alpacks Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 http://www.latribune.fr/opinions/editos/20120918trib000719838/la-crise-99-de-psychologie-.html Tout le paradoxe de la période que nous vivons, c'est que la crise est sans doute finie... mais que nous ne le savons pas encore ! Et oui les gars c'est fini!! Je me demande même si ce topic mérite encore d'exister! Ca me rappel des trucs ça ... Genre "tu ne le sais pas ... Mais tu es déja mort !" :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 http://www.latribune.fr/opinions/editos/20120918trib000719838/la-crise-99-de-psychologie-.html Tout le paradoxe de la période que nous vivons, c'est que la crise est sans doute finie... mais que nous ne le savons pas encore ! Et oui les gars c'est fini!! Je me demande même si ce topic mérite encore d'exister! Je vais calmer tout ca avec le O DELAMARCHE du jour :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 ...la crise est sans doute finie... Bah voyons... Record historique des créances douteuses des banques en Espagne. Le taux de créances douteuses des banques espagnoles a atteint en juillet son plus haut niveau depuis 50 ans, avec 9,86% du total des crédits. Près d'un crédit immobilier sur dix est considéré comme risqué, ce qui confirme la détérioration du secteur financier espagnol. Le taux de créances douteuses des banques espagnoles a battu en juillet un nouveau record historique en cinquante ans, avec désormais près d'un crédit immobilier sur dix considéré comme risqué, a annoncé mardi la Banque d'Espagne. Ces créances douteuses, surtout des crédits immobiliers susceptibles de ne pas être remboursés, ont atteint 9,86% du total des crédits en juillet, avec 169,330 milliards d'euros. C'est le taux le plus élevé depuis le début de la série statistique en 1962. Ce chiffre confirme la détérioration du secteur financier espagnol, qui inquiète les investisseurs et les partenaires européens de l'Espagne: la zone euro a d'ailleurs promis en juin une aide de jusqu'à 100 milliards d'euros pour aider à renflouer le secteur, et les fonds sont attendus dans les prochaines semaines. L'annonce de ce nouveau « record » a été mal accueillie à la Bourse de Madrid, qui a perdu jusqu'à 2,44% après la publication et reculait encore de 1,89% à 7.994,1 points à 10H28. http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202274010024-espagne-les-creances-douteuses-battent-un-nouveau-record-363135.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Des impôts, des impôts, toujours plus d'impôts ! Et les économies de l'état ? Laurence Parisot fait une sortie - pour une fois - remarquée ! Budget 2013 : Laurence Parisot «effrayée». Le projet de loi de Finances : « A quelques jours de la présentation du budget, nous sommes effrayés par ce qui est envisagé par le gouvernement », a d'emblée annoncé Laurence Parisot, craignant un « choc de non compétitivité ». Si elle approuve l'objectif d'une baisse du déficit public à 3 % du PIB dès 2013, « essentiel pour la crédibilité de notre pays (...), ce qui est envisagé pour les entreprises est très préoccupant ». Les derniers arbitrages rendus par le gouvernement (déductibilité des intérêts d'emprunts maintenue partiellement, ISF PME préservé, statu quo sur les allégements de charge sur les bas salaires par exemple) sont pourtant beaucoup moins pénalisants pour les chefs d'entreprise que ce que prévoyait initialement le gouvernement. « Des points fondamentaux ont été intégrés, mais c'est l'équilibre général que nous remettons en cause », a-elle ajouté. La répartition en trois tiers des efforts à fournir (10 milliards d'impôts sur les entreprises, 10 milliards sur les ménages, 10 milliards d'économies sur les dépenses publiques) ne convient pas au Medef : « Il y a deux fois plus d'augmentation d'impôts que de baisse de la dépense publique. En outre, rien n'indique que le budget va présenter une baisse de 10 milliards d'euros des dépenses publiques.En réalité, il s'agit d'un ralentissement de l'augmentation moyenne de la dépense publique. C'est tout. » La négociation sur la sécurisation de l'emploi : Alors que la négociation débutera le 4 octobre, la présidente du Medef a d'ores et déjà présenté les points qu'elle souhaiterait voir aboutir dans la négociation : « faire un pas significatif vers la flexibilité », « sécuriser les accords collectifs », « plafonner les dommages et intérêts en cas de désaccords devant les tribunaux entre employeurs et salariés pour les PME / TPE », mais aussi « offrir un meilleur accès à la formation pour les salariés », et « être plus complet dans l'information que nous donnons aux représentants du personnel ». En revanche, Laurence Parisot a fermement écarté l'éventualité de négocier sur la taxation des contrats précaires (baisse des cotisations sur les CDI, hausse sur les CDD), comme l'a pourtant appelé de ses voeux, lundi, le ministre du Travail, Michel Sapin, dans le cadre de la négociation sur la sécurisation de l'emploi. « Ca ne peut se faire que dans le cadre d'une renégocation de l'assurance-chômage (...). On peut envisager d'aborder ce point dans un second temps, si on avance dans un premier temps sur des éléments de souplesse dont les entreprises ont besoin. Il y a un ordre des choses à respecter », a-t-elle précisé. La conférence environnementale : Comme pour le projet de loi de Finances, Laurence Parisot s'est montrée très circonspecte sur les conclusions de la conférence environnementale qui s'est tenue le week-end dernier, évoquant de « réelles inquiétudes » et « des incohérences », notamment sur le refus du gouvernement d'envisager toute discussion sur les gaz de schiste. « Comment peut-on souhaiter la réindustrialisation de notre pays, et en même temps négliger à ce point les enjeux économiques de la transition énergétique ? » s'est-elle interrogé. Le coût d'une baisse de la production d'énergie nucléaire de 75 à 50 % dans le mix énergétique français a été évalué à 100 milliards d'euros par la présidente du Medef. http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202274013630-budget-2013-laurence-parisot-effrayee-363155.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Des impôts, des impôts, toujours plus d'impôts ! Et les économies de l'état ? Laurence Parisot fait une sortie - pour une fois - remarquée ! Budget 2013 : Laurence Parisot «effrayée». Je ne suis pas sur, qu'en période de quasi récession, que de "diminuer les dépenses de l'état" soit une solution bien adaptée a la situation ... Moins de dépenses d'état = moins d'argent mis en circulation par cette dépense directe en salaires et cie, pour moi c'est de la même rengaine que le fameux rapport de l'IGF : oui l'état emploi peut être 450 000 "serrarien" en l'état des choses via des agences potentiellement inefficaces ... Mais si on coupe les vivres a cette dépense c'est 450 000 chomeurs : un si bon calcul que ça dans la situation ou nous sommes ? La priorité réelle c'est quoi ? Se plier au diktat du moins disant étatique libéral (qui en retour de moins d'état ne veut qu'une chose : moins d'impots et taxe) Ou s'attaquer sérieusement au chomage, alors que nous venons de franchir la barre des 3 millions ? En sachant que le chomage alimente une spirale infernale : + y a de chomeurs, moins de rentrées diverses en recettes ... Et + de dépenses en conséquences De la, faut savoir déja ce qu'on veut, et ça passe par veiller a ce que l'état ne soit pas source brutale de chomage en faisant des coupes sombres sur des choses qui paraissent inutile vu de cet angle ... Ca nous endette ? Si c'est pour maintenir de l'emploi, du niveau de vie ect ... Moi ce genre de dette me convient a la limite Pas comme un certain gouvernement passé qui en + de nous avoir méchamment surendetté, s'est bien moqué de faire semblant d'ignorer que les dispositifs qu'il a pris sur l'emploi était un accélérateur a chomage (heures sup defisc ... Qui n'ont clairement pas incité a embaucher, puis vidé en substance la possibilité pour des millions d'heures de travail le fait d'embaucher des gens pour les faire : ben non en heures sup ...) Tout en baissant les impots ! Il faut une logique dans une stratégie de prendre le taureau par les cornes, et je pense la priorité est de nous sortir de cette récession éco avant tout, et ça passe par bien réflechir a ce qu'on fait quand on parle de diminuer de la dépense qui reste moteur même si "inutile" en apparence Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 je me demande si l'on ne devrait pas surtout mieux gérer l'argent. deux articles, suite au rapport de la cour des comptes, m'ont fait bondir les premier sur agoravox : [http]http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/gaspillage-d-argent-public-des-55021[/http] chapeau : Le pire avec la gestion de l’argent public en France, ce sont les gaspillages. Voici quelques exemples vécus dans lesquels l’argent de l’état n’a pas servi à payer des crêches, des routes ou des écoles, mais a été purement et simplement gaspillé. le second sur le figaro : [http]http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/09/17/20002-20120917ARTFIG00388-les-gapillages-des-agences-d-etat-denonces.php[/http] capeau : Hausse des effectifs, rémunérations élevées: l'Inspection générale des finances dénonce les dérives des organismes parapublics. Le gouvernement s'attaquera à eux dans le cadre du budget 2013. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Je ne suis pas sur, qu'en période de quasi récession, que de "diminuer les dépenses de l'état" soit une solution bien adaptée a la situation ... Moins de dépenses d'état = moins d'argent mis en circulation par cette dépense directe en salaires et cie, pour moi c'est de la même rengaine que le fameux rapport de l'IGF : oui l'état emploi peut être 450 000 "serrarien" en l'état des choses via des agences potentiellement inefficaces ... Mais si on coupe les vivres a cette dépense c'est 450 000 chomeurs : un si bon calcul que ça dans la situation ou nous sommes ? La priorité réelle c'est quoi ? Se plier au diktat du moins disant étatique libéral (qui en retour de moins d'état ne veut qu'une chose : moins d'impots et taxe) Mais qui parle de virer d'un coup toutes ces personnes ? On peut imaginer de les redeployer quelques parts, etc. Mon experience de chef d'equipe, des que t'as des mecs payes a rien faire (ou qui se debrouille pour rien faire), ils deviennent des parasites qui empeche le travail normal de l'equipe, entre autres, pour cacher qu'ils ne servent a rien. De toutes facon, je doute que ces types soient payes au SMIC, donc il y a tres certainement des economies a prevoir. Sinon, dire que l'etat ne doit pas faire d'effort, t'as oublie un smiley a la fin de la phrase non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Oui ensuite l'état peut reverser une partie de ces activités au privé. Ca s'est fait avec grand succès dans les pays nordiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Oui ensuite l'état peut reverser une partie de ces activités au privé. Ca s'est fait avec grand succès dans les pays nordiques. Si ca reste financer au meme tarif pas l'argent public ca n'a pas d’intérêt. La seule bonne méthode - celle qui a une chance de passer et de produire des économie pas ridicule - c'est de couper a la serpe dans les bidules qui n'apporte rien ou si peu, la plupart du temps on vivait aussi bien sans ces commissions Théodule et autre agence zobi construites juste en réaction a tel ou tel fait divers. Le petit souci c'est que tous ces gens grassement payés représentent beaucoup de monde beaucoup plus influent que des cohortes de contribuables ... incapable de se réunir pour faire pression sur les dépense. Je ne parle même pas de l'influence des maire de France et autre membre des communautés de machin bidule, et autre conseillé généraux, pléthore de cumulards et qui vivent dans un écosysteme très intéressant financièrement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Si ca reste financer au meme tarif pas l'argent public ca n'a pas d’intérêt. La seule bonne méthode - celle qui a une chance de passer et de produire des économie pas ridicule - c'est de couper a la serpe dans les bidules qui n'apporte rien ou si peu, la plupart du temps on vivait aussi bien sans ces commissions Théodule et autre agence zobi construites juste en réaction a tel ou tel fait divers. Le petit souci c'est que tous ces gens grassement payés représentent beaucoup de monde beaucoup plus influent que des cohortes de contribuables ... incapable de se réunir pour faire pression sur les dépense. Je ne parle même pas de l'influence des maire de France et autre membre des communautés de machin bidule, et autre conseillé généraux, pléthore de cumulards et qui vivent dans un écosysteme très intéressant financièrement. Le probleme etant qui va vouloir s'occuper de ces "machins" la ? Sachant que les gens qui en profitent sont souvent amis avec des deputes, bref, du bon inceste politiquo economique comme on en raffole en France. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 18 septembre 2012 Share Posté(e) le 18 septembre 2012 Pourquoi le QE3 serait destructeur d'emploi aux EUA:http://www.youtube.com/watch?v=S36C2o3SEqs&feature=youtube_gdata_player Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 19 septembre 2012 Share Posté(e) le 19 septembre 2012 Ca se réveille? http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20120918trib000720033/la-crise-de-la-zone-euro-n-est-plus-le-principal-souci-des-investisseurs.html L'enquête mensuelle de BofA-Merrill Lynch révèle que la principale préoccupation des investisseurs est désormais le "mur budgétaire" aux États-Unis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcus Posté(e) le 19 septembre 2012 Share Posté(e) le 19 septembre 2012 Ca se réveille? http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20120918trib000720033/la-crise-de-la-zone-euro-n-est-plus-le-principal-souci-des-investisseurs.html L'enquête mensuelle de BofA-Merrill Lynch révèle que la principale préoccupation des investisseurs est désormais le "mur budgétaire" aux États-Unis. Ce que l’article appelle un « mur budgétaire » est quelque chose qui est difficile à appréhender pour un non-américain. Le président Obama n’a plus la majorité aux deux chambres. Le parlement est républicain. Le sénat est démocrate. Il est en situation de cohabitation. Il ne peut pas faire ce qu’il veut. Chaque étape importante est l’objet de négociations longues et compliquées. Pour pouvoir augmenter le plafond du déficit, Le président Obama a été obligé de signer une loi en juillet 2011. Cette loi autorise l’opération budgétaire qu’il désirait. Mais elle implique des contreparties. Elle oblige le gouvernement à proposer des réductions du déficit du budget pour 2012 de 1200 milliards de dollars. Si ces réductions ne sont pas réalisées à temps alors elles seront faites automatiquement pour chacune des lignes de budget. Brutalement. Sans réflexion. Cela pourrait être catastrophique pour l’économie Américaine. Une loi pour réduire le déficit des USA est une bonne idée mais il faut réfléchir sur ce qu’il est possible et souhaitable. Les deux partis n’ont pas la même définition de ce qui est possible et souhaitable. Surtout qu’il y a une élection cette année. Et les extrémistes des deux cotés poussent au blocage. Personne n’est sur qu’il est possible de faire les compromis nécessaires. Certains élus doivent penser qu’un échec est bon pour la candidature de leur partis pour les présidentielles de 2013. D’autre élus ont peur du Tea Party. Un trop gros compromis et ils perdent leur mandat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
amarito Posté(e) le 19 septembre 2012 Share Posté(e) le 19 septembre 2012 Je trouve que la question du "fiscal cliff" ressemble de loin aux problèmes de l'UE, à savoir des blocages politiques et institutionnels qui peuvent déboucher sur une issue plutôt catastrophique. D'ailleurs c'est la raison principale pour laquelle Moody's a averti les USA il y a quelque semaines.Sur les 1200 milliards (en 10 ans) de coupes automatiques (mécanisme appelé "sequestration"), il y a environ 500 milliards qui concernent la défense, dont 55 l'année prochaine ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Etats-Unis - sur les Chiffres du Chômage en période électorale (de la grosse Flû-Flûte ?). Régulièrement, les analystes politiques et économiques américains se plaisent à rappeler qu'aucun président sortant n'a été réélu avec un taux de chômage au dessus de 7,2 %. Sauf que les 8,1 % officiels aujourd'hui ne sont qu'un très pâle reflet de la réalité, a estimé ce week-end Graham Bibby, patron d'une société de gestion de portefeuille sur CNBC. En cause, la sortie massive des statistiques des chômeurs découragés, qui se traduit par un véritable trou noir dans les tableaux de chiffres qui circulent à Washington. Les règles de cette comptabilité sont simples : si un chômeur inscrit depuis plus de 12 mois ne se rend plus aux entretiens, ne se manifeste plus auprès des agences pour l'emploi, il sort des statistiques. Idem pour les employés à temps partiel qui souhaitent être à temps complet, ou les tout récents chômeurs, qui doivent attendre plusieurs semaines d'inactivité pour être officiellement comptabilisés dans les chiffres. Pareil pour les chômeurs qui ont épuisé leur droit à indemnisation : ils n'existent tout simplement plus aux yeux du gouvernement. Cette comptabilité restrictive fait que la photographie du marché de l'emploi à un instant T est extrêmement sujette à caution. Ça n'a rien d'une surprise ni d'une tromperie. La grande majorité des pays développés décomptent le chômage de la même façon. Mais la crise dure depuis maintenant quatre ans, et l'accumulation de chômeurs sortis des statistiques commence à prendre une ampleur particulièrement inquiétante et à traduire l'apparition d'un fort chômage structurel qui peine à refluer, même en période de reprise. Cette accumulation de chômeurs découragés fait dire à certains analystes que le taux de chômage réel est plus proche des 15 %, voire dépasse les 20 % de la population active, et que ce sont ces chiffres-là qui devraient être utilisés dans la campagne électorale pour souligner l'ampleur du défi à relever en matière de création d'emplois. http://economieamericaine.blog.lemonde.fr/2012/09/17/le-grand-ecart-des-chiffres-du-chomage/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Quelle farce! je vais finir par croire ceux qui disent que si ces politicards véreux se permettent de telles manipulations c'est qu'ils nous préparent un très mauvais coup...En tout cas ces chiffres vont dans le sens de l'analyse de Delamarche. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Quelle farce! je vais finir par croire ceux qui disent que si ces politicards véreux se permettent de telles manipulations c'est qu'ils nous préparent un très mauvais coup... En tout cas ces chiffres vont dans le sens de l'analyse de Delamarche. C'est la même farce en France et partout ailleurs. En Suede y a pas si longtemps pour remettre la pression sur les employeurs, tous les chômeurs de longue durée sortaient des chiffres du chômages et prenaient le statut d'handicapé du travail :) En France il y a quantité de "chômeur" qui ne sont pas inscrit a popole emploi. Rien que ceux qui ne sont pas indemnisé n'ont pas interet plus que ca a s'inscrire chez popole, idem pour la plupart des "non employable", préretraité, dispensé de recherche etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 C'est la même farce en France et partout ailleurs. En Suede y a pas si longtemps pour remettre la pression sur les employeurs, tous les chômeurs de longue durée sortaient des chiffres du chômages et prenaient le statut d'handicapé du travail :) Encore une preuve de l’incroyable pragmatisme efficace de ce Pays, dommage que la langue soit si difficile pour devenir Suédois =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcus Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Je trouve que la question du "fiscal cliff" ressemble de loin aux problèmes de l'UE, à savoir des blocages politiques et institutionnels qui peuvent déboucher sur une issue plutôt catastrophique. D'ailleurs c'est la raison principale pour laquelle Moody's a averti les USA il y a quelque semaines. Sur les 1200 milliards (en 10 ans) de coupes automatiques (mécanisme appelé "sequestration"), il y a environ 500 milliards qui concernent la défense, dont 55 l'année prochaine ! Effectivement cela est similaire aux sacs de nœuds Européens. Ce qui est particulier, c’est le niveau de l’impact de la campagne des présidentielles Américaine. On eu aussi ce comportement en France mais je ne le trouve pas aussi brutal. En tout cas, 55 milliards de moins pour le Pentagone, cela va faire mal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Quelle farce! je vais finir par croire ceux qui disent que si ces politicards véreux se permettent de telles manipulations c'est qu'ils nous préparent un très mauvais coup... En tout cas ces chiffres vont dans le sens de l'analyse de Delamarche. C’est depuis le choc pétroliers que l’on sait qu’entre un cinquième et un quart de la population actives – qui pourraient effectivement travailler- des pays de l’OCDE est aux chômages ; quelque soit la façon dont ont été déguisé les chiffres –G4lly donnent un exemple-. Et c’est la source des problèmes d’endettement massifs des états –en plus de l’épisode du sauvetage des banques-, obligé d’emprunter sur les marchés - après avoir abdiqué leur souveraineté monétaire!- de quoi faire fonctionner l’immense système social de redistribution qu’ils ont mis en place après 73 pour empêcher les sociétés de se déliter....et qui au surplus est la seul chose qui empêche la consommations de s’effondrer :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 La chronique de Nicolas Baverezhttp://www.lepoint.fr/editos-du-point/nicolas-baverez/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 La Chine va continuer "à jouer son rôle" pour aider l'Europe à résoudre la crise de la dette, a promis jeudi le Premier ministre chinois, Wen Jiabao, à l'issue du 15e sommet UE-Chine."La Chine continuera à jouer son rôle pour aider à résoudre la crise de la dette en Europe par les moyens appropriés", s'est engagé M. Wen devant le président de l'UE, Herman Van Rompuy et le président de la Commission, José Manuel Barroso.Pékin n'a jamais cessé, ces derniers mois, d'acheter des obligations émises par les Etats de la zone euro et le fonds de secours FESF, tout en "discutant activement de moyens de coopération" avec le futur fonds de sauvetage permanent de la zone euro (MES), a-t-il rappelé.Au cours du sommet, la Chine a indiqué qu'elle allait "continuer ses achats d'obligations à travers la zone euro", a confirmé un diplomate européen.Les Européens comptent sur les Chinois pour soulager la crise d'endettement qui mine leurs économies. L'UE souhaite notamment que Pékin utilise une partie de ses réserves de change colossales, évaluées à plus de 3.200 milliards de dollars, pour investir sur le marché obligataire de la zone euro.http://fr.news.yahoo.com/dette-chine-va-continuer-%C3%A0-jouer-r%C3%B4le-aider-124004022.