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F-18


AWACS

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Invité Dorfmeister

Ben quoi ? Il part en vacances et il a mit son coffre de toit... sous le ventre.

 

--------> [ ]

Plus qu'à lui mettre un attache-remorque pour la caravane et on pourra le vendre aux Hollandais alors...

 

Ok, je connais la sortie :D

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Alors pour le F35 on hurle sur tous les toits que l'ultra furtivité ne servira plus à rien dans dix ans et là on râle que le Super Hornet n'est quand même pas bien furtif...

Faudrait savoir...

Déjà personne ne râle et les remarques portent sur la différence entre ce qu'ils vendent et ce qu'on voit.

Même si la furtivité ne voit pas à l'oeil nu comme l'aérodynamisme.

Modifié par clem200
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Maintenant est-ce qu'il y a des pays intéressés par cet ultime F-18 ?

Au hasard... Un pays avec 10 CVN mais qui aimerait bien que son aéronavale ait plus d'allonge ...

Et on remarque que cela devrait donner une longueur d'avance face à la vraie concurrence : le F-35

Modifié par BPCs
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Moi je trouve que ces CFT sur le dos c'est vraiment pas beau: come pour le F-16 ça transforme des pur sang en veaux ....

 

Moi esthétiquement j'aime bien le côté musclé de ce F-18.

Musclé ? Façon bodybulder aux hormones ou taureaux charolais,peux être... musclé façon gonflette.

 

Pour moi c'est nettement moins bien réussie que sur le F-15E qui lui dégage une impression de puissance sans perdre son coté félin aggressif, le muscle sportif ....

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Moi je trouve que ces CFT sur le dos c'est vraiment pas beau: come pour le F-16 ça transforme des pur sang en veaux ....

Tu veux les mettre où sur ces avions ? Pour le F-16, c'est impossible si c'est pour le mettre comme sur un F-15E, le réacteur a une forme telle que c'est impossible. Et sur le F-18 ça prendrait sûrement un point d'emport sous chaque aile. 

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Les CFT sur le dos permettent aussi de ne pas prendre de la place sous l'avion donc au dépend d'autres charges utile. Pour le F15, il faut choisir entre les CFT ou les soutes conformes.

 

Sur le F18 (mais aussi sur le Rafale) on peut placer des CFT sur le dos pendant qu'on installe une soute conforme sous le ventre.

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Il y a aussi un avantage aérodynamique à poser les CFTs sur le dos, ça augmente la longueur de l'extrados, donc c'est plutôt favorable pour la portance sans entraîner de trouble majeure à la traînée.

Oui mais ça détériore la loie des aires, donc les performances en transonique, même après avoir largué les charges.

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Oui mais ça détériore la loie des aires, donc les performances en transonique, même après avoir largué les charges.

 

Oui forcément ça augmente la section de manière permanente, mais comme il n'y a pas vraiment moyen d'augmenter la longueur de l'avion, c'est un peu la moins pire des solutions. Évidement augmenter la section, même si c'est fait assez progressivement a mesure de l'axe de l'avion ça pourri la trainée transonique, mais c'est pas comme si on se doutait pas qu'un avion plus bulky trainerait plus...surtout a "haute" vitesse.

 

Le probleme est exactement le même avec les soutes des avion furtif, ou avec les avion emportant beaucoup de carburant en interne.

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Accessoirement, si l'on n'a pas l'intention de passer transonique ou supersonique, la loi des aires n'est pas un soucis.

 

Oui et non, a la base c'est un probleme de méca flu banal qui est vrai a tout les vitesse subsonique même lente, c'est "juste" que l'effet est moins dramatique quand on est loin du transsonique. Plus ton avion est "bulky" plus il va trainer même a 150kts. C'est d'ailleurs pour ca qu'on évite autant que possible de fabriquer des avion qui ressemble a des boite a chaussure...

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  • 1 month later...
  • 1 month later...

