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Missilerie Navale


Philippe Top-Force

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17 juin 2003/Architecture de turboréacteur endurant pour missile subsonique ARTEMIS

ARTEMIS est un démonstrateur de moteur pour missile de croisière. Il permet d’augmenter la portée des missiles de croisière, actuellement limitée à quelques centaines de km.

ARTEMIS permettra:

- de démontrer la faisabilité et les performances d’un moteur double flux double corps présentant une faible consommation spécifique et une signature infrarouge réduite ;

- de démontrer l’apport de cette architecture pour l’augmentation des performances d’un turboréacteur pour missile de croisière (augmentation de portée notamment) ;

- de garantir une souveraineté européenne.

ARTEMIS fait suite au démonstrateur SIR-C à architecture double flux, simple corps. Il contribue à la préparation d’un futur programme opérationnel : il devrait participer à une mise

à hauteur des performances du missile de croisière SCALP-EG et du Missile de croisière naval.

Spécificités du démonstrateur

Ce moteur double flux double corps présente une consommation spécifique inférieure de 30% à celle du démonstrateur double flux simple corps (SIR-C). Ses contraintes d’encombrement

sont celles des missiles de croisière considérés.

Le démonstrateur est caractérisé par :

· sa consommation spécifique ;

· sa signature infrarouge ;

· son bas coût ;

· sa poussée.

Organisation industrielle

Le démonstrateur ARTEMIS est intégré dans un Programme d’Etudes Amont (PEA).

Maîtrise d’œuvre/Microturbo

Direction du programme/DGA

Sous-traitance/Turbomeca, MBDA, ONERA

Maîtrise d’ouvrage/DGA

Calendrier

Jusqu’en mars 2005/Préparation et avant-projet

Mars 2005/Notification du contrat

Mars 2005 à été 2006/Faisabilité et définition

Eté 2006 à début 2009/Développement, fabrication et essais partiels

Début 2009 à mi 2010/Essais sol

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  • 4 weeks later...

Un nouvel élément dans la guerre entre l'épée et le bouclier (ou le porte avions) :

Un missile ballistique anti navire chinois avec une portée de 2000 km des capacités furtive, et  une manoeuvrabilité s'intégrant dans un réseau de capteurs multiples dont des UAV avec une capacité hypersonique permettant d'être sur zone en 12 min et de détruire un Super PA avec une seule frappe :

Ce missile risque de remodifier la question de la distance d'engagement des PA, actuellement dans la bande 200 à 600 Nm !

Car correspondant alors à une arrivée sur zone en même pas 2 minutes.

Et d'autre part de poser la question de la défense plus sur la capacité d'interception ABM que sur la mobilité du GAN.

A se demander si l'inconvénient principal d'une Mobile Offshore Base par rapport à un PA  : à savoir son caractère statique tient encore s'il devient aussi aisé de repérer un PA "via un réseau de capteurs multiple".

A noter que cela me rappelle encore une fois la désastreuse Millenium 2002 (http://en.wikipedia.org/wiki/Millennium_Challenge_2002) où les PA étaient traqués par des moyens rustiques.

On imagine aisément des UAV de petites taille donc à faible signature puissent passer entre les mailles du filet et trouver le PA (on se rappelle l'UAV iranien au dessus du Ronald Reagan)

Advanced missile poses substantial new threat for U.S. Navy

07:24 GMT, April 1, 2009 With tensions already rising due to the Chinese navy becoming more aggressive in asserting its territorial claims in the South China Sea, the U.S. Navy seems to have yet another reason to be deeply concerned. After years of conjecture, details have begun to emerge of a "kill weapon" developed by the Chinese to target and destroy U.S. aircraft carriers.

First posted on a Chinese blog viewed as credible by military analysts and then translated by the naval affairs blog, a recent report provides a description of an anti-ship ballistic missile (ASBM) that can strike carriers and other U.S. vessels at a range of 2000km.

The range of the modified Dongfeng 21 (CSS-5) missile is significant in that it covers the areas that are likely hot zones for future confrontations between U.S. and Chinese surface forces.

The size of the missile enables it to carry a warhead big enough to inflict significant damage on a large vessel, providing the Chinese the capability of destroying a U.S. supercarrier in one strike.

Because the missile employs a complex guidance system, low radar signature and a maneuverability that makes its flight path unpredictable, the odds that it can evade tracking systems to reach its target are increased. It is estimated that the missile can travel at mach 10 and reach its maximum range of 2000km in less than 12 minutes.

Supporting the missile is a network of satellites, radar and unmanned aerial vehicles that can locate U.S. ships and then guide the weapon, enabling it to hit moving targets.

