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AIR-DEFENSE.NET

KC-46 A Pegasus


canadianboy

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Je suis pas vraiment d'accord.

Disons qu'on privilégie des solutions franco-françaises (enfin, de plus en plus européano-françaises, les groupes français étant incorporés dans des structures Européennes comme MBDA ou EADS maintenant) quand on le peut, mais ça tout les pays du monde font pareil.

Nous, on oppose Thalès, Sagem et MBDA pour des achats de bombes ou de missiles, les Américains opposent Lockheed Martin, Boeing et Northrop Gruman pour des achats de drones ou d'avions de combat par exemple.

Au final, on fait  tous ça, et c'est tout à fait normal.

Par contre, on a tous conscience que pour certains produits, soit nos industriels nationaux n'ont pas en catalogue (ou dans les cartons à dessin) ce que l'on cherche, soit l'offre peu être moins intéressante que la concurrence étrangère.

Dans le premier cas de figure, ça donne l'E-2C et l'E-3F achetés sur étagère par la France ou encore les CN-235 et les C-27 Spartan achetés en Espagne et en Italie par les Coast Guard et les forces armées US.

Dans le deuxième cas, notre armée de terre se retrouve avec un Hellfire sélectionné comme nouveau missile anti-char et l'USAF choisi un A330MRTT comme base pour son nouveau tanker.

Et c'est là que le bat blesse pour tout le monde, puisque pour ces cas précis, il y avait effectivement une solution nationale, même si elle ne répondait pas forcément aux besoins opérationnels. Le dilemme est donc très simple: les intérêts économiques et industriels nationaux doivent-ils passer avant les intérêts opérationnels?

La France a répondu "OUI" lorsqu'elle a choisit de ne pas louer ou acheter de F-18 pour remplacer ou attendre le Rafale. Et aujourd'hui, les USA ont répondu "OUI" également pour le ravitailleur.

La seule différence, c'est que pour les USA c'est une pure question de lobbying et de manipulation populiste des foules et pas une question d'intérêts stratégiques, puisque le ravitailleur proposé par Boeing était bien plus Japonais que le ravitailleur d'airbus n'était Américain!! Mais bon, s'ils sont trop con pour comprendre qu'il vaut mieux construire une nouvelle chaine d'assemblage dans un état économiquement désolé plutôt qu'entretenir une chaine à majorité japonaise et qui, dans sa partie US, fait déjà doublon avec les chaines de 787, c'est leur problème.

Ce qui énerve vraiment les Européens, ce sont les éternelles hésitations sans fin, les retournements de veste etc... S'ils ne voulaient vraiment pas du 330, si EADS/Northrop ne devait servir que de faire valoir pour justifier un achat de Boeing à coûts réduits, ils auraient pu le dire tout de suite, Airbus et Northrop auraient économisés des millions en marketing et études de marché.

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Grosso modo, ce que je voulais dire c'est que choisir le 330 au lieu du 767, outre le fait qu'il soit meilleurs ravitailleur et meilleur cargo, ça allait également créer/conserver plus d'emploi direct, encore plus d'emplois indirects (redynamiser toute une région fort sinistrée économiquement), sans compter qu'on leur aurait sans aucun doute laisser la construction et une partie de la commercialisation de l'ensemble des 330 cargos.

Sur le KC-330, les Américains ne voyaient que Airbus/EADS, oubliant que c'était Northrop-Grumman le maître d'oeuvre. Et pour le KC-767, ils n'ont vu que Boeing et toute son image de marque, oubliant à quel point l'avion allait être sous-traité au Japon et en Europe.

Mais bon, même si ça tient en trois lignes, c'était BEAUCOUP trop complexe à expliqué pour le quidam appelé à voter en Novembre prochain (tout comme c'était sans doute trop compliqué d'expliquer à nos quidam à nous que la politique du pouvoir d'achat et de la relance de l'économie était vouée à l'échec avant même les élections).

Ah? On me dit dans l'oreillette que c'était peut-être pas trop compliqué, juste qu'on avait pas du tout l'intention de le leur expliquer? Comme c'est étonnant ça?? :lol:

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  • 1 month later...

Selon les échos,

Après de nombreux rebondissements dont le dernier en date a vu l'annulation du contrat attribué au tandem EADS-Northrop Grumman, l'administration américaine a fixé à mars 2010 la nouvelle date pour l'attribution de ce contrat de 35 milliards de dollars. 

