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Marine Néerlandaise


Marc P

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Si on va pas avec l'Italie ou qu'on fait pas un plan à 3 (avec l'Italie et les Pays-Bas), oui ca se peut, le planning colle plus ou moins.

Mais une alliance NG/NAVIRIS/FINCANTIERI/DAMEN/THALES aurait de la gueule

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6 minutes ago, Titus K said:

Potentiel France ?

Pas pour les radars. À certains égards, le fleuron radar de Thalès est au Pays-Bas (pour la partie navale surtout) et je crois que TACTICOS vient aussi de chez eux. La seule possibilité serait de placer des Aster et Exocet sur les navires mais j'ai un doute (d'une part, ils viennent d'acheter des NSM).

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Il y a 3 heures, mehari a dit :

Pas pour les radars. À certains égards, le fleuron radar de Thalès est au Pays-Bas (pour la partie navale surtout) et je crois que TACTICOS vient aussi de chez eux. La seule possibilité serait de placer des Aster et Exocet sur les navires mais j'ai un doute (d'une part, ils viennent d'acheter des NSM).

C'est pour ca que je pensais à un design et une construction en par NG, auquel on vient ajouter électronique Thales NL. 

Pour l'armement, j'ai malheureusement du mal a imaginer un passage du MK41 au Sylver, ne serait ce que par l'absence de solution quad pack comme ESSM qui est tres utilisée sur les frégates NL...

Il y a 3 heures, Asgard a dit :

Si on va pas avec l'Italie ou qu'on fait pas un plan à 3 (avec l'Italie et les Pays-Bas), oui ca se peut, le planning colle plus ou moins.

France / Italie / NL ce serait top, mais je pense que 2032/34 c'est tot pour le remplacement des Horizon.
Et l'Italie à déjà opté pour un croiseur lourd pour leur 3eme et 4eme eme bâtiments de defense aérienne. 

De plus le remplacement horizon sera probablement trop cher pour que les pays bas puissent en commander 4 comme prévu.

Modifié par Titus K
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46 minutes ago, Titus K said:

C'est pour ca que je pensais à un design et une construction en par NG, auquel on vient ajouter électronique Thales NL. 

Ils voudront que Damen soient impliqués dans le projet à mon avis.

47 minutes ago, Titus K said:

Pour l'armement, j'ai malheureusement du mal a imaginer un passage du MK41 au Sylver, ne serait ce que par l'absence de solution quad pack comme ESSM qui est tres utilisée sur les frégates NL...

CAMM/CAMM-ER (le 2-pack CAMM-MR est improbable par contre). Je crois que le manque de solution à plus longue portée (type SM-6) et anti-balistique SM-3 sont des plus gros freins si ils veulent laisser ces portes ouvertes.

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il y a 21 minutes, mehari a dit :

CAMM/CAMM-ER (le 2-pack CAMM-MR est improbable par contre). Je crois que le manque de solution à plus longue portée (type SM-6) et anti-balistique SM-3 sont des plus gros freins si ils veulent laisser ces portes ouvertes.

Ceci dit une solution pour le segment longue portée / ABM devrait arriver avec Aquila. D'ici 2032/34 je ne sais pas par contre ?

il y a 21 minutes, mehari a dit :

Ils voudront que Damen soient impliqués dans le projet à mon avis.

On pourrait imaginer un PSIM avec radar et les certains blocs assemblés par Damen puis envoyés a Lorient ... C'est pas très loin en soit.

Après pas sur que NG souhaite partager sa techno d'assemblage ou de PSIM avec un concurrent potentiel (je n'ai aucune idée si ces technos sont sensibles)

 

En soit le partenaire le plus logique point de vue timeline aurait été l'Espagne, dont les frégates F100 ont a peu près le meme age ... Le problème étant qu'ils veulent rester sur des techno Aegis ...

Modifié par Titus K
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9 hours ago, Titus K said:

Ceci dit une solution pour le segment longue portée / ABM devrait arriver avec Aquila. D'ici 2032/34 je ne sais pas par contre ?

On verra ce qu'il se passe avec Aquila, Twister, HYDEF, HYDIS et tout le reste. L'état de ces trucs est assez nébuleux de mon point de vue et ça ne règle de toute façon qu'une partie du problème.

Les intercepteurs anti-hypersoniques sont endo-atmosphérique ce qui fait que l'Aquila pourrait aussi servir de substitut au SM-6 tandis que les anti-ballistiques haut sont exo-atmosphériques et on a pas de projet là dessus. Le développement de l'Aster 30 au delà du Block 1NT va améliorer les choses avec un Aster 30 Block 2 supposé capable d'intercepter la plus gross partie du spectre MRBM mais on est pas vraiment au niveau du SM-3 ou de l'Arrow 3.

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Le 02/01/2024 à 20:21, mehari a dit :

Pas pour les radars. À certains égards, le fleuron radar de Thalès est au Pays-Bas (pour la partie navale surtout) et je crois que TACTICOS vient aussi de chez eux. La seule possibilité serait de placer des Aster et Exocet sur les navires mais j'ai un doute (d'une part, ils viennent d'acheter des NSM).

Sur une frégate de DA y'a deux radars, un basse fréquence longue portée (et anti furtifs) et un haute fréquence de contrôle de tir. On peut faire un deal comme sur les Horizon avec le SMART L où on utilise la solution Thales Pays bas pour un radar.

