Shorr kan Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 Jetez vos graphiques ! Je détiens la preuve définitive D-E-F-I-N-I-T-I-V-E qu’il y a un réchauffement climatique. Le graphique ci-dessous lui, en est une démonstration incontestable et qu’il a un impact très concret : *source: Wonderbra Ce que vous voyez est l’évolution des sous-vêtements féminins depuis le début de l'air industrielle à aujourd’hui, et on peut prolonger la courbe : bientôt il n’y aura plus rien !!!! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 (modifié) Je crois toujours pas aux histoires d'apocalypse climatique pour punir nos sociétés décadentes et pécheresses (toujours la même histoire depuis 3000 ans -_- ) que nous raconte les écologistes ,mais quoi que la réalité soit, je crois que tout ce passe comme sur des roulettes. =) D'un coté, la température plafonne depuis un moment (disons un coup de chance), le pétrole n'est pas sur le point de manquer ,mais son prix explose (dont il n'y a pas de choc brutal) et de l'autre côté on peu raisonnable pensé que dans 10-30 ans la fusion nucléaire va être au point et alors nos émissions de co2 vont drastiquement diminuer... Tout ce passe en douceur, malgré toutes les critiques du capitalisme, ce n’est pas un mauvais système même s'il a certaine défauts. Modifié le 29 janvier 2014 par Divos 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 D'un coté, la température plafonne depuis un moment (disons un coup de chance), le pétrole n'est pas sur le point de manquer ,mais son prix explose (dont il n'y a pas de choc brutal) et de l'autre côté on peu raisonnable pensé que dans 10-30 ans la fusion nucléaire va être au point et alors nos émissions de co2 vont drastiquement diminuer...Le prix du pétrole n'explose pas! Le prix du gaz en Amérique baisse.Les producteurs veillent justement a ce que le prix n’explose pas, pour ne pas que le client engage une transition énergétique, et qu'ils se retrouvent assis sur un tas de merde. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 (modifié) Les producteurs veillent a rien du tout, ils visent uniquement les meilleurs rendement faute de quoi de les investisseurs virent le président... Le gaz, c'est une autre histoire ,mais le prix du pétrole à belle et bien explosé dans les dernières années. Pour le reste ça pourra toujours servir pour la pétro chimie ,car comme vous dites il y a pas de penuries a prévoir avant un bon moment encore =) Modifié le 29 janvier 2014 par Divos Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 Les producteurs veillent a rien du tout, ils visent uniquement les meilleurs rendement faute de quoi de les investisseurs virent le président... Le gaz, c'est une autre histoire ,mais le prix du pétrole à belle et bien explosé dans les dernières années. Pour le reste ça pourra toujours servir pour la pétro chimie ,car comme vous dites il y a pas de penuries a prévoir avant un bon moment encore =)Le pétrole c'est invariablement +4% annuel depuis 1974 ... soit environ 2% hors "inflation", c'est très régulier, et organisé par les producteurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 Cela fait à présent 17 ans, (depuis 1997) que l'on n'a pas constaté de hausse statistiquement significative des températures globales de surface de la Terre. Le premier graphique montre la courbe du Hadley Center britannique, un organisme peu suspect de climatoscepticisme. Le second graphique est l'oeuvre d'un scientifique norvégien, auteur du site Climate4you. Le dernier graphique montre la hausse du taux de CO2 et des autres GES mesurés par la NOAA américaine. L'on nous dit que la chaleur dûe aux GES aurait quand même été produite durant cette période mais qu'elle serait partie s'enfouir dans les profondeurs des océans. En vertu de quelle cause on n'en sait rien. Au passage on admet implicitement que les modèles ne l'avaient pas prévu ce qui montre leur fragilité. Un bel aveu... Cela n'a pas empêché le Giec de nous pondre en fin d'année dernière un rapport qui fait passer son degré de certitude de 90 à 95%... J'ajoute que le dit rapport n'évoque quasiment pas la pause dans les températures que nous vivons depuis bientôt deux décennies. Etonnant. On est en pleine science politique et ça se voit de plus en plus. Bof. Le "global warming" ce n'est pas seulement la température de l'air c'est un réchauffement global. Par exemple des océans. Et le GIEC parle bien du palier mais tu as raisons toutes les études scientifiques ces dernières années font de la politiques, quoi de plus simple que de démonter des études que tu ne connais pas en sortant 3 graphiques. Ils aurait du s'économiser les plus de 2000 pages du rapport et la synthèse de pas mal d'études scientifiques si au final il suffit de lire deux courbes pour en sortir une conclusion. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 29 janvier 2014 Share Posté(e) le 29 janvier 2014 Cela fait à présent 17 ans, (depuis 1997) que l'on n'a pas constaté de hausse statistiquement significative des températures globales de surface de la Terre. En fait Jojo tu peux tourner cela comme tu veux de toute façon à l'échelle écologique les effets sont déjà là Tu peux hurler sur les toist que y'a pas de changement de températures, des espèces très dépendantes des aléas climatiques sont en train migrer à la fois vers le Nord et en altitude, signe d'un réchauffement constant Renseigne toi sur l'aire de répartition de la chenille processionnaire par exemple ou pourquoi les arbres à feuille caduque grimpent de quelques centaines de mètres Et reviens donc ensuite discuter de l'absence de preuves sur le terrain avec tout le respect que je te dois Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 L'avis de la NASA : http://inhabitat.com/nasa-illustrates-60-years-of-climate-change-in-new-15-second-video/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TomcatViP Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 (modifié) Co2 c'est une trace. Nox sont les vecteurs (déjà montré en 2001 alors pfffffff). Modifié le 30 janvier 2014 par TomcatViP Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Les climatosceptiques sont en minorité au sein de la communauté scientifique. Et même en ultra-minorité. C’est ce que montre James Lawrence Powell dans un post publié sur son blog, et repris sur Desmogblog.com. Le chercheur, ancien membre du comité national scientifique américain, et actuel directeur exécutif du Consortium national des sciences physiques, a parcouru 2.258 articles, écrits par 9.136 auteurs, et publiés dans des revues à comité de lecture entre le 12 novembre 2012 et le 31 décembre 2013. Résultat, un seul auteur, publié dans la revue de l’Académie des Sciences russes, conteste l’existence d’un changement climatique provoqué par l’homme. James Powell avait déjà réalisé une étude similaire sur les études publiées entre le 1er janvier 1991 et le 9 novembre 2012. Sur les 13.950 articles à ce sujet, seuls 24 s’opposaient à la théorie du changement climatique d’origine humaine, soit 0,17% des articles. Suite : http://www.slate.fr/monde/82183/climato-sceptique-tort Ce genre d'étude provoque chez moi une douce hilarité...parmi ces articles combien concluent à l'origine anthropique du changement climatique alors qu'ils sont en totale contradiction avec les données présentées ou que ces données ne permettent pas de conclure avec certitude ? Il en va malheureusement de la science comme du reste, effet de mode. On publie sur un sujet vaguement connexe et on conclue à la fin, la tête dans le guidon, en 1 phrase ou deux. Au fait que dire de milliers de publications montrant que l'optimum médiéval était aussi ou plus chaud que le réchauffement actuel? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 (modifié) Au fait que dire de milliers de publications montrant que l'optimum médiéval était aussi ou plus chaud que le réchauffement actuel? voila votre réponse :) Mais pour répondre sur le fond, je dirais que ce n'est pas le problème. On sait que la température moyenne a été plus élevée sur la terre dans le passé, en particulier il y a plusieurs millions d'années. Mais le fait que la température ait été plus élevée par le passé "sans l'homme" (1) ne prouve en rien que l'homme n'est pour rien aujourd'hui (contrairement à ce qu'affirme l'auteur), (2) ne dit rien de la vitesse de l'augmentation actuelle qui est relativement inédite et ne peut s'expliquer par les différents mécanismes naturels connus, et surtout (3) ne signifie évidemment pas que ce n'est pa sun problème pour nos sociétés. A part quelques millénaristes ultra-minoritaires et inexistant dans la communauté scientifique du climat au sens large, personne ne dit que si la température moyenne de la terre augmente de 2 ou même 4°C ce sera l'apocalypse. Comme disent les "sceptiques" eux-mêmes, la planète en a vu d'autres. Le problème, ce sont nos sociétés humaines, potentiellement très exposées à ces variations comme le rappelle Karg se. Une planète plus chaude de 4°C et c'est une partie de l'organisation géopolitique, économique et sociale qui devra être repensée: le monde continuera à exister, les civilisations continueront à exister, mais elles seront sans aucun doute différentes de ce que nous connaissons actuellement. N'oublions pas, par exemple, que presque 20% de la population mondiale vit sur les littoraux, et presque 4 milliards d'humains dans ce que les géographes appellent "la grande zone côtière", où l'on trouve aussi la plupart des grandes cités phares de notre civilisation occidentale capitaliste actuelle. Sans dire que tout va s'écrouler si la mer monte un peu, ça va quand même poser quelques petits problèmes et demander des adaptations compliquées... Modifié le 30 janvier 2014 par Divos Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Que les océans se réchauffent...mouaih. En fait, les données sont très loin d'être concluantes. Premièrement, les incertitudes sont grandes. Deuxièmement, si on était certain du fait, des scientifiques carbocentristes (aucune malice dans ce terme de ma part Bat, ;-), c'est plus court à dire et cela reflète aussi la réalité) ne se seraient pas ouvertement inquiétés de l'absence statistiquement significative du réchauffement des océans dans les 700 premiers mètres. Ce n'est pas pour rien que certains parmi eux essayent de chercher cette "chaleur perdue" encore plus profond ce qui est à mon sens idiot. La Terre ne s'est pas réchauffée comme la théorie l'avait tout simplement prédite. Cela veut aussi dire qu'on a très largement surestimé la sensibilité climatique et que les bilans d'énergie entrants et sortants sont très probablement faux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Divos, A ceci, je répondrais que rien ne prouve non plus que l'homme est responsable. L'argument est facilement retournable. Je ne pense pas que Bat me contredirait la-dessus. Ceci dit, on attends encore cette montée catastrophique des océans. Les données dont on dispose ne montrent aucune accélération ce qui soit dit en passant serait un signe fort que quelque chose se passe. Que nos sociétés soient vulnérables, c'est un fait; encore qu'entre une montée de 1 m en un siècle ou de quelques cm le problème serait très différent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Je constate que dans ce domaine il y a beaucoup de fantasme, les écologistes ont une vision immuable des écosystèmes, hors ces derniers sont capables d'intégré de nouvelles espèces, l'exemple le plus frappant est la régression de la Caulerpa taxifolia dans la Méditerranée. Tout comme avant, la caulerpa proliféra, puis après la caulerpa racemosa. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 J'ai rêvé au ton graphe ne s’intéresse qu'a la température au Groenland ... température dont a peu près tout les humains se contrefoute. C'est vrai et faux à la fois. On s'en fout un peu parceque ni vous ni moi iront nous faire dorer la pilule sur les plages groenlandaises. D'un autre côté, d'un point de vue d'une fonte potentiellement catastrophique affectant les régions arctiques, c'est le premier endroit que je regarderais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mercury Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Bof. Le "global warming" ce n'est pas seulement la température de l'air c'est un réchauffement global. Par exemple des océans. Et le GIEC parle bien du palier mais tu as raisons toutes les études scientifiques ces dernières années font de la politiques, quoi de plus simple que de démonter des études que tu ne connais pas en sortant 3 graphiques. Ils aurait du s'économiser les plus de 2000 pages du rapport et la synthèse de pas mal d'études scientifiques si au final il suffit de lire deux courbes pour en sortir une conclusion. Le problème ici, c'est l'écart grandissant entre ce que les études disent et qui sont compilées dans le rapport et la version abrégée de l'AR5 écrite pour les décideurs politiques. Il semblerait que beaucoup de scientifiques aient mis de l'eau dans leur vin et soient beaucoup moins catégoriques que par le passé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Divos, A ceci, je répondrais que rien ne prouve non plus que l'homme est