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FRANCE : 5° puissance économique?


SPARTAN

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Si tu lisais égalité et réconciliation tu saurais :lol:

Il s'agit des catégorie de chomeur. http://russeurope.hypotheses.org/2522 a gauche le nombre d'insrit a pole emploi, en bas la chronologie.

 

Ah ok ça venait donc de là :lol:

 

C'est marrant quand même le chômage... Quand on voit d'un autre coté que le taux d'emploi reste stable.

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http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-france-sera-en-deflation-fin-juillet-et-que-signifie-concretement-pour-charles-gave-1661522.html

 

Très bon article de Charles Gave, il faut juste zapper les névroses "hayekiennes" de la conclusion anti étatique. 

 

Nationaliser les banques, mettre leurs dirigeants en prison, sortir de l’euro. revenir a des prix de marché pour les taux d’intérêt et les taux de change, couper les dépenses publiques de 40%, privatiser les secteurs ou l’Etat n’a rien à faire, baisser le taux marginal d’imposition. C’est ce qu’ont fait la Suède en 1992 et le Canada en 1994. C’est ce que va proposer monsieur Montebourg sans aucun doute...

 

 

Je soutien cette conclusion, sauf le chiffre de dépense publique je pense qu'elles baisseront d'elle même une fois la compétitivité retrouvé d'au moins 15%, la baisse du chômage aura un impact immédiat. On doit pouvoir gratter 5 point de PIB en efficacité et 5 point de plus en liquidant les régimes spéciaux.
 

Modifié par Karg se
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Je prendrais Charles Gave et économiste de gauche (je sais pas trop qui choisir, peut être Husson un troskyste ça le fait). Je les enferme à l'Elysée tant qu'ils n'ont pas un plan sur lequel ils sont d'accord. Ensuite 49-3 et passage en force généralisé. 

Modifié par Karg se
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Toute de suite les solutions extrémistes, emprisonnez tous les banquiers sans distinction, c'est barbare, alors que je vous rappelle que l'on nous a dernièrement rappelés que la finance n'est pas complètement notre ennemie, écoutez un peu nos chers leaders, il existe une bonne finance, elle est gentille et il faut rester ami avec elle, copain/copain on vous demande pas de coucher avec elle non plus (pas encore)...

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Certes mon post était ironique.

Sauf que, ça sonne un peu comme le grand soir qui arrivera jamais son idée, on peut très bien s'emparer des banquiers français qui ont pas encore mis les voiles, mais si on s'attaque pas à ceux de WS ou de la city, ça changera pas grand chose.

Une mise au pas de la finance méchante ne peut se faire à minima qu'à l'échelle européenne et en traitant son poumon qu'est la city.

Oui je vote pour le rétablissement du camp de boulogne et l'invasion mise au pas de la perfide, depuis le temps que j'en rêve  ^-^

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Toute de suite les solutions extrémistes, emprisonnez tous les banquiers sans distinction, c'est barbare, alors que je vous rappelle que l'on nous a dernièrement rappelés que la finance n'est pas complètement notre ennemie, écoutez un peu nos chers leaders, il existe une bonne finance, elle est gentille et il faut rester ami avec elle, copain/copain on vous demande pas de coucher avec elle non plus (pas encore)...

 

Si on enlève l'emprisonnement voir le lynchage des banquiers - mais où est le fun dans tout ça ? :happy: ... -  et modère des aspects du plan (40% de baisse des dépenses publiques, qui y croit ??? ?), la proposition est radicale mais tenable, car comme dit, déjà appliqué pour partie en Suède en 92 avec la nationalisation des banques. Ce qu'il faut, c'est un remède de cheval, mais coordonné.

 

 

Ce qui bloque l’économie c’est la non liquidation des mauvaises créances dont personne ne connait l’ampleur dans le bilan des banques. Tant que régnera ce flou, la confiance ne pourra pas revenir.

Modifié par Shorr kan
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La non liquidation des créances pourries est un problème, mais qui s'est bien amoindri depuis 2008 et qui demeure surtout pour les systèmes financiers des pays du sud.