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  • 3 weeks later...

La défense et l'industrie de construction maritime 

https://open.overheid.nl/documenten/4c20ce77-df1e-4330-82fe-42fa7c6cf946/file
 

...

Les projets d'investissement maritime et agenda :

Au cours des 15 prochaines années, outre les sous-marins, la Royal Navy remplacera la quasi-totalité des grands navires de haute mer, plusieurs navires de soutien ainsi que les croiseurs et véhicules opérationnels du corps des Marines.
Pour contrer les menaces actuelles et futures, la flotte rénovée disposera de navires dotés de meilleurs capteurs et d'un meilleur armement pour attaquer l'ennemi à une plus grande distance.
En outre, la flotte fonctionnera en réseau avec des systèmes sans pilote sur et sous l'eau et dans les airs.
Par ailleurs, la protection des infrastructures vitales sous-marines et off-shore en mer du Nord fait l'objet d'une attention croissante.

Le tableau ci-dessous indique le nombre de grands navires de guerre que la Défense va acquérir au cours des 15 prochaines années.
Il s'agit au total de 28 grands navires de surface et de quatre sous-marins.
Le rôle de l'industrie néerlandaise dans la construction de ces navires est expliqué ci-dessous.
Le remplacement des sous-marins suit sa propre trajectoire.
Le rôle de l'industrie néerlandaise est limité dans l'acquisition des six navires de lutte contre les mines, qui est réalisée sous la direction de la Belgique.

  • 4 --> Frégates de Commandement et de Défense Aérienne
  • 2 --> Frégates de Lutte ASM
  • 6 --> Bâtiments Amphibies (LPX)
  • 8 --> Bâtiments de soutient 
  • 4 --> Sous-Marins
  • 6 --> Bâtiments de guerre des Mines 
  • 2 --> Naviresde "Protection des navires en mer du Nord et soutien aux frégates LC" (smart maritime)


...
 

Remplacement des 4 frégates de défense aérienne dans les années 2030 --> 2.5 Milliards pour les navires + 1 à 2.5 Milliards pour l'armement 
 

Programme LPX (remplacement des 4 OPV et des 2 Enforcer) dans les années 2030 en Coop avec UK --> 1 à 2.5 Milliards pour les navires
 

Programme "Smart Maritime"  --> "Les nouveaux navires auront deux missions principales : protéger les infrastructures vitales en mer du Nord et soutenir les frégates dans des conditions de menace élevée. En dehors des périodes de fortes tensions internationales, ces navires peuvent contribuer à l'amélioration de la qualité de vie des citoyens en mer du Nord, pour lesquels ils seront équipés de capteurs et de capacités d'action sous l'eau et sur les fonds marins. En outre, pour les opérations à haut risque, les nouveaux navires peuvent également soutenir une frégate LC en dehors de la zone de la mer du Nord.
Les nouveaux navires disposent d'une réserve de missiles antiaériens et suivent la frégate à courte distance. La frégate LC fournit les ordres de lancement de leurs missiles et guide les missiles vers la cible. En cas d'attaque ennemie, grâce à cette réserve supplémentaire de missiles, la frégate LC est mieux à même de contrer les salves d'un grand nombre de missiles ennemis."


Remplacement Frégates lutte ASW --> Les deux projets de remplacement des frégates M et des capacités de lutte contre les mines seront menés en coopération avec la Belgique. Dans le cadre du projet de remplacement des frégates M (ASWF), dirigé par les Pays-Bas, l'industrie néerlandaise construira quatre frégates, dont deux pour la Belgique. Pour les frégates ASW, la Défense conclura une série d'environ 40 contrats. Les deux contrats les plus importants concernent la construction du navire par Damen Naval et le radar AWWS et le système de contrôle des tirs par Thales Netherlands.
Le budget du projet d'acquisition de deux frégates ASW s'élève à 1,96 milliard d'euros (niveau de prix 2023).



RAS Sous Marins ...

Modifié par Titus K
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Plus de détails sur les nouveaux navires de guerre : de nouvelles frégates plus grandes

https://marineschepen.nl/nieuws/Meer-details-over-nieuwe-marineschepen-260124.html

 

Les futurs défenseurs aériens seront plus grands que les frégates de défense aérienne et de commandement, et les six LPX seront si grands qu'ils ne pourront pas être amarrés à Den Helder.
Ces détails et d'autres encore ressortent de la lettre parlementaire que le secrétaire d'État sortant, Christophe van der Maat, a envoyée mercredi à la Chambre des représentants. Cette lettre portait sur la coopération avec l'industrie, mais contenait également de nombreux détails sur les futurs navires de guerre.
Nous les énumérons dans cet article.

La nouvelle frégate, Future Air Defender, plus grande que ses prédécesseurs

Alors que la construction des frégates ASW n'a pas encore commencé, un travail acharné est déjà en cours sur une autre classe de frégates : les remplaçantes des frégates de défense aérienne et de commandement. Le A-brief de ces remplaçants, les Future Air Defenders (FuAD), était attendu pour la fin de l'année 2023. La lettre parlementaire d'hier montre que la lettre A, qui marque le début du processus politique, arrivera dans la boîte aux lettres proverbiale de la Chambre des représentants le mois prochain.

