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Drone (UAV) dans l'armée de terre française


Manu

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https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/si-si-le-drone-tactique-patroller-safran-va-enfin-entrer-en-service-952378.html

Citation

« Le Patroller a été certifié avant-hier par la DGA (Direction générale de l'armement), il est prêt à voler, prêt à être utilisé en opérations », a affirmé vendredi le directeur général de l'équipementier aéronautique, Olivier Andriès lors de la présentation des résultats de Safran.

Par ailleurs, Olivier Andriès se dit prêt « s'il le faut » à investir dans « une seconde ligne d'assemblage » si « le ministère des Armées souhaite massifier une commande de Patroller » dans le cadre de l'économie de guerre.

 

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Il y a 6 heures, hadriel a dit :

https://www.opex360.com/2023/02/18/le-drone-tactique-patroller-a-obtenu-sa-certification-aupres-de-la-direction-generale-de-larmement/
 

10 appareils seulement et 2 stations sol, une poignée de plus (sans station sol !) pour l’entraînement : décidément ça ne fait pas lourd. Peut-être la prochaine LPM si le système fait ses preuves ?

Je n’avais jamais noté le Radar ITALIEN !!! Leonardo à bord, c’est rafraîchissant. Ca montre au moins à Thales que c’est possible

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https://pdf.aeroexpo.online/pdf/leonardo-finmeccanica/picosar/169774-18417.html

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2 stations sol 

Il me semble que c'est une station prevu pour 2 drones Un station sol c'est un containaire avec l'Antenne qui se monte au dessus pour envoyer le signal au drone . 

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ICI LES TECHNICIENS DE SAFRAN QUI FONT LES COURS AUX 61 RA

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Ils sont 3 à l'interieur le chef mission, le pilote drone, et le pilote boule optronique.   

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Il y a 6 heures, Métal_Hurlant a dit :

...et en plus il est moche (le drone, pas Goya)

 

Le reproche que je lui ferai est surtout que dans la version de base, il emporte deja ses charges principales (radar EW, ...) en emport sous les ailes. Cela sous-entend que le planeur est un peu sous-dimensionne pour la mission meme si cela va dans le sens de la modularite.

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Il y a 2 heures, Deres a dit :

Le reproche que je lui ferai est surtout que dans la version de base, il emporte deja ses charges principales (radar EW, ...) en emport sous les ailes. Cela sous-entend que le planeur est un peu sous-dimensionne pour la mission meme si cela va dans le sens de la modularite.

Sous dimensionné par rapport à quoi, je ne comprends pas

Il répond a son cahier des charges d'emport

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Les charges sous les ailes trainent plus que dans le fuselage donc sont moins optimales (maitre-couple et surface mouillee plus grand). Et je ne parle meme pas des problemes de visibilite. Des la mise en service, le fuselage est donc deja trop petit pour les emports principaux.

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1 hour ago, clem200 said:

Sous dimensionné par rapport à quoi, je ne comprends pas

Il répond a son cahier des charges d'emport

Il y a une différence entre besoin et cahier des charges. Si entre l'écriture du cahier des charges et la livraison du produit fini, le besoin change, le produit fini peut à la fois être ce qui était demandé et ne pas être ce qui est voulu...

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Il y a 2 heures, Deres a dit :

Les charges sous les ailes trainent plus que dans le fuselage donc sont moins optimales (maitre-couple et surface mouillee plus grand). Et je ne parle meme pas des problemes de visibilite. Des la mise en service, le fuselage est donc deja trop petit pour les emports principaux.

La configuration de l'appareil résulte d'un compris technique entre les besoins et le cout

Il n'y a rien de trop petit, il répond aux besoins de l'armée

Modifié par clem200
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il y a 47 minutes, clem200 a dit :

La configuration de l'appareil résulte d'un compris technique entre les besoins et le cout

Il n'y a rien de trop petit, il répond aux besoins de l'armée

On veut deja changer le besoin en ajoutant l'emport de munitions et cela se fera au detriment des charges sous les ailes.

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  • collectionneur changed the title to Drone et robot dans l'armée de terre française
Il y a 3 heures, mehari a dit :

Techniquement parlant, un robot terrestre reste au sol tandis qu'un drone est par définition volant.

On parle pourtant de drone naval voire sous-marin alors pourquoi pas de drone terrestre ? Peut-être associe-t-on systématiquement à tort le drone au ciel.