 

le retour de super bug ?

 

http://aviationweek.com/defense/boeing-offers-new-rebuilt-upgraded-super-hornets-us-navy?NL=AW-05&Issue=AW-05_20151014_AW-05_749&sfvc4enews=42&cl=article_1&utm_rid=CPEN1000001204990&utm_campaign=4049&utm_medium=email&elq2=805b0ee3844245179314a1c242f006b7

traduction auto

Boeing propose l'US Navy un plan qui comprend la poursuite production à long terme de la F / A-18E / F Super Hornet pour soulager un déficit projeté majeur dans les numéros grève de chasse du service et de garder la force capable jusqu'à ce qu'un remplaçant est aligné, au milieu des années 2030 ou plus tard.

Flotte la plus vieille Super Hornet de la Navy va atteindre son 6000-RH. la conception à vie en 2017. Le reste de la flotte suivra à peu près au rythme où ils ont été acquis autour de 40 par an, mais la Marine peut se permettre 20 Lockheed Martin F-35C Joint Strike Fighters chaque année, au plus, et peut acheter moins de cette.

Pour combler cette lacune, Boeing inspecte haute temps Super Hornet à l'appui d'un programme d'extension de service de la vie (SLEP) qui prolongerait la vie de la chasse à 9.000 heures. Mais commandant de la marine pour l'aviation vice-amiral. Mike Shoemaker a déclaré en Août que le maintien de la force à travers un SLEP seul est "pas un défi sans conséquence." Si aucune nouvelles F / A-18 sont construits, reconstruits Super Hornet pourrait représenter 60% de la Strike Force-combattant en 2030, les documents montrent Navy. Les responsables de l'industrie disent que SLEP ne sera pas suffisant: "Il aide," dit l'un, "mais il ne vous donne pas là."

La réponse est une «solution globale, intégrée» combinant SLEP, nouvelle production et les mises à niveau, selon Dan Gillian, F / A-18E / F de Boeing et EA-18G programmes vice-président.

Le plan, qui de Boeing ne prévoit pas de coupes dans le F-35C buy-continuerait nouveau puits de production dans la prochaine décennie. SLEP et nouvelle production créent des possibilités pour insérer des améliorations dans la flotte tout en augmentant la période de récupération de l'investissement initial. La société est plus utilise le nom Advanced Super Hornet mais est plutôt informer la Marine sur une "trajectoire Hornet amélioré," avec un menu d'améliorations possibles, y compris les réservoirs de carburant conforme, un moteur amélioré et un cockpit large.

 

La société est dans le processus de la production ralentissement de deux avions par mois, le niveau auquel il peut maintenir les prix actuels. Les commandes en cours seront garder la ligne ouverte jusqu'en 2017, mais rendu final du Congrès ajoute un autre 12 Super Hornet dans le budget 2 016. Boeing est en "bonnes discussions" avec un autre client export Super Hornet, dit Gillian. Autres sources de l'industrie disent un accord 24-30-avions avec le Koweït-une scission acheter avec Eurofighter pour typhons, un accord annoncé en Septembre-est près d'être finalisé.

Ces ordres sont en soutenir la production jusqu'en 2019, dit Gillian. Boeing est toujours en compétition au Danemark, la planification des soumissions en Belgique et en Finlande et serait en position de force si le Canada ouvre ses besoins à la compétition après le 19 octobre élection fédérale.

 

Avec le Super Hornet SLEP prévu, Boeing et la marine sont l'espoir d'éviter les problèmes que le service a trouvés avec les F / A-18A-D "Classic" Hornets. Environ la moitié de l'inventaire Navy / Classique Marine est "hors de reporting" état aujourd'hui, soit parce qu'ils sont dans les dépôts de la Marine (à Jacksonville, en Floride, ou l'île du Nord, près de San Diego) ou en dehors des heures, en attendant le SLEP.

