Patrick Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 Le 28/12/2024 à 21:12, Chimera a dit : Oui, mais les chinois eux font voler tout ça. Expand Tu prêches un converti... Moi aussi je voudrais voir voler des démonstrateurs, même dronisés et à l'échelle 1/2. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Henri K. Posté(e) le 29 décembre 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 29 décembre 2024 Il existe des éléments laissant penser que le troisième moteur situé sur l’extrados du J-36 (??) pourrait être un TBCC. Ce qui m’intéresse le plus, cependant, est de déterminer quelle pourrait être la doctrine d’utilisation d’un tel vecteur et les objectifs pour lesquels il a été conçu. Les caractéristiques et besoins techniques en découlent ensuite. Pour l’instant, la seule hypothèse que j’ai trouvée est une volonté d’étendre le dôme A2/AD jusqu’à la deuxième chaîne d’îles, mais cela reste à confirmer. Henri K. 1 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
2020 Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 (modifié) TBCC ? Merci Henri Google : Turbine-Based Combined Cycle Réacteur à cycles variables donc. Modifié le 29 décembre 2024 par 2020 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 Le 29/12/2024 à 04:26, Henri K. a dit : Pour l’instant, la seule hypothèse que j’ai trouvée est une volonté d’étendre le dôme A2/AD jusqu’à la deuxième chaîne d’îles, mais cela reste à confirmer. Expand Je dirais mettre des CAP très furtives entre la 1e et la 2e chaine d'ile pour y attaquer les tankers qui s'y baladent et les bombardiers furtifs ou non qui s'y pointeraient. Le fait d'être plus gros que le J-20 donne une plus grosse endurance sur zone avec plus d'armement en soute, le fait d'être plus furtif sous tous les aspects rend le fait de s'y maintenir possible, on n'est pas réduit à faire une interception à vitesse très rapide et faire le retour aussi vite. Accessoirement l'attaque au sol ou en mer est aussi un rôle possible mais l'avantage comparé à des missiles longue portée me semble moindre (mais bon la PLAAF et le 2e artillerie peuvent bien avoir des solutions concurrentes au même besoin). Les capteurs embarqués par contre serviront probablement aussi à désigner aux missiles longue portée. Ce qui est intéressant c'est que ça vient à la place ou en complément d'une architecture plus distribuée avec par exemple plein de drones subsoniques très furtifs plus petits qui seraient positionnés au même endroit et qui seraient beaucoup moins chers à l'unité. Ils ont du conclure qu'il y avait une taille de soute, charge utile ou vitesse minimales pour obtenir l'effet voulu. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 Le 29/12/2024 à 16:07, Picdelamirand-oil a dit : Expand laisse-moi deviner : ChatGPT a généré ce trimoteur et l'a baptisé F-333 (car le F-22 n'est qu'un bimoteur) ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 Le 29/12/2024 à 17:11, rogue0 a dit : laisse-moi deviner : ChatGPT a généré ce trimoteur et l'a baptisé F-333 (car le F-22 n'est qu'un bimoteur) ? Expand Apparemment DeepSeek a atteint la meme performance que -4o mais en depensant 1/100 d’energie en entrainement. Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 (modifié) erreur de fil Modifié le 29 décembre 2024 par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 29 décembre 2024 Share Posté(e) le 29 décembre 2024 (modifié) Le 29/12/2024 à 17:11, rogue0 a dit : laisse-moi deviner : ChatGPT a généré ce trimoteur et l'a baptisé F-333 (car le F-22 n'est qu'un bimoteur) ? Expand Cela vient des Indiens https://www.strategicfront.org/forums/attachments/1735478130849-jpeg.39243/ https://www.strategicfront.org/forums/threads/peoples-liberation-army-air-force-news-discussions.596/post-288316 Modifié le 29 décembre 2024 par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 7 janvier Share Posté(e) le 7 janvier Une question, la photo ci-dessous c'est un L15 Chinois ? Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 7 janvier Share Posté(e) le 7 janvier Le 07/01/2025 à 15:45, Clairon a dit : Une question, la photo ci-dessous c'est un L15 Chinois ? Clairon Expand Négatif. C'est un appareil taiwanais : https://aviationsmilitaires.net/v3/kb/aircraft/show/2518/aidc-f-ck-1-ching-kuo Note qu'on ne peut le confondre avec un appareil chinois : les codes tactiques sur la dérive sont propres aux appareils de Taipei. Ca c'est un L-15 : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 8 janvier Share Posté(e) le 8 janvier Le 29/12/2024 à 16:44, hadriel a dit : Je dirais mettre des CAP très furtives entre la 1e et la 2e chaine d'ile pour y attaquer les tankers qui s'y baladent et les bombardiers furtifs ou non qui s'y pointeraient. Le fait d'être plus gros que le J-20 donne une plus grosse endurance sur zone avec plus d'armement en soute, le fait d'être plus furtif sous tous les aspects rend le fait de s'y maintenir possible, on n'est pas réduit à faire une interception à vitesse très rapide et faire le retour aussi vite. Accessoirement l'attaque au sol ou en mer est aussi un rôle possible mais l'avantage comparé à des missiles longue portée me semble moindre (mais bon la PLAAF et le 2e artillerie peuvent bien avoir des solutions concurrentes au même besoin). Les capteurs embarqués par contre serviront probablement aussi à désigner aux missiles longue portée. Ce qui est intéressant c'est que ça vient à la place ou en complément d'une architecture plus distribuée avec par exemple plein de drones subsoniques très furtifs plus petits qui seraient positionnés au même endroit et qui seraient beaucoup moins chers à l'unité. Ils ont du conclure qu'il y avait une taille de soute, charge utile ou vitesse minimales pour obtenir l'effet voulu. Expand Bill Sweetman a continué ses spéculations sur le probable J-36 chinois (+ celles de ses nombreux contacts dans le milieu aéronautique, même s'il a été viré de Aviation Week suite à ses critiques du F-35). partie 2 : intitulé le "croiseur" J-36 (03/01/2025) https://www.aspistrategist.org.au/chinas-big-new-combat-aircraft-an-airborne-cruiser-against-air-and-surface-targets/ pour résumer les parties originales : * les grandes fenêtres optiques latérales pourraient servir en détection IR (anti furtif) ... mais aussi plus tard pour tirer des lasers... * Si le J-36 est capable de supercroisière haute altitude, alors il devrait pouvoir balancer une pluie saturante de SDB en toute impunité, car à distance de sécurité (170km estimé pour le FB-22 à 60k pieds ??)... Et ça serait bien moins cher que le combo bombardier H-6N + ALBM , qui est déjà capable de frapper Guam, mais avec des munitions coûteuses. * et bien sûr, il pourrait faire de la désignation d'objectif pour des frappes de bombardier ou de missile de croisière contre les bases au Japon, Okinawa, Guam, etc... Ou plus tard, pour les nuées de drones kamikazes, soit emportés dans ses larges soutes, ou emportés par avion de transport / missile de croisière / par la marine / des soums / d'autres actions clandestines (drones ou navires civils sous faux pavillon) pour rappel la partie 1 ici: (31/12/2024) https://www.aspistrategist.org.au/chinas-big-new-combat-aircraft-a-technical-assessment/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 16 février Share Posté(e) le 16 février la Chine affirme que son dirigeable révolutionnaire peut détecter les avions US à plus de 2 000 km La Chine révolutionne la surveillance aérienne avec ses nouveaux drones dirigeables capables de détecter des avions furtifs à 2 000 km, remettant en question la supériorité technologique des appareils américains. Les drones dirigeables chinois détectent les avions furtifs jusqu’à 2 000 km, une avancée majeure pour la sécurité aérienne. Leur technologie repose sur des capteurs infrarouges spécialisés, surpassant les radars traditionnels. Un réseau de drones offre une surveillance continue, couvrant des zones stratégiques cruciales de l’espace aérien. Le coût abordable et la fabrication simple de ces drones en font une solution économiquement viable pour la défense. Les avancées technologiques dans le domaine