Entre autres choses, la lettre A décrira dans les grandes lignes les tâches et les caractéristiques des nouveaux navires. La partie consacrée à la coopération internationale sera également intéressante, compte tenu de la tentative de coopération avec l'Allemagne, qui n'a pas encore abouti, mais il est encore trop tôt pour obtenir des détails sur les navires eux-mêmes.

Cela ne veut pas dire que le département des systèmes maritimes de COMMIT, l'organisme d'acquisition de la défense, n'a pas encore étudié et dessiné. Plusieurs projets ont déjà été élaborés sur la base des besoins. Il se murmure depuis longtemps dans les couloirs de la Défense que le navire, comme beaucoup d'autres frégates, aura une taille imposante. On parle souvent d'un tonnage de 10 000 tonnes, une taille autrefois réservée aux croiseurs. Mais la FuAD ne serait même pas la première frégate d'une telle cylindrée : la F126 vient de franchir la barre des 10 000 tonnes.

Comme indiqué, il s'agit des sons provenant des couloirs. La conception des navires change souvent à ce stade. Pour les frégates ASW, par exemple, plus de 22 modèles modifiés ont été produits. Le fait que le FuAD sera de toute façon plus grand que le LCF apparaît pour la première fois dans la lettre de mercredi : "les futurs remplaçants des frégates LC ne tiendront pas dans le plus grand dock de la Royal Navy à Den Helder".

Il est de notoriété publique que la LCF tient tout juste dans le plus grand dock, le dock VI, de la Direction de la conservation du matériel (DMI). C'est ce qui ressort, par exemple, du bassin d'essai décrit par les Alle Hens en février 2004 : "Jamais auparavant dans l'histoire, un navire aussi grand - avec un déplacement de 6 048 tonnes, un tirant d'eau de 5,20 mètres, une longueur de 144 mètres et une largeur de 18,8 mètres - n'avait été dans le bassin. Bien qu'il s'agisse d'un quai d'essai, il a montré que le navire ainsi que les trois autres LCF pouvaient être amarrés pour les futurs travaux d'entretien. (...) L'accostage s'est déroulé sans problème, mais à la fin, le Tromp ne disposait plus que de 80 centimètres de chaque côté. Le dégagement longitudinal était également limité, avec trois mètres jusqu'à la porte du quai".

Il est assez courant qu'un nouveau navire soit plus grand que son prédécesseur. Même les LCF étaient plus grands que leurs prédécesseurs. D'ailleurs, les frégates ASW sont elles aussi de plus en plus grandes, mais elles tiennent toujours dans le bassin avec 145 mètres de long, 18 mètres de large et 6 400 tonnes de déplacement. Les dimensions définitives du FuAD ne seront probablement pas déterminées avant plusieurs années. Pour donner une idée d'une frégate de cette taille : la F126 allemande (un navire très différent) pèse 10 500 tonnes et a une longueur de 166 mètres. Sa largeur est de 21,7 mètres. 

Et les futurs défenseurs aériens ne sont pas les seuls navires à ne pas pouvoir entrer dans le Dock VI.

damen-enforcer-120.jpg

L'Enforcer dans sa plus petite variante de 120 mètres.

 

LPX : ne passe pas non plus

Un autre projet dont nous entendrons parler cette année est le LPX, qui remplacera les navires de transport amphibie Zr.Ms Rotterdam et Johan de Witt, ainsi que les patrouilleurs de classe Holland. Si le concept du FuAD peut être esquissé, celui du LPX - et ses implications en termes de conception - n'est pas encore aussi précis. Les LPX doivent suivre la nouvelle doctrine du corps des Marines : "les Marines et leur équipement [débarqueront] bientôt simultanément sur des sites multiples et espacés". L'accent est mis sur "la légèreté, la rapidité et la dispersion" avec un soutien logistique léger. En d'autres termes, il s'agit d'une approche différente de celle des Marines actuels, qui se concentrent en vagues de débarquement.

L'année dernière, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont signé une déclaration d'intention sur le développement conjoint du LPX, mais des navires identiques ne verront pas le jour, selon la lettre. 

Nous pourrons en savoir plus sur le concept dans la lettre A, qui est attendue "au printemps", a annoncé le STASDEF.

Comme la lettre A de FuAD, elle ne contiendra pas non plus de détails sur la conception, mais ces navires n'entreront pas non plus dans le bassin. C'est également ce qui ressort de la lettre de Van der Maat. Avec ce navire, il n'est pas certain que le LPX soit plus long qu'un LCF ; l'Enforcer 12026 que Damen a présenté lors d'une foire commerciale à Londres, par exemple, est beaucoup plus court qu'un LCF avec 120 mètres de long, mais avec 26 mètres, il est beaucoup plus large et n'entrera donc pas non plus dans la darse VI. Cela ne veut pas dire, d'ailleurs, que l'Enforcer sera choisi comme LPX. 

Quelle que soit la taille du LPX, le nombre de LPX prévus reste de six. Également dans cette lettre.

Vers des navires sans équipage de taille moyenne

Le programme MICAN (anciennement TRIFIC) a également fait l'objet d'un article sur Marineschepen.nl. Il s'agit d'un programme de nouveaux navires équipés de "capteurs et de capacités d'action sous l'eau et sur les fonds marins", leur permettant par exemple de voir ce que font les navires de recherche russes sous l'eau. Une autre tâche de ces MICAN est de servir de plates-formes de lancement pour les LCF, comme l'écrit cette lettre. Le LCF donnera les ordres de lancement et guidera le missile lancé par le MICAN vers la cible.