Le SLEP a surchargé un système de dépôt qui n'a jamais été conçu pour faire face, Boeing dit, mais un autre problème majeur est la corrosion, qui diffère d'un aéronef à et est souvent invisible jusqu'à ce qu'ils soient intronisés SLEP. Le dépôt doit ensuite commander des pièces spécifiques alors que l'avion occupe une position de ligne.

Le plan Boeing a l'intention de proposer la Marine augmente la capacité en établissant une ligne de SLEP de l'entrepreneur-exploité séparée, avec NAS Cecil Field, près de Jacksonville, où Boeing effectue déjà des inspections-aussi haut-heure de vol d'un emplacement probable. Northrop Grumman, qui construit le centre section de corps où de nombreuses réparations sont concentrés, serait impliqué.

Mais avec le taux élevé de PEpl-et chacun prenant environ une extension année de vie ne suffira pas à combler l'écart. La Marine a une force grève combattant notionnel de 40 escadrons-quatre pour chacune des ailes d'avion 10 porteuses. Le service est à court de combattants d'aujourd'hui, dit un dirigeant de Boeing, mais le problème est masqué parce que la Marine est à court d'un transporteur jusqu'à ce que le nouveau USS Gerald R. Ford est commandé, et d'autres transporteurs prennent plus de temps que d'habitude pour terminer leurs révisions de routine. Comme la flotte de porte récupère, la pénurie sera devenue plus apparente. Add-on Super Hornet achète depuis le début des années 2010 ont allégé le déficit, Boeing dit, mais pas empêchée.

Le problème a été exacerbé par le glissement 2010-11 dans le programme Joint Strike Fighter F-35 et par des retards dans le F-35C montée en puissance, la dernière dans la proposition budgétaire 2016 du budget. Ce coupé 16-20 aéronef de l'exercice 2016-20 Programme de la Défense les années à venir et a fixé un pic achat de 12 avions en 2020.

Combler le fossé de chasse avec plus de F-35-coûte 80% de plus à acheter et à exploiter que le F / A-18, selon Boeing et gouvernementaux chiffres-est peu probable d'être une option aussi longtemps que les budgets sont limités. La Marine peut plafonner F-35C achète à aussi peu que 12 par an dans les années 2020, contre un 20 prévu, selon des documents internes. Shoemaker a confirmé à la fin Août que «les chiffres du budget peuvent nous forcer à un nombre compris entre 12 et 20."

L'aviation de la Marine a été le projet de loi-payeur pour les autres comptes de passation de marchés du ministère de la Marine, un dirigeant dit. Secrétaire à la Marine Ray Mabus a des comptes de la construction navale cantonnés, et les Marines ont protégé leurs F-35B et de Bell Boeing V-22 achats. Dans le budget de l'exercice 2016 l'administration a envoyé au Congrès, les achats d'avions non-marins étaient à un niveau record-bas 25 unités, bien que le Congrès a augmenté ce nombre.

Autres palliatifs ont été proposées, y compris la plus grande utilisation de la formation en direct, virtuel, constructive et le système de guidage à l'atterrissage Magic Carpet (qui devrait réduire le nombre de sorties d'entraînement transporteur d'atterrissage), mais l'analyse de Boeing montre qu'ils ne seront pas fournir des secours suffisamment tôt pour faire une brèche importante dans le problème.

Modifié par zx
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Voici la version, anglaise, puisqu'il faut être enregistrer pour y accéder, j'ai pas eu le temps d'ajuster la traduction ce midi, je devais retourner au boulot dsl.

Boeing is offering the U.S. Navy a plan that includes continued long-term production of the F/A-18E/F Super Hornet to alleviate a major projected shortfall in the service’s strike-fighter numbers and keep the force capable until a replacement is fielded, in the mid-2030s or later.

The Navy’s oldest Super Hornet fleet will reach its 6,000-hr. design lifetime in 2017. The rest of the fleet will follow at approximately the rate they were acquired—around 40 per year—but the Navy can afford 20 Lockheed Martin F-35C Joint Strike Fighters each year, at most, and may buy fewer than that.