Le nom de l'industriel retenu pour fournir à l'US Air Force des avions ravitailleurs pour une valeur de 35 milliards de dollars sera connu, selon toute vraisemblance en mars 2010, a expliqué le 31 octobre dernier le secrétaire à la Défense Gordon England.

Dernièrement, Northrop Grumman associé à Airbus (EADS) a été sélectionné pour ce contrat de 179 appareils critiqué par Boeing et dont la décision est intervenue en pleine campagne électorale aux Etats-Unis. Le 10 septembre dernier l'administration américaine s'est vue contrainte de reporter sa décision à cause de la pression des partis politiques américains

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  • 2 months later...

"Avions ravitailleurs : appel d'offres relancé au printemps"

28 janvier 09 - Les Echos.

L'appel d'offres pour les contrats d'avions ravitailleurs de l'armée américaine devrait être relancé au printemps avec une attribution début 2010, a indiqué le nouveau secrétaire d'Etat à la Défense, Robert Gates. L'administration Bush lègue à ses successeurs la responsabilité de trancher rapidement, d'autant que l'US Air Force attend une réponse sur le calendrier à observer dans les semaines à venir. Le contrat, qui porte sur une commande de 179 appareils pour quelque 35 milliards de dollars, avait été annulé après avoir été remporté par EADS associé à Northrop-Grumman

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Obama était pro Boeing durant la campagne des élections...

Mc Cain avait dénoncé les magouilles de Boeing avant la campagne électorale et ensuite avait fait profil bas devant le tollé suscité par le choix du Pentagone en faveur d'EADS

Et il ne volera pas dans un A380  :lol:

Airbus renonce à concourir face à Boeing pour remplacer l'Air Force One

[ 28/01/09  - 18H25 - AFP  ]

La maison mère d'Airbus, EADS, ne participera pas à l'appel d'offres pour le remplacement de l'avion présidentiel américain, Air Force One, a annoncé mercredi un porte-parole de sa filiale nord-américaine, laissant son rival Boeing seul en lice.

"A l'issue d'un examen attentif, nous avons jugé que participer au programme AF-1 ne nous permettrait pas de remplir les objectifs de l'entreprise", consistant à "élargir notre présence industrielle aux Etats-Unis et y créer des emplois", a-t-il déclaré.

L'armée de l'Air américaine souhaite remplacer les deux avions composant la flotte présidentielle, des super jumbos 747 livrés par Boeing en 1990, par trois appareils devant être livrés en 2017, 2019 et 2021.

"Les 747-200 ayant été retirés des flottes commerciales, les pièces détachées et la maintenance deviennent de plus en plus coûteuses", fait valoir l'Air Force pour justifier le besoin de nouveaux avions.

La branche américaine d'EADS avait fourni des informations techniques à l'Air Force en 2007 sur plusieurs appareils de la gamme Airbus, dont l'avion géant A380, lors de la phase initiale d'analyse, avant de jeter l'éponge mercredi.

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Split-Buy USAF Tanker Concept Gaining Favor

As the Pentagon attempts to craft a way forward to replace the KC-135 aerial refueling fleet, the option of a split buy of two models is back and gaining attention on Capitol Hill, according to officials close to the tanker program.

The idea is sure to be a topic of discussion as the chairman of the House Appropriations defense subcommittee, Rep. John Murtha (D-Pa. ), travels this week to Alabama, where Northrop Grumman and EADS were proposing to assemble their tanker design. Murtha is expected to visit Boeing’s Washington state facility in the coming weeks as well.

After multiple failed attempts at competing the $35 billion KC-135 replacement program, some officials close to the program are convinced dual-sourcing is the only realistic option to get beyond repeated award protests and delays.

But the split-buy concept still lacks support in the Pentagon. “It will incredibly complicate the Air Force’s life because they will have two new tankers and the old tankers and the maintenance, the training, and the logistics just becomes a nightmare,” Defense Secretary Robert Gates said during an interview last month with Aviation Week.

Still, officials close to the KC-X program, which was designed to begin replacing more than 500 aging KC-135 tankers with 179 new aircraft, say dual-sourcing may be the only politically palatable way to move forward. Plans from the middle of the decade called for a later buy of KC-Y aircraft and replacing the KC-135s with these two new models in succession. KC-Y was to be a new round of competition after the KC-X buy ended.