Un autre rôle n'était pas encore connu : ces navires, dotés d'un équipage réduit, "peuvent également servir de terrain d'essai pour le développement de navires sans équipage de taille moyenne", indique la lettre. "Ce faisant, ils peuvent promouvoir l'innovation dans le domaine de la navigation sans pilote".

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Il y a 2 heures, Titus K a dit :

Plus de détails sur les nouveaux navires de guerre : de nouvelles frégates plus grandes

https://marineschepen.nl/nieuws/Meer-details-over-nieuwe-marineschepen-260124.html

 

Les futurs défenseurs aériens seront plus grands que les frégates de défense aérienne et de commandement, et les six LPX seront si grands qu'ils ne pourront pas être amarrés à Den Helder.
Ces détails et d'autres encore ressortent de la lettre parlementaire que le secrétaire d'État sortant, Christophe van der Maat, a envoyée mercredi à la Chambre des représentants. Cette lettre portait sur la coopération avec l'industrie, mais contenait également de nombreux détails sur les futurs navires de guerre.
Nous les énumérons dans cet article.

La nouvelle frégate, Future Air Defender, plus grande que ses prédécesseurs

Alors que la construction des frégates ASW n'a pas encore commencé, un travail acharné est déjà en cours sur une autre classe de frégates : les remplaçantes des frégates de défense aérienne et de commandement. Le A-brief de ces remplaçants, les Future Air Defenders (FuAD), était attendu pour la fin de l'année 2023. La lettre parlementaire d'hier montre que la lettre A, qui marque le début du processus politique, arrivera dans la boîte aux lettres proverbiale de la Chambre des représentants le mois prochain.

Entre autres choses, la lettre A décrira dans les grandes lignes les tâches et les caractéristiques des nouveaux navires. La partie consacrée à la coopération internationale sera également intéressante, compte tenu de la tentative de coopération avec l'Allemagne, qui n'a pas encore abouti, mais il est encore trop tôt pour obtenir des détails sur les navires eux-mêmes.

Cela ne veut pas dire que le département des systèmes maritimes de COMMIT, l'organisme d'acquisition de la défense, n'a pas encore étudié et dessiné. Plusieurs projets ont déjà été élaborés sur la base des besoins. Il se murmure depuis longtemps dans les couloirs de la Défense que le navire, comme beaucoup d'autres frégates, aura une taille imposante. On parle souvent d'un tonnage de 10 000 tonnes, une taille autrefois réservée aux croiseurs. Mais la FuAD ne serait même pas la première frégate d'une telle cylindrée : la F126 vient de franchir la barre des 10 000 tonnes.

Comme indiqué, il s'agit des sons provenant des couloirs. La conception des navires change souvent à ce stade. Pour les frégates ASW, par exemple, plus de 22 modèles modifiés ont été produits. Le fait que le FuAD sera de toute façon plus grand que le LCF apparaît pour la première fois dans la lettre de mercredi : "les futurs remplaçants des frégates LC ne tiendront pas dans le plus grand dock de la Royal Navy à Den Helder".

Il est de notoriété publique que la LCF tient tout juste dans le plus grand dock, le dock VI, de la Direction de la conservation du matériel (DMI). C'est ce qui ressort, par exemple, du bassin d'essai décrit par les Alle Hens en février 2004 : "Jamais auparavant dans l'histoire, un navire aussi grand - avec un déplacement de 6 048 tonnes, un tirant d'eau de 5,20 mètres, une longueur de 144 mètres et une largeur de 18,8 mètres - n'avait été dans le bassin. Bien qu'il s'agisse d'un quai d'essai, il a montré que le navire ainsi que les trois autres LCF pouvaient être amarrés pour les futurs travaux d'entretien. (...) L'accostage s'est déroulé sans problème, mais à la fin, le Tromp ne disposait plus que de 80 centimètres de chaque côté. Le dégagement longitudinal était également limité, avec trois mètres jusqu'à la porte du quai".

Il est assez courant qu'un nouveau navire soit plus grand que son prédécesseur. Même les LCF étaient plus grands que leurs prédécesseurs. D'ailleurs, les frégates ASW sont elles aussi de plus en plus grandes, mais elles tiennent toujours dans le bassin avec 145 mètres de long, 18 mètres de large et 6 400 tonnes de déplacement. Les dimensions définitives du FuAD ne seront probablement pas déterminées avant plusieurs années. Pour donner une idée d'une frégate de cette taille : la F126 allemande (un navire très différent) pèse 10 500 tonnes et a une longueur de 166 mètres. Sa largeur est de 21,7 mètres. 

Et les futurs défenseurs aériens ne sont pas les seuls navires à ne pas pouvoir entrer dans le Dock VI.

damen-enforcer-120.jpg

L'Enforcer dans sa plus petite variante de 120 mètres.

 

LPX : ne correspond pas non plus

Un autre projet dont nous entendrons parler cette année est le LPX, qui remplacera les navires de transport amphibie Zr.Ms Rotterdam et Johan de Witt, ainsi que les patrouilleurs de classe Holland. Si le concept du FuAD peut être esquissé, celui du LPX - et ses implications en termes de conception - n'est pas encore aussi précis. Les LPX doivent suivre la nouvelle doctrine du corps des Marines : "les Marines et leur équipement [débarqueront] bientôt simultanément sur des sites multiples et espacés". L'accent est mis sur "la légèreté, la rapidité et la dispersion" avec un soutien logistique léger. En d'autres termes, il s'agit d'une approche différente de celle des Marines actuels, qui se concentrent en vagues de débarquement.