militaire continuent de redéfinir les capacités de détection et de surveillance. La Chine a récemment fait un bond en avant en développant un nouveau type de drone dirigeable capable de détecter des avions furtifs à une distance impressionnante de 2 000 km. Ces drones, issus des recherches menées par le Changchun Institute of Optics, Fine Mechanics, and Physics (CIOMP), pourraient transformer le paysage de la sécurité aérienne mondiale. Avec une technologie infrarouge avancée, ces appareils promettent de surmonter les limitations des radars traditionnels, posant ainsi un défi majeur aux avions furtifs américains tels que le F-35 et le F-22. La technologie derrière le drone dirigeable Les chercheurs de la CIOMP ont mis au point une méthode innovante pour détecter les avions furtifs. Leur approche repose sur l’utilisation de capteurs infrarouges spécialisés qui peuvent identifier les signatures thermiques des avions, même à grande distance. En ciblant la plage de longueur d’onde de 2,8 à 4,3 micromètres, où les interférences atmosphériques sont minimales, ces capteurs peuvent capter les émissions infrarouges des panaches de moteurs des avions furtifs. Ce développement marque une avancée significative par rapport aux méthodes de détection traditionnelles basées sur le radar, qui ont souvent du mal à détecter les avions furtifs en raison de leur revêtement absorbant les ondes radar. La clé de cette technologie réside dans l’utilisation de détecteurs de mercure-cadmium-telluride combinés à des télescopes de 300 mm d’ouverture. Ces instruments sont montés sur des drones dirigeables qui peuvent opérer à une altitude de 20 km, fournissant ainsi une détection passive à long terme. Leur capacité à détecter les avions furtifs de côté ou de l’arrière, sur une distance impressionnante, bien que limitée à 350 km pour une détection frontale, représente un atout majeur pour la surveillance stratégique. Un maillage de surveillance inégalé La mise en place d’une constellation de ces drones dirigeables pourrait révolutionner les systèmes d’alerte précoce dans l’espace aérien chinois. En déployant un réseau de ces appareils, la Chine pourrait couvrir des zones stratégiques vitales avec une surveillance continue. Cette approche permettrait de créer un maillage de surveillance redondant qui augmenterait considérablement les chances de détecter les menaces aériennes. De plus, la possibilité d’utiliser des essaims de plus petits dirigeables pour créer un réseau de surveillance superposé est une idée prometteuse. Ces essaims pourraient fonctionner de manière coordonnée pour assurer une couverture complète et réduire les angles morts potentiels. Bien que ces drones ne soient pas sans vulnérabilités, notamment en raison de leur taille imposante et de leur vitesse limitée, leur capacité à opérer au-dessus de l’altitude des avions de chasse et des missiles sol-air les place dans une position de force unique. Un coût abordable pour une efficacité maximale Un des aspects les plus remarquables de cette technologie est son coût relativement bas. Comparé aux systèmes de détection traditionnels, ces drones dirigeables représentent une solution économique au problème coûteux de la détection des avions furtifs. Leur fabrication est simple et peu onéreuse, ce qui permet une production en masse pour renforcer les capacités de surveillance. En outre, leur positionnement stratégique à une altitude de 20 km leur permet de rester hors de portée des menaces conventionnelles, tout en étant plus proches des cibles que les satellites. Cette approche tire parti d’une position optimale, ou « sweet spot », pour maximiser leur efficacité. Même si des pertes de 50 % étaient enregistrées, cela n’affecterait pas significativement la couverture de surveillance, soulignant ainsi la résilience de cette stratégie. Défis et perspectives d’avenir Malgré leurs avantages, ces drones dirigeables ne sont pas sans défis. Leur taille massive de 150 mètres les rend facilement détectables, ce qui pourrait les exposer à des attaques ciblées. De