jean-françois Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 il y a quand même un truc bizarre dans cet article : le Brésil a signé tous les accords possibles et iimaginables contre les armes nucléaires.Donc dire que le Brésil n'a jamais été aussi proche d'avoir la capacité de faire des armes nucléaires, même si c'est techniquement vrai, me semble exagéré. Je doute réellement que Lula ait pu dire une chose comme cela.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 il y a quand même un truc bizarre dans cet article : le Brésil a signé tous les accords possibles et i imaginables contre les armes nucléaires. Donc dire que le Brésil n'a jamais été aussi proche d'avoir la capacité de faire des armes nucléaires, même si c'est techniquement vrai, me semble exagéré. Je doute réellement que Lula ait pu dire une chose comme cela.... Bien au contraire.Le Brésil souhaite désormais acquérir un siège à l'ONU et être partie prenante des réglements des conflits internationaux.Formellement, il n'y a pas l'obligation d'avoir l'arme nucléaire pour être au conseil de sécurité de l'ONU, juste d'être indépendant et de ne pas être facilement soumis aux menaces du puissance tierce et comme les grandes puissances ont l'arme nucléaire, il lui la faut aussi ainsi qu'une indépendance technologique en matière d'armement. Pour éviter d'avoir une menace comme la France l'a eu de la part de l'URSS en 1956. D'ou les SNA et le transfert de technologie sur les avions de combat.Et même l'achat du Foch pour conserver une compétence sur l'aviation embarquée jusqu'au moment ou le Brésil saura faire des PA modernes et leurs avions, et les acquérir mais après avoir acquis l'arme nucléaire. Un PA sert à se projeter ce qui impose soit d'avoir ses armes nucléaires pour se protéger d'une grande puissance tierce, soit d'avoir la protection inconditionnelle d'une grande puissance nucléaire. Il est de notoriété publique que le Brésil se prépare depuis des décennies à cela en ayant un programme nucléaire civil et militaire discret et aussi un programme spatial de lanceurs afin de passer au développement rapide d'ICBM le jour où il passerait à l'acte. Le Brésil étant en train de devenir un pays développé doté d'une démocratie stable, ce temps est venu. Lula est de gauche modéré mais patriote Brésilien soucieux du rôle futur du Brésil dans le monde, de sa souveraineté, et de sa capacité à faire entendre sa voix. Il peut dénoncer à tout moment les traités concernant la possession d'armes nucléaire car c'est légalement possible moyennant un préavis. Comme l'Inde le Brésil va devenir une puissance nucléaire et sans doute à terme avec des SNLE. Ils existent 3 autres pays qui ont tout développé pour pouvoir passer à l'acte rapidement et ils sont connus: le Japon, l'Allemagne et l'Italie..quand les dernières restrictions de la 2 GM seront levées légalement (mais pas près d'arriver pour l'Allemagne). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Grabber56 Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 Mon cher grabber =) quand tu énonces ceci: Moi j'aimerai mettre ton aveuglement pour le raptor en balance avec le taux de succé d'un combat BVR en deux avions de derniére génération, peu importe si seuls les américain pensent que seuls leurs "stealth" est d'un génération supérieur! Alors, juste une réflexion comme ça ! Il n'y a pas d'aveuglement mais un niveau de connaissance en technologie et en défense y compris sur les informations non publiées bien supérieur au tien. ;) Le F22 est un casse tête à partir du moment ou le radar des autres avions de combat ne peut le détecter à plus de 20 ou 30 km pour les plus puissants. il faudrait encore le prouver, les calculs de rcs sur le net sont pas vraiment trés pertinent, la plupart des données sensibles sont classifiées , et même si en frontal tout le monde clame la supériorité du raptor , étant plus gros la verité pourrait en surprendre pas mal, quand à ton niveau en tech, j'admettrais aisément ta 'supériorité' à partir du moment que tu as un niveau au dessus, genre phD de physique! en as tu un? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 Grabber 56 dit Marc Sampaix, dit Fonck l'exilé in UK, tu n'as pas changé. :lol: Tu peux modifier et prendre 3.000 pseudonymes différents et te retrouver en Antartique, tu en oublies que nous sommes sur un forum public .Je n'ai rien à te prouver! ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Grabber56 Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 L'arme ultime pour contrer le furtif c'est le lock sur image satellite transmise en temps réel! Que ce soit en optique ou en IR, le F22 ne pourra jamais rien contre ça. Pas même en radar d'ailleurs dès lors que le F22 présente alors sa plus grande surface équivalente radar. Le vingtième siècle est celui de la science et de l'industrie.Les guerres sont gagnées ou perdues avant même le conflit.C'est une affaire de technologie, industrie, management et régles d'engagement définies avant la guerre, la stratégie militaire vient presque après même si elle est noble et laisse livre court à l'imagination. Albert Speer a été le plus grand contributeur au prolongement du III reich.Et depuis, c'est encore plus vrai. Il n'y a jamais d'armes ultimes sauf pour un temps donné.A chaque avancée sa parade. Il n'y a que des considérations liées à la physique fondamentale, l'argent et le temps. La stratégie militaire et la tactique sont aujourd'hui