Le vrai problème est plutôt la taille des banques dites systémiques et le peu de lisibilité de leurs engagements, darkpools, shadow banking,..etc, qui rend fébrile les marchés à chaque annonce de pertes imprévues.

L'autre vrai problème c'est celui de la dette des états, dont les banques se sont gavées en remerciement du coup de pouce de 2008, quand est ce que tout ce pognon sera remboursé et comment?

L'autre vrai, vrai problème, c'est les banques centrales dont les bilans laissent songeurs pour des entités qui devraient idéalement être neutres, et qui font tourner la planche à billets jour et nuit, et que vaudra notre monnaie demain?

Les banquiers sont un problème, mais pas que.

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La non liquidation des créances pourries est un problème, mais qui s'est bien amoindri depuis 2008 et qui demeure surtout pour les systèmes financiers des pays du sud.

...

 

Je ne suis pas d’accord sur ce point. On les a juste planqués sous le tapis, comme les japonais qui sont en crise façon interrompu depuis plus de deux décennies maintenant.

 

 

...

Le vrai problème est plutôt la taille des banques dites systémiques et le peu de lisibilité de leurs engagements, darkpools, shadow banking,..etc, qui rend fébrile les marchés à chaque annonce de pertes imprévues.

...

 

Il manque à mon sens une politique antitrust (Roosevelt où est tu !) doublé d’une simplification réglementaire au niveau de la finance, et pas l’ajout d’une nouvelle couche législative, pour abaisser les barrières à l'entrée.

 

 

...

L'autre vrai problème c'est celui de la dette des états, dont les banques se sont gavées en remerciement du coup de pouce de 2008, quand est ce que tout ce pognon sera remboursé et comment?

...

 

La dette publique qui se creuse n’est pas une cause mais est une conséquence d’une croissance en pleine anomie.

 

 

...

L'autre vrai, vrai problème, c'est les banques centrales dont les bilans laissent songeurs pour des entités qui devraient idéalement être neutres, et qui font tourner la planche à billets jour et nuit, et que vaudra notre monnaie demain?

Les banquiers sont un problème, mais pas que.

 

Là aussi c’est une conséquence de la crise dans son aspect financier. Il gère une situation et empêche qu’elle dégénère mais sans pouvoir donner de solutions. D’ailleurs ce n’est pas la tâche des BC. Je n’aimerais pas être à la place d’un banquier central à notre époque.

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Je ne suis pas d’accord sur ce point. On les a juste planqués sous le tapis, comme les japonais qui sont en crise façon interrompu depuis plus de deux décennies maintenant.

 

Quel tapis?  ^-^

Ce que j'en sais, c'est que les banques françaises et du nord de l’Europe ont pris beaucoup de leurs pertes des subprimes et associées, les provisions ont été passées et les fonds propres renforcés, certaines ont coulé : Dexia et je ne sais plus quelles banques irlandaises, certaines ont été carrément renfloués par l'état : RBS, ya bien des petits malins qui ont fait des opérations de defeasance en créant des véhicules genre bad bank, mais il me semble qu'ils ont été rattrapés par la patrouille bruxelloise.

On en dira pas autant des banques du sud, les italiennes et les espagnoles, ne parlons pas des grecs ou des portugaises, cf plus haut. Pour les premières on a parlé de trucage de bilans, pour les secondes il est avéré que les créances immobilières n'ont jamais été correctement provisionnées sur la base de standards éco contestables.

 

Il manque à mon sens une politique antitrust (Roosevelt où est tu !) doublé d’une simplification réglementaire au niveau de la finance, et pas l’ajout d’une nouvelle couche législative, pour abaisser les barrières à l'entrée.

 

 

 

Oui peut-être, mais bon ca veut dire réglementer à l'échelle mondiale, et quand on voit comment l'accouchement de BALE III s'est fait, on peut rêver.

 

La dette publique qui se creuse n’est pas une cause mais est une conséquence d’une croissance en pleine anomie.

 

 

Pardon, mais c'est une façon orientée de voir les choses, mon orientation à moi me dit que à construire des budgets farfelus avec des hypothèses de croissance volontairement grossies pendant presque 30 ans, faire du clientélisme à gogo, et repousser les réformes : les gouvernements qui se suivent  ont la responsabilité de cette dette, et la conjoncture a bon dos, gérer c'est prévoir non? si on gérait les entreprises comme ils gèrent l'état.....