responsable. L'argument est facilement retournable. Je ne pense pas que Bat me contredirait la-dessus. Ceci dit, on attends encore cette montée catastrophique des océans. Les données dont on dispose ne montrent aucune accélération ce qui soit dit en passant serait un signe fort que quelque chose se passe. Que nos sociétés soient vulnérables, c'est un fait; encore qu'entre une montée de 1 m en un siècle ou de quelques cm le problème serait très différent. Je suis d'accord avec vous, les preuves démontrant que les émissions de Co2 émise par l'homme cause le réchauffement constaté sont insuffisantes pour prendre une décision éclairée ,mais je crois que nous sommes seul à le penser ici ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Divos, A ceci, je répondrais que rien ne prouve non plus que l'homme est responsable. L'argument est facilement retournable. Je ne pense pas que Bat me contredirait la-dessus. Ceci dit, on attends encore cette montée catastrophique des océans. Les données dont on dispose ne montrent aucune accélération ce qui soit dit en passant serait un signe fort que quelque chose se passe. Que nos sociétés soient vulnérables, c'est un fait; encore qu'entre une montée de 1 m en un siècle ou de quelques cm le problème serait très différent. Il y a bien une montée des océans constante depuis pas mal de temps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bat Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 (modifié) voila votre réponse :) Euh, je précise que dans l'extrait de mon intervention que tu cites, de manière décontextualisée, le passé dont je parlais n'est certainement pas la période médiévale, mais bien plusieurs millions d'années avant notre ère. Cela dit, tu as raison, le raisonnement reste juste: ce n'est pas parce qu'une variation de température passée était attribuable à une cause A qu'une variation de température actuelle ne peut être attribuée à une cause B. Il n'y a que les climatosceptiques pour penser que l'évolution climatique est due à un seul facteur, simplisme et ignorance qu'ils cachent en faisant croire que c'est le GIEC (et non eux) qui ne considère qu'un seul facteur (qui serait le CO2 dans le cas du GIEC). Modifié le 30 janvier 2014 par Bat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bat Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 (modifié) Ce genre d'étude provoque chez moi une douce hilarité...parmi ces articles combien concluent à l'origine anthropique du changement climatique alors qu'ils sont en totale contradiction avec les données présentées ou que ces données ne permettent pas de conclure avec certitude ? Il en va malheureusement de la science comme du reste, effet de mode. On publie sur un sujet vaguement connexe et on conclue à la fin, la tête dans le guidon, en 1 phrase ou deux. Il faut lire ces études, leurs méthodologie et leurs conclusions avant de tirer des conclusions définitives comme tu le fais ici. En particulier, tu ne soulèves aucun lièvre: les auteurs savent parfaitement que 100% de ces études ne concluent pas à un changement climatique anthropique, simplement parce que ce n'est pas l'objet de l'article. Oreskes 2004 classe par exemple les abstracts de son corpus en 6 catégories, distinguant notamment les articles qui acceptent le consensus, les articles qui n'en disent rien, les articles dont ce n'est pas l'objet (par exemple ceux ne traitant que de problèmes méthodologiques), etc. Ce qui est frappant, dans ces études bibliométriques, n'est pas tant d'évaluer la manière de catégoriser les papiers acceptant explicitement ou ne s'opposant pas à l'idée d'un changement climatique anthropique que l'inexistence quasi-totale des papiers qui concluent à son inexistence. Sur 928 articles analysés, Oreskes n'en compte AUCUN. Sur 11944 articles, Cook et al. n'en compte que 78 (0,7%). Doran et Zimmerman 2009 ont travaillé autrement: ce n'est pas une étude bibliométrique (sur les publications), mais une étude par questionnaires auprès de chercheurs en sciences de la terre et portant sur leurs opinions avec deux questions simples: (1) la température moyenne a-t-elle monté, stagné ou baissé depuis 1800, et (2) l'activité humaine est-elle un facteur significatif dans les changements de la température moyenne? Sur 3146 répondants, on a 90% de "monté" à la question 1 et 82% de "oui" à la question 2. Si on entre dans les spécialités, on voit que les géochimistes et géophysiciens sont un peu moins convaincus que les autres de l'impact de l'homme sur le climat, mais les tenants du RCA restent largement majoritaires. Si on se centre sur ceux qui ont publié des papiers récents sur le changement climatique, le degré d'approbation au RCA frôle les 97%. On peut discuter de ces études autant qu'on veut, on peut dire que tous les scientifiques se trompent, on peu penser ce qu'on veut, mais il y a un FAIT incontestable: contrairement à ce que disent les climatosceptiques qui veulent faire croire à un débat scientifique virulent dans la communauté scientifique, la contestation du RCA n'est absolument pas un sujet qui agite les scientifiques. Les thèses "sceptiques" sont, littéralement, inexistantes scientifiquement: une très petite minorités de scientifiques du domaine contestent le RCA, ne produisant par ailleurs quasiment aucun article allant en ce sens, articles qui sont par ailleurs 10 à 20 fois moins cités que ceux concluant à un changement anthropique. Au fait que dire de milliers de publications montrant que l'optimum médiéval était aussi ou plus chaud que le réchauffement actuel? Je serais curieux de connaître ces "milliers de publications"... Modifié le 30 janvier 2014 par Bat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 Il y a bien une montée des océans constante depuis pas mal de temps. vos sources svp ^-^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 vos sources svp ^-^ Les résultat des missions topex poseidon sont public suffit de les lire ... jusque là on était incapable d'avoir une approche global du niveau eustatique des océan. L'élévation "globale" est d'environ 4mm l'an, mais les laisses peuvent varier beaucoup plus avec des intensification local des phénomène de "marée" et phénomène associé par exemple. L'élévation du niveau des océans est un phénome tres complexe, qui considere la température et la masse d'eau donc le volume, mais aussi et surtout les entrée et sortie du systeme, via l'évaporation et écoulement, l'eau peu se déstcoker par ci se resotker par là etc. Un variation du climat vers un modele plus énergétique pourrait par exemple conduire a une accumulation de vapeur d'eau dans l'atmsphere et a parallelement plus de pluie et de phénomene météo violent, l'eau étant dans l'atmosphere n'étant plus dans la mer ca compense pour partie l'élévation du volume des mer lié a la dilatation ... etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Divos Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 4mm par an, on a le temps de déménager new york, c'est pas un problème alors ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 4mm par an, on a le temps de déménager new york, c'est pas un problème alors ... Sauf que certaine zone habité ne peuvent pas supporter ce genre d'élévation bien longtemps. Il y a beaucoup d'ile ou d'ilot ou l'essentiel de la terre émergé est a moins de quelques mètre d'altitude a supposer qu'il n'y ai pas d'accélération on pourrait avoir des monté des haut de l'ordre de presque un 1m en 1900 et 2100 par exemple. Ajoute a ca les variations du niveau de la mer, marrée, dépression, tempete qui pourraient etre plus intensive et donc participer plus a l'élévation occasionnelle, des archipele comme les maldives pourraitent "rapidement" devenir invivable. Meme chose pour le Bengladesh etc. Au Bengladesh par exemple, une montée des eaux d'un metre c'est un exode d'au moins 40 millions de personnes qui devraient se réfugier chez leur 100 millions de concitoyen autant crève la faim qu'eux ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 30 janvier 2014 Share Posté(e) le 30 janvier 2014 4mm par an, on a le temps de déménager new york, c'est pas un problème alors ... Pour information on a aujourd'hui des satellites qui mesurent constamment le niveau de océans. Et On a bien une hausse qui - si ma mémoire est bonne - suit les modélisations les plus pessimistes (à contrario de la température de l'air qui suivrait plutôt les prévisions basses). Après 4mm reste une moyenne et dans certaines zones cela peut être beaucoup plus importants. Par exemple je suis tombé sur cet article : http://www.tdg.ch/monde/annee-2013-chaudes-1850/story/24286924 Il parlent de 35 centimètres aux philippines (données à vérifier). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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