Now, officials are looking at an option to bring KC-Y forward and conduct simultaneous replacement purchases of KC-X and KC-Y. “This would put a wrapper of legitimacy around it,” one industry official says.

Earlier talk of a split-buy involved halving the KC-X buy, which would have amounted to doling out funds for two simultaneous developments that would yield, at most, production of 90 aircraft for each contractor. Yet by guaranteeing each team a number of units, the benefits of competitive dual-sourcing would be lost, says Jacques Gansler, the Pentagon’s acquisition chief from 1997-2001.

Gansler, who directs the University of Maryland’s Center for Public Policy and Private Enterprise, says that conducting periodic competitions between sources can produce significant savings and favorable contracting terms for the government, although he is not necessarily advocating this approach.

During last year’s competition, the Northrop/EADS team’s development program was judged to be less expensive, but the team would incur cost by establishing its first stateside widebody final assembly facility.

By bringing KC-Y forward, industry sources say, the Air Force would forgo some of the pricing benefits of competition in the development phase as both contractors would receive funding to design their models. However, the service could conduct merit-based pricing wars annually between the two models for production, awarding only a base amount if one of the teams is underperforming.

Two earlier attempts at a competition between the rival teams – led by Boeing, with a 767-200-based option, and Northrop/EADS North America, with an A330-based aircraft – were botched.

While options for a split buy are under review, the Air Force also is assessing ways for the new Obama administration to attempt a third competition. Pentagon officials are adamantly against a split buy because of high up-front cost. But some acquisition experts say competitive dual-sourcing may be the only way to avoid a new round of lengthy bid protests.

“There’s no way that the Air Force or anyone else can write a operational requirement for existing aircraft with known capabilities that results in a level playing field,” says retired USAF Gen. Mike Loh, once head of Air Combat Command. “Whatever you write will tilt the decision and end up in another protest.”

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  • 1 month later...

Selon les échos.

Avions ravitailleurs : la Maison Blanche dément demander un report de 5 ans 

La Maison Blanche a démenti mardi des informations selon lesquelles elle avait demandé au Pentagone de retarder de cinq ans la production d'avions ravitailleurs de l'armée de l'air et de renoncer à un projet de nouveau bombardier à long rayon d'action.Le Bureau du budget de la Maison Blanche (OMB)... 

Selon Challenges.

http://www.challenges.fr/actualites/amerique_du_nord/20090311.CHA1940/washington_veutil_retarderle_contrat_des_ravitailleurs_.html

La Maison Blanche veut-elle retarder le renouvellement par l'US Air Force de sa flotte de ravitailleurs? Avancée par la publication spécialisée Congressional Quarterly, mardi 10 mars, cette information a été démentie par la présidence.

Selon le Congressional Quarterly, le Bureau du budget de la Maison Blanche (OMB) aurait demandé au Pentagone de retarder de cinq ans la production d'avions ravitailleurs de l'armée de l'air et de renoncer à un projet de nouveau bombardier à long rayon d'action. Des recommandations qui feraient partie de négociations budgétaires serrées en vue de l'année 2010.

"Une énorme protestation au Capitole"

Comme l'explique le Congressional Quarterly, "si ces recommandations survivent au processus budgétaire, elles devraient entraîner une énorme protestation au Capitole, où des dizaines de juristes s'affrontent dans la bataille sur les ravitailleurs, qui fait rage depuis des années".

Attribué dans un premier temps à Boeing puis au tandem EADS/Northrop Grumman, le gigantesque contrat des ravitailleurs (179 appareils pour 35 milliards de dollars, mais la facture pourrait à terme monter à 100 milliards) a déjà fait l'objet de deux annulations.

Théoriquement, il doit être attribué début 2010. Fin janvier, le président d'EADS, Louis Gallois, a annoncé que son groupe était toujours candidat.

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http://www.boursier.com/vals/FR/eads-le-contrat-des-tankers-americains-partage-avec-boeing-wsj-news-323929.htm

Interrompu par l’élection présidentielle américaine, le feuilleton-fleuve du contrat des "tankers" de l’US Air Force est relancé... Selon le ’Wall Street Journal’, la Chambre des Représentants, dominée par les Démocrates, travaille à un projet visant à partager cette commande géante de 40 Milliards de Dollars, pour 179 avions, entre l’américain Boeing et le consortium Northrop Grumman/EADS.