plus, leur vitesse de déplacement lente, d’environ 120 km/h, limite leur capacité à échapper à des intercepteurs spécialisés. Cependant, si ces drones tiennent leurs promesses, ils pourraient redéfinir les règles du jeu en matière de détection furtive. Leur capacité à compliquer les opérations des avions furtifs pourrait dissuader l’utilisation de tels appareils dans les zones couvertes par ces constellations de drones. La facilité de fabrication et le faible coût de ces drones représentent une opportunité pour renforcer la sécurité aérienne sans grever les budgets militaires. Alors que la Chine continue de développer et de déployer cette technologie innovante, la question reste posée : comment les autres nations répondront elles à cette avancée majeure dans la guerre électronique et la surveillance aérienne ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deltafan Posté(e) le 17 février Share Posté(e) le 17 février (modifié) Mouih... Il y a quelques années, c'était les radars quantiques chinois qui étaient censés faire des miracles de la même façon... On les attend toujours... L'infrarouge à 2000 kms, bien qu'étant une buse en technique, j'attends de voir... Par ailleurs, plus prosaïquement, j'imagine que les Chinois, s'ils ne les ont pas déjà en mode opérationnel, doivent avoir à l'étude des équivalents de notre NOSTRADAMUS (et avec leurs moyens autrement plus importants que les nôtres) pour remplir cette mission... Wait and see... Modifié le 17 février par Deltafan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 17 février Share Posté(e) le 17 février Le 17/02/2025 à 11:25, Deltafan a dit : Mouih... Il y a quelques années, c'était les radars quantiques chinois qui étaient censés faire des miracles de la même façon... On les attend toujours... L'infrarouge à 2000 kms, bien qu'étant une buse en technique, j'attends de voir... Par ailleurs, plus prosaïquement, j'imagine que les Chinois, s'ils ne les ont pas déjà en mode opérationnel, doivent avoir à l'étude des équivalents de notre NOSTRADAMUS (et avec leurs moyens autrement plus importants que les nôtres) pour remplir cette mission... Wait and see... Expand Oui les OTH sont très courants: https://en.wikipedia.org/wiki/Over-the-horizon_radar Australia. Brazil. Canada. China. France. India. Iran. UK. USA. Russia. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) le 17 février Share Posté(e) le 17 février Le 16/02/2025 à 16:58, Picdelamirand-oil a dit : Les avancées technologiques dans le domaine militaire continuent de redéfinir les capacités de détection et de surveillance. La Chine a récemment fait un bond en avant en développant un nouveau type de drone dirigeable capable de détecter des avions furtifs à une distance impressionnante de 2 000 km. Ces drones, issus des recherches menées par le Changchun Institute of Optics, Fine Mechanics, and Physics (CIOMP), pourraient transformer le paysage de la sécurité aérienne mondiale. Avec une technologie infrarouge avancée, ces appareils promettent de surmonter les limitations des radars traditionnels, posant ainsi un défi majeur aux avions furtifs américains tels que le F-35 et le F-22. Expand Ben alors, ils ne lisent pas l'IFRI les chinois ? Ils s'obstinent à faire des capteurs au lieu du faire du furtif ? Des boulets j'te dis. Bon je suis méchant, j'ai entendu l'officier qui a rédigé ce récent rapport IFRI et il a été très bon dans son exposé lors d'une table ronde de fin janvier. Peut-être un peu cassant, ce qui peut expliquer des tournures dans le rapport. J'aurais pensé que ce genre de dispositif utilise des longueurs d'onde un peu plus élevées mais manifestement je tape à côté. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 25 février Share Posté(e) le 25 février (modifié) Impressionnant les Chinois... https://www.twz.com/air/chinas-massive-wz-9-divine-eagle-drone-emerges-now-operating-from-south-china-sea-air-base ..."Le Divine Eagle est construit autour de grands réseaux radar et peut suivre les avions et les navires sur une vaste zone depuis son perchoir élevé au-dessus de la mer de Chine méridionale et au-delà..." ..."L'envergure de l'aile principale du WZ-9 est d'environ 45 mètres, mais sa longueur totale est d'un peu moins de 15 mètres. À titre de comparaison, le drone américain RQ-4 Global Hawk HALE a une envergure d'un peu moins de 40 mètres et mesure près de 14,5 mètres de long..." 2 grand radar SLAR sur chaque poutre Modifié le 25 février par Ronfly 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 25 février Share Posté(e) le 25 février (modifié) Le 25/02/2025 à 21:26, Ronfly a dit : Impressionnant les Chinois... https://www.twz.com/air/chinas-massive-wz-9-divine-eagle-drone-emerges-now-operating-from-south-china-sea-air-base ..."Le Divine Eagle est construit autour de grands réseaux radar et peut suivre les avions et les navires sur une vaste zone depuis son perchoir élevé au-dessus de la mer de Chine méridionale et au-delà..." ..."L'envergure de l'aile principale du WZ-9 est d'environ 45 mètres, mais sa longueur totale est d'un peu moins de 15 mètres. À titre de comparaison, le drone américain RQ-4 Global Hawk HALE a une envergure d'un peu moins de 40 mètres et mesure près de 14,5 mètres de long..." 2 grand radar SLAR sur chaque poutre Expand … T’ain mais c’est quoi ce truc de dingue ? Nous sommes d’accord pour dire que potentiellement il pourrait s’agir d’un « leurre » histoire de mettre les analystes de l’Air Force sur des charbons ardents, non ? En même temps, les Chinois, y’a pas a tourner autour du pot, c’est pas des manches ! Modifié le 25 février par Ardachès Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 25 février Share Posté(e) le 25 février Le 25/02/2025 à 21:51, Ardachès a dit : … T’ain mais c’est quoi ce truc de dingue ? Nous sommes d’accord pour dire que potentiellement il pourrait s’agir d’un « leurre » histoire de mettre les analystes de l’Air Force sur des charbons ardents, non ? En même temps, les Chinois, y’a pas a tourner autour du pot, c’est pas des manches ! Expand Forcément on manque d'infos et de certitudes. Ils laissent échapper les infos qu'ils veulent sans que personne puisse vérifier. Mais vu leur essor technologique, économique et capacitaire, je suis pas forcément sur que ce soit totalement du flan. D'ailleurs on a fort à faire pour tenir le niveau. En tous cas son design est singulier et plutôt moderne et novateur. Ça fait un peu style Burt Rutan je trouve. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 5 mars Share Posté(e) le 5 mars Les "vieux" H-6H toujours en service en Chine 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 16 mars Share Posté(e) le 16 mars Crash d'un J-15. Le pilote a réussi à s'éjecter 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 17 mars Share Posté(e) le 17 mars Le 08/01/2025 à 23:35, rogue0 a dit : Bill Sweetman a continué ses spéculations sur le probable J-36 chinois (+ celles de ses nombreux contacts dans le milieu aéronautique, même s'il a été viré de Aviation Week suite à ses critiques du F-35). Expand Suite des billets de Bill Sweetman chez l'ASPI (que j'avais loupé) 17 janvier: quelques brèves remarques sur le J-50 de Shenyang. Il penche aussi vers l'hypothèse de chasseur naval embarqué, mais pense plutôt à un démonstrateur technologique https://www.aspistrategist.org.au/chinas-other-new-combat-aircraft-a-crewed-fighter-maybe-for-aircraft-carriers/ 10 février quelques remarques sur le pragmatisme des ingénieurs aéro chinois : https://www.aspistrategist.org.au/something-old-something-new-the-very-practical-rules-of-chinese-aircraft-development/ Copier si ça marche déjà assez bien (ne pas réinventer la roue), innover quand c'est nécessaire ... Et sortir du matos industrialisable à marche forcée ( 1 nouveau modèle de chasseur piloté tous les ~10 ans pour chaque constructeur ... et encore plus vite pour les drones) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures Chine, France Enquête du Parquet sur un ex-pilote : les modus operandi de Pékin mis en lumière https://www.intelligenceonline.fr/renseignement-d-etat/2025/04/09/enquete-du-parquet-sur-un-ex-pilote--les-modus-operandi-de-pekin-mis-en-lumiere,110411513-evg?did=109653022 Pierre-Henri Chuet, devenu une star de YouTube, est l'objet d'une enquête préliminaire du Parquet de Paris pour intelligence avec la Chine. L'épilogue des révélations d'Intelligence Online sur le système organisé par l'armée chinoise pour se former auprès de pilotes occidentaux pendant des années, identifié dès 2019. Publié le 09/04/2025 à 9h40 GMT Lecture 2 minutes Pierre Gastineau, Antoine Izambard, Franck Renaud Au moins trois pilotes français étaient formés au Rafale parmi les consultants de l'armée chinoise identifiés en 2022. © Ludovic Marin/MaxPPP L'enquête préliminaire ouverte par le Parquet de Paris pour "intelligence avec une puissance étrangère" et "divulgation de secret de défense nationale" contre un ancien pilote de chasse ayant travaillé pour la Chine, qui porte également sur des faits de blanchiment de fraude fiscale, fait suite à un signalement du ministère des armées du 19 février. Ce dernier a été effectué après plusieurs années de ciblage par la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense (DRSD), alertée très tôt sur le phénomène. Circuit éventé en mai 2022 L'ancien militaire visé, Pierre-Henri Chuet, a ainsi été l'un des pilotes français, au milieu d'autres occidentaux, qui ont travaillé pour le compte de leurs homologues de l'Armée populaire de libération (APL) chinoise via un circuit bien rodé. Après une première alerte dès 2019 (IO du 04/09/19), Intelligence Online avait retracé en mai 2022 le système mis en place par Pékin pour entraîner ses pilotes grâce à l'expertise occidentale. Ces formations secrètes étaient assurées via une société sud-africaine, Test Flight Academy of South Africa (TFASA). Celle-ci recrutait alors d'anciens pilotes d'armées de l'air occidentales avec un salaire alléchant – selon nos informations, certains s'étaient vu proposer jusqu'à 30 000 $ par mois –, puis les envoyait en Chine. Là, les opérations étaient prises en main par Aviation Industry Corporation of China (AVIC), l'entité parapublique qui construit les avions de ligne de la République populaire (IO du 23/05/22). Intelligence Online avait identifié au moins trois pilotes français formés au Rafale parmi les consultants de l'armée chinoise, ainsi que plusieurs Australiens et Britanniques. Pour Pékin, l'organisation de telles formations permettait d'apprendre à l'APL, en quête de compétences et d'informations sur ses adversaires, les modus operandi et les règles d'engagement des armées de l'air occidentales. Et d'en comprendre les réactions. Il s'agissait aussi d'observer les réflexes et les méthodes de combat des pilotes, autant d'informations utiles en cas de conflit… Réactions tardives À l'époque de nos révélations, en 2019 puis en mai 2022, les services de l'État français n'avaient pas réagi et l'affaire n'avait pas fait de bruit. Jusqu'à ce que le ministère britannique de la défense émette une alerte en octobre 2022 pour mettre en garde ses propres pilotes, tentés par les largesses financières chinoises, notamment ceux évoluant sur l'avion dernier cri F-35. Washington avait déclassifié dans la foulée sa première enquête judiciarisée sur le sujet visant l'un des nœuds du réseau opérant pour l'armée chinoise, l'ancien pilote américano-australien de l'aéronavale Daniel Duggan. Le ministère français des armées avait ensuite réagi (IO du 13/03/23). Un lot de documents détaillant les relations entre AVIC, TFASA et Pierre-Henri Chuet avait commencé à émerger peu après dans la presse. Contacté, l'ancien pilote n'a pas répondu à nos sollicitations. À la suite de cette affaire, plusieurs capitales occidentales ont cherché à muscler leurs dispositifs judiciaires afin d'essayer d'entraver plus efficacement ce type d'aide immatérielle apportée à des adversaires stratégiques, difficilement judiciarisable à l'époque (IO du 07/02/23). Pierre Gastineau, Antoine Izambard, Franck Renaud Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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