g4lly Posté(e) le 17 juin 2009 Share Posté(e) le 17 juin 2009 Un VAB basé sur le dépanneur du Leclerc, ça serait faisable où je rêve?Le dépanneur est plus long et a une silhouette de VAB =) Les Leclerc dépannage francais ... ont été piqué sur la chaine EAU ... on en a quelqu'uns bien trop peu pour vouloir les reconvertir. Pour suppléer ce probleme on a décanonné des Leclerc normaux et on a appelé ca MARS ... en gros des Leclerc pour remorquer d'autre Leclerc. Donc on a pas de chassis long dispo. @Murena Je pense qu'il faille compter une bonne demi journée de boulot, il y a surement pas mal de connectique et de démontage pour retirer la tourelle, installer la nouvelle, et faire les test... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
murena Posté(e) le 17 juin 2009 Share Posté(e) le 17 juin 2009 merci G4lly. les changements en urgence sur le théâtre pour une adaptation immédiate à une nouvelle menace ne seront donc pas vraiment d'actualité.^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 juin 2009 Share Posté(e) le 17 juin 2009 merci G4lly. les changements en urgence sur le théâtre pour une adaptation immédiate à une nouvelle menace ne seront donc pas vraiment d'actualité.^^ Bah si t'as une grue qui tient 18t ... pour manipuler la tourelle 120, des mécanos et d'un peu de temps si ... mais pas dans l'urgence urgente :) je doute qu'on puisse faire la manipulation en moins d'une heure meme dans l'urgence. d'autant qu'il faut stocker la tourelle 120 apres ... disons que je doute que ca ce fasse sur une FOB ... je verrais plutot ca dans une bonne grosse base un minimum équipé pour la manoeuvre genre Warehouse, pour donner un exemple afghan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
murena Posté(e) le 21 juin 2009 Share Posté(e) le 21 juin 2009 d'accord je vois mieux, merci.de toute façon, si ce véhicule était envoyé sur un théâtre de style afghan (en supposant qu'on ait encore une présence dans ce genre de pays si on en est équipés, et à temps), ils n'enverraient que la version 40 non? (pure spéculation) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 21 juin 2009 Share Posté(e) le 21 juin 2009 Ils ne donnaient pas 4h sur un théâtre d'opération ?Il me semblait que c'était ça pour une tourelle sur laquelle le blindage ou l'optronique étaient trop abîmés donc pas réparables sur le terrain.Faut que je retrouve où j’ai lu ça car je ne suis sûr de rien… =| Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 http://www.alliancegeostrategique.org/2009/12/07/doit-on-abandonner-les-chars-par-jean-pierre-badellon/ Doit-on abandonner les chars ? Par Jean-Pierre Badellon Cet article a originellement été publié dans la revue Mines Ingénieurs No 442 de septembre-octobre 2009. Il est reproduit ici dans son intégralité avec l’autorisation de son auteur et du comité de rédaction de la revue. L’objet de cet article est d’ouvrir la discussion sur l’utilité du char après que ses détracteurs ont dit qu’il ne correspondait plus au nouveau type de guerre, qu’il était immobilisé par le moindre cocktail Molotov, qu’il se trompait d’ennemi et que l’hélicoptère lui était bien supérieur. Le cahier des charges du véhicule blindé. La notion de char a évolué avec l’apparition de véhicules blindés, munies de chenilles ou de 2, 3, 4 voire 5 essieux moteurs (10 roues). Tous les véhicules blindés doivent être protégés contre les embuscades et les mines. Ils doivent avoir un armement qui est servi de l’intérieur et disposer d’instruments de visée et de conduite de tir sophistiqués. Un même véhicule blindé doit pouvoir se décliner en version d’attaque, d’appui fantassin, de dépannage, de commandement voire d’ambulance. Certains présentent donc des mortiers de 105, des canons de 105, 40, 30 ou 25 et naturellement des mitrailleuses. Le véhicule blindé doit envoyer des leurres pour tromper les missiles (qu’il est censé détecter à temps) et transporter, outre son équipage de 2, 3 ou 4 hommes, des fantassins dont le nombre peut aller jusqu’à 12. Curieusement les véhicules blindés ne sont pas peints avec des peintures anti infra rouges. Les peintures du fabricant PPG américain, homologué par la DGA, n’en ont que le nom. Les liaisons radio doivent se faire avec le PC et avec les fantassins qui l’entourent. En résumé tous les fabricants ont tous à