L'année dernière, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont signé une déclaration d'intention sur le développement conjoint du LPX, mais des navires identiques ne verront pas le jour, selon la lettre. 

Nous pourrons en savoir plus sur le concept dans la lettre A, qui est attendue "au printemps", a annoncé le STASDEF.

Comme la lettre A de FuAD, elle ne contiendra pas non plus de détails sur la conception, mais ces navires n'entreront pas non plus dans le bassin. C'est également ce qui ressort de la lettre de Van der Maat. Avec ce navire, il n'est pas certain que le LPX soit plus long qu'un LCF ; l'Enforcer 12026 que Damen a présenté lors d'une foire commerciale à Londres, par exemple, est beaucoup plus court qu'un LCF avec 120 mètres de long, mais avec 26 mètres, il est beaucoup plus large et n'entrera donc pas non plus dans la darse VI. Cela ne veut pas dire, d'ailleurs, que l'Enforcer sera choisi comme LPX. 

Quelle que soit la taille du LPX, le nombre de LPX prévus reste de six. Également dans cette lettre.

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Vers des navires sans équipage de taille moyenne

Le programme MICAN (anciennement TRIFIC) a également fait l'objet d'un article sur Marineschepen.nl. Il s'agit d'un programme de nouveaux navires équipés de "capteurs et de capacités d'action sous l'eau et sur les fonds marins", leur permettant par exemple de voir ce que font les navires de recherche russes sous l'eau. Une autre tâche de ces MICAN est de servir de plates-formes de lancement pour les LCF, comme l'écrit cette lettre. Le LCF donnera les ordres de lancement et guidera le missile lancé par le MICAN vers la cible.

Un autre rôle n'était pas encore connu : ces navires, dotés d'un équipage réduit, "peuvent également servir de terrain d'essai pour le développement de navires sans équipage de taille moyenne", indique la lettre. "Ce faisant, ils peuvent promouvoir l'innovation dans le domaine de la navigation sans pilote".

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La Koninklijke Marine va donc devoir lancer un autre projet, le LDD  ou Large Dry Dock...?

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Il y a 3 heures, Benoitleg a dit :

La Koninklijke Marine va donc devoir lancer un autre projet, le LDD  ou Large Dry Dock...?

On en avait déjà besoin en soit pour les 3 LPD ... mais la il faudra nécessairement un nouveau dock puisque c'est carrément 11 des navires qui vont rejoindre la KM qui ne passeront pas dans les docks existants (4 FuAD + 6 LPX + 1 ravitailleur)

Si le dock 7 se fait on aura alors

  • Dock 6 --> 2 FASW / 6 bâtiments guerre des mines / Soutient 
  • Dock 7 --> 6 LPX / 4 FuAD / 1 Ravitailleur 


J'avais pas traduit ce paragraphe :biggrin:
 

Dock 7 ?

Le dock VI a été mise en service au début des années 1980. Le dock a donc été construit à l'époque où les frégates GW (138 mètres), les frégates S (128 mètres) et la classe Van Speijk (113 mètres) constituaient le cœur de la flotte.

Le quai a toujours été trop petit pour les navires de ravitaillement, mais comme il ne s'agissait que de deux navires, la majeure partie de la flotte pouvait facilement s'y loger. Aujourd'hui, le Karel Doorman, le Johan de Witt et le Rotterdam ne rentrent plus dans le bassin. Le navire de soutien au combat Den Helder ne rentre pas non plus. Cela signifie qu'ils devront être amarrés ailleurs, à Amsterdam, Rotterdam ou Flessingue.

La défense est donc déjà certaine que le FuAD et le LPX sont si grands qu'ils ne pourront pas entrer dans le bassin, ce qui rendra la marine encore plus dépendante des chantiers navals commerciaux. Cela signifie que bientôt, seules les frégates ASW pourront entrer dans le bassin, les autres étant soit trop grandes, soit ne seront pas entretenues par le DMI. Les navires de lutte contre les mines sont entretenus en Belgique et les navires auxiliaires par le constructeur (voir ci-dessous).

Il semble que la Défense considère que cette situation n'est pas souhaitable : "Le nombre de quais de réparation aux Pays-Bas adaptés à ces plus grands navires est limité", écrit Van der Maat à propos des grands navires tels que les LPD, les FuAD et les LPX. La défense semble se préparer à un dock plus grand : "La défense étudie les possibilités de disposer d'une capacité de dock stratégique suffisante". Le Parlement en sera informé ultérieurement.
 

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https://www.volkskrant.nl/nieuws-achtergrond/britten-voeren-druk-op-in-strijd-om-vervanging-onderzeeboten-en-duwen-nederland-richting-het-zweedse-saab~b6c18f0c/?referrer=https://www.google.com/

...
"Les Britanniques augmentent la pression dans la bataille pour le remplacement des sous-marins, poussant les Pays-Bas à opter pour le suédois Saab.
Peu avant que les Pays-Bas ne se décident à remplacer leurs sous-marins - la plus importante commande de défense depuis l'acquisition du F-35 - les Britanniques se lancent ouvertement dans la bataille en demandant aux Pays-Bas d'opter pour le sous-marin suédois Saab."
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La défense envisage l'achat d'une frégate supplémentaire

https://marineschepen.nl/nieuws/Defensie-verkent-opties-extra-fregat-070224.html


En juin 2023, le secrétaire d'État Christophe van der Maat a signé un contrat pour la construction de deux frégates ASW pour les Pays-Bas et de deux pour la Belgique. Il est possible que la Marine royale reçoive plus de deux de ces navires, selon les réponses de la Défense aux questions de ce site.

