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Invité grinch

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General Dynamics est une société suisse ?? je croyais que ça appartenais aux américains...

Le Piranha etait developper par GD Mowag, le part suisse du GD, le Piranha V va developper par GD Mowag et GD UK. C'est a dire le Piranha V va etre suisse-britannique parce que les ingenieurs fassent le vehicule pas les "shareholders".

Il y a une différence entre acheter un Porte-Avion construit en coopération (comme l'a été l'avion Jaguar dans le passé) et un matériel 100% français.

Il n'y pas une construction commun et la France a achete notre dessin, c'est a dire CVF et VBCI n'est pas un comparison, parce que CVF/PA2 est la France qui achete un dessin britannique et VBCI est peut-etre (si on choisit ca) le Royaume-Uni qui achete un dessin francais.

Meme si nous sommes minoritaire sur cette aventure parce qu'on ne commande qu'une unité et que les Anglais en commande deux, sans nous ce projet est pratiquement inabordable financièrement pour eux.

Non, en le Royaume-Uni le budget est la pour deux CVF, on ne va pas produire les navires en commun, les "savings" d'acheter par exemple des moteurs du R-R pour trois navires n'est pas tres grand.

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Marc Chassillan ingénieur et concepteur de blindés post adressé sur "secret défense" cet apreme

comme l'écrit Philippe sur le topic du VBCI: respect...

je prends le débat en route...et je le trouve passionnant et passionné.

je contribue régulièrement au magazine Raids à travers des articles et des hors série consacrés aux chars et aux blindés de combat. A la lecture de certains commentaires je constate avec fierté que certains les ont lus...

j'ai tenté dans ces ouvrages de rétablir certaines vérités oubliées en particulier sur les mérites respectifs de la roue et de la chenille. Pour cela je me suis référé à mes vingt cinq ans d'expérience technique passées à Satory durant lesquelles j'ai, entre autres, dessiné le Vextra, le VBCI, de nombreuses versions de char Leclerc et des quantités innombrables de projets de véhicules à roues et à chenilles.

on a raconté beaucoup de contre vérités voire de mensonges sur les blindés, et en particulier sur leur mobilité. Le plus souvent par ignorance et par répétition de conversations ou de lectures de mauvaise vulgarisation glanées ça et là. Rarement par volonté de nuire.

c'est vrai qu'à protection et capacité d'emport égales, un chenillé est plus léger qu'un véhicule à roues, et si les véhicules à roues sont légers c'est parce qu'ils ne peuvent pas être lourds (la technologie leur interdit d'accéder à des classes de masse supérieures), d'où l'association dans bien des esprits de la légèreté et de la roue. ET si les chars lourds sont chenillés c'est parce qu'il n'existe pas de technologie de train de roulement à roues aussi léger et compact que la chenille. Les chars ne sont donc pas lourds parce qu'ils sont chenillés. Ils sont lourds à cause de la protection que l'on veut leur conférer.CQFD.

c'est faux de dire que les véhicules à roues peuvent rouler après une attaque de mine anti-char. Le choc de l'explosion casse la transmission, la direction et fait sortir le moteur de son bâti. Le véhicule ne peut pa repartir dans 95 % des cas. La légende du véhicule à roue rentrant tranquillement à sa base après avoir sauté sur une mine vient d'un cas ou deux d'EBR ayant perdu une roue en algérie à la suite de l'explosion d'une charge artisanale de faible puissance. Ce qui ne veut pas dire que dans certaines circonstances exceptionnelles, le véhicule ne puisse pas se traîner dans une zone plus sécurisée après agression. car il peut exister des cas d'explosion qui ne détruise pas tout. Tout comme il existe des cas d'explosion de mine qui ne casse pas la chenille...

L'objectif des ingénieurs qui conçoivent les véhicules de combat modernes est de minimiser les pertes de personnels embarqués à la suite d'un tir de mine, mais en aucun cas de prévoir que le véhicule reparte...

ceci me permet de faire une transition facile avec le VBCI dont il est beaucoup question dans ce blog. Le VBCI sera la monture de l'infanterie mécanisée française en remplacement de L'AMX10P.

les tests effectués par la DGA sur un VBCI en réel ont permis de montrer que l'explosion successive de dix mines (!) n'avait pas ouvert la caisse, ce qui est la condition technique nécessaire pour que l'équipage survive.

Cette même caisse recouverte de ses blindages en titane résisté à des IEd de 50 kg qui explosent sur ses flancs et elle stoppe sans problème les projectiles de moyen calibre perforants.

c'est dire le fossé qui sépare le VBCI de l'AMX10 P. Et que ce dernier soit à chenille ne change rien à l'affaire. Nos fantassins vont prendre place dans l'engin le plus protégé de sa catégorie qui fait jeu égal avec les warrior et les Bradley , mais avec en plus une protection contre les mines que ne possèdent pas ces derniers. c'est un saut capacitaire extraordinaire que va faire l'infanterie française sur ce plan.

j'y ajouterai la numérisation complète,les capacités d'observaion et de tir tous temps et un confort intérieur pour les biffins sans commune mesure avec le cercueil de l'AMX10.

le choix du train de roulement à roues est le résultat d'un compromis accepté par tous qui privilégie, non pas la mobilité stratégique qui ne présente que peu d'intérêt aujourd'hui, mais la mobilité opérative, celle qui permet de se mouvoir pendant de longues durées sur des terrains moyennement porteurs ou porteurs (en clair les routes et chemins). c'est la mobilité du contrôle de zone de longue durée et celle du combat d'intervention pour se porter rapidement sur un point d'abcès.

la mobilité tactique n'est pas négligée pour autant car la configuration 8x8 permet de crapahuter sur des terrains peu stabilisés. Il faut avoir l'honnèteté de dire qu'elle n'égalera jamais celle d'un chenilé sur des terrains vraiment très défavorables.

la différence, me semble-t-il, que met en avant l'article de Raids qui est l'objet de ce post, est une différence d'emploi entre l'armée française et les armées de l'otan pour ce qui concerne les véhicules à roues.Ce n'est pas le VBCI qui est sélectionné pour le programme FRES, c'est son CHASSIS. Car les britanniques ne cherchent pas un véhicule de combat d'infanterie (ils disposent du Warrior à chenilles pour ce rôle), ils cherchent un super VAB ! ils veulent un VTT.

et leur vision est que ce VTT doit être très fortement protégé surtout contre les mines et les IEd en plus des projectiles cinétiques. d'où la sélection du châssis du VBCI qui présente tous les atouts pour cela.

le VCI Otan est un chenillé car il doit accompagner les chars au plus près de la ligne de contact. Mais le défaut de cette approche est qu'elle néglige totalement le fait que les VCI actuels n'ont pas le même niveau de protection que les chars qu'ils accompagnent.

cela n'empêchent pas certains dans ce blog ou dans dans d'autres de proner l'achat de CV90.

je dit que c'est inutile. le CV90 a une protection inférieure au VBCI, son ergonomie est très discutable (j'en sais quelque chose pour l'avoir essayé en suède). Il faut seulement lui reconnaître une mobilité remarquable en terrains pourris .

la solution pour l'infanterie d'assaut est l'approche israélienne renforcée par les déboires de l'été dernier. avec un taux de pertes humaines très faibles (ramené aux nombre de chars touchés), les israéliens ont conclu que l'avenir était dans des engins de combat d'infanterie super lourds, d'où le lancement du Namer sur châssis Merkava 4.

en fait l'expérience du sud liban en aout 2006 ne fut pas: "les chars sont trop vulnérables" comme certains experts de salon l'ont proclamé, mais au contraire + de chars car c'est la seule plate forme de combat suffisamment protégée pour réduire les pertes. d'où les VCI sur châssis de chars.

si l'infanterie française devait être amenée à compléter ses capacités, il faudrait qu'elle vise l'achat de quelques dizaines de VCI super lourds (plus de 45 tonnes). L'achat de VCI chenillés de 25-30 tonnes type CV90 ou warrior n'amenerait rien de plus.

pour le reste l'article de Raids met le doigt sur ce qui est appelé "le décalage" entre l'armée française et les autres armées de l'Otan, et qui semble être un penchant marqué pour des véhicules plus légers que ceux de nos partenaires.

nous verrons bientôt si le programme EBM (remplacement des VAB)confirme cette tendance ou la renie.

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Merci beaucoup Pascal pour cette contribution, j'aurais à ce sujet deux petites choses à demander:

1: un plan trois vues du VBCI MGS 120 avec canon FER avait été publiée dans le premier hors série de RAIDS consacré aux chars légers. La tourelle utilisée était-elle la version légère de la tourelle du leclerc, ou s'agissait-t-il d'un développement ad-hoc?

2: une tourelle super-lourde pour leclerc avait été envisagée. Existe-t-il une désignation spécifique de ce projet, un prototype a-t-il vu le jour?

merci d'avance =)

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Je ne sais pas ou on va faire un MCO centre commun, je doute ca, parce que c'est difficil avec des navires.

Et la MCO commune desTAG Olympus c'est du boudin.

Pour le FRES Mr Chassillan nous éclaire sur la séléction du VBCI, éspérons qu'il sorte vainqueur.

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@patrick

Les photos et dessins que j'ai sous les yeux à propos de ce HS n°13 montrent plutôt a priori le proto VEXTRA avec une tourelle 105 mm modèle TML développée par le GIAT à partir de la TK 105 du 10 RC

Pour le Leclerc je n'ai pas trouvé de mention d'une tourelle "super lourde" mais ma documentation est loin d'être complète  ;) en revanche il y eu toute une brochette de projets de tourelles pour Leclerc des plus conventionnelles aux plus hardies (chargement automatique externe, servants dans la caisse ...) HS Raids n°3

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le projet de VBCI MGS à tourelle de 120 est décrit dans le HS raids n°20(chars légers tome 2)

c'est une tourelle spécialement conçue pour cet emploi mais qui réutilise le chargement auto du leclerc et son canon avec un frein de bouche en plus.

la super tourelle lourde de Leclerc est celle à canon de 140 évoquée dans le HS n°3 ou décrite complètement dans le livre "char Leclerc " aux éditions ETAI

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In Drayson’s Wake, Many Questions

U.K. Procurement Chief’s Exit Leaves Industry Plan in Doubt

By ANDREW CHUTER

LONDON — For now, the hottest question in Britain’s defense community isn’t, “What major programs may face the ax in next year’s equipment spending?” Rather, it’s “Why did Lord Drayson, the highly respected procurement chief, resign so abruptly?”

In his Nov. 7 statement, the British biotech millionaire-turned-government minister said he wanted to make a run at qualifying for the 24-hour Le Mans race in his cherished sports car, a biofuel-powered Aston Martin DB9.

That drew scoffs from industry executives, analysts and government sources, who noted that Drayson had talked as recently as a Nov. 1 industry dinner here about his ministerial plans for December.

“I can’t imagine a man like Drayson, who is so committed to the Defence Industrial Strategy, bailing out to race cars before the new version is delivered,” said Keith Hayward, the head of research at the Royal Aeronautical Society here. “This excuse is like an iceberg; there is more going on under the surface that we can’t see.”

The departure leaves a promised expansion of the two-year-old Defense Industrial Strategy (DIS) in limbo. As well, Drayson, a driving force behind the recent U.S.-U.K. export-control treaty, is leaving as the two sides negotiate the intricacies of the document, which has yet to be ratified by the U.S. Senate.

Observers reckon that the man who had staked his reputation on plans to change how Britain purchases and supports military equipment was driven to leave by a crisis in defense funding and increasing isolation from senior politicians and civil servants in his department.

Several noted that Drayson quit just hours after key Ministry of Defence (MoD) officials met to begin picking an armored vehicle for the next phase of the mammoth Future Rapid Effects System (FRES).

Drayson has driven the controversial program as though he were the project leader, and set surprisingly early deadlines for choosing the vehicles’ design, integrator and system-of-systems integrator.

Government sources say Drayson was leaning toward the French Nexter vehicle and planned an early November cross-Channel trip to inform his French counterparts — a trip that never took place.

That has led industry observers to speculate that the officials, whose deliberations remain under wraps, may have rejected Drayson’s demands to pick the French vehicle without the proper competition process. The MoD had drawn industry ire by picking a Thales-Boeing team as the FRES system-of-systems integrator on the basis of a prequalification questionnaire and without going to tender.

A FRES announcement now seems likely in the last week of November.

One government source said argument over FRES acquisition was one of several issues that had frayed Drayson’s relationship with the MoD’s top civil servant, Permanent Undersecretary Bill Jeffries.

Other government and industry sources say the main reason for Drayson’s departure was that his position and military-industrial visions were undermined by the government’s failure to add enough money in its July spending review to stave off potential procurement cuts in 2008 and beyond. The spending review gave an average 1.5 percent annual increase in real terms over the next three years, among the smallest increases for any government department, despite ongoing military operations in Afghani-stan and Iraq.

Defence Secretary Des Browne and Prime Minister Gordon Brown rejected a plea by Drayson to boost the equipment budget, industry sources said.

A second political analyst said Drayson’s departure in itself wasn’t as important as how it highlighted wider problems for the state of defense funding, and in particular, its potential for infighting among the services over program cuts.

“If I were the government, I’d be checking how happy my service chiefs were on a regular basis,” he said.

The miserly defense spending increase drew early November fire from Conservative defense spokes-man Liam Fox and several former service chiefs, who want the military budget increased substantially.

Industry Strategy in Limbo?

Drayson, who unveiled the Defence Industrial Strategy in 2005, championed wholesale changes in the way Britain acquires and supports its military equipment and services. For the past several months, he had led a revamp and expansion of the strategy, and had promised to roll out the DIS 2 document Dec. 13.

But the effort had run into serious trouble, as Treasury officials balked at the expansion and the potential program cuts threatened to undermine the entire plan.

“The success of introducing Defence Industrial Strategy 2 relied on a reasonable spending review for defense,” one industry figure said. “In the event, it was so poor that it could even undermine the entire strategy process. Part of the problem is that while Defence Secretary Des Browne is a supporter of the armed forces, his track record on industry-related matters is not what is expected.”

For some weeks, senior civil servants have been advising Drayson to put off the DIS revamp until the equipment spending program becomes clearer. But the minister refused, causing tension in the department.

Drayson had taken other hits over the last few months. Remarkably, Drayson, the minister responsible for the Defence Export Sales Organisation, was not consulted by the prime minister that the agency was to be disbanded. He was informed just hours before the move was publicly announced, which is said to have outraged him.

He had also clashed with other government ministers over the October decision to change British capital gains tax, having recently been also appointed a minister at the Department for Business Enterprise and Regulatory.

Drayson told the Financial Times in early November that the decision to leave had nothing to do with the tax reforms.

Observers now believe DIS 2 could appear no earlier than the spring, and note that it still requires the backing of other government departments.

Its future lies in the hands of the Treasury, rather than Baroness Ann Taylor, the incoming procurement minister.

“Taylor is a politician, whereas Drayson knew about commerce and industry,” one political analyst said. “It’s not quite stalled, but there is no chance of it being rolled out on Dec. 13. It’s possible Taylor or one of the senior MoD officials may pick up the DIS mantle.”

Taylor comes into the post as the parliamentary undersecretary of state for defense. Drayson started in that role but was later upgraded to minister for defense equipment and support.

The post has now been downgraded again to the more junior undersecretary position. That tells civil servants that Taylor has less clout than her predecessor, but the exact impact will remain unclear until her ministerial responsibilities are detailed.

In the meantime, Drayson wrote a letter to Brown in which the 47-year-old multimillionaire said he was resigning to pursue a “once-in-a-lifetime” ambition to race at Le Mans. Brown responded by raising the possibility of returning to government after a leave of absence.

In a Nov. 7 statement, Browne said he was “sorry to see Lord Drayson leave government. He has worked tirelessly for over two years to improve the way in which we equip our forces. … He has introduced innovation and creative thinking to the procurement process and ensured that our forces have first-class equipment.”

@Defensenews

Selon l'article, Drayson(lord), le chouchou de Rob  était en faveur d' une séléction du véhicule de NEXTER pour le FRES.

En opposition avec d'autres décisionaires favorable a un choix ultérieur et résultant de la compétion engagé entre les trois véhicules.

Par contre rien sur les CVF.

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Merci à vous pour toutes ces précisions, je vais tâcher de me procurer des infos! ;)

A propos de tourelle Leclerc super lourde, parle-t-on de ça (dsl pour la taille de l'image):

Image IPB

Si c'est la tourelle avec un 140mm on trouve un dessin dans le livre de Marc Chassillan sur le char Leclerc déjà cité. =)
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Si c'est la tourelle avec un 140mm on trouve un dessin dans le livre de Marc Chassillan sur le char Leclerc déjà cité.

ce n'est pas un canon de 140, c'est un AMX 30 modifié pour étudier la furtivité .

Comme quoi la ponctuation et des mots perdus changent ;) tout:

je voulais dire à propos de la tourelle lourde :"Si c'est la tourelle avec un 140mm" dont tu parles ", on trouve un dessin dans le livre de Marc Chassillan sur le char Leclerc déjà cité." mais pas de la photo postée. Il y a bien un dessin de la tourelle avec un canon de 140 dans etc... 8)

D'autres vue de ce prototype furtif montre un chassis avec 5 galets de roulement comme l'AMX-30.

Quant à la tourelle lourde avec le 140mm, elle a une nuque plus importante que la tourelle avec le 120mm sans parler du reste.  ^-^

Il est temps que j'aille faire dodo O0

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  • 2 weeks later...

BAE Systems annonce une equipe ultra-fort pour le role d'integrateur du FRES qui est BAE Systems Land Systems, BAE Systems Insyte, Selex S&AS, QinetiQ, SAIC, GE Aviation (Smiths Aerospace) et Cranfield University.

BAE Systems Announces UK Industry Team for FRES

21 Nov 2007 | Ref. 365/2007

Image IPB

Leicester, United Kingdom – A team led by BAE Systems has been assembled to deliver a battle-winning fleet of medium-weight armoured fighting vehicles for the British Army.

The team includes Cranfield University, GE Aviation, QinetiQ, SAIC and Selex Sensors & Airborne Systems. It will compete for the role of Vehicle Integrator for the ‘Utility’ family of FRES (Future Rapid Effect System), the first and largest element of the programme. The successful bidder is expected to take an overseas vehicle design, and customise, manufacture and support it through life to meet UK Ministry of Defence (MoD) requirements.

The vehicle will be based on an eight-wheeled design currently being selected by the MoD and is expected to enter service from 2012. Some 7000 jobs will be sustained by the overall FRES programme.

BAE Systems Land Systems leads the FRES bid. Managing director Andrew Davies comments: “This team, and the know-how within our existing supplier base, can provide the British Army with a vital asset while giving the taxpayer value for money and ensuring the retention of key UK skills for the continued support and upgrade of all the British Army's in-service fleet of vehicles. We can also draw upon the global resources of BAE Systems, the world’s largest land systems company.”

“As the UK Defence Industrial Strategy states, and recent operational experience demonstrates, retention of key skills in the UK is vital if the front line is to be assured of receiving the service it needs. Over the past 18 months BAE Systems and its partners have responded on time to more than 80 Urgent Operational Requirements under which we have modified existing vehicles to meet new threats to our troops. These are some of the skills, resources and experience we would bring to FRES.”

FRES is worth up to £16bn for the acquisition phase. It will provide the British Army with up to 17 vehicle variants in five families for a wide range of battlefield tasks. These vehicles will be heavily protected but light enough to be deployed by air. More at: baesystems.com/fres

BAE Systems Land Systems would lead the delivery of the Utility Vehicle family programme and act as UK design authority through life in an alliance structure headed by the MoD. It would transition offshore manufacture to the UK and carry out final assembly, integration and test of the vehicles at its Newcastle plant. Its Leicester site would lead engineering work, with support activity at Telford. It has designed, manufactured and supported more than 95 per cent of the UK armoured fighting vehicle fleet and will bring this know-how to the FRES programme. It is in the middle of a £60m transformation of its vehicle engineering, manufacturing, support, training and supply operations, primarily to ensure timely delivery of the FRES programme.

BAE Systems Integrated Systems Technologies (Insyte) has already worked on electronic architecture for FRES. It would harness its expertise in training system integration, crew station design, electronic architecture and Bowman integration, at sites including Dunfermline and Frimley.

Cranfield University, based at the Defence Academy of the UK, Shrivenham, has been active within the FRES project since its inception on electronics architecture, systems engineering support, military requirements, trials support and planning. It would analyse supportability trade-offs and how the FRES Utility vehicle integrates with other FRES roles and the wider force.

GE Aviation would provide detailed knowledge of vehicle health and usage monitoring systems (HUMS), integrated computing, vehicle power management, crew station displays and controls and software management. The work would be performed by the Systems division of GE Aviation in Cheltenham and Eastleigh.

QinetiQ, from its Farnborough operation, would bring to bear expertise in survivability trades, ergonomics, whole-life costing, and assessment and management of emerging technologies to support sustainment of capability through life and lead on a number of key programme aspects, delivered in conjunction with team members. To date its work on FRES includes electronic architecture, local situation awareness, electric armour and long gap crossing technology demonstrator programmes.

SAIC (Science Applications International Corporation) would bring proven programme management, and complex systems engineering, including unique tools and processes to the team.  SAIC plays a significant role in the US Future Combat System programme and would bring similar expertise to bear for FRES. SAIC has key leadership positions within the team.

SELEX S&AS, a Finmeccanica company, would provide its expertise in the provision of integrated situation awareness, surveillance, target acquisition and survivability. This, together with the understanding gained from its investment in armoured fighting vehicle electronic architecture development, would be drawn from its facilities at Basildon, Luton, Edinburgh and Southampton.

About BAE Systems

BAE Systems is the premier global defence and aerospace company delivering a full range of products and services for air, land and naval forces, as well as advanced electronics, information technology solutions and customer support services. With 96,000 employees worldwide, BAE Systems' sales exceeded £15 billion (US $27 billion) in 2006*.

* On a pro forma basis, assuming BAE Systems had owned Armor Holdings Inc for the whole of 2006

Picture Caption: FRES will be the mainstay of the British Army armoured vehicle fleet for 30 years to come.

Link.

http://www.baesystems.com/Newsroom/NewsReleases/autoGen_1071021102737.html

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Le Groupe Nexter est présent en force à DSEI 2007 à Londres (Defence Systems and Equipment International Exhibition) au moment où l'un de ses matériels phares, le VBCI, participe aux "Trials of Truth" organisés dans le cadre du programme FRES.

VBCI : une solution adaptée au programme FRES

Un “must” pour la protection, la mobilité et la modularité : le VBCI est le véhicule de demain disponible aujourd’hui.

Déjà commandé à 700 exemplaires par l'armée française, le VBCI (Véhicule Blindé de Combat d'Infanterie) a été retenu par le ministère de la Défense britannique pour participer aux "Trials of Truth" du programme FRES (Futur Rapide Effect System). Par son niveau de protection, sa capacité d’adaptation et la maturité du programme, le VBCI propose une solution parfaitement

adaptée aux demandes de l'armée britannique et plus généralement aux nouvelles menaces auxquelles ont à faire face les forces armées.

Un atout majeur : la protection

LE VBCI est conçu de façon modulaire sur une plateforme 8x8 (8 roues motrices, dont 4 directrices) et peut être adapté à un grand nombre de missions : combat d’infanterie (accompagnement des chars dans les actions en force, opérations débarquées en zone urbaine), commandement, transport, génie, etc. Il se distingue notamment par sa haute mobilité tactique et stratégique : rapide et confortable sur grandes distances (autonomie de 750 km, vitesse supérieure à 100 km/h) le VBCI est aérotransportable par Airbus A400M.

L’un de ses atouts majeurs est la protection, préoccupation essentielle des armées, mise en lumière par les expériences acquises en Irak et en Afghanistan. Avec, notamment, sa caisse aluminium haute résistance et son blindage métallique homogène rapporté, son niveau de protection surclasse largement celui de tous les véhicules 8x8 existant aujourd'hui et reste

évolutif. Structurellement, le VBCI, se situe à un niveau de protection très élevé face aux munitions conventionnelles, dispose d'une réserve de masse que lui confère son dimensionnement, et, élément essentiel, est optimisé face aux IED (improvised explosive devices) et aux mines de forte puissance. Ces caractéristiques ont été corroborées par des

essais.

Des réponses pertinentes aux demandes du MOD

Outre le très haut niveau de protection exigé par le MOD (Ministry of Defense), le VBCI répond de façon pertinente au cahier des charges du programme FRES. Un autre de ses atouts est sa grande modularité, qui permettra à l'armée britannique de composer toute sa gamme avec une seule plateforme. Nexter a ainsi anticipé des projets de véhicules nécessitant une caisse plus haute (ambulance) ainsi que toute la panoplie des équipements spécifiques nécessaires,

comme ceux du génie. Les futures évolutions de ces véhicules, notamment en matière de blindage, seront également facilitées par la réserve de masse du VBCI par rapport aux spécifications FRES.

Le degré de maturité du programme constitue un autre atout. Déjà en cours de production industrielle pour l’Armée française (voir ci-dessous) le VBCI en version “FRES” pourra être mis en fabrication dans les délais demandés par le MOD britannique. Avec ses technologies innovantes, c’est le véhicule de demain disponible aujourd’hui. Conçu et dimensionné pour porter des tourelles de gros calibre, le VBCI répond même à l'étape FRES 2 avec sa version dite “à tir tendu”.

Enfin, le Groupe Nexter est ouvert aux coopérations industrielles nécessaires pour assurer l’autonomie britannique aussi bien en matière de fabrication que de maintien en condition opérationnelle et d’évolution. Une journée de présentation du matériel aux industriels britanniques intéressés sera d’ailleurs organisée le 2 octobre prochain pour mieux anticiper ces coopérations industrielles, incluant les transferts de technologies nécessaires.

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J'ai lu hier que le piranha avait la preference des militaires britanniques mais qu'un Lord "je sais plus qui" voulait du vbci.

J'ai aussi lu qu'un grand programme pourrait passer à la trappe et que le fres utility pourrait en etre...

en tout cas on approche de la decision...

http://www.armedforces-int.com/news/2007/11/26/british-army-armoured-vehicle-decision-delay-expected.asp

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J'ai lu hier que le piranha avait la preference des militaires britanniques mais qu'un Lord "je sais plus qui" voulait du vbci.

Ce "Lord", etait Lord Drayson, chef du DE&S, sous-ministre de la defence, mais il est sorti la MoD en Novembre 2007. La probabilite pour le VBCI est moins maintenant que Lord Drayson est sorti.

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Ce "Lord", etait Lord Drayson, chef du DE&S, sous-ministre de la defence, mais il est sorti la MoD en Novembre 2007. La probabilite pour le VBCI est moins maintenant que Lord Drayson est sorti.

lol, les amateurs du matos francais se font ejecter...

merci, c'est cool d'avoir des sources locales... ;)

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Je ne vois pas trop pourquoi le piranaha est le chouchou des anglais ? Mowag, ça a été racheté par un US, pas par un anglais ?

ou alors, ne serait-il le chouchou que parce qu'en face, il a un blindé français... ça ne m'étonnerais guère...

Mowag fait parti du groupe "General Dynamics European Land Combat Systems" qui fait bosser les anglais.

http://www.generaldynamics.uk.com/solutions/fres.html

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