peu près les mêmes cahiers des charges et devraient donc conduire les armées européennes à opérer des économies d’échelle en incitant ceux-ci à se spécialiser. Dans la pratique, on distingue : · Le véhicule blindé à chenilles de 60 à 70 tonnes capable de rouler à 65 km/h. C’est le char lourd qui pèse dans les 65 tonnes et doit se déplacer à la vitesse de 65km/h. Aussi dispose-t-il d’un moteur de plus de 1300 CV. Son prix dépend de son armement et des instruments (repérage, contremesure etc.). Le prix de revient se situe autour de 8 M€ et ne comprend pas celui des innombrables marchés d’études qui ont conduit à la définition de son cahier des charges ou ensuite à ses mises aux normes successives. · Le véhicule blindé à chenilles de 25 à 35 tonnes et capable de rouler à la même vitesse. C’est le char léger. · Les véhicules blindés à roues, de 25 à 35 tonnes, tous capables de rouler à 100 km/h et généralement dotés d’au moins 4 essieux moteurs. · Les véhicules blindés de 12 à 16 tonnes et dotés d’au moins 3 essieux moteurs. · Les véhicules blindés de 4 à 8 tonnes et dotés généralement de 2 essieux moteurs. Le parc européen (Union européenne et OTAN) demeure très stable depuis plus de quinze ans : On recense les chars Leopard 2 (Allemagne), Challenger (Royaume-Uni), Leclerc (France), ARIETE (Italie), CV90120-T (véhicule de combat d’infanterie lourd produit par la Suède) et les différentes séries T Russes en dotation dans les forces armées de certains Etats d’Europe centrale (et mis aux normes de l’OTAN). Il n’y a pas de programmes nouveaux significatifs en matière de chars de combat européen à l’exception de celui de la Turquie (Althay développé en coopération avec la Corée du Sud). Le nombre total de chars opérationnels dans le monde en 2002 serait de 106 000. Bref tour d’horizon sur les chars lourds : Le char Israélien Merkava a vu sa première version naître en 1970 et se comporte mieux que le M1 A2 Abram dans le désert alors qu’il couterait deux fois moins cher. Le char Leclerc a été mis en service en 1990 et est considéré comme un modèle récent. Un moteur diesel silencieux V8X 1500 CV (accélération 0-32 Km/h en 5 secondes !)… Un blindage actif composé de strates qui guident puis coincent les projectiles. Nous chercherions à vendre 120 chars Leclerc à l’étranger qui seraient prélevés sur le parc existant de 400. Ce qui n’en laisserait pas beaucoup pour le combat puisqu’il faut en réserver un certain nombre pour la formation et l’entraînement. Au début des années 1970, le gouvernement Ouest Allemand demande aux groupes Porsche, Krauss-Maffei et Wegmann de construire 2 950 chars Leopard 2 entre 1979 et 1992 au prix unitaire de 5,3 millions de dollars en mars 2006 (Source : Forecast International). Le Japon possède une flotte de 675 chars Type 74 et 225 chars Type 90, soit deux fois plus que la France ou le Royaume-Uni. Mitsubishi est le maître d’œuvre du T 90, proche du char Leclerc, et fabrique la caisse, le moteur diesel de 1500 CV, le train de roulement et le chargement automatique des munitions. NEC, Fujitsu, Nikon et Fuji collaborent pour des plans d’équipements appelés PMDT (équivalents de la loi de programmation militaire française). Kyoto Ceramic Company fournit le blindage de type composite. Le char Russe T-90S surpasserait le char américain avec seulement 47 tonnes, 3 membres d’équipage, une autonomie de 550 km avec réservoirs et un prix de dumping de 2.3 millions d’euros. La coopération européenne dans les blindés D’après l’Agence Européenne de défense, les forces armées européennes utilisent 20 000 véhicules blindés et devraient, ces dix prochaines années, remplacer 10 000 véhicules (un véritable magot à 3 M€ le véhicule en moyenne) dans les modèles 4X4, 6X6 et 8X8, à roues, pesant de 2 à 30 tonnes, bien armés, bien protégés et transportables par voie aérienne (d’où l‘avion A 400 M qui peut emporter des engins de 25 à 30 tonnes). L’Agence Européenne de Défense déplore toutefois que les Etats membres ne coopèrent pratiquement pas à l’échelle internationale et qu’ils invoquent (surtout la France), pour ne pas s’y livrer, la sauvegarde du savoir-faire, l’indépendance nationale et l’adéquation de l’outil avec la stratégie militaire. Pourtant l’exemple d’Airbus est là pour convaincre du contraire les esprits objectifs. La France