En prévision d'une éventuelle nouvelle augmentation du budget de la défense, "différentes options sont étudiées", a indiqué un porte-parole de la défense à la suite de questions posées par Marineschepen.nl. "Des frégates supplémentaires en font partie. La commande d'un navire supplémentaire n'est donc pas encore en cours. "Il s'agit pour l'instant d'une reconnaissance et non d'une décision concrète", a souligné le porte-parole. De nombreuses options sont à l'étude, mais s'il existe une marge financière pour des unités supplémentaires, le travail préliminaire doit être effectué.
 

Pas d'option dans le contrat

Une commande de navires supplémentaires ou un "second lot" n'est pas rare. Le premier contrat portant sur les frégates S, les frégates M et les frégates de défense aérienne et de commandement prévoyait respectivement quatre, quatre et deux navires. Dans un contrat ultérieur, ce nombre a été doublé (les frégates S ont même atteint 10 navires). En ce qui concerne les frégates M et les LCF, le nombre souhaité par la marine était clair à l'avance : huit et quatre.

Aujourd'hui, les choses sont légèrement différentes, car il a été question dès le début d'une commande de deux frégates ASW. Contrairement à ce que Marineschepen.nl a rapporté précédemment, le contrat ne prévoyait pas d'option pour plus de navires que les deux prévus. Rapports sur la défense. L'achat d'une frégate supplémentaire nécessite de "nouveaux contrats".

Réorganiser une ou plusieurs frégates ne consiste pas à augmenter le nombre de navires dans le panier. Une frégate M comprend quelque 170 000 pièces et les frégates ASW, beaucoup plus grandes, en comptent probablement davantage. Certains produits peuvent facilement être commandés à nouveau, mais d'autres systèmes sont conçus spécifiquement pour ces navires. Pensez aux radars. Plus la signature du contrat est longue, plus il est probable que les systèmes sont devenus plus chers, ne sont plus vendus ou ont été remplacés par des équipements d'une taille ou d'un poids différent.


Dix ans

Toute décision d'expansion de la flotte ne sera pas visible avant une dizaine d'années. La première frégate ASW sera mise en service en 2029, si tout va bien. La deuxième frégate belge (la quatrième au total) devrait entrer en service en 2032. Une troisième frégate néerlandaise ne pourra donc pas entrer en service avant 2033 au plus tôt.

Si les Pays-Bas devaient commander une troisième frégate, la marine devrait donc s'armer de patience pendant un certain temps. Compte tenu de la montée rapide des tensions avec la Russie, ce délai est très long. D'un autre côté, cela donne à la marine le temps de faire quelque chose pour remédier à la pénurie de personnel.

 

Belgique

En Belgique, la commande d'une troisième frégate a été discutée à plusieurs reprises et même proposée par le ministère belge de la défense. Le gouvernement belge s'est finalement abstenu. D'après la réponse de la ministre de la défense Ludivine Dedonder, cela s'explique en partie par l'augmentation des coûts et l'absence de retour social ou industriel dans les accords avec les Pays-Bas.

Mais lorsque les rebelles houthis ont commencé à attaquer des navires à la fin de l'année dernière, les appels à la construction d'une troisième frégate sont revenus dans l'hémicycle belge. Selon le journal De Morgen, une décision rapide n'est pas à l'ordre du jour : "C'est une décision à prendre par le prochain gouvernement, qui devra également débloquer le budget nécessaire à cet achat éventuel", a déclaré M. Dedonder. Les élections en Belgique sont prévues pour le 9 juin de cette année.

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https://www.omroepzeeland.nl/nieuws/16314051/defensie-mogelijk-niet-in-zee-met-damen-voor-bouw-nieuwe-onderzeeboten

Bonne nouvelle pour naval group ? La solution française serait pour l'instant donnée favorite...
Je vous laisse lire les réactions des entreprises locales -->

 

La défense pourrait ne pas s'associer à Damen pour la construction de nouveaux sous-marins

La province de Zélande, ainsi que plusieurs autres provinces, ont envoyé une lettre incendiaire à l'informateur du cabinet. Dans cette lettre, ils mettent en garde contre un mauvais choix lors de la sélection de l'entreprise qui construira les nouveaux sous-marins pour la Défense.

 

Dans une quinzaine de jours, l'entreprise avec laquelle le ministère souhaite s'associer sera officiellement annoncée. Damen, qui travaille avec l'entreprise suédoise Saab Kockums, est toujours dans la course. Le français Naval Group et l'allemand Thyssenkrupp Marine Systems sont également intéressés par la construction des quatre sous-marins.
Néanmoins, le ministère ne semble pas choisir l'option zélando-suédoise, rapporte De Telegraaf. Le journal écrit que des initiés confirment que le français Naval Group remportera la compétition : il offre "le meilleur bateau au meilleur prix". Le chantier naval de Naval Group est en partie détenu par l'État et peut prendre plus de risques et livrer à un prix qu'un chantier commercial peut difficilement concurrencer, rapporte le journal. En outre, l'entreprise française coopère également avec un constructeur naval néerlandais, à savoir Koninklijke IHC de Hardinxveld-Giessendam. La direction de la construction restera toutefois entre les mains des Français.


