Darkjmfr Posté(e) le 25 septembre Share Posté(e) le 25 septembre (modifié) J'ouvre ce fil pour suivre les évolutions de ce segment de lutte antiaérienne. J'essaie de me faire une idée de ce qui pourrait servir et être disponible en grandes quantités rapidement Petit inventaire des solutions envisageables à date (à compléter / on pourra se servir de ce post pour compiler) Du sol: - Mistral ou equivalent - projet rapidfire (40mm CTA) sur chassis camion type CAESAR / dans la même catégorie les guépard allemands mais plus produits - armes à énergie dirigée - brouilleurs - calibre 12 En l'air - AIM 9L (pas cher - https://www.aerialsurplus.com/product-page/aim-9l-missile ) - Mistral ou equivalent - RGL (mais pas convaincu que les pods de guidage actuels fassent de la désignation vers l'avant vu la position des "fenêtres") - canon / pod canon 2000 RMV (pourquoi pas en monter plusieurs sous mirage/rafale pour durer ou densifier le feu, tirer de plus loin) - les hélicoptères: tigre avec son canon, y'aurait-il un usage pour le Racer et sa vitesse de pointe ? - pilatus avec canons / missiles courte portée - DIRCM - pod arme à énergie dirigée - pod de brouillage Vos avis, options ? Modifié le 25 septembre par Darkjmfr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 25 septembre Share Posté(e) le 25 septembre (modifié) Ce qui existe déjà c'est l'E-TRAP de Thales, c'est une arme à impulsion électromagnétique. Un lien avec une vidéo au salon Euronaval 2024 : https://air-cosmos.com/article/toute-premiere-presentation-publique-d-e-trap-l-arme-anti-drone-a-impulsions-electromagnetiques-francaise-69656 On pourrait aussi ajouter le lanceur LMP, qui pourrait avoir une déclinaison terrestre mélangeant des roquettes et du Mistral : https://www.naval-group.com/fr/nid-2023-avec-le-lmp-les-lanceurs-font-leur-revolution Modifié le 25 septembre par gargouille 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 25 septembre Share Posté(e) le 25 septembre Pas vraiment "low-cost", mais c'est le low du high-cost : https://www.twz.com/air/laser-guided-rockets-now-primary-anti-drone-weapon-for-usaf-jets-in-middle-east Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 25 septembre Share Posté(e) le 25 septembre Il y a aussi le projet MBDA / RHEINMETAL SADM (Small Anti-Drone Missile) pour compléter les moyens d'action de la tourelle Skyranger 30 : https://air-cosmos.com/article/mbda-et-rheinmetall-s-allient-pour-integrer-le-small-anti-drone-missile-sur-le-skyranger-30-68913 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 26 septembre Auteur Share Posté(e) le 26 septembre Côté guerre elec: https://www.youtube.com/watch?v=uU8xBsy55-E Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 26 septembre Share Posté(e) le 26 septembre il y a 28 minutes, Darkjmfr a dit : Côté guerre elec: https://www.youtube.com/watch?v=uU8xBsy55-E Tu ne nous en dis pas plus. ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 26 septembre Auteur Share Posté(e) le 26 septembre (modifié) Ah bah je pensais vous laisser vous faire votre idée. En résumé, les ukrainiens brouilllent fort les systèmes de positionnement satallite, ont du renseignement & des collaborateurs qui leur ont permis d'obtenir les logiciels, plans et des exemplaires du matériel utilisé sur certains drones & missiles pour bien cibler les contres mesures. Il y a déjà eu plusieurs itérations glaive/bouclier et ça continue. La guerre elec est présentée comme la solution contre la masse et les altitudes de croisières plus importante des drones (là où les mitrailleuses ne peuvent plus les atteindre). J'ai un problème avec le raisonnement parce que ça marche tant qu'on arrive à brouiller les GPS etc. et que les russes ne mettent pas la main sur des centrales inertielles de bonne qualité - hors ça existe, et on voit aussi dans le reportage que des composant suisses etc. se retrouvent dans les shahed. Le jour où ils sourcent ça en quantité, le chateau de cartes s'effondre. Je trouve dommage qu'ils abordent pas le sujet des armes à énergie dirigée du coup. Bon il y a le temps de voir venir: ça coûte cher et tant que c'est en petite quantité le gros des drones partira aux vaches (jusqu'en roumanie apparemment), les autres seront traités avec des moyens plus affutés. Modifié le 26 septembre par Darkjmfr 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 26 septembre Share Posté(e) le 26 septembre il y a 54 minutes, Darkjmfr a dit : Ah bah je pensais vous laisser vous