Autre ambiguïté, un drone doit-il forcément posséder une capacité d’autonomie ou peut-il simplement être télécommandé ?

Quant aux drones armés, le problème éthique vient à priori uniquement de la décision de tirer pour laquelle on ne sait pas si elle doit revenir à la machine ou à l’être humain.

Dans le second cas je ne vois pas pourquoi on se passerait de drones armés. Je trouve qu’en France on tarde à les développer.

Modifié par rodac
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20 minutes ago, rodac said:

On parle pourtant de drone naval voire sous-marin alors pourquoi pas de drone terrestre ? Peut-être associe-t-on systématiquement à tort le drone au ciel.

Ou peut-être que le terme "drone naval" est utilisé par des gens qui ne parlent pas un français (ou anglais d'ailleurs) correct. La terminologie appropriée pour un "drone naval" ou "drone sous-marin", c'est "engin de surface (ou navire) autonome" et  "engin sous-marin autonome" (USV et UUV (ou AUV)).

Le terme drone sous-marin est parfois utilisé (par les anglophones) mais il est complètement abusif (mais qu'attendre d'autre de la part de gens utilisant les mêmes unités pour masse et force?) étant donné qu'un drone est explicitement un engin volant. Et "drone naval", ce n'est pas un engin qui flotte mais un drone aéronaval.

Dictionnaire Le Robert: "Petit avion sans équipage embarqué, télécommandé ou programmé."

Oxford Dictionary: "an aircraft without a pilot, controlled from the ground, used for taking photographs, dropping bombs, delivering goods, etc."

Et si dire "engin autonome" est trop ennuyant, ça tombe bien, il y a un mot pour ça. C'est "robot" (note que la plupart des applications militaires tomberont dans la sous-catégorie "robot mobile").

Modifié par mehari
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Il y a 11 heures, mehari a dit :

Ou peut-être que le terme "drone naval" est utilisé par des gens qui ne parlent pas un français (ou anglais d'ailleurs) correct. La terminologie appropriée pour un "drone naval" ou "drone sous-marin", c'est "engin de surface (ou navire) autonome" et  "engin sous-marin autonome" (USV et UUV (ou AUV)).

Le terme drone sous-marin est parfois utilisé (par les anglophones) mais il est complètement abusif (mais qu'attendre d'autre de la part de gens utilisant les mêmes unités pour masse et force?) étant donné qu'un drone est explicitement un engin volant. Et "drone naval", ce n'est pas un engin qui flotte mais un drone aéronaval.

Dictionnaire Le Robert: "Petit avion sans équipage embarqué, télécommandé ou programmé."

Oxford Dictionary: "an aircraft without a pilot, controlled from the ground, used for taking photographs, dropping bombs, delivering goods, etc."

Et si dire "engin autonome" est trop ennuyant, ça tombe bien, il y a un mot pour ça. C'est "robot" (note que la plupart des applications militaires tomberont dans la sous-catégorie "robot mobile").

Il arrive parfois aussi qu’un engin téléguidé ou un télémanipulateur soit appelé « robot.

A la lumière de ce que vous dites: engin terrestre autonome, engin naval autonome et drone (engin aérien autonome pour rester français ).

Encore que les drones sont plutôt « «sans pilote » à bord et plus rarement autonomes.

Anecdotiquement , dans un journal télévisé, j’ai vu une infographie illustrant un engin autonome sous-marin simplement représenté par un drone évoluant dans l’eau.

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On 2/26/2023 at 9:13 AM, rodac said:

Il arrive parfois aussi qu’un engin téléguidé ou un télémanipulateur soit appelé « robot.

A la lumière de ce que vous dites: engin terrestre autonome, engin naval autonome et drone (engin aérien autonome pour rester français ).

Encore que les drones sont plutôt « «sans pilote » à bord et plus rarement autonomes.

Anecdotiquement , dans un journal télévisé, j’ai vu une infographie illustrant un engin autonome sous-marin simplement représenté par un drone évoluant dans l’eau.

Effectivement, "sans pilote" est plus approprié. Le degré d'autonomie étant variable (complètement autonome, non piloté mais supervisé (trajectoire automatiquement établie mais contrôle manuel sur les moyens d'observation par exemple), complètement téléguidé, etc.).

Il est intéressant de noter que les premiers drones étaient purement autonome, à cause des limitations technologiques de l'époque. Le trajet et l'observation étaient préprogrammés et le résultat n'était connu qu'au développement des images collectées, plusieurs heures plus tard.