Coût

Le cabinet avait précédemment décidé de ne pas construire le meilleur bateau, mais un bateau moins cher et plus rapide à construire. La marine espère un nouveau bateau moderne pour remplacer l'actuel A-boat, mais les politiciens pensent qu'il pourrait être un peu moins cher, car l'achat coûtera environ quatre milliards d'euros. Il est possible que le montant soit beaucoup plus élevé, car les matières premières sont devenues beaucoup plus chères en raison de la guerre en Ukraine. De plus, le marché de la défense est en surchauffe. Des initiés ont déclaré au journal que le prix pourrait s'élever à 6 milliards d'euros.


L'implication des Pays-Bas

Depuis le début des négociations, le ministère de la Défense a insisté sur le fait qu'il souhaitait maintenir autant que possible la participation des Pays-Bas, comme l'a déclaré le secrétaire d'État Van der Maat au journal il y a quelques semaines. Mais cela ne signifie pas que la défense se dirige directement vers un accord avec Damen. Dans le passé, le ministère a choisi l'entreprise néerlandaise pour la construction d'un certain nombre de navires. L'année dernière, Damen a construit quatre nouvelles frégates pour les forces armées néerlandaises et belges. Damen assure également la maintenance de la flotte néerlandaise.

 

Pourquoi le remplacement des sous-marins est-il nécessaire ?
Les sous-marins dont disposent actuellement les Pays-Bas sont obsolètes et doivent être remplacés. Ils sont régulièrement utilisés pour des missions secrètes (espionnage). Les sous-marins que Saab et Damen veulent construire mesurent 73 mètres de long (5 mètres de plus que les sous-marins actuels). Ils doivent pouvoir aller loin, se déplacer en eaux peu profondes et être dotés des équipements (d'espionnage) les plus récents. Ils disposent d'une propulsion indépendante de l'air et d'un sas pour lancer des unités spéciales et des sous-marins sans pilote.
Le programme de remplacement des sous-marins est le projet de défense le plus important et le plus coûteux depuis les avions de chasse F-35. Le programme traîne depuis une dizaine d'années. Plusieurs parties discutent du remplacement des sous-marins depuis 2020. La mi-mars sera une étape importante, lorsque le cabinet décidera de l'entreprise qui construira les sous-marins.

 

Sur la plateforme de médias sociaux LinkedIn, le directeur de Damen, Richard Keulen, a lancé il y a trois semaines un appel à ne pas choisir l'une des options étrangères, mais à opter pour son entreprise. Cela permettrait de "sauver et de renforcer l'expertise néerlandaise spécifique en matière de sous-marins".

Dans une déclaration écrite, le directeur a déclaré : "Cette intention serait non seulement incompréhensible, mais elle causerait également des dommages irréparables à l'ensemble du secteur maritime aux Pays-Bas". Ce faisant, M. Keulen a également cité l'agenda sectoriel de l'industrie manufacturière maritime récemment publié. "Le choix supposé est diamétralement opposé à cela. Il ne s'agit pas de Damen, mais bien plus de tous nos partenaires de l'industrie nationale de la construction navale".
 

Lettre incendiaire des provinces 
Les provinces de Zeeland, Overijssel, Noord- et Zuid-Holland soulignent dans leur lettre de licenciement qu'il est très important que la construction se fasse aux Pays-Bas, notamment en termes d'emploi. "Non seulement il y aura plus de travail chez nous, mais ces bateaux viendront ensuite ici pour être entretenus. Ces connaissances peuvent ensuite être réutilisées pour d'autres projets", a déclaré l'administrateur provincial Jo Annes de Bat dans l'émission de radio Zeeland wordt Wakker.
La province est particulièrement choquée par le fait qu'elle ne sait pas sur quelles bases le gouvernement fera son choix. "Cela ne devrait pas dépendre uniquement du prix. Il doit y avoir d'autres critères à prendre en compte. Nous espérons surtout qu'il n'y a pas de jeu politique derrière le choix de la France".

Han Polman, commissaire de la Reine, a également mentionné l'importance de la construction de sous-marins aux Pays-Bas. "Les Pays-Bas ont une riche histoire dans le domaine de la fabrication maritime et de l'industrie du savoir. Nous devons chérir cette histoire et la poursuivre à l'avenir. Pour cela, ce type de commandes est très important". M. Polman estime qu'il est possible de renforcer au maximum l'industrie manufacturière maritime. "Pour notre économie régionale, l'innovation et la connaissance, mais aussi pour la sécurité des Pays-Bas.

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il y a 31 minutes, Titus K a dit :

https://www.omroepzeeland.nl/nieuws/16314051/defensie-mogelijk-niet-in-zee-met-damen-voor-bouw-nieuwe-onderzeeboten

Bonne nouvelle pour naval group ? La solution française serait pour l'instant donnée favorite...
Je vous laisse lire les réactions des entreprises locales -->

 

La défense pourrait ne pas s'associer à Damen pour la construction de nouveaux sous-marins

La province de Zélande, ainsi que plusieurs autres provinces, ont envoyé une lettre incendiaire à l'informateur du cabinet. Dans cette lettre, ils mettent en garde contre un mauvais choix lors de la sélection de l'entreprise qui construira les nouveaux sous-marins pour la Défense.