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 La chronique de Nicolas Baverez http://www.lepoint.fr/editos-du-point/nicolas-baverez/ Encore et toujours la dépense publique pour baisser les impôts et augmenter la compétitivité... Je comprends mal l’intérêt de ce raisonnement extrêmement répandu (sauf chez les souverainistes à droite et les cocos à gauche...) même si c'est bien écrit. Un pays ne peut gagner des points de compétitivité que par rapport à un autre pays. Et le problème c'est que le même conseil est appliqué dans tous les pays européens qui sont ceux avec qui on fait la grande majorité de notre commerce. C'est une logique mortifère. La faiblesse de la croissance et la recession à venir est deja en partie due aux efforts de compétitivité des autres pays principalement l'Allemagne... Et elle a fait ces "efforts" quand il y'avait encore du fric à gagner chez les pays voisins. Bref maintenant que le conseil est generalisé c'est trop tard... Comme toujours chez les liberaux modernes on fait à court terme entièrement porter le poids de la crise par le salarié mais même leurs chouchous les actionnaires et les créanciers ne seront pas bénéficiaire à long terme car les CA vont baisser vu que tout le monde en Europe baisse ses salaires et ses depenses publiques. Ils vont donc réclamer à tue tête de nouvelles purges absurdes comme en Espagne alors qu'a la base l'Etat est peu dépensier et les salaires bas. Et puis quand tous ces gens pronent de baisser la depense publique ils ne precisent jamais ou il faut couper. Un peu trop facile...On dirait des gamins qui veulent obtenir tout de suite plus de friandises (baisse des impots...) sans chercher a comprendre tout ce que cela implique de faire. Je passe sur l'eternel discours sur la flexibilité du travail. Ca ne ferait qu'amplifier la tendance actuelle du marché du travail puisque qu'elle supprime une rigidité au licenciement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 20 septembre 2012 Share Posté(e) le 20 septembre 2012 Baverez a raison (malheureusement) - la situation commence vraiment à devenir désespérée. Diagnostics inquiétants et un Max Keiser survolté dans un brillant dernier épisode du Keiser Report (en anglais). 0lkYP1emX8I#! Heureusement notre gouvernement est sur la brèche pour sauver la France et vos fesses du naufrage ! Pendant que Fabius laisse une ardoise de 85 000 Euros pour redécorer son bureau, je regarde le programme de notre président pour ce vendredi 21 septembre : 10h10 : Inauguration du Mémorial de Drancy. 12h00 : Clôture du Comité de suivi de lutte contre la maladie d'Alzheimer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 21 septembre 2012 Share Posté(e) le 21 septembre 2012 Un pays ne peut gagner des points de compétitivité que par rapport à un autre pays. Et le problème c'est que le même conseil est appliqué dans tous les pays européens qui sont ceux avec qui on fait la grande majorité de notre commerce. C'est une logique mortifère. La faiblesse de la croissance et la recession à venir est deja en partie due aux efforts de compétitivité des autres pays principalement l'Allemagne... Et elle a fait ces "efforts" quand il y'avait encore du fric à gagner chez les pays voisins. Bref maintenant que le conseil est generalisé c'est trop tard... Comme toujours chez les liberaux modernes on fait à court terme entièrement porter le poids de la crise par le salarié mais même leurs chouchous les actionnaires et les créanciers ne seront pas bénéficiaire à long terme car les CA vont baisser vu que tout le monde en Europe baisse ses salaires et ses depenses publiques. Ils vont donc réclamer à tue tête de nouvelles purges absurdes comme en Espagne alors qu'a la base l'Etat est peu dépensier et les salaires bas. Et puis quand tous ces gens pronent de baisser la depense publique ils ne precisent jamais ou il faut couper. Un peu trop facile...On dirait des gamins qui veulent obtenir tout de suite plus de friandises (baisse des impots...) sans chercher a comprendre tout ce que cela implique de faire. Je passe sur l'eternel discours sur la flexibilité du travail. Ca ne ferait qu'amplifier la tendance actuelle du marché du travail puisque qu'elle supprime une rigidité au licenciement. Tu parles des sociaux-démocrates pas des libéraux. Ces derniers savent exactement ce qu'ils veulent quand bien même leur "camp"'est assez vaste. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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