Dans cette affaire, qui dure depuis au moins 5 ans, Boeing avait initialement remporté la mise, mais l’avait perdue à cause de malversations avérées dans l’appel d’offre... Puis, début 2008, le duo Northrop/EADS avait été déclaré vainqueur à son tour ! Mais Boeing avait porté plainte pour irrégularités, et la Cour des comptes américaine avait annulé l’appel d’offre, sur fond de débat partisan sur la défense de l’industrie américaine face à un groupe étranger.

Depuis, le dossier est resté en suspens en raison de l’élection présidentielle et de l’urgence de lutter contre la crise économique et financière. Officiellement, l’administration prévoit de lancer un troisième appel d’offre, mais son coup d’envoi se fait attendre... Un compromis et un partage entre les protagonistes pourrait donc finalement mettre tout le monde d’accord, et permettre de gagner un temps précieux.

De plus, tant Boeing qu’EADS et Northrop se sont engagés à créer de nombreux emplois aux Etats-Unis pour satisfaire ces commandes. Du côté d’EADS, les Airbus A330 modifiés proposés seraient construits sur le site du groupe aéronautique européen à Mobile, dans l’Alabama. Quant à Boeing, il assemblerait les B-767 modifiés sur son site d’Everett dans l’Etat de Washington... Or, actuellement, des créations d’emplois seraient plus que bienvenues dans ces deux Etats !

Le débat, toutefois, semble encore loin d’être tranché, les opposants au projet estimant que le fait de fournir deux types d’avions à l’US Air Force serait plus coûteux en termes de maintenance, de fonctionnement et de formation des personnels. Un affaire à suivre, donc...

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"Avions ravitailleurs : EADS ou Boeing"

19 mars 09 - Les Echos.

Depuis quelques semaines, plusieurs voix se sont élevées au Congrès américain pour suggérer une répartition du contrat entre l'alliance EADS-Northrop Grumman et Boeing. De son côté, le secrétaire à la Défense américain, Robert Gates, a réaffirmé, hier, qu'il était opposé à ce partage. Le Pentagone doit relancer la procédure d'appel d'offres avec pour objectif de choisir l'un ou l'autre.

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  • 4 weeks later...

Sur le site defensenews.com :

ABOVE SOUTHWEST GEORGIA AND FORT RUCKER, Ala. - Defense Secretary Robert Gates said he has had no direct conversations with lawmakers about the raft of major program decisions he unveiled last week. He also threw a new wrinkle into the Air Force's KC-X tanker program, saying buying both competitors' planes would drive up program costs by as much as $14 billion.

Gates last week announced about 50 decisions on major acquisition programs that will be included in the Obama administration's 2010 defense budget plan. That announcement was answered by criticism from both sides of the aisle from lawmakers concerned that his decisions could impact their districts and states.

Among other moves, his 2010 plan ends F-22 production, and increases and accelerates F-35 production. Gates several times last week urged lawmakers to "rise above parochial interests."

Gates said he has been "pleasantly surprised" by the reaction from Capitol Hill since his program announcement. What defense officials have heard from lawmakers, he said, is "a number of responses" that he labeled "thoughtful."

The secretary quipped that he wonders "if I am in the eye of the storm" because Congress is still in recess for Easter.

He spoke to a group of reporters on April 14 traveling with him to Fort Rucker, Ala., where he toured facilities and spoke with helicopter pilots. Gates will give remarks on April 15 at another Alabama military base, Maxwell Air Force Base.

The two-day swing is an opportunity, according to defense officials, for Gates to explain some of the decisions that shaped the Pentagon's 2010 spending plan, due to Congress next month.

He is visiting those two Alabama bases, he said, because "those are places where our future generals and admirals are doing their schooling."

During a press briefing the same day moments before leaving Fort Rucker, Gates reiterated his opposition to splitting a 179-plane, $35 billion Air Force contract for new aerial refueling tankers between Boeing and a rival team composed of Northrop Grumman and EADS.

The secretary said splitting the contract would increase tanker development costs by $7 billion to $14 billion. Gates told reporters "we do not need" the two costly maintenance, logistical and training systems that buying planes from each team would make necessary.

Some prominent lawmakers, such as Rep. John Murtha, chairman of the House defense appropriations subcommittee, have signaled they may insert language - and additional monies - into fiscal 2010 defense funding legislation to split the buy. Murtha and other lawmakers feel such a move is the lone way out the scandal- and protest-ridden KC-X competition, which has been started and stopped several times this decade.