To fill this gap, Boeing is inspecting high-time Super Hornets in support of a service-life extension program (SLEP) that would extend the fighter’s life to 9,000 hr. But Navy commander for aviation Vice Adm. Mike Shoemaker said in August that maintaining the force through a SLEP alone is “not an inconsequential challenge.” If no new F/A-18s are built, rebuilt Super Hornets could account for 60% of the strike-fighter force by 2030, Navy documents show. Industry officials say that SLEP will not be enough: “It helps,” says one, “but it doesn’t get you there.”

The answer is a “holistic, integrated solution” combining SLEP, new production and upgrades, according to Dan Gillian, Boeing’s F/A-18E/F and EA-18G programs vice president.

Boeing’s plan—which does not envisage cuts to the F-35C buy—would continue new production well into the next decade. SLEP and new production create opportunities to insert upgrades into the fleet while increasing the payback period for the initial investment. The company is no longer using the Advanced Super Hornet name but instead is briefing the Navy on an “enhanced Hornet flightpath,” with a menu of possible upgrades including conformal fuel tanks, an improved engine and a widescreen cockpit.

Class E.T. Miller

The company is in the process of slowing production down to two aircraft per month, the level at which it can maintain current prices. Current orders will keep the line open until 2017, but Congress’s final markup adds another 12 Super Hornets in the 2016 budget. Boeing is in “good discussions” with another Super Hornet export customer, Gillian says. Other industry sources say a 24-30-aircraft deal with Kuwait—a split buy with Eurofighterfor Typhoons, a deal announced in September—is close to being finalized.

Those orders would sustain production through 2019, Gillian says. Boeing is still in competition in Denmark, planning bids in Belgium and Finland and would be in a strong position if Canada opens its requirement to competition after the Oct. 19 federal election.

 

With the planned Super Hornet SLEP, Boeing and the Navy are hoping to avoid the problems the service has found with the F/A-18A-D “Classic” Hornets. About half the Navy/Marine Classic inventory is in “out of reporting” status today, either because they are in the Navy’s depots (at Jacksonville, Florida, or North Island near San Diego) or out of hours, waiting for the SLEP.

The SLEP has overloaded a depot system that was never designed to cope with it, Boeing says, but another major issue is corrosion, which differs from aircraft to aircraft and is often invisible until they are inducted into SLEP. The depot then needs to order specific parts while the aircraft occupies a line position.

The plan Boeing intends to offer the Navy expands capacity by establishing a separate contractor-operated SLEP line, with NAS Cecil Field near Jacksonville—where Boeing already performs high-flight-hour inspections—as a likely location. Northrop Grumman, which builds the center body section where many repairs are concentrated, would be involved.

But with the high rate of SLEPs—and each taking about a year—life extension alone will not fill the gap. The Navy has a notional strike-fighter force of 40 squadrons—four for each of 10 carrier air wings. The service is short of fighters today, a Boeing executive says, but the problem is masked because the Navy is short one carrier until the new USS Gerald R. Ford is commissioned, and other carriers are taking longer than usual to complete their routine overhauls. As the carrier fleet recovers, the shortage will become more apparent. Add-on Super Hornet buys since the early 2010s have alleviated the shortfall, Boeing says, but not prevented it.

The problem has been exacerbated by the 2010-11 slip in the F-35 Joint Strike Fighter program and by delays in the F-35C ramp-up, the latest in the fiscal 2016 budget proposal. This cut 16-20 aircraft from the fiscal 2016-20 Future Years Defense Program and set a peak buy of 12 aircraft in 2020.

Filling the fighter gap with more F-35s—costing 80% more to buy and operate than the F/A-18, according to Boeing and government numbers—is unlikely to be an option as long as budgets are limited. The Navy may cap F-35C buys at as few as 12 per year in the 2020s, against a planned 20, according to internal documents. Shoemaker confirmed in late August that “budget numbers may force us to a number between 12 and 20.”