et la coopération européenne militaire en matière de chars : De ce point de vue la France, qui n’exporte pratiquement pas de véhicules blindés (sauf 380 chars Leclerc aux Emirats), aurait tout à gagner (en emplois et en chiffre d’affaires) à participer à des programmes communs même en acceptant de jouer les seconds rôles dans les secteurs où elle est moyenne (moteurs) et les premiers rôles là où elle est excellente (visée et tir). Mais cela signifierait que notre DGA ne pourrait plus concocter des marchés d’études récurrents passés à des industriels obligés de lui faire la cour et réduits à construire des « démonstrateurs » sans suite (NDLR). A noter qu’en 1979 il était question de faire un char commun avec les allemands. Contrairement à ce que l’on croit (en lisant les journaux français), les fabricants allemands, autrichiens, polonais, danois, finlandais, espagnols et italiens vendent leurs véhicules blindés dans les pays cités (et aussi à l’exportation) dans des quantités significatives qui sont bien plus grandes que les productions françaises. L’anglais fait aussi cavalier seul mais, lui vend beaucoup de véhicules. Les chars lourds sont peu mobiles mais deviennent plus légers. Les chars lourds doivent circuler sur plate-forme d’un champ de bataille à l’autre. Les chars Leclerc ne passeraient pas dans les tunnels français, dit-on. Les chars lourds sont difficilement transportables par avion (en tous les cas pas par le futur A 400 M) et nécessitent une logistique (transport et entretien) coûteuse en moyen et en homme (4 personnes en moyenne). Mais les améliorations apportées aux chars sont constantes Avec l’introduction de nouveaux matériaux et de blindage de protection, de systèmes de commandement et de contrôle info-centrés ou non, de moteurs moins gourmands et plus puissants et de chenilles réparables (le point faible), les chars effacent leur handicap... Mais le char rassure le fantassin à tous les points de vue : Il peut accompagner et protéger une section de manière permanente, ce qui n’est pas le cas des hélicoptères. Il ne risque pas de se planter dans le sable comme l’ont fait les engins blindés à roues LAV 25 canadiens en Afghanistan ou dans de régions à obstacles spécifiques comme les ceps de vignes. Dans la mesure où le fantassin aura toujours le dernier rôle, il faut donc prendre en considération ce fait important (pour le moral). Les américains ont redécouvert à ce sujet le char et font tout avec leur vieil M1 Abrams pour 5,5 M US$: convoi, opération de combat et de sureté (anti émeute). Conclusion : Le blindé est toujours nécessaire. Le char à chenilles convient mieux sur les surfaces difficiles là où les rayons de braquage sont faibles. Il faut l’utiliser quand il est absolument nécessaire parce qu’il est trop cher (à l’achat et en entretien) et qu’il ne se transporte pas facilement. Avant de penser au char, il faut s’assurer de sa vitesse du char, de son blindage, de sa résistance au missile et de la vulnérabilité de ses chenilles. Les véhicules à roues sont plus mobiles et plus confortables dans les déplacements à grandes distances que les engins chenillés. Ils sont moins coûteux à l’achat et consomment moins de carburant. Ils se révèlent plus faciles à entretenir et à dépanner. L’adoption d’une propulsion à huit roues motrices a considérablement accru leur mobilité en tout terrain et a augmenté leur polyvalence. Comme ils peuvent désormais recevoir les mêmes protections et le même armement qu’un engin chenillé, la balance penche en faveur de la solution à roues. Dans des combats d’importance sur des lieux fixes, le char à chenilles est sans doute encore nécessaire. Il ne risque pas de s’enliser ou de se planter dans des décombres contrairement aux véhicules à roues qui ne peuvent tourner sur place en cas de barrage. En revanche, dès qu’il s’agit de manœuvrer dans une zone occupée par des fantassins uniquement, le char n’est plus assez mobile et coûte trop cher. Parlant à ce sujet du char Leclerc, les légionnaires disent de lui: « il faut vraiment avoir des « c…s » pour oser envoyer un cocktail sur un Leclerc qui passe de 0 à 35 km/h en 5 secondes et se dirige vers vous après vous avoir repéré ». Car les chars détectent les éclats lumineux des viseurs optiques et localisent les origines des tirs (par analyse