He also reinforced his plans to re-start the program this summer and possibly award a single contract early next year. While some lawmakers and defense analysts say a single-source award will inevitably lead the losing side to again delay getting new flying gas stations on the ramp, Gates said so long as the Air Force runs a "clean competition," he is confident the program can finally be completed.

The secretary told reporters aboard his plane en route to Fort Rucker that the 2010 defense budget will "put some money" into several new ISR systems, including ones designed to give warfighters full-motion video and information exploitation tools.

Gates said he plans to tell the troops during the two-day swing that, as future leaders, he wants them to think differently - including about the kinds of systems their services should buy in the future.

"I want them to think anew," Gates told reporters. Specifically, he said future military leaders should pursue weapon systems that give the military "capabilities with the maximum possible flexibility … for the widest range of conflicts."

His visit to Fort Rucker featured ample focus on his plans to increase Army helicopter accounts by $500 million in 2010. Those funds would go toward training more flight and maintenance crews that are needed to get more rotorcraft in the air in places like Iraq and Afghanistan.

Defense officials have said since Gates rolled out his 2010 plan that unmet helicopter requirements in those theaters are not because of a lack of airframes, but because the Army lacks sufficient personnel to keep the current inventory of helicopters flying.

Army Gen. Martin Dempsey, commander of Training and Doctrine Command, which includes Fort Rucker, told reporters here that the command currently trains about 1,200 new helicopter pilots each year. The current demand is for about 1,500 annually.

Dempsey said the $500 million should help close the 300-pilot gap. The four-star said he expects to bring the level of newly trained pilots in line with the yearly operational requirement in about two years.

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  • 1 month later...

ITW de Thomas Enders. Des échos

Après son annulation, l'appel d'offres pour le marché des avions-ravitailleurs de l'armée de l'air américaine pourrait être relancé cet été. Seriez-vous prêts à accepter un partage avec Boeing comme certains le préconisent aux Etats-Unis?

C'est au client de décider comment il compte procéder pour son appel d'offres.

Nous croyons savoir que les grandes lignes devraient en être communiquées rapidement. En ce qui nous concerne, nous voulons avant tout que cet appel d'offres ne soit pas conçu d'une manière qui puisse favoriser notre concurrent. Il faut également que les conditions économiques minimales soient réunies. Nous estimons qu'il faut un minimum de 12 ravitailleurs par an, en plus de la production des A330 cargo, pour justifier la construction d'une chaîne d'assemblage aux Etats-Unis. Si ces conditions sont réunies, nous ferons une offre et nous croyons que nous pourrons l'emporter une nouvelle fois. Car aujourd'hui, l'appareil long-courrier le plus performant du marché est bien l'A330.

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Bon je sais que les crash d'avions arrivent de temps en temps mais ce qui est arrivé a un Airbus A330 pourrait il avoir un impact sur l'issu de l'appel d'offre, cruement l'USAF peut elle utiliser un avion qui ne résiste pas à la foudre?

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Heu, t'es sérieux là ? :rolleyes:

1) on n'est absolument pas sûr que la foudre soit responsable de la perte de l'Air France 447

2) un avion est foudroyé toutes les 1000 heures de vol. Donc même si l'Air France a été perdu à cause de la foudre, c'est un cas exceptionnel et pas "un avion qui ne résiste pas à la foudre"

3) l'Air Force doit avoir ses normes de résistance à la foudre et n'acceptera qu'un avion dans ces normes. Et je ne sais pas pourquoi, je sui persuadé que l'A330 respecte ces normes...

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ouais, enfin, ça doit faire plus de 25 ans qu'il vole...

et tu peux en enlever 2 de la liste (ceux perdus un certain 11 septembre 2001), parce que l'avion n'y est absolument pour rien...

auquel on peut éventuellement enlever les 3 qui n'ont fait aucune victime, sinon l'A330 en est déjà à 3 sur ce même site (c'est un A330 qui s'est "amusé" à planner pendant presque 100 nm au dessus de l'atlantique, il y a quelques années, heureusement l'avion a réussi à se poser par miracle).

Bref, tout cela pour dire que les deux avions sont à peu près à égalité, l'un ayant une plus longue carrière que l'autre...

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