le plus simple. Et à l'ordre un, ne sont que l'implémentation des avantages concurrentiels nés de la technique. l'avenir est à la suppression de l'homme dans tous les domaines qu'on le veuille ou non ( j'aime l'époque de la chevalerie mais bon...). Plutot bizarre de raisonner comme ça de la part d'un Israélien, on a vu ça en Irak et en Afghanistan au Vietnam et en Algérie etc.. , la science et l'industrie c'est plutôt le 19iéme, le 20ieme étant plus celui des services et des finances .. Si, l'arme ultime étant la dissuasion , "La stratégie militaire et la tactique sont aujourd'hui le plus simple." j'en connait un paquet autour de Bush et maintenant D'obama qui aimerait te rencontrer! "l'avenir est à la suppression de l'homme dans tous les domaines qu'on le veuille ou non" l'arme la plus efficace dans les derniers conflits reste la ak47, et elle a été crée pour blesser en non tuer, quand à la suppression de l'homme comme but, laissons chacun en juger ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Grabber56 Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 Grabber 56 dit Marc Sampaix, dit Fonck l'exilé in UK, tu n'as pas changé. :lol: Tu peux modifier et prendre 3.000 pseudonymes différents et te retrouver en Antartique, tu en oublies que nous sommes sur un forum public .Je n'ai rien à te prouver! ;) Mouaiii, pas trés pertinent, vu ses connaissances j'aimerai bien, malheureusement , et je peux le prouver moi! ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 Plutot bizarre de raisonner comme ça de la part d'un Israélien, on a vu ça en Irak et en Afghanistan au Vietnam et en Algérie etc.. , la science et l'industrie c'est plutôt le 19iéme, le 20ieme étant plus celui des services et des finances .. Si, l'arme ultime étant la dissuasion , "La stratégie militaire et la tactique sont aujourd'hui le plus simple." j'en connait un paquet autour de Bush et maintenant D'obama qui aimerait te rencontrer! Les UAE sont les premiers pays groupes d'émirats, a avoir reçu un avion des USA plus perfectionné que ce qu'ils avaient chez eux et entièrement mis en oeuvre par des mécanos américains pour la maintenance sensible. Cela a entrainé la vente du F16I. Si les USA vendent le F22 export aux UAE R&D payés par eux, (et ils y ont vendu le THAAD ultrasensible), les Iraniens auront en plus la pression maximum (comment distinguer un F22 US d'un UAE s'ils sont stealth?), les ventes du F22 seront donc possibles à Israël (et le lobby juif apportera son soutien à la vente du F22 aux UAE pour qu'Israël l'ait full option), le Japon l'aura et peut être l'Australie. Tout le monde y gagne et Obama ne peut s'y opposer sous l'angle budgétaire. Les UAE sont considérés plus pro occidentaux que l'Arabie Saoudite et surtout controlent le detroit d'Ormuz. Et ce sont les UAE qui estiment ce qui est bon pour eux et ils veulent le meilleur du meilleur surtout que leurs pilotes sont des mercenaires. Franchement, on n'a plus les moyens de contrer agressivement les USA, il y des choses que tu ne sais pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Grabber56 Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 il y a quand même un truc bizarre dans cet article : le Brésil a signé tous les accords possibles et i imaginables contre les armes nucléaires. Donc dire que le Brésil n'a jamais été aussi proche d'avoir la capacité de faire des armes nucléaires, même si c'est techniquement vrai, me semble exagéré. Je doute réellement que Lula ait pu dire une chose comme cela.... tout à fait, Le brésil recherche en aucun cas l'arme nucléaire, ça serait une catastrophe en Amérique du sud, et personne laisserait faire une telle escalade! Par contre le nucléaire civil oui, et des SNA à propulsion Nucléaire , un programme de dissuasion étant bien trop couteuse et sans intérêt stratégique pour le brésil! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 tout à fait, Le brésil recherche en aucun cas l'arme nucléaire, ça serait une catastrophe en Amérique du sud, et personne laisserait faire une telle escalade! Par contre le nucléaire civil oui, et des SNA à propulsion Nucléaire , un programme de dissuasion étant bien trop couteuse et sans intérêt stratégique pour le brésil!Cela pourrait changer en quelques jours si les responsables politique brésiliens le souhaitent et qu'une puissance nucléaire (la France probablement) est d’accord. Si suite à la vente de 2 PA catobar, d’une centaine de rafale, de SNA … les brésiliens nous demande aussi le droit de nous louer des ASMP puis des M51, je ne suis pas sur qu’on refuserait. Surtout si c’est pour ne plus avoir à craindre les GAN américains et chinois croisant régulièrement au large de leurs côtes et menaçant donc leurs ressources pétrolières ainsi que la sécurité de notre centre spatial. Evidement comme Philippe l’a mentionné plus haut cela risquerait d’entraîner une prolifération nucléaire. Mais ce ne serrait pas forcement à notre désavantage, on pourrait ainsi équiper l’Allemagne et l’Italie ce qui pourrait avoir des conséquences politiques assez intéressantes pour la France et favoriserait fortement un monde multipolaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 On peut se faire un question/réponse. Mais si les américains veulent vendre le Raptor qu'ils commencent à le faire avec le Japon et les israéliens. Non parce qu'il faut développer une version spéciale pour ne pas divulguer les secrets US et faire passer la