faire votre idée. En résumé, les ukrainiens brouilllent fort les systèmes de positionnement satallite, ont du renseignement & des collaborateurs qui leur ont permis d'obtenir les logiciels, plans et des exemplaires du matériel utilisé sur certains drones & missiles pour bien cibler les contres mesures. Il y a déjà eu plusieurs itérations glaive/bouclier et ça continue. La guerre elec est présentée comme la solution contre la masse et les altitudes de croisières plus importante des drones (là où les mitrailleuses ne peuvent plus les atteindre). J'ai un problème avec le raisonnement parce que ça marche tant qu'on arrive à brouiller les GPS etc. et que les russes ne mettent pas la main sur des centrales inertielles de bonne qualité - hors ça existe, et on voit aussi dans le reportage que des composant suisses etc. se retrouvent dans les shahed. Le jour où ils sourcent ça en quantité, le chateau de cartes s'effondre. Je trouve dommage qu'ils abordent pas le sujet des armes à énergie dirigée du coup. Bon il y a le temps de voir venir: ça coûte cher et tant que c'est en petite quantité le gros des drones partira aux vaches (jusqu'en roumanie apparemment), les autres seront traités avec des moyens plus affutés. Sur le cycle cuirasse/épée on parle de périodes comprises entre 4 et 6 semaines. C'est assez fou. Les centrales inertielles, je pense que les russes ne sont pas débiles (ni les ukrainiens). Il faudrait voir les problématiques de coûts, de disponibilités et surtout de performances. Pour les armes à énergie dirigées, c'est surtout beaucoup moins accessibles (et donc militarisable) que ceux qui prétendent que yakafokon. Par contre je suis effectivement étonné qu'il n'y en ait pas plus en test en Ukraine, en prêt. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FAFA Posté(e) le 26 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 septembre (modifié) Le 25/09/2025 à 12:08, Darkjmfr a dit : J'ouvre ce fil pour suivre les évolutions de ce segment de lutte antiaérienne. J'essaie de me faire une idée de ce qui pourrait servir et être disponible en grandes quantités rapidement Petit inventaire des solutions envisageables à date (à compléter / on pourra se servir de ce post pour compiler) Du sol: - Mistral ou equivalent - projet rapidfire (40mm CTA) sur chassis camion type CAESAR / dans la même catégorie les guépard allemands mais plus produits - armes à énergie dirigée - brouilleurs - calibre 12 Vos avis, options ? Un rapport est paru en Suisse sur les différents moyens et processus destinés à contrer les drones (depuis les sol). On y trouve une description des différentes possibilités avec leurs faiblesses et leurs avantages. J'en mets un petit extrait : 2.2 Défense contre les drones 2.2.1 Processus de lutte contre les cibles Afin qu’un drone puisse être combattu à l’aide d’un système de défense contre les drones, différentes étapes sont nécessaires dans le cadre d’un processus bien défini de lutte contre les cibles. Ce processus de défense contre des drones adverses se déroule en quatre étapes. Le drone doit tout d’abord être détecté et reconnu. Dans un deuxième temps, il est observé, afin de définir des mesures de défense, d’identifier sa trajectoire et, le cas échéant, de localiser le pilote. Il s’agit ensuite d’identifier le drone pour déterminer si c’est un drone ennemi ou ami. Enfin, la dernière étape consiste à le combattre le drone. Depuis la publication du rapport du Conseil fédéral en réponse au postulat 21.3013 La sécurité de la Suisse eu égard à la technologie des drones, l’industrie a réalisé de gros progrès dans le domaine de la technologie de lutte contre les mini-drones. Les systèmes de défense existent aujourd’hui sous les formes les plus diverses, un système pouvant par exemple être installé de manière permanente ou utilisé dans une configuration partiellement mobile. Il existe par ailleurs déjà sur le marché des systèmes portables, que les militaires peuvent porter directement. 2.2.2 Réseau interconnecté et système C2 19 En règle générale, les étapes du processus de lutte contre les cibles (détecter, observer, identifier et combattre) ne peuvent pas être couvertes par un seul système, mais reposent le plus souvent sur un réseau complexe de capteurs et d’effecteurs. Le Command-and-Control System (C2) joue un rôle central à cet égard. Il s’agit d’une plateforme qui intègre les différents capteurs et moyens d’action dans un environnement uniforme de pilotage et de surveillance. Cela permet de reconnaître et d’analyser les menaces émanant de drones en temps réel et de prendre des contre-mesures appropriées. Plus la conception du réseau de systèmes interconnectés inclut de la variété et de la complémentarité entre ses composants, plus la probabilité est grande de pouvoir lutter efficacement contre les drones. En outre, il faut garantir la possibilité d’intégrer en permanence de nouveaux systèmes, en tenant compte de la menace et de l’évolution technologique. 