The ASBM is said to be a modified DF-21 While the ASBM has been a topic of discussion within national defense circles for quite some time, the fact that information is now coming from Chinese sources indicates that the weapon system is operational. The Chinese rarely mention weapons projects unless they are well beyond the test stages.

If operational as is believed, the system marks the first time a ballistic missile has been successfully developed to attack vessels at sea. Ships currently have no defense against a ballistic missile attack.

Along with the Chinese naval build-up, U.S. Navy officials appear to view the development of the anti-ship ballistic missile as a tangible threat.

After spending the last decade placing an emphasis on building a fleet that could operate in shallow waters near coastlines, the U.S. Navy seems to have quickly changed its strategy over the past several months to focus on improving the capabilities of its deep sea fleet and developing anti-ballistic defenses.

As analyst Raymond Pritchett notes in a post on the U.S. Naval Institute blog:

"The Navy's reaction is telling, because it essentially equals a radical change in direction based on information that has created a panic inside the bubble. For a major military service to panic due to a new weapon system, clearly a mission kill weapon system, either suggests the threat is legitimate or the leadership of the Navy is legitimately unqualified. There really aren't many gray spaces in evaluating the reaction by the Navy…the data tends to support the legitimacy of the threat."

In recent years, China has been expanding its navy to presumably better exert itself in disputed maritime regions. A recent show of strength in early March led to a confrontation with an unarmed U.S. ship in international waters.

----

U.S. Naval Institute

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et en version française sur le Portail des Sous marins :

"La Chine développe une arme spéciale pour détruire les porte-avions américains"

Ce missile moderne constitue une menace substantielle pour l’US Navy

Par Rédacteur en chef.

Publié le 1er avril 2009, dernière mise à jour le 1er avril 2009.

Alors que les tensions se renforcent et que la marine chinoise devient plus agressive pour soutenir ses revendications territoriales en mer de Chine du Sud, l’US Navy semble avoir une autre raison d’être très inquiète.

Après des années de conjecture, des détails ont commencé à apparaitre sur une arme "tueuse" développée par les Chinois pour attaquer et détruire les porte-avions américains.

Un article récent publié sur un blog chinois donne une description d’un missile balistique anti-navires (anti-ship ballistic missile ou ASBM), d’une portée de 2.000 km, pouvant frapper porte-avions et autres bâtiments américains.

La portée du missile Dong Feng 21 modifié est significative en ce qu’elle couvre les régions qui seront probablement les zones de futures confrontations entre les forces de surface chinoise et américaine.

La taille du missile lui permet de transporter une tête suffisamment grosse pour infliger des dégâts importants à un gros navire, fournissant aux Chinois la capacité de détruire un porte-avions américain en une seule frappe.

Comme le missile utilise un système de guidage complexe, qu’il dispose d’une faible signature radar et d’une manœuvrabilité rendant imprévisible sa trajectoire, les chances qu’il puisse échapper aux systèmes de détection pour atteindre sa cible sont élevées. On estime que le missile peut voler à Mach 10 et atteindre sa portée maximale en moins de 12 minutes.

La localisation de la cible et le guidage de l’arme sont effectués par un réseau de satellites, des radars et des drones aériens. Cela permet de frapper des cibles en mouvement.

Alors que l’ASBM fait l’objet de spéculation au sein des cercles de la défense et de la sécurité nationale depuis longtemps, le fait que l’information proviennent maintenant de sources chinoises indique que le système d’armes est opérationnel. Les Chinois font rarement état de projets d’armement à moins qu’ils ne soient bien au-delà de l’étape des essais.

S’il est opérationnel comme les Américains le pensent, le système constituerait la première fois qu’un missile balistique a été développé pour attaquer des navires en mer. Les navires n’ont généralement aucun moyen de défense contre une attaque de missiles balistiques.

Les responsables de l’US Navy semblent considérer le développement du missile balistique anti-navires comme une menace tangible.

Après avoir passé la dernière décennie à insister sur le développement de navires pouvant naviguer près des côtes dans des eaux peu profondes, l’US Navy semble avoir rapidement changé de stratégie au cours des derniers mois. Elle s’attache désormais à améliorer les capacités de sa flotte de haute-mer et à développer les défenses anti-missiles balistiques."

http://corlobe.tk/article13385.html

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Un nouvel élément dans la guerre entre l'épée et le bouclier (ou le porte avions) :

Un missile ballistique anti navire chinois avec une portée de 2000 km des capacités furtive

http://blog.wired.com/defense/2009/03/china-turning-m.html

Le probleme de ce genre d'arme c'est quelle puisse servir d'alibi a une frappe nucléaire en riposte ... dans le sens ou on peut raisonnablement avoir un doute sur la conventionnalité de la charge militaire du missile ballistique ... et que ca suffirai a décider un tir nuke.