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Je les enferme à l'Elysée tant qu'ils n'ont pas un plan sur lequel ils sont d'accord. Ensuite 49-3 et passage en force généralisé.

 

Au pain sec et à l'eau ! Nous afons les moyens te fous faire écrire un plan ! :P

 

 

C'est un ultra libéral qui le dit... Ce n'est pas barbare de sanctionner des gens qui ont fait n'importe quoi pour du fric et plongée de millions de gens dans le chômage, la misère et qui ont même provoqué une explosion du taux de suicide

 

Ben les gens qui ont agi en violation des lois, oui cent fois oui ils doivent être jugés. Mais ce n'est qu'une partie du problème, et je le soupçonne une partie très limitée.

 

C'est que la déréglementation financière, la légalité d'opérations comme la titrisation, le trading automatique ultra-rapide, les paris sur les prix (agiotage), l'autorisation des opérations hors chambre de compensation (dark pool), les liens entre toutes les parties aux transactions financières augmentant le risque systémique et encore la garantie publique accordée aux banques... n'ont pas été faites au mépris des lois. C'est le cadre légal lui même qui a été changé, avec les résultats que l'on sait.

 

A partir du moment où les lois sont publiques, et décidées par des pouvoirs démocratiques, il est difficile de rejeter toute la faute sur une partie des gens, quand bien même ce serait ceux qui en ont le plus profité.

 

Il faut bien parler de la responsabilité première des politiques, et donc de ceux qui votent pour eux. C'est-à-dire nous tous. :blush:

 

Qui nous empêche d'élire des dirigeants qui nettoient les écuries d'Augias bancaires - quand bien même l'opération serait douloureuse sur le moment ? Ce que ni l'UMP ni le PS ne sont prêts à faire naturellement, mais qui décide que ces partis doivent être au pouvoir ?

 

 

Quel tapis?  ^-^

(...)

Oui peut-être, mais bon ca veut dire réglementer à l'échelle mondiale, et quand on voit comment l'accouchement de BALE III s'est fait, on peut rêver.

 

Le tapis ? Mais le tapis du casino, bien sûr ! :lol:

 

Réglementer à l'échelle mondiale est une impossibilité pratique, quand tant de pays profitent à plein de la finance-casino.

Une réglementation globale ne deviendra envisageable qu'après une catastrophe financière, un événement bien pire que la petite alerte de 2008. Et qui sait si l'état d'esprit mondial sera à la coopération à ce moment ?...

 

A l'échelle d'un pays, un certain nombre de choses peuvent être faites :

 

- D'abord réserver le bénéfice de la garantie des dépôts aux seuls établissements bancaires ne pratiquant aucune activité d'agiotage ni ne prêtant à toute entité pratiquant ce genre d'activité. Effet immédiat : l'essentiel des déposants préférant bénéficier de la garantie, les institutions pratiquant l'agiotage et autres produits dérivés devront se financer autrement et seront largement "asséchés".

Rien ne les empêchant d'ailleurs de faire la chasse aux investisseurs casse-cou en proposant des "produits d'investissement" rapportant "15% à coup sûr" grâce à "un trading haute-fréquence sur produits titrisés d'options". Il ne s'agirait pas de mettre fin au processus darwinien qui veut que les imbéciles soient séparés de leur argent ;)

 

- Possibilité d'interdire carrément tout pari sur les prix, si la première mesure est vue comme insuffisante. En pratique, restaurer l'article de loi qui l'interdisait jusqu'à la fin du XIXème siècle. Ce qui n'empêchera certes pas des banques étrangères de le proposer... sous la garantie de leurs Etats respectifs -_-  (et bien le bonjour chez vous !)

 

- Eventuellement contrôle des changes n'autorisant les flux financiers internationaux que lorsqu'ils correspondent à des achats de biens et de services ou à de l'investissement réel, en y incluant les actions... conservées suffisamment longtemps

 

- Sans compter l'instauration d'un fixing quotidien du prix des actions. Aucune raison ni aucun intérêt économique à ce que le prix de l'action PSA, L'Oréal, Thales ou MaChtiteNentreprise varie tous les quarts de milliseconde. Tout investisseur sérieux - à différencier d'un spéculateur - garde ses actions la plupart du temps des années, au pire seulement des mois, donc une valeur du prix par jour lui suffira amplement.

Bien sûr, rien n'empêchera Londres, Luxembourg ou un autre de proposer une évaluation du prix à la microseconde. Mais cela ramène à l'argument sur le processus darwinien, sur l'identité du payeur quand le casino s'écroule (le contribuable, certes, mais... quel contribuable ?) Ou même à la question de savoir quelle taxe de sortie sur capitaux suffirait pour décourager les Français d'aller faire des paris haute fréquence dans les lieux de perdition de la finance étrangère :)

 

 

 

Sauf erreur de ma part, la première mesure est compatible avec les règles de l'Union européenne.

 

Les trois autres sans doute pas dont la troisième certainement pas, mais bon... l'appartenance à l'UE vaut-il une crise financière détruisant une grande partie de l'épargne des Français ? Et à partir du moment où on priorise le nettoyage du champ de mines financier sur l'appartenance à l'UE, il est en fait possible de négocier pour avoir les deux : il suffit de dire "soit on modifie ensemble les règles de l'UE, soit au revoir la compagnie", et vu le poids de la France (l'UE se désintégrerait en cas de sortie de notre pays), nous obtiendrons probablement gain de cause.

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Le problème c'est que le marché n'est pas assuré que la foire ne recommencera pas de sitôt justement parce que les banquiers véreux ont échappé à toute purge. Il faut sauver le système bancaire par utilité, mais sanctionner les tricheurs par utilité aussi. 

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Le problème c'est que le marché n'est pas assuré que la foire ne recommencera pas de sitôt justement parce que les banquiers véreux ont échappé à toute purge. Il faut sauver le système bancaire par utilité, mais sanctionner les tricheurs par utilité aussi. 

 

Si les véreux sont sanctionnés, le système bancaire n'en sera pas assaini pour autant, tant que les règles financières ne sont pas changées.

 

Ce ne sont pas les tricheurs qui sont à l'origine des problèmes passés comme futurs. C'est en un mot la déréglementation.

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http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-france-sera-en-deflation-fin-juillet-et-que-signifie-concretement-pour-charles-gave-1661522.html

 

Très bon article de Charles Gave, il faut juste zapper les névroses "hayekiennes" de la conclusion anti étatique. 

 

 

Je soutien cette conclusion, sauf le chiffre de dépense publique je pense qu'elles baisseront d'elle même une fois la compétitivité retrouvé d'au moins 15%, la baisse du chômage aura un impact immédiat. On doit pouvoir gratter 5 point de PIB en efficacité et 5 point de plus en liquidant les régimes spéciaux.

couper les dépenses publiques de 40% : rien que dire ça montre que le type ne sait pas ce qu'il dit( ou tombe dans la démagogie de base ) car ça signifie supprimer la plus grande partie des dépenses sociales ( retraites notamment ), le plus gros des dépenses publiques est composé des dépenses sociales qui sont maintenant supérieures aux dépenses étatiques

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Oui et justement, comme je l'ai expliqué auparavant les dépenses sociales baisseront mécaniquement une fois la compétitivité prix récupéré après la sortie de l'euro et la mise en place d'une politique monétaire plus laxiste. Quelques millions de chômeurs en moins, c'est pas mal de point de PIB en moins à cracher au bassinet. Je doute qu'on arrive à 40%, il doit se fixer comme objectif les 30-35% du PIB tenu par l'état conseillé par Hayek, je pense que c'est trop peu, il faut viser 40-45% (contre près de 57% aujourd'hui). Le processus sera long, il faudra redonner du capital humain au masse pour mieux assurer leur employabilité. 

Modifié par Karg se
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Le plus gros poste des dépenses sociales, ce sont les retraites et pas les chômeurs

Par ailleurs, les millions de chômeurs en moins ne sont que virtuels : croire qu'il suffit de trafiquer le taux de la monnaie pour résoudre tous nos problèmes !! lol

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On en a déjà parlé, une parité monétaire adapté c'est une meilleure compétitivité. Qui plus est, l'élasticité de l'emploi par rapport à son cout est très forte. On estime le manque à gagner cause de l'Euro d'un à 2millions de chômeurs.

 

D'ailleurs, il ne s’agit pas de trafiquer un taux mais l'amener à refléter les fondamentaux de l'économie.

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On en a déjà parlé, une parité monétaire adapté c'est une meilleure compétitivité. Qui plus est, l'élasticité de l'emploi par rapport à son cout est très forte. On estime le manque à gagner cause de l'Euro d'un à 2millions de chômeurs.

Il faut quand meme savoir qu'une partie des chômeurs dont on parle sont inemployable aujourd'hui ou demain meme avec des salaire très bas. Si on a un chômage structurel en France depuis des lustres, avant et après l'euro ce n'est pas seulement un problème de monnaie.

Croire que proposer des l'emploi a bas cout - via dévaluation - rendrait une multitude de gens employable pas l'opération du saint esprit c'est se leurrer. Ça n'empirerait pas les choses, mais ça n'améliorait pas forcément radicalement non plus coté chômage. Coté marge des entreprise etc. par contre ça serait forcément mieux.

Il y a des vrai est gros problème structuraux au chômage de masse qui vont bien au delà de la compétitivité prix, et qu'on aborde jamais. Un tres fort c'est la mobilité géographique ... la France est un des pays ou il est le plus compliqué et le plus couteux de "déménager" quand dans des pays comme les USA les gens déménage tous les quatres matins. Forcément ca limite les prise de poste a tiziouzou.

Sinon l'assurance chômage en France ne coute pas tres cher, les cotisations sont élevé, les revenu assurantiel faible et "dégressif", et meme si on est assuré plus longtemps que chez nos voisins au bout du compte le français payes plus pour être assuré moins et plus ca va plus c'est vrai. Le principe est simple moins il y a de chomeur plus l'assurance peut se permettre de redistribuer les primes ... plus il y a de chomeurs moins elle redistribue les primes CQFD.

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Il faut quand meme savoir qu'une partie des chômeurs dont on parle sont inemployable aujourd'hui ou demain meme avec des salaire très bas. Si on a un chômage structurel en France depuis des lustres, avant et après l'euro ce n'est pas seulement un problème de monnaie.

 

Je suis bien d'accord, c'est pour ça que je parle de processus long de requalification du prolétariat français. Mais en l'état il y a facilement deux millions de personne sans emploi ou sous employé qui pourrait être plus productif. Même remarque sur la mobilité géographique, l'immobilier est un problème central.

 

: croire qu'il suffit de trafiquer le taux de la monnaie pour résoudre tous nos problèmes !! lol

Trafiquer les monnaies est relatif, pour Gaves et bien d'autre on vit avec une monnaie trafiqué trop haute. C'est qu'une question de point de vue, notre monnaie forte finance des rentes de situation de façon totalement artificiel et suicidaire. La dévaluation est l'étape préliminaire qui donne un coup de boost à la croissance indispensable pour engager des réformes (quelques soient leur nature) sans exploser le taux de déficit et de chomage, ça rassure la population et le marché. Que demander de plus?

Modifié par Karg se
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Le plus gros poste des dépenses sociales, ce sont les retraites et pas les chômeurs

 

C'est pour ça qu'il faut faire cracher les vieux. Un retraité gagne plus qu'un actif et ils sont seulement 2 pour le financer. Si on ajoute à cela que c'est quand même cette génération qui a foutu le pays dans la merde, alors qu'elle avait un boulevard devant elle, mais a préféré conserver ces acquis plutôt que donner sa chance aux générations suivantes. Il y a tout intérêt à fortement baisser les retraites qui sont délirantes dans la situation actuelle ! Par solidarité autant que par bon sens.

La consommation des ces générations montre qu'en plus ils font n'importe quoi de leur tune (sans doute mal habitué avec l'inflation forte de leur époque).

 

C'est un énorme levier que nos gérontocrates oublie souvent de mentionner, on se demande pourquoi d'ailleurs... A moins que :o

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