des sons). Il faut donc laisser au combattant sur le terrain le soin de définir le cahier des charges de son blindé d’accompagnement. L’armée française engagée en Afghanistan, souhaitait ainsi acquérir rapidement des véhicules blindés sur chenilles suédois BvS10 Viking (produits par BAE Hägglunds) pour le transport de ses unités de montagne déployées en Afghanistan. Ce VBHM est composé de deux unités distinctes et articulées, l’une à l’avant pouvant transporter cinq combattants, et l’autre à l’arrière, vers lequel la transmission peut être basculée. Mais leur avis ne fut pas partagé par la DGA chargée de penser à leur place et qui a promu le véhicule de l’avant blindé (VAB 4×4) mal adapté aux routes défoncées d’Afghanistan, incapable de se mouvoir en tout-terrain escarpé et obligeant les fantassins à s’exposer au feu en sortant trop tôt de ce VAB lorsqu’ils s’approchent de l’ennemi. On connaît la suite : dix soldats tués de manière « idiote » lors de l’embuscade d’Uzbeen, le 18 août 2008. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thyd Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Tiens, en passant, quelle est la vunérabilité des chars modernes aux molotov? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Simple. Le liquide enflammé coule au niveau de l'aération du GMP, ce dernier prend feu lui aussi, le char n'avance plus, il est mort.Ca peut aussi s'infiltrer dans d'autres trappes de maintenance et par exemple pour le M1 foutre le feu au système hydraulique de la bête qui est assez inflammable. Le char est en feu, immobilisé, donc mort.Petit détail quand même sur le coup de la DGA qui oblige les troufions à employer des VAB au lieux de VBHM, ça pue l'hypocrisie à deux cent mètres ça... Le VAB est déjà en service dans tous les régiments de France et de Navarre, ils font quoi les biffins en attendant le chenillé? Ils se touchent la nouille dans la FOB? Ok, la DGA c'est plus Babylone que le Pérou, mais faut quand même pas pousser. C'est tellement caricatural que c'en est pathétique/minable ce genre d'argument pour expliquer les dix morts d'Uzbeen... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 J'aime pas être vulgaire mais là! C'est quoi cet article de merde? Un truc pareil est disponible sur un site qui fait de la réflexion stratégique. Et bien, il faut dissoudre tout cela.A aucun moment, l'auteur ne défini le concept sur lequel il s'intéroge. Il parle du char ou des blindés en général? Que propose-t-il? Rien? Bein oui comme ça, on prend pas de risque. On passe pour le gars inteligent sans se mouiller. Il pourra dire "Moi, je l'ai fait." A chaque ligne, il sort une idée mais aucune n'est liée aux autres. Il parle du BVs-10 comme du type-90. Il oppose la DGA aux chasseurs alpins sans expliquer. C'est un copier/coller d'une heure de recherche sur gogol. A chaque ligne, il passe du coq à l'âne. Ils sont beaux nos think-tank. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 Bon, je viens de faire un tour sur ce blog et effectivement, les 3 commentaires montre le niveau.Moi, quand je connais pas: je pose des questions. Mais c'est le comble. "sujet très intéressant". Oui, oui. Je vais y apporter des commentaires. Juste en thérapies. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
totochez78 Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 @ berkut: la majeure partie des chars disposent d'un système d'extinction des feux en comp gmp, ce dernier n'est peut être pas très efficace en face d'une grande quantité de liquide enflammé mais face a une bouteille c'est gérable. De plus les entrées d'air sont protégées par la tourelle lorsque celle est en position route. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
flanker Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 Au fait, personne n'a remarqué que le T-90M était sortit? :oops: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanmi Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 une bouze en plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 une bouze en plus plait il ? tu peux etayer ?? ou alors c'est de la provos gratuite ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanmi Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 c'est vrai que c'est un peu de provoc, mais bon rien de neuf non plus ca reste un vieux char amelioré Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 pour donner des explications : le T-90 n'est que le rétro fit d'un T72 et son électronique est en dessous des standard de l'OTAN (d'aprés ce que j'ai vue sur les fiches trouvés de ci de la sur les chars), le blindage réactif c'est révélé inefficace envers certains armes occidental lors du conflit de Géorgie (des T-80). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 9 janvier 2010 Share Posté(e) le 9 janvier 2010 le T-90 n'est que le rétro fit d'un T72 on est d'accord son électronique est en dessous des standard de l'OTAN on est d'accord aussi (sauf que tu peux y mettre ce que tu veux comme electronique y compris des cameras J/N françaises ce qu'ont fais les russes ;)) le blindage réactif c'est révélé inefficace envers certains armes occidental lors du conflit de Géorgie on parle de quel blindage réactif parceque y'a pas de standardisation dans la 60th armée du Caucase revoit les photos tu verras que y'a du Kontakt1, du Kontakt5, du Kaktus du ERA de première génération et du ERA/NERA de dernière génération (y compris du NERA lourd) comme toujours quand on parle de matériel russe faut donner toutes les infos puisque ce sont des matériels kittés dont les stats varient selon ce que tu met dessus du très mauvais (T72 de Saddam) au très bon (T72 de la RDA sur la même période) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 C'est l'un des problèmes des chars russes, soit tu tombes sur un char excellent (dernière génération de blindage réactif, électronique française genre les tout derniers T90) soit sur une bouse innommable.ils devraient mettre tout au même standard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 et qui au monde a les moyens de tout mettre au même standart ?après le T90 reste un char à prix modéré ( par rapport aux dernièrs modéles occidentaux ) mais trés bien faitc'est le mieux protégé des MBT russes ( et vu qu'un Leclerc ne perce déjà pas à coup sur un T80 équipé de Kontakt5 ), jusqu'à présente le T90 n'était proposé qu'avec du Kontakt5 mais il doit être possible de l'équiper du dernier blindage réactif type Relic ( pas sur de l'ortho )il s'agit d'un engin fiablerelativement bien arméet relativement mobilebref ce que cherche 90% des forces armées de part le monde Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 et qui au monde a les moyens de tout mettre au même standart? Les russes ont deux lignes de production de char. C'est pour ça que c'est le bor.... chez eux. Chaque ligne fait du lobbying pour ses propres matériels. Ça explique beaucoup de choses. c'est le mieux protégé des MBT russes ( et vu qu'un Leclerc ne perce déjà pas à coup sur un T80 équipé de Kontakt5 )... Dans ce cas, ça sert à rien de le toucher au flèche. Un bon explo est suffisant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 Dans ce cas, ça sert à rien de le toucher au flèche. Un bon explo est suffisant. qu'est ce que tu entends pas là ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 Les russes ont deux lignes de production de char. C'est pour ça que c'est le bor.... chez eux. Chaque ligne fait du lobbying pour ses propres matériels. Ça explique beaucoup de choses. elle est encore ouverte la ligne des T80 ? j'avais cru comprendre que seul le T90 était en production pour l'armée russe Dans ce cas, ça sert à rien de le toucher au flèche. Un bon explo est suffisant. même question que akhi mais il me semble surtout que les capacités ballistiques d'un obus ballistique sont trés inférieures à celles d'un obus flèche.......... mais bon l'intérêt des obus flèches a diminué ces derniers temps avec la fin de la menace soviétique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 une bouze en plus Une Douze en plus. ;) comme ça c'est pc. =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 elle est encore ouverte la ligne des T80 ? j'avais cru comprendre que seul le T90 était en production pour l'armée russe même si la ligne vient de fermer, le temps qu'il y ait une homogénéisation du parc, on peut commencer l'apéro. même question que akhi mais il me semble surtout que les capacités ballistiques d'un obus ballistique sont trés inférieures à celles d'un obus flèche.......... Quand on ne peut plus faire, on fait autre chose. Un but avec un barreau, ça fait un trou, un