C'est d'ailleurs pour cette raison qu'on essaye autant que possible de ne pas mélanger les genres du moins depuis "l'abandon" du nulcéaire tactique ... d'éviter les ICBM conventionnelle ainsi que les missile de croisiere nucléaire, pour éviter de donner des alibi a l'ennemi pour une frappe nucléaire dans le doute ...

Genre le Norad detecte le tir sur le GAN ... il a juste 10 minute pour décider une riposte nucléaire avant l'impact. La probabilité qu'il déclenche un tir nulcéaire est non négligeable vu la forte probabilité que l'ICBM soit nucléaire ... et que le NORAD va pas attendre d'avoir un GAN complet hors combat le vérifier.

Ce genre d'arme a double tranchant est a prendre avec des pincettes. Déjà les missiles de croisiere conventionnels anti-navire sur base ASMP posaient ce problème.

Faire de l'ICBM tactique ... c'est un peu le meme probleme que de faire du nuke tactique, un mélange de genre pas forcément bienvenue pour l'utilisateur.

L'avantage de c e genre de menace c'est quel légitime un peu plus le choix de transformation des 4 Ohio en SSGM, qui sont immunisé contre ce genre de menace. Y a plus qu'a développer une solution d'interdiction aérienne sur base SSGM ... avec des drone aérien servant de rélai désignation et les missiles dans les silot du soum y a moyen de faire le ménage contre drone ou patmar.

Au délà faut reprendre les projet de B1B version supériorité aérienne ... avec des missiles longue portée genre Meteor ... contre drone patmar ou awacs ca doit bien porter largement a plus de 200km c'est petite bete.

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Bien sur que ce system chinois est opérationnel ! La preuve : ils n’en n'ont pas réalisé un seul test. L’auteur américain de l’article serait encore plus crédible s’il avait pu en citer un seul cas de test. Il est évident qu’un tel système d’arme - ogive balistique low-radar signature  tres manœuvrable et dotée d’un autodirecteur associée avec un réseau de satellites de désignation – a pu être mis au point sans un seul test… Je pense qu’il vaut d’ailleurs ne pas se risquer à le tester parce sinon on se serait rendu compte que cela ne marche pas (enfin pas du premier coup).

Quelques observations :

1)

Les chinois n’ont pas au jour d’aujourd’hui de satellites capable d’une telle désignation ;

2)

Apparemment les américains ne seront pas capables (ou trop stupides) pour s’en prendre aux drones ou aux avions de reconnaissance (et demain aux satellites) qui guideront le système ;

3)

Il va sans dire que le système chinois est si avancé que les américains ne seront pas capables de mettre en place des leurres contre l’autodirecteur de l’ogive ;

4)

Aucune défense terminale n’est possible, les croiseurs Aegis3 étant tous réservés a la défense du Japon ou de l’Alaska contre les fusées nord-coréennes. Et puis on a posé comme préalable que l’ogive chinoise n’est pas détectable au radar (ni en infrarouge ??) et de toute façon bien trop manoeuvrante pour pouvoir etre interceptee…

L’ogive chinoise est surement un bel objet technique : dans une enveloppe capable de résister à la rentrée, elle contient une charge militaire suffisante pour un porte avion taille Nimitz, un autodirecteur et son alimentation électrique et aussi des propulseurs de manœuvre pour le tout. Elle est largement plus compliquée a réaliser que celle des intercepteurs anti-missile US qui ont sur elle l’avantage de 1) ne pas avoir a entrer dans l’atmosphère 2) qu’un autodirecteur infrarouge est suffisant 3) pas de charge militaire 4) que les propulseurs sont tout petits parce que la masse a manœuvrer est petite (pour les chinois il y a la charge militaire, le bouclier de rentrée, l’alim électrique du radar, le radar…).

L’autodirecteur lui-même est une merveille : d’en haut du ciel il discrimine sur le mur de réflexion que constitue la surface de la mer (Rappel : la mer est réfléchissante pour les ondes radar sinon on détecterait les sous-marins en plongée avec un radar sur un avion) l’anomalie liée à la présence d’un navire. Ce n’est pas comme notre Exocet qui détecte ses cibles en silhouette sur l’horizon (ou elles se voient comme le nez au milieu de mon visage). Donc l’autodirecteur chinois est capable de « voir » une anomalie de 20 mètres de haut à une distance de 20 ou 50 km d’altitude. Difficile mais faisable et cela se fait, mais avoir pu mettre le tout dans le volume réduit d’une ogive balistique ou l’antenne ne peut pas être physiquement beaucoup plus grande que celle de notre missile MICA, moi je dis "Chapeau bas !" Evidement comme on l’a vu plus haut, il ne peut pas être brouillé (alors que ceux du Harpoon ou de l’Exocet peuvent l’être). Re-"Chapeau bas !" aux glorieux techniciens chinois…

Le tout est une très bonne nouvelle pour les USA et leur supériorité militaire globale. Disposant de moyens technologiques seulement légèrement en retard par rapport à ceux de la Chine, ils ont surement développé eux aussi un système similaire. Monté sur leurs missiles Minuteman (9,600 km de portée) et guidés par des satellites (et ca les américains en ont !) ou mieux par des SNA silencieux (ils en ont aussi…), qui ainsi n’auront plus besoin alors de se dévoiler lors de la frappe sur la cible, ils peuvent depuis les silos situés dans plaines du cœur de leur pays-continent frapper de manière imparable et en moins d’une demi-heure n’importe quelle cible mobile en mer. C'est enfin la guerre en pantouffles !

Merci BPCs pour ce post déposé sur le site un jour de 1er avril.

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Bien sur que ce system chinois est opérationnel ! La preuve : ils n’en n'ont pas réalisé un seul test. L’auteur américain de l’article serait encore plus crédible s’il avait pu en citer un seul cas de test. Il est évident qu’un tel système d’arme - ogive balistique low-radar signature  tres manœuvrable et dotée d’un autodirecteur associée avec un réseau de satellites de désignation – a pu être mis au point sans un seul test… Je pense qu’il vaut d’ailleurs ne pas se risquer à le tester parce sinon on se serait rendu compte que cela ne marche pas (enfin pas du premier coup).

On peut imaginer un missile téléguidé - type saclos - a énergie cinétique ... dans ce cas ce serait assez simple.

Un missile orbite basse avec un voie IIR temps réel ... un ogive avec liaison de donnée entrante ... un un pilote automatique déporté qui téléguiderait le ogive. La seule chose que contiendrait l'ogive serait le systeme de pilotage et la liaison de donnée.

Dans l'absolu rien d'impossible, un drone/SSK repere le GAN ... on pointe l'optique IIR dessus pour viser avec précision, on tire le missile dans la bonne fenetre ... puis en fonction des info du satellite on téléguide le missile ... Il y aura une latence d'une fraction de seconde si la liaison de donnée passe par un rélai satellite basse altitude, tres inférieur aux changement d'évolution des PA.

C'est peut etre bien pour éviter ce genre de guidage que les PA US nous font des évitement d'urgence aux essai :lol:

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Merci BPCs pour ce post déposé sur le site un jour de 1er avril.

Je me suis posé la question, étant un bon candidat à ce genre de gag (J'avais trouvé bien dommage il y a qq années, ce projet d'un1er Avril, de transférer Beaubourg près des rafineries de Dunkerque , au prétexte que c'était un peu le même type de construction :-[)

Ceci dit on trouve sur information dissemination une note très précise datant du 28 mars ce qui en ferait du poisson d'avril étendu :

http://informationdissemination.blogspot.com/2009/03/plan-asbm-development.html

où notamment est détaillé le projet d'UAV chinois, la technique de détection du groupe de Carrier par OTH radar:

"OTH Radar - Has a range of 800 to 3000 km. The accuracy in targetting is around 20 to 30 km. This can be improved to 2 to 3 km with improved algorithm. OTH radar can work with the recon satellites to provide more accurate targeting info."

concernant les satellites une des pistes :

"It mentioned that China can launch a 100 kg satellite on 12 hours notice. In peace mission 05. They launched an experimental satellite on August 2nd for detection/science experiment work."

Et aussi cette source :

"Check out page 20-21 of this new document from the DoD:

http://www.defenselink.mil/pubs/...Report_2009.pdf

The brief employment scenario contained in that report is less complex.

"combining conventionally-armed anti-ship ballistic missiles (ASBMs) based on the CSS-5 (DF-21) airframe, C4ISR for geo-location and tracking of targets, and onboard guidance systems for terminal homing to strike surface ships . . ."

ou encore :

"As described in an authoritative 2004 article for the Second Artillery Corps, the ASBM could employ “terminal-sensitive penetrating sub-munitions” to “destroy the enemy’s carrier-borne planes, the control tower and other easily damaged and vital positions.” This capability would have particular significance, as it would provide China with preemptive and coercive options in a regional crisis."

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Quelques observations :

1)

Les chinois n’ont pas au jour d’aujourd’hui de satellites capable d’une telle désignation ;

2)

Apparemment les américains ne seront pas capables (ou trop stupides) pour s’en prendre aux drones ou aux avions de reconnaissance (et demain aux satellites) qui guideront le système ;

3)

Il va sans dire que le système chinois est si avancé que les américains ne seront pas capables de mettre en place des leurres contre l’autodirecteur de l’ogive ;

4)

Aucune défense terminale n’est possible, les croiseurs Aegis3 étant tous réservés a la défense du Japon ou de l’Alaska contre les fusées nord-coréennes. Et puis on a posé comme préalable que l’ogive chinoise n’est pas détectable au radar (ni en infrarouge ??) et de toute façon bien trop manoeuvrante pour pouvoir etre interceptee…

L’ogive chinoise est surement un bel objet technique : dans une enveloppe capable de résister à la rentrée, elle contient une charge militaire suffisante pour un porte avion taille Nimitz, un autodirecteur et son alimentation électrique et aussi des propulseurs de manœuvre pour le tout. Elle est largement plus compliquée a réaliser que celle des intercepteurs anti-missile US qui ont sur elle l’avantage de 1) ne pas avoir a entrer dans l’atmosphère 2) qu’un autodirecteur infrarouge est suffisant 3) pas de charge militaire 4) que les propulseurs sont tout petits parce que la masse a manœuvrer est petite (pour les chinois il y a la charge militaire, le bouclier de rentrée, l’alim électrique du radar, le radar…).

Quelques remarques là dessus :

1) La désignation de cibles est censée faire appel à un réseau de satellites, de radars et de drones. Radars et drones, c'est déjà en place. Le réseau de satellites n'est pas forcément là pour faire du repérage, mais certainement plus pour la géo-localisation. Et ce réseau là est pour demain, probablement même avant Galiléo, d'où le conflit sur les fréquences ( voir http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=1111.msg368054#new )

2) Les américains sont-ils suffisamment stupides pour s'attaquer aux drones et radars chinois alors même qu'aucun acte hostile n'a encore été commis ? Ce type d'arme, s'il est développé, c'est pour servir en première intention, par surprise, un peu pour un Pearl Harbor en pleine mer. C'est une façon d'interdire la présence d'un GAN lors d'une montée en tension régionale : "si vous mettez un GAN et qu'on pète les plombs, vous devrez dire adieu à votre flotte car 10 minutes après notre pétage de plomb imprévisible, les missiles pleuvront."

3) Quel leurres met on en place contre un tir sur coordonnées ? A part se casser vite-fait ? Un porte avion gonflable pour faire de la "deception" comme pendant les opérations "fortitude" et "quicksilver" (sauf que c'étaient des chars gonflables).

4) La défense terminale reste possible, mais face à une ogive hypervéloce (>= Mach 10), et avec un préavis faible (<= 10 minutes), c'est singulièrement compliqué, même quand on sait d'où vient la menace (du haut).

A priori, pour l'ogive, il suffit d'une bonne charge explosive, d'un récepteur radio et de gouvernes pour le guidage terminal. Il faut juste s'assurer que le guidage radio, la réception des coordonnées corrigées de la cible et le positionnement (type sino-GPS) passent toujours, ce qui n'est pas forcément évident pendant la rentrée dans l'atmosphère - phénomène de "trou" dans les communications, comme avec les équipages des vols spatiaux habités, et je ne sais pas si ce "trou" est bi-directionnel, ou seulement dans le sens capsule->Terre.

Les seules parades paraissent le brouillage massif, les trajectoires d'évitement, et la prière si on en vient à activer la défense anti-ballistique terminale ... et la promesse d'une riposte nucléaire quittant ses silos avant même l'arrivée des missiles anti-navires sur leur cible.

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A combien peut-on estimer la "bonne charge explosive" ?

Certes l'ogive dispose d'une grande énergie cinétique ...

Mais bon quel poids d'explosif conventionnel une telle ogive peut elle transporter ?

Radars et drones de détection, certes mais

-à quelle distance des côtes chinoises ?

-sur quelle surface ?

-avec quelle sûreté pour les liaisons de données ?

Interdire une zone à un GAN en cas de tension régionale. Cela signifie que les chinois pourraient dire aux américains "nous vous dénions le droit en temps de paix de naviguer dans les eaux internationales"...

Là c'est non, on est plus dans le cas de l'Impeccable.

Les chinois sont des gens qui ne pètent jamais les plombs. Ce sont des orientaux qui ont des modes de fonctionnement bien à eux et les dirigeants chinois sont bcp de chose mais pas des instables susceptibles de pèter les plombs d'autant plus que chez eux la direction est plutôt collégiale.

Je pense que les américains auront descendu des drones chinois avant que les chinois aient "pèté les plombs" contre un GAN américain.

Effectivement les liaisons radios çà se brouille.

Mais une chose est certaine, un GAN américain est sûrement ce qu'il y a de plus ardu dans le monde militaire à

trouver

pister

attaquer

détruire...

L'idée d'une attaque indétectable conduite par satellite (trouver/pister), utilisant des corps de rentrée hyper véloce (détruire) est sûrement ce qui se fait de mieux aujourd'hui...

Mais qui peut le faire avec un bon taux de réussite?

Les américains eux mêmes en sont ils capables d'ailleurs (les chinois et les russes ayant bientôt des PA)

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Le point fondamental est que l’on ne devrait pas raisonner comme si un tel système qui, c’est vrai, est en théorie possible, était déjà opérationnel au profit de l’attaque. Et sans prendre en considération que la défense va s’adapter elle aussi.

Les USA n’ont pas développé un tel système alors que si un pays en a les moyens techniques, c’est eux en premier et qu’il leur donnerait un atout formidable puisqu’ils sont les seuls (avec les russes ?) avoir déjà les moyens indispensables de désignation des cibles (satellites ou mieux, les SNA). Pourquoi n’ont-ils pas ce système ? Parce que les obstacles techniques sont très grands comme j’ai voulu le montrer.

La question du test préalable du système n’est d’ailleurs pas seulement un problème de technicien. Il y a une implication stratégique et politique majeure. Imaginer que vous etes le président chinois : vous voulez donner une leçon aux ricains et vous donnez l’ordre d’attaquer un GAN américain en Mer de Chine. Mais l’attaque échoue. Eh bien vous allez passer alors une très très mauvaise soirée, je vous le garantis. Il va falloir soigneusement choisir les mots pour expliquer a la Maison Blanche ce que vous avez voulu faire alors que vous vous retrouvez beaucoup moins fort que ce que vous le pensiez une demi-journée plutôt…

Et même si les chinois avaient vraiment cette hypothétique arme tueuse de porte-avion, cela ne résoudrait pas leur problème militaire face aux USA. Se retrouver en guerre contre les USA et une guerre devenue « sérieuse » après la destruction d’un ou deux Nimitz et plusieurs milliers de marins et aviateurs, cela veut dire :

1)

La perte en une seconde des 2.000 milliards de dollars et plus de bons du trésor US que détient la Chine et sur lesquels les USA feraient immédiatement défaut (et qui seraient invendables pour la même raison) ;

2)

Le minage des ports chinois (Shanghai,…) par lesquels passent les exportations qui sont environs 50% du PIB de la Chine d’aujourd’hui. Les américains seraient certes alors privés de machines a laver neuves et de T-shirts, mais les chinois c’est leur substance économique même qui sera atteinte ;

3)

La perte des approvisionnements pétroliers (la Chine est désormais le deuxième importateur de pétrole au monde devant le Japon), parce que les USA resteront les maîtres des océans même sans porte avions.

On peut me dire que les chinois utiliseront alors l’arme suprême. Ils le peuvent. Mais, si on introduit l’hypothèse thermonucléaire, alors pas besoin de se fatiguer a développer ce concept de missile balistique antinavire : personne n’a jamais prétendu que les GAN, même américains, survivraient plus de quelques heures si on en vient la.

Je n’exclue pas que ce dernier développement soit, au moins partiellement, peu hors sujet par rapport au topic des « Missiles navals ». Les lecteurs voudront bien avoir la gentillesse de m’en excuser.

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A combien peut-on estimer la "bonne charge explosive" ?

Certes l'ogive dispose d'une grande énergie cinétique ...

Mais bon quel poids d'explosif conventionnel une telle ogive peut elle transporter ?

Radars et drones de détection, certes mais

-à quelle distance des côtes chinoises ?

-sur quelle surface ?

-avec quelle sûreté pour les liaisons de données ?

@Pascal

Lisez le lien d'Information dissemination : il y a plus de détails.

Ceci cela me remets en mémoire un intervenant manifestement très calé sur Secret Défense,  celui qui vous félicitait pour votre professionnalisme mais disait que vous n'aviez pas mentionné la route Avia :

Déjà il disait qu'un PA est vulnérable à un état doté de radar à longue portée :

ce qui nous ramène au cas de figure actuel : La zone jusqu'à 2000 km des côtes et non plus 300 km par le biais de missile de croisière hypersonique type Klubb ou Brahmos.

Interdire une zone à un GAN en cas de tension régionale. Cela signifie que les chinois pourraient dire aux américains "nous vous dénions le droit en temps de paix de naviguer dans les eaux internationales"...

Là c'est non, on est plus dans le cas de l'Impeccable.

Les chinois sont des gens qui ne pètent jamais les plombs. Ce sont des orientaux qui ont des modes de fonctionnement bien à eux et les dirigeants chinois sont bcp de chose mais pas des instables susceptibles de pèter les plombs d'autant plus que chez eux la direction est plutôt collégiale.

Et le but est clairement d'interdire les PA US dans cette zone afin de ne plus perdre une nouvelle crise des détroits contre TAiwan, où justement les USA l'avaient emporté en amenant 2 PA sur zone.

Quand les gens se contrôlent il n'y a pas besoin de se battre le rapport de force parle de lui-même. C'est comme à Fachoda : la flotte française ne faisait pas le poids contre les GiBi donc il n'y a pas eu de bataille navale. (d'où le Si vis pacem etc...)

Le problème est que la zone d'intervention des PA est entre 200 à600 Nm ne serait ce que du fait du rayon d'action des F/A -18E/F et le retirement des F-111 (ou le non développement des A-12 avanger II)

Je pense que les américains auront descendu des drones chinois avant que les chinois aient "pèté les plombs" contre un GAN américain.

Effectivement les liaisons radios çà se brouille.

Mais une chose est certaine, un GAN américain est sûrement ce qu'il y a de plus ardu dans le monde militaire à

trouver

pister

attaquer

détruire...

L'idée d'une attaque indétectable conduite par satellite (trouver/pister), utilisant des corps de rentrée hyper véloce (détruire) est sûrement ce qui se fait de mieux aujourd'hui...

Mais qui peut le faire avec un bon taux de réussite?

Les américains eux mêmes en sont ils capables d'ailleurs (les chinois et les russes ayant bientôt des PA)

Ou bien il va y avoir du travail du côté des systèmes anti-missiles et notamment on peut citer le prometteur N-Cade :

http://www.defenseindustrydaily.com/ncade-an-abm-amraam-03305/

mais le ticket devient de plus en plus couteux

Ce qui peut monter les enchères en cas de crises locales sur une ile du détroit et amener cette fois les US à ne pas intervenir pour cause de risque trop massif

Ou alors cela conduira à favoriser autre chose : les Ohio ou le next gen bomber 2018 qui lui n'aura pas la problématique de circuler dans la bande maintenant à risque des 2000 km de la côte.

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Je suis le pdt chinois (si si des fois quand je m'ennuie çà m'arrive)

Je ne veux pas que les américains m'emmerdent à Propos de Taïwan et je veux faire passer le message à Mr O

Je fais quoi avant de déclancher l'holocauste ?

Et ben d'abord je me débarrasse encore plus vite que je ne le fait aujourd'hui de mes bons du trésor US, je développe ma stratégie actuelle d'implantation et de rachats de mines et de stocks de matère premières...

En clair je fait prévaloir les domaines ou ma puissance est vraiment susceptible de faire plier l'amérique discrètement sans que personne ne perde la face.

@bpc

radar à longue portée certes mais en mode transhorizon on change un peu de caractéristiques et de capacités.

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Vous savez que c'est la zone Europe là? Hein? Vous le savez n'est ce pas?

On va dire que c'est le CdG qui se prend le suppositoire chinois dans la face, parce qu'il venait livrer une nouvelle cargaison de MICA à Taïwan. Ca compte, comme ça ?

Ah, on me souffle dans l'oreillette que c'est pas possible de voir un GAN français en action avant 2010 ...

Ok, je sors, et je tacherai de ne plus me laisser entrainer au hors-sujet. :-X

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http://www.corlobe.tk/article13455.html

Quand la version sous-marine du missile Brahmos sera-t-elle disponible ?

Parfois, la technologie va trop vite pour les armées. Le développement de certaines peut être tellement rapide que, lorsqu’elles sont prêtes pour être testées et mises en service, aucune plateforme n’est adaptée pour la recevoir. C’est la mésaventure que arrive actuellement à la marine indienne avec la version sous-marine du missile supersonique de croisière Brahmos.

Une course aux armements s’intensifie actuellement dans le domaine des missiles en Asie du Sud — bien que et l’Inde et le Pakistan le démentent tous les deux — et les armées des 2 pays essayent de surpasser l’autre dans l’acquisition de systèmes de lancement.

La marine indienne a été dépassée par le rythme du développement du missile Brahmos, le seul missile de croisière anti-navives supersonique au monde. Elle n’a pas réussi à se passer d’un seul de ses sous-marins vieillissants pour tester la version sous-marine du missile.

“Parfois, explique le directeur du développement du missile, la technologie fixe un rythme que les armées ne peuvent suivre. Si le concepteur reçoit le soutien des utilisateurs (les armées), tout devient plus facile. Actuellement, nous avons des problèmes avec la marine.”

Un missile lancé depuis un sous-marin dispose de l’avantage suprême de rester caché jusqu’à son lancement. Mais la marine indienne ne peut pas se passer d’un seul de ses 13 sous-marins pour que le concepteur du Brahmos puisse tester la version sous-marine du missile. Le concepteur explique que les essais depuis un caisson immergé (simulant un sous-marin) ne sont pas suffisants.

Le missile et son lanceur doivent être intégrés verticalement dans le sous-marin.

Les sous-marins de la classe Kilo (d’origine russe) dont dispose la marine indienne, ne sont pas construits pour durer assez longtemps pour cette capacité.

Même les sous-marins Scorpène d’origine française qui ont été commandé en 2006, ne sont pas configurés pour le Brahmos — un manque crucial lorsque le contrat des sous-marins a été négocié.

Donc, le concepteur du missile Brahmos devra attendre la série suivante de 6 sous-marins supplémentaires pour qu’il puisse faire passer la version sous-marine de la table à dessin au centre d’essai.

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Je ne crois guère à l'argument du "on a pas le temps de distraire un de nos SM pour tester le missile"...

Je crois surtout que le missile est simplement trop gros trop puissant ou trop lourd

En fait le Brahmos doit avoir des caractéristiques qui nécessitent quasiment de dessiner le SM autour de l'engin:

diamètre du conteneur ?

longueur ?

poids ?

carburant propulsion ?

rendent la manutention et le stockage délicats voir impossibles dans un compartiment armement qui n'aurait pas été spécifiquement conçu pour lui...

EN CLAIR cet engin en grande partie conçu par les russes est destiné à un grand SNA genre Oscar II et pas vraiment à un SSK de 3000 tonnes....

Les baisés comptez vous ...

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On peut jouer sur la dimension de la bête en jonglant avec la portée. Ainsi la version Air-Surface du SS-N-26 est plus légère et peut être embarquée sous un Flanker.

Pour le Brahmos ses spéc physiques ne doivent pas énormément changer par rapport au Yakhont.

Ce qui me fait marrer c'est la petite phrase:

"le seul missile de croisière anti-navives supersonique au monde"

Et hop, on oublie tous les missiles antinavires russes, y compris le 26 qui est à l'origine du Brahmos... Ces indiens, j'vous jure...

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C'est sur que l'on ne va pas rétrofiter un SM pour qu'il tire des BrahMos, a moins de faire de très lourdes modifs pour un résultat incertain. Mais les indiens devaient bien s'en douter, et de toute façon ils y a bien le Klub qui lui peut être adapté sans problème.

Mais pas non plus besoin d'un SM énooorme pour loger des BrahMos, qui reste bien plus léger que les Granit qui équipent eux les Oscars. Les russes restent d'ailleurs très hésitant sur l'adoption de ce missile car pour eux il parait un peut faiblard  =)

Image IPB

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Ouep. Kilo+SS-N-27 Klub. Adaptation qui a merdé à cause de stabilisateurs au rabais.

Pour les 26, leur adaptation sur Oscar II est elle toujours d'actualité? Ca fait une paie que je n'en ai pas entendu parler... Et pour ma part je ne suis pas favorable, moins d'allonge, moins puissant. Juste la vitesse terminale qui est certes deux fois plus importante et le fait qu'il file à 5m de l'eau au lieu d'une quinzaine. Le truc c'est que bon, faudra minimum trois Onyx pour couler un bâtiment de tonnage moyen là où un Granit te le coupe en deux. Sans parler du fait qu'un 19 peut se voir équipé d'une tête nuke de 500Kt.

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Ouep. Kilo+SS-N-27 Klub. Adaptation qui a merdé à cause de stabilisateurs au rabais.

Pour les 26, leur adaptation sur Oscar II est elle toujours d'actualité? Ca fait une paie que je n'en ai pas entendu parler... Et pour ma part je ne suis pas favorable, moins d'allonge, moins puissant. Juste la vitesse terminale qui est certes deux fois plus importante et le fait qu'il file à 5m de l'eau au lieu d'une quinzaine. Le truc c'est que bon, faudra minimum trois Onyx pour couler un bâtiment de tonnage moyen là où un Granit te le coupe en deux. Sans parler du fait qu'un 19 peut se voir équipé d'une tête nuke de 500Kt.

Avec tous les système électronique indispensable au bon fonctionnement des navires de nos jours qui peuvent être endommager, est ce qu'on a vraiment besoin que le missile coupe le navire en 2? le but d'un missile n'est il pas de mettre un navire hors d'usage le temps qu'un navire/SM puisse s'approcher pour achever la bête blessée?

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A la base le Granit n'est pas fait pour couler une Gowind mais désosser un CVN. C'est clair que pour mettre hors cours un navire de 500/2000t, un shipwreck c'est overkill. Après le fait qu'il y ait plus d'électronique ne voudra pas non plus forcément dire qu'un Yakhont sera suffisant pour faire baisser l'étendard à une FREMM par exemple. Par contre avec 750kg de charge perce blindage-HE là tu es sûr que la frégate aura aura une mission de plus, récif corallien :lol:

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