Modifié par mehari
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Critique cinglante du COUT GLOBAL du Patroller

"On aura beaucoup progressé quand on aura enfin compris que dans le triptyque Faster-Better-Cheaper (ça claque mieux en anglais) lorsqu'on cherche à aller au delà du "très bien" vers le "parfait" on explose les délais et les coûts."

"350 millions d'euros pour 14 Patroller = 25 million/unité                     Prix d'un Tigre HAP = 28 millions."

Relativisée par d'autres commentaires afférents

 

Modifié par Bechar06
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Cela compare le cout complet du programme Patroller incluant la R&D et les stations sol et le prix sec des Tigres ...

Vu comme cela, le programme Tigre complet doit etre a plus de 7 milliards, donc un Tigre vaut probablement de l'ordre de 100 millions d'euros avec cette methode de calcul.

Et il faut ajouter que les couts de maintenance et d'entrainement des pilotes doit etre bien plus eleve.

Mais pour moi, le gros souci, c'est surtout le nombre de 14 drones commandes et que cela correspond en fait a 3 stations sol seulement. Cela sous-entend que l'on ne pourra en deployer qu'un ou deux en vol simultanement sur un theatre d'operation. Vu comme cela l'idee de les armer me semble saugrenu car ils seront deja tres tres occupe par la reconnaissance ...

Modifié par Deres
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Il y a 7 heures, Deres a dit :

Mais pour moi, le gros souci, c'est surtout le nombre de 14 drones commandes et que cela correspond en fait a 3 stations sol seulement. Cela sous-entend que l'on ne pourra en deployer qu'un ou deux en vol simultanement sur un theatre d'operation. 

Rien ne dit qu'une station sol pilote seulement un drone 

Modifié par clem200
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Il y a 8 heures, clem200 a dit :

Mais non ! @Hirondelle nous donnera le vrai prix d'un Tigre, c'est bien plus que ça ....

On se moque ?!

A raison : tout ce que j’ai c’est prix HAP+conversion HAD (montants non cohérents, la conversion serait quasi au prix du Tigre HAD neuf sur catalogue)+ règle de trois pour le mk3.

Flemme de rechercher, tout est plus haut, mais il me semble qu’on est avec cette méthode approximative pas loin des 80M€*. Et comme au mieux c’est pour 50% de dispo, ça nous met le ventilateur de combat avec ses méchantes petites griffes et sa super-radio à 160M€.

Un peu de mauvaise foi et j’arrondis à 200 :bloblaugh:

L’idée c’est que c’est astronomique d’autant que le flotte est perpétuellement en transformation entre 2 standards.
 

* évidemment on n’aura jamais les chiffres, ou si on a quelque chose ça sera sans les détails du calcul.

——-> bonnet phrygien, pique à la main…

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  • 2 weeks later...

Bonjour,

les drones suicides qu'on peut voir en action en Ukraine, comment peut on les détecter pour pouuvoir imaginer les détruire? S'ils sont à propulsion électrique y a pas ou si peu de trace IR, et la masse métallique embarquée assez limiitée.

Merci de vos éclairages.

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Le 08/03/2023 à 21:27, R force a dit :

Bonjour,

les drones suicides qu'on peut voir en action en Ukraine, comment peut on les détecter pour pouuvoir imaginer les détruire? S'ils sont à propulsion électrique y a pas ou si peu de trace IR, et la masse métallique embarquée assez limiitée.

Merci de vos éclairages.

Au hasard le bruit, avec mise en réseau d'écouteurs puis triangulation. Ça marche très bien avec le Pilar V de Metravib présent sur beaucoup de véhicules de d'AdT française. En revanche ça suppose une détection en aval du passage de l'engin volant du fait de la faible vitesse du son. La veille optique y-compris à l'aide du capteur universel eyeball mk1 associée à un réseau de téléphonie classique pour signaler les passages (ce que font les ukrainiens à l'heure actuelle) marche également mais demande une attention constante et beaucoup de personnel. On pourrait cependant envisager de la remplacer par des plots caméra et une reconnaissance de forme dopée à l'IA qui ferait ce travail sans opérateurs humains (à condition que le système soit protégé contre le piratage). Enfin éventuellement un réseau de radars passif imageant le bain d'ondes des antennes relais et recherchant les traces laissées dans ledit bain d'onde par le passage des aéronefs, ce qui est d'ailleurs une piste pour la détection des avions furtifs. Ce genre de systèmes peuvent être mobiles au sol et même en l'air, l'Onera a fait voler un prototype de radar passif reposant sur cette technologie il y a quelques années.

Problème, aucune de ces solutions n'est déployable en masse partout de façon réaliste à brève ou moyenne échéance. Cependant on va probablement être obligés d'y passer tôt ou tard.

Finalement, la meilleure solution et la plus simple de loin technologiquement, c'est de faire comme en Finlande: enfouir tout ce qu'il est possible de mettre en sous-sol. À Helsinki ce sont toutes les grandes installations de la ville qui sont ainsi sous des dizaines de mètres de granit. Pour les centrales électriques ce sera plus difficile (un EPR en sous-sol? hum) mais pour les transformateurs par exemple c'est déjà une réalité dans bon nombre de villes et de pays.

 

Plus que les détruire, la meilleure arme permettant d'inverser l'équation économique, c'est à mon avis de nier au drone suicide sa capacité à être vulnérant.

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il y a 20 minutes, Patrick a dit :

Plus que les détruire, la meilleure arme permettant d'inverser l'équation économique, c'est à mon avis de nier au drone suicide sa capacité à être vulnérant.

… N'est ce pas utopique ?

Si effectivement une société qui selon l'adage bien connu "craint l'eau froide" comme la Finlande a bâti et pensé son pays de façon résiliente avec l'enfouissement de tout ce qui est sensible il n'empêche que sur le champ de bataille on ne va pas pouvoir enterrer les chars et tout l'échelon blindé d'une armée … Pour rebondir sur le post d' @herciv qui met en avant la nouvelle doctrine (ou les rêves humides) de LM, force est de constater que la menace est terrible et peu contestable actuellement.

La seule solution que j'entrevois même si elle va demander énormément de recherche c'est d'opposer aux drones suicide … des drones suicide ! Chaque brigade se verrait littéralement couverte par un essaim en veille à 360 ° et dès qu'une menace se profilerait, de façon autonome, un ou des drones iraient a la rencontre des assaillants pour les neutraliser. 

En gros, c'est a celui qui aura la meilleure I.A. et les meilleurs effecteurs qui gagnera la bataille. 

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il y a une heure, Patrick a dit :

Au hasard le bruit, avec mise en réseau d'écouteurs puis triangulation. Ça marche très bien avec le Pilar V de Metravib présent sur beaucoup de véhicules de d'AdT française. En revanche ça suppose une détection en aval du passage de l'engin volant du fait de la faible vitesse du son. La veille optique y-compris à l'aide du capteur universel eyeball mk1 associée à un réseau de téléphonie classique pour signaler les passages (ce que font les ukrainiens à l'heure actuelle) marche également mais demande une attention constante et beaucoup de personnel. On pourrait cependant envisager de la remplacer par des plots caméra et une reconnaissance de forme dopée à l'IA qui ferait ce travail sans opérateurs humains (à condition que le système soit protégé contre le piratage). Enfin éventuellement un réseau de radars passif imageant le bain d'ondes des antennes relais et recherchant les traces laissées dans ledit bain d'onde par le passage des aéronefs, ce qui est d'ailleurs une piste pour la détection des avions furtifs. Ce genre de systèmes peuvent être mobiles au sol et même en l'air, l'Onera a fait voler un prototype de radar passif reposant sur cette technologie il y a quelques années.

Problème, aucune de ces solutions n'est déployable en masse partout de façon réaliste à brève ou moyenne échéance. Cependant on va probablement être obligés d'y passer tôt ou tard.

Finalement, la meilleure solution et la plus simple de loin technologiquement, c'est de faire comme en Finlande: enfouir tout ce qu'il est possible de mettre en sous-sol. À Helsinki ce sont toutes les grandes installations de la ville qui sont ainsi sous des dizaines de mètres de granit. Pour les centrales électriques ce sera plus difficile (un EPR en sous-sol? hum) mais pour les transformateurs par exemple c'est déjà une réalité dans bon nombre de villes et de pays.

 

Plus que les détruire, la meilleure arme permettant d'inverser l'équation économique, c'est à mon avis de nier au drone suicide sa capacité à être vulnérant.

Beaucoup de drone sont aussi brouillés voir perdu acidentellement suite à une perte du signal .

   

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