Navy aviation has been the bill-payer for other Navy department procurement accounts, one executive says. Navy Secretary Ray Mabus has ring-fenced shipbuilding accounts, and the Marines have protected their F-35B and Bell Boeing V-22 buys.  In the fiscal 2016 budget the administration sent to Congress, non-Marine aircraft buys were at a record-low 25 units, although Congress has increased that number.

Other palliatives have been proposed, including the greater use of live, virtual, constructive training and the Magic Carpet landing guidance system (expected to reduce the number of carrier-landing training sorties), but Boeing analysis shows they will not provide sufficient early relief to make a large dent in the problem.

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Je corrige un peu la traduction du début pour que ce soit plus compréhensible

Boeing propose l'US Navy un plan qui comprend la poursuite de la production à long terme du F / A-18E / F Super Hornet pour éviter un futur déficit majeur du nombre de chasseurs en service afin de garder la force capable jusqu'au déployement  d'un remplaçant prévu au milieu des années 2030 ou plus tard.

La flotte la plus vieille de Super Hornet de la Navy va atteindre les 6000 H  de durée de vie en 2017. Le reste de la flotte suivra à peu près au taux où ils ont été acquis soit autour de 40 par an, mais la Marine ne peut se permettre plus de 20 Lockheed Martin F-35C Joint Strike Fighters chaque année, et risque d'acheter encore moins.

Pour combler cette lacune, Boeing inspecte haute temps Super Hornet à l'appui d'un programme d'extension de service de la durée de vie (Service-Life Extension Program) (SLEP) qui prolongerait la vie des chasseurs à 9.000 heures. Mais le commandant de la marine pour l'aviation le vice-amiral. Mike Shoemaker a déclaré en Août que le maintien de la force à travers un SLEP seul n'est "pas un défi sans conséquence." Si aucun nouvaux F / A-18 n'est construits, les Super Hornet reconstruits pourrait représenter 60% de la Strike Force-combattant en 2030, d'après les documents de la Navy. Les responsables de l'industrie disent que SLEP ne sera pas suffisant: "Il aide," dit l'un, "mais ce n'est pas une solution finale"

La réponse est une «solution globale, intégrée» combinant SLEP, nouvelle production et les mises à niveau, selon Dan Gillian, F / A-18E / F de Boeing et EA-18G programmes vice-président.

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La suite

Le plan de Boeing -qui ne prévoit pas de coupes dans  l'achat du F-35C- continuerait la nouvelle production, longtemps dans la prochaine décennie. SLEP ainsi que la nouvelle production créent des possibilités pour améliorer la flotte tout en augmentant la durée d'amortissement de l'investissement initial. La société n' utilise plus le nom "Advanced Super Hornet" mais s'adresse à la Marine en parlant de "enhanced Hornet flightpath" avec un menu d'améliorations possibles, y compris les réservoirs de carburant conforme, un moteur amélioré et un cockpit larges écrans.


La société est dans le processus de ralentir la production à deux avions par mois, qui est le niveau auquel il peut maintenir les prix actuels. Les commandes en cours permettent de garder la ligne ouverte jusqu'en 2017, mais les décisions finales du Congrès ajoute 12  autres Super Hornet dans le budget 2016. Boeing est en "bonnes discussions" avec un autre client export pour le Super Hornet, dit Gillian. D' autres sources de l'industrie disent qu' un accord pour 24-30-avions avec le Koweït (un achat partagé avec l'Eurofighter typhons pour lequel un accord a été annoncé en Septembre) est près d'être finalisé.

Ces ordres peuvent soutenir la production jusqu'en 2019, dit Gillian. Boeing est toujours en compétition au Danemark, planifie des soumissions en Belgique et en Finlande et serait en position de force si le Canada ouvre ses besoins à la compétition après les  élections fédérales du 19 octobre.

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Encore une suite

Avec le SLEP du Super Hornet prévu, Boeing et la marine espère éviter les problèmes que le service a rencontré avec les F / A-18A-D "Classic" Hornets. Environ la moitié de l'inventaire "Classic" Hornets est dans la position  "hors de reporting" aujourd'hui, soit parce qu'ils sont dans les dépôts de la Marine (à Jacksonville, en Floride, ou l'île du Nord, près de San Diego) ou en limite de durée de vie, en attendant le SLEP.

Le SLEP a surchargé un système de dépôt qui n'a jamais été conçu pour y faire face,dit Boeing, mais il y a un autre problème majeur qui est la corrosion, celle ci diffère d'un aéronef à l'autre et est souvent invisible jusqu'à ce qu'ils soient intronisés SLEP. Le dépôt doit ensuite commander des pièces spécifiques alors que l'avion occupe déjà une position de ligne.

Le plan que Boeing entend proposer à la Marine augmente la capacité en établissant une ligne de SLEP séparée, avec NAS Cecil Field, près de Jacksonville, où Boeing effectue déjà des inspections, qui serait un emplacement probable. Northrop Grumman, qui construit la section centrale du corps où de nombreuses réparations sont concentrés, serait impliqué.

Mais avec un taux élevé de SLEP (chacun prenant environ un an) l'extension de durée de vie seule ne suffira pas à combler l'écart. La Marine a une force de chasseurs de 40 escadrons (quatre pour chacun des 10 porte-avion). Le service manque de chasseurs aujourd'hui, dit un dirigeant de Boeing, mais le problème est masqué parce que la Marine est à court de porte avion jusqu'à ce que le nouveau USS Gerald R. Ford est mis en service, et d'autres porte avion prennent plus de temps que d'habitude pour terminer leurs révisions de routine. Quand la flotte de porte avion sera en état, la pénurie deviendra plus apparente. Les achats additionnels de Super Hornet effectués depuis le début des années 2010 ont allégé le déficit, dit Boeing, mais ne l'ont pas empêché.

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La fin:

Le problème a été exacerbé par le glissement en 2010-11 du programme Joint Strike Fighter F-35 et par des retards dans la  montée en puissance de la production du F-35C, la dernière dans la proposition budgétaire de 2016. Cela enlève 16-20 aéronef de l'exercice 2016-20 du Programme de la Défense et cela fixe un pic d'achat de 12 avions en 2020.

Combler le manque de chasseurs avec plus de F-35 (qui coûte 80% de plus à l'achat et à exploiter que le F / A-18, selon Boeing et les chiffres gouvernementaux) est une option peu probable aussi longtemps que les budgets sont limités. La Marine peut plafonner les achats de F-35C  à un maigre 12 par an dans les années 2020, contre un 20 prévu, selon des documents internes. Shoemaker a confirmé à la fin Août que «les chiffres du budget peuvent nous forcer à un nombre compris entre 12 et 20."

L'aviation Marine a été le compte payeur pour les autres comptes de passation de marchés du ministère de la Marine, dit un dirigeant . Le secrétaire à la Marine Ray Mabus a des comptes sanctuarisé pour la construction navale, et les Marines ont protégé les achats de leurs F-35B et Bell Boeing V-22 . Dans le budget de l'exercice 2016 que l'administration a envoyé au Congrès, les achats d'avions "non-marins" étaient à un bas niveau record de 25 unités, bien que le Congrès ait augmenté ce nombre.

D'autres palliatifs ont été proposées, y compris la plus grande utilisation de la formation live, virtuel, constructive et le système de guidage à l'atterrissage Magic Carpet (qui devrait réduire le nombre de sorties d'entraînement à l'atterrissage sur porte avion), mais l'analyse de Boeing montre que ce ne sera pas suffisant ni assez tôt pour résoudre une grande partie du problème.

Modifié par Picdelamirand-oil
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