(...)

 

Han Polman, commissaire de la Reine, a également mentionné l'importance de la construction de sous-marins aux Pays-Bas. "Les Pays-Bas ont une riche histoire dans le domaine de la fabrication maritime et de l'industrie du savoir. Nous devons chérir cette histoire et la poursuivre à l'avenir. Pour cela, ce type de commandes est très important". M. Polman estime qu'il est possible de renforcer au maximum l'industrie manufacturière maritime. "Pour notre économie régionale, l'innovation et la connaissance, mais aussi pour la sécurité des Pays-Bas.

 

On ne peut pas renier que les Pays Bas sont des experts dans la construction maritime, en particulier pour certains équipements. En particulier sur les infrastructures sur barge. Les engins de travaux etc. (mais pas que, loin de là !). Je comprends qu'ils rechignent à "laisser partir" ce marché.

Maintenant à mon sens sur les Sous Marins, ils ont un bon wagon (2?) de retard sur Naval Group.

Est ce que ça ne serait pas plus intéressant pour nos 2 pays de faire un deal. Pour renforcer nos positions respectives d'experts au niveau mondial.

Le marché des remorqueurs est tombé à l'eau il y a quelques jours. Pourquoi pas prendre du Damen (ou équivalent NL)  ? + d'autres coques, corvettes ou autres sur lesquelles Damen a des bon produits. et ils prennent les SM chez nous. Enfin un truc dans ce sens vous voyez.

 

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Il y a 2 heures, Eau tarie a dit :

 

On ne peut pas renier que les Pays Bas sont des experts dans la construction maritime, en particulier pour certains équipements. En particulier sur les infrastructures sur barge. Les engins de travaux etc. (mais pas que, loin de là !). Je comprends qu'ils rechignent à "laisser partir" ce marché.

Maintenant à mon sens sur les Sous Marins, ils ont un bon wagon (2?) de retard sur Naval Group.

Est ce que ça ne serait pas plus intéressant pour nos 2 pays de faire un deal. Pour renforcer nos positions respectives d'experts au niveau mondial.

Le marché des remorqueurs est tombé à l'eau il y a quelques jours. Pourquoi pas prendre du Damen (ou équivalent NL)  ? + d'autres coques, corvettes ou autres sur lesquelles Damen a des bon produits. et ils prennent les SM chez nous. Enfin un truc dans ce sens vous voyez.

 

En effet je pense que les deux pays pourraient y gagner. Pour le remplacement des Batral par exemple Damen fait des trucs assez intéressants.

J'espère en tout cas que le barracuda sera sélectionné. Avec les budget en hausse on peut se le permettre.

Modifié par Titus K
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Ca panique chez Damen ...

Citation

Le constructeur naval Damen est menacé de ne pas avoir à honorer une méga commande de sous-marins : "Le lobby français est très puissant".

Il y a de fortes chances que les Pays-Bas commandent à la France l'arme la plus lourde de leurs forces armées, le sous-marin.

Modifié par Titus K
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Il y a 2 heures, Titus K a dit :

Ca panique chez Damen ...

En même temps face au Barracuda, il y a pas forcément de véritable capacités de riposte pour Damen. Il est tiré d'une classe de SNA au top niveau mondial. Saab a une belle proposition mais c'est une catégorie différente me semble t'il. Malgré tout, ça sent possiblement de belles embrouilles. 

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Il aurait fallu ne pas perdre le savoir faire industriel qui existait aux pays-bas à l'époque de la mise en service des Walrus ... malheureusement avec les coupes budgétaires et le retard du programme de remplacement, beaucoup à été perdu.

De toute façon niveau capacité, le barracuda est nettement supérieur. Quel est la taille de l'équipage pour la version conventionnelle du barracuda ? 

Sinon l'option Saab/Damen me semble la 2nd meilleure, alors que la solution TKMS aura du mal a répondre aux exigences de la marine je pense.

Modifié par Titus K
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Le problème principal semble être qu'aux Pays-Bas les responsables ne savent pas ce qu'ils veulent.

Entre un Shortfin Barracuda et un dérivé en plus gros d'un A26, c'est le jour et la nuit.

https://www.navalnews.com/naval-news/2023/12/saab-damen-offering-c718-submarine-to-the-netherlands/

Le shortfin serait par exemple 50% plus lourd!

Mais il y a Lockheed Martin derrière Damen/SAAB...

Après, on peut quand même sentir venir le coup fourré de l'espace, avec l'aide traditionnelle de l'anti-France médiatique qui ne se fera pas prier pour apporter son aide.

 

Non franchement ce serait énorme comme victoire de gagner là-bas, et ça ouvrirait des perspectives immédiates assez folles question export, mais ça nous demanderait aussi d'offrir des contreparties aux grands perdants locaux. Après, la balle est dans le camp de Damen... S'ils ont préféré SAAB Kockums à Naval Group auquel ils avaient pourtant l'opportunité de s'allier il y a des années, c'est leur problème.

Idem, ça peut aussi faire enrager les allemands de TKMS qui considèrent la région comme leur pré carré, mais quand même ça leur fera moins mal à l'égo que SAAB l'emporte plutôt que Naval Group.

Donc préparons-nous à tout, parce que la campagne de dénigrement qui va arriver est inévitable.

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