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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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Les gouvernements traités comme des moins que rien par l'Allemagne.

http://www.liberation.fr/economie/01012367227-l-allemagne-veut-traduire-les-pays-laxistes-devant-la-justice

Pour info l'Espagne, avant la crise de 2008, avait le budget le plus rigoureux de la zone euro. Ca illustre l'incomprehension de la situation par ce ministre allemand. (Et son aggressivité qui meriterait qu'on remette ce gars a sa place en lui rappelant certains faits historiques de son pays tellement rigoureux  O0 )

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Pour info l'Espagne, avant la crise de 2008, avait le budget le plus rigoureux de la zone euro. Ca illustre l'incomprehension de la situation par ce ministre allemand. (Et son aggressivité qui meriterait qu'on remette ce gars a sa place en lui rappelant certains faits historiques de son pays tellement rigoureux  O0 )

A ceci prêt que la situation actuelle place l'Allemagne en statut de sauveur de l'Europe. Il est normal qu'il soit arogant. C'est toujours plus facile d'être dépensier et parler de cohésion européenne.
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Oui, enfin. Le plein emploi ne se décrète pas.

Bien sur mais il y'a une difference entre une politique qui essaie de favoriser le travail et une politique qui néglige le travail pour privilégier le rendement du capital coute que coute. La politique du franc fort du debut des années 90 ou bien les statuts de la BCE sont des exemple de cette priorité contradictoire avec le plein emploi.

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Visblement le point de vue de l'Allemagne et de la BCE la emporté ce dimanche ... Le FESF restera le FSEF, un sorte de fond de garantie limité, et la BCE ne deviendra pas le préteur en dernier ressort pouvant frapper monnaie a l'envie pour remplir les caisse vide ailleurs. La France quand a elle s'oppose au haircut de 60% sur la créance grecque ... On est pas sorti de l'auberge loin s'en faut.

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Bien sur mais il y'a une difference entre une politique qui essaie de favoriser le travail et une politique qui néglige le travail pour privilégier le rendement du capital coute que coute. La politique du franc fort du debut des années 90 ou bien les statuts de la BCE sont des exemple de cette priorité contradictoire avec le plein emploi.

Dans une France de retraité ... :lol:

En 2011 il y a autant de français de 18 a 48 ans que de 48+ ... en gros si tu veux être élu tu a intérêt a favoriser les 48 ans et plus, même si ça doit être au détriment des autres. Et après 50 ans tu t’inquiètes surtout de préparer tes vieux jours ...

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non les gars ...

Je vais vous dire un truc, vos vieux jours pensez-y dès 18 ans parce qu'après ce sera fini, la belle vie de vos parents (ou même des mien) c'est fini

aujourd'hui à 50 ans si vous vous mettez à penser à vos vieux jours vous aurez trois trains de retard

à 50 ans aujourd'hui on a une priorité, assurer l'avenir de ses enfants (scolarité, travail, accession à l'autonomie ...)

les temps changent vraiment

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non les gars ...

Je vais vous dire un truc, vos vieux jours pensez-y dès 18 ans parce qu'après ce sera fini, la belle vie de vos parents (ou même des mien) c'est fini

Comme tout les gens de mon age (34 ans), s'occuper de sa retraite est une des toutes premiere chose que j'ai fait.

Bon, d'ailleurs, les economies au chaud dans les banques .....

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La France officiellement en récession ?

L'économie française est entrée en récession en octobre, selon l'indice PMI publié lundi 24 octobre par le cabinet Markit, tombé au plus bas en vingt-neuf mois, à 46,8 points en octobre contre 50,2 en septembre. Cet indice, établi à partir d'une enquête menée auprès de 750 entreprises opérant en France, traduit le rythme de l'évolution de l'activité : un indice supérieur à 50 points témoigne d'une expansion et un indice inférieur d'une contraction. C'est un indicateur avancé de la conjoncture, considéré comme fiable par les analystes.

'Le secteur privé français vacille et entre en zone de contraction en ce début de quatrième trimestre, a souligné Jack Kennedy, économiste chez Markit, cité dans le communiqué du cabinet. Les répercussions de la crise de la dette européenne dans l'économie réelle se font cruellement sentir, notamment sur la confiance et sur le niveau de la demande.' Selon le cabinet, l'activité des entreprises du secteur privé français a reculé pour la première fois depuis l'été 2009 en octobre.

Alors que la croissance française s'appuyait sur le secteur des services, une forte baisse de l'activité dans ce secteur a fait replier l'indice sous le seuil des 50 points. De plus, 'la production manufacturière diminue pour le troisième mois consécutif'. Selon le cabinet Markit, ces chiffres pourraient se traduire par 'un taux de contraction trimestriel significatif du produit intérieur brut (de l'ordre de 0,5-0,6 %)'. 'La courbe actuellement suivie par l'activité laisse envisager une récession, à moins d'un rapide retournement de tendance', ajoute le cabinet.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/10/24/premiers-signes-d-une-contraction-de-l-economie-francaise-en-octobre_1592807_3234.html#xtor=AL-32280515

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Visblement le point de vue de l'Allemagne et de la BCE la emporté ce dimanche ... Le FESF restera le FSEF, un sorte de fond de garantie limité, et la BCE ne deviendra pas le préteur en dernier ressort pouvant frapper monnaie a l'envie pour remplir les caisse vide ailleurs. La France quand a elle s'oppose au haircut de 60% sur la créance grecque ... On est pas sorti de l'auberge loin s'en faut.

L'Allemagne veut juste ne pas se faire tondre mais sans se soucier des causes structurelles des dettes. Ils croient peut être qu'a coups de menaces on va avoir la disparition des deficits. Comme ce cretin de Westerwelle: "ze laxistes ils ne comprennent que la maniere vvorteee !" Image IPB

Desolé  O0

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Ca chie !  :O

A Bruxelles, Sarkozy s'en prend à Cameron et Berlusconi.

Le président français Nicolas Sarkozy s'en est pris dimanche au Premier ministre britannique David Cameron lors du sommet européen sur la dette, lui déclarant qu'il "en avait assez de l'entendre dire ce que nous avons à faire", a rapporté la presse britannique. "Nous en avons assez de vous entendre nous critiquer et nous dire ce que nous avons à faire", aurait dit le président français à M. Cameron, selon le Daily Telegraph et The Guardian, citant des sources diplomatiques. "Vous dites détester l'euro, vous n'avez pas voulu le rejoindre et maintenant vous voulez vous ingérer dans nos réunions", aurait ajouté Nicolas Sarkozy.

La grogne est montée dimanche parmi les dix Etats de l'UE non membres de la zone euro, Grande-Bretagne en tête, qui se plaignent de la volonté croissante des Etats utilisant la monnaie commune de prendre des décisions sans les consulter. "La crise de la zone euro affecte toutes nos économies, y compris celle de la Grande-Bretagne", a martelé David Cameron. "Il est dans l'intérêt de la Grande-Bretagne que les pays de la zone euro règlent leurs problèmes. Mais cela devient dangereux -et j'en ai parlé franchement avec eux-, s'ils prennent des décisions vitales pour les autres pays du Marché unique, comme des décisions sur les services financiers qui concerne tout le Marché unique", a-t-il insisté.

Bah dis donc...  :rolleyes:

"Sarkozy s'en est pris à moi"

Silvio Berlusconi a de son côté reconnu avoir été lui aussi pris à partie dimanche par Nicolas Sarkozy pour avoir manqué à sa promesse d'obtenir la démission du membre italien du directoire de la BCE. "Sarkozy s'en est pris à moi à cause du refus de Lorenzo Bini Smaghi de démissionner", a déclaré le chef du gouvernement italienau cours d'un point de presse à l'issue d'un sommet des dirigeants européens à Bruxelles. "Nous avons offert à M. Bini Smaghi des postes importants mais il n'a pas jugé bon de les accepter. Nous avons fait appel à son sens des responsabilités afin de ne pas transformer (son refus) en casus belli avec la France, mais il est resté insensible", a-t-il expliqué.

"A un certain moment, j'ai demandé à Sarkozy: +que dois-je faire, le tuer ?", a-t-il ajouté, reconnaissant ainsi n'avoir aucun moyen de pression sur son compatriote.

Le souk...   :-X

La démission de M. Bini Smaghi était la condition du soutien de la France à la nomination d'un autre Italien, Mario Draghi, à la tête de la Banque centrale européenne, pour remplacer en novembre Jean-Claude Trichet. L'accord, tacite, prévoyait que la France récupèrerait ensuite le poste de M. Bini Smaghi pour être représentée au sein du directoire de l'institut monétaire de Francfort. Mais ce dernier refuse de partir car M. Berlusconi ne l'a pas nommé comme il l'escomptait à la tête de la Banque d'Italie.

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/a-bruxelles-sarkozy-s-en-prend-a-cameron-et-berlusconi_267130.html#xtor=AL-241

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les Anglais balisent parce que les discutions se font a 17 et que logiquement ils (les Anglais) n'ont pas leurs mots a dire !!

le soucis pour lui est que les 17 adopterons certainement des mesures qui ne feront pas les affaires des Anglais qui sont deja dans la merde et pourrait suite a ce sommet l'etre un peu plus

quand a Berlusconi s'il c'etait plus occupé de son pays et moins de sa braguette ....les critiques contre lui aurait été moins dure !!

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Le Pape peut-il sauver le monde de la crise économique ?

« Le Pape, combien de divisions ? » demandait Staline. « Le Pape, combien de milliards ? », pourrait demander le président de la BCE (banque centrale européenne) ou celui de la Fed – la banque centrale américaine. Mais ce ne sont pas des chars et des avions qui ont mis à bas le régime communiste en URSS, et ce ne sont pas des milliards qui sont requis pour remettre de l’ordre dans la finance, dont la maladie se propage à l’économie, du moins dans les pays anciennement développés.

Le choix entre mensonge et vérité

Alors, qu’est-ce qui importe ? Dans les deux cas, le communisme et la finance en folie, c’est le choix entre le mensonge et la vérité. Les Polonais, les Russes, les Tchèques, etc., en ont eu assez de vivre sous le règne du mensonge, et le régime qui s’était construit sur ce sable s’est effondré. Tout comme s’effondrent aujourd’hui les dettes publiques des pays dont les gouvernants ont essayé de faire croire aux citoyens que l’on peut dépenser 100 en services publics et prestations sociales en ne prélevant que 90, voire 80 ou 70.

La gangrène qui ronge la finance, et qui menace de se propager à de nombreuses et importantes économies, c’est le mensonge. Les fameux « subprimes », ces prêts immobiliers accordés à des ménages aux revenus visiblement insuffisants pour rembourser, des ménages victimes (parfois consentantes) du miroir aux alouettes de plus-values immobilières indéfinies, qu’était-ce sinon des bobards ? Les obligations résultant de leur titrisation, affublées d’un "triple A" alors qu’elles étaient dès l’origine à moitié pourries – des  « junk bonds » -  qu’était-ce sinon des tromperies ? 

Les actifs « toxiques » qui encombrent les bilans de diverses institutions, après avoir été présentés à leur naissance comme des merveilles d’ingéniosité financière, qu’était-ce sinon des duperies ?

Et le Pape, dans tout ça ?

Il ne va certes pas dicter aux spécialistes des règles miraculeuses permettant d’assainir le système monétaire et financier, voire de le reconstruire. A chacun sa spécialité. La sienne, c’est de faire connaître aux hommes un être, à la fois humain et divin, qui s’est identifié à la vérité. C’est de faire connaître un livre, la Bible, qui montre comment les hommes ont pris progressivement conscience du respect qu’ils se doivent les uns aux autres comme enfants d’un même Père. Or le respect du prochain, l’amour du prochain, requièrent la recherche de la vérité. Il se trouve que le Pape actuel, Benoit XVI, a justement écrit un beau texte à ce sujet : « La charité dans la vérité ».

Jésus, et les Papes qui lui ont été fidèles, n’ont jamais rien imposé : le respect de la liberté de l’homme est un principe pour lequel Jésus a accepté le supplice de la Croix. Mais ils proposent aux hommes une forme de changement qui vient de l’intérieur : la conversion. Le monde de la finance a besoin de se convertir.

Ses acteurs sont comme Zachée sur son arbre : ce collecteur d’impôt devait, à l’instar de beaucoup d’autres, demander aux contribuables davantage que leur dû, pour s’enrichir au passage. Or voici que Jésus le regarde et lui demande de l’accueillir dans sa maison. Et Zachée l’accueille, et décide de réparer le tort qu’il a fait. Il aurait pu ne pas le faire, rien ne l’y obligeait, mais il l’a fait. Il s’est converti.

Si un bon nombre d’acteurs de la finance grimpent sur des arbres pour apercevoir Jésus, et  réagissent comme Zachée, alors de grands changements se produiront et on pourra dire, comme dans cet épisode de la vie de Jésus : « aujourd’hui le salut est venu dans cette maison ».

Voilà tout ce que le Pape et celui qui l’envoie en mission peuvent faire pour les hommes qui souffrent de la crise économique. Ce n’est rien de plus que la parabole du grain de sénevé, la plus petite de toutes les graines : elle peut pourrir en terre, ou bien devenir un très bel arbre. Entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge, les hommes sont libres de choisir.

http://www.atlantico.fr/decryptage/pape-sauver-monde-crise-economique-financiere-benoit-xvi-vatican-jacques-bichot-208189.html

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La "normale stable" va redevenir la quasi absence de retraite par répartition.

En clair la normale en 2030 c'est à dire demain quand on aura un actif pour un retraité ce sera d'assurer soi-même sa retraite par une épargne constituée tout au long de sa vie, ceux qui ne l'auront pas fait devront soit toujours travailler, soit vivre grâce à leur famille ou aux minimas sociaux qui auront toutes les caractéristiques d'allocations de misère.

Faut pas se leurrer avec des budgets sociaux en déficits constants et l'évolution de la pyramide des ages il n'y a pas de miracles à attendre. Quand tu as le plein emploi et 4 actifs pour un retraité çà roule, ce n'est plus le cas et depuis longtemps.

C'est chacun qui devra constituer son pécule.

L'état providence tel que l'ont connu nos parents est terminé.

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Mais ça va être comme ça partout alors, pas seulement en Occident. En Asie aussi ça vieillit. Il n'y a qu'en Afrique que la natalité reste forte. En fait il va y avoir un double problème : vieillissement de la population et un taux d'actifs de plus en plus bas. A moins qu'on ne réeinvente une nouvelle forme d'Etat (on peut toujours rêver).

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Je ne dis par revenir à un état tel qu'on l'a connu entre 1950-2000 (quoique le modèle ait commencé à se dégrader fin des années 70 début 80), mais quelque chose de nouveau. Est-ce que la période de dérèglementation, effondrement des Etats, etc. peut devenir une norme sur le long terme aussi ?

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Où Baroin, cet incompétent notoire - accessoirement Ministre des Finances (poste qu'il a obtenu en se roulant par terre comme un sale gosse) - doit participer à des négociations alors que personne ne capte un broc de ce qu'il dit lorsqu'il s'essaie à parler Anglais.

Les rares fois où il l'ouvre c'est pour dire des âneries. Il s'est fait reprendre assez sèchement par C. Lagarde.

"Francois Baroin, the young and inexperienced French finance minister, attempted to hit back, complaining that the IMF's default medicine would hit France the hardest; the country's banks are highly exposed and could threaten its "untouchable" AAA rating. But Mrs Lagarde ... "shut him up" by brandishing the report and pointing to it its detailed figures. "She really slapped him down - and in perfect English too, a language he cannot speak," said a diplomat".

Mais aussi : :

As dark-suited finance ministers contemplated the pains au chocolat laid out on their desks alongside their talking points and position papers, Jan Kees de Jager, the Dutch finance minister, told colleagues: "We've got to get real. People are talking about new defences but with one gulp the whole €440 billion could be gone, leaving the eurozone with no protection at all.

On est bien content de savoir que la contemplation des pains au chocolat inspire le Ministre des Finances Hollandais pour conclure qu'après les 440 milliards sur la table nous serons en slip.

Lagarde ensuite donne le ton : "Couchez-vous sur 50% de la dette Grecque sinon le FMI retire l'échelle !" (têtes d'enterrement autour de la table).

Lire l'article est amusant. Je vois mal comment ces personnes vont nous sortir de la merde... Il se haïssent tous, ne sont d'accord sur rien.  :O

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/belgium/8843652/Eurozone-summit-despair-and-backbiting-in-the-corridors-of-power.html

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