pilule. Et ils ne veulent pas la financer eux même car ça ne passera jamais au Congrès. Mais si les UAE l'exigent vraiment et son prêt à payer et si cela peut faire battre le Rafale..et en même temps maintenir la chaîne ouverte aux USA. De plus, ça peut-être du F35 mais le F22 peut suffir juste à démontrer la supériorité des appareils furtifs: vous voyez le F22 fait du 100 contre 1 contre le Rafale donc le F35 sera pas mal même si c'est du 20 contre1. Ensuite, d'abord si on regarde la DTO du Raptor, il est plus souvent en panne qu'en vol; C'est faux son taux est meilleur que celui du Rafale en 2009 et il est bon depuis 2008.Vérifie! et si il suffit qu'une seule fois le Raptor se fasse manger par le Rafale et c'est tout Lockheed Martin. Non les pros savent bien que c'est un taux d'échange.Il suffit que le Raptor bouffe 8 fois sur 9 le Rafale pour prouver qu'il est d'un meilleur rapport qualité prix en Air-Air. Jamais les américains n'ont voulu faire une opposition Rafale/Raptor ou qu'un pilote français en échange monte dans le cockpit. Qu'un pilote français ne monte pas dans le cockpit me paraît normal. Mais le Raptor devra bien sortir un jour contre le Rafale et paraît-il selon la rumeur que ça a déja été fait aux USA un peu involontairement. O0 Les américains peuvent avoir préparés leur coup avec des modes ECCM modifiés et flasher sur les raptors pour l'exercice apres avoir bien observé notre Rafale à red flag ce qui leur permet de limiter les risques. Autre possibilité sans affronter le Rafale, c'est affronter l'Eurofighter le battre puis ensuite laisser le Rafale contre l'Eurofighter et comparer et dire ensuite aux UAE, vous voyez qui est le meilleur? S'ils font tout ça c'est qu'ils craignent quand même le Rafale.Il est clair que tous les dirigeants politiques sont responsables et ce depuis 81. Le Rafale est le meilleur avion hors F22 et F35 (pas opérationnel avant 5 ans pour l'export). Le but des USA est le monopole.Pas pour l'argent mais pour l'infuence mondiale. L'armée n'est pas faite pour défiler ou faire joujou avec les alliés dans de tiger meet, elle est faite pour implémenter la vision US de l'évolution du Monde et leur influence sinon leur domination quand nécessaire politique ou par la force. Pour eux, l'Europe étant décadente et incapable d'action sérieuse, et de financer sa défense, c'est aux USA de sauver l'occident et seulement selon leur contraintes et en toute souveraineté.Les Européens doivent donc contribuer tout au mieux en fournissant des supplétifs sur matériel US pour pouvoir facilement s'intégrer. Vu qu'ils ont un budget réduit, ils ne doivent pas gaspiller en R&D et capacité redondante des USA. Les pays tiers non OTAN doivent aussi être équipés de matériel US ou de matériel sur lesquels les USA ont un contrôle et peuvent exiger les codes de neutralisation en cas de problème (facile pour l'Eurofighter ou le Gripen sinon c'est l'embargo US sur les pays producteurs). A cet égard le Rafale leur pose problème puisque la France ne demande pas la permission au USA sur toute action et se permet même de les contredire en public affaiblissant la solidarité apparente du camp occidental démocratique (c'est à dire l'illusion que tous le monde est derrière les USA). Les français ont fait une erreur en pensant qu'on pouvait dissocier Bush d'Obama et du reste de l'Amérique en oubliant que les démocrates sérieux au Congrès avaient appuyés Bush sur l'irak.Les hauts fonctionnaires et membres du Congrès n'ont pas oubliés et ne nous font plus confiance. Aujourd'hui, il n'y a aucun cadeau pour la France. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gerole Posté(e) le 6 décembre 2009 Share Posté(e) le 6 décembre 2009 Grabber : "la science et l'industrie c'est plutôt le 19iéme, le 20ieme étant plus celui des services et des finances .."Ce n'est pas exacthttp://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_%C3%A9conomique_de_la_France#De_1815_.C3.A0_1945Les « Trente Glorieuses » sont en France une période de fort déversement sectoriel. En 1946, le secteur primaire emploie 36% des actifs, le secondaire et le tertiaire chacun 32%. En 1975, le secteur primaire n’occupe plus de 10% des actifs, contre 39% au secondaire et 51% au secteur tertiaire[122] .J. Fourastié, op. cit., p. 82 Il aura fallu attendre 1975 pour que ce soit le cas.Et au XIX eme siecle l'industrie n'avait pas atteinte les taux du XX eme siecle (faut que j cherche l'info)"l'age industriel c'est entre le milieu du 19 eme siecle et 1939 cf cours de première http://erra.perso.neuf.fr/ranguin/MARCHAND/age-industriel.html"L’âge industriel et sa civilisation (du milieu du 19ème siècle à 1939)" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Mouais... En pendant qu'on dote le Rafale F4 de réduction de RCS (qu'on a pas financé), d'une nouvelle antenne AESA (dont rien ne nous dit qu'elle est aussi avancée que celle actuellement sur le Raptor) et d'une suite ECM de la mort qui tue (où on oublie de signaler qu'une émission ECM, avec les moyens de l'USAF, ça se détecte de très loin), le F-22 lui n'évolue pas, rien que dalle... C'est plus qu'optimiste! Il a déjà été annoncé que l'antenne de l'APG-77 recevrait de nouveaux modules dérivés (en plus modernes) de ceux équipant le F-35, et qu'il recevrait également de nouveaux algorythmes pour affiner ses modes de détection et sa portée radar. Et mettre en exergue (à juste titre) les capacités ECM/ECCM du Rafale face à