2.2.3 Analyseur de fréquences Un analyseur de fréquences est un capteur passif 20, qui surveille l’espace électromagnétique 21. Il peut détecter la présence de drones à l’aide d’algorithmes et de diverses banques de données qui répertorient leurs fréquences de communication. En plus de la détection, les analyseurs de fréquences avancés peuvent aussi fournir une indication de la direction dans laquelle le drone se trouve. En utilisant en réseau plusieurs analyseurs de fréquences, ces indications de direction peuvent être combinées pour obtenir une position 22. Les analyseurs de fréquences classiques ne sont par contre pas en mesure de donner des indications sur l’altitude de vol d’un drone. Les analyseurs de fréquences équipés de logiciels additionnels ont la possibilité de décoder les signaux réceptionnés, ce qui ouvre de nouvelles options pour localiser le drone, le pilote et sa télécommande. En écoutant les communications entre le drone et la console, il est possible de déterminer à la fois la position et l’altitude du drone. En résumé, selon leur conception et leurs possibilités de mise en réseau, les analyseurs de fréquences sont en mesure de traiter les trois premières étapes du processus de lutte contre les cibles (détecter, observer et identifier), même s’ils ne sont pas adaptés à tous les scénarios d’engagement. Pour qu’ils soient efficaces, il faut en effet que les informations disponibles en amont sur le drone soient suffisantes et que ce dernier soit radioguidé. 2.2.4 Capteurs radar Les capteurs radar émettent activement des ondes électromagnétiques via une antenne, qui sont réfléchies par un objet volant. Plus la surface réfléchissante d’un objet, appelée surface équivalente radar, est grande, mieux celui-ci est visible à l’écran. Un radar peut ainsi connaître la position, l’altitude de vol et la vitesse de vol 23 d’un objet. La surface équivalente radar des drones est faible, non seulement en raison de leur taille, mais aussi et surtout à cause du principal matériau de construction utilisé, à savoir le plastique. Il existe aujourd’hui des radars qui sont capables de faire la distinction entre des drones et d’autres objets volants (également des oiseaux)24. Un radar a toutefois besoin d’une liaison visuelle avec l’objet volant. L’utilisation de plusieurs systèmes radar permet d’obtenir une meilleure couverture des capteurs dans les zones géographiques difficiles. 2.2.5 Capteurs électro-optiques Les capteurs électro-optiques tels que les caméras à lumière visible ou infrarouges transforment la lumière ou les changements de luminosité en signaux électriques. Ils ne peuvent être utilisés pour le repérage et la localisation de micro-drones et mini-drones qu’à certaines conditions, car l’analyse des données d’images est beaucoup plus complexe que celle des données radar. Les capteurs électrooptiques se prêtent en revanche mieux à l’observation et à l’identification des objets de ces catégories lorsqu’ils ont déjà été détectés et suivis par des capteurs radar. L’utilisation de capteurs optiques comme dispositifs de visée pouvant être montés sur les armes est également en cours de développement. Ces dispositifs de visée proposent au soldat une distance de dérive en fonction de la trajectoire calculée du drone. 2.2.6 Brouilleurs En règle générale, les drones communiquent à l’aide d’ondes radio et utilisent les sources d’information de l’espace électromagnétique. Un drone reçoit des instructions de vol et renvoie au pilote des données télémétriques ainsi que des retransmissions vidéo, tout en utilisant des systèmes mondiaux de navigation par satellite (tels que GPS ou GLONASS). Dans le cas des drones COTS, la communication entre le drone et la télécommande s’effectue soit par radiocommunication mobile, soit sur des fréquences sans licence telles que les bandes ISM25 . Les brouilleurs (en anglais jammers) permettent de perturber les bandes de fréquences utilisées par les drones, ce qui peut faire perdre au pilote le contrôle de son appareil. Si le système de navigation du drone est en plus perturbé, il peut en résulter une perte d’orientation qui, selon les circonstances, risque de l’amener à s’écraser. Les brouilleurs spécialement conçus pour repousser les drones permettent de brouiller certaines fréquences de manière ciblée afin de minimiser les effets indésirables sur les autres systèmes présents dans l’environnement. 