choc et du bruit. Comme les nanas. Si ça ne perce pas, l'effet réel sur le char est donc négligeable. Surtout avec du tungstène. Ce qui est intéressant, c'est la vaporisation du barreau dans l'habitacle avec l'arrachage du blindage. Un explo lui ne cherche pas à percer, il fait un boum en surface sachant que l'effet souflant est renforcé par la génération d'éclats. En plus, il faut rajouter son effet d'inertie juste avant la détonation. Le résultat: - le shtora/shtorapas en revoir. Arraché. - un Arrena va avoir du mal car la trajectoire n'est pas tendu. Le dépotage face sol risque de pas trop gêner l'effet de détonation car elle ne cherche pas à former un jet gazeux. On peut même penser que ça va améliorer l'effet fusant. Le radar et le câblage vont se prendre un claque comme jamais. Au revoir. - A l'impact, tout les câblage comme ceux du DAL, les antennes radio: au revoir. - Si l'obus tombe sur le glacis, les épiscopes du pilote: au revoir. - Si ça tombe sur le toit de tourelle (vu la balistique, c'est très probable) les optiques tireur/chef: au revoir. - Sur le toit moteur: je vous fais pas le dessin. - Sur les jupes, elles vont être enfoncée et je demande à voir l'état de la chenille. En balistique, ce qui importe, c'est de faire but. Quand un char tire, il se dévoile donc il se prend un tir d'appui ennemi. Un XL peut placer un explo n'importe où sur 2500m. C'est ça qui compte car il fera une rocade immédiatement. La vitesse à l'impact n'a d'intérêt que pour les barreaux. mais bon l'intérêt des obus flèches a diminué ces derniers temps avec la fin de la menace soviétique Il n'y a jamais eu autant de chars que maintenant. Et que des gros. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 10 janvier 2010 Share Posté(e) le 10 janvier 2010 Quand on ne peut plus faire, on fait autre chose. Un but avec un barreau, ça fait un trou, un choc et du bruit. Comme les nanas. Si ça ne perce pas, l'effet réel sur le char est donc négligeable. Surtout avec du tungstène. Ce qui est intéressant, c'est la vaporisation du barreau dans l'habitacle avec l'arrachage du blindage. le choc est quand même suffisemment violent pour secouer l'équipage, secouer les connections à l'electronique et potentiellement provoquer un arrachage d'eclats en internes (même si la surface affectée est moindre que pour un HESH) Un explo lui ne cherche pas à percer, il fait un boum en surface sachant que l'effet souflant est renforcé par la génération d'éclats. En plus, il faut rajouter son effet d'inertie juste avant la détonation. Le résultat: - le shtora/shtorapas en revoir. Arraché. - un Arrena va avoir du mal car la trajectoire n'est pas tendu. Le dépotage face sol risque de pas trop gêner l'effet de détonation car elle ne cherche pas à former un jet gazeux. On peut même penser que ça va améliorer l'effet fusant. Le radar et le câblage vont se prendre un claque comme jamais. Au revoir. - A l'impact, tout les câblage comme ceux du DAL, les antennes radio: au revoir. - Si l'obus tombe sur le glacis, les épiscopes du pilote: au revoir. - Si ça tombe sur le toit de tourelle (vu la balistique, c'est très probable) les optiques tireur/chef: au revoir. - Sur le toit moteur: je vous fais pas le dessin. - Sur les jupes, elles vont être enfoncée et je demande à voir l'état de la chenille. En balistique, ce qui importe, c'est de faire but. Quand un char tire, il se dévoile donc il se prend un tir d'appui ennemi. Un XL peut placer un explo n'importe où sur 2500m. C'est ça qui compte car il fera une rocade immédiatement. La vitesse à l'impact n'a d'intérêt que pour les barreaux. tu parles bien ici d'un obus d'artillerie tombant sur un char ? la probabilité de coup au but est donc faible. Si tu parles d'un obus explosive de char type HE de toute façon on en a pas. Et si tu parles d'un HEAT les réactifs sont quand même la pour ca (et puis je suis même plus sur qu'on en ait en dotation pour nos 120 mm). Cela dis si tu parles effectivement d'un obus d'artillerie 105 à 155 tombant sur le char, je suis d'accord, quelque soit son epaisseur de blindage il sera ruiné....peute etre pas detruit mais hors de combat ou suffisemment dégradé pour ne plus constituer une menace primaire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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