ses concurrents US, c'est oublié un peu vite POURQUOI les US dotent leurs avions d'ECM minimalistes*: parce que leurs F-22 n'opéreront pas sans une tripotée de RC-135, E-3 et autres E/A-18G en vol pour bousiller toute tentative cohérente de brouillage adverse. *Et encore, ça reste à prouver que celle du F-22 est quoi que ce soit à envier à celle du Rafale. C'est un des avantages d'une RCS réduite: une suite ECM réduite pour une efficacité équivalente Quand au lock sur image satellitaire, faut arrêter la fumette! L'USAF n'a tout simplement pas assez de satellites en l'air pour assurer une couverture permanente d'un théâtre d'opération, ça a d'ailleurs été reproché par le Congrès concernant l'Afghanistan. Et je ne parle même pas de la technologie elle-même, bien insuffisante pour assurer une détection de cible / identification de cible / suivi de cible / rafraichissement des données suffisante pour permettre un lock sur image satellitaire. Et puis je vois pas en quoi ce serait la panacée. Une optique de satellite, ça se brouille, un signal montant ou descendant, ça se brouille et ça se détecte. A 4 ou 5 Md$ le satellite, même l'USAF ne s'y essaierait pas! Quand à dire que le pognon n'est pas un problème pour le Pentagone, c'est oublier un peu vite le nombre total de F-22 qui sera commandé! Qui irait financer 500 MILLIARDS de $ de satellites pour servir d'éventuel moyen de détection pour des avions dont jamais plus de 60 pourront être déployés en même temps au même endroit? Si l'USAF voulait tellement une capacité passive, elle aurait installée la voie IR prévue sur les F-22, tout simplement. S'ils ne le font pas, c'est parce qu'aucun appareil furtif n'est là pour les concurrencer, et que leur radar LPI leur suffit très bien. Sans oublier que le petit père peut recevoir des éléments latéraux sur l'avant du fuselage pour améliorer encore sa capacité, que l'ALR94 sera lui aussi sujet à mise à jour et qu'il n'est pas du genre bas de gamme JVC, que le cerveau qui contrôle tout le bastringue n'occupe qu'une petite place et qu'on peut le faire pousser histoire d'améliorer les capacités de traitement, etc... A croire que le seul appareil qui va évoluer est et sera le Rafale... quand on voit tout ce qu'un AN/AGP77 est DEJA capable de faire, on ne parle pas de ce qu'un hypothétique radar fera dans dix ans, non de ce qui est en service sur plus d'appareils que compte l'AdA en Rafale, donc quand on fait le bilan, on se dit qu'il n'y a pas qu'en terme de RCS que le Rafale est à la rue. Ok, SPECTRA c'est bien, c'est beau et c'est chaud... Mais SPECTRA ne fait pas tout. Dans un environnement dense d'ECM, trouver les signaux d'un LPI type AGP77 et les identifier comme autre chose que de la CME et non pas un balayage actif annonciateur d'un AIM120 ce sera déjà joli. Combinons cela avec un DDM qui sera moins miro dans huit ans... Ouille. Au lieu de parler de Rafale post F48, voyons déjà de quoi serait capable les F2... bah pas grand chose. Radar aveugle, OSF court sur patte et pas assez précis, DDM/DAM dépassé, seul son SPECTRA lui serait d'une aide quelconque... pour ce que cela pourrait lui servir, il prendrait un missile dans le fion sans savoir ce qui lui est arrivé. Et même à voir le coucou il y a un monde entre voir et locker avec son radar et ensuite avec le missile... Si le Rafi avait des radars de différentes bandes comme le T50, il pourrait jouer la dessus. Mais non. De fait, le F22 exposera toujours son meilleur profil SER/SIR avec l'avantage de voir avant d'être vu. Face à un appareil doté d'une suite ECM correcte, le seul défaut notable du F22 actuel c'est son armement. Le 120 C7 n'est pas une rolls et l'AIM-9 n'est pas non plus une référence bien que suffisant compte tenu de son vecteur. si l'on tient compte des démultiplicateurs de force, c'est encore plus frappant... tiens, j'ai comme l'impression de me répéter. :| Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 ... Pour eux, l'Europe étant décadente et incapable d'action sérieuse, et de financer sa défense, c'est aux USA de sauver l'occident et seulement selon leur contraintes et en toute souveraineté.Les Européens doivent donc contribuer tout au mieux en fournissant des supplétifs sur matériel US pour pouvoir facilement s'intégrer. ... Je voulais juste réagir sur ce passage. Ils ne voient pas du tout l'Europe comme décadente bien au contraire... Ils n'ont surtout pas envie de voir ce refaire un éventuel Ariane espace ou Airbus. C'est ça leur plus grosse crainte, plus que les barbus ou autres terroristes à des années lumières de leurs frontières et juste bon à faire un attentat tout les 10/20 ans qui sera exploiter par la suite pour faire passer des décisions politiques auparavant impopulaires. En à peine 20ans Airbus à bouffer le marché de Boeing et Ariane espace est devenu le 1er lanceur commerciale. Ca c'est leur gros cauchemar, une Europe qui arrive à s'entendre, et qui pond des géants mondiaux encore plus puissant que ses propres bébé (ou la vilaine !!! O0). Je peux vous dire que après l'ascension d'Airbus et Ariane espace ça a travaillé dur dans les cabinets d'analyse du gouvernement ricain pour éviter que ça se reproduise/continu de ce reproduire. Tout comme ça avait travaillé dure après la guerre pour que l'Europe ne soit plus une puissance mondiale mais seulement régionale (m'enfin après avec l'évolution de la guerre froid les américains ont du y renoncer un peu), pasque une GM c'était déjà beaucoup mais alors deux GM c'était trop, donc pas question qu'ils remette ça pour une troisième les européens ^^ Après guerre l'Europe à vite été mise sous perfusion américaine, c'est pour la reconstruction mais aussi pour garder un œil sur ce que font les européens. Car à l'époque on s'est dit si les européens construisent par eux même et ce retrouvent "seul" (avec les USA mais moins présent que ce qui a été fait) devant un adversaire de poids comme l'URSS, ils vont vite s'associer pour se reconstruire et faire face à cette adversaire. Et même très affaibli par la guerre, si les européens ont une "qualité" c'est bien celle de vite ce reconstruire pour pouvoir remettre le monde à feu et à sang (à peine 20ans entre la 1er et la seconde, sans parler des siècles de guerres passé). D'ailleurs si les américains n'avaient pas massivement eu la main mise sur l'Europe d'après guerre il est probable que l'Union Européenne serait notre pays et la France notre simple état de naissance. Les américains empêchent par tout les moyens (les anglais leurs sont très utile notamment O0) que ce crée une industrie européenne de la défense. Car comme l'a fait Airbus, elle pourrait facilement venir rivaliser voir dépasser leur propre industrie (pour ceux qui ont vu le C dans l'air sur le rafale ils le disent très clairement à un certain moment de l'émission et ça viens corroborer ce qu'on ma raconté ou ce que j'ai entendu/lu/vu). Et donc si l'Europe n'assume pas ça défense c'est aussi par ce que les USA ne le souhaitent pas. C'est pour cela que les USA aiment bien s'en prendre aux produits français, car Airbus, Ariane, etc. Existent en grande partie grâce à la France, qui forte de ça volonté d'indépendance, a entrainé ses petits camarades dans l'aventure et le moins que l'on puisse dire c'est que ça marche pas mal. Après pour le coté supplétif je suis entièrement d'accord. Parce que mieux vaut supplétif/européen avec du matériel de "merde" US. Qu'un supplétif/européen avec du bon matos européen. (Je ne parlerais même pas du pire des cas... Un européen indépendant avec du super matos européen :lol:) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Récement, j'ai appris que dans les airbus, il y a des pieces made for great satan americana.Pour Airbus, faut pas pousser entre une société d'état et une société privés comme boeing. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Récement, j'ai appris que dans les airbus, il y a des pieces made for great satan americana. Pour Airbus, faut pas pousser entre une société d'état et une société privés comme boeing. Privé :lol: mais cul et chemise avec l'état fédéral :) c'est beau cette industrie privée sous perfusion étatique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Et donc si l'Europe n'assume pas ça défense c'est aussi par ce que les USA ne le souhaitent pas. Et puis l'Europe théoriquement n'a pas vocation à aller faire la guerre dans tous les endroits du Monde... Les Anglais en font l'expérience vouloir suivre les amerloques partout coûte cher sans parler des résultats Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Récement, j'ai appris que dans les airbus, il y a des pieces made for great satan americana. Pour Airbus, faut pas pousser entre une société d'état et une société privés comme boeing. Si un client choisit des réacteurs US (qui existent pour chaque modèle Airbus), 50% du coût d'un Airbus va vers des fournisseurs US (notamment les radars météo). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 et avec des réacteurs anglais, près des 3 cinquièmes d'un boeing est produit au japon et en europe.Quel rapport avec le sujet? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 et avec des réacteurs anglais, près des 3 cinquièmes d'un boeing est produit au japon et en europe. Quel rapport avec le sujet? A quand, un rafale mondialisé????? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Sachant que le F22 travaille en synergie avec toute une gamme d'appareils SIGINT, il peut très bien repérer grossièrement un appareil, faire une demande ans tel secteur, hop, coup de satellite et vérification de ce que c'est si cela n'est pas possible de le faire via radar. La position des cibles sera toujours plus ou moins connue, l'identification sera plus difficile à obtenir rien qu'au radar.Quand à cramer le carbu d'un satellite ce qui limitera sa durée de vie, c'est vrai, mais ce n'est pas comme si cela dérangeait les us de claquer des milliards durant une guerre, il suffit de voir combien ils ont claqué durant Gulf War II et par jour... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Borisdedante Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-12-07/petits-bras-les-rafale-et-les-f-22-raptor-ne-se-sont-pas-affrontes-aux/1648/0/402465Les Rafale et les F-22 Raptor ne se sont pas affrontés aux Émirats Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LighTning Posté(e) le 7 décembre 2009 Share Posté(e) le 7 décembre 2009 L'article joint est un classique, il date certes de 2000 mais il permet d'éclaircir les idées quand à système d'arme du F22 et son intégration. ;) http://www.f-16.net/f-16_forum_viewtopic-t-9268-start-0.html THE NEXT GENERATION The fourth Lockheed Martin F-22 Raptor, aircraft 4004. Is due to make its first flight from Marietta. GA, in late July. As the first F-22 to carry offensive avionics. Its task is to demonstrate that a stealthy aircraft can be a fighter. Under a deal struck with Congress last year, the F-22 has to prove this key technology by the end of this year if the next ten aircraft are to be authorized. The F-22 represents a radical departure from the traditional approach to EW. Passive systems, once considered to be defensive in nature, are now critical to detecting, tracking and even attacking the target. The active radar, while still a primary sensor, is used sparingly for specific tasks. Active jamming in the traditional sense has disappeared. The F-22 approach is echoed to some extent in most of today's advanced fighter programs, including the Dassault Rafale, Eurofighter typhoon and Saab JAS Gripen. It is also fundamental to the future of the Joint Strike Fighter (JSF). The F-22's EW philosophy is rooted in some of the earliest work on stealth. As the US Air Force (USAF) defined requirements and operational doctrine for the F-117 stealth strike aircraft and B-2 bomber, in 1980-81, A "Red Team" headed by Dr. Paul Kaminski was charged with looking for weaknesses and vulnerabilities in stealth technology. One of the Red Team's Most important conclusions was that a stealth aircraft could not survive by low radar cross-section (RCS) alone, but by stealth and tactics. In the case of the F-117 the Red Team's recommendation resulted in the development of one of the first automated mission-planning systems, but this left the aircraft dependent on a pre-programmed flight plan. The B-2 was designed to feature a sophisticated defensive management system (DMS) which would allow the crew to respond to threat radars not anticipated by the mission plan. The initial DMS was abandoned in the late 1980s. Its successor is the APR-50, developed by IBM Federal Systems (later acquired by Loral and now part of Lockheed Martin). The USAF's Advanced Tactical Fighter project, which led to the F-22, presented greater challenges. In the air-to-air regime, the primary threats are airborne and move rapidly, making identification, location and tracking more complex. The F-22's sustained speed also shortens engagement timelines by as much as 40 percent. At the same time, the fighter's classic tool for situational awareness -- a powerful search radar -- can render its stealth characteristics moot. Low-probability-of-intercept (LPI) techniques are not very compatible with continuous searches over a large volume. The fighter's stealth is also of little use if it has to close to visual range in order to identify its targets. Passive search and track and non-cooperative target recognition (NCTR) are not luxuries for a stealthy air-superiority fighter. The solution to this problem on the F-22 is sensor fusion. The principal sensors are the Northrop Grumman APG-77 radar and the Sanders ALR-94 passive receiver system. The fighter also has two datalink systems: one using the standard VHF/UHF radio frequencies and the other, the intraflight datalink (IFDL), a low-power LPI link which connects two or more F-22s at close range. The sensors are apertures connected to the fighter's Common Integrated Processor (CIP) banks in the forward fuselage. The data from the APG-77, ALR-94 and the datalinks are correlated according to their azimuth, elevation and range. Data is combined into a track file, and the final target picture is obtained by choosing the read-out from the most accurate sensor. For example, the passive system may provide the best azimuth data, while the radar produces the most accurate range. CIP software controls the APG-77 according to emission-control principles. The radar's signals are managed in intensity, duration and space to maintain the pilot's situational awareness while minimizing the chance that its signals will be intercepted. More distant targets get less radar attention; as they get closer to the F-22, they will be identified and prioritized; and when they are close enough to be engaged or avoided, they are continuously tracked. Sensor fusion and emission control are closely linked. The more the datalinks and ALR-94 can be used to build and update the tactical picture, the less the system needs to use the radar. The IFDL provides another layer of protection against tracking, because any one F-22 in a flight can provide radar data to the others. The APG-77 and ALR-94 are unique, high-performance sensors. The APG-77 has an active, electronically scanned array (AESA) comprising some 1,200 transmitter and receiver modules. One vital difference between an AESA and any other radar that has a single transmitter (including a passive electronically steered array) is that the AESA is capable of operating as several separate radars simultaneously. An AESA can change its beamform very readily, and its receiver segments can operate in a passive or receive-only mode. Unlike a mechanical antenna, too, its revisit rates are not constrained by the antenna drive, and it can concurrently revisit different points within its field of regard at different rates. The F-22 has space, weight and cooling provision for auxiliary side arrays on either side of the nose. If installed, these would provide radar coverage over almost 270°. The ALR-94, meanwhile, is the most effective passive system ever installed on a fighter. Tom Burbage, former head of the F-22 program at Lockheed Martin, has described it as "the most technically complex piece of equipment on the aircraft." The F-22 has been described as an antenna farm. Indeed, it would resemble a signals-intelligence (SIGINT) platform were it not for the fact that the 30-plus antennas are all smoothly blended into the wings and fuselage. The ALR-94 provides 360° coverage in all bands, with both azimuth and elevation coverage in the forward sector. A target which is using radar to search for the F-22 or other friendly aircraft can be detected, tracked and identified by the ALR-94 long before its radar can see anything, at ranges of 250 nm or more. As the range closes, but still above 100 nm, the APG-77 can be cued by the ALR-94 to search for other aircraft in the hostile flight. The system uses techniques such as cued tracking: since the track file, updated by the ALR-94, can tell the radar where to look, it can detect and track the target with a very narrow beam, measuring as little as 2° by 2° in azimuth and elevation. One engineer calls it "a laser beam, not a searchlight. We want to use our resources on the high-value targets. We don't track targets that are too far away to be a threat." The system also automatically increases revisit rates according to the threat posed by the targets. Another technique is "closed-loop tracking," in which the radar constantly adjusts the power and number of pulses to retain a lock on its target while using the smallest possible amount of energy. High-priority emitters -- such as fighter aircraft at close range -- can be tracked in real time by the ALR-94. In this mode, called narrowband interleaved search and track (NBILST), the radar is used only to provide precise range and velocity data to set up a missile attack. If a hostile aircraft is injudicious in its use of radar, the ALR-94 may provide nearly all the information necessary to launch an AIM-120 AMRAAM air-to-air missile (AAM) and guide it to impact, making it virtually an anti-radiation AAM. Of course, there are some targets that do not emit signals. "We prefer it that way, because he's dumb," remarked one Boeing engineer. In this case, the F-22 can use its LPI features to track the target -- which is not a threat unless another radar is tracking the F-22 and datalinking information to the "quiet" aircraft -- and can, if necessary, identify it. NCTR is a highly classified area. One of the few known techniques is jet-engine modulation, which involves analyzing the raw radar return for the characteristic beat produced by a combination of the radar-pulse frequency and the rotating blades of the engine. This technique is already used on operational radars (including the APG-70 in the F-15) but is vulnerable to countermeasures and dependent on target aspect. Other NCTR techniques involve very precise range measurements. If the target's orientation is known, the distribution of the signature over very small range bins can yield a range profile which is characteristic of a certain aircraft type. It is possible that the F-22, which has a great deal of onboard processing power -- as well as a flexible, frequency-agile radar -- is designed to use an NCTR technique of this kind. Unlike the Eurofighter Typhoon , the F-22 does not have an electro-optical (EO) system for target identification. F-22 program managers have said consistently that they believe that the F-22 pilot will be able to identify any target -- emitting or not -- beyond visual range (BVR). "We are confident that we can demonstrate to our leadership that we know what's out there, and that we will operate with rules of engagement that reflect that fact," USAF program manager Gen Mike Mushala remarked at a conference in 1997. The ALR-94 drives the F-22's defensive displays. The system determines the bearing, range and type of the threat, and then computes the distance at which the enemy radar can detect the F-22. The pilot is the decision-maker and is provided with timely, graphic information to guide defensive maneuvers. On the main defense display, usually shown on the left-hand screen in the cockpit, threat surface-to-air missile (SAM) and airborne early warning (AEW) radars are surrounded by circles that show their computed effective range. On the right-hand attack display, fighter radars are shown as blue beams extending towards the F-22's position. The F-22 has no dedicated jamming systems. However, the APG-77 array can be used to generate powerful jamming beams over a certain frequency range. Developing such a system has been a tremendous challenge. The F-22 avionics-development program is methodical and has learned from the experiences of other projects. From the outset, all of the software was designed on the same hardware with the same compilers and operating systems. "It was a tremendous advance," comments Boeing F-22 avionics deputy manager Gherry Bender. "We got beyond the hardware integration problems." The complete system is being tested in three stages, starting with the ground-based avionics integration laboratory (AIL), then moving to the Boeing 757 flying test bed (FTB) and completing its tests on the F-22 prototypes. The AIL, located at Boeing Field in Seattle, WA, includes a tower-mounted sensor suite. The FTB is fitted with a sensor wing above and behind the cockpit, which accommodates the F-22's full-size wing-mounted antennas in their proper orientation. Internally, it features a complete CIP bank, an F-22 cockpit -- both the AIL and FTB support pilot-in-the-loop tests -- and multiple engineering workstations. The FTB has worked with Navy aircraft out of NAS Whidbey Island, WA, and with Air National Guard F-16s based at Albuquerque, NM. The goal is to make the testing as realistic and repeatable as possible at each stage and, thereby, to minimize surprises at each succeeding stage. "The problem with integration is fault isolation," says Bender. "To do that, we need repeatability, combined with data gathering and reduction to get answers rapidly. If we can isolate faults on the FTB, it's a lot cheaper than doing the same on the F-22." The first elements of the engineering-and-manufacturing-development (EMD) sensor suite for the F-22 were installed on the 757 in 1998, and powered up for the first time in December of that year. These first tests used Block-i software, which comprised the basic operating system, navigation and some radar modes. Its primary goal was to unearth any basic problems "so that we wouldn't have to rewrite a lot of software later," says Bender. The Block-2 software, which integrates some EW and communication, navigation and identification (CNI) functions, has been operating on the FTB since October 1999, and will be loaded on to the fourth F-22 for its first flight. Block 3.0 is the most crucial step forward, because it introduces sensor fusion among the radar, EW and CNI subsystems. A development version of Block 3.0, called Block 3S, has been flying on the FTB since April. Block 3S was added to the development program in early 1999, and includes sensor functions but not sensor fusion. "It is a risk-reduction tool," says Bender. "With the software controlling the sensors and fusion in the feedback loop, it's sometimes hard to unravel what happened. Did the sensor fail, or did it do what it did because we commanded it to do it?" The real Block 3.0 is due to fly on the FTB in August before being loaded on Raptor 4004 in October or November. "It will be a challenge," says David Anderson of the F-22 Plans and Programs Division at Wright-Patterson AFB. "There is some risk there, depending on the availability of the aircraft and the software. The degree of risk depends on who you talk to." One area which is receiving some special attention, though, is throughput in the main computer. "We can't afford too much delay between the collection of the signal and the point where it is displayed to the pilot. We're overcoming that," says Anderson. But, he says, the team is confident that they will pass the milestone on schedule. The schedule appears to be tight, with two to three months between the first flight of Block 3.0 on the FTB and its first flight aboard the F-22. "The current avionics schedule," notes a disapproving General Accounting Office (GAO) in its latest F-22 report, "shows Block 3...being completed five months before the completion dates the Air Force considered realistic in 1997." The first flight of 4004 slipped from February to May 2000 in the course of 1999, further delaying the flight testing of Block 2 aboard the fighter, and that date has since slipped to July. So far, however, the program has avoided disasters, and key changes (such as the implementation of Block 3S) have been implemented in time to avert problems. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 7 décembre 2009 Auteur Share Posté(e) le 7 décembre 2009 Au moins c'est clair =) Nous avons appris que les pilotes de Rafale auraient pu "se faire quelques petits exercices hors programme officiel" contre des Typhoon, et qu'ils auraient été "satisfaits du résultat", mais que les F-22 n'ont pas voulu entrer dans la danse : "Les Américains demeurent relativement réservés sur l'engagement de cet avion, dont ils tiennent vraiment à dissimuler les véritables performances et la signature radar." Circulez, il n'y a rien à voir ! Pourtant, ils ne demandent que ca, :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 8 décembre 2009 Share Posté(e) le 8 décembre 2009 Il est logique que les américains veuillent préserver de tout système EW leur coucou justement prévu pour ne pas être repéré. Si on commence à accumuler des données SPECTRA sur l'engin, sa sécurité est compromise et sa domination peut être à plus ou moins moyen terme remise en question. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 8 décembre 2009 Auteur Share Posté(e) le 8 décembre 2009 Leur ALR-94, c'est leur équivalent spectra ou c'est moins ou plus évolué ?The ALR-94 drives the F-22's defensive displays. The system determines the bearing, range and type of the threat, The ALR-94 provides 360° coverage in all bands, with both azimuth and elevation coverage in the forward sector.tracked and identified by the ALR-94 long before its radar can see anything system uses techniques such as cued tracking: since the track file, updated by the ALR-94, can tell the radar where to look, it can detect and track the target with a very narrow beam, measuring as little as 2° by 2° in azimuth and elevation. Sensor fusion and emission control are closely linked. The more the datalinks and ALR-94 can be used to build and update the tactical picture, the less the system needs to use the radar. The IFDL provides another layer of protection against tracking, because any one F-22 in a flight can provide radar data to the othersthe ALR-94 may provide nearly all the information necessary to launch an AIM-120 AMRAAM air-to-air missile (AAM) and guide it to impact, making Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant