les politiques français ? L’Allemagne va exclure les Français d’un projet de développement d’avions de combat, tout ça parce que Dassault dit qu’il aimerait avoir les clés pour piloter et, c’est bizarre, vous ne réagissez pas », lance le PDG, le 24 septembre, devant les députés de la commission des affaires économiques, médusés. Rares sont les patrons à oser secouer ainsi des députés. « Un ADN social » Autre fait rare, c’est Sébastien Lecornu, alors ministre des armées, qui s’est déplacé, le 14 mai, à l’hôtel particulier des Dassault, au rond-point des Champs-Elysées, pour décorer Eric Trappier de la médaille de commandeur de la Légion d’honneur, devant 300 invités. « Tout le cœur battant de la galaxie Dassault était présent », s’enflamme Le Figaro en relatant l’événement : chefs d’état-major, officiers généraux, mais aussi huit ministres, dont Rachida Dati, Gérald Darmanin et Eric Lombard, l’ancien ministre des armées Jean-Yves Le Drian, des chefs d’entreprise, dont Vincent Bolloré et son fils Yannick, et des politiques, la plupart de droite, comme Eric Ciotti, François-Xavier Bellamy, Jean-François Copé ou Gérard Longuet. La souveraineté, ça parle bien à la droite et à l’extrême droite. « Le courant est bien passé », reconnaît le député (Var, Rassemblement national, RN) Frank Giletti, rapporteur pour le budget de l’armée de l’air et de l’espace, qui a rencontré Eric Trappier après son entrée au Palais-Bourbon, en 2022. Les deux hommes déjeunent parfois ensemble à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), siège de Dassault Aviation. Il était aussi à la soirée de décoration du PDG de Dassault. Lire aussi la chronique (2024) | Article réservé à nos abonnés Rafale : « Comme tout industriel aiguillonné par l’envolée des budgets militaires, Dassault Aviation monte en cadence » En mai 2024, Le Nouvel Obs avait révélé la rencontre entre Eric Trappier et la direction du RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella. « Je ne me cache pas d’avoir des contacts avec le RN. Mais il est juste de dire aussi que j’ai été reçu à l’Assemblée par la présidente de la commission des affaires économiques, Aurélie Trouvé, qui est LFI [La France insoumise] », rétorque l’intéressé. Et puis, poursuit-il, « Marcel Dassault avant la guerre est un radical-socialiste. Fondamentalement, cet ADN social est en nous. C’est pour répondre à ceux qui disent qu’on parle avec Bardella, c’est scandaleux. On sait d’où on vient ! » La politique, Eric Trappier laisse cela aux Dassault – Marcel, son petit-fils Olivier et son petit-fils Victor ont été députés de droite dans leur fief de l’Oise, Serge était sénateur de l’Essonne –, mais, « en tant que chef d’entreprise, [il] se me doi[t] de parler à tout le monde », insiste-t-il. Jusqu’à déjeuner avec Jean-Luc Mélenchon ? « Pourquoi voulez-vous qu’on se l’interdise ? » Ça tombe bien, le chef des « insoumis » a apporté, le 25 septembre sur X, son « soutien à Dassault » dans le dossier du SCAF, en affirmant la « priorité à l’indépendance et à la souveraineté pour se défendre ». 2 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures Extrait : Treize ans après sa mise en service, l’avion « invendable » (ça parle du Rafale), comme l’avait qualifié Le Monde dans les années 2000 (ce qui nourrit encore quelques rancœurs chez Dassault), s’ouvre enfin les portes de l’export. C’est un contrat existentiel pour le groupe, car les usines ne tenaient que grâce aux commandes de Rafale de la France, donc grâce à l’argent du contribuable. En 2013, le Sénat avait évalué à 45,9 milliards d’euros le coût total du programme pour les finances publiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) il y a 20 heures Share Posté(e) il y a 20 heures Il y a 1 heure, gargouille a dit : Extrait : Treize ans après sa mise en service, l’avion « invendable » (ça parle du Rafale), comme l’avait qualifié Le Monde dans les années 2000 (ce qui nourrit encore quelques rancœurs chez Dassault), s’ouvre enfin les portes de l’export. C’est un contrat existentiel pour le groupe, car les usines ne tenaient que grâce aux commandes de Rafale de la France, donc grâce à l’argent du contribuable. En 2013, le Sénat avait évalué à 45,9 milliards d’euros le coût total du programme pour les finances publiques. Le Monde devenu un journal d' "investigation" autrement dit fouille-merde ! Cela se retourne contre Le Monde aujourd'hui sur le cas de DA, mais cette forme de journalisme n'aura pas eu que des "vertus" démocratiques ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures Il y a 2 heures, gargouille a dit : Extrait : Treize ans après sa mise en service, l’avion « invendable » (ça parle du Rafale), comme l’avait qualifié Le Monde dans les années 2000 (ce qui nourrit encore quelques rancœurs chez Dassault), s’ouvre enfin les portes de l’export. C’est un contrat existentiel pour le groupe, car les usines ne tenaient que grâce aux commandes de Rafale de la France, donc grâce à l’argent du contribuable. En 2013, le Sénat avait évalué à 45,9 milliards d’euros le coût total du programme pour les finances publiques. il y a 52 minutes, Bechar06 a dit : Le Monde devenu un journal d' "investigation" autrement dit fouille-merde ! Cela se retourne contre Le Monde aujourd'hui sur le cas de DA, mais cette forme de journalisme n'aura pas eu que des "vertus" démocratiques ... Et c'est parfaitement vrai, ou est le problème à part une vexation de patriote ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures il y a une heure, Bechar06 a dit : Le Monde devenu un journal d' "investigation" autrement dit fouille-merde ! Cela se retourne contre Le Monde aujourd'hui sur le cas de DA, mais cette forme de journalisme n'aura pas eu que des "vertus" démocratiques ... "Depuis, les ventes à l’export ont un peu équilibré la balance. Après l’Egypte, sept autres pays étrangers ont acheté le Rafale (Qatar, Inde, Grèce, Croatie, Emirats arabes unis, Indonésie et Serbie).... il aurait donc rapporté plus de 25 milliards" --> Bon si il avait vraiment regardé les contrats il aurait pu fait un x2 sur la balance commerciale. Les 233 avions encore à livrer représentent environ cinq années de travail pour les 10 000 salariés de ses usines françaises --> je savais pas que Dassault étais déjà à plus de 4 Rafale par mois!!! Quand tu fait de l'investigation même si c'est a charge, faut au moins faire l'effort de présenter de chiffres corrects... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures Tu as raison, l article se dispense de prendre de la hauteur, par exemple en parlant de la dépendance techno et donc politique des clients des autres avions de combat ( EF, F-35 ) par exemple avec l impératif absolu d une dissuasion souveraine... Tout cela ils ne savent pas le faire... ou ne veulent pas le faire Je considère donc Le Monde comme anti-français tout simplement ... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures il y a 22 minutes, clem200 a dit : Et c'est parfaitement vrai, ou est le problème à part une vexation de patriote ? - oui DA ne produisait que des Rafale pour la France mais bon aucun constructeurs d'arme ne peut vivre sans commande du pays - que je sache la France n'a jamais augmenter la cible rafale pour aider Dassault (par contre elle l'a longtemps réduite au fil des LPM). - Après ce n'est pas Dassault qui est responsable des exports du Rafale, si la France voulaient recevoir les Rafale moins vite que prévu elle aurait du mieux vendre le Rafale pour combler (cf Maroc) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) il y a 17 heures Share Posté(e) il y a 17 heures Ils oublient l’aviation d'affaire et même si on me dira que c'est un peu séparé, Dassault système. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. elannion Posté(e) il y a 14 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 14 heures Il y a 5 heures, clem200 a dit : Et c'est parfaitement vrai, ou est le problème à part une vexation de patriote ? c'est juste complètement faux mais bon.. Dassault tenait extrêmement bien par la vente des falcons qui alors fonctionnait hyper bien.. C'est dingue que sur un forum comme celui ci on doive rappeler la particularité de Dassault qui développe et construit des avions pour le marché civile et pour l'armée lui donnant une souplesse énorme quand un des marchés va un peu moins bien.. Et ça aurait été intéressant de donner certaines des raisons des difficultés du rafale à être vendu non? Notamment les pressions US qui avaient comme mot d'ordre pendant un certain temps " tout sauf Rafale". Ensuite si on considère que le rafale F3 est réellement la première version aboutie de l'avion. Il n'aura fallu qu'un peu plus de 5 ans pour décrocher le premier contrat. A peine suffisant pour parler de retard à l'allumage.. Corée du Sud ? Pression US Pays bas ? compétition pipeauté (admis par les néerlandais eux mêmes quelques années plus tard) Singapour ? Euro beaucoup trop fort par rapport au dollar qui entraînait mécaniquement une hausse automatique de près de 30% du rafale. la Suisse, lors de la première compétition ? Une victoire éclatante qui a eu le mérite de remettre l'Eglise au milieu du village en démontrant que le rafale n'est pas seulement un excellent avion mais qu'il n'avait aucun équivalent à l'époque. L'Inde, en 2012 ? victoire mais demandes irréalisables des indiens le seul échec c'est le Maroc en 2006 où il y a eu un mic mac entre Dassault et l'état. Et là encore cela peut être moduler car de mémoire (si certain peuvent confirmer ou infirmer) le Maroc demandait l'abandon de certaines de ses dettes envers la France en échange du contrat.. Il n' y a aucune vexation patriote. Par contre un article biaisé et qui reprend sans vergogne le narratif faux (et pour reprendre tes propos anti patriotiques donc) qui avait cours grosso modo entre 2005 et 2012. On ne le répètera jamais assez mais un mensonge répété 1000 fois pendant 20 ans reste un mensonge. 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures il y a 36 minutes, elannion a dit : le seul échec c'est le Maroc en 2006 où il y a eu un mic mac entre Dassault et l'état. Et là encore cela peut être moduler car de mémoire (si certain peuvent confirmer ou infirmer) le Maroc demandait l'abandon de certaines de ses dettes envers la France en échange du contrat.. Et le Brésil... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 12 heures Share Posté(e) il y a 12 heures (modifié) Il y a 10 heures, rasi a dit : Masquer le contenu Eric Trappier, PDG de combat du groupe Dassault A la tête du fabricant du Rafale et de la holding familiale, l’héritier spirituel de Marcel et de Serge Dassault défend une souveraineté forte en matière de défense. Opposé à l’actuel projet d’avion de chasse franco-allemand, il assume les critiques. S’il fallait résumer Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, en un seul objet, ce serait le pin’s du Rafale bleu, blanc, rouge qu’il épingle au revers de sa veste. Derrière un petit côté démodé, parfaitement assumé, l’épinglette fait instantanément comprendre à son interlocuteur ce qui anime le dirigeant : la fierté de fabriquer des avions de chasse français et, par là même, de défendre ce qu’il considère comme les intérêts de la nation. Ces derniers mois, ce pin’s est devenu le symbole de la résistance d’Eric Trappier au Système de combat aérien du futur (SCAF), l’emblématique projet de défense lancé en 2017 par le président de la République, Emmanuel Macron, et par la chancelière allemande d’alors, Angela Merkel, sur lequel s’est ensuite greffée l’Espagne. Choisi, au côté des filiales allemande et espagnole d’Airbus, pour concevoir l’avion de chasse nouvelle génération, organe central du SCAF, Dassault menace de claquer la porte s’il n’est pas reconnu par Airbus comme le plus compétent, et désigné chef du programme. Querelle entre industriels, repli cocardier, complexe de supériorité, protection d’intérêts personnels, antigermanisme… Eric Trappier s’est attiré de multiples critiques. Lui n’y voit que le bon sens d’un fabricant d’avions. « Je ne dis pas que je ne veux pas du SCAF ni des Allemands ; on doit faire le SCAF si on veut une Europe compétitive et forte. Je dis simplement qu’il faut faire le choix de la compétence, et non pas d’une organisation industrielle faite par des politiques. Or nous sommes plus compétents dans l’aviation de combat en France qu’en Allemagne. Ce n’est donc pas moi qui casse le SCAF, mais ceux qui ne l’admettent pas », explique-t-il lorsque Le Monde le rencontre, lundi 20 octobre. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le projet franco-allemand d’avion de combat du futur plus menacé que jamais Des réunions entre les ministres de la défense français, allemand et espagnol sont attendues, en vue d’une décision avant la fin de l’année 2025. Mais si le SCAF devait échouer, Eric Trappier assure que Dassault saurait très bien faire tout seul un avion de combat nouvelle génération, comme il l’a fait autrefois avec le Rafale, « le meilleur avion au monde » et « meilleur que l’Eurofighter », l’avion construit par Airbus, le britannique BAE Systems et l’italien Leonardo : « Dit comme ça, c’est un peu brutal, mais c’est la réalité. » « Eric Trappier dit les choses telles qu’il les ressent. Cela l’expose à la critique, mais c’est louable », apprécie le sénateur (Territoire de Belfort, Les Républicains, LR) Cédric Perrin, président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat. « Ce n’est pas inutile d’avoir un dirigeant qui défend autant l’industrie française : cela rétablit de l’équilibre dans la relation franco-allemande et c’est une forme de réassurance pour les intérêts à long terme du pays », poursuit le député (Rhône, Ensemble) Thomas Gassilloud, membre de la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée. « Astérix plutôt que César » « Cela paraît un peu désuet pour certains, mais le patriotisme, ça existe. Et je pense qu’Eric est fondamentalement amoureux de son pays. C’est aussi l’ADN du groupe Dassault et de la famille, dont l’histoire est imbriquée avec celle de la France », explique Patrice Caine, PDG de Thales, qui n’a jamais eu à se plaindre du soutien de son actionnaire dans les moments importants. Dassault Aviation détient 26 % au capital de Thales depuis 2008. Depuis sa relance, après la seconde guerre mondiale, le groupe fondé par Marcel Bloch-Dassault (1892-1986) a fabriqué tous les avions de chasse de la France : Ouragan, Mystère, Etendard, Super-Etendard, Mirage, Rafale… Depuis l’entrée en service du Mirage-IV, en 1964, Dassault est aussi l’un des vecteurs de la dissuasion nucléaire. Pour Eric Trappier, admirateur du général de Gaulle, la résistance contre le SCAF s’inscrit dans cette lignée. « On a le devoir de continuer l’œuvre qui a été créée par Marcel Dassault, il y a plus de soixante-dix ans, et qui a servi les intérêts de la France, qui a développé une entreprise, qui a créé de l’emploi et des compétences. Et on ne peut pas accepter des coopérations qui seraient la négation complète de cette histoire », dramatise le dirigeant de 65 ans. Eric Trappier se dit « profondément européen » et rêve d’une « Europe puissante, qui arrive à développer des produits industriels pour ses propres besoins et pour le reste du monde, et qui arrive à faire l’Europe de la défense ». Mais, « depuis vingt ans, on ne progresse pas dans cette direction », car les décisions « sont liées quand même au système américain au travers de l’OTAN [l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord] ». Rien ne l’énerve plus que de voir des pays européens acheter des F-35 américains plutôt que des Rafale, comme la Belgique. « Je suis dans la position de ceux qui résistent aux Américains. J’en suis fier. Je préfère être Astérix que Jules César dans la BD », s’agace-t-il, en réponse à un conseiller du ministre de la défense belge, qui comparait, le 12 octobre, dans une tribune au quotidien De Standaard, Dassault à un « village gaulois entouré de Romains ». S’il ne porte pas le patronyme de la famille (tout comme son prédécesseur Charles Edelstenne, PDG entre 2000 et 2013), Eric Trappier, héritier spirituel de Marcel et de son fils Serge (1925-2018), est peut-être plus Dassault que certains de leurs descendants. Entré chez Dassault Aviation en 1984, à 24 ans, à sa sortie de Télécom SudParis, le Haut-Savoyard, fils d’une institutrice et d’un agent commercial chez Air France, y a fait toute sa carrière. D’abord au bureau d’études, puis, à partir de 1991, au commercial. Son premier coup d’éclat intervient en 1997, avec la vente de 30 Mirage 2000 aux Emirats arabes unis. Mais c’est en 2015 qu’il gagne ses galons de chef, en vendant le Rafale à l’Egypte. Treize ans après sa mise en service, l’avion « invendable », comme l’avait qualifié Le Monde dans les années 2000 (ce qui nourrit encore quelques rancœurs chez Dassault), s’ouvre enfin les portes de l’export. C’est un contrat existentiel pour le groupe, car les usines ne tenaient que grâce aux commandes de Rafale de la France, donc grâce à l’argent du contribuable. En 2013, le Sénat avait évalué à 45,9 milliards d’euros le coût total du programme pour les finances publiques. « Composante de la nation » Depuis, les ventes à l’export ont un peu équilibré la balance. Après l’Egypte, sept autres pays étrangers ont acheté le Rafale (Qatar, Inde, Grèce, Croatie, Emirats arabes unis, Indonésie et Serbie). Au total, avec les commandes de la France, Dassault a vendu 533 Rafale, dont 323 à l’export. Pour un prix moyen estimé à 75 millions d’euros, il aurait donc rapporté plus de 25 milliards d’euros à la balance commerciale française. Les 233 avions encore à livrer représentent environ cinq années de travail pour les 10 000 salariés de ses usines françaises. Ce succès forge l’autorité d’Eric Trappier sur Dassault Aviation et sur la famille. En 2024, après une lutte avec Bernard Charlès, le PDG de Dassault Systèmes, autre succès industriel des Dassault, c’est lui que les héritiers choisissent pour succéder au « Che » Charles Edelstenne à la tête de la holding Groupe industriel Marcel Dassault (GIMD). Outre le fabricant d’avions et l’éditeur de logiciels, GIMD contrôle la société d’enchères Artcurial et, surtout, Le Figaro, outil d’influence puissant auprès des politiques et du monde des affaires. « M. Rafale » devient le nouveau « Che ». Lire aussi le récit | Article réservé à nos abonnés Eric Trappier, le « M. Rafale » de Dassault, prend les commandes du groupe « Quand je produis le Rafale, je fais travailler un écosystème reposant sur plus de 400 entreprises, grands groupes, ETI [entreprises de taille intermédiaire] et PME [petites et moyennes entreprises] en France. Tous nos salariés sont en France. C’est une fierté. Nous ne sommes pas l’Etat, mais on est une composante de la nation », souligne Eric Trappier, qui est aussi, depuis 2021, président de l’UIMM, la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie. « La présence de Dassault au capital de Thales, lui-même actionnaire du fabricant de sous-marins et de frégates Naval Group, renforce aussi son poids, car, en alignant ces trois entreprises, vous avez pratiquement la moitié du chiffre d’affaires de l’industrie de défense française », ajoute Renaud Bellais, codirecteur de l’Observatoire de la défense à la Fondation Jean Jaurès. Résultat : quand Eric Trappier parle, on l’écoute. On tremble même parfois devant sa liberté de parole. « Quand l’Allemagne vous dit “on va exclure les Français [du SCAF]”, ça ne vous fait rien, vous, les politiques français ? L’Allemagne va exclure les Français d’un projet de développement d’avions de combat, tout ça parce que Dassault dit qu’il aimerait avoir les clés pour piloter et, c’est bizarre, vous ne réagissez pas », lance le PDG, le 24 septembre, devant les députés de la commission des affaires économiques, médusés. Rares sont les patrons à oser secouer ainsi des députés. « Un ADN social » Autre fait rare, c’est Sébastien Lecornu, alors ministre des armées, qui s’est déplacé, le 14 mai, à l’hôtel particulier des Dassault, au rond-point des Champs-Elysées, pour décorer Eric Trappier de la médaille de commandeur de la Légion d’honneur, devant 300 invités. « Tout le cœur battant de la galaxie Dassault était présent », s’enflamme Le Figaro en relatant l’événement : chefs d’état-major, officiers généraux, mais aussi huit ministres, dont Rachida Dati, Gérald Darmanin et Eric Lombard, l’ancien ministre des armées Jean-Yves Le Drian, des chefs d’entreprise, dont Vincent Bolloré et son fils Yannick, et des politiques, la plupart de droite, comme Eric Ciotti, François-Xavier Bellamy, Jean-François Copé ou Gérard Longuet. La souveraineté, ça parle bien à la droite et à l’extrême droite. « Le courant est bien passé », reconnaît le député (Var, Rassemblement national, RN) Frank Giletti, rapporteur pour le budget de l’armée de l’air et de l’espace, qui a rencontré Eric Trappier après son entrée au Palais-Bourbon, en 2022. Les deux hommes déjeunent parfois ensemble à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), siège de Dassault Aviation. Il était aussi à la soirée de décoration du PDG de Dassault. Lire aussi la chronique (2024) | Article réservé à nos abonnés Rafale : « Comme tout industriel aiguillonné par l’envolée des budgets militaires, Dassault Aviation monte en cadence » En mai 2024, Le Nouvel Obs avait révélé la rencontre entre Eric Trappier et la direction du RN, Marine Le Pen et Jordan Bardella. « Je ne me cache pas d’avoir des contacts avec le RN. Mais il est juste de dire aussi que j’ai été reçu à l’Assemblée par la présidente de la commission des affaires économiques, Aurélie Trouvé, qui est LFI [La France insoumise] », rétorque l’intéressé. Et puis, poursuit-il, « Marcel Dassault avant la guerre est un radical-socialiste. Fondamentalement, cet ADN social est en nous. C’est pour répondre à ceux qui disent qu’on parle avec Bardella, c’est scandaleux. On sait d’où on vient ! » La politique, Eric Trappier laisse cela aux Dassault – Marcel, son petit-fils Olivier et son petit-fils Victor ont été députés de droite dans leur fief de l’Oise, Serge était sénateur de l’Essonne –, mais, « en tant que chef d’entreprise, [il] se me doi[t] de parler à tout le monde », insiste-t-il. Jusqu’à déjeuner avec Jean-Luc Mélenchon ? « Pourquoi voulez-vous qu’on se l’interdise ? » Ça tombe bien, le chef des « insoumis » a apporté, le 25 septembre sur X, son « soutien à Dassault » dans le dossier du SCAF, en affirmant la « priorité à l’indépendance et à la souveraineté pour se défendre ». Merci. Beaucoup de choses fausses sur Trappier présenté comme "anti-FCAS" ce qu'il n'est pas (malheureusement). En 2018 il était même l'un des seuls à y croire au sein du conseil d'administration... Par contre il défend son entreprise contre des "partenaires" qui se sont transformés en sangsues, ça c'est clair et net. Il y a 7 heures, emixam a dit : "Depuis, les ventes à l’export ont un peu équilibré la balance. Après l’Egypte, sept autres pays étrangers ont acheté le Rafale (Qatar, Inde, Grèce, Croatie, Emirats arabes unis, Indonésie et Serbie).... il aurait donc rapporté plus de 25 milliards" --> Bon si il avait vraiment regardé les contrats il aurait pu fait un x2 sur la balance commerciale. Les 233 avions encore à livrer représentent environ cinq années de travail pour les 10 000 salariés de ses usines françaises --> je savais pas que Dassault étais déjà à plus de 4 Rafale par mois!!! Quand tu fait de l'investigation même si c'est a charge, faut au moins faire l'effort de présenter de chiffres corrects... Oui. En plus ils n'ont pas pris en compte l'inflation depuis 2005. C'est pour ça que quand ils nous balancent un Rafale à "70" millions pièce... S'il était à ce prix là on en aurait vendu beaucoup plus. Il y a 1 heure, elannion a dit : c'est juste complètement faux mais bon.. Dassault tenait extrêmement bien par la vente des falcons qui alors fonctionnait hyper bien.. C'est dingue que sur un forum comme celui ci on doive rappeler la particularité de Dassault qui développe et construit des avions pour le marché civile et pour l'armée lui donnant une souplesse énorme quand un des marchés va un peu moins bien.. Et ça aurait été intéressant de donner certaines des raisons des difficultés du rafale à être vendu non? Notamment les pressions US qui avaient comme mot d'ordre pendant un certain temps " tout sauf Rafale". Ensuite si on considère que le rafale F3 est réellement la première version aboutie de l'avion. Il n'aura fallu qu'un peu plus de 5 ans pour décrocher le premier contrat. A peine suffisant pour parler de retard à l'allumage.. Corée du Sud ? Pression US Pays bas ? compétition pipeauté (admis par les néerlandais eux mêmes quelques années plus tard) Singapour ? Euro beaucoup trop fort par rapport au dollar qui entraînait mécaniquement une hausse automatique de près de 30% du rafale. la Suisse, lors de la première compétition ? Une victoire éclatante qui a eu le mérite de remettre l'Eglise au milieu du village en démontrant que le rafale n'est pas seulement un excellent avion mais qu'il n'avait aucun équivalent à l'époque. L'Inde, en 2012 ? victoire mais demandes irréalisables des indiens le seul échec c'est le Maroc en 2006 où il y a eu un mic mac entre Dassault et l'état. Et là encore cela peut être moduler car de mémoire (si certain peuvent confirmer ou infirmer) le Maroc demandait l'abandon de certaines de ses dettes envers la France en échange du contrat.. Il n' y a aucune vexation patriote. Par contre un article biaisé et qui reprend sans vergogne le narratif faux (et pour reprendre tes propos anti patriotiques donc) qui avait cours grosso modo entre 2005 et 2012. On ne le répètera jamais assez mais un mensonge répété 1000 fois pendant 20 ans reste un mensonge. Tu oublies le Brésil où sarkozy a réussi à mettre Lula dans la mouise avec des déclarations péremptoires. Modifié il y a 12 heures par Patrick Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures (modifié) Il y a 8 heures, elannion a dit : c'est juste complètement faux mais bon.. Dassault tenait extrêmement bien par la vente des falcons qui alors fonctionnait hyper bien.. C'est dingue que sur un forum comme celui ci on doive rappeler la particularité de Dassault qui développe et construit des avions pour le marché civile et pour l'armée lui donnant une souplesse énorme quand un des marchés va un peu moins bien.. Et ça aurait été intéressant de donner certaines des raisons des difficultés du rafale à être vendu non? Non, ce n'est pas l'objectif de l'article. Déjà ils font un, léger, mea culpa et assume leur propos d'il y a 20 ans, c'est bien. Et là suite des infos que tu donnes on dirait moi à 8 ans quand j'essaye de justifier mon 10/20 en dictée Les concurrents nous font concurrences, c'est pas un argument ... L'avion n'était pas abouti avant le F3 ? C'est seulement notre faute ... La politique est importante dans ce genre de vente ? Oui, comme depuis 70 ans. On peut dire que l'article est légèrement orienté certes mais tout ce qu'ils disent est parfaitement vrai. Disons qu'il aurait pu préciser qu'il est parfaitement normal et sain que Dassaut dépende des commandes nationales. Les ventes, c'est censé être un bonus. Pour moi tu ne fais que confirmer qu'il s'agit d'une vexation Je vais m'écarter du sujet avant les lancés de pierre ^^ Modifié il y a 5 heures par clem200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures (modifié) Il y a 15 heures, emixam a dit : Les 233 avions encore à livrer représentent environ cinq années de travail pour les 10 000 salariés de ses usines françaises --> je savais pas que Dassault étais déjà à plus de 4 Rafale par mois!!! Tu chipotes un peu, la cadence quatre est déjà annoncée en amont de la ligne d’assemblage final et effectivement ça représente un peu plus de cinq ans de production pour 233 avions. L’article est orienté selon la ligne éditoriale du monde, mais de là à dire que les chiffres sont faux, tu exagères un petit peu… Modifié il y a 4 heures par Teenytoon 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures (modifié) Il y a 1 heure, Teenytoon a dit : Tu chipotes un peu, la cadence quatre est déjà annoncée en amont de la ligne d’assemblage final et effectivement ça représente un peu plus de cinq ans de production pour 233 avions. L’article est orienté selon la ligne éditoriale deux monde, mais de là à dire que les chiffres sont faux, tu exagères un petit peu… Ben déjà dire les exports Rafale représente 25 milliards... c'est très loin du compte. Quand on est a moins de la moitié du vrai total c'est plus une erreur c'est de la fausse information. Quand à la ligne de production, avec les commandes actuelles la chaine de production ne s'arrêtera pas en 2030 comme suggéré, même si la cadence 4 est actée sans nouvelle commande Dassault réduira a nouveau la cadence pour au moins faire durée jusqu'à 2032-2033. Donc on est plus sur 7-8 ans que 5. Encore une fois les chiffres sont faux. Je trouve ça scandaleux qu'un journal publie de telles erreurs, on ne parle pas de Maxime qui écrit une erreur (dans un message ecrit dans le metro ou a la pose café au taf) sur un forum de passionnés, on parle d'un journal avec une certaine crédibilité, d'articles qui sont sensé etre relus. Même si une ligne éditoriale est orienté et qu'un article est a charge, ça ne me dérange pas car les journaux sont tous orienté d'un côté ou de l'autre de l'échiquier politique et quand on achete un journal on le sait, ce qui me dérange c'est quand l'opinion est appuyée par des fait/arguments faux. La ils disent "ca a coûté 46 milliards et les export on un peu équilibré en rapportant 25 milliards." Si ils avaient mis les vrais chiffres ils auraient dû écrire "les exports ont largement dépassé le coût du programme en rapportant plus de 55 milliards...." Une petite différence quand même. Modifié il y a 4 heures par emixam 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures (modifié) Encore une fois vous exagérez tout. Le journal ne parle pas de fermeture de ligne en 2030. Il dit juste que pour produire 233 avions ça va prendre entre 5 et 6 ans. Et oui clairement s'il n'y a pas d'autres commandes, il n'y a pas trop de visibilité après 2031 ou 2032. Maintenant, on sait tous que au moins la France repassera des commandes, mais ce n'est pas le sujet du paragraphe cité. Je pense que vous lisez cet article avec un a priori à charge. Moi j'y vois plutôt une sorte de mea culpa. Pour ce qui est du bénéfice réel du programme, d'une part personne n'en a connaissance ou alors je veux bien avoir des sources et d'autre part, que en réalité ce soit 25, 50 ou 75 milliards d'euros, le lecteur moyen du monde retiendra de toute façon que le programme a finalement été bénéficiaire et pas qu'un peu. Modifié il y a 3 heures par Teenytoon 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Il y a 14 heures, gargouille a dit : Ils oublient l’aviation d'affaire et même si on me dira que c'est un peu séparé, Dassault système. Ce n'est pas un oublie, c'est juste pas le sujet de l'article 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Il y a 15 heures, emixam a dit : "Depuis, les ventes à l’export ont un peu équilibré la balance. Après l’Egypte, sept autres pays étrangers ont acheté le Rafale (Qatar, Inde, Grèce, Croatie, Emirats arabes unis, Indonésie et Serbie).... il aurait donc rapporté plus de 25 milliards" --> Bon si il avait vraiment regardé les contrats il aurait pu fait un x2 sur la balance commerciale. Tu en es si sur ? Ils parlent uniquement de l'avion la Une estimation à 75 millions d'euros par avion me semble très crédible. Tu penses qu'un Rafale complètement nue coûte 150 millions d'euros ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures (modifié) il y a 4 minutes, clem200 a dit : Tu en es si sur ? Ils parlent uniquement de l'avion la Une estimation à 75 millions d'euros par avion me semble très crédible. Tu penses qu'un Rafale complètement nue coûte 150 millions d'euros ? Je suis d'accord, l'article ne parle que de l'avion, il ne parle pas des armements ni de l'aménagement des bases ni de la formation ni de tout ce qui entoure l'écosystème rafale et on s'est tous justement sur ce forum de passionné que ce qui fait les gros montants des contrats c'est autant tout ça que la machine toute seule. Maintenant je ne compte pas vous réconcilier avec le Monde(ni avec les Allemands ) mais il faut quand même prendre cet article pour ce qu'il est, une reconnaissance de la réussite du Rafale par un journal qui le dénigrait totalement il y a 10 ans. Modifié il y a 3 heures par Teenytoon 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 7 minutes, clem200 a dit : Ce n'est pas un oublie, c'est juste pas le sujet de l'article Si, il sous entend que sans l'argent des français le boite fermait. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures (modifié) il y a 5 minutes, gargouille a dit : Si, il sous entend que sans l'argent des français le boite fermait. En même temps, trappier dit lui-même qu'en période de disette civile c'est le militaire qui permet de continuer à vivre. Et inversement. Maintenant oui ce n'est pas non plus du sponsoring puisqu'il y a un produit livrés indispensable aux armées. La France ne fait pas du mécénat avec Dassault. Modifié il y a 3 heures par Teenytoon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 1 minute, clem200 a dit : Tu en es si sur ? Ils parlent uniquement de l'avion la Une estimation à 75 millions d'euros par avion me semble très crédible. Tu penses qu'un Rafale complètement nue coûte 150 millions d'euros ? 75 millions c'était le coût de production d'après une commission sénatorial en 2014. Déjà rien que l'inflation (20% minimum) et les améliorations apporter font grimper les prix, ensuite Dassault vend en export avec un bénéfice (ne serait ce que pour se rembourser des 25% de frais de développement payé par les industriels). Et parler juste de l'avion nu est malhonnête car on ne vent jamais des avions nus. A ce compte autant aller au bout de la logique et dire que ça rapporte 13 milliards -> Ben oui Dassault c'est 55% du Rafale car le reste c'est pas Dassault c'est Safran et Thales... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures (modifié) Est-ce que c'est Dassault qui vend ce qui va autour de l'avion nu ? Est-ce que vous prenez en compte les compensations dans la balance commerciale ? Le sujet est complexe tout le monde le sait, vous tombez sur un article généraliste et vous attendez une enquête fouillée ? C'est clairement pas le cahier des charges du journaliste, il a fait du généraliste avec les infos et le temps qu'il avait pour pondre son article. Tant que les infos remontées tiennent globalement la route il a fait son job pour Mr et Mme tout le monde. Je serais le premier à demander une vision plus détaillée de la chose dans un magazine dédié, et même dans ce cas c'est loin d'être simple vu que chaque deal a ses particularités et rien n'est public. Modifié il y a 3 heures par Darkjmfr 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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