2.2.7 Cyberattaque Le système take-over exploite les failles du logiciel des drones pour détourner la connexion entre le drone et le pilote. La télécommande du pilote est alors déconnectée de l’aéronef, ce qui fait que le pilote perd tout contrôle sur le drone et ne peut plus recevoir de transmission vidéo. C’est le système qui prend le contrôle et peut forcer le drone à atterrir à un endroit précis. Ce type d’attaque n’a toutefois de chances d’aboutir que si le drone visé correspond à une série d’appareils enregistrés dans le système, ce qui n’est actuellement le cas que pour les drones COTS. De plus, les modifications apportées au système, par exemple par une mise à jour logicielle du fabricant, peuvent empêcher le système de prise de contrôle d’exercer une influence sur le drone. Dans ce cas, il faut que le fabricant du système en question mette également à disposition une mise à jour du logiciel. 2.2.8 Munitions à explosion aérienne Les munitions à explosion aérienne détonnent en l’air à proximité de la cible. Un ou plusieurs éclats d’obus touchent le drone et détruisent ses rotors ou ses composants électroniques sensibles. Cette technologie s’est avérée particulièrement efficace dans la lutte contre des cibles miniatures, rapides et agiles telles que des drones. La mise à feu s’effectue soit par une explosion temporisée, soit par une mise à feu radio, au cours de laquelle la munition explose à une distance de la cible prédéfinie. L’utilisation de munitions à explosion aérienne a toutefois aussi des désavantages. La technologie est complexe et coûteuse, raison pour laquelle elle ne convient pas vraiment à un déploiement étendu contre des attaques de drones en grand nombre. De plus, le déclenchement précis de l’allumage nécessite une technologie de capteurs sophistiquée et une capacité de réaction rapide afin de garantir que les munitions explosent exactement au bon moment. Les munitions à explosion aérienne peuvent être utilisées efficacement jusqu’à une portée de 4 km 26 . 2.2.9 Armes à haute énergie Les armes à haute énergie utilisées pour se défendre contre les drones sont une technologie récente. Ces armes utilisent une énergie dirigée, généralement sous forme de rayons laser ou de micro-ondes, afin de neutraliser les drones. Les armes de ce type sont encore pour la plupart en cours de développement. Diverses forces armées étrangères ont toutefois déjà installé de telles armes sur différentes plateformes, à des fins d’évaluation. Les armes laser utilisées pour se défendre contre les drones ont plusieurs avantages. Elles sont très précises, les coûts par tir sont faibles et le rayon laser atteint immédiatement la cible et la détruit sans explosion. Par rapport aux munitions à explosion aérienne, les armes laser réduisent ainsi globalement le risque de dégâts collatéraux. Il existe toutefois des inconvénients majeurs : les armes laser exigent que la cible reste constamment dans le viseur, ce qui représente un défi lorsque celle-ci est un drone qui bouge rapidement et de manière imprévisible. La performance et la portée sont par ailleurs limitées par une météo défavorable. Les lasers puissants ont également besoin d’une source d’énergie constante et importante. Dans l’ensemble, les armes laser offrent un grand potentiel, mais elles se heurtent à des obstacles techniques et pratiques qui limitent leur utilisation à grande échelle. Les armes high-power microwave (HPM) constituent un moyen efficace de lutter contre les drones, en particulier en essaims. Elles peuvent combattre simultanément plusieurs drones, en détruisant leur électronique au moyen de rayons situés dans le spectre des micro-ondes. Comme les armes laser, les armes HPM n’ont pas besoin de munitions, mais leur précision et leur portée sont moindres et leur approvisionnement en énergie constitue un défi plus grand encore. Des perturbations involontaires peuvent par ailleurs surgir dans des systèmes électroniques voisins. Malgré ces restrictions, la technologie reste prometteuse, mais exige d’autres développements pour optimiser ses applications pratiques. 19 C2 = Command and Control 20 Un capteur passif n’émet aucun signal, mais évalue uniquement les signaux d’autres sources. L’utilisation de capteurs passifs n’augmente ainsi pas le risque d’être reconnu. 21 L’espace électromagnétique englobe le spectre des ondes électromagnétiques utilisé pour la communication, la reconnaissance, la conduite de la guerre électronique et les systèmes d’armes, et représente ainsi un champ d’action déterminant pour les forces armées modernes. Les signaux radio sont un exemple classique de signaux de l’espace électromagnétique. 22 La triangulation est une méthode de localisation qui consiste à calculer la position d’un objet en mesurant les angles formés avec cet objet à partir d’au moins deux points connus. 23 La vitesse peut être calculée à l’aide de l’effet Doppler, qui décrit la modification de fréquence, entre autres d’ondes électromagnétiques, lorsque la source et l’observateur se rapprochent ou s’éloignent l’un de l’autre. 24 Grâce au micro-effet Doppler, il est possible de détecter de petites variations de fréquence additionnelles dans un signal, causées par des mouvements ou des vibrations subtils d’un objet, comme la rotation des pales d’un rotor. L’effet Doppler décrit les mouvements du drone, alors que le micro-effet Doppler décrit les mouvements des rotors ou hélices, ce qui permet de distinguer un aéronef à voilure tournante (par exemple un multicoptère) d’un aéronef à voilure fixe. 25 Les bandes ISM (Industrial, Scientific and Medical) sont des gammes de fréquences spéciales qui sont mises à disposition à l’échelle internationale pour des usages industriels, scientifiques et médicaux et qui sont souvent utilisées aussi pour la communication sans fil, comme le WLAN ou le Bluetooth, sans avoir besoin d’une licence spéciale. 26 Outre les munitions à explosion aérienne, l’utilisation de fusils avec des munitions spéciales peut aussi détruire des parties sensibles des drones. Il s’agit d’une option basique, mais qui ne fonctionne qu’à quelques mètres. Elle ne sera pas davantage expliquée dans le présent rapport compte tenu de sa simplicité Modifié le 26 septembre par FAFA 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 26 septembre Share Posté(e) le 26 septembre Le retour de la bonne vieille DCA, canon de 20 et caméra thermique :) https://www.forcesoperations.com/proteus-arrive-en-regiment/ 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 26 septembre Share Posté(e) le 26 septembre Il y a 2 heures, collectionneur a dit : Le retour de la bonne vieille DCA, canon de 20 et caméra thermique :) https://www.forcesoperations.com/proteus-arrive-en-regiment/ N 'est on point ici dans de la LAD AIR AIR ? ou AIR - SOL ?? alors qu'un canon de DCA ... n'en est pas D'ailleurs on est ici en "armées de l'air" et pas "armée de terre" Tu rayes mon post présent si cela t'arrange ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 27 septembre Share Posté(e) le 27 septembre Il y a 8 heures, Bechar06 a dit : N 'est on point ici dans de la LAD AIR AIR ? ou AIR - SOL ?? alors qu'un canon de DCA ... n'en est pas D'ailleurs on est ici en "armées de l'air" et pas "armée de terre" Tu rayes mon post présent si cela t'arrange ... Les armées de l'air utilisent des moyens sol-air... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) hier à 11:01 Share Posté(e) hier à 11:01 Qui disait qu'on ne faisait rien ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) hier à 11:21 Share Posté(e) hier à 11:21 il y a 17 minutes, Teenytoon a dit : Qui disait qu'on ne faisait rien ? C'est des roquettes de 70mm par Thales Belgium. La France se concentre sur son 68mm. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) hier à 11:23 Share Posté(e) hier à 11:23 (modifié) Alors le "on" n'est pas français. Je l'entend au sens large de l'Europe. Très bien que ce soit la filiale belge qui s'y colle, tant que quelqu'un le fait ça me convient. Parce que en soit, que l'usine soit en Belgique, en Italie où en Pologne, il n'en reste pas moins que Thalès est un groupe français avec son siège social en France. Les Rafale produits par une filiale indienne en Inde, même s'ils devaient y être produits à 100 % resteront une réussite industrielle française. Ce qui est important est plus la propriété intellectuelle que la fabrication pure et dure. Modifié hier à 11:28 par Teenytoon 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) hier à 11:32 Share Posté(e) hier à 11:32 (modifié) il y a 9 minutes, Teenytoon a dit : Alors le "on" n'est pas français. Je l'entend au sens large de l'Europe. Très bien que ce soit la filiale belge qui s'y colle, tant que quelqu'un le fait ça me convient. Pour les roquettes de 70mm, "on" c'est tout le monde sauf la France en l'occurence. On en parlait ici sinon Modifié hier à 11:32 par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) hier à 11:36 Share Posté(e) hier à 11:36 il y a 1 minute, Titus K a dit : Pour les roquettes de 70mm, "on" c'est tout le monde sauf la France en l'occurence. Oui j'ai bien compris que la France reste sur du 68 mm. Et alors ? Je dis juste que c'est bien que Thalès s'occupe de fournir des solutions nouvelles à coût maîtrisé pour faire face à ces nouvelles menaces. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) hier à 11:48 Share Posté(e) hier à 11:48 (modifié) qu'est ce qu'apporte la roquette à 68mm que n'a pas celle à 70 ? parce que si c'est juste le changement des lanceurs, le coût me semble minime comparé à la compatibilité avec les voisins qui pourraient nous prêter des roquettes (ou le contraire)... Modifié hier à 12:23 par rendbo 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures Le 26/09/2025 à 20:13, collectionneur a dit : Le retour de la bonne vieille DCA, canon de 20 et caméra thermique :) https://www.forcesoperations.com/proteus-arrive-en-regiment/ et selon l'altitude et la distance, un canon Gatling de 30 mm GAU-8/A Avenger une gatling... avec camera thermique.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) il y a 20 heures Share Posté(e) il y a 20 heures La marine française teste une mitrailleuse M2 jumelée de 12,7 lors d'un exercice antidrone. Installé sur une FREEM : https://air-cosmos.com/article/exclusif-la-12-7-l-ultima-ratio-de-la-marine-contre-les-drones-70520? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Il y a 13 heures, collectionneur a dit : La marine française teste une mitrailleuse M2 jumelée de 12,7 lors d'un exercice antidrone. Installé sur une FREEM : https://air-cosmos.com/article/exclusif-la-12-7-l-ultima-ratio-de-la-marine-contre-les-drones-70520? Le VAB ARLAD avait été testé initialement avec une 12.7mm, qui seule s'est avérée insuffisante d'où le passage au LG40. Récemment on a vu que Arquus développait une version double 7,62mm en version anti-drone. On peut se demander si le tourelleau Hornet encaisserait cette configuration double 12,7mm ce qui aurait une logique d'équipements plus aisée. Autre point la M3M est une M2 modifiée pouvant tirer 2 fois plus vite (merci @Clairon ): Citation la M3M de FN Herstal, une M2 complètement reconstruite par la société belge qui crache ses ogives de 12,7 mm à la cadence de tir de 1100 coups par minute, au lieu des 550 de la version d'origine. Edit : avec l'éclairage de Clairon je me demande si l'Arlad avait été testé avec la M3M ou une M2 basique ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures il y a 7 minutes, BPCs a dit : Autre point la M2 utilisée est apparemment modifiée : Citation une M2 complètement reconstruite par la société belge qui crache ses ogives de 12,7 mm à la cadence de tir de 1100 coups par minute, au lieu des 550 de la version d'origine. Non, non, c'est la description de la M3 de la FN, une M2 "refaite" qui crache à 1100 cpm ... Clairon 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Et voici la prochaine étape, le retour des quadritubes :) - je viens de lire qu'au Pays Bas, ils ont été en réserve jusqu'en 1985 - 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Il y a 1 heure, collectionneur a dit : Et voici la prochaine étape, le retour des quadritubes :) - je viens de lire qu'au Pays Bas, ils ont étaient en réserve jusqu'en 1985 - Un ancien de l'artillerie AA (la série de 51 > 58e RA) racontait qu'à sa première affectation en 1992 les half-tracks M16 MGMC étaient encore entreprosés pour la défense courte portée des PC de batteries, on ne les sortait plus du fait d'un léger problème, leur consommation : 1 li au km, soit 100 li au 100 km .... Clairon 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Il y a 2 heures, Clairon a dit : Non, non, c'est la description de la M3 de la FN, une M2 "refaite" qui crache à 1100 cpm ... Clairon Or dans le tourelleau T1 c'est une M2 qui est présente : https://www.arquus-defense.com